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Ekhenbaum Boris Mikhailovic, est un critique littéraire russe né le 4

octobre 1886 à Voronej dans une famille des médecins. Il ne prévoyait pas
une carrière lié à la littérature mais à la médecine comme ses parents,
c’est pour cela qu’il est entré à L’académie de médecine militaire. Il
aimait également la musique. À cause de la fermeture de l’académie de
médecine militaire qui est fermée lors, de la période de la révolution de
1905 il passe à la faculté de biologie. Il étudie également à la faculté
d’histoire et philologie et finalement s’intéresse beaucoup à la langue
russe et au slave. Il commence son activité littéraire en 1825 avec un
article écrit sur Pouchkine. En 1918 il intègre le cercle littéraire
« OPOYAZ », ou il va écrire sur la prose et notamment sur les oeuvres de
Tolstoi et d’autres y compris le texte que nous étudions sur « Comment
est fait le manteau de Gogol ?», qui sera parmi les premières travaux faits
dans ce cercle littéraire. Qui selon « Les manifestes d’OPOYAZ »,
considérée comme un des plus réussit et important travail dans l’histoire
de « l’OPOYAZ » et qui influencera le développement de la pensée
philologique non seulement en Russie mais aussi dans le monde entier.
L’adhération au cercle « OPOYAZ », est une étape remarquable dans la vie
de Eixenbaum, ou il a vu une attirance pour une nouvelle culture et une
nouvelle structure sociale.
Pour partir dans une description plus détaillée il faut d’abord comprendre
en quoi le texte de Eixenbaum est un compartiment sur la définition du
« Сказ » ?
Nous allons tout d’abord commencer par l’organisation du texte ensuite
nous allons voir en détails le ton du texte et les termes que Eixenbaum y
emploie et finalement nous allons finir par la définition du « récit »
« сказ ».
Cet extrait d’Eixenbaum est très bien structuré et nous pouvons
même le diviser en trois parties. La première partie qui commence de la
première ligne jusqu’à la ligne 45 parle surtout sur la composition de la
« nouvelle » ou aussi appelé Roman Court. La Nouvelle est un genre
littéraire du type récit, habituellement court, apparut au moyen âge, qui
était alors proche du roman et d’inspiration réaliste se distinguant par cela
des contes. D’après Eixenbaum la base de la « Nouvelle » est composé
par la « motivation » et le « récit », dont le rôle est principal. Si nous
essayons de formuler une définition du terme « composition », que
Eixenbaum emploie dans ce texte, nous aurons - la structure du texte qui
a comme base la motivation ( dans le cas concret qui peut être
l’anecdote, comme idée du départ), déterminée ensuite par un système
des gestes mimico- articulatoires, qui forment le « récit ». Pour cela
regardons l’exemple suivant pour mieux developper cette idée: L 1-4
« La composition de la nouvelle dans une mesure plus large dépende du rôle du
ton personnel d’auteur, c’est à dire, est-ce ce ton un début organisateur, qui plus
ou moins crée une illusion de « récit » , ou il sert seulement comme une liaison
formelle entre les événements et pour cela occupe une position subordonnée. »
Cet exemple crée l’impression de définition d’une problématique de ce
texte, d’une certaine manière, subjectivement elle annonce l’idée
principale de ce texte. Nous pouvons dire également que c’est une
question réthorique qui produit l’évidence, en relevant l’idée que la base
de la composition du texte du Gogol est le « récit ». L’accent dans cette
phrase ce met sur le terme « récit », ce qui est d’ailleurs le terme principal
vers lequel veut arriver Eixenbaum dans ce texte. Le récit dans la théorie
littéraire russe est définit comme un discours fait par le narrateur, ou la
manière dont ce récit est présenté par le narrateur diffère du point de vue
de l’auteur du texte. C’est à dire que le ton du texte ne dépend pas du ton
de l’auteur du texte, mais du ton de narrateur, l’idée que nous pouvons
justifier avec l’exemple de la première phrase du texte qui dit « le ton
personnel de l’auteur crée plus ou moins une illusion du « récit » » , illusion, qui
est une conception incorrecte.
Nous rencontrons le terme de la « motivation », dans ce contexte il
désigne l’idée de laquelle Gogol s’inspire, cela peut être l’anecdote, qui
sert comme idée du départ pour la création du sujet.
Nous parlons aussi beaucoup dans ce texte du « sujet » , qui dans le cas
du texte du Gogol ne joue pas un rôle important dans la composition du
texte. Dans le texte il est défini comme « imbrication des motifs et de leurs
motivations » -L-9, si nous essayons de définir le mot « motivation », dans
ce contexte il signifie cette idée qui inspire l’auteur pour créer son texte et
d’ailleurs c’est pour cela que le sujet n’est pas l’élément, dont la
« composition » du texte dépend. Nous pouvons également ajouter que la
composition d’un texte littéraire ne peut pas dépendre du sujet du texte,
car le sujet permet de caractériser le texte, donc ce qui caractérise un
texte, effectivement ne peut pas le composer.
L9-11 « La composition devient complètement différente, si le sujet seul,
comme imbrication des motifs et de leurs motivations, cesse de jouer le rôle
organisateur , c’est à dire si le narrateur, d’une manière ou d’une autre se met
sur le premier plan, comme si il se servait du sujet pour imbriquer des procèdes
stylistiques à part. » Cette phrase nous représente l’idée que la
composition dépend beaucoup de narrateur, qui se met dans ce contexte
sur le premier plan. Si le narrateur est placé en premier, il est clair que la
composition du texte est basé sur le « récit », car le récit dans un texte
présente beaucoup plus de détails q ‘un sujet, et notamment la
description des personnages, des lieux et des événements pour que le
lecteur puisse s’imaginer l’intrigue et les éléments du texte. Voyons une
autre citation employé dans cet extrait; L 25- « La composition chez Gogol
n’est pas déterminée par le sujet » ,essayons de la décortiquer pour la
représenter d’une manière plus développé, autrement dit la méthode de
la construction du texte de Gogol ne dépend pas de la description des
événements dans le texte. Il ne suffit pas de connaitre les motivations de
l’auteur pour composer un bon texte. Les motivations qui servent en tant
qu’idées, ou encore une totalité des actions et des événements qui
constituent le contenu du texte, mais pas sa structure ou la composition.
Une situation de laquelle s’inspire l’auteur ne peut pas former la base de
la composition du texte du Gogol.
La deuxième partie est focalisée plus sur le terme du « récit », comme
base du texte du Gogol. Cette partie comprend aussi , le langage des
gestes et la musicalité de la parole, comme des caractérisations
particulières de type du « récit », notamment dans le texte de Gogol. L44-
45 « …la base du texte du Gogol- est le « récit » que son texte est composé du
discours animé et émotionnel… » plus loin L 46 « le récit a la tendance … de
reproduire des mots par un moyen mimique articulatoire » Le récit de Gogol a
la tendance d’une certaine manière par le langage non verbal, si nous
pouvons le dire ainsi, de reproduire les mêmes ressentis sur le lecteur,
c’est pour cela que les textes de Gogol, même s’ils sont pas riches en
expressions correctement définies, comme le souligne d’autres critiques, il
a la spécificité et le don, par les moyens qu’il utilise de rédiger son texte,
dont la manière du « récit », de faire ressentir l’oeuvre et le déroulement
des actions y décrites par le lecteur.
La troisième partie présente le récit comique et la déclamation pathétique
comme deux couches importantes qui composent « Le manteau du
Gogol ». Autrement dit « le manteau de Gogol », représenté une liaison
entre L 64 « le jeu du langage » et la mise en forme éloquente des idées
qui produisent des sentiments d’exaltation.
Pour résumer sur le plan que Eixenbaum suit dans ce texte; il commence
tout d’abord par la composition de la nouvelle ensuite il parle du « Récit »,
comme base de la composition du texte du Gogol et finalement il
représente le récit comique et la déclamation pathétique, comme deux
couches principales qui composent « le manteau du Gogol »

Le métier de professeur que Eixenbaum a exercé au collège «


Gurevitcha » ont influencés d’une certaine manière pour la suite dans ses
travaux en tant que formaliste. Cela peut être vu aussi dans le texte
« Comment est fait le manteau du Gogol » , qui dégage un ton didactique
par sa volonté d’apporter des informations d’une façon claire et
méthodique, qui provoque des effets qui suscite la curiosité et l’attention
du lecteur. Son texte crée une impression d’un cours avec des arguments
développés pas à pas, qui forment une composition logique. Le ton
didactique peut être justifié par l’exemple de la ligne 17-18 « Nous
pouvons deviner deux types du « récit » comique 1) celui qui raconte 2) celui
qui reproduit. » une formule propre au style didactique, d’habitude les
professeurs font ainsi des énumérations pour créer des tournures de
l’ordre, et pour faire ensuite une explication détaillé de chaque élément
énuméré, de la même façon que le fait Eixenbaum, par la suite dans ce
texte. Une autre formule qui peut justifier l’idée du ton didactique est le
fait de donner d’une manière approfondie avec des exemples, des
définitions aux plus pertinents termes employés dans cet extrait comme
« la composition » ; « le récit « ; « le sujet » .

Le « récit » dans cet extrait de Eixenbaum est l’idée centrale de


toute cette longue explication qu’il fait des le début de son texte. Il fait un
bilan logique pour arriver à l’idée que la composition du texte de Gogol
dépend du « récit »- D’après les idées présentées dans ce texte, selon
Eixenbaum L 18-20« nous pouvons distinguer deux types ; 1) celui qui
raconte et 2) celui qui reproduit, le premier se limitant aux blagues et au jeu de
mots sémantique et le deuxième introduit des expressions faciales verbales,
inventant des articulations comiques spéciales... » dans cette phrase nous
avons la définition du « récit » présenté par Eixenbaum, En résumant au
minimum le texte nous pouvons donner la définition de « récit » qui sera
la suivante- une forme littéraire, ou le narrateur utilise des procèdes
verbaux et non-verbaux pour reproduire une image compréhensible au
lecteur.
Eixenbaum souligne l’importance du « récit » dans la constitution du
texte de Gogol ce qui n’est pas la meme chose pour Belinski, pour qui la
chose principale qu’il a remarqué dans les ouvre de Gogol et en particulier
celle de « Revizor » est le « слог », l’idée ou l’image qui selon Eixenbaum
L12 « se rétrécie au minimum » , deux visions différentes sur ce qui
constitue l’oeuvre de Gogol.

Pour conclure nous pouvons affirmer que cet extrait de Eixenbaum,


nous présente la définition du « récit » qui constitue la base de la
formation du texte littéraire de Gogol. Ce qui est prouvé par le ton
didactique utilisé par l’auteur de cet extrait, avec l’application des
formules logiques et des arguments représentées en ordre, avec des
explications et justifications de chaque hypothèse. Selon l’article sur
OPOYAZ la recherche sur le texte de Gogol a aidé d’une certaine manière
Eixenbaum, de découvrir et de définir cette forme littéraire.

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