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CHAPITRE I : CARACTERISATION DES REJETS D'USINE

1. Introduction

Le but de l'exploitation minière est de satisfaire à la demande de ressources en métaux et minéraux afin
développer entre autres, les infrastructures et d'améliorer la qualité de vie d’population, étant donné
que les substances extraites constituent bien souvent les matières premières destinées à la fabrication
de nombreux biens et matériaux.

Il s'agit par exemple de minéraux métallifères ou de métaux, de charbon, de minéraux industriels


employés dans le secteur chimique ou dans la construction, etc.

Les produits de l'industrie minière sont parfois utilisés directement mais ils sont souvent raffinés, par
exemple dans les fonderies.

Dans toute activité minière, les étapes types du processus comprennent :

• L'extraction
• Le traitement
• L'expédition
• La gestion des résidus

2. Traitement des eaux usées :

Il existe plusieurs modes de traitement reconnus pour neutraliser le DMA faisant en sorte qu'on puisse
déverser dans l'environnement un effluent non toxique et respectant les normes.

La neutralisation chimique, le traitement biologique, la distillation, l'extraction par solvant et l'extraction


par électrolyse, constituent quelques-unes des méthodes de traitement disponible. De toutes ces
méthodes, la neutralisation chimique demeure encore aujourd'hui la plus courante pour les problèmes
de DNA.

2.1. CAPTAGE DES EAUX OU ECHANTILLONNAGE :

Les eaux contaminées par les DMA ne devraient pas entrer en contact avec les eaux propres de surfaces
ou souterraines. De plus, il est avantageux de réduire la quantité d'eaux qui entre en contact avec les
matériaux générateurs d'acide, en étanchant les ouvertures ou les surfaces exposées, en choisissant un
site qui minimise le ruissellement des zones adjacentes, en interceptant les eaux souterraines (par
injection ou pompage), ou en construisant des ouvrages de dérivation ou de détournement (fossés,
tranchées, levers).

2.2. TRAITEMENT CHIMIQUE

La neutralisation à la chaux est la méthode usuelle adoptée par l'industrie ; puisque cette méthode est
efficace, fiable et habituellement moins dispendieuse que les autres méthodes de traitements. Cette
méthode vise à rehausser le pH, ce qui réduit la solubilité de plusieurs éléments en solution comme les
métaux lourds et provoque leur précipitation. On a proposé de récupérer les métaux en solution mais,
les études montrent que les coûts d'une telle opération sont si élevés qu'il est moins dispendieux de
faire précipiter les métaux et de rejeter les boues de traitement ainsi produites. De même, il n'est pas
économiquement rentable de récupérer les métaux à partir des boues formées par la neutralisation
chimique, puisque le contenu en métaux récupérable est généralement faible en comparaison du
contenu en eau, en gypse et en hydroxyde de fer.

En premier lieu les étapes communes aux divers procédés de traitement chimique, de Neutralisation des
eaux acides :

• La préparation du lait de chaux


• La mise en contact du DXA (Eau-acide) pour amener l'eau à un pH très déterminé
• L’oxydation du fer ferreux (Fe) en fer ferrique (Fe)
• La formation et la floculation des précipités et enfin
• La séparation des solides

Etapes Générales de Traitement des Eaux

Solide-liquide

Eaux acides

Séparation

Augmentation de pH et précipitation des métaux

Boues

Effluent propre

2.2.1. Neutralisation de l'eau et précipitation des métaux

Afin de neutraliser le DNA, on doit se servir d'un agent alcalin propice à une réaction rapide, la chaux
hydratée (Ca(OH)2), la chaux vive (CaO), le carbonate de sodium (Na2CO3), hydroxyde de sodium (NaOH)
sont les choix les plus communs.

2.2.2. Oxydation de fer ferreux

L'oxydation du fer ferreux a habituellement eu lieu dans le réacteur de neutralisation qui fait suite au
réacteur de mélange. L'air est utilisé afin que l'oxygène puisse réagir avec le fer ferreux en solution ou
sous forme d'hydroxyde ferreux pour l'oxyder en hydroxyde ferrique beaucoup plus stable.

2.2,3. Formation du gypse

Le sulfate (SO-2) en concentration élevée dans le DNA peut réagir avec le calcium (Ca +2) et de la chaux
pour former du gypse. Il est commun d'avoir des concentrations de 1% dans les boues de ĐNA. On
reconnait le gypse au fait qu'il engendre des précipités en forme d'aiguilles ou de bâtonnets visibles au
microscope électronique. Ces précipitées peuvent continuer à augmenter la viscosité de la boue, ce qui
cause parfois des problèmes lors du pompage.

2.2.4. Floculation des précipités

Les particules d'hydroxyde de métaux sont très petites de sorte qu'elles ne précipitent pas aisément. Le
temps de sédimentation requis peut être long. On ajoute souvent un floculant afin d'agglomérer les
particules de précipités (quelque fois appelé Flocs) et ainsi faciliter la sédimentation et la séparation
solide-liquide dans l'usine de traitement de l'eau. Sans les floculants, il peut être difficile de respecter les
normes en vigueur puisqu'il ne suffit que d'une faible quantité de solides en suspension dans l'effluent
pour engendrer une concentration importante en métaux.

2.2.5. Séparation Solide-liquide

Selon la méthode de traitement utilisée, la séparation solide-liquide peut se faire dans un bassin de
sédimentation, dans un clarificateur traditionnel ou dans un planificateur à lamelles.

CHAPITREI : ENTREPOSAGE DES REJETS

1. Gestion des résidus et stériles

La gestion des déchets provenant d'activités minières et des stériles représentent habituellement une
charge financière indésirable pour les exploitants. L'exploitation des mines et les traitements des
minéraux engendrent toute fois la production de divers types de rejets qui doivent être gérés de façon
rationnelle et sécuritaire afin de protéger l'environnement.

A cet égard, on doit prêter une grande attention à la stabilité géotechnique des ouvrages et installations
de surface construit pour l'entreposage et le confinement des rejets solides et liquides.

Les possibilités de gestion des résidus et stériles sont nombreuses ; les méthodes les plus courantes sont
les suivantes :

• Rejet des boues dans des bassins


• Remblayage de mines souterraines ou à ciel ouvert ou construction avec des digues de retenu
• Déchargement des résidus ou stériles plus ou moins secs sur des terrils ou à flancs de collines
• Emploi des résidus ou stériles comme matériaux destinés à l'aménagement des sols. Exemple :
agrégat en de restauration.
• Stockage à sec des résidus épaissis
• Rejet des résidus dans les eaux de surface, par exemple : mers, lacs, rivières ou eaux
souterraines

Les installations de gestion des résidus et stériles sont de taille très variable ; Cela va de bassins de la
grandeur d'une piscine à des lacs de plus de 1000 hectares en passant par des terrils de plus de 200m de
haut. Le choix de la méthode de gestion des résidus et des stériles à appliquer dépend principalement
d'une évaluation de trois (3) facteurs :

• Risque d'accident
• Le coût
• La performance environnementale

Les principales répercussions environnementales des installations de gestion des résidus et des stériles
comprennent les incidences liées à l'emplacement du site et à l'occupation des sols correspondants ainsi
que les éventuelles émissions d'effluents et de poussières durant l'exploitation ou la phase d'entretien
après fermeture.
En outre, la rupture ou l'effondrement de ces ouvrages peut occasionner de graves dommages
environnementaux, voire des pertes en vies humaines.

La buse d'une gestion réussie des résidus et des stériles est une caractérisation correcte de teriaux y
compris, une prévision exacte de leur comportement à long terme, est un choix judicieux de
l'emplacement du site. Les principales caractéristiques des matériaux que l'on trouve dans les
installations de gestions des résidus et des stériles sont les suivantes :

• Distribution granulométrique
• Densité
• Plasticité
• Teneur en humidité
• Perméabilité
• Porosité

Les digues de retenu sont des structures de surface dans lesquelles sont gérées les boues. Ce type
d'installation de gestion des résidus (IGR) est généralement utilisé pour les résidus et suivit d'un
traitement par voie humide. Pour chaque bassin de résidu, plusieurs activités doivent être envisagées :

• Installation de digues de retenu


• La mise en place de système de dérivation pour les eaux de ruissellement naturel autour et au
travers de la digue
• Transport des résidus de l'usine de traitement du minerai à la digue
• Dépôt des résidus à l'intérieur de la digue
• Elimination de l'eau gravitaire en excès
• Protection de la zone avoisinante contre les incidences sur l'environnement
• Instrument et système de surveillance permettant l'inspection de la digue
• Aspect à long terme (fermeture et entretien après fermeture).

a) Emissions

L'émission des effluents et la poussière émanant des installations de gestion des résidus et des Stériles
(IGRS) qui font l'objet d'un contrôle, peuvent s'avérer toxique à divers degrés pour l’homme, les
animaux et les plantes. Les effluents peuvent être acides ou alcalins et contenir des métaux dissouts et
des composants organiques complexes solubles et insolubles, entrainés lors du traitement du minerai.

Les substances que contiennent les émissions, leur pH, leur teneur en oxygène dissout, leur température
et leur dureté peuvent tous être des aspects déterminant dans la toxicité des émissions pour
l'environnement récepteur.

Les principales origines de ce problème environnemental sont les suivantes :

• La présente fréquente de sulfure métallique dans les résidus et les stériles


• L'oxydation des sulfures lorsqu'ils sont exposés à l'oxygéné et à l'eau
• La formation d'un lixiviat acide chargé en métaux par oxydation des sulfures
• La formation de ce lixiviat durant de longues périodes - Le manque de minéraux capables de
neutraliser l'acidité
b) Rupture et effondrement accidentels des IGRS

L’effondrement de tout type de IGRS peut avoir des incidences à court et à long terme. Les
conséquences types à court sont notamment les suivantes :

• Intoxication ou contamination
• La mise en service de cette infrastructure
• Ecrasement et destruction
• Enfouissement et étouffement
• Inondation

Les Conséquences à long terme sont :

• Accumulation de métaux dans les plantes et chez les animaux


• Contamination du sol
• Les pertes en vies humaines et animales

2. Listes de quelques exemples des aspects les plus importants de la gestion de résidus

Les résidus appelés « boues rouges » du raffinage de l'alumine ont un pH élevé, sont soit stockées dans
des systèmes de bassins et de digues traditionnelles, soit épaissies jusqu'à ce qu'on puisse les stocker à
sec, soit déversées dans la mer.

Les résidus issus de l'exploitation des métaux communs sont la plupart du temps gérés comme des
boues dans de grands bassins. Les minerais de métaux communs renferment souvent des sulfures en
quantité supérieure aux minéraux neutralisant contenus dans ces minerais, leurs résidus risquent
d'entraîner un drainage acide. Dans une exploitation des métaux communs, les résidus sont stockés sous
eaux afin d'empêcher ce drainage dès ce départ. Dans d'autres, une partie des résidus est stocké dans le
sol ; dans plusieurs cas, la méthode de fermeture choisie pour le bassin de résidu est la technique de la
couverture unique tandis que des couvertures sèches sont appliquées dans d'autres cas.

Les résidus grossiers provenant de l'exploitation du minerai de fer sont mis en terril, les boues sont
gérées dans des bassins.

Certaines mines d'or Européennes présentent un potentiel de DMA net lorsque l'or est extrait par
lessivage au cyanure, ce dernier est détruit avant rejet dans le bassin de résidus.

Pour ce qui est des minéraux industriels, plusieurs sites ne produisent aucun résidu où vendent les
résidus comme agrégat (calcaire, granite, feldspath, gravier, quartz...).

Dans les exploitations de Borate, les résidus grossiers sont d'abord stockés sur des terrils puis utilisés
comme remblaie.

Une Exploitation de fluorine rejette ses résidus en mer

Une mine de kaolin déshydrate ses fines avant de les déverser sur des terrils. Certaines exploitations de
calcaire et carbonate de calcium procèdent de la même façon.

Une exploitation de calcaire rejette ses boues dans une ancienne carrière.
Les mines de potasse stockent leurs résidus solides sur des terrils ou s'en servent comme remblaie : une
partie des résidus liquides qui est déversée dans des puits profond et un autre parti est rejetée dans les
eaux de surface.

Les houillères évacuent généralement leurs résidus grossiers sur des terrils ou dans d'anciennes mines à
ciel ouvert ; les fines boueuses sont soit rejetées dans des bassins, soit filtrées. Les résidus grossiers sont
vendus ou ils sont entreposés sur des terris.

3. Une deuxième liste de quelques exemples des aspects les plus importants de la gestion de
résidus

Dans les exploitations souterraines, les stériles restent généralement sous terre.

Les stériles et les résidus issus de l'exploitation de métaux communs présentent un risque de DMA ;
dans certaines exploitations, les stériles un DMA sont gérés séparément de ceux qui ne provoquent pas
le DMA ; c'est dernier sont soit utilisés comme agrégats destinés à la construction de digues de retenues
ou de routes sur le site même, soit entreposés en terril. A la fermeture de l'installation, des couvertures
sèches destinées à prévenir le drainage acide sont posées sur les terrils de stériles qui sont sujets à ce
phénomène,

Les stériles provenant d'une mine de fer sont stockés sur des terrils avec des résidus grossiers

Les stériles des mines d'or sont entreposés en terrils, utilisés dans la construction de digues ou rejetés
dans la fosse.

Certaines exploitations de minéraux industriels utilisent les stériles comme remblaie ou les vendent
comme agrégat. Dans de nombreuses houillères, les stériles sont évacués en terril avec des fines filtrées

4. Détermination des meilleures techniques disponibles de GRM

Les techniques à envisager pour déterminer les meilleures techniques disponibles pour la gestion des
résidus et des stériles des activités minières ont pour but, d'inclure suffisamment d'information pour
évaluer l'applicabilité de ces techniques, qui sont certaines d'ordre technique, tandis que d'autres sont
de bonnes pratiques d'exploitation comprenant des techniques de gestion. Ces techniques sont classées
comme suit :

4.1. PRINCIPES GENERAUX

Ce sont des principes de bonne gestion, stratégies de gestion et évaluation des risques visant tous à
créer le contexte général d'une gestion réussie des résidus et des stériles.
4.2. GESTION DU CYCLE DE VIE

L'engagement de l'exploitant à appliquer convenablement et rigoureusement les techniques


appropriées disponibles pour la conception, l'exploitation et la fermeture d'une installation de gestion
des résidus et des stériles sur toute sa durée d'exploitation, peut aider à réduire le risque de défaillance.

Les instruments indispensables à une bonne ingénierie comprennent entre autres, l'établissement d'une
ligne de référence en matière d'environnement, la caractérisation des résidus et des stériles l’utilisation
de manuels de sécurité des digues, le recours, à des audits environnementaux ainsi que la définition
d'un plan de fermeture dès le départ.

4.3. PREVENTION ET CONTRÔLE DES EMISSIONS

a) Prévention de DA

Plusieurs solutions de prévention de contrôle et de traitement, par exemple des couvertures, l'ajout de
minéraux neutralisants, le traitement actif-passif applicable cn phase d'exploitation et de fermeture de
la mine ont été mises au point pour les résidus et les stériles qui risquent de provoquer un DA

b) Techniques visant à diminuer l'utilisation des réactifs de flottation

Plusieurs méthodes sont disponibles pour réduire l'utilisation des réactifs comme la surveillance
informatisée de la qualité de l’alimentation ; in stratégie opérationnelle qui permet de réduire nu
minimum, l'ajout de cyanure et le prétriage des matériaux alimentant l'installation de traitement du
minerai

c) Prévention de l'érosion aquatique

L'érosion aquatique des installations de gestion des résidus et des stériles peut être évité en couvrant
les pentes des talus ou encourageant l'agglomération des particules.

d) Prévention des poussières

Les principales sources d'émissions de poussières sont le rivage des bassins de résidus, les pentes
extérieures des digues et des terrils et le transport des résidus et des stériles. Une technique permettant
de permettant de prévenir la formation de poussière consiste à assurer l'humidité permanente des
rivages et autres pentes en question.

e) Techniques de réduction des émissions sonores

Les sources d'émissions sonores les plus courantes sont le transport, le déchargement et l'étalement de
matériaux effectué avec les camions et des convoyeurs à bandes. Les nuisances sources peuvent être
réduites en séparant le lieu de déchargement et les zones d'habitation par les barrières anti- bruit.

f) Reverdissement progressif/ Réhabilitation

Les terrils et les digues sont souvent réhabilités et reverdis durant l’exploitation. Cette pratique offre
notamment l'avantage de restreindre la période de fermeture.
g) Drainage des bassins

Dans les bassins imperméables, un système de drainage peut s'avérer nécessaire pour permettre la
réutilisation de l'eau de traitement et pour diminuer la taille requise des bassins.

h) Gestion de l'eau gravitaire

Si l’eau gravitaire contenu dans le bassin n'est pas évacuée directement dans les cours d'eau naturelle,
le dépôt doit être aménager de manière à ce que toute l'eau gravitaire retourne à l'installation ou si le
climat est chaud et aride, s'évapore.

i) Gestion de la percolation (Lixiviation)

La compréhension approfondie du contexte hydrogéologique du site est un préalable nécessaire à la


conception de système de gestion de la percolation. Dans certains cas, la percolation est évitée. Dans
d'autres, les eaux de percolation sont recueillies ou si elles sont de bonnes qualités, on les laisse
s'infiltrer dans la nappe phréatique. j) Surveillance de la nappe phréatique La nappe phréatique est
généralement surveillée autour de toutes les zones d'entreposage de résidus ou de stériles. Cette
surveillance comprend la vérification du niveau de in nappe et d’a qualité de l'eau.

4.4. PREVENTION DES ACCIDENTS

4.4.1. Evacuation des résidus et stériles dans un puit

Afin d'éviter l’effondrement des digues ou des terrils, le meilleur endroit pour aménager une installation
de gestion des résidus ou stériles, est approprié, proche de l'exploitation car dans ce cas le problème de
la stabilité de la digue ou du terril ne se pose pas.

4.4.2. Dérivation des eaux de ruissellement naturelles

Un système de dérivation est crucial pour la sécurité d'une digue de retenue. Une défaillance
quelconque peut entraîner dans le bassin un afflux d'eau pour lequel il n'a pas été conçu et qui peut
provoquer un débordement et donc une défaillance totale de la digue.

4.4.3. Préparation du sol naturel sous la digue

Le sol naturel situé sous la digue de retenue est généralement débarrassé de toute sa végétation afin de
fournir à la structure une assise adéquate. 4.4.4. Matériaux de construction de la digue Les principaux
critères de choix de matériaux de construction de la digue sont d'une bonne résistance dans les
conditions d'exploitation et climatique considérée.

4.4.5. Dépôt des résidus

Le dépôt correct de résidus surtout à l'état humide sera toujours essentiel à la stabilité de la structure
en règle générale les résidus humides sont déchargés à l'écart de sommet de la digue en les répartissant
de la manière la plus égale possible autour de celle-ci de manière a fournir une plage de résidus contre
la paroi intérieur de la digue.
4.4.6. Technique de construction et d'élévation des digues

Les digues de retenues étaient habituellement construites à l'aide de la fraction grossière des résidus, et
cette méthode reste effectivement tout à fait appropriée pour contenir des résidus boueux. Toutefois
sur la durée de vie d'une mine, la qualité du minerai, la méthode de traitement et la caractéristique des
résidus peuvent changer de ce fait la gestion de la qualité est une question délicate tout nu long de
l'existence d'une exploitation. Par conséquent, on a tendance à construire la digue de départ et souvent
aussi les élévations avec des matériaux d'emprunt dont la qualité est plus aisé à contrôler durant la
construction de la digue. Cependant non seulement le type de matériaux employé pour la construction
de digues de retenues, mais aussi la pose et le compactage des matériaux sont essentiels pour assurer la
stabilité à long terme.

5. Réduction de l'emprunte écologique

Une manière efficace de réduire l'emprunte des installations de gestion des résidus et des stériles
consiste à utiliser une partie ou la totalité de ses matériaux comme remblaie, Les autres solutions
comprennent la gestion subaquatique c'est-à-dire, le déversement en mer.

6. Réduction des accidents

Les plans d'urgence et l'évaluation et le suivi des incidents constituent deux outils permettant de réduire
les accidents.

7. Outils de management environnemental

Les systèmes de management environnemental sont utiles pour prévenir la pollution due aux activités
industrielles en général.

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