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Sportives : L’impact de la contraception et du cycle menstruel sur les

performances ?

HERIPEL Floriane

Bachelor Diététique et Nutrition Sportive 2ème année

Travail de recherche présenté à :

RODRIGUES Sophie - Physiologie et métabolismes


SURRE Amélie - Pathologie

EDNH - Aix en Provence

6 janvier 2020
Sommaire

Introduction …………………………………………………………………………………….……….… 1
I) Définition ………………………………………………………………………………………..…….. 2
a) Pratique sportive et performances …………………..……………….……………………… 2
b) Les différentes phases du cycle menstruel ………..……………..……………….….….… 2
c) Plusieurs méthodes de contraception ………………………………………………………. 3
II) Impact du cycle menstruel sur les capacités physiques……………………………………..…… 5
a) Menstruations : synonyme de fatigue et douleurs……………………..…..…..……..…… 5
b) Phase folliculaire et ovulatoire : dynamisme et énergie…………………………………… 6
c) Syndrome pré-menstruel : retour à la fatigue ……………………………………………… 7
III) Impact de la contraception sur les performances……………….………….…………….…..…… 9
a) Une meilleure qualité de vie avec le contraceptif hormonal le plus utilisé : la pilule …… 9
b) Un zoom plus spécifique sur les effets des hormones synthétiques de la pilule ………. 10
c) Autres contraceptions hormonales : les même effets ? …………………………………… 11
d) Contraceptions sans hormones : quels changements ? …………………………..….….. 12
IV) Solutions par l’alimentation pour diminuer les effets du cycle …………………………………….13
Conclusion ………………………………………………………………………………………………… 15
Résumé en anglais ……………………………………………………………………………………….. 16
Annexe …………………………………………………………………………………………………….. 17
Webographie et Bibliographie …………………………………………………………………………… 18
Introduction

Sportives amateurs ou sportives de haut niveau, elles ont toutes été confrontées un jour
l’autre à une compétition, et ce, pas forcément au meilleur moment de leur cycle menstruel.
Pourtant, des records du mondes ont été établis.
Tout d’abord, une femme est considérée comme sportive dès lors qu’elle pratique une
activité physique régulière. Le désir de repousser ses limites et la notion de performance s’installe
petit à petit, poussant à s’entrainer de plus en plus. Mais durant le cycle d’entrainement, la plupart
des sportives sont plus ou moins en forme, avec des variations au niveau physique, comme au
niveau psychologique. Ce phénomène est notamment du aux différentes phases du cycle
menstruel. En effet, celui-ci correspond à la période de préparation du corps féminin à la
fécondation qui commence le premier jour des règles et se conclue le premier jour des règles
suivantes. Ainsi, ont lieux plusieurs phénomènes physiologiques et hormonaux. Enfin, pour tenter
de réguler ces fluctuations provoquées par le cycle, la majorité des femmes sportives ou non,
utilisent une contraception. Selon l’OMS, cette dernière regroupe l’utilisation d’agents, de
dispositifs, de méthodes ou de procédures pour diminuer la probabilité de conception ou l’éviter.
Nous allons donc tenter d’éclaircir le le lien entre ces 3 notions. Pour cela, il serait
interessant de se demander : En quoi le cycle menstruel ainsi que la contraception peuvent-ils
influencer les performances sportives ?
Pour ce faire, nous allons diviser notre raisonnement en 4 parties. Etudions dans un
premier temps les différents termes qui composent le sujet, avant de s’intéresser dans un second
temps vif du sujet c’est à dire l’impact du cycle menstruel sur les capacités physiques et mentales.
Ensuite, nous analyserons dans un troisième temps les effets de la contraception sur les
performances, avant de finir par les solutions alimentaires pour limiter ces impacts.

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Durant ce travail de recherche, je me suis énormément penchée sur des analyses et
comptes rendus scientifiques (datant de plusieurs dizaines d’années, ne trouvant pas plus récent).
Il s’est avéré que les différents tests menés ont été dans l’ensemble, TOUS contradictoires. C’est
pourquoi je tiens à préciser que le développement qui va suivre est principalement théorique, et
nous verrons pourquoi.

I) Définitions

Durant cette première partie, le but va être de définir clairement les différents termes qui
composent le sujet, afin de comprendre plus tard dans le développement leurs impacts sur la
femme sportive.

a) Pratique sportive et performances

Comme la majorité des femmes sur terre, celles-ci sont davantage concernées par une
période de menstruations ou bien un de moyen de contraception, et ce, même pendant l’activité
sportive. Avant cela nous allons d’abord éclaircir la notion de pratique sportive. Le sport est par
définition une activité institutionnalisée, physique et / ou psychique dont la pratique se fait pour le
plaisir et / ou la compétition. Il permet d’améliorer ses performances ainsi que les relations
sociales. L’activité physique va donc puiser dans nos réserves énergétiques, rechargeables
majoritairement par l’alimentation. En effet, elle permet de fournir les apports en nutriments
essentiels (protéines, lipides, glucides, vitamines et minéraux), indispensables pour un sportif.
Cependant, même en suivant leur rituel de mode de vie et leurs habitudes, certains femmes
notent des différences en période de menstruations et d’autres non. Il en va de même pour celles
qui ont (ou non) une contraception. C’est pour cela que nous allons tenter de démontrer le lien
fort entre ces 3 notions.

Sauf anomalie hormonale, chaque femme est confrontée un moment ou l’autre à son cycle
menstruel.

b) Les différentes phases du cycle menstruel

Le cycle menstruel correspond à l'ensemble des phénomènes physiologiques de la femme


préparant son organisme à une éventuelle fécondation. La durée habituelle du cycle menstruel est
de 28 jours, mais il peut être plus ou moins long et n'est pas toujours régulier. Celui-ci commence
à la puberté et se termine à la ménopause. Le cycle menstruel complet comprend alors 4 étapes.
La première se nomme la phase menstruelle (plus communément appelée période de « règles »
chez les femmes, et apparait les 5 premiers jours du cycle complet. En effet c’est la muqueuse de
l’utérus (endomètre) qui se désintègre. La seconde correspond à la phase folliculaire (croissance
d’un ovocyte jusqu’à l’ovulation ainsi qu’un épaississement de l’endomètre grâce à une
grande production d’oestrogène). Le corps se prépare donc à une éventuelle grossesse,
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et ce pendant environ 9 jours à partir du moment où les règles se terminent. Vient ensuite la
troisième étape qui constitue la phase d’ovulation, à partir du 14e jour en moyenne. L’ovocyte
(devenu ovule) est expulsé par le follicule, et va ainsi descendre par la trompe de Fallope jusqu’à
atteindre l’utérus pour une éventuelle fécondation. Enfin la dernière étape, la phase lutéale, dure
une dizaine de jours. Durant celle-ci, le follicule vide se transforme en corps jaune. Leurs cellules
elles-même se transforment alors en oestrogène et progestérone. Cette dernière hormone va
alors stimuler l’endomètre afin d’accueillir un ovule fécondé. Il y a ensuite 2 cas de figure
possibles ; soit il y a eut fécondation et l’embryon se développe, soit il n’y a pas eu fécondation,
ce qui entraine la destruction de l’oeuf jaune, la baisse de progestérone, et ainsi, le
déclenchement d’un nouveau cycle de menstruations.

Afin d’éviter une fécondation accidentelle et non voulue durant cette dernière phase, une
enquête menée par l’INPES (Institut National de Prévention et d’Education pour la Santé) en 2010
assure que 91% des femmes entre 14 et 54 ans utilisent une contraception.

c) Plusieurs méthodes de contraception

Par définition, la contraception désigne l’ensemble des moyens employés pour provoquer
une infécondité temporaire chez la femme ou chez l’homme, c’est à dire les différentes méthodes
qui ont pour but d’éviter une grossesse.

En effet, 3 possibilités sont exploitées, et la première consiste à bloquer l’ovulation. C’est


notamment le cas de la pilule, utilisée par 60% des femmes, contraception orale qui contient des
hormones (ostrogènes). Ces dernières vont empêcher le processus de maturation ainsi que
l’expulsion de l’ovocyte. A la différence de la pilule (qui est à prendre de manière journalière),
l’anneau contraceptif bloque également le processus en diffusant une association oestro-
progestative, et ce pour une durée de 1 mois. Enfin, il y a le timbre contraceptif (ou patch) qui
libère aussi cette même association d’hormones et ainsi bloquer la fécondation. Ce dernier se
colle sur la peau (bras, fesse, épaule..) une fois par semaine durant trois semaines, la quatrième
étant la période de règles.

Vient ensuite les méthodes utilisées pour empêcher la fécondation, et non la bloquer, en évitant la
rencontre entre les spermatozoïdes et l’ovule. On parlera également de méthodes naturelles, c’est
à dire sans hormones. C’est notamment le cas des préservatifs, à la fois féminins et masculins et
à usage unique, des diaphragmes, mais aussi des spermicides, un peu moins connus, qui sont
des substances rendant inactifs ou détruisant les spermatozoïdes.

Enfin, la dernière méthode consiste à empêcher l’implantation d’un oeuf. C’est le cas du stérilet
hormonal, qui va délivrer en petite quantité des progestérones, et ainsi amincir la muqueuse
empêchant la fixation de l’ovule dans l’utérus, et rendre difficile l’ascension de spermatozoides
dans cette même zone. C’est aussi le cas du dispositif intra-utérin au cuivre, sans hormones cette
fois, qui va bloquer également l’ascension des spermatozoïdes, mais aussi grâce au cuivre
à empêcher la fixation de l’ovule dans l’utérus. Ces 2 méthodes offrent par ailleurs une
contraception de 5 ans.

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Plus rare, il existe la stérilisation définitive. Un petit ressort est introduit dans chacune des
trompes, ce qui va provoquer une réaction tissulaire, et ainsi bloquer de façon définitive les
trompes.

A noter que l’ensemble de ces contraceptions (à l’exception de la stérilisation chirurgicale) sont


temporaires et surtout réversibles. Durant notre devollepement, l’objectif sera d’analyser si les
moyens de contraception impactent les performances d’une femme sportive. Pour cela nous
allons nous axer principalement sur ceux contenant des hormones puisque ce sont réellement
ceux-là qui peuvent modifier le fonctionnement du corps humain.

Durant notre développement, l’objectif sera d’analyser si le cycle menstruel ainsi que les moyens
de contraception impactent les performances d’une femme sportive.

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II) Impact du cycle menstruel sur les capacités physiques

Durant cette partie, nous allons analyser étape par étape les différentes hormones qui
rentrent en jeu durant le cycle menstruel d’une femme, afin de voir les modifications générées sur
l’organisme, et les éventuels impacts sur la performance. Pour cela, nous allons nous intéresser
uniquement aux principales pour rendre la compréhension plus facile.

a) Menstruations : synonyme de fatigue et douleurs

Comme expliqué précédemment, le cycle menstruel débute dès le premier jour des règles,
et s’étale sur environ 5 jours. C’est durant cette phase que le taux d’hormones est également le
plus bas (les hormones sont des messagers chimiques libérés par les glandes de notre corps). Est
placé en annexe 1 un schéma représentant les fluctuations d’hormones durant le cycle, afin
d‘avoir une vision globale. En effet, à chaque fin de cycle, la quantité d’oestrogène et de
progestérone dans l’organisme chute, provoquant ainsi la desquamation de la muqueuse utérine.
L’excès est ensuite évacué avec du sang par le col de l’utérus jusqu’au vagin, débutant ainsi les
menstruations. Ces hormones étant très peu nombreuses durant cette première semaine du
cycle, on peut donc dire qu’elles n’ont pas ou très peu d’impact sur l’aspect physiologique et
psychique de la femme, et donc sur ses performances. Du moins, elles n’en sont pas
responsables.

En revanche, cette perte importante de sang due aux règles peut très probablement
s’accompagner d’une sévère chute d’hémoglobines, et conduire in fine à une anémie ferriprive.
En outre, l’hémoglobine est une protéine refermant du fer, contenue dans les globules rouges, et
transportant de l’oxygène vers les tissus. Si celle-ci diminue fortement, le taux de fer dans le sang
va suivre le mouvement, et conduire à une pseudo-carence de ce dernier. Malgré le fait qu’elle ne
soit que passagère, elle n’est néanmoins pas sans conséquences. Elle peut se traduire par une
forte fatigue, des étourdissements, ou encore une diminution de la force physique et un
essoufflement plus rapide à l’effort pour la sportive. Il va de soi que si les capacités du corps sont
diminuées, les performances vont également l’être.

Autre phénomène qui débute avant les règles mais prend tout son sens pendant, il s’agit de la
dysménorrhée. En effet, nous avons vu que le taux de progestérone est au plus bas. Lors de sa
chute, l’enzyme cyclo-oxygénase va s’activer, libérant ainsi de la prostaglandine, une hormone
provoquant elle même la contraction du myomètre (couche musculeuse interne de la paroi
utérine). Une hypercontractilité de celui-ci provoque douleurs et stress chez la femme, et par
conséquent diminue ses capacités physiques, et donc sportives.

De plus, nous verrons plus tard dans le développement que toutes ses signes cliniques peuvent
également être la continuité de la phase précédant celle-ci, la phase lutéale.

Néanmoins, il ne faut pas oublier que chaque ressenti et chaque phase de menstruation est
propre à chacune et varie selon la personne concernée. Ce n’est pas une maladie, et il n’y a
aucune contre indication liée au sport.

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Si la phase de menstruation peut provoquer fatigue, douleurs et baisse des capacités
physiques et sportives, nous allons voir que la phase folliculaire a un tout autre impact sur le
corps féminin.

b) Phase folliculaire et ovulatoire : dynamisme et énergie

Contrairement à la période de menstruations, la phase folliculaire marque le début des


modifications hormonales, avec une augmentation importante d’oestrogènes, ainsi que de
testostérone. (Sans rentrer dans les détailles, cette augmentation est elle même due à une forte
hausse de LH et FSH, deux hormones sécrétées par l’hypophyse).

En effet, cette dernière est plutôt connue pour être une hormone masculine. Dans ce cas là, elle
est sécrétée par les ovaires et les glandes surrénales en faible quantité. En outre, elle agirait
directement sur le dynamisme et la puissance musculaire de la femme, en l’améliorant. Elle
permettait également une plus grande résistance à la douleur. Il parait donc interessant d’adapter
la préparation physique et d’effectuer les entrainements nécessitant plus d’explosivité durant
cette phase là, puisque le corps de la femme est plus disponible et parait mieux en forme. C’est
d’ailleurs ce que démontre une étude Suédoise réalisée par l’Université d’Umea, où 59 femmes
ont suivi un programme d’exercice nécessitant de la résistance, sur 4 mois avec 5 séances par
semaine. L’ensemble des sportives ont remarqués une nette amélioration de leurs performances à
cette période de leur cycle. Nous pouvons donc dire qu’elle a un effet positif. De plus, outre
l’aspect physiologique, la testosterone augmenterait aussi la motivation.

Si l’on note une hausse de testosterone, les hormones principales restent néanmoins les
oestrogènes. Toujours en lien avec l’annexe 1, on voit un pic de cette hormone, qui une fois de
plus n’est pas sans conséquences. En effet, les oestrogènes ont un rôle prépondérant dans le
maintien de la densité osseuse, ainsi que l’hydratation de la peau. De plus, les tissus vont être
mieux régénérés à cette période là du fait d’une meilleure utilisation des glucides. Du point de vue
des performances sportives, les ostrogènes ont un effet anabolique, ce qui va a la fois construire
du muscle, mais aussi déstocker les graisses. En revanche il y aura une plus grande résistance à
l’insuline. Globalement, cette phase là offre donc un effet positif sur l’état physique, et donc les
performances d’une sportive. C’est d’ailleurs ce que dit une Monika Feusi, médecin Gynécologue
Belge ; « Comme les œstrogènes ont un léger effet anabolisant, favorisant donc la constitution
des muscles, l’entraînement ou la compétition se déroule souvent mieux».

La phase folliculaire est étroitement liée à la phase d’ovulation, c’est pour cela que j’ai
décidé de les réunir ensemble dans cette même partie. Durant ce quatorzième jour, le taux de
d’oestrogène connaît une chute phénoménale, sans aucune compensation derrière. Le
dynamisme de la phase précédente va alors avoir tendance à chuter également, en passant par
une légère phase de fatigue, un « effet rebond ». De plus, ces hormones provoquent une certaine
souplesse musculaire et ligamentaire, or si elle diminue, il faudra être deux fois plus vigilant car le
risque de blessures s’accroit. Enfin l’état mental ainsi que l’humeur peut également subir
le revers de la médaille en diminuant d’un coup.

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Cette chute d’oestrogène marque en quelque sorte la fin de la phase « positive » du cycle
menstruel, puisque début la phase post-ovulatoire, et plus précisément la phase lutéale,
beaucoup plus contraignante et nous allons voir pourquoi.

c) Syndrome pré-menstruel : retour à la fatigue

Une fois l’ovulation effectuée, c’est la phase lutéale qui débute, également appelé
syndrome pré-menstruel. Si le taux d’oestrogène reste toujours aussi bas mais est toujours
présent après sa chute lors de l’ovulation, une autre hormone va rentrer en jeu ; il s’agit de la
progestérone. En effet, celle-ci va très fortement augmenter, atteignant son pic vers le 21 jours,
soit 1 semaine avant le recommencement des menstruations. C’est d’ailleurs cette hormone qui
est à l’origine de douleurs tant redoutées des femmes lorsque leurs règles approchent, et nous
alors voir pourquoi.

Tout d’abord, le syndromeprémenstruel (SPM), correspond à un ensemble de symptômes, variant


d’une femme à une autre, et se manifestant dans les jours qui précèdent les règles. Ceux dont
nous nous préoccupons le plus sont en premier lieu les symptômes physiques, puisque ce sont
ceux que l’ont voit et ressent directement. L’ont retrouve la dysménorrhée, comme expliquée
précédemment, qui commence bien avant la période de règles, pendant la phase lutéale. En effet,
les douleurs abdominales et la fatigue qu’elle provoque constituent un facteur de baisse des
performances. La fatigue peut également être la conséquence d’une baisse de sérotonine,
hormone jouant un rôle prépondérante dans le sommeil (mais aussi plein d’autres facteurs
cognitifs développés plus loin). Durant cette quinzaine de jours, la prise de poids peut également
être favorisée du fait d’une hypoestrogénie, provoquant ainsi une rétention d’eau localisée le plus
souvent au niveau abdominal. Des « rages alimentaires » peuvent également survenir due aux
fluctuations d’hormones, augmentant petit à petit le tissu adipeux. En revanche cette prise de
poids est néanmoins compensée par un déséquilibre de température du corps (légèrement en
surchauffe), se traduisant par une hausse du métabolisme. Dans la même continuité, ce trouble la
thermorégulation entraine chez la sportive une augmentation du débit respiratoire, ce qui conduit
in fine à une plus grande fatigue en général et dans le sport. Les activées physiques semblent
aussi plus difficiles. Du point de vue physique, cela peut s’accompagner d’une sensation de
jambes lourdes, des douleurs dorsales, des migraines, un manque d’énergie, du stress…

Ajouté à cela, un peu moins voyants mais bien présents, il y a les effets psychologiques
de ce syndrome. Il peut avoir une baisse de motivation, une moins bonne mémorisation du geste
sportif, de l’anxiété… pouvant aller jusqu’à des mini dépressions. Et ceci en partie due à la
diminution de sérotonine, hormone qui régule l’humeur et autres facteurs cognitifs.

En outre, l’idée reçue des règles qui diminuent les performances n’est pas tout à fait vrai,
puisqu’il s’agit plutôt de la phase pré-menstruel, préparatoire aux règles qui provoque davantage
de contraintes. Toutes ces conséquences sont au final plus des « gênes » à la performance et à
l‘activité physique, plutôt que de réels handicaps. Certes elles varient et sont plus ou
moins importantes selon les personnes, mais elles ne s’appliquent pas à toutes les

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sportives. Est placée en annexe 2 un schéma avec les principales modifications physiologiques,
afin de résumé cette partie de manière simple et d’avoir une vue d’ensemble.

Il semble y avoir une grande variabilité interindividuelle dans les réponses des athlètes
féminines à ces changements hormonaux cycliques. Des médailles d’or ont été gagnées et
des records ont été établis par des femmes, et ce à toutes les phases de leurs cycles.

Si le cycle menstruel a des impacts tant positifs que négatifs sur les performances des
sportives, qu’en sera t-il des différentes méthodes de contraception ?

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III) Impact de la contraception sur les performances

Dans cette partie nous allons nous attarder davantage sur les méthodes de contraception
avec hormones puisque ce sont celles qui ont a priori le plus d’impact sur la physiologie du corps
humain.

a) Une meilleure qualité de vie avec le contraceptif hormonal le plus utilisé : la pilule

La plus connue de ces contraceptions hormonales, utilisée par 36,5% des femmes en 2016
est la pilule. C’est pourquoi nous allons commencer par analyser celle-ci et ses potentiels effets.
Tout d’abord, il est important de différencier les 2 types de pilules existantes : pilule combinée (ou
oestro-progestative) et pilule progestative.
La première correspond à une association d’oestrogène (éthinyl-estradiol, compris entre 15 et
35µg) et de progestérone (variable selon pilule : lévonorgestrel, noréthisthérone, désogestrel,
norgestimate, gestodène, allant jusqu’à jusqu’à 40µg). Il y a donc une majorité de progestatif.
Plusieurs générations ont été établies au fil des années, allant de 1 à 4 avec des hormones qui
changent mais globalement les effets sont les mêmes. L’objectif de cette contraception (en plus
d’éviter une grossesse non voulu) va être de régulé les règles, avec la durée du cycle clairement
défini. Même si cela aurait banale, et la base d’une pilule, elle peut être représenté comme un réel
avantage pour les sportives. En effet, à l’approche des compétitions, ou même durant les périodes
d’entrainements, l’athlète peut être plus ou moins stressée et avoir « peur » par l’arrivée de ses
règles, qui surviennent n’importe quand. Fatalement, si l’esprit est tracassé, les performances
sportives peuvent en pâtir. Avec la pilule, elles sont prévenues et peuvent anticiper leur arrivée. De
plus, cette pilule réduit de manière significative la production de prostaglandines responsables des
contractilités myométrales, et donc, d'une diminution des effets des dysménorrhées.
La seconde pilule quand à elle correspond uniquement à une dose d’oestrogène (lenorgestrel ou
desogestrel). Toue comme la précédente, elle permet la régulation du cycle, voir même mieux, la
suppression des menstruations. En effet, l’ovulation peut ne pas avoir lieu, et la glaire cervicale
s’épaissir. Du point de vue sportif, cela peut constituer un réel avantage en particulier pour le
sportives de hauts niveau souvent en déplacements et en compétitions, et pour les sports
aquatiques comme le triathlon . C’est non seulement un stress mensuel qui disparaît, mais aussi
les inconvénients de cette période de règles. En effet, durant cette phase, n’importe quelle femme
perd beaucoup de sang, pouvant aller jusqu’a l’anémie si les pertes sont abondantes. Avec la
suppression de règles, ce risque est totalement écarté, et par conséquent, ses effets aussi
(développés dans la partie précédente, comme la fatigue principalement).
Si les effets spécifiques à ces 2 pilules ont l’air plutôt positifs, nous allons étudier ensemble leurs
effets communs, puisque cela reste avant tout une pilule, et donc des hormones exogènes, de
synthèses.
Comme nous avons pu le remarquer plus haut, le réel inconvénient durant le cycle menstruel reste
la phase lutéale, et notamment lorsque le syndrome pré-menstruel touche les femmes. L’avantage
de ces 2 types de pilule, est qu’elles vont diminuer les effets secondaires qui y sont liés,
voir supprimer pour la pilule progestative. En outre, les sportives ne seront plus exposées
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(ou beaucoup moins) à la fatigue, aux risques de blessures, à une potentielle prise de poids, mais
aussi à une baisse de motivation, etc. Ceci est aussi valable pour la période des règles, souvent
douloureuses.
Là où je veux en venir, c’est au niveau de l‘état général de la sportive et femme avant tout, qui va
être amélioré. En effet, la pilule va réguler la variation d’hormones. Il n’y aura donc plus ces
fluctuations hormonales, qui ne cessent d’augmenter et de diminuer durant le mois, et provoquent
des modifications de performances. On peut donc dire qu’au premier abord, la pilule hormonale
n’améliore pas les performances, mais elles ne les diminue pas non plus. Elle contribue tout
simplement au maintient d’un d’état de forme « normal » et sans soucis. Evidemment, cela n’est ce
que de la théorie scientifique, mais en réalité, chaque femme réagi différemment à son propre
cycle menstruel, et donc différemment à la pilule. Le confort de chacune face à leurs effets est très
individuel.

b) Un zoom plus spécifique sur les effets des hormones synthétiques de la pilule

Dans cette partie, je vais fortement m’appuyer sur des expériences scientifiques, afin de
démontrer le faible impact des hormones exogènes utilisées dans le contraceptif.
Commençons par le système cardio-vasculaire. Il semblerait que celui-ci soit quelques peu
perturbé par les hormones de synthèse (et plus précisément par l’oestrogène). En effet,
l'antithrombine III, qui représente au moins 50% de l'activité anticoagulante du sang serait affectée
de manière dose-dépendante par le composant œstrogène de la pilule. De plus, les œstrogènes
entraîneraient également une agrégation accrue des plaquettes ainsi qu’une augmentation de
divers facteurs de coagulation. En contradiction avec cette étude (Notelovitz et al. 1987), certains
articles affirment que l’activité fifbrinolytique n’est as modifiée par les contraceptifs oraux.
Autrement dit, le sujet reste encore flou, certainement car il n’y a pas ou très de lien de cause à
effet. De même, des données suggèrent que l'administration de pilule combiné pourrait être
associée à une augmentation de la pression artérielle systolique et à une pression diastolique
comprise. Pour la majorité des femmes sous OC, ces petits changements n’ont aucune incidence
clinique. Enfin, une autre étude (Seaton en 1972) affirme également que cela provoquerait une
augmentation de la précharge et du volume systolique du cœur dus à la rétention de liquide,
pouvant augmenter le débit cardiaque effectif et améliorer la performance. Mais une fois de plus,
ce sont de vieilles études, pas totalement fondées à 100%, même si elles sont scientifiques.
Maintenant, intéressons nous au système respiratoire. Différentes expériences (aux résultats
différents) ont démontré que la consommation d’oxygène augmente, ce qui s’expliquerait par une
différence dans le coût métabolique de la libération d'énergie de divers substrats, tels que les
acides gras libres et le glycogène.
Concernant le métabolisme énergétique, la production de glucose au repos et pendant l'exercice,
est principalement déterminée par l’insuline (et d’autres hormones à faible dose tel que le cortisol
et la GH). Les progestatifs les plus androgènes auraient un impact plutôt négatif sur le
transport du glucose et la sécrétion d’insuline. Cela se traduirait donc par une diminution

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relativement constante de la tolérance au glucose et une hyper-insulinémie à des degrés divers.
La cause ? Principalement une concentration réduite en récepteurs d'insuline, une augmentation
des taux d'AGF, une augmentation de la concentration en GH, des modifications de l'absorption
alimentaire du glucose, une augmentation de l'activité glucocorticoïde. Mais globalement, la
conclusion est la suivante : Il n'y a pas d'effet nuisible ou bénéfique décisif sur le métabolisme
énergétique et les performances sportives.
La minéralisation osseuse fait également débat, où beaucoup pensent qu’elle est faible lorsque
l’on prend la pilule en raison du taux d’estradiol plasmatique qu’elles induisent. Or, il a été prouvé
qu’il n’existe pas d’argument direct pour considérer la contraception progestative comme facteur
de risque de fracture osseuse.
Enfin, concernant la force, auparavant, beaucoup pensaient que le composant androgène de la
pilule pourrait avoir une action ergogénique. En effet, en 1987, le Comité International Olympique a
affirmé que la « noréthindrone » (contenue dan stéroïdes) provoquerait plus de forces, mais
plusieurs médecins ont réussis a prouver son contraire. En outre, c’est une fois de plus une notion
encore flou, et qui varie surtout selon la femme, cela ne s’applique pas à tout le monde.
Une autre interrogation qui suscite la plus grande crainte des femmes : la pilule fait-elle grossir ?
Mythe depuis des années, il s’avère ne pas être tellement fondé. Un test a été effectué par des
chercheurs américains sur plus de 4000 femmes utilisant un moyens de contraception, et
notamment la pilule. L’objectif était alors de les suivre sur une année pour observer leur évolution
de poids. A l’issue de cette année, 26% avaient pris du poids, 24% en fait perdu et 49% étaient
stables. Ainsi, le mythe s’effondre. Ce ne sont pas les hormones qui sont responsables d’une
potentielle prise de poids, mais certainement un changement dans les habitudes alimentaires,
avec une hausse due l’appétit.
De plus, il ne faut pas oublié qu’avant ces différents tests, plusieurs facteurs extérieurs sont
à prendre en considération pouvant modifier les résultats, et notamment celui de l’alimentation.

Si l’impact des hormones synthétiques de la pilule sur des facteurs liés à la performance
comme la respiration ou encore la force ne sont pas totalement fondés, nous allons voir ce qu’il en
ai des autres moyens de contraception hormonales.

c) Autres contraceptions hormonales : les même effets ?

Dans cette partie, nous allons aborder le restant des contraceptions hormonales autre que
la pilule. Une des plus utilisée dans le monde est le dispositif intra-utérin (DIU), libérant un
progestatif (lévonorgestrel). Tout comme la pilule, ils permettent de diminuer la durée des règles,
leurs volumes, ainsi que leurs effets secondaires tels que les douleurs liées. Autrement dit, les
même avantages.
Dans le même but et la même composition, l’implant contraceptif contient également un
progestatif. Le timbre contraceptif ressemble quand à lui davantage à la pilule combinée puisqu’il
diffuse également les 2 mêmes hormones : œstrogène et progestérone. Vous l’aurez
donc compris, toutes les contraceptions hormonales concentrent ces 2 hormones

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principales, ce qui signifie que les effets (positifs et négatifs) sont sensiblement les même.

Si les contraceptions hormonales apportent quelques effets sur l’état général de la femme,
qu’en ai t-il des contraceptions sans hormones ?

d) Contraceptions sans hormones : quels changements ?

Toujours dans l’optique du dispositif intra-utérin, existe également celui sans hormones, le
stérilet en cuire. En revanche, s’il parait plus « naturel », il contient fatalement moins d’effets
positifs, ces effets qui permettaient de réguler les variations hormonales grâce l’autre type de
stérilet. En effet, qu’il s’agisse des dysménorrhées, du syndrome prémenstruel, ou même des
douleurs présentes durant les menstruations, ce type de contraception n’aura aucun effet. Il
pourrait même aggraver le dysfonctionnement. Dans ce cas là, et valable pour toutes les autres
contraceptions sans hormones, il n’a pas d’impacts purement positifs ou négatifs. Il favorise ou
non un confort de vie, et diminue ou non les effets secondaires liés au cycle menstruel. La
contraception non hormonale ne provoque pas ou très peu d’effets néfastes sur la performance.
Nous avons donc clairement démontré que c’est en grande partie le cycle menstruel (et
non la contraception) qui est responsable d’impacts plutôt négatifs sur l’état général de la sportive,
et donc de ces performances. Nous allons tenter de diminuer ces effets par une méthode
naturelle : l’alimentation.

12
IV) Solutions par l’alimentation pour diminuer les effets du cycle

Comme développé auparavant, la phase lutéale constitue la période la plus difficile du


cycle menstruel (à échelle différente selon l’ensemble des femmes sportives ou non). En effet, lors
du syndrome prémenstruel, sil y a, l’alimentation doit être riche en certains nutriments clés pour
limiter au maximum les symptômes. Il en va de même pour les menstruations.
Voici ci-dessous un tableau récapitulant de manière claire et précise les différents aliments qui
sont à privilégier selon les symptômes :

Objectif Aliments
Privilégier :

Limiter les fringales et la sensation


- Céréales complètes (pates completes, riz, pain..)

de faim
- Légumineuses (pois chiches, haricots blancs…)
Privilégier les aliments riches en fer :

Eviter une carence en fer (due aux - Légumineuses

pertes abondantes de sang) - Viande rouge

- Les abats
Aliments riches en vitamine C :

- Persil

Favoriser l’absorption du fer


- Agrumes

- Légumes : Chou de Bruxelles, poivron rouge…


Aliments riche en magnésium :

- Sardines à l’huile

- Fruits oléagineux

Lutter contre la fatigue


- Fruits de mer

- Produits céréaliers

- Chocolat noir

Aliments riches en oméga 3 :


Limiter les douleurs liées à la - Poissons gras

dysménorrhée - Huiles végétales

- Graines de lin / chanvre

13
Favoriser une alimentation pauvre en sel (le sodium
retenant l’eau)

Eviter :

- sel de table

- charcuterie

Eviter la rétention d’eau


- plats industriels

- biscuits apéritifs

Privilégier les aliments riches en fibres :

- Légumes (petits poids, haricots verts, épinards…)

- Céréales complètes
Eviter la « mini dépréssion » durant S’autoriser quelques aliments plaisir :

la période de règles - Chocolat (noir de préférence)

De plus, j’ai découvert une application américaine permettant de guider les femmes tout au
long de leur cycle menstruel. En effet, elle explique tout d’abord les différentes phases du cycle.
Puis elle oriente notamment l’alimentation selon la phase dans laquelle vous vous trouvez, sur les
entrainements à effectuer, mais donne aussi des gestes simples et habitudes à prendre en
fonctions de nos besoins. Il s’agit de FitrWoman. Je l’ai moi même testé et je la trouve
interessante. Elle permet également d’avoir un regard extérieur sur soi même, de prendre du recul
et de mieux comprendre comment fonctionne notre corps.

14
Conclusion

Durant le cycle menstruel d’une femme, il y a très souvent des jours plus faciles que
d’autres, et c’est d’ailleurs tout ce qui fait la complexité du cycle en lui même. En effet, nous avons
remarqué que c’est davantage la fin du cycle (période prémenstruelle) ainsi que le début (periode
de mensurations) qui impacte principalement les capacités physiques et physiologiques de la
sportive. Fatigue, douleurs, humeur changeante, baisse de motivation… tant de facteurs qui sont
pourtant si différents selon les femmes. En outre, chacune à une réaction différente à son propre
cycle, avec plus ou moins d’effets secondaires. C’est la sévérité des symptômes qui impacte les
performances, plus que les changements physiologiques. Ces derniers ne sont pas assez
importants pour entrainer une quelconque contre-performance. Il en va de même pour la pilule, qui
a contrario a plus tendance à diminuer ces symptômes et donc à améliorer la qualité de vie des
sportives. Les moyens de contraception n’influencent ni la performance, ni la capacité à
s’entrainer. Mais une fois de plus, chaque sportive à une réaction différente, c’est pour cela que
l’on peut pas catégoriser le cycle menstruel et la contraception comme étant bénéfique ou nuisible
à la performance.

15
Résumé en anglais

During the menstrual cycle of a woman, there are often days easier than others, and that's
all the complexity of the cycle itself. Indeed, we noticed that it is more the end of the cycle
(premenstrual period) as well as the beginning (period of measurements) which mainly impacts the
physical and physiological capacities of the sportswoman. Fatigue, pain, changing mood,
decreased motivation ... so many factors that are so different according to women. In addition,
each has a different reaction to its own cycle, with more or less side effects. It is the severity of
symptoms that impacts performance, more than physiological changes. These are not important
enough to cause any counter-performance.
The same goes for the pill, which on the other hand is more likely to reduce these symptoms and
thus improve the quality of life of sportswomen. Contraceptive means do not influence performance
or the ability to train. But once again, each athlete has a different reaction, which is why we can not
categorize the menstrual cycle and contraception as beneficial or detrimental to performance.

16
Annexe
Annexe n°1

Schéma du cycle menstruel et hormones

https://www.aquaportail.com/definition-5801-hormone-luteinisante.html

Annexe n°2

Schéma bilan des modifications physiologiques pendant le cycle menstruel

17
Bibliographie - Webographie

https://medecine.univ-amu.fr/sites/medecine.univ-amu.fr/files/diplome/
2_2_courbiere_cyclemenstruel.pdf

—> diapo médecine sur le cycle menstruel

Consulté le 30 / 10 / 19

http://campus.cerimes.fr/maieutique/UE-gynecologie/vie_genitale/site/html/2.html

—> Site cours et campus gynécologie

Consulté le 30 / 10 / 19

http://thesesante.ups-tlse.fr/1037/1/2013TOU32105.pdf

—> thèse sur le cycle menstruel

Consulté le 30 / 10 / 19

http://www.cngof.fr/communiques-de-presse/103-le-cycle-menstruel

—> Cycle menstruel def

Consulté le 30 / 10 / 19

https://www.futura-sciences.com/sante/definitions/medecine-contraception-5241/

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—> Différents contraceptions

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—> Etude sur la prise de poids et les contraceptions

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http://www.cngof.fr/formations-hors-dpc/apercu?
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—> Développement de médecins sur la contraception

Consulté le 3 / 11 / 19

https://www.valdemarne.fr/newsletters/sport-sante-et-preparation-physique/influence-du-cycle-
menstruel-sur-la-pratique-des-activites-physiques-et-sportives

—> Site sportive de haut niveau et cycle + pleins d’études

18
Consulté le 3 / 11 / 19

https://www.franceolympique.com/files/File/actions/sante/documentation/2007/1127/
amenagementperformance.pdf

—> Site médecin de l’INSEP

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http://www.slate.fr/story/179679/prise-en-compte-cycles-menstruels-performance-sportive-
entrainement

—> étude d’une chercheuse américaine

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—> Etude sur la minéralisation osseuse et la contraception
Consulté le 4 / 11 / 19

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