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Introduction :

La seule représentation d'un objet est-elle accompagnée en moi par une satisfaction ?
Pour Kant, dans cet extrait de l'analytique du beau de la critique de la faculté de juger, ce qui
importe pour juger de la beauté d'un objet, c'est ce que l'on découvre en nous en fonction de la
représentation que nous nous faisons de celui-ci.
De plus il nous dit qu'un jugement de beauté ne peut pas être partial si nous portons le plus petit des
intérêts à l'égard de ce même objet.
Pour finir, il affirme donc en disant que, pour juger il ne faut pas se soucier de l'existence de l'objet
mais au contraire il faut être indifférent en ce qui y touche.
En effet l'Homme peut-il définir le beau,si pour juger de la beauté il faut un avis subjectif et qu'une
définition relève de l'objectif ?
Est-ce le beau ou l'agréable qui est nécessaire pour obtenir une forme de satisfaction ?
L'Homme peut-il juger de façon partial et donc sans tenir compte de l'influence d'autrui ?
Ou bien serait-il voué à ne pas pouvoir juger un objet, en matière de goût, de façon partial, puisqu'il
est difficile d'être totalement indifférent en ce qui y touche.
Après lecture du texte nous pouvons nous demander : L'Homme pourrait-il vraiment être capable de
juger du beau, et la beauté est-elle elle même nécessaire et source de satisfaction pour l'Homme ?
Nous avons pu remarquer que ce texte s'articule en deux temps, premièrement nous verrons les
différentes façon de juger de la beauté d'une chose. Dans un deuxième temps nous tacherons de
montrer que la beauté d'un objet peut être source de satisfaction mais que néanmoins cela dépend du
jugement que nous faisons de l'objet en question.
I
Dès les premières lignes du texte Kant nous précise que le jugement qu'il devra faire du palais qu'il a
devant lui sera forcement subjectif puisqu'il devra donner son propre avis et qu'il utilise plusieurs fois le
pronom personnel sujet « je » : « Si l'on me demande si je trouve beau le palais que je vois devant moi,
je puis sans doute répondre : je n'aime pas [...] ».
L'anaphore de Je lui permet directement d'affirmer l'idée selon la quelle juger est personnel et donc
subjectif et propre à chacun.
De plus dans les lignes suivantes il écrit deux fois le mot encore pour séparer les différents exemple qu'il
donne et donc montrer la diversité des jugements possibles pour accentué son opinion sur la
subjectivité.
Pour terminer avec son dernier exemple il écrit : « enfin je puis me persuader bien facilement que si je
me trouvais sur une île inhabitée […] supposé que je possède une masure assez confortable pour moi. »,
lorsqu'il écrit « enfin je puis me persuader » c'est encore une fois pour insister sur le fait qu'une infinité
de jugement différent existe mais aussi pour dénoncer en quelques sortes la partialité du jugement de
l'Homme puisque persuader signifie convaincre par le biais de sentiment donc un jugement peut être
altéré par autrui si cette personne le persuade ou le convainc, cela peut rappeler quelques faits de
l'actualité avec la corruption.
Ce qui a été dit précédemment pose le problème de l'impartialité d'un jugement qui est encore un enjeux
actuel. Rappelons qu'un jugement est l'action de juger et que juger signifie : « Évaluer la valeur de
quelqu'un, de quelque chose selon certains critères afin de les classer, de décider à leur sujet »,bien
évidemment l’évaluation qui est faite par l'individu est subjective puisqu'elle ne regarde que lui, de plus
elle peut être impactée, si l'objet remet en cause d'autres choses, le juge tiendra compte de cela au lieu
de juger seulement l'objet pour ce qu'il est.
De plus le jugement peut être remis en cause car des phénomènes de persuasion, conviction, ou encore
corruption peuvent impacter le juge et ainsi son jugement sur la chose, donc la subjectivité d'un
jugement est prouvé, néanmoins celle-ci peut être assez problématique à partir du moment ou l'on ne
peut savoir si le jugement a été procédé de façon correcte, c'est-à dire seulement en tenant compte de
l'objet et sans être impacté par des faits extérieurs à celui-ci que ce soit du côté du jugé ou du juge.
Pour qu'un jugement soit donc impartial comme le dit Kant : « Pour jouer le rôle de juge en matière de
goût il ne faut pas se soucier le moins du monde de l'existence de l'objet, mais bien au contraire être
indifférent en ce qui y touche. » C'est donc la que l’enjeu d'un bon jugement prends place puisque pour
l'Homme il peut être assez difficile d'être indifférent en tout ce qui touche une chose jugée.
Nous pouvons donc dire que le jugement en tant que concept doit être impartial mais que le jugement de
l'Homme peut être parfois impartial tout comme partial.

Si nous revenons sur le passage où Kant écrit : « Enfin je puis me persuader […] et que j'eusse le
pouvoir d'y transporter un tel palais, je n'en prendrais même pas la peine, supposé que je possède une
masure assez confortable pour moi. »
À travers cette phrase Kant nous explique que le beau n'est pas forcément le nécessaire supposé que l'on
est déjà qu'elle que chose qui puisse nous satisfaire. Ce que nous devons comprendre à travers cela c'est
que si nous possédons qu'elle que chose d'assez agréable pour nous, il n'y a nul besoin d'en réclamer
plus. L'agréable et le beau sont deux choses totalement différentes, Kant étudie la notion de l’esthétique
de l’agréable qui ne peut prétendre à l’universalité selon lui car elle puise ses origines dans nos
perceptions sensorielles qui sont des perceptions variable chez chaque individu. Puis dans un deuxième
temps Kant étudie la notion esthétique du beau, cependant pour la notion de beau, la critique de Kant est
assez paradoxale car d’ après lui, la notion esthétique du beau peut tendre à l’universalité alors que cette
notion provient à la base d’ un sentiment subjectif.
Pour conclure Kant différencie très largement l'agréable, du beau pour déterminer l’essentialité d'une
chose.
II
Comme nous l'avons dit précédemment pour Kant, la notion de beau peut tendre à l’universalité, dans la
seconde partie de l'extrait que nous étudions il écrit : « ce qui importe pour dire que l'objet beau et
prouver que j'ai du goût, c'est ce que je découvre en moi en fonction de cette représentation, et non ce
par quoi je dépends de l'existence de l'objet. »
Lorsque que nous lisons cet extrait nous pouvons remarquer une sorte de paradoxe puisqu'il dit c'est ce
que je découvre en moi en fonction de cette représentation. Néanmoins en étudiant plus cette phrase,
nous pouvons constater que pour juger il doit faire attention à la représentation qu'il a en lui de la chose
jugé, mais cela ne sert pas à prouver que la chose relève du beau, cela sert là montrer un jugement de
goût, et c'est donc totalement différent, puisque juger d'une chose qui relève du beau ça ne revient pas à
juger forcement la beauté de la chose.
Alors maintenant que cette distinction à bien été faite nous pouvons discuter sur ce que l'on peut trouver
en nous en fonction d'une représentation que nous nous faisons d'un objet.
Un grand nombre de sentiments peuvent faire leur apparition fasse à la beauté d'un objet,
l'émerveillement qui va donner envie de posséder l'objet même si ce n'est pas forcément nécessaire et
l'envie d'obtenir l'objet reviens à le désirer.

Mais alors si la beauté d'un objet amène par le biais de divers sentiments le désir de l'obtenir, alors la
beauté d'un objet ne serait-elle pas vouer à donner le malheur à la personne qui le contemple et le désir ?
En effet lors d'une de nos études d'un extrait « de la nouvelle éloïse » de Rousseau nous avions pu
remarquer que le désir, du moins l'obtention de l'objet de nos désir nous rendais malheureux puisque :
« Malheur à qui n'a plus rien a désirer, il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède »
En effet la beauté peut apporter une forme de désir, le désir de posséder la chose dont on contemple la
beauté.
Mais si par divers moyens nous arrivons à posséder l'objet de nos désir nous serons malheureux,
malheureux d'obtenir la chose présumée belle, mais si nous sommes malheureux de posséder cette chose
belle peut être est-ce par ce que nous ne voyons plus la beauté de cette chose, mais alors que voyons
nous ? Peut-être toutes les imperfections qui était masqué par le désir d'obtenir cette chose qui semblait
si belle.
Mais entre le moment de cette perte de désir et cette arrivée de malheur n'y aurait-il pas quelque chose ?
Il y a sûrement une forme de satisfaction plus ou moins brève lié à la beauté d'une chose qui est à la
base issu d'un jugement de goût pur.

Si nous revenons sur la partie du texte ou Kant écrit :

En disant : « c'est beau » je dis que ma perception est heureuse, que « cela me plaît » et pourtant en
prononçant un jugement je prétends que ce plaisir doit être celui de tout homme.
D'où cette première contradiction : Dans la mesure où il fait intervenir la sensibilité, le jugement de
goût a une subjectivité irréductible et comme tel, il semblerait qu'il faille admettre sa relativité. Or il
prétend à la validité universelle. Il ne dit pas « cela me plaît à moi » mais « c'est beau ». Il parle du beau
comme s'il était la propriété de l'objet, reconnaissable par tous.
Plan détaillé
I Juger du beau
a)La subjectivité d'un jugment :
Dès les premières lignes du texte Kant nous précise que le jugement qu'il devra faire du palais qu'il a
devant lui sera forcement subjectif puisqu'il devra donner son propre avis et qu'il utilise plusieurs fois le
pronom personnel sujet « je » : « Si l'on me demande si je trouve beau le palais que je vois devant moi,
je puis sans doute répondre : je n'aime pas [...] ».
L'anaphore de Je lui permet directement d'affirmer l'idée selon la quelle juger est personnel et donc
subjectif et propre à chacun.
De plus dans les lignes suivantes il écrit deux fois le mot encore pour séparer les différents exemple qu'il
donne et donc montrer la diversité des jugements possibles pour accentué son opinion sur la
subjectivité.
Pour terminer avec son dernier exemple il écrit : « enfin je puis me persuader bien facilement que si je
me trouvais sur une île inhabitée […] supposé que je possède une masure assez confortable pour moi. »,
lorsqu'il écrit « enfin je puis me persuader » c'est encore une fois pour insister sur le fait qu'une infinité
de jugement différent existe mais aussi pour dénoncer en quelques sortes la partialité du jugement de
l'Homme puisque persuader signifie convaincre par le biais de sentiment donc un jugement peut être
altéré par autrui si cette personne le persuade ou le convainc, cela peut rappeler quelques faits de
l'actualité avec la corruption.

b)Le jugement est il partial ou impartial


Ce qui a été dit précédemment pose le problème de l'impartialité d'un jugement qui est encore un enjeux
actuel. Rappelons qu'un jugement est l'action de juger et que juger signifie : « Évaluer la valeur de
quelqu'un, de quelque chose selon certains critères afin de les classer, de décider à leur sujet »,bien
évidemment l’évaluation qui est faite par l'individu est subjective puisqu'elle ne regarde que lui, de plus
elle peut être impactée, si l'objet remet en cause d'autres choses, le juge tiendra compte de cela au lieu
de juger seulement l'objet pour ce qu'il est.
De plus le jugement peut être remis en cause car des phénomènes de persuasion, conviction, ou encore
corruption peuvent impacter le juge et ainsi son jugement sur la chose, donc la subjectivité d'un
jugement est prouvé, néanmoins celle-ci peut être assez problématique à partir du moment ou l'on ne
peut savoir si le jugement a été procédé de façon correcte, c'est-à dire seulement en tenant compte de
l'objet et sans être impacté par des faits extérieurs à celui-ci que ce soit du côté du jugé ou du juge.
Pour qu'un jugement soit donc impartial comme le dit Kant : « Pour jouer le rôle de juge en matière de
goût il ne faut pas se soucier le moins du monde de l'existence de l'objet, mais bien au contraire être
indifférent en ce qui y touche. » C'est donc la que l’enjeu d'un bon jugement prends place puisque pour
l'Homme il peut être assez difficile d'être indifférent en tout ce qui touche une chose jugée.
Nous pouvons donc dire que le jugement en tant que concept doit être impartial mais que le jugement de
l'Homme peut être parfois impartial tout comme partial.
c)L'art et la beauté ne sont pas des choses essentiels
Si nous revenons sur le passage où Kant écrit : « Enfin je puis me persuader […] et que j'eusse le
pouvoir d'y transporter un tel palais, je n'en prendrais même pas la peine, supposé que je possède une
masure assez confortable pour moi. »
À travers cette phrase Kant nous explique que le beau n'est pas forcément le nécessaire supposé que l'on
est déjà qu'elle que chose qui puisse nous satisfaire. Ce que nous devons comprendre à travers cela c'est
que si nous possédons qu'elle que chose d'assez agréable pour nous, il n'y a nul besoin d'en réclamer
plus. L'agréable et le beau sont deux choses totalement différentes, Kant étudie la notion de l’esthétique
de l’agréable qui ne peut prétendre à l’universalité selon lui car elle puise ses origines dans nos
perceptions sensorielles qui sont des perceptions variable chez chaque individu. Puis dans un deuxième
temps Kant étudie la notion esthétique du beau, cependant pour la notion de beau, la critique de Kant est
assez paradoxale car d’ après lui, la notion esthétique du beau peut tendre à l’universalité alors que cette
notion provient à la base d’ un sentiment subjectif.
Pour conclure Kant différencie très largement l'agréable, du beau pour déterminer l’essentialité d'une
chose.:
II La beauté, une source de satisfaction ?

a)Ce que la beauté évoque en chacun et les sentiments qu'elle créée


Comme nous l'avons dit précédemment pour Kant, la notion de beau peut tendre à l’universalité, dans la
seconde partie de l'extrait que nous étudions il écrit : « ce qui importe pour dire que l'objet beau et
prouver que j'ai du goût, c'est ce que je découvre en moi en fonction de cette représentation, et non ce
par quoi je dépends de l'existence de l'objet. »
Lorsque que nous lisons cet extrait nous pouvons remarquer une sorte de paradoxe puisqu'il dit c'est ce
que je découvre en moi en fonction de cette représentation. Néanmoins en étudiant plus cette phrase,
nous pouvons constater que pour juger il doit faire attention à la représentation qu'il a en lui de la chose
jugé, mais cela ne sert pas à prouver que la chose relève du beau, cela sert là montrer un jugement de
goût, et c'est donc totalement différent, puisque juger d'une chose qui relève du beau ça ne revient pas à
juger forcement la beauté de la chose.
Alors maintenant que cette distinction à bien été faite nous pouvons discuter sur ce que l'on peut trouver
en nous en fonction d'une représentation que nous nous faisons d'un objet.
Un grand nombre de sentiments peuvent faire leur apparition fasse à la beauté d'un objet,
l'émerveillement qui va donner envie de posséder l'objet même si ce n'est pas forcément nécessaire et
l'envie d'obtenir l'objet reviens à le désirer.
Mais alors si la beauté d'un objet amène par le biais de divers sentiments le désir de l'obtenir, alors la
beauté d'un objet ne serait-elle pas vouer à donner le malheur à la personne qui le contemple et le désir ?

b)Rapport beauté et désir, Rousseau


En effet lors d'une de nos études d'un extrait « de la nouvelle éloïse » de Rousseau nous avions pu
remarquer que le désir, du moins l'obtention de l'objet de nos désir nous rendais malheureux puisque :
« Malheur à qui n'a plus rien a désirer, il perd pour ainsi dire tout ce qu'il possède »
En effet la beauté peut apporter une forme de désir, le désir de posséder la chose dont on contemple la
beauté.
Mais si par divers moyens nous arrivons à posséder l'objet de nos désir nous serons malheureux,
malheureux d'obtenir la chose présumée belle, mais si nous sommes malheureux de posséder cette chose
belle peut être est-ce par ce que nous ne voyons plus la beauté de cette chose, mais alors que voyons
nous ? Peut-être toutes les imperfections qui était masqué par le désir d'obtenir cette chose qui semblait
si belle.
Mais entre le moment de cette perte de désir et cette arrivée de malheur n'y aurait-il pas quelque chose ?
Il a sûrement une forme de satisfaction plus ou moins brève lié à la beauté d'une chose.

c)Le jugement de goût pur

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