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Sous - Épreuve : E. 41
SESSION 2015
Durée : 4 heures
Coefficient : 2
Dès que le sujet vous est remis, assurez-vous qu’il est complet.
Dimensionnement et
Code :
vérification d’ouvrages – E 41
Bâtiment Paramédical Présentation de l’ouvrage voir l'ensemble du dossier technique
Contenu du dossier DT1 à DT5
L’étude porte sur un bâtiment dédié à des activités de kinésithérapie, ostéopathie et balnéothérapie.
Page 1 : Présentation de l’ouvrage Il comprend un hall d'accueil, des bureaux, une grande salle de rééducation, des box destinés aux
soins de "kiné-ostéo", des vestiaires et une piscine.
Page 2 : Caractéristiques des matériaux utilisés sur l’ouvrage Le bâtiment est composé de quatre charpentes en bois LC (lamellé-collé), contreventées par un
et Charges surfaciques noyau central en béton armé (zone vestiaire).
Pages 3 à 6 : Travail demandé Des panneaux de façade, également en bois, forment une ossature qui participe au
contreventement longitudinal. En toiture, des "poutres au vent" (transversale et longitudinale)
Page 7 : DT 1 = Plan masse-toiture / Façades Nord et Est.
transmettent les efforts horizontaux aux murs de refend B.A., aux panneaux de façade et aux
Page 8 : DT 2 = Coupes transversales et longitudinales sur la "zone bassin" "palées de contreventement".
Page 9 : DT 3 = Plan de charpente, "zone bassin". La couverture, formée de "bacs-acier" est isolée thermiquement et étanchée par un "bi-couche
autoprotégé".
Page 10 : DT 4 = Structure bois, perspective, "zone bassin".
La partie centrale du bâtiment, "zone vestiaire", comporte deux niveaux. Les porteurs verticaux sont
Page 11 : DT 5 = Plan de coffrage du plancher haut niveau "REZ" (RDC) constitués de murs et de poteaux en B.A. Le premier plancher est un dallage. Les dalles hautes, de
+ Coupes CC et EE 25cm d'épaisseur sont coulées sur des prédalles en béton précontraint de 6 cm d'épaisseur. Le
plancher haut du niveau+1 est une toiture terrasse inaccessible.
Pages 12 à 16 : F1 à 10 = Extraits du "formulaire RDM / Eurocodes".
Les fondations sont constituées de semelles filantes sous les murs B.A. et de massifs isolés sous
les poteaux, reliés en façade par des longrines. Les panneaux bois reposent sur un soubassement
B.A. ou sur les longrines.
Des tirants antisismiques relient les semelles isolées des poteaux intérieurs. Les longrines, ou le
dallage quand il n'y a pas de poteau intérieur, jouent ce rôle en périphérie.
La "zone bassin" comprend un niveau de sous-sol pour loger les locaux techniques de la piscine.
Barème
page1/16
CARACTÉRISTIQUES DES MATÉRIAUX UTILISÉS SUR L’OUVRAGE : CHARGES SURFACIQUES :
Page 2/16
Q3. Démontrer que la structure est isostatique.
TRAVAIL DEMANDE
Q4. Justifier la valeur de 2,9 kN/m (pondérée à l’E.L.U.) prise comme charge de vent.
ÉTUDE A - Vérification du contreventement.
Q5. Calculer l'effort dû au vent dans les deux butons.
Dans la "zone bassin" (DT1, DT2), les efforts horizontaux exercés sur la structure bois (voir le
plan de charpente DT3, DT4), dans le sens transversal (direction des "files A", "B","C",...), sont L'effort sismique maxi (pondéré) appliqué par ailleurs aux butons est N , = 23,5kN
transmis par l'intermédiaire d’une "poutre-au-vent" longitudinale, d‘un côté (file A) au refend BA La résistance de calcul, prenant en compte la sensibilité au flambement du buton (barre "B1-B2")
de la zone "vestiaire" et de l’autre (file G) à la "palée de stabilité" (croix de contreventement, dite
ayant la plus faible capacité portante, est " . , , " = 17MPa
"croix de St André").
La pression du vent est appliquée sur les panneaux de façade qui prennent appui, en pied sur le
soubassement en béton et en tête sur les pannes de rives (file 1). Ces dernières s'appuient, Q6. Vérifier la résistance des butons sous l'effort sismique maxi , .
selon les files, sur des "butons" (exemple : file B) ou des "arbalétriers" (exemple : file C) qui
transmettent les efforts à la "poutre-au-vent " longitudinale. Q7. Justifier, sans calcul, la différence de capacité portante des deux butons alors qu'ils
La pente de 3% de la toiture est négligée. ont la même section "140x140".
Vous êtes chargé(e) de vérifier la stabilité d'éléments, ainsi que la résistance et la déformation
de la "palée de stabilité". Q8. Peut-on, sans avoir à reprendre le calcul de la capacité portante, remplacer la
section carrée des butons "140x140 mm²", par une section rectangulaire d'aire
Q1. Par quels éléments, les charges de vent passent-elles du panneau de façade à la équivalente "100x196 mm²" ? Justifier.
croix de contreventement ?
Soit, ci-dessous, le schéma mécanique modélisant :
Soit, ci-dessous, le schéma mécanique modélisant la structure sur la "file C", la structure simplifiée de la "poutre-au-vent". Les appuis "A3" et "A4", sur le refend B.A. de
SANS la "poutre au vent": la file "A", ont été négligés. La structure est alors "isostatique extérieurement" (l'articulation
en A5 et l'appui simple en G5 stabilisent la "poutre-au-vent").
les charges "au vent" (non pondérées) exercées sur la façade nord ("file 1") et transmises
par les butons ou les arbalétriers selon les files.
Q2. Démontrer que cette structure est "hypostatique" (instable). Préciser le nombre de
degré(s) de liberté que doit bloquer la "poutre au vent" pour la rendre isostatique.
Page 3/16
Soit, ci-dessous, le schéma mécanique modélisant : Q11. Calculer , le déplacement horizontal du point "G5" sous l'action du vent
La structure de la « file G ». "Rvent" et vérifier qu'il ne dépasse pas H/500, la valeur limite selon l'E.C.5.
La barre comprimée de la "croix de St André" n'est pas prise en compte
L’effort "R" transmis par la "poutre-au-vent" qui représente, selon le cas étudié :
Nota: Le "théorème de Bertrand de Fonviolant" (Formulaire F1 page12),
L'effort de vent combinant les effets "au vent" sur la façade nord ("file 1") et "sous le vent"
doit être appliqué ici au cas des "poutres bi-articulées".
sur une partie de la façade sud ("file 7"): Rvent = 22,5 kN (non pondéré)
L'effort sismique: Rsis = 72 kN (pondéré)
Q12. Vérifier, selon l'EC3, la résistance de la section (Φ 30mm en acier S275) de la barre
de contreventement quand la structure est soumise à l'effort sismique "Rsis".
Les résultats de l'étude des sollicitations (efforts normaux et moments "fléchissant"), dans les
différentes barres de cette structure sont donnés ci-dessous.
Les valeurs sont exprimées en fonction de l'effort "R" appliqué en G5.
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Le cas de charges à prendre en compte pour la vérification de la "panne 3" à l'E.L.U. de
ÉTUDE B - Vérification de la "panne 3", E.L.S. de déformation et E.L.U. de résistance.
résistance est défini ci-dessous.
La couverture de la "zone bassin" est constituée de "bacs acier" appuyés sur des pannes en bois
lamellé collé. Ils sont recouverts d'un isolant thermique et d'une étanchéité de type "bicouche".
La présence des butons à mi-portée empêche la panne de déverser.
Vous êtes chargé(e) de vérifier la "panne 3" (DT3: la panne est sur la file 3, entre les files A et C).
Q13. Déterminer les charges linéaires (en kN/m), permanente "g" et de neige "s",
Cas des sections rectangulaires:
appliquées à la "panne 3".
- Contraintes tangentielles
nota: - Pour cette question, on considère un appui "isostatique" des bacs sur les pannes.
- On ne tiendra pas compte de la présence de la « poutre au vent ». 1,5.
.
- Contraintes normales
, = = .
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Le moment sur l'appui intermédiaire "P2" a été déterminé en appliquant "l'équation des
ÉTUDE C - Contrôle des aciers longitudinaux - poutre S4-S5 (plancher haut RDC) 3 moments " à ce schéma mécanique: Mp2 = -125 m.kN
(DT5) Vous êtes chargé(e) de vérifier : Q19. Calculer la valeur du moment maximum en "travée S5" et comparer avec la valeur de
- le moment maxi en travée "S5" la courbe enveloppe. Conclure sur l'influence des charges amenées par les pannes.
- la section d'aciers longitudinaux réelle proposée pour la "travée S4"
Cette poutre est située dans la zone "piscine", ce qui l'expose à un taux d'humidité
relative "moyen à élevé".
La classe d'exposition est alors XC3, ce qui porte l'enrobage à 35mm.
En prenant en compte la proposition de 6HA14, l'enrobage de 35mm et un HA8 pour
les cadres, la hauteur utile réelle est estimée à "dréel" = 343mm.
Q20. Comparer la valeur de "dréel" à la valeur "d= 0,9h" et expliquer pourquoi le calcul
de la section d'aciers longitudinaux doit être repris.
On souhaite vérifier rapidement l'ordre de grandeur du moment maxi en "travée S5" (63,2mkN).
Pour cela on adopte un schéma mécanique simplifié (ci-dessous) qui néglige les charges
amenées par les "pannes 2&3" dans la "travée S4". Ci-dessous le détail du calcul initial de la section d'aciers avec l'hypothèse "d = 0,9h".
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30
44 3
3 02 2
20 508.51
14
507.76 3 42 3107
30 3 23
22 30 5
6 21
42 8
3
30
507.88
2
507.76
19
507.82
507.81
507.79
44
3
30
23
6
30
23
30 8
23 +508.00
7 508.43
1.87
507.75
+507.97
17 Clou
30
00
1
1.00
507.91
+507.55
2.22
507.24 507.66
+507.52
506.88
1.00
+507.11
9.50
9.45
Nord
PLAN MASSE - TOITURE Ouest
EP
30
55
GRAVIERS
Est
Sud
507.00
ZONE "VESTIAIRE"
ZONE "BASSIN"
EP
EP
GRAVIERS
19.21 m²
T=505.58
Fe=502.14
EP
+506.80
EP
SORTIE
SECOURS
EP
''MAGNOLIA'' 4.12
10.25
ARBRES
504.89
EP
1.40
10
BORDURES BETON
3.60
504.66
504.81
10
1PEø63
1.92
5ø42.3/50
504.62
+504.70 +504.81
+504.62
505.00
+6.00
+5.05
+3.66
±0.00 ±0.00
ECHELLE METALLIQUE
+511.80 +6.00
FACADE NORD
+510.85 +5.05
+2.95
+503.08 -2.72
page 7/16
+5.95 5
isolation
+5.05
+5.05
30
+4.87 5
15
2
5 20
36 27
1.40
32 18 15
pente 3%
15
soufflage
2
36
26 20
1
1.16
3.40
32
2.69
65
encadrement médium
3.35 35 14.15 50
3.50
33 3.60 10 1.40 10 3.41 17 1.81 53 10.00 53 1.63 50
3.00
2.10
2.93
507.00
2.67
506.92
2.50
2.35
2.35
20
pare vapeur
506.50
isolant thermo acoustique hydrophobe 20
habillage médium 2 5 6
1.35
niv haut de pente
NGF 505.80 ±0.00
40
16
2
37
37
20
1.28
1.00 20 1.44 20 73 10.00 73 20 1.30
50
position réservation
PISCINE
courette anglaise
2.35
2.35
1.66
COUPE TRANSVERSALE "BASSIN"
-2.72
drain
gravillons
étanchéité
isolant
pare vapeur
+5.95 5 dalle béton
5 20
12
20
+5.05 5
20
49
2.44
+2.95 LOCAL TECHNIQUE
40 20
38
faux plafond
90
parois raico
platelage bois hydrofuge
3.00
lame 100mm espace de 20mm
2.95
cloison carreau brique
2.37
2.35
2.10
DOUCHES
53
±0.00 ±0.00 ±0.00 VESTIAIRES
6
drain
ret: 0
SP
trou 250x80
sous dalle
ret: 0
trou 200x80
sous dalle
SP
trou 150x50
Ai: 100 sous dalle
plancher bois
ai: +2.700
page 11/16
7KpRUqPH GH 0XOOHU%UHVODX DXWUH IRUPH GX WKpRUqPH GH &DVWLJOLDQR RX WKpRUqPH GH
( M i + 3 M 'i )
LM i M j
LM i M j
LM i M j ×
LM i M j
LM i M j
%HUWUDQGGH)RQYLRODQW
§ 3 x x' 2 ·
+ 2 ¸
© L L ¹
LM j ×
L
M×Mj
Δj = ³
Mj
dx
48
12
12
12
7
1
1
1
4
1
3
1
EI
¨
structure
I 0RPHQWTXDGUDWLTXH
( 3 M i + M 'i )
L
LM i M j
LM i M j
Δ j 'pSODFHPHQWDXSRLQWM
LM i M j ×
LM i M j
LM i M j
§ 3 x' x 2 ·
+ 2¸
© L L ¹
LM j ×
M 0RPHQWGHIOH[LRQGDQVODVWUXFWXUHpWXGLpH S ( )
( ) ( ) VRXPLVHjXQIDFWHXUVROOLFLWDQW
Mj
48
12
12
12
7
1
1
1
4
1
3
1
M j 0RPHQWGHIOH[LRQGDQV S j TXLFRUUHVSRQGjODVWUXFWXUHLQLWLDOH S
¨
XQLWpIRUFHXQLWpRXFRXSOHXQLWp DSSOLTXpDXSRLQWM
( 5M i + 3M'i ) ( 3M i + 5M'i )
'DQVOHFDVGHVWUXFWXUHVFRPSRVpHVGHSRXWUHVHWGHEDUUHVELDUWLFXOpHV
§ 3x x2 ·
− ¸
L L2 ¹
LM i M j
LM i M j
LM i M j ×
LM i M j
LM i M j
M×Mj N×N j
LM j ×
L
Δj = ³ EI
dx + ¦ EA
L
Mj
poutres bi − articulées
¨3 +
structure
48
17
12
12
12
5
1
2
3
4
1
©
7KpRUqPHGH3DVWHUQDN
§ 3 x' x' 2 ·
− 2 ¸
L ¹
LM i M j
LM i M j
LM i M j ×
LM i M j
LM i M j
L
3RXU GpWHUPLQHU OH GpSODFHPHQW HQ XQ SRLQW J G¶XQH VWUXFWXUH K\SHUVWDWLTXH VXLYDQW XQH GLUHFWLRQ GRQQpH RQ
LM j ×
DSSOLTXH HQ FH SRLQW J GDQV XQH GH VHV VWUXFWXUHV DVVRFLpHV LVRVWDWLTXHV VWUXFWXUH YLUWXHOOH VXLYDQW OD GLUHFWLRQ
L
VRXKDLWpHXQHFKDUJHXQLWp
¨3+
Mj
48
17
12
12
12
5
1
2
3
4
1
©
y Structure réelle ( S )
LM j ( M i + M' i )
LM i M j ¨ 1 + 2 ¸
xx' ·
L ¹
LM i M j
LM i M j
LM i M j
LM i M j
Moments de flexion
L
M (x )
§
©
Mj
12
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1
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x
¸
¹
J
x' · º
« M j ¨1 + L ¸ + »
¹ »
x· »
« M' j ¨ 1 + ¸ »
L¹ ¼
LM i 2 M j + M' j
LM i M j + 2 M' j
LM i M j + M ' j
M' j
)
)
) LM i M j + M' j
mi ( x ) × m j ( x ) × dx
Structure
L
y
isostatique associée
§
©
ª §
L ¹ 1 LM « ©
(virtuelle)
(S )
(
1
(
«
¬
0
i
J
Mj
L¨
©
Moments de flexion
2
1
4
1
6
1
6
1
6
6
1
M J0 ( x )
x J
LM j ( M i + M' i ) LM j (2 M i + M' i )
LMi M j ¨1 + ¸
§ x' ·
L
M ( x ) × M 0j ( x )
LM i M j
LM i M j
LM i M j
LM i M j
³
Δj = ³
©
dx
structure
EI
M ( x ) : représente le moment fléchissant dans la structure réelle.
Mj
7DEOHDXGHVLQWpJUDOHVGH02+5
4
2
1
1
3
1
1
1
6
1
6
M 0j
: représente le moment fléchissant dans la structure isostatique associée soumise à
un facteur sollicitant unité ( = 1) appliqué au point J.
LM i M j
LM i M j
LM i M j
LM i M j
LM i M j
'DQVOHFDVGHVWUXFWXUHVFRPSRVpHVGHSRXWUHVHWGHEDUUHVELDUWLFXOpHV
0
M × M 0j N×N j
Δj = ³ dx + ¦ L m j (x ) M j
2
2
2
1
1
1
2
1
EI EA
structure poutres bi − articulées
M'i
L
L
L
x'
L
L/ 2
mi (x )
Mi
Mi
Mi
Mi
Mi
Mi
FORMULAIRE F1 FORMULAIRE F2 page 12/16
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5pVLVWDQFHGHVVHFWLRQVWUDQVYHUVDOHV7(1'8(6 &20%,1$,6216)21'$0(17$/(6
&DUDFWpULVWLTXHVJpRPpWULTXHVGHVVHFWLRQVWUDQVYHUVDOHV
eWDWVOLPLWHVXOWLPHVSRXUOHVVLWXDWLRQVGHSURMHWGXUDEOHVHWWUDQVLWRLUHV
Aire brute ( A) /RUVTXHODSUpFRQWUDLQWHHVWDEVHQWH^`VHUpGXLWj
(OOHHVWFDOFXOpHHQXWLOLVDQWOHVGLPHQVLRQVQRPLQDOHVVDQVGpGXLUHOHVWURXVSUDWLTXpVSRXUOHVIL[DWLRQVPDLVLOIDXWWHQLU
FRPSWHGHVRXYHUWXUHVSOXVLPSRUWDQWHV ¦J j
G,j Gk , j J Q ,1Qk ,1 ¦ J Q ,i \ 0 ,iQk ,i ^`
i !1
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9pULILFDWLRQ VLPSOLILpH GHV FRQWUDLQWHV QRUPDOHV VHORQ O¶ (XURFRGH 1) (1 OLPLWpH j OD
EXTRAIT de l'Eurocode NF EN 1995- BOIS / E.C.5 IOH[LRQVLPSOH
V m ,d
7DEOHDXGHVFDUDFWpULVWLTXHVPpFDQLTXHVHWSK\VLTXHVGXERLV/DPHOOpFROOp
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/DPHOOpFROOpKRPRJqQH /DPHOOpFROOpFRPELQp
&DUDFWpULVWLTXHV 6\PEROH */K */K */K */K */F */F */F */F f m ,k
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m ,k
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YROXPLTXHFDUDFWpULVWLTXH U mean
Umean 1,15U g ,k
k h FRHIILFLHQWPRGLILFDWLIWHQDQWFRPSWHGHODKDXWHXUGHODSRXWUH
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7DX[G¶KXPLGLWpGXERLV+!
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FORMULAIRE F5 FORMULAIRE F6
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GXUpHGHFKDUJH GHODGXUpHFXPXOpHGH ([HPSOHG¶DFWLRQ 1RWDWLRQVHWGpILQLWLRQV
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3HUPDQHQWH !DQV 3RLGVSURSUH
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/RQJWHUPH VL[PRLVjDQV 6WRFNDJHpTXLSHPHQWVIL[HV
&KDUJHVG¶H[SORLWDWLRQ x /DIOqFKHGLIIpUpHIOXDJH v FUHHS XQLTXHPHQWVRXVFKDUJHVSHUPDQHQWHVRXTXDVLSHUPDQHQWHV
XQHVHPDLQHjVL[PRLV &KDUJHG¶HQWUHWLHQ x /DIOqFKHILQDOH v ILQ vLQVW v FUHHS
0R\HQWHUPH 1HLJHDOWLWXGH+ t P
1HLJHDOWLWXGH+P x /DIOqFKHUpVXOWDQWHILQDOH vQHWILQ v ILQ vF vLQVW vFUHHS vF
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9HQW
,QVWDQWDQpH 6LWXDWLRQVHWDFWLRQVDFFLGHQWHOOHVQHLJHH[FHSWLRQQHOOH«
9DOHXUGXFRHIILFLHQW k mod vF
0DWpULDX
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3HUPDQHQWH v FUHHS v net , fin v fin
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0R\HQWHUPH
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v inst ( Q )
,QVWDQWDQpH
1RWD ORUVTXH GDQV XQH FRPELQDLVRQ RQ D GHV FKDUJHV GH GXUpH YDULDEOH RQ SUHQG OH k mod GH OD SOXV IDLEOH
GXUpH
"
IOqFKHLQVWDQWDQpH
IOqFKHLQVWDQWDQpHGXHDX[FKDUJHVSHUPDQHQWHV v inst ( g )
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0$7(5,$8; Q UHSUpVHQWHVRLWOHVFKDUJHVYDULDEOHVG¶H[SORLWDWLRQTVRLWOHVFKDUJHVYDULDEOHVGHQHLJHVVRLWOHVFKDUJHVYDULDEOHV
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h kh %0 ERLVPDVVLI k h /& ODPHOOpFROOp
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VL h d 150 mm kh >
min 1,3; 150 / h
0 ,2
@ VL h d 600 mm kh >
min 1,1; 600 / h
0 ,1
@
/DGpIRUPDWLRQGXERLVVRXVO¶HIIHWGHVFKDUJHVSHUPDQHQWHVV¶DFFURvWDYHFOHWHPSVF¶HVWOHSKpQRPqQHGH
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150 145 140 135 130 125 120 115 110 105 100 95 SHUPDQHQWHVGHODPDQLqUHVXLYDQWH
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$FWLRQVTXDVLSHUPDQHQWHV SDUWLHGHT \ 2 u q RXSDUWLHGHV \ 2 u s VLDOWLWXGH!P
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90 85 80 75 70 65 60 55 50 45 40 35
kh
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600 à 575 570 à 520 515 à 470 465 à 430 425 à 390 385 à 355 350 à 320 315 à 300
kh
IOqFKHVILQDOHV
/ E.C2
IOqFKHILQDOHGXHDX[FKDUJHVSHUPDQHQWHVSUHQDQWHQFRPSWHOHIOXDJHHWO¶KXPLGLWp 2UJDQLJUDPPH GH FDOFXO GHV DUPDWXUHV ORQJLWXGLQDOHV HQ IOH[LRQ VLPSOH VHFWLRQ
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IOqFKHILQDOHGXHDX[FKDUJHVYDULDEOHVSUHQDQWHQFRPSWHOHIOXDJHHWO¶KXPLGLWp d d 0 ,9h
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v ILQ Q vLQVW Q vFUHHS Q
VRLW v ILQ Q vLQVW Q u 1 \ 2 kdef (QYLURQQHPHQW&ODVVHG¶H[SRVLWLRQ X ..
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IOqFKHILQDOHGXHDX[FKDUJHVYDULDEOHVGHQHLJHSUHQDQWHQFRPSWHOHIOXDJHHWO¶KXPLGLWp
max ^cmin,b ; cmin,dur ;10mm `
bw h
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EpWRQ C .. / .. f ck
VLO¶DOWLWXGHGHODFRQVWUXFWLRQHVWVXSpULHXUHjP v fin s v inst s u ( 1 0 ,2kdef )
(QUREDJHQRPLQDO cnom cmin 'cdev
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IOqFKHILQDOHGXHDX[FKDUJHVYDULDEOHVG¶H[SORLWDWLRQSUHQDQWHQFRPSWHOHIOXDJHHWO¶KXPLGLWp
GLDJUDPPHpODVWRSODVWLTXHSDUIDLW
v fin q v inst q u ( 1 \ 2 kdef ) Pu
Mu
f yk 500
OHVYDOHXUVGH\ 2 VRQWGRQQpHVGDQVOHWDEOHDX$)GXSDUDJUDSKH f yd 435 MPa bw d 2 f cd
IOqFKHILQDOHGXHDX[FKDUJHVYDULDEOHVGHYHQW JS 1,15
v fin w v inst w
pu 1,35 g 1,5q kN / m
2XL
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121
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0$7(5,$8 VRQWFRQVHLOOpHVFDUOHVDFLHUV
%RLV0DVVLI
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9.2.1.2 (3)
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9DOHXUV OLPLWHV SRXU OHV IOqFKHV YHUWLFDOHV RX s d 15I f yd
KRUL]RQWDOHV %kWLPHQWVFRXUDQWV
v inst Q v net , fin v fin Mu
7\SHG¶RXYUDJH As1
zu f yd
&KHYURQV " "
eOpPHQWVVWUXFWXUDX[ " " " As1 f cd
As1 U s1 0 ,8D u
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bw d
" SRUWpHGHODSRXWUHRXODKDXWHXUGHO¶pOpPHQWpWXGLpSRXUODIOqFKHKRUL]RQWDOH
x 3RXUOHVSRXWUHVHQSRUWHjIDX[ODORQJXHXUILFWLYH " jFRQVLGpUHUHVWpJDOHjGHX[IRLVODORQJXHXUUpHOOHGXSRUWHj
IDX[ODYDOHXUOLPLWHPLQLPXPHVWGHPP
x 3DQQHDX[GHSODQFKHUVRXVXSSRUWVGHWRLWXUH v net , fin d " / 250 6HFWLRQVPLQLPDOHHWPD[LPDOHG¶DUPDWXUHVORQJLWXGLQDOHVWHQGXHV&ODXVH
ª f º
x 'DQV OH FDV G¶pOpPHQWV VDQV FRQWUHIOqFKH OD YpULILFDWLRQ UHODWLYH j v net , fin HVW SOXV GpIDYRUDEOH TXH FHOOH As1 ! As ,min max «0 , 26 ctm bt d ; 0 , 0013 bt d » FRQGLWLRQGHQRQIUDJLOLWp
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DSSOLFDWLRQVOHVYDOHXUVOLPLWHVVRQWFHOOHVGRQQpHVGDQVOHWDEOHDXGHO¶(&
bt ODYDOHXUPR\HQQHGHODODUJHXUWHQGXHSRXUXQHVHFWLRQUHFWDQJXODLUHHWXQHVHFWLRQHQ7p bt bw
( 1 1 2P u )
eTXDWLRQDOWHUQDWLYHGXEUDVGHOHYLHU zu d 1 0 , 4D u d
2
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U s1
0LQ QRUPDO IRUWHPHQWIHUUDLOOpLQWHUGLW