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Lecture dans les résultats des élections législatives et présidentielle pour la Tunisie

À l’issue des résultats des élections législatives et présidentielle, certains tunisiens se sont posés la
question suivante : pourquoi on a eu ce réslultat. Tandisque d’autres, ont été sur de ces résultats
tant attendu avec sureté et confiance.

Je voudrai bien commencer par présenter les résultats des élections, apporter quelques éléments de
réponse à ceux qui ne se sont pas attendu à un tel résultat et également expliquer la confiance dans
le gain des élections législatives et présidentielle.

Les résultats des élections législatives du6 octobre octobre 2019 a donné 52 sièges au parti
islamiste Ennahdha et Al-Karama, un mouvement islamo-populiste formé
récemment par Seifeddine Makhlouf, un avocat connu pour avoir
assuré la défense de salafistes présumés, a quant à lui remporté 21
sièges. Donc
au total le parti islamiste avec ses
variété ont obtenu 73 siège sur 217 soit une part
de 33% dans des Avec 5221 sièges sur 217,
Ce qui ne savent pas pour quoi : l’enseignement, et ses conséquences

Ceux qui savent pour quoi : l’enseignement et ses cons

Le produit de l’enseignement

La qualité de lenseignement (matière, association

Lors des législatives du 6 octobre 2019, Ennahdha est arrivé en tête du scrutin en décrochant 52
sièges (sur 217). Et le candidat pour qui la formation d’inspiration islamiste avait appelé à voter au 2e
tour de la présidentielle, l’universitaire Kaïs Saïed, a été triomphalement élu avec 72,71% des voix.
Résultat : de par la Constitution, le parti d'inspiration islamiste est chargé de la formation d’un
gouvernement et doit proposer le nom d’un Premier ministre d’ici le 15 novembre. A plusieurs
reprises, il a répété qu’il voulait un chef de gouvernement issu de ses rangs. Dans le même temps, il a
proposé son leader et cofondateur, Rached Ghannouchi, au poste de président du Parlement. Lequel
assure l’intérim de la présidence de la République en cas de vacance du pouvoir. Tout semble donc
sourire à Ennahdha. Semble. Car dans la réalité, la situation ne prête pas forcément à sourire

Seuls 41,3 % des électeurs tunisiens se sont déplacés dimanche pour renouveler leur
Parlement. Le parti islamiste Ennahda et celui de Qalb Tounes assurent tous deux
avoir remporté le scrutin.

Les élections législatives ont révélé que le mouvement Ennahdha a obtenu 52 sièges, le parti Au Coeur
de la Tunisie 38 sièges, le Courant démocrate 22 sièges, la Coalition Al-Karama 21 sièges, le Parti
destourien libre 17 sièges, le mouvement Echaâb 15 sièges, Tahya Tounes 14 sièges, le mouvement
Machrou Tounes 4 sièges, Errahma 4 sièges, Nidaa Tounes 3 sièges, l’Union populaire républicaine 3
sièges, parti Al-Badil 3 sièges, Afek Tounes 2 sièges, l’Union démocratique et sociale 1 siège et le Front
populaire 1 siège.

Plan
Présentation des résultats des éléctions et les comparer entre deux périodes

Montrer que le courant islamiste a gagné malgrès ce qu’on dit

Expliquer pour quoi

Système scolaire produit des partisans et non pas des citoyens (matière enseignés, examen
préparé…

Japon

Que pouvons nous lire dans les résultats des dernières élections en Tunisie le 6 octobre 2019-12-09

D’abord, le taux de participation des tunisiens atteint 41,3% bien en deça des 68% en 2014. Cette
valeur s’explique par le fait que la participation électorale n’est pas obligatoire en Tunisie à l’opposé
de la Turquie ou en Australie où le taux de participation atteint 80 %. Ainsi, le taux de participation
pour le cas de la Tunisie ne suscite pas beaucoup d’explication puis qu’il est comparable à celui à
l’Egypte 41,5 %, du Marco (43% ) lors des dernières élection et même par rapport aux élections
européenne dont le taux n’a pas dépassé43.29%. Pour le cas de la Tunisie, l’explication du taux de
participation n’est intéressant que par rapport à l’ancien taux. Comment expliquer cette baisse
presque de 20 points passant de 68% en 2014 à 41.3% en 2019. En 2014, les tunisiens démoralisées,
déçus des résultats de trois ans de gouvernance du parti islamique et ses aliés et angoissés par
l’assassinat des deux leader de la gauche tunsienne se sont réunis autour d’un projet progressiste
s’inspirant du bourguibisme1 et représenté par un leader politique Beji Kaid essebsi (compagnon de
Bourguiba) pensant que ce parti progressiste va contrecarrer le poids des islamistes en rééquilibrant
la seine politique.

Quant aux résultats des élections, ils montrent que le premier parti politique a perdu des sièges
passant de 67 sièges obtenus lors des élections de 2014 à 52 sièges en 2019. Néanmoins, le
courant islamiste représenté par plusieurs partis dont le parti Ennahdha qui est au pouvoir
depuis 2011 a gagné le terrain. En effet, en plus du parti Ennahdha et qui déclare
représentant l'islam modéré, d’autres partis radicaux de la tendance islamique ont décroché
des sièges au sein du parlement . nous citons , la Coalition Al-Karama 21 sièges, Errahma 4sigèges
et Espoir et travail 2 sièges. Ce qui revient à dire que le mouvement islamiste a gagné 79 sièges sur un
total de 217 sièges soit 36,4% au lieu de 30,8% en 2014.

Comment expliquer le retour des radicaux représentant différents mouvements


en particulier les islamistes ?

Le parti le plus appréci par les tunisiens est elkarama 13% des tunisiens (sigma conseil)

Les seuls à avoir été sévèrement sanctionnés sont les représentants des
forces progressistes (qui payent ainsi et logiquement le prix fort pour leur
incapacité à s’unir) mais pour être remplacés par des populistes, des

1
Le bourguibisme fait référence à la politique de Habib Bourguiba, premier président de la Tunisie, et de ses partisans.
conservateurs et surtout des islamistes radicaux, connus pour leurs
positions extrémistes et antidémocratiques.

elle reste en réalité et au fond d’elle-même une société conservatrice,


attachée à une certaine morale religieuse et traditionnelle.

de l’avant et mettre fin aux huit années de misère et de crise


multidimensionnelle qu’ils venaient de vivre sous le pouvoir des islamistes
d’Ennahdha et de leurs acolytes. Sauf que, contrairement à ce qui était
prévu et attendu, leur participation à ces élections a été largement en
dessous de celle escomptée. Sur une population de 11 millions d’habitants,
le pays compte un peu plus de 7 millions d’électeurs inscrits (7.065.885). Ce
qui laissait espérer une possible participation conséquente. Mais aux
récentes échéances électorales, beaucoup de ces derniers ont préféré
déserter les bureaux de vote. Avec une participation s’établissant à 41% aux
législatives et 56% au 2ème tour de la présidentielle, certains électeurs
semblent avoir voulu montrer leur manque d’intérêt pour la chose publique
et plus particulièrement pour les législatives.
Or, tout le
Les seuls à avoir été sévèrement sanctionnés sont les représentants des
forces progressistes

elle reste en réalité et au fond d’elle-même une société conservatrice,


attachée à une certaine morale religieuse et traditionnelle.

On sait, en effet, qu’avec 52 sièges obtenus sur 217 prévus à la prochaine


Assemblée Représentative du Peuple, le parti de Ghannouchi est sorti
incontestablement victorieux des élections législatives du 06 octobre 2019.

L’élection de Kaïs Saïed à Carthage et des islamistes au Parlement va-t-elle


résoudre les problèmes sociaux et économiques dont souffre le pays ?

La révolution ouverte

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