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FR 332
Prof. Witcher
12/16/19
A travers la longue histoire de la France, ce qui y est le plus associé, ce sont les
révolutions. Imaginez ceci : une image de la première révolution française fait surgir l'esprit
contre l'ancien régime oppressif et décadent, pour que le peuple gagne plus de droits. Ils crient
pour la « Liberté, égalité, fraternité ! » Ils utilisent des lits, des tables, des chaises et autres pour
barricader les rues. Robespierre entame un règne sanglant de terreur avec son amie, la guillotine.
Finalement, la liberté semble être atteinte, au moins jusqu'à la prochaine révolution. Au total, les
Français ont eu trois révolutions principales en 1789, 1830, et 1848. Les images, sous forme de
tableaux et de croquis, sont les capsules témoins qui capturent les pensées, les désirs, et les
espoirs des gens pendant les révolutions. L'importance des images révolutionnaires dans
l'historiographie de la civilisation française réside dans le fait qu'elles nous montrent les pensées,
les idéaux, et les symboles de ces temps agités. Les différents œuvres d’art des trois révolutions
ont utilisé des symboles similaires, comme les drapeaux et le tricolore, et différentes, comme les
scènes historiques, pour exprimer des thèmes révolutionnaires et reflétait les changements de
Deux tableaux populaires seront examinés pour chaque révolution. Pour la révolution de
1789, les œuvres d’art sont Arrestation de Monsieur de Launay (1793, Charles Thévenin) et Le
Serment du Jeu de Paume (1791, David). Pour la révolution de 1830, les peintures sont La
Liberté Guidant le Peuple (1830, Delacroix) et Scène de Juillet 1830, dit aussi Les Drapeaux
(Léon Cogniet). Et pour la révolution de 1848, ce sont Lamartine Devant l'Hôtel de Ville de
Paris (1848, Philippoteaux) et Sur les barricades de la rue Soufflot, à Paris, le 25 juin 1848
(Horace Vernet). Toutes ces images sont dans l’annexe, situé à la fin du papier.
La Révolution de 1789
Premièrement, la révolution française de 1789 est venue à cause des divers problèmes
entraîné une pauvreté accrue pour les classes inférieures (le Tiers État). Dans le même temps, le
remontrance. Avec l'abolition de la censure de la presse, les Lumières du XVIIIe siècle pouvaient
de l'opinion publique. À cause de ces problèmes, les événements de la révolution ont commencé.
Le croquis, Serment du Jeu de Paume, illustre la scène historique de la première fois que
les citoyens français se sont officiellement opposés à la monarchie. Les événements comme le
Serment ont passionné le peuple a l’action (Reymond, 115). Les gens ont prêté serment sur le 20
juin 1789 et a formé l'Assemblée nationale pour créer une constitution. Dans le croquis,
l'homme, debout sur le podium au centre du croquis, lit le serment tandis que la foule des gens
du Tiers État lève les bras vers lui. Deux membres du clergé (le premier domaine) sont impliqués
au début du croquis (Fohr et Torrés). Le vent du changement souffle à travers les rideaux du côté
gauche. La foule qui récite le serment représente l'unité du peuple français, qui va commencer à
violente de la révolution. Alors que le premier tableau montrait une tentative de coopération
entre les trois domaines, ce tableau montre le côté violent et sanglant de la révolution (« Prise de
la Bastille, le 14 juillet 1789 »). Cette scène historique montre le succès de la prise de la Bastille
des riches et donc un symbole de l'ancien régime. La Bastille elle-même était aussi un symbole
de ce régime (Varma et Verma, 770). De Launay est tué et décapité dans les rues de Paris. La
peinture montre une foule non organisée d'insurgés avec leurs sans-culottes, des fusils à
baïonnette, et des canons de tir, dans le coin inférieur gauche. Un groupe d'hommes avec des
chapeaux à épingles tricolores brandit un drapeau blanc, le drapeau de la dynastie des Bourbons
(« List of French flags »). L'un des hommes tenant le drapeau pointe à M de Launay (vêtu de
rouge), qui est capturé par un groupe de révolutionnaires. Cette scène de combat comprend
Ces deux tableaux représentent les thèmes révolutionnaires de 1789 qui reflètent les
changements par l’ancien régime à une époque des classes inférieures et de nombreux
changements gouvernementaux. Alors que les deux tableaux représentent des membres du Tiers
État dans leurs sans-culottes, ils dépeignent une transition de l'unité et de l'ordre politiques (le
Serment) au chaos sanglant d'une guerre civile (le Bastille). Les révolutionnaires de 1789
voulaient avoir davantage voix au chapitre dans leur gouvernement et coururent à la violence
pour atteindre leurs objectifs. Les thèmes révolutionnaires sont d'une unité politique du Tiers
État s'élevant contre leurs oppresseurs, absents dans le premier tableau, mais représentés par la
La Révolution de 1830
dynastie Bourbon, mais cette fois avec Charles X. Les problèmes qui déclenchent la révolution
étaient légèrement différents de ceux de 1789. Avec le début de la révolution industrielle dans le
XIXe siècle, il y avait des problèmes sociaux et de santé qui contribuent de la révolution de
1830. Puis en juillet 1830, les ordonnances de St-Cloud ont violé la constitution et ont retenu les
droits des citoyens avec la suspension de la liberté de la presse, une restriction du vote pour les
pouvoir du peuple acquis depuis la dernière révolution. La révolution est venue à nouveau au
cours des Trois Glorieuses entre 27 à 29 juillet 1830. Les Parisiennes ont barricadé les rues et
beaucoup ont été tuées. La révolution s'est terminée par une monarchie constitutionnelle avec
Louis-Philippe au pouvoir. Deux tableaux exemplaires reflètent les symboles importants de cette
révolution.
Cette peinture évoque des symboles de la révolution de 1789, ainsi que des nouveaux symboles.
L'image centrale du tableau est La Liberté, qui incarne la victoire des révolutionnaires. La
Liberté est devenue un symbole important quelques années après le début de la révolution de
1789, était donc absent des premières peintures de cette révolution. Elle porte le bonnet phrygien
et les hommes autour d'elle qui portent des sans-culottes. Le bonnet et les sans-culottes sont
originaires environ 1789 (Mitchell, 135). La Liberté brandit le drapeau tricolore du peuple
français, adopté pour la première fois en 1794, mais remplacé par le drapeau bourbon blanc lors
des restaurations du monarchie (« List of French flags »). Tout au long de la peinture sont les
couleurs du tricolore : bleu, blanc, et rouge. À l'arrière-plan, ce sont les tours de Notre-Dame,
révolutions français, les barricades, sont en arrière-plan à droite. Comme dans le tableau de la
Bastille, la foule se bat violemment avec des baïonnettes, en témoignent les cadavres au premier
plan. C'est un combat entre les monarchistes, représentés par l'homme en béret qui porte la
ceinture blanche des Bourbons, le bourgeois, vu par l'homme au chapeau haut de forme à gauche
de la Liberté, et les gens ordinaires de la foule. Le thème révolutionnaire principal du tableau est
premier. Contrairement à toutes les autres peintures analysées dans cet article, Les Drapeaux, ne
Trois Glorieuses. Il utilise principalement les couleurs du tricolore. À gauche, une couleur
orageuse sombre précède le drapeau blanc avec l'insigne Bourbon (de Brondeau). Sous le
drapeau du milieu se trouve un nuage de rouge, symbolisant une révolution sanglante. L'insigne
Bourbon est soufflé hors du drapeau blanc, permettant au ciel bleu d'être vu sur le côté gauche du
drapeau. Le dernier drapeau, à droite, a maintenant une tache rouge sang sur la partie droite du
drapeau. Ainsi, ce dernier drapeau ressemble maintenant au drapeau bleu, blanc, et rouge, le
Dans les deux peintures, ce sont des thèmes révolutionnaires de La Liberté et des
drapeaux qui reflétait les changements par une restauration Bourbon à la révolution pour la
liberté. La peinture de Delacroix est une idée romantique de la Liberté qui guide les gens contre
1789, le bonnet phrygien, les barricades, le tricolore, etc. parce que les révolutions de 1789 et
1830 étaient tous les deux contre la dynastie Bourbon. L’autre peinture, Les Drapeaux,
causes politiques étaient que les réunions publiques, comme les campagnes de banquets,
devenaient illégales. De plus, avant la révolution, il y a eu des problèmes avec les crises
février 1848. La Deuxième République était proclamée, avec Lamartine étant le premier ministre
temporaire. En juin, une guerre civile éclate, entraînant de nombreux morts et l'évacuation de
Paris.
le drapeau tricolore par un drapeau rouge. Lamartine, un ministre temporaire des affaires
étrangères, a répondu devant l’Hôtel de Ville de Paris. Il les a refusés, disant : « La France et le
drapeau tricolore, c’est une même pensée, un même prestige, une même terreur, au besoin, pour
nos ennemis ! Songez combien de sang il vous faudrait pour faire la renommée d’un autre
drapeau ! » (De Sepausy). Cette scène historique illustre l'importance du drapeau tricolore
comme symbole de la France. Quatre drapeaux tricolores se trouvent dans la peinture, par
opposition au seul drapeau rouge. Aussi, la foule est plus organisée que dans les tableaux
précédents, mais nous voyons encore des soldats avec des baïonnettes sur le côté droit, ainsi
Quatre mois plus tard, la guerre civile a commencé, que Sur les barricades de la rue
Soufflot, à Paris, le 25 juin 1848 représente. Ce peinture illustre l’insurrection des ouvriers de
Paris et les troupes gouvernementales du général Damesme qui attaquent les barricades des
insurgés (« Combats dans la Rue Soufflot, Paris, 25 juin 1848 »). Les insurgés au premier plan
sont symbolisés par leurs vêtements divers, leur position derrière les barricades, et leur drapeau
rouge. Un homme est debout sur les barricades pour lancer quelque chose aux soldats, se mettant
destruction, les insurgés semblent perdre et ont moins de gens que leur opposition.
Les deux tableaux donnent l'impression que les insurgés auront cette fois plus de mal à
lutter contre les chefs organisés et la puissance de feu des troupes du gouvernement temporaire.
Les tableaux représentent des scènes historiques où les drapeaux symbolisent les côtés contrastés
des travailleurs (rouge) contre le gouvernement (tricolore). Le travailleur a été le plus touché par
travailleur contre le gouvernement coïncide avec le besoin des travailleurs de lutter pour le
changement dans la société. Contrairement aux deux premières révolutions, celle-ci montrait des
Les Conclusions
Notamment, des drapeaux ont été utilisés dans au moins un des tableaux de chaque révolution
pour aider à symboliser les groupes contrastés dans les tableaux. Le drapeau blanc représentait la
représentait la lutte des ouvriers lors de la révolution de 1848. Tandis que le drapeau tricolore
était absent des deux exemples de tableaux révolutionnaires de 1789, le drapeau tricolore était
originaire pendant ce temps. Dans les tableaux où figuraient des personnages, il y avait une
figure centrale mise dans un moment d'action souvent romantique. Les artistes des trois
révolutions n'ont pas eu peur de montrer les côtés sanglants et violents, y compris les blessés et
les morts. Les barricades étaient également un symbole important pour les révolutionnaires et les
En conclusion, cet article n'est pas représentatif de toutes les œuvres d'art
révolutionnaires, mais il tente de trouver des symboles similaires dans et entre les révolutions
françaises de 1789, 1830, et 1848. Chaque révolution a ses propres causes uniques qui ont
nécessité d'un changement de société. Mais universellement, la révolution était le moyen pour les
personnes privées de leurs droits de prendre d'assaut les rues, et de lutter pour leurs droits. Les
deux thèmes les plus courants représentés dans toutes les révolutions étaient les événements
historiques des classes inférieures révolutionnaires contre les élites ou le gouvernement. Les
symboles du drapeau tricolore et de divers autres drapeaux ont aidé à différencier les côtés
opposés pour le spectateur. Les images révolutionnaires sont importantes dans l'historiographie
de la civilisation française parce qu'elles nous montrent les pensées, les idéaux, et les symboles
Titre: Arrestation de Monsieur de Launay / Prise de la Bastille, le 14 juillet 1789 (vers 1793)
Peintre: Charles Thévenin (1764-1838)