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HARCÈLEMENT
MORAL
Rectorat Amiens
1995 - 2010
1
SOMMAIRE
RAPPEL DE LA LOI
HARCÈLEMENT MORAL
I – Notation administrative
II – Notation pédagogique
V – Promotion professionnelle
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RAPPEL DE LA LOI
« Aucun fonctionnaire ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont
pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter
atteinte à ses droits et à sa dignité, d'altérer sa santé physique ou mentale ou de
compromettre son avenir professionnel.
1° Le fait qu'il ait subi ou refusé de subir les agissements de harcèlement moral visés au
premier alinéa,
2° Le fait qu'il ait exercé un recours auprès d'un supérieur hiérarchique ou engagé une action
en justice visant à faire cesser ces agissements ;
3° Ou bien le fait qu'il ait témoigné de tels agissements ou qu'il les ait relatés.
Est passible d'une sanction disciplinaire tout agent ayant procédé ou ayant enjoint de
procéder aux agissements définis ci-dessus.
Les dispositions du présent article sont applicables aux agents non titulaires de droit
public. »
3
Les auteurs de ce harcèlement moral inadmissible sont bien connus et doivent être dénoncés
comme il se doit pour que justice soit rendue. Il s’agit des personnes suivantes, toutes ayant
eu ou ayant encore un quelconque poste de responsabilité leur ayant permis d’abuser de leur
pouvoir en toute impunité :
A la rentrée scolaire 2008/2009, les 11 harceleurs cités ci-dessus ont tous disparu de la
circulation ! Au Conseil des Ministres du 21 mars 2007, le recteur MORVAN Alain de
l’académie de Lyon, a été révoqué ! Il n’est donc plus recteur … Madame CAMPION
Marie-Danièle a été nommé directeur adjoint du cabinet de Valérie PECRESSE ! Monsieur
LARZUL Tanneguy a été nommé en juin 2008 au cabinet de Xavier DARCOS et a été
remplacé pour quelques mois par Monsieur Ahmed CHARAÏ !
Le chef de pacotille de Soissons, Monsieur JPP a fini par déménager à la fin de l’année
scolaire 2006/2007 !
Le minable proviseur du lycée Gay-Lussac de Chauny, Marc JAILIN, auteur de la lettre
torche-cul répugnante en date du 13 octobre 2000 adressée au recteur MORVAN, a fini par
quitter les lieux et a quitté la Picardie en juillet 2008 ! Bon débarras !
La rectrice SANCIER-CHATEAU a filé à l’anglaise pendant ces vacances de février car au
Conseil des Ministres du 16 février 2010, c’est Monsieur MUCCHIELLI Jean-Louis qui a été
nommé recteur de l’académie d’Amiens, à sa place !
Ce harcèlement, effectif depuis 1995 a été riche et varié. Il s’est exercé dans de nombreux
domaines, toujours dans le but de me marginaliser, de m’isoler de mes collègues de travail, de
me dégoûter de mon travail, de m’obliger par tous les moyens à obéir à des ordres totalement
illégaux, de me forcer à demander ma mutation !
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1. Des notations administratives farfelues voire ubuesques où les chefs
d’établissement prenaient un malin plaisir à se défouler et à exercer en toute
impunité leur abus de pouvoir ! Il en était de même des notations pédagogiques.
2. L’attribution systématique par les chefs d’établissement de toutes les classes à
vocation non scientifique ( STT et SMS ) afin de réserver aux professeurs dociles
les « bonnes classes », c’est-à-dire les classes scientifiques type S.
3. L’attribution de matériel pédagogique parfois périmé prétextant ( à tort ) que mes
élèves étaient des « casseurs » et qu’ils devaient en conséquence manipuler avec
du matériel obsolète pour ne pas priver les « bons élèves » [ Série scientifique S ]
du bon matériel !
4. Une promotion professionnelle totalement bouchée, la promotion Hors-Classe
Certifiés et l’inscription sur les listes d’aptitude au corps des agrégés étant
systématiquement refusées par des avis défavorables mensongers voire illégaux.
5. Plus d’une trentaine de convocations pour m’obliger à aller me faire psychanalyser
chez le docteur MARGAT au centre médico-psychologique de Tergnier ! ( Bien
évidemment je n’ai jamais obtempéré à ces ordres farfelus totalement illégaux
donnés par les recteurs MORVAN, LEROY et CAMPION du 13 novembre 2000
au 29 août 2005 )
6. De nombreuses menaces de sanction disciplinaire, allant de la plus légère
l’avertissement à la plus grave la radiation des cadres.
7. De nombreux mensonges et faux-témoignages n’ayant qu’un seul but : me virer le
plus vite possible du lycée Gay-Lussac de Chauny ( ce qui fut fait en septembre
2001 suite au conseil de discipline bidon et truqué du 21 septembre ).
8. Plusieurs sanctions disciplinaires effectives :
a) Avertissement en 1995 par le recteur MORVAN
b) Déplacement d’office avec conseil de discipline en 2001 par le
recteur MORVAN
c) Blâme en 2003 par le recteur LEROY
9. De nombreuses menaces de retrait de salaire pour défaut d’arrêts de travail pendant
les congés scolaires ( un comble ! )
10. De nombreux retraits de salaire pour de soi-disant absences non justifiées !
11. Deux suspensions de salaire :
a) La première effectuée par le recteur LEROY d’avril 2003 à
novembre 2003
b) La seconde par le recteur CAMPION de février 2005 à avril 2006
12. Magouilles du recteur CAMPION deux années de suite en 2005 puis en 2006 pour
refuser ma mutation intra-académique au lycée Gay-Lussac de Chauny ! Nouvelles
magouilles des recteurs LARZUL et CHARAÏ pour refuser ma mutation intra-
académique au lycée Gay-Lussac de Chauny en 2008 !
Le troisième objectif, à savoir me forcer à rejoindre mon nouveau poste au collège Gérard
Philipe de Soissons s’est soldé par un échec quasi total : juste une « petite visite » de ma
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part une semaine en 2003 en l’espace de 9 années, juste le temps de rencontrer et d’apprécier
à sa juste valeur Monsieur Jean Pierre Paul (JPP), principal de ce collège !
HARCÈLEMENT MORAL
I - Notation administrative
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : B ; Autorité/Rayonnement : AB
Appréciation générale :
« Malgré quelque fragilité dans certaines classes, Monsieur LANDEL a assuré un service
régulier et satisfaisant »
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : B ; Autorité/Rayonnement : B
Appréciation générale :
« Monsieur LANDEL a gagné en expérience et progressé dans la conduite de ses classes.
Nous lui faisons confiance.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : B
Appréciation générale :
« Monsieur LANDEL s’attache à bien faire et gagne en efficacité. Il peut encore progresser
en autorité grâce à un contact plus personnalisé avec ses élèves.»
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Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : B
Appréciation générale :
« Monsieur LANDEL est un professeur sérieux et consciencieux qui réussit très bien.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : B
Appréciation générale :
« Monsieur LANDEL est un professeur sérieux et consciencieux qui réussit très bien.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : B
Appréciation générale :
« Monsieur LANDEL est un professeur sérieux et consciencieux qui réussit très bien.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : B
Appréciation générale :
« Professeur sérieux et consciencieux qui donne satisfaction.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : B ; Autorité/Rayonnement : TB
Appréciation générale :
« Je rapelle à Monsieur LANDEL que la notation doit servir l’élève et la discipline et que
dans le cas contraire, on faillit à sa mission.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : TB
Appréciation générale :
« Monsieur LANDEL a tenu compte de mes remarques.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : TB ; Autorité/Rayonnement : TB
Appréciation générale :
« Professeur qui effectue le service qui lui est confié.»
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Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : AB
Appréciation générale :
« Note abaissée, voir rapport joint.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : TB ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : AB
Appréciation générale :
« Note maintenue, la situation de l’an dernier n’ayant pas évolué.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : M ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : M
Appréciation générale :
« Note maintenue, le comportement de Monsieur LANDEL est devenu incontrôlable.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : B ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : M
Appréciation générale :
« Retranché dans ses convictions, Monsieur LANDEL s’est coupé de ses collègues et du
lycée ; le seul moyen d’en sortir serait que vous demandiez votre mutation.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : M ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : M
Appréciation générale :
« M. LANDEL refuse de dispenser un enseignement au collège ou il a été nommé et prive
ainsi les élèves de ZEP de nombreuses chances de progression. Une diminution de note
s’impose.
UN RAPPORT COMPLEMENTAIRE EST INUTILE »
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : M ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : M
Appréciation générale :
« M. LANDEL est toujours en situation de refus de rejoindre son poste. Une baisse de note
est justifiée et ce sans rapport annexe.»
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : M ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : M
Appréciation générale :
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« UNE BAISSE DE NOTE S’IMPOSE – VOIR RAPPORT JOINT. »
Année scolaire 2004/2005 : 1.0/40 [ Notice trouvée dans mon casier au collège le 6 avril
2005 ]
Appréciations codées :
Ponctualité/Assiduité : M ; Activité/Efficacité : M ; Autorité/Rayonnement : M
Appréciation générale :
« Absent depuis le début de l’année avec certificats médicaux successifs.»
Concernant ma notation administrative le harcèlement moral est très clair. De 1987 ( date de
mon arrivée au lycée Gay-Lussac de Chauny ) à 1994, aucun problème de notation. Puis suite
à l’immixtion du proviseur BOULANGER dans ma vie privée ( Affaire Teyssedou ), la
situation s’est dégradée subitement et le proviseur s’est vengé en m’attribuant de mauvaises
notations, en dépassant ses prérogatives en me notant non pas sur des critères administratifs
mais pédagogiques, du ressort des Inspecteurs pédagogiques ! Cet abus de pouvoir a duré
jusqu’à son départ du lycée en 2000. Le proviseur novice JAILIN, venant du collège voisin de
Tergnier a repris le flambeau en continuant le sale boulot de harcèlement moral dès son
arrivée en septembre 2000 ! Quant au principal du collège de Soissons, il a réussi dans un
premier temps à me noter deux années de suite, de façon ubuesque, sans jamais m’avoir vu !
C’est très fort ! Puis après m’avoir vu une petite semaine au collège en décembre 2003, il a
frappé fort, dans le délire et l’irresponsabilité, avec toujours la bénédiction du rectorat !
Suite aux différentes notations administratives délirantes des deux proviseurs du lycée Gay-
Lussac de Chauny, Messieurs BOULANGER et JAILIN puis du principal du collège Gérard
Philipe de Soissons, Monsieur PAUL, j’ai saisi le Tribunal administratif d’Amiens concernant
les requêtes suivantes, classées par ordre chronologique des enregistrements :
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Requête n° 0201252 du 26 juin 2002 : Projet de notation administrative
2001/2002. Requête rejetée par jugement en date du 21 février 2006
Requête n° 0301199 du 5 juin 2003 : Projet de notation administrative
2002/2003. Requête rejetée par jugement en date du 28 juillet 2005
Requête n° 0302181 du 14 octobre 2003 : Refus de communication avis de
notation 2001/2002. Requête rejetée par jugement en date du 21 février 2006
Requête n° 0400673 du 19 mars 2004 : Demande en annulation de la notation
année 2002/2003. Notation annulée par jugement en date du 2 février 2006
Requête n° 0401228 du 28 mai 2004 : Demande en annulation de la notice de
notation administrative 2003/2004. Notation annulée par jugement en date du 2
février 2006
Requête n° 0401630 du 13 juillet 2004 : Demande en annulation de la notation
2003/2004 du recteur en date du 21/05/2004. Notation annulée par jugement en
date du 2 février 2006
Requête n° 0402231 du 20 septembre 2004 : Annulation PV CAPA Certifiés
Note administrative 2003/2004. Requête rejetée par jugement en date du 2
février 2006
Requête n° 0402296 du 22 septembre 2004 : Annulation PV CAPA Certifiés
Note administrative 2001/2002. Requête rejetée par jugement en date du 2
février 2006
Requête n° 0402297 du 24 septembre 2004 : Annulation PV CAPA Certifiés
Note administrative 2002/2003. Requête rejetée par jugement en date du 2
février 2006
Requête n° 0402950 du 13 décembre 2004 : Annulation avis de notation
2003/2004. Requête rejetée par jugement en date du 8 novembre 2005
Requête n° 0501612 du 16 juin 2005 : Notice annuelle de notation
administrative 2004/2005. Requête rejetée par ordonnance du 12 décembre
2005
Requête n° 0501933 du 18 juillet 2005 : Notation administrative 2004/2005.
Par jugement en date du 1er février 2007, le Tribunal décide qu’il n’y a pas lieu
de statuer
Requête n° 0502992 du 23 novembre 2005 : Document relatif à ma notation
administrative 2004/2005. Décision implicite du principal de Soissons rejetée
par jugement en date du 28 mars 2006
Requête n° 0600228 du 25 janvier 2006 : Notice annuelle de notation
administrative 2005/2006. Requête rejetée par jugement du 7 décembre 2006
L’année 2005/2006 fût la première année où je n’ai pas été noté par le principal du collège
Gérard Philipe de Soissons ! L’explication est la suivante : suite à une nième requête auprès
du Tribunal administratif d’Amiens [ Requête n° 0600228 du 25 janvier 2006 : Notice
annuelle de notation administrative 2005/2006 ], le recteur CAMPION a fini par abdiquer et a
abandonné tout harcèlement. En effet, dans son mémoire adressé au Tribunal administratif
d’Amiens en date du 3 avril 2006, elle semble enfin reconnaître toute l’illégalité de la
procédure adoptée pendant plusieurs années, en écrivant :
10
N’ayant été au collège Gérard-Philipe de Soissons qu’environ une petite semaine en décembre
2003, le principal du collège Gérard-Philipe de Soissons, Monsieur Jean Paul Pierre n’aurait
pas dû me noter en 2001 / 2002, en 2002 / 2003, en 2004 / 2005 et en 2005 / 2006. Or, ce
principal, en mal de pouvoir et d’autorité, m’a noté de façon totalement irresponsable et
ubuesque.
Ce qui est plus grave encore c’est que les différents recteurs de l’académie d’Amiens qui se
sont succédés depuis septembre 2001, à savoir Monsieur MORVAN pendant l’année scolaire
2001/2002, Monsieur LEROY pendant les deux années scolaires 2002/2003 et 2003/2004
puis enfin Madame CAMPION pendant les trois dernières années scolaires 2004/2005,
2005/2006 et 2006/2007 ont méconnu totalement leurs propres circulaires ainsi que les
circulaires ministérielles qui sont très claires à ce sujet : « l’enseignant qui a été éloigné de
son poste pendant toute l’année scolaire, pour raison de santé, n’est pas noté. »
Tous les trois ont approuvé et repris à leur compte les appréciations illégales et scandaleuses
du chef de pacotille de SOISSONS, ce qui prouve aisément que la collusion est notoire et que
le harcèlement était organisé par le rectorat d’Amiens avec à sa tête le recteur.
Conclusion
Le harcèlement moral du rectorat relayé par les chefs d’établissement du lycée Gay-Lussac de
Chauny et du collège Gérard-Philipe de Soissons, m’a contraint de saisir à maintes reprises le
Tribunal administratif. En analysant les différentes requêtes énumérées ci-dessus, on
s’aperçoit qu’il y a beaucoup de contradictions que ce soit dans les décisions prises par le
Tribunal que dans les mesures prises par le rectorat !
Or, dans les faits, tout cela c’est bidon et les paroles du recteur MORVAN n’étaient destinées
qu’à me faire patienter afin que le tribunal administratif ne soit pas saisi !
En effet, les Commissaires paritaires syndicaux que j’ai contacté à l’époque m’ont affirmé
que le rectorat, en la personne de Monsieur PLAUD ( Secrétaire général ) qui présidait la
CAPA en lieu et place du recteur MORVAN, avait magouillé de telle sorte que ma demande
de révision de note passe à la trappe ! Jugeons plutôt :
11
Informations données par téléphone le 25/09/1998 par Monsieur LEBLOND
du syndicat FO : Il y avait environ 200 contestations de notes pour les
Certifiés ; Madame LETELLIER, Chef de la Division des Personnels
Enseignants, énonce les noms. Arrive celui de Monsieur LANDEL Guy,
professeur à Chauny. « Nous ne pouvons pas parler de ce dossier. Ce dossier
n’intéresse pas la commission. Motif : Il y a une procédure disciplinaire en
cours. » Et on passe à l’enseignant suivant !
Courrier de Monsieur DELVAL Alain du syndicat SNALC reçu le 28/09/1998
qui m’écrit : « Comme vous n’êtes pas adhérent et que vous ne m’aviez pas
alerté sur votre requête, j’avoue ne pas avoir gardé en mémoire ce qui a été dit
sur votre cas, le 9 juillet. Dans mes papiers ( notes prises durant la CAPA )
figure la mention procédure disciplinaire. Je ne peux pas, hélas, vous en dire
plus. »
Lettre des Commissaires paritaires du SNFOLC ( Monsieur LEBLOND et
Madame POLIAKHOVITCH ) datée du 14 octobre 1998 : « Lors de la CAPA
du 09/07/98, au moment d’aborder votre demande de révision de note, le
secrétaire général du Recteur a indiqué que la note 38 était maintenue, une
procédure disciplinaire étant en cours. »
Lettre de Monsieur LESCUREUX, Commissaire paritaire du SNES, en date du
14 octobre 1998 qui m’écrit : « La réunion de la CAPA a bien eu lieu le 9
juillet. Ta note a été maintenue à 38 c'est-à-dire baissée de 0,75 points.
L’administration nous a informé qu’une procédure disciplinaire à ton
encontre était mise en œuvre. »
Le procès-verbal de la commission administrative paritaire académique
compétente à l’égard des Certifiés réunie au Rectorat le 9 juillet 1998 pour
l’examen de la notation administrative a été envoyé par le recteur MORVAN à
Monsieur LEBLOND, Commissaire paritaire FO le 15 janvier 1999.
Concernant mon cas, il est écrit, noir sur blanc : « Le président signale que le
Recteur a décidé d’engager une procédure disciplinaire à l’encontre de cet
enseignant. »
8 juillet 1998 :
Le recteur MORVAN m’envoie une lettre datée du 8 juillet 1998 ( veille de la CAPA ), postée
le 13 juillet 1998, arrivée au lycée Gay-Lussac de Chauny le 15 juillet 1998 et remise en main
propre par le proviseur BOULANGER le 9 septembre 1998, dans laquelle il me dit qu’à
l’issue de la réunion de la CAPA, après l’avoir consultée, il prendra sa décision.
9 juillet 1998 :
10 juillet 1998 :
Le recteur m’envoie ma notation administrative 1997/1998 qui n’est que la copie conforme de
la notation du proviseur BOULANGER ( mêmes appréciations codées scandaleuses, même
appréciation littérale mensongère et même note abaissée de ¾ point ).
12
Que de mensonges et de magouilles en l’espace de 3 jours !
NOTATION 2000/2001
« Retranché dans ses convictions, Monsieur LANDEL s’est coupé de ses collègues et du
lycée ; le seul moyen d’en sortir serait que vous demandiez votre mutation.»
Le terrain est préparé : soit je demande ma mutation pour quitter le lycée Gay-Lussac à la
rentrée scolaire 2001, soit la mutation me sera imposée de façon disciplinaire. C’est ce qui est
arrivé avec l’organisation du conseil de discipline et la sanction disciplinaire du déplacement
d’office au collège de Soissons !
Cette information m’a été révélée par le recteur dans une lettre qu’il m’a adressée le 28
janvier 2002 en écrivant :
« Or, je constate que vous avez porté sur votre notice de notation, établie le 11 janvier 2001,
la mention « refus de signature » dans la rubrique « observations éventuelles ».
Par contre, le Tribunal adopte une position contraire dans son jugement en date du 21/02/2006
concernant la même requête !
13
Par contre, le même Tribunal administratif d’Amiens a annulé toutes les notations 2002/2003
émises par le principal de Soissons et le recteur LEROY, par jugement en date du 2 février
2006 ( requête n° 0400673 ) !
Donc, en l’espace de 6 mois, le même Tribunal administratif d’Amiens a pris deux
décisions totalement contradictoires ! Difficile à comprendre et à admettre !
Cette notice, signée de votre main, établie le 27 janvier 2005 a mis tout de même plus de 2
mois pour parcourir la centaine de mètres qui sépare votre bureau de la salle des professeurs
du collège !
Et que dire de la note que vous proposez. Est-ce bien la note 1 ( UN ) sur 40 ou est-ce une
erreur de frappe sur le clavier de l’ordinateur ?
Si la note s’avérait exacte, c’est le délire total ! Un véritable Tsunami s’est abattu sur le
collège Gérard-Philipe, début 2005 !
Je pense que j’ai de bonnes chances de rentrer dans le livre Guinness des records !
14
En réponse à ma lettre du 13 avril 2005, le recteur CAMPION, dans son courrier en date du
27 avril 2005, a rappelé une fois de plus le contenu des circulaires relatives à ce sujet qui
stipulent clairement que « l’enseignant qui a été tenu éloigné de son poste pendant toute
l’année scolaire, pour raison de santé, n’est pas noté. Il n’y a pas report de la note de
l’année précédente.»
Le recteur CAMPION confirmera ses propos dans un autre courrier en date du 23 mai 2005 :
« Absent du service depuis la rentrée scolaire 2004, aucune note administrative ne vous a
été attribuée au titre de l’année scolaire 2004/2005. »
Cela montre clairement la collusion entre toutes les parties unies dans l’unique but, celui de
me harceler à outrance pour me faire plier.
II - Notation pédagogique
La note pédagogique de 42/60 m’a été attribuée lors de ma titularisation en tant que Certifié
en 1990. Puis le harcèlement commençant en 1994/1995 par le proviseur BOULANGER, j’ai
commencé à être inspecté une première fois le 20 janvier 1995 par l’IPR Michel CABARET
avec la note pédagogique maintenue à 42/60. Puis une seconde fois, à la demande du recteur
MORVAN, le 23 mars 1998, par l’IPR Michel OSTOJSKI avec la note pédagogique
maintenue à 42 malgré des critiques acerbes injustifiées sur ma pédagogie, ce qui somme
toute était normal vu que cet IPR avait reçu l’ordre, à deux reprises, de venir m’inspecter ! [
Une première fois par courrier en date du 15 décembre 1997 : « je vous saurais gré de bien
vouloir procéder à l’inspection de cet enseignant et me tenir informé de vos conclusions »
puis une seconde fois par courrier en date du 13 février 1998 : « Il est donc indispensable,
dans l’intérêt des élèves, que cet enseignant puisse être inspecté rapidement. » Enfin, une
troisième fois, toujours à la demande du recteur MORVAN, le 3 mars 2000, l’IPR Christiane
PARENT est venue me rendre visite pendant ma grève des travaux pratiques avec mes classes
de Seconde. Suite à ma requête auprès du recteur, le rapport d’inspection a été transformé en
rapport de visite, ayant refusé d’être inspecté pendant la grève ! La note pédagogique de 42/60
a été maintenue.
15
Suite au rapport d’inspection très critique, voire mensonger établi par l’IPR OSTOJSKI en
juin 1998, j’ai saisi le Tribunal administratif d’Amiens puis la Cour administrative d’appel de
Douai :
En conclusion, je constate que ma note pédagogique est la même que celle obtenue lors de ma
titularisation en tant que Certifié en 1990, soit 20 ans auparavant ! Cela dénote une volonté
manifeste des autorités de m’attribuer la note la plus faible possible pour m’interdire ainsi
toute promotion.
De 1987 à 1994, l’attribution des classes par les différents proviseurs était relativement
équitable mais à partir de 1995, le proviseur BOULANGER ( 1995 à 2000 ) puis son
successeur JAILIN, la dernière année avant mon déplacement d’office, ont pris un malin
plaisir à m’attribuer systématiquement les classes non scientifiques, sans heures
supplémentaires, réservant par là-même les « bonnes classes » et les heures supplémentaires à
leurs « amis », en remerciement des services rendus ( rôle d’indic, de lèche-bottes et autres
turpitudes ). En effet, en dépit de mes fiches de vœux qui demandaient chaque année au chef
d’établissement de ne pas m’attribuer de classes de Seconde STT, mon emploi du temps
comportait systématiquement chaque année les 3 classes de Seconde STT soit un volume
horaire de 15 heures sur 18, avec bien entendu aucune heure supplémentaire !
16
T.S.P. en Seconde, disparition de l’option Sciences Expérimentales en première S ).
Cette lettre a été signée par huit (8) professeurs de Sciences physiques sur un effectif
de neuf (9) ! Il manquait donc un signataire en la personne de Monsieur LANDEL
Guy, professeur qui avait été évincé volontairement de la discussion et de la rédaction
avec signatures de cette lettre !
En conclusion sur ce chapitre, je rappellerai mon analyse en date du 8 février 2002 en réponse
au procès-verbal du conseil de discipline du 21 septembre 2001 concernant la répartition des
classes en physique au lycée Gay-Lussac de Chauny.
« Pour mémoire, Monsieur Guy LANDEL rappelle les quatre questions posées aux témoins,
ainsi que leurs réponses
Réponse :
Après que le proviseur a rappelé que la seconde STT était une seconde indifférenciée, la
présidente intervient pour souligner que toutes ces questions n'apportent pas un éclairage
indispensable au dossier.
Réponse :
La présidente rappelle à l'intervenant que toutes les filières et niveaux d'enseignement sont
respectables.
Réponse :
Monsieur RABARDEAU ne peut répondre sur la répartition des classes.
Réponse :
Monsieur BEVIERRE répond que Monsieur LANDEL s'était vu confier une terminale S.
BILAN
17
Sur les quatre questions posées, le bilan s'établit comme suit:
Question 1 : La présidente, Madame BRUSCHINI, vole au secours du proviseur pour
clore le " débat " !
Question 2 : La présidente, Madame BRUSCHINI, ne laisse même pas le temps à
l'IPR d'ouvrir la bouche, des fois qu'une inspectrice ne serait pas capable de répondre à cette
question d'ordre pédagogique !
Question 3 : L'irresponsable de laboratoire justifie bien son titre : il ne peut répondre à
la question posée !
Question 4 : Monsieur BEVIERRE, lui ne se pose même pas de question : il répond,
comme à son habitude, par un mensonge ! [ Car jamais je n’ai eu de Terminale S ]
Vu que tous les témoins ont été incapables ou n'ont pas voulu répondre aux différentes
questions posées relatives à la répartition des classes, je me dois d'y répondre à leur place,
n'en déplaise à Madame la présidente, Madame BRUSCHINI, qui considère, à tort bien sûr, "
que toutes ces questions n'apportent pas un éclairage indispensable au dossier."
Je m’inscris en faux sur ces propos mensongers, car en tant qu'ingénieur électricien, je peux
certifier que toutes ces questions, non seulement apportent un " éclairage indispensable ",
mais encore que cet " éclairage " est très lumineux ! Qu'on en juge :
Dès 1995, n'ayant pas digéré mes critiques justifiées concernant son immixtion dans ma vie
privée, l'ancien proviseur, Monsieur BOULANGER se vengea en m’attribuant exclusivement
des classes non scientifiques. Pour exemple, je rappelle la répartition des classes pour l'année
suivante, à savoir 1995/1996 :
18
J’ai donc été délibérément exclu du compte. Aucune classe scientifique ne m’a été
attribuée.
Cette année 1995/96 n'est pas malheureusement une année noire isolée. Mises à part 3 heures
d'option de 1ère S en 1996/97, 1997/98 et 1999/2000, le même scénario se répétera jusqu'au 10
octobre 2001, jour de mon interdiction de pénétrer à l'intérieur du lycée Gay-Lussac par le
proviseur-médecin-psychologue-vigile JAILIN.
En ce qui concerne Monsieur JAILIN, il a poursuivi les procédés de son prédécesseur. Selon
son planning sur la répartition des services d'enseignement envoyé aux neuf professeurs de
physique le 12 juillet 2001, on peut en déduire :
Total volume horaire intitulé HP 150,5 heures
Total Terminales S 23 heures
Total Premières S 21 heures
Total Secondes IESP 41 heures
Total Secondes " à vocation scientifique " version M. BOULANGER 35
heures
Ce qui fait un total de 120 heures d'enseignement en classes " scientifiques " ou " à vocation
scientifique ". Sachant qu'il y a 9 enseignants dont deux à mi-temps, cela fait un total de 8
postes. Si l'on divise ces 120 heures par 8 postes, un rapide calcul donne exactement :
17 heures de classes scientifiques ou à " vocation scientifique " par enseignant !!!
19
Seconde ) ! Ayant récolté les faux-témoignages des indics, la suite n’est plus qu’un jeu
d’enfant : le chef d’établissement se met d’accord avec le responsable de laboratoire de
Physique Chimie de l’époque, le « collègue » RABARDEAU Jean Hugues pour m’interdire
de manipuler avec le même matériel pédagogique que les autres collègues professeurs du
lycée Gay-Lussac.
« Constatant des dégradations importantes sur un matériel sensible indispensable aux classes
scientifiques de 1ère et terminale, il vous demande par le truchement des garçons de
laboratoire d’utiliser un matériel certes ancien mais toujours en service. D’autres collègues
utilisent les oscilloscopes METRIX sans pour cela alerter l’opinion publique. »
Par contre, le même jour ( 4 décembre 1999 ), il envoie un courrier au recteur MORVAN
pour bien lui signifier que je suis l’instigateur et l’unique responsable du nouveau conflit :
« Je ne peux confier à M. LANDEL que des classes dans lesquelles ses actions de sabotage ne
peuvent avoir qu’un effet limité.
Ce nouveau conflit avec le professeur coordonnateur de sciences physiques est dans le droit
fil de ses actions antérieures.
Constatant que les élèves de M. LANDEL cassent beaucoup plus de matériel que la
moyenne, consigne a été donnée par le professeur coordonnateur de les faire manipuler avec
les équipements certes plus anciens, mais toujours en service. »
Cette discrimination révoltante dans un service public, totalement puérile de surcroît, m’a
conduit naturellement à faire une grève des travaux pratiques dans mes 3 classes de Seconde
STT avec le soutien de mes élèves qui ressentaient, dans cette mesure, une discrimination à
leur égard, eux, élèves de STT les mal aimés car non « scientifiques ». Cette grève durera 19
semaines de décembre 1999 à mai 2000 !
20
Pour se venger du camouflet enduré pendant toute cette grève des travaux pratiques qui dura
19 semaines, l’indic de service ( le professeur coordinateur ) se fera un plaisir de se défouler
en allant témoigner ( à charge bien sûr ! ) lors de mon conseil de discipline bidon et truqué du
21 septembre 2001 à Amiens.
Les requêtes devant les juridictions administratives ont été les suivantes :
V - Promotion professionnelle
En 2010, ma note administrative est la même que celle que j’avais en 1993. Cela fait donc 17
ans que ma note administrative est restée bloquée à 38 / 40 avec un passage par 01/40 en
2004/2005 !!!
En 2010, ma note pédagogique est la même que celle obtenue lors de ma titularisation en tant
que Certifié en 1990. Cela fait donc 20 ans que ma note pédagogique est restée bloquée à 42 /
60 !
En conséquence, ma note globale qui a été de 80 / 100 depuis 17 ans a été totalement
rédhibitoire pour tout passage d’échelon, soit au grand choix, soit au choix. Tout
naturellement, toute ma carrière s’est effectuée avec un avancement à l’ancienneté, étant par
là-même fortement pénalisé par rapport aux autres collègues avançant aux choix.
Par ailleurs, étant depuis de nombreuses années au dernier échelon (11) de la classe normale
des Certifiés, j’ai plusieurs fois déposé un dossier de candidature pour le passage hors classe
Certifiés. Le dossier de candidature transitait à chaque fois par le chef d’établissement et
l’Inspecteur qui donnaient leur avis motivé avant de parvenir au recteur. Bien évidemment les
avis, souvent illégaux et mensongers, étaient tels que toute promotion était d’office exclue !
Quelques exemples scandaleux de la part de leurs auteurs :
21
Cet avis scandaleux de la part du proviseur est un exemple concret de la violation de l’article
6 quinquiès de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983.
Ayant été présent au collège uniquement une semaine au mois de décembre 2003 depuis
« ces trois dernières années », le prétexte invoqué par le chef de pacotille pour donner un avis
défavorable pour ma candidature en 2005 semble complètement puéril et irresponsable.
D’une part il s’agit d’un avis anonyme d’inspecteur pédagogique et d’autre part, affirmer que
je n’assure pas mes missions au collège alors que je suis en congé de maladie ordinaire depuis
4 ans est inadmissible et contraire aux lois et règlements.
Les requêtes devant les juridictions administratives ont été les suivantes :
22
Candidature à la Hors-classe Certifiés en 2009
Après avoir été déplacé d’office du lycée Gay-Lussac de Chauny au collège Gérard Philipe de
Soissons suite au conseil de discipline bidon et truqué du 21 septembre 2001 à Amiens, le
principal de ce collège, Jean Pierre Paul, ne me voyant pas arriver, continua le harcèlement en
demandant au recteur des retraits sur mes salaires alors que toutes mes absences étaient
justifiées par des arrêts de travail.
23
Requête n° 0302188 : Arrêté rectoral suspension traitement du 9 avril 2003
Requête n° 0302225 : Bulletins de paye Juin 2002 et Mai 2003
Requête n° 0302476 : Bulletins de paye Juillet et Août 2003
Requête n° 0400341 : Arrêté rectoral du 17 octobre 2003
Requête n° 0400522 : Procès-verbal d’installation
Requête n° 0400555 : Bulletin de paye Novembre 2003
Requête n° 0400569 : Bulletin de paye Décembre 2003
Requête n° 0400695 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0400941 : Déclaration fiscale 2003
Requête n° 0400942 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0400959 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0400960 : Bulletin de paye Janvier 2004
Requête n° 0400961 : Bulletin de paye Février 2004
Requête n° 0400984 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0401158 : Bulletin de paye Mars 2004
Requête n° 0401171 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0401298 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0401315 : Bulletin de paye Avril 2004
Requête n° 0401555 : Bulletin de paye Mai 2004
Requête n° 0401598 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0402117 : PV CAPA 2001/2002, 2002/2003 et 2003/2004
Requête n° 0402345 : Emploi du temps 2004/2005
Requête n° 0402356 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0402366 : Bulletin de paye Juin 2004
Requête n° 0402378 : Bulletin de paye Juillet 2004
Requête n° 0501255 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0501933 : Lettre de JPP à la CADA
Requête n° 0502992 : Document JPP Notation 2004/2005
Requête n° 0502993 : PV réunion de CAPA du 20 juin 2005
Requête n° 0503303 : PV réunion de CAPA du 3 mai 2005
Requête n° 0503304 : Docs Commissaires Paritaires FPMA du 20 juin 2005
Requête n° 0600228 : Notice notation 2005/2006
Requête n° 0600229 : Attestation professionnelle 2005/2006
Requête n° 0601407 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0601534 : Bulletins de paye Septembre 2005 à Avril 2006
Requête n° 0601535 : Arrêté de congé de maladie
Requête n° 0601536 : Raisons du refus de ma mutation 2006
Requête n° 0602448 : PV réunion FPMA du 19 juin 2006
Requête n° 0603112 : Référé-Injonction - Communication docs. à la FPMA du
20 juin 2005
Requête n° 0700775 : Arrêté de congé de maladie du 8 janvier au 6 février 2007
Requête n° 0700827 : Arrêté de congé de maladie du 7 au 23 février 2007
Requête n° 0702146 : Documents Groupe de travail du 24 mai 2007
Requête n° 0702151 : PV réunion FPMA du 19 juin 2007
Requête n° 0702152 : Documents FPMA du 19 juin 2007
Requête n° 0901768 : Doc. Modification Projet de mouvement Mutation 2008
Requête n° 0902439 : PV réunion FPMA du 16 et 17 juin 2009
24
La complicité entre les différents recteurs et les chefs d’établissement de Chauny et de
Soissons est manifeste. Tout le monde était d’accord pour me harceler en me refusant
jusqu’au dernier moment de me communiquer mes documents administratifs.
En 2007, suite au départ de JPP du collège de Soissons, je constate que les services rectoraux
ont été dans la capacité matérielle de traiter dans les délais impartis toutes mes
demandes, sans avoir à saisir la CADA et le tribunal administratif d’Amiens.
« Dans le courrier mis en cause, le proviseur ayant constaté une certaine agressivité dans le
comportement de Monsieur LANDEL vis-à-vis de ses collègues, demandait au Recteur une
aide psychologique pour cet enseignant.
25
Monsieur LANDEL a été convoqué deux fois par le Comité médical départemental afin de
rencontrer un expert qui devait rendre un avis sur son aptitude à exercer.
Monsieur LANDEL a refusé une première fois de se rendre chez l’expert, le 11 janvier 2001.
Le 15 mars 2001, le recteur adresse un courrier à Monsieur LANDEL, lui enjoignant de
justifier son absence au rendez-vous fixé par l’expert chargé de statuer sur son aptitude à
enseigner.
Le rapport disciplinaire établit bien la preuve que le harcèlement moral consistant à me faire
psychanalyser chez le docteur MARGAT est la suite logique de la lettre torche-cul
répugnante du proviseur JAILIN !
Le rapport établit que j’ai refusé deux fois de me rendre chez le docteur MARGAT en
2000/2001. Comme le montre mon analyse ci-dessous, j’ai été convoqué 33 fois de novembre
2000 à février 2005 et à chaque fois, j’ai décliné l’invitation !
Le scénario commencera par un harcèlement durant toute l’année scolaire 2000/2001 alors
que j’étais enseignant en activité au lycée Gay-Lussac de Chauny avec l’envoi d’une dizaine
de convocations pour me rendre chez le docteur MARGAT au centre médico-psychologique
de Tergnier !
Ayant toujours refusé d’obéir à de tels agissements illégaux et irresponsables de la part des
« responsables de l’académie d’Amiens », le rectorat, voyant que son entreprise de
harcèlement était vouée à l’échec, a changé de stratégie et a organisé à la hâte un conseil de
discipline bidon et truqué en essayant de faire témoigner tous les lèche-bottes du rectorat pour
que la sanction disciplinaire du déplacement d’office soit le plus crédible possible. Le recteur
MORVAN a convoqué le 21 septembre 2001 à Amiens, jour de mon conseil de discipline, ses
5 témoins prêts à débiter leurs mensonges et faux témoignages. Il s’agit du proviseur JAILIN
du lycée Gay-Lussac de Chauny, auteur de la lettre torche-cul répugnante, de l’IPR de
Sciences Physiques Madame PARENT Christiane ainsi que 3 indics de service ( 3
enseignants de Physique du lycée Gay-Lussac : RABARDEAU Jean-Hugues, BEVIERRE
Daniel et DESNOYERS Annie ).
Le conseil de discipline ayant décidé mon déplacement d’office au collège gérard Philipe de
Soissons, le harcèlement concernant les convocations chez le docteur MARGAT a continué et
duré jusqu’au 29 août 2005, sans aucun succès d’ailleurs !
Pour montrer l’ampleur du harcèlement orchestré par le rectorat, suite à la lettre torche cul
répugnante du proviseur JAILIN datée du 13 octobre 2000, il est nécessaire de faire
l’inventaire de toutes les convocations :
26
Année 2000/2001
Année 2001/2002
Année 2002/2003
Le recteur Morvan est nommé recteur de Lyon en Juillet 2002 et est remplacé
par le recteur LEROY, la Secrétaire Générale d’académie Brigitte BRUSCHINI
est nommée Secrétaire Générale de l’académie de Lyon le 15 janvier 2003 puis
27
Pierre-Paul BRUSCHINI, Secrétaire Général de l’académie de l’Aisne est
nommé dans la foulée Secrétaire Général de l’académie du Rhône !!!
Lettre de la SGA Brigitte BRUSCHINI du 13 septembre 2002 : Comité médical
Lettre de l’IA ( Pierre-Paul BRUSCHINI ) du 20/09/2002 : Comité médical saisi !
Lettre du Dr PILON ( médecin inspecteur ) du 08/10/2002 : RdV médical chez
MARGAT
Lettre de l’IA ( BRUSCHINI ) du 15/11/2002 au recteur LEROY : état des lieux
Lettre du Centre Médico-Psychologique Tergnier du 18/11/2002 : RdV MARGAT le
22/11/2002
Lettre du recteur LEROY du 22 janvier 2003 : Nouvelle procédure disciplinaire
engagée
Lettre de l’IA ( Michelle TOURBE ) du 7 avril 2003 : RdV MARGAT le 15 mai 2003
Lettre du Dr VILLETTE ( médecin de prévention ) du 09/04/2003 : RdV médical le 7
mai 2003
Lettre du recteur LEROY du 9 avril 2003 : Blâme, Suspension de salaire et
Menace de nouvelle procédure disciplinaire avec réunion du conseil de
discipline !!!
Lettre du Centre Médico-Psychologique Tergnier du 15/04/2003 : RdV MARGAT le
16/05/2003
Année 2003/2004
Année 2004/2005
28
Lettre du recteur du 29 avril 2005 : confirmation du motif de suspension de mon
salaire
Lettre du recteur du 29/08/2005 : nouvelle confirmation du motif de suspension de
mon salaire
Année 2005/2006
De plus, par jugement en date du 19 janvier 2006, reçu le 8 mars 2006, le Tribunal
administratif d’Amiens a annulé la décision illégale du recteur CAMPION du 16 février
2005 !
Le Tribunal administratif dans son jugement reconnaît que le recteur a commis une erreur de
droit en suspendant mon salaire ! Par contre n’ayant pas reconnu le harcèlement dont je suis
l’objet de la part du rectorat depuis le 13 octobre 2000, le Tribunal a commis lui aussi une
erreur de droit : les différentes lettres énoncées ci-dessus démontrent sans aucune ambiguïté le
harcèlement du rectorat pour me forcer à aller me faire psychanalyser chez le docteur
MARGAT au Centre médico-psychologique de Tergnier. Les 4 dernières lettres du recteur
CAMPION datées du 26 janvier 2005, du 16 février 2005, du 29 avril 2005 et du 29 août
2005 sont sans équivoque !
Année 2006/2007
Année 2007/2008
Année 2008/2009
Reprise subite du harcèlement en juin 2009 en fin d’année scolaire après quatre (4) années
d’interruption !
29
Lettre de Thierry LOUBIERE (Chef de la DPE au rectorat) en date du 25 juin 2009
Année 2009/2010
Les menaces de sanction disciplinaire à mon encontre émanant du rectorat ont été
nombreuses. Elles font partie intégrante de l’entreprise de harcèlement moral destiné à me
faire plier et à obéir aux ordres totalement illégaux du recteur. Pour ne citer que les plus
importantes, je retiendrai 8 menaces de sanction disciplinaire pour la période allant d’octobre
2001 à septembre 2003, soit :
Reprise des menaces de sanction disciplinaire après six (6) années d’interruption !!!
30
LES MENACES DE SANCTION DISCIPLINAIRE FONT PARTIE INTÉGRANTE
DU HARCÈLEMENT MORAL ORCHESTRÉ PAR LE RECTORAT
Le principal du collège Gérard-Philipe de Soissons, Monsieur Jean Pierre Paul, voyant que
son nouvel enseignant de Physique Chimie ne rejoignait pas son poste au collège le 10
octobre 2001, suite à la sanction disciplinaire du déplacement d’office, demanda à plusieurs
reprises au recteur d’effectuer des retraits de salaire pour « absences ». C’est une initiative
illégale de la part du chef de pacotille car toutes mes absences étaient justifiées par des arrêts
de travail établis par mon médecin traitant à Chauny. Suite à mes demandes répétées auprès
du recteur et de la CADA, j’ai réussi à obtenir 5 courriers :
Voyant que les demandes de retrait sur salaire étaient inutiles et surtout illégales, le chef de
pacotille a abandonné son harcèlement dès le début de l’année 2002 !
Je demande à mon tour au recteur des dommages et intérêts équivalant à 28/30 èmes du
salaire du principal pour harcèlement inadmissible illégal.
Une fois l’objectif réalisé, à savoir m’avoir viré du lycée Gay-Lussac de Chauny en septembre
2001 suite au conseil de discipline bidon et truqué présidé par Brigitte BRUSCHINI,
Secrétaire générale de l’académie d’Amiens, ne restait plus qu’à m’obliger par tous les
moyens possibles, légaux et illégaux, à rejoindre mon poste au collège Gérard Philipe de
Soissons.
Pendant toute l’année scolaire 2001/2002, période pendant laquelle mon médecin traitant ne
me faisait des arrêts de travail que pendant les périodes officielles d’activité, au nom du
recteur MORVAN, la secrétaire générale de l’académie Brigitte BRUSCHINI puis après, le
31
secrétaire général adjoint Michel JACQUET m’ont harcelé et menacé par des mises en
demeure successives de retenue sur traitement si je ne justifiais pas de mes absences pendant
les congés scolaires de la Toussaint ( 28 octobre au 4 novembre 2001 ), de Noël ( 23
décembre 2001 au 6 janvier 2002 ), d’Hiver ( du 3 février au 17 février 2002 ), de Printemps (
31 mars au 14 avril 2002 ) et même d’Été ( 30 juin au 1er septembre 2002 ) !
N’étant pas encore fou, je n’allais quand même pas justifier mes absences au collège
Gérard Philipe de Soissons pendant les congés officiels de Toussaint, de Noël, d’Hiver,
de Printemps et d’Été ! Les 11 mises en demeure envoyées par les deux personnes nommées
ci-dessus, aux ordres du recteur MORVAN, pendant la période allant du 14 novembre 2001
au 15 juillet 2002, sont restées lettres mortes (c’est normal vu que c’est complètement illégal)
et n’étaient destinées qu’à me harceler et me forcer à obéir à des ordres illégaux !
En conséquence, les deux harceleurs en question, n’étant plus soutenu par le recteur
MORVAN (parti à Lyon), ont abandonné leur harcèlement en septembre 2002 alors que je
continue à fournir des arrêts de travail uniquement pour les périodes pendant lesquelles je suis
censé travailler, ce qui me paraît logique.
Même dans le secteur privé, réputé moins laxiste que le secteur public, à ma
connaissance aucun patron ne harcèle ses employés en leur demandant de fournir des
arrêts de travail pendant leurs congés officiels ! Il y a quand même des responsables
irresponsables dans l’Éducation nationale en France !
Il est vraiment curieux de constater que ce qui était considéré comme illégal en 2001 par le
recteur MORVAN est considéré comme légal en 2010 par le recteur MUCCHIELLI, alors
que la loi est la même qu’en 2001 !
32
Suite à la suspension de salaire illégale du recteur LEROY du 9 avril 2003, j’ai été privé de
mon salaire pendant 7 mois d’avril 2003 à novembre 2003. Les requêtes au Tribunal
administratif d’Amiens puis à la Cour administrative d’appel de Douai ont été très
nombreuses et variées :
Requêtes classées par ordre chronologique de jugement par le Tribunal d’Amiens et la Cour
de Douai :
Il est à noter que le Tribunal administratif d’Amiens, sur ce dossier de suspension de salaire
2003, a par 7 fois rendu des jugements annulant mes requêtes puis subitement par jugement
33
rendu le 23 novembre 2006, a condamné l’état à me verser mon salaire du mois d’août 2003.
Quelle contradiction ! Une de plus !
Suite à la suspension de salaire illégale du recteur CAMPION du 18 février 2005, j’ai été
privé de mon salaire pendant 15 mois de Février 2005 à Avril 2006. Les requêtes au Tribunal
administratif d’Amiens, à la Cour administrative d’appel de Douai puis au Conseil d’état ont
été très nombreuses et variées :
34
Requête n° 0502718 du 21 octobre 2005 : Référé Provision 2005. Requête
rejetée par ordonnance du 18 novembre 2005
Demande d’AJ devant le Conseil d’état : Réf 0503974 en date du 5 décembre
2005 concernant l’ordonnance n° 0502718 du 18/11/2005 [ Référé Provision
Salaires 2005 dus par le rectorat ]. Déclaration d’incompétence et renvoi à
DOUAI.
Requête n° 0503241 du 19 décembre 2005 : Salaire Novembre 2005. Le
Tribunal administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23
novembre 2006 : « Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M.
LANDEL tendant au paiement de ses traitements de novembre et décembre
2005, janvier, février, mars, avril et mai 2006 »
Requête n° 0600219 du 25 janvier 2006 : Salaire Décembre 2005. Le Tribunal
administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23 novembre 2006 :
« Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M. LANDEL tendant au
paiement de ses traitements de novembre et décembre 2005, janvier, février,
mars, avril et mai 2006 »
Requête n° 0600406 du 15 février 2006 : Salaire Janvier 2006. Le Tribunal
administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23 novembre 2006 :
« Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M. LANDEL tendant au
paiement de ses traitements de novembre et décembre 2005, janvier, février,
mars, avril et mai 2006 »
Requête n° 0600634 du 15 mars 2006 : Salaire Février 2006. Le Tribunal
administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23 novembre 2006 :
« Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M. LANDEL tendant au
paiement de ses traitements de novembre et décembre 2005, janvier, février,
mars, avril et mai 2006 »
Requête n° 0601034 du 10 mai 2005 : Salaire Mars 2006. Le Tribunal
administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23 novembre 2006 :
« Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M. LANDEL tendant au
paiement de ses traitements de novembre et décembre 2005, janvier, février,
mars, avril et mai 2006 »
Requête n° 0601097 du 11 mai 2006 : Référé Provision 2005. Requête rejetée
par ordonnance du 12 juin 2006 : « Il n’y a pas lieu de statuer sur la demande
de M. LANDEL en tant qu’elle concerne le versement de la somme de
17049,28 euros »
Requête n° 0601338 du 9 juin 2006 : Salaire Avril 2006. Le Tribunal
administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23 novembre 2006 :
« Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M. LANDEL tendant au
paiement de ses traitements de novembre et décembre 2005, janvier, février,
mars, avril et mai 2006 »
Requête n° 0601533 du 30 juin 2006 : Salaire Mai 2006. Le Tribunal
administratif d’Amiens a décidé par jugement en date du 23 novembre 2006 :
« Il n’y a plus lieu de statuer sur les conclusions de M. LANDEL tendant au
paiement de ses traitements de novembre et décembre 2005, janvier, février,
mars, avril et mai 2006 »
Demande d’AJ devant le Conseil d’état : Réf 0600806 en date du 13 mars 2006
concernant le jugement n° 0500814, 0502717, 0502981 du 19/01/2006 [
Suspension de salaire 2005 et Salaires Septembre, Octobre 2005 ].
35
Appel en Conseil d’état du jugement du 19 janvier 2006 concernant le dossier
n° 0500814 ( Suspension de salaire illégale du recteur CAMPION ). Renvoi du
dossier à la CAA de DOUAI le 23/11/2006 sous le n° 06DA01599.
Suite à la suspension de salaire illégale du recteur CAMPION du 18 février 2005 annulée par
le tribunal administratif d’Amiens, les salaires des mois de Février 2005, Mars 2005, Avril
2005 et Mai 2005 ne m’ont toujours pas été payés, malgré les requêtes au Tribunal
administratif d’Amiens :
LES SALAIRES NON PAYÉS SUITE AUX DEUX DÉCISIONS ILLÉGALES DES
RECTEURS LEROY ET CAMPION FONT PARTIE INTÉGRANTE DU
HARCÈLEMENT MORAL ORCHESTRÉ PAR LE RECTORAT
Les nombreux retraits de salaire effectués par le rectorat d’Amiens à partir de l’année 2000
faisaient partie du dispositif de harcèlement mis en place par le recteur MORVAN à mon
égard. Ce type de harcèlement sera abandonné après le départ du recteur Alain MORVAN et
de sa Secrétaire générale d’académie Brigitte BRUSCHINI pour le rectorat de Lyon :
1. Retenue sur salaire de 62/30 èmes par arrêté rectoral du 9 mai 2000
Les requêtes devant les juridictions administratives ont été les suivantes :
36
du proviseur du lycée Gay-Lussac de Chauny. Requête rejetée par
ordonnance en date du 7 juin 2000.
Un appel devant la Cour administrative d’appel de Douai fut enregistré en
date du 24 juillet 2000 sous la référence n° 00DA00844. La requête a été
rejetée par ordonnance du 19 décembre 2001.
Une deuxième requête au Tribunal administratif d’Amiens fut nécessaire
pour ramener la retenue sur salaire de 62/30 èmes à 12/30 èmes ( arrêté du
recteur MORVAN en date du 9 mars 2001 ) ! Il s’agit de la requête n°
0001608 en date du 15 juin 2000. Par ordonnance du 22 octobre 2004, le
Tribunal a conclu qu’il n’y avait pas lieu de statuer sur la requête.
2. Retenue sur salaire de 15/30 èmes par arrêté rectoral du 11 janvier 2002
Retrait de salaire de 15 jours pour « service non fait » pendant une période d’arrêt de
travail avec congé de maladie !
Les requêtes devant les juridictions administratives ont été les suivantes :
3. Retenues de 12/30 èmes et 3/30 èmes par arrêtés rectoraux du 16 octobre 2000
Retrait de salaire de 15 jours pour « absence irrégulière » pendant une période d’arrêt de
travail avec congé de maladie !
4. Retenue sur salaire de 20/30 èmes par arrêté rectoral du 26 novembre 2002
Retrait de salaire de 20 jours pour « absence irrégulière » pendant une période d’arrêt de
travail avec congé de maladie et pendant les vacances de la Toussaint 2001/2002 !
5. Retenue sur salaire de 2/30 èmes par arrêté rectoral du 17 janvier 2003
Retrait de salaire de 2 jours pour « absence » excusée à une contre-visite chez un médecin
agréé le 20 décembre 2002 !
Suite à la suspension illégale de mon salaire prise par le recteur LEROY en date du 9 avril
2003, ce dernier a effectué un ordre de reversement d’un montant de 2569,78 euros
37
correspondant au salaire et primes « perçus à tort » pour la période allant du 13 avril 2003 au
30 avril 2003 !
Devant un tel sentiment d’injustice et d’abus de pouvoir, j’ai été contraint de saisir à 11
reprises le Tribunal administratif d’Amiens :
38
Requête n° 0703122 du 19 décembre 2007 : Annulation PV FPMA du 19 juin
2007
Requête n° 0802443 du 3 septembre 2008 : Refus Mutation 2008
Requête n° 0900977 du 14 avril 2009 : Demande en annulation de la nomination
de M. OLECRANO Frédéric au lycée Gay-Lussac de Chauny en Septembre
2008
« Les copies des documents demandés par Monsieur LANDEL lui ont été envoyées le 13
janvier 2006 ( pièces jointes n° 1, 2, 3 et 4 ).
Dès lors, la présente requête se trouve dépourvue d’objet et il n’y a plus lieu, pour votre
juridiction, de statuer sur la demande du requérant. »
Des 2 documents envoyés ( pièces 2 et 3 ), seule la pièce jointe n° 2 a un rapport avec cette
réunion de la F.P.M.A. du 20 juin 2005 mais il s’agit de la page 9 du procès-verbal de cette
même réunion !
Par définition un procès-verbal est établi non pas avant une réunion mais après une
réunion quand cette dernière est bien terminée !
39
Ayant fait remarquer au Tribunal avec preuves à l’appui ( mémoires en date du 25 janvier
2006 et du 21 septembre 2006 ) que tout n’était que mensonges de la part du recteur, cela ne
l’a pas empêché de conclure par ce jugement en date du 1er février 2007, page 5 :
« Considérant qu’il résulte des pièces du dossier que, (…), M. LANDEL a reçu
communication de ces documents (…) ; que, par suite, ses conclusions dirigées contre le
refus de Mme le recteur de l’académie d’Amiens de lui communiquer les documents
susmentionnés sont devenus sans objet ; qu’il résulte de ce qui précède qu’il n’y a pas lieu
de statuer sur lesdites conclusions présentées par M. LANDEL »
Conclusion : le Tribunal ne fait qu’entériner et reprendre à son compte les propos du recteur
contenus dans son mémoire du 17 janvier 2006 sans chercher à savoir qui est le menteur
dans cette affaire : Madame CAMPION, recteur de l’académie d’Amiens ou Monsieur
LANDEL simple enseignant de Sciences Physiques ! Un complément d’enquête est
absolument nécessaire !
Après le départ du recteur CAMPION au cabinet de la ministre Valérie PECRESSE le 1er juin
2007, les nouveaux recteurs de l’académie d’Amiens, Tanneguy LARZUL puis Ahmed
CHARAÏ, ont participé au harcèlement moral en continuant les magouilles et mensonges en
m’interdisant mon retour au lycée Gay-Lussac de Chauny, en Septembre 2008. En effet, ma
mutation intra-académique fut refusée dans l’illégalité la plus totale. Les moyens utilisés sont
toujours les mêmes : le mensonge et la magouille !
Devant un tel sentiment d’injustice et d’abus de pouvoir, j’ai été contraint de saisir le Tribunal
administratif d’Amiens en date du 3 septembre 2008 par requête n° 0802443 et en date du 14
avril 2009 par requête n° 0900977.
Les mensonges émanant des différents services du rectorat d’Amiens relayés par les 3 chefs
d’établissement Michel BOULANGER, Marc JAILIN et Jean Pierre PAUL depuis le début
du harcèlement dont je suis victime sont tellement nombreux et variés qu’il est nécessaire
d’en faire une sélection pour ne retenir que les plus grossiers !
De même, les faux témoignages et dénonciation calomnieuse de la part du rectorat, des chefs
d’établissement, des inspecteurs pédagogiques et des 3 indics de service ( les 3 enseignants de
physique du lycée Gay-Lussac de Chauny ayant témoigné, à charge, lors de mon conseil de
discipline ) s’articulent tous autour de 4 accusations mensongères ayant essentiellement
servies à organiser le conseil de discipline du 21 septembre 2001 pour me virer du lycée Gay-
Lussac. Le rectorat a su trouver suffisamment de personnes pouvant témoigner que j’étais :
40
Un enseignant qui casse le matériel pédagogique du laboratoire de physique
Un enseignant qui a besoin de se faire soigner et qui doit demander sa
mutation !
« Je ne vois dans vos agissements que la poursuite de votre politique : après vous en être pris
à votre hiérarchie, vous attaquez publiquement et injustement un collègue. »
« Comme il communique peu avec ses collègues, qu’il est constamment aveuglé par la haine
et la rancœur, il en oublie les règles déontologiques élémentaires et commence par alerter
l’opinion publique.
Dans ces conditions, je ne peux confier à M. LANDEL que des classes dans lesquelles ses
actions de sabotage ne peuvent avoir qu’un effet limité. »
41
D’autre part, elle écrit : « Monsieur LANDEL attribue la même note sur le bulletin trimestriel
à tous les élèves d’une même division », cette affirmation est mensongère et n’est destinée
qu’à me discréditer auprès de toute la communauté éducative !
A peine arrivé au lycée Gay-Lussac de Chauny comme proviseur en septembre 2000, venant
du collège Joliot Curie de Tergnier, ce diabolique personnage, en l’espace d’un mois arrive à
sortir sa lettre adressée au recteur que je qualifie de torche-cul répugnante, tant elle contient
d’insanités et de saloperies mensongères indignes d’une personne qui se prétend chef
d’établissement :
« M. LANDEL Guy a depuis la pré-rentrée une attitude très agressive vis-à-vis de ses
collègues.
Dès le 1er jour ( le 1er conseil d’enseignement ), des insultes et des menaces ont été proférées.
Ce mardi 10 octobre, M. Landel a insulté gravement M. RABARDEAU devant des témoins et
surtout des lycéens.
D’autre part, si M. Landel a bien repris cours et T.P., il n’en reste pas moins vrai que le
matériel est mis à rude épreuve.
Je pense que cet enseignant ne va pas bien ; j’ai pu m’entretenir avec lui et j’ai constaté qu’il
était toujours dans un état d’excitabilité important, passant de la menace à une attitude de
conciliation en quelques instants.
Je n’ai pu prendre connaissance de ce torchon ignoble que fin Mars 2001, soit 5 mois et demi
plus tard, suite à une multitude de démarches auprès de la CADA et du rectorat !
« Retranché dans ses convictions, M. LANDEL s’est coupé de ses collègues et du lycée ; le
seul moyen d’en sortir serait que vous demandiez votre mutation. »
Or, dans sa lettre torche-cul du 13 octobre 2000, le proviseur JAILIN écrivait : « Ce mardi 10
octobre, M. Landel a insulté gravement M. RABARDEAU devant des témoins et surtout des
lycéens »
En l’espace de quelques mois ( d’octobre 2000 à septembre 2001 ), les témoins et les lycéens
se sont tous volatilisés sauf un seul : l’agent de laboratoire !
42
Il ajoute, dans son témoignage :
« Aujourd’hui, à 14 heures, Monsieur LANDEL, qui assure ses cours cet après-midi, a
agressé une jeune aide de laboratoire stagiaire. »
Dans cette phrase, il y a deux mensonges grossiers. Le premier étant que l’après-midi de mon
conseil de discipline, je n’ai pu assurer mes deux séances de travaux pratiques, aucun matériel
n’ayant été préparé. De plus, le laboratoire de physique chimie était quasiment désert, tout le
monde étant mobilisé et accaparé par les préparatifs de mon conseil de discipline à Amiens.
Même le proviseur JAILIN est venu faire un petit tour de provocation à 13 h 30 juste avant de
se rendre au rectorat pour débiter ses mensonges et distiller son venin. Le deuxième
mensonge est bien évidemment l’agression dont aurait été victime l’aide de laboratoire qui
n’a, que je sache, jamais porté plainte contre moi !
Ce proviseur n’est pas crédible. Il est connu dans tout le District et même ailleurs
comme étant un fieffé menteur !
Madame PARENT, n’étant venue qu’une seule fois au lycée Gay-Lussac le 3 mars 2000
pendant ma grève des travaux pratiques avec mes 3 classes de Seconde et m’ayant rencontré à
cette occasion pendant une heure, en tête-à-tête, comment peut-elle affirmer de tels propos
diffamatoires à mon égard ? Ces propos accusateurs lui ont été dictés par le proviseur JAILIN
et l’irresponsable de laboratoire RABARDEAU rencontrés le même jour.
Madame PARENT n’est pas crédible du tout, les réponses qu’elles apportent aux questions
posées par les commissaires paritaires pendant mon conseil de discipline le prouvent. Trois
exemples :
« Monsieur LESCUREUX demande comment Monsieur LANDEL justifie son refus d’être
inspecté.
Madame PARENT a trouvé un enseignant qui se considère intouchable et qui estime qu’il est
hors du système. »
« Madame REITZMAN a constaté que l’inspection prévue en 1995 n’avait pas eu lieu. Elle
demande s’il est constant qu’un inspecteur pédagogique régional revienne.
Madame PARENT le confirme en rappelant que l’IA-IPR a le souci de venir en aide à
l’enseignant qui rencontre des difficultés. »
43
A la première question mensongère de Monsieur LESCUREUX ( je n’ai jamais refusé d’être
inspecté ), Madame PARENT répond par des banalités mensongères approuvant
implicitement le mensonge contenu dans la question de Monsieur LESCUREUX !
Tout ce qui précède démontre s’il en était besoin la mauvaise foi évidente de l’IPR,
Madame PARENT, qui n’a pas hésité à distiller ses mensonges et calomnies en public
lors de mon conseil de discipline !
Le proviseur rapporte des propos que j’aurais soit disant tenu lors d’un conseil de classe le
jeudi 27 novembre 1997 suite à une question de parent d’élève concernant la notation de mes
élèves ( 18/20 de moyenne pour la classe de 2°6 ). Selon Mme le Proviseur Adjoint qui
présidait le conseil de classe, j’aurais répondu, je la cite : « il en sera ainsi tant que je
n’aurai pas obtenu gain de cause dans le procès ( au tribunal administratif ) qui l’oppose à
sa hiérarchie. »
Tous ces propos qui me sont attribués sont mensongers et s’ajoutent à tous ceux colportés par
le proviseur pour me faire passer aux yeux du recteur comme « le saboteur de l’institution
scolaire », propos tenus à mon égard par le proviseur BOULANGER dans cette même lettre
du 1er décembre 1997
« Je viens d’être saisi, coup sur coup, de deux plaintes, l’une émanant d’un groupe d’élèves,
l’autre d’un Collègue, victimes d’agressions verbales de la part de M. Landel.
En fait, le conflit se radicalise, M. LANDEL s’enfermant dans sa logique, réclame des
réactions à ses multiples provocations.
44
J’écrivais le 6 janvier dernier : « le comportement de M. Landel devient incontrôlable ».
J’étais seul à l’époque à supporter ses écrits acrimonieux. Il n’en est plus de même et la
situation ne peut qu’empirer, à moins que vous ne décidiez d’y mettre fin.
Il en va de la sécurité des personnels et des élèves. »
Ne sachant plus quoi faire en ce mois de mai 2000 face à ma grève des travaux pratiques qui
dure depuis le mois de décembre 1999, le proviseur veut à tout prix en finir. Il appelle à l’aide
le rectorat en lui présentant la situation au lycée Gay-Lussac comme explosive, allant même
jusqu’à oser écrire que la sécurité des personnels et des élèves se trouve menacée !
« M. LANDEL Guy a depuis la pré-rentrée une attitude très agressive vis-à-vis de ses
collègues.
Dès le 1er jour ( le 1er conseil d’enseignement ), des insultes et des menaces ont été proférées.
Ce mardi 10 octobre, M. Landel a insulté gravement M. RABARDEAU devant des témoins et
surtout des lycéens. »
45
« Les relations entre Monsieur LANDEL et les autres enseignants de sciences-physiques se
dégradent et prennent la forme d’un conflit associant propos injurieux et grossiers à un
comportement physique agressif qualifié de dangereux, grave et irréversible. »
Concernant mon obligation de réserve, ce document fait mention d’un courrier de parents
d’élèves en date du 8 mai 2001 mettant en cause mon comportement.
Je ferais remarquer que ce courrier de parent d’élèves est anonyme et en temps que tel,
jusqu’à preuve du contraire, représente un faux témoignage de plus dans l’entreprise de
dénonciation calomnieuse du rectorat à mon égard depuis 1995.
« Madame REITZMAN demande si les collègues de Monsieur LANDEL, autres que ceux de
sciences physiques, sont gênés par le comportement de ce dernier.
Monsieur JAILIN précise que ces collègues sont las des affichages en salle de professeurs.
Madame REITZMAN demande de quelle nature sont les insultes.
Monsieur JAILIN : c’est un vocabulaire d’insultes, « salopard », par exemple. »
« Madame HENICQUE demande si les insultes sont dirigées exclusivement vers les collègues
de sciences physiques et quelle est l’attitude de Monsieur LANDEL vis-à-vis des nouveaux
collègues.
Monsieur JAILIN, à la première question, répond que Monsieur LANDEL n’a pas de contact
avec les enseignants des autres disciplines. Quant aux nouveaux collègues, il rappelle
qu’une jeune aide de laboratoire stagiaire s’est fait agresser verbalement. »
46
• Répondre « je rappelle que tous les élèves avaient 18 sur 20 » [ un mensonge
de plus ] à la question de Madame REITZMAN qui lui demandait si « les
parents d’élèves avaient manifesté d’autres plaintes » en dehors de la plainte
anonyme d’un parent d’élèves suite à la pétition ?
• Répondre « c’est un vocabulaire d’insultes, « salopard », par exemple. » à la
question de Madame REITZMAN qui lui demandait « de quelle nature sont les
insultes » ? Par cette réponse, j’en déduis que le proviseur aurait été témoin de
tels agissements de ma part ! Je m’étonne qu’aucune plainte en diffamation
n’ait été déposée !
« Madame PARENT dit que Monsieur LANDEL insulte ses collègues devant les élèves. »
Madame PARENT m’a-t-elle entendu une seule fois le 3 mars 2000 insulter mes collègues
devant les élèves ? Quelle honte pour un IPR de faire de telles déclarations en public ! Elle ne
fait que répéter bêtement les inepties des deux professeurs indics RABARDEAU et
BEVIERRE et du proviseur chef d’orchestre du mensonge et de la diffamation !
Je constate que Madame PARENT ne fait que répéter bêtement ce que lui a dit le
proviseur JAILIN concernant la discussion qui a eu lieu le jour même au lycée vers 14 heures
entre l’aide de laboratoire, le proviseur et moi-même !
Il ne faut pas témoigner de ce que l’on ne connaît pas !
« En 1998, les professeurs décident de ne plus supporter le mépris et les insultes de leur
collègue. »
47
« Lorsque Monsieur RABARDEAU fait remarquer à Monsieur LANDEL qu’un de ses élèves
avait fait un mélange réactif, il s’entend traiter de « pauvre connard » et de « salopard »
devant deux élèves et les aides de laboratoire.
Monsieur RABARDEAU ayant enlevé du tableau l’affiche relative à la 22ème ou 23ème semaine
de grève des travaux pratiques, il est insulté par Monsieur LANDEL qui lui dit : « je
t’emm…. » et qui s’approche très près de lui, tout proche de l’acte physique, la scène se
déroulant devant une classe et des aides de laboratoire. »
« Monsieur DEGRANDE demande s’il y avait des problèmes relationnels entre Monsieur
LANDEL et ses collègues, entre 1988 et 1994.
Monsieur RABARDEAU parle d’une ambiance délétère. Il rapporte l’incident de ce jour et
témoigne de la grande émotion de la jeune aide de laboratoire stagiaire insultée par
Monsieur LANDEL. »
L’irresponsable de laboratoire RABARDEAU est encore meilleur que l’inspectrice. Lui non
plus il n’a rien vu car il était lui aussi déjà à Amiens mais il peut tout de même témoigner « de
la grande émotion de la jeune aide de laboratoire insultée par Monsieur LANDEL » !
« Madame DESNOYERS dit combien Monsieur LANDEL s’est éloigné de ses collègues,
témoigne des propos très agressifs dont elle a été victime, notamment le jour de la pré-rentrée
2000, à propos de la répartition des classes et parle du courrier adressé en désespoir de
cause. »
A vrai dire Madame DESNOYERS doit exagérer un peu ou alors elle est plus forte que ses
deux autres collègues indics : le ton ne devait pas être si impressionnant que cela car elle
aurait dû avoir peur comme les autres, peur du « passage à l’acte » ou autre « agression
physique » !
« Monsieur LANDEL a affiché une lettre dans laquelle il affirmait que les enseignants de
physique avaient un comportement jubilatoire parce qu’il n’avait pas de classe scientifique.
Monsieur BEVIERRE lui a demandé ce que signifiait cette lettre en lui disant qu’il devait
régler ses problèmes avec Monsieur RABARDEAU et le proviseur.
Pour toute réponse, Monsieur LANDEL lui a lancé « espèce de salopard », devant deux
élèves qui passaient. »
48
« Madame HENICQUE demande à Monsieur BEVIERRE si Monsieur LANDEL a des
problèmes avec ses collègues des autres disciplines.
Monsieur BEVIERRE s’en est inquiété et il s’est entendu dire par ces collègues qu’ils
préféraient ne pas voir Monsieur LANDEL aux conseils de classe. »
« J’ai l’honneur de porter à votre connaissance l’agression verbale dont a été victime sur le
parking extérieur du lycée, M. Bévierre Daniel, professeur de sciences physiques au lycée
Gay-Lussac de Chauny par M. Landel Guy. »
Dans sa lettre au recteur du 14 mai 2002, le proviseur écrit : « Je sollicite un conseil juridique
afin de déterminer mon attitude à l’encontre d’une action qui nuit à l’image de
l’établissement. »
En l’espace d’un mois, l’agression verbale, dont aurait été victime le professeur lèche-bottes,
s’est transformée en agression physique !
Ce proviseur n’est vraiment pas crédible ! Par ses mensonges répétés, ce proviseur nuit à
l’image de marque de l’établissement. Le seul conseil à lui donner est de quitter au plus vite le
lycée Gay-Lussac avant qu’il ne soit trop tard.
« Constatant que les élèves de M. LANDEL cassent beaucoup plus de matériel que la
moyenne, consigne a été donnée par le professeur coordonnateur de les faire manipuler avec
les équipements certes plus anciens, mais toujours en service. »
Accusation mensongère intolérable de la part du proviseur qui a un double langage selon qu’il
s’adresse au recteur ou à moi !
« D’autre part, si M. Landel a bien repris cours et T.P., il n’en reste pas moins vrai que le
matériel est mis à rude épreuve. »
49
Concernant les faits qui me sont reprochés, le rectorat écrit :
« Les incidences sur l’enseignement de cette discipline semblent être de plus en plus
insupportables aux enseignants présents du fait de l’état du matériel qu’ils trouvent après
que Monsieur LANDEL en ait eu la responsabilité. »
« Madame REITZMAN demande si les élèves ont été sanctionnés pour les dégradations
commises.
Le proviseur précise que Monsieur LANDEL s’est toujours refusé à gérer ce type de
situation. »
Concernant les faux témoignages de l’IPR de sciences physiques, Madame PARENT, il est
écrit :
« Madame PARENT dit que Monsieur LANDEL insulte ses collègues devant les élèves et que
le matériel est dégradé. »
50
« Monsieur LESCUREUX demande à Madame DESNOYERS si elle a eu à souffrir des
dégradations du matériel.
Madame DESNOYERS a constaté que le matériel était endommagé. »
D'après quatre témoignages sur cinq, je suis accusé avec ou sans mes élèves, d'être l'unique
casseur au lycée. Cette détérioration se résume en tout et pour tout à la disparition de trois
petits cache-boutons rouge en plastique de boutons d'oscilloscopes le 26 novembre 1999 ( 11
€ TTC d’après facture ) !
La casse au lycée existe depuis longtemps, de plus, elle est relativement importante, à tel
point que Monsieur BOULANGER, l'ancien proviseur, envoyait, au début de chaque année
scolaire, une note destinée aux familles, concernant le matériel scientifique détérioré au cours
des travaux pratiques.
Le 1er décembre 1999, l'irresponsable de laboratoire, Monsieur RABARDEAU, fort de l'appui
du proviseur, m’interdit l'utilisation du même matériel pédagogique que tous les autres
professeurs. Déjà à l'époque, cela ressemblait à une provocation, une de plus, orchestrée par
les 3 collègues témoins et le proviseur, Monsieur BOULANGER. Ce dernier, isolé dans son
combat contre moi, avait besoin de s'attacher les services de quelques indics en physique.
C'est pour cette raison qu'il prend immédiatement fait et cause pour l'irresponsable de labo en
écrivant, en guise de conclusion, dans sa lettre du 4 décembre 1999 : " Je ne vois dans vos
agissements que la poursuite de votre politique : après vous en être pris à votre hiérarchie,
vous attaquez publiquement et injustement un collègue." Malgré tout, Monsieur
BOULANGER a deux langages. En effet, le même jour, soit le 4 décembre 1999, il écrit deux
lettres :
Pendant toute la durée de la grève, comme cela a déjà été dit auparavant, il n'y a jamais eu la
moindre tentative d'intervention ou de médiation de la part des 4 témoins. L'unique initiative
pour aborder le problème de la casse de matériel a été celle de l'irresponsable de labo de
convoquer une réunion générale, au labo, le mardi 25 avril 2000, ayant entre autre, comme
ordre du jour : " Casse du matériel : chacun essaye de proposer quelque chose pour limiter
l'hécatombe ".
51
Il semble extrêmement difficile de me rendre responsable de " l'hécatombe ", car
officiellement, depuis plus de 8 mois ( de septembre 1999 à avril 2000 ), " l'hécatombe " se
résume à la disparition des fameux 3 cache-boutons en plastique rouge !
Pour la petite histoire, il semble vraiment difficile d'accuser mes élèves de " casseurs ", du
moins pendant la période des 6 mois de grève des travaux pratiques !
" M. Bevierre insiste sur la multiplication alarmante depuis 2 ou 3 ans des dégradations
volontaires commises en physique. Elles coûtent cher et le comportement de quelques
saboteurs compromet les conditions d'enseignement de l'ensemble des lycéens." [PV du
Conseil d’administration]
Il s'agit d'une accusation très grave, exprimée lors d'une réunion officielle. Comment peut-il
qualifier ces dégradations de "volontaires" ? A t-il des preuves pour étayer ses accusations ? Il
est manifeste que l'irresponsable de laboratoire a une fois de plus failli à sa mission : il n'a pas
pu ou pas su identifier les " saboteurs " en l'espace de deux années à la tête du laboratoire
Il est alors décidé au CA d'amender le texte original de la Note aux familles en remplaçant
"maladresse de l'élève" par "dégradations intentionnelles ".
C’est ainsi qu’un modificatif en date du 10/11/2000 concernant la détérioration du matériel
scientifique est envoyé aux familles des élèves de Secondes, Premières S, Premières L,
Terminales S, Premières SMS et Terminales SMS.
Après avoir pris connaissance le 27 mars 2001, de la lettre-torchon du 13 octobre 2000, j’ai
écrit une lettre ouverte à M. JAILIN dénonçant ouvertement ses propos mensongers. N'ayant
obtenu aucune réponse, j’ai proposé à mes élèves, un texte de pétition à signer, dénonçant les
accusations mensongères de Monsieur JAILIN concernant la casse du matériel en physique.
Comme il est écrit dans le rapport, aucune suite n'a pu être donnée à cette pétition à cause des
manœuvres d'intimidation et de chantage du proviseur à l'égard des élèves.
52
« Le conflit qui oppose M. Landel, professeur certifié de sciences physiques à sa hiérarchie
depuis mars 1995 vient de prendre une tournure inquiétante. (…) Monsieur Landel
déraisonne, ses réactions deviennent imprévisibles et la situation ne peut que dégénérer. »
« Je pense que cet enseignant ne va pas bien ; j’ai pu m’entretenir avec lui et j’ai constaté
qu’il était toujours dans un état d’excitabilité important, passant de la menace à une attitude
de conciliation en quelques instants.
Aussi, craignant un incident grave ( passage à l’acte physique ), je sollicite de votre
bienveillance une aide psychologique pour ce collègue. »
« Retranché dans ses convictions, M. LANDEL s’est coupé de ses collègues et du lycée ; le
seul moyen d’en sortir serait que vous demandiez votre mutation. »
Concernant les faits qui me sont reprochés, ce document rapporte des témoignages
d’Inspecteurs qui signalent à mon sujet :
« Il se considère comme une victime dans cette affaire, son raisonnement est souvent peu
logique, il sort des remarques de leur contexte, les déformant par là même. (…) Ce professeur
m’a semblé d’une part très affecté du point de vue santé par cette affaire et d’autre part
entraîné dans une spirale sans fin dont il ne veut pas sortir. Il refuse l’éventualité d’une
affectation dans un autre établissement et dit vouloir aller jusqu’au bout. » [ Rapport
disciplinaire page 5/8 ]
« Monsieur JAILIN, propose à Monsieur LANDEL de s’entretenir avec lui. Au cours de cet
entretien, Monsieur LANDEL exprime sa lassitude de l’enseignement. Lorsque le proviseur
lui soumet l’idée de demander sa mutation, Monsieur LANDEL répond : « Pas question, je
suis là pour faire ch… mes collègues. »
« Le proviseur estime que Monsieur LANDEL ne va pas bien et qu’il lui faudrait une aide
extérieure dont l’intéressé ne veut pas.
Le proviseur ajoute que Monsieur LANDEL est dans une logique qui lui est propre, que les
problèmes que rencontre cet enseignant sont connus dans tout le district et que la pression
sur les élèves est très forte.
Monsieur CRINCKET souligne la patience dont a fait preuve le chef d’établissement et lui
demande si, de son point de vue, une mutation permettrait à ce collègue de se reprendre.
Monsieur JAILIN répond par l’affirmative à condition que cette mutation soit accompagnée
d’une aide et d’un suivi.
Aujourd’hui, à 14 heures, Monsieur LANDEL, qui assure ses cours cet après-midi, a agressé
une jeune aide de laboratoire stagiaire. »
53
« Madame REITZMAN demande au proviseur si c’est bien lui qui a demandé une aide
psychologique pour Monsieur LANDEL.
Monsieur JAILIN répond qu’il a la conviction que ce collègue a réellement besoin de cette
aide. »
1. Elle prétend que mes certificats médicaux ne justifient pas la totalité de mes
absences, ce qui est absolument faux. Pas un seul jour d’absence, tout au long de
l’année scolaire 2001/2002 ne se trouve injustifié !
2. Elle « déplore vivement l’attitude agressive de Monsieur LANDEL à l’égard de ses
collègues et de l’ensemble de la communauté enseignante. »
Ces propos mensongers diffamatoires tenus en réunion par la Présidente sont destinés
uniquement à essayer de me faire passer pour une personne violente, marginalisée en conflit
permanent avec l’ensemble de la « communauté enseignante »
D’une part, je mets au défi le rectorat de trouver une seule personne qui aurait eu à se plaindre
d’une quelconque « attitude agressive » de ma part et d’autre part, je fais remarquer que je
n’ai pas mis les pieds dans un établissement scolaire du mercredi 10 octobre 2001 aux
vacances d’été 2002 !
54
LES MENSONGES ET FAUX TÉMOIGNAGES À MON ÉGARD DÉBITÉS PAR LES
CHEFS D’ÉTABLISSEMENT, LES INSPECTEURS PÉDAGOGIQUES ET LES
SERVICES DU RECTORAT FONT PARTIE INTÉGRANTE DU HARCÈLEMENT
MORAL ORCHESTRÉ PAR LE RECTORAT
Conclusion
« Je vous informe que l’intégralité des témoignages des inspecteurs pédagogiques qui
figurent dans le rapport disciplinaire sont extraits de rapports qui ont été communiqués à
l’intéressé le 8 juin 2001.
55
Il s’agit des rapports consécutifs aux inspections en date des 20 janvier 1995, 23 mars 1998
et 9 juin 1998. »
« J’ai beau lire et relire dans tous les sens les rapports consécutifs aux inspections en date
des 20 janvier 1995, 23 mars 1998 et 9 juin 1998, je ne trouve aucune trace de témoignages
allant dans le sens des accusations perfides figurant dans le rapport disciplinaire et lues en
séance plénière lors de mon conseil de discipline.
Il s’agit là d’un fait grave sans précédent. Oser mentir, non seulement en Conseil de
discipline mais de surcroît, officiellement, par écrit, à la Présidente de la CADA, relève d’une
supercherie manifeste. Encore un faux témoignage supplémentaire de la part de représentants
du rectorat qui s’ajoute aux dizaines d’autres émanant des 3 enseignants délateurs de
Sciences physiques, de l’Inspectrice Pédagogique Régionale et du proviseur Super Menteur
du lycée Gay-Lussac de CHAUNY, faux témoignages débités lors de mon conseil de discipline
bidon et truqué du 21 septembre 2001 au rectorat d’Amiens.
« Monsieur LANDEL soutient que le rapport disciplinaire contenait des éléments dont il
n’avait pas pris connaissance avant que le conseil de disciplinaire ne siège. Le passage
litigieux est rédigé comme suit « [Monsieur LANDEL] se considère comme une victime dans
cette affaire, son raisonnement est souvent peu logique, il sort des remarques de leur
contexte, les déformant par là-même. (…) Ce professeur a semblé d’une part très affecté du
point de vue santé par cette affaire et d’autre part entraîné dans une spirale sans fin dont il
ne veut pas sortir. Il refuse l’éventualité d’une affectation dans un autre établissement et dit
vouloir aller jusqu’au bout ».
« Je constate cependant que les pièces à l’origine de ces mentions furent consultées par
l’intéressé.
1er avril 2003 : Réponse à la lettre post datée du recteur LEROY du 6 avril
2003 :
« En ce qui me concerne, je constate que vous n'avez pas répondu à ma demande. De plus,
toutes vos explications, parfois mensongères, entrecoupées de citations tronquées ou
déformées de proviseurs ou d'inspectrice, ayant un goût de réchauffé, n'arrivent pas à
masquer les élucubrations mensongères de votre secrétaire général adjoint, Monsieur
JACQUET.
C'est pourquoi j'ai décidé de porter plainte pour faux témoignage et dénonciation
calomnieuse contre [ les 6 personnes citées plus haut ] »
56
A titre d’exemple, le recteur LEROY a modifié le témoignage des inspecteurs pédagogiques
contenu dans le rapport disciplinaire. En effet, il est écrit : « Ce professeur m’a semblé d’une
part très affecté du point de vue santé ». Le recteur LEROY corrige à sa façon : « Ce
professeur a semblé d’une part très affecté du point de vue santé »
Tout cela pour montrer la précipitation dans l’élaboration des mensonges et faux témoignages
contenus dans le rapport disciplinaire. Pour preuve en milieu de première page du rapport
disciplinaire, il est écrit :
« Par courrier en date du 19 septembre 2001, Maître Gérard GATERRE, avocat au barreau
de LAON a indiqué qu’il était chargé des intérêts de Monsieur LANDEL. »
Le Conseil de discipline ayant été fixé au 21 septembre 2001, on ne peut que s’étonner avec
quelle rapidité et précipitation le rectorat s’est attelé à la rédaction de tous ces mensonges et
faux témoignages !
57
Arrêt de travail du 8 octobre 2001 au 9 octobre 2001 soit 2 jours
Arrêt de travail du 10 octobre 2001 au 25 octobre 2001 soit 16 jours
Arrêt de travail du 26 octobre 2001 au 27 octobre 2001 soit 2 jours
Arrêt de travail du 5 novembre 2001 au 24 novembre 2001 soit 20 jours
Arrêt de travail du 25 novembre 2001 au 10 décembre 2001 soit 16 jours
Arrêt de travail du 11 décembre 2001 au 22 décembre 2001 soit 12 jours
Arrêt de travail du 7 janvier 2002 au 7 février 2002 soit 32 jours
Arrêt de travail du 18 février 2002 au 13 mars 2002 soit 24 jours
Arrêt de travail du 14 mars 2002 au 30 mars 2002 soit 17 jours
Arrêt de travail du 15 avril 2002 au 14 mai 2002 soit 30 jours
Arrêt de travail du 15 mai 2002 au 14 juin 2002 soit 30 jours
Arrêt de travail du 15 juin 2002 au 29 juin 2002 soit 15 jours
Arrêt de travail du 2 septembre 2002 au 2 octobre 2002 soit 31 jours
Arrêt de travail du 3 octobre 2002 au 23 octobre 2002 soit 21 jours
Arrêt de travail du 4 novembre 2002 au 23 novembre 2002 soit 20 jours
Arrêt de travail du 24 novembre 2002 au 21 décembre 2002 soit 28 jours
Arrêt de travail du 6 janvier 2003 au 6 février 2003 soit 32 jours
Arrêt de travail du 3 mars 2003 au 22 mars 2003 soit 20 jours
Arrêt de travail du 23 mars 2003 au 12 avril 2003 soit 21 jours
Arrêt de travail du 28 avril 2003 au 24 mai 2003 soit 27 jours
Arrêt de travail du 25 mai 2003 au 16 juin 2003 soit 23 jours
Arrêt de travail du 17 juin 2003 au 28 juin 2003 soit 12 jours
Arrêt de travail du 1er septembre 2003 au 1er octobre 2003 soit 31 jours
Arrêt de travail du 2 octobre 2003 au 25 octobre 2003 soit 24 jours
Arrêt de travail du 10 novembre 2003 au 9 décembre 2003 soit 30 jours
Arrêt de travail du 15 décembre 2003 au 19 décembre 2003 soit 5 jours
Arrêt de travail du 5 janvier 2004 au 5 février 2004 soit 32 jours
Arrêt de travail du 6 février 2004 au 20 février 2004 soit 15 jours
Arrêt de travail du 8 mars 2004 au 14 avril 2004 soit 38 jours
Arrêt de travail du 15 avril 2004 au 16 avril 2004 soit 2 jours
Arrêt de travail du 3 mai 2004 au 4 juin 2004 soit 33 jours
Arrêt de travail du 5 juin 2004 au 30 juin 2004 soit 26 jours
Arrêt de travail du 1er septembre 2004 au 1er octobre 2004 soit 31 jours
Arrêt de travail du 2 octobre 2004 au 22 octobre 2004 soit 21 jours
Arrêt de travail du 4 novembre 2004 au 6 décembre 2004 soit 33 jours
Arrêt de travail du 7 décembre 2004 au 17 décembre 2004 soit 11 jours
Arrêt de travail du 3 janvier 2005 au 3 février 2005 soit 32 jours
Arrêt de travail du 4 février 2005 au 4 février 2005 soit 1 jour
Arrêt de travail du 21 février 2005 au 25 mars 2005 soit 35 jours
Arrêt de travail du 26 mars 2005 au 8 avril 2005 soit 13 jours
Arrêt de travail du 25 avril 2005 au 23 mai 2005 soit 29 jours
Arrêt de travail du 24 mai 2005 au 24 juin 2005 soit 32 jours
Arrêt de travail du 25 juin 2005 au 1er juillet 2005 soit 7 jours
Arrêt de travail du 1er septembre 2005 au 1er octobre 2005 soit 31 jours
Arrêt de travail du 2 octobre 2005 au 21 octobre 2005 soit 20 jours
Arrêt de travail du 3 novembre 2005 au 2 décembre 2005 soit 30 jours
Arrêt de travail du 3 décembre 2005 au 16 décembre 2005 soit 12 jours
Arrêt de travail du 3 janvier 2006 au 2 février 2006 soit 31 jours
Arrêt de travail du 3 février 2006 au 10 février 2006 soit 8 jours
Arrêt de travail du 27 février 2006 au 27 mars 2006 soit 29 jours
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Arrêt de travail du 28 mars 2006 au 14 avril 2006 soit 18 jours
Arrêt de travail du 2 mai 2006 au 2 juin 2006 soit 32 jours
Arrêt de travail du 3 juin 2006 au 14 juin 2006 soit 12 jours
Arrêt de travail du 15 juin 2006 au 4 juillet 2006 soit 20 jours
Arrêt de travail du 1er septembre 2006 au 4 octobre 2006 soit 34 jours
Arrêt de travail du 5 octobre 2006 au 25 octobre 2006 soit 21 jours
Arrêt de travail du 6 novembre 2006 au 5 décembre 2006 soit 30 jours
Arrêt de travail du 6 décembre 2006 au 22 décembre 2006 soit 17 jours
Arrêt de travail du 8 janvier 2007 au 6 février 2007 soit 30 jours
Arrêt de travail du 7 février 2007 au 23 février 2007 soit 17 jours
Arrêt de travail du 12 mars 2007 au 10 avril 2007 soit 30 jours
Arrêt de travail du 11 avril 2007 au 13 avril 2007 soit 3 jours
Arrêt de travail du 2 mai 2007 au 5 juin 2007 soit 35 jours
Arrêt de travail du 6 juin 2007 au 4 juillet 2007 soit 29 jours
Arrêt de travail du 3 septembre 2007 au 2 octobre 2007 soit 31 jours
Arrêt de travail du 3 octobre 2007 au 26 octobre 2007 soit 24 jours
Arrêt de travail du 8 novembre 2007 au 28 novembre 2007 soit 21 jours
Arrêt de travail du 29 novembre 2007 au 22 décembre 2007 soit 24 jours
Arrêt de travail du 8 janvier 2008 au 8 février 2008 soit 32 jours
Arrêt de travail du 26 février 2008 au 26 mars 2008 soit 31 jours
Arrêt de travail du 27 mars 2008 au 4 avril 2008 soit 9 jours
Arrêt de travail du 22 avril 2008 au 26 mai 2008 soit 35 jours
Arrêt de travail du 27 mai 2008 au 3 juillet 2008 soit 38 jours
Arrêt de travail du 1er septembre 2008 au 1er octobre 2008 soit 31 jours
Arrêt de travail du 2 octobre 2008 au 24 octobre 2008 soit 23 jours
Arrêt de travail du 6 novembre 2008 au 10 décembre 2008 soit 35 jours
Arrêt de travail du 11 décembre 2008 au 19 décembre 2008 soit 9 jours
Arrêt de travail du 6 janvier 2009 au 11 février 2009 soit 37 jours
Arrêt de travail du 12 février 2009 au 20 février 2009 soit 9 jours
Arrêt de travail du 10 mars 2009 au 17 avril 2009 soit 39 jours
Arrêt de travail du 5 mai 2009 au 2 juin 2009 soit 29 jours
Arrêt de travail du 3 juin 2009 au 2 juillet 2009 soit 30 jours
Arrêt de travail du 1er septembre 2009 au 23 octobre 2009 soit 53 jours
Arrêt de travail du 5 novembre 2009 au 18 décembre 2009 soit 44 jours
Arrêt de travail du 5 janvier 2010 au 5 février 2010 soit 32 jours
Arrêt de travail du 23 février 2010 au 2 avril 2010 soit 39 jours
Arrêt de travail du 20 avril 2010 au 21 mai 2010 soit 32 jours
« L’état de santé de Monsieur Guy LANDEL ne lui permet pas de se présenter au Collège
Gérard Philipe de Soissons et d’y faire quelque démarche que ce soit. »
« L’état de santé de Monsieur Guy LANDEL ne lui permet pas de prendre son poste au
Collège Gérard Philipe de Soissons. Il est affecté par l’incertitude concernant sa situation
professionnelle, selon ses dires.»
59
Certificat du 8 novembre 2005
« Les contraintes du secret médical ne me permettent que de dire que mon certificat du 31 08
05 ne concerne, jusqu’à nouvel ordre, que le Collège de Soissons et nul autre établissement. »
« Monsieur Guy LANDEL présente des troubles psychologiques qu’il rapporte à des
persécutions qu’il aurait subies de la part de son employeur.
Ces traumatismes qu’il dit avoir subis voire subir encore peuvent en effet constituer une
étiologie à ses perturbations. »
« L’arrière plan de cette affection est constitué par l’idée obsédante qu’il a subi un tort
inacceptable au Lycée Gay-Lussac dans les années 94/95, sous forme d’un conflit avec sa
hiérarchie où son bon droit n’aurait pas été reconnu et qui s’est poursuivi par ce qu’il
considère comme du harcèlement jusqu’à maintenant. Il cherche depuis avec opiniâtreté à ce
qu’on lui fasse justice.»
« En tout état de cause, la prise d’un poste au Collège Gérard Philippe n’est pas
envisageable. »
1) que Monsieur Guy LANDEL ne présente pas une maladie donnant droit à l’octroi
d’un congé de longue maladie ni ne pouvant être reconnue comme affection de
longue durée.
2) qu’il n’a pas été fait de demande de cette sorte ni de ma part ni de la sienne, à ma
connaissance. »
Les persécutions et le harcèlement dont j’ai été victime depuis plusieurs années ont
profondément altéré ma santé physique et psychologique. Je demande réparation de
l’énorme préjudice subi depuis de nombreuses années.
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XVI - Frais d’avocats dépensés
Le harcèlement incessant dont j’ai été victime de la part du rectorat d’Amiens depuis 1994 a
nécessité pour me défendre devant les différentes juridictions administratives le recours
d’avocats. Les honoraires versés lors des différents dossiers défendus sont par ordre
chronologique du harcèlement subi :
1er avril 2010 : Sanction disciplinaire du 4ème groupe : Mise à la retraite d’office par arrêté
du Ministre de l’Education nationale, M. Luc CHATEL, en date du 18 mai 2010 !
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