Sunteți pe pagina 1din 10

Critique littéraire

Méthodes de la critique littéraire

- La poétique d'Aristote
- La querelle des Anciens et des Modernes
- La critique au XIXe siècle

Le XIXe siècle a vu la promotion de l'histoire (c’est-à-dire l'histoire était dominante)


parmi les sciences. La critique en quête de rigueur s'est donc tournée d'abord vers
l'investigation (la recherche) historique. Après la Seconde Guerre mondiale,
l'histoire littéraire – enrichie des apports de l'étude des mentalités, des arts… -
poursuit sa brillante carrière. Mais l'essor et l'éclatement des sciences humaines
(sociologique, psychanalyse, linguistique, mythologie) ne tardent pas à susciter
l'apparition de nouvelles interprétations des œuvres. Des conflits surgissent qui
entraînent une réflexion exigeante sur les présupposés et les limites de chaque
méthode.

Naissance de la critique moderne:


Le XVIIIe siècle avait vu le triomphe de l'esprit critique, mais la manière plus
chaleureuse de Diderot, dans ses Salons (exposition de peinture), ouvrait déjà la
voie à une forme moderne (à partir du beau) de la prose: la critique littéraire conçue
non plus seulement comme un instrument de combat, mais comme une méditation
sensible où, pour reprendre la formule de Proust " se devine sous la lecture d'autrui
la lecture de soi-même".

Baudelaire est le type même du critique moderne et du poète qui porte un


critique en lui-même. Il nous intéresse par ses analyses pénétrantes (très profondes)
de la modernité " le transitoire (une période de transition), le fugitif (celui qui fuit),
le contingent (celui qui est à côté), la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel

1
Critique littéraire

et l'immuable" (il définit l'art en deux données contradictoires). Aux normes de


Boileau, il substitue l'attention accordée à la touche géniale, au détail insolite qui
doit permettre le brusque passage au spirituel.

L'âge positif
L'esprit positif allait-il ruiner ce splendide départ?

Il fait de la critique une science et non plus un art. Sainte-Beuve classe les écrivains
en "familles d'esprits" et les explique par leur caractère ou par leur temps.( se
référer à la critique littéraire de Carloni et Filloux P.28….

Taine soumet les faits littéraires ou artistiques à des lois et croit au déterminisme de
la race, du milieu, du moment. Renan reconnaît au " savant seul le droit d'admirer"
et affirme dans l'avenir de la science que " la vraie admiration est historique": Les
"Pensées" de Pascal ou les "Sermons" de Bossuet, admirables en tant qu'œuvre du
XVIIe siècle, mériteraient à peine d'être remarquées" si elles paraissaient de nos
jours.

Sainte-Beuve a su réagir au dogmatisme (qui suit un dogme très rigoureux)


tainien ; dans l'un des Nouveaux Lundis, en 1864 il reprochait à Taine ,l'auteur de
L'histoire de la littérature anglaise " de méconnaître ou de laisser inexpliquée la
spécialité unique du talent , si imprévue". Mais n'allait-il point tenter de forcer
cette dernière citadelle irréductible" en étudiant l'homme? Cette tentative
courageuse méconnaissait comme l'a fait remarquer Proust dans son contre Sainte-
Beuve "qu'un livre est le produit d'autre moi que celui que nous manifestons dans la
société"

L'œuvre critique de cet érudit, doublé d'un homme de goût, reste un


monument, avec l'Histoire de Port-Royal, les Portraits, les Lundis. Tout se passe

2
Critique littéraire

comme si, en véritable créateur, ou en véritable recréateur, ce biographe des âmes


avait fait éclater les limites d'une méthode trop rigoureuse.

Le temps des polémiques (critique qui attaque)


L'âge des polémiques était ouvert, et dans l'arène des lettres allaient s'affronter
critiques dogmatiques (comme Taine, Renan) et critiques impressionnistes (comme
Sainte-Beuve). Brunetière (1849-1906) juge les œuvres au nom de valeurs
intangibles (qu'on ne peut pas toucher), le " véritable" esprit français, la "véritable"
morale et la "véritable" nature de chaque genre littéraire. ( se référer à la critique
littéraire de Carloni et Filloux P. 46,47…. ).

A ce nouveau système Jules Lemaître (1853-1914) et les impressionnistes opposent


la sympathie immédiate, l'art de traduire le plus fidèlement possible les impressions
qu'une œuvre produit sur la sensibilité de chacun.(voir Anatole France , Rémi de
Gourmont , Gide , Alain …) .

Le grand mérite de la critique historique, représentée en particulier par Gustave


Lanson (1857-1934), est d'avoir avec beaucoup de sagacité, permis une conciliation
entre ces 2 extrêmes, et uni la solidité de l'érudition (savoir qui est basé sur des
recherches et des enquêtes.. etc.) aux exigences du goût. La connaissance de la
biographie , du milieu, des influences n'est pour Lanson qu'une opération
préliminaire permettant d'approfondir le plaisir esthétique. Sans doute " l'étude de
la littérature ne saurait-elle se passer aujourd'hui d'érudition"; mais "si la lecture des
textes originaux n'est pas l'illustration perpétuelle et le but dernier de l'histoire
littéraire, celle-ci ne procure plus qu'une connaissance stérile et sans valeur" (Avant-
propos de l'histoire de la littérature française, 1894). La méthode lansonienne,

3
Critique littéraire

fondée sur l'établissement de bibliographies, sur l'étude des sources et l'examen des
manuscrits, garde aujourd'hui encore toute sa valeur. Elle ne doit pas être
confondue avec ce qu'on a appelé le "lansonisme", caricature ou déformation de
cette doctrine, où la fiche tue l'esprit, et qui n'a guère eu d'existence que dans les
travaux d'épigones (successeurs - imitateurs) maladroits ou dans l'esprit
d'adversaires malveillants (malintentionnés).

A la veille de la Première Guerre mondiale, l'exaspération des esprits élève le


débat sur la critique à la hauteur d'un conflit "national". Maurras réhabilite la
critique normative. Péguy, mû par sa ferveur patriotique, s'emporte contre la
Sorbonne, bastion (forteresse) de "l'esprit historique" et du "parti intellectuel", et
voit dans le lansonisme une invasion de l'esprit germanique c'était vouloir à tout
prix, ici comme ailleurs, faire une mauvaise querelle. Mais la raison réelle était plus
profonde et plus intéressante. Bergson était passé par là, " rompant les fers" en
dénonçant l'intelligence comme un mode de connaissance imparfait, très inférieur à
l'intuition infiniment plus accordée à l'infinie fluidité du courant de conscience
dont, en définitive, est bien issue l'œuvre d'art. Au lieu de juger, au lieu d'expliquer,
ne faut-il pas plutôt subtilement pénétrer dans "ce que voit un autre de cet univers
qui n'est pas le même que le nôtre" (Proust), saisir le mouvement intime de la
création littéraire en le revivant soi-même? L'étude de Proust sur Flaubert dans
Chroniques, est bien supérieure, en ses quelques pages, au Flaubert publié en 1922
par Albert Thibaudet (1874-1936): les deux caractères de sa critique: description et
dégustation. L'œuvre de Thibaudet est la manifestation la plus cohérente et la plus
étendue du bergsonisme en critique littéraire. Une place prépondérante y est faite
au sentiment de la mobilité et de la durée.

Le danger d'une telle interprétation critique est de se substituer


inconsciemment à l'auteur étudié. Les écrits critiques de Valéry, quelque brillants

4
Critique littéraire

qu'ils soient, n'échappent pas toujours à ce piège. Hugo devient pour lui, un
"créateur par la forme", comme l'auteur de Charmes lui-même; Bossuet lui apparaît
comme une "trésor de figures, de combinaisons et d'opérations coordonnées",
comme un temple dont l'architecture splendide cache un sanctuaire ,aujourd'hui
désert .Bref , chaque écrivain devient un mythe où s'exprime la philosophie de la
genèse littéraire propre à Valéry. L'apparente "variété" ne recouvre qu'une
monotonie réelle, et dans le miroir du passé Narcisse ne cesse de retrouver sa
propre image.

La critique spiritualiste court un risque analogue. Elle feint de trouver, au terme


d'un travail d'approximation, une dimension transcendante qu'elle ne fait en réalité
que retrouver, puisqu'il s'agissait bien, sans que l'esprit en eût conscience, d'un a
priori véritable. Les admirables pages de Péguy sur Corneille dans Victor-Marie
comte Hugo et dans la Note conjointe témoignent moins d'une connaissance de
l'auteur du Cid et de Polyeucte que d'une reconnaissance, à travers le prétexte qu'il
constitue des thèmes familiers à Péguy lui-même : La tragédie du salut, le mystère
de la communion des saints, l'enracinement du spirituel dans le charnel.

Charles du Bos (1882-1939) fouille la "forêt obscure de l'âme d'autrui" pour en


découvrir l'Âme au sens religieux du terme. La "voie sacrée" de Stefan George, la
bénédiction de la douleur chez Baudelaire "le parfum d'éternité de la beauté
spirituelle" chez Marcel Proust, mais aussi "l'esprit souterrain" de Dostoïevski ou le
satanisme de Gide sont tributaires de la quête même "du spirituel dans l'ordre
littéraire". De pénétrante, la critique se fait interprétative, et s'éloigne délibérément
de l'ordre des sciences exactes.

Aussi viennent se dresser en face de ces "hérétiques" les gardiens, ombrageux


ou souriants, du rationalisme. Avec vigueur, et parfois même avec hargne, Julien

5
Critique littéraire

Benda (1867-1955) oppose à la "critique pathétique" des chercheurs d'ineffable les


droits d'un examen objectif.

Pour Alain (1868-1951), comprendre n'a pas de fin, et tout, même la page écrite,
mérite d'être passé au crible de l'élaboration abstraite. Clarifiée, elle devra aussi en
sortir enrichie. De fait, ses " Propos sur la littérature", souvent lumineux, font saisir
en un instant la vie ou la beauté d'une œuvre. Dans le sillage d'Alain ou de Benda
comment ne pas citer Paul Léautaud (1872-1956) l'auteur du "théâtre de Maurice
Boissard", acharné à déceler toute trace du Romantisme intempestif.

La critique depuis 1845


L'après-guerre a vu se mêler les tendances les plus diverses entre lesquelles il est
difficile de faire un tri. La décadence de l'impressionnisme littéraire s'est accentuée:
la formule d'Émile Faguet, " le bon goût, c'est mon goût" , n'est plus guère appliquée
que par les journalistes ou les feuilletonistes littéraires. La critique "lansonienne" du
bon sens du terme n'a cessé de s'affirmer, enrichissant à la fois ses méthodes et les
directions de son investigation. La biographie, que l'on reprocha tant jadis à Sainte-
Beuve, a trouvé en André Maurois (1885-1967) un maître singulièrement original,
qui a contribué à lancer une mode où se sont illustrés entre autres Henri Modor et
Henri Troyat.

La critique littéraire peut-elle rester une science comme le rêva Taine, alors que
les sciences elles-mêmes s'ouvrent à une vaste enquête sur l'humain? Peut-elle se
limiter à la critique "normative" celle qui consiste comme l'écrivait Charles Maurras
dans son "Prologue d'un essai sur la critique, "à discerner et à faire voir le bon et le
mauvais dans les ouvrages de l'esprit" comme si le jugement d'un seul pouvait avoir
une valeur universelle ? n'est-elle une arme à utiliser par les chefs d'école (André

6
Critique littéraire

Breton, Manifestes du surréalisme) par les pamphlétaires (Julien Gracq, la littérature


à l'estomac), par les thuriféraires de tel ou tel parti politique ou de telle ou telle
religion? Doit-elle s'obstiner à étudier minutieusement, chez un seul auteur, une
seule "métaphore obsédante" ou les mille et un incidents d'une vie banale et
singulière comme toutes les vies? Est-elle par essence philosophique ou historique?

Elle est probablement avant tout une œuvre collective qui fait jouer la grande
solidarité des esprits. Les 2 points de vue de Thibaudet et de Proust sur Flaubert se
complètent. Le "Baudelaire" de Sartre n'est pas plus indifférent que celui de Pierre
Emmanuel ou que " le dernier Baudelaire de Charles Mauron". À peine se prend-on
seulement à souhaiter que la critique reste véritablement littéraire, que les
biographes ne se perdent pas dans les chiffres, les psychanalystes dans les
complexes et les philosophes dans leurs concepts ou dans leurs néologismes, que la
critique d'art soit elle-même ou tende à être le plus possible un art.

La critique nouvelle s'efforce de cerner les conditions de la création. Elle a pris


conscience que celle-ci comporte trois variables: le milieu socio-historique, la
personnalité créatrice, le langage. Depuis 1955 surtout, les recherches critiques ont
fait preuve d'une telle vitalité que ce genre littéraire tient aujourd'hui le devant de
la scène.

La critique impressionniste:

Réticente ou indifférente devant les prétentions de la critique à se constituer


comme science, toute une pléiade d'esprits originaux s'adonne à une lecture
spontanée, globale, intuitive. Si ce refus de se plier à une méthode conduit parfois à
une pratique ridicule – "le bon critique, croyait Anatole France, est celui qui raconte
les aventures de son âme au milieu des chefs-d'œuvre"! – il importe de souligner la
valeur de certains essais ou articles. Dans la presse, dans les revues, comment
contester la qualité de Marcel Arland, Maurice Nadeau, Claude Roy, et tant

7
Critique littéraire

d'autres? Quel écrivain ne juge pas ses confrères en fonction de sa propre création?
Nombre d'essais ressortissent à cette libre critique de sympathie: au premier rang
ceux de Gaëtan Picon "Panorama de la nouvelle littérature française, Malraux,
lecture de Proust). Thierry Maulnier propose le mirage d'un néo-classicisme dont la
vertu essentielle serait la pureté du langage: ses études sur Racine n'ont jamais été
égalées.

Inclassable, mais secrètement exigeante est la critique pratiquée par Maurice


Blanchot dont les ouvrages comptent parmi les plus profonds du dernier quart du
siècle.

La critique historique:
L'apparition du programme de Lanson continue à susciter une foule de
recherches nécessaires et rigoureuses : établissement de textes, édition de
correspondances, études de sources, investigations d'histoire littéraire, études
d'influence. Parmi bien d'autres, les noms de Jean Frappier et de Pierre Le Gentil
pour le Moyen âge, de Raymond Lebègue et V.-L. Saulnier pour le XVIe siècle
d'Antoine Adam pour le XVIIe siècle de Jean Fabre et René Pomeau pour le XVIIIe
siècle, de Frédéric Deloffre (les lettres portugaises; Marivaux) , de Marie Jeanne
Durry (Châteaubriand, Apollinaire), Bernard Guyon (Balzac, Péguy), Jean Prévot
(Stendhal, Baudelaire) Pierre-Georges Castex (le conte fantastique; Balzac, Stendhal,
Nerval, Baudelaire, Villiers de l'Isle – Adam) illustrent ce secteur de la critique. La
plupart ne se limitent d'ailleurs pas à une tâche d'historien, mais recourent à la
philologie, à la stylistique pour éclairer les œuvres. Henri Guillemin s'est taillé une
solide réputation d'iconoclaste (Chateaubriand, Vigny, Péguy), Raymond Picard
maître ès études raciniennes, a mis le feu aux poudres en s'attaquant à la nouvelle
critique dans un pamphlet brillant:" Nouvelle critique ou nouvelle imposture"? En
1965.

8
Critique littéraire

Sociologie et littérature:
Le domaine de la sociologie de la littérature est immense et peu exploré:
sociologies de l'écrivain, de l'œuvre, du public, du médium livre; techniques de
l'analyse de contenu; recherches sur la littérature de masse.

Déjà Roger Caillois et ses amis du Collège de sociologie, Georges Bataille et


Michel Leiris avaient fait profiter leurs écrits esthétiques de leur expérience
d'ethnologues ou de sociologues. Néanmoins, pas plus que Jules Monnerot (la
poésie moderne et le sacré, 1959), ils ne se plient à une méthode rigoureuse. Sartre
avait montré dans Situations II (1948) l'influence exercée par le public sur l'acte
créateur lui-même, mais l'essentiel de son investigation demeurait ailleurs. Ce sont
les riches études d'Auerbach ( Mimésis 1946) et de Luckacs (Théorie du roman,
1920; Balzac et le réalisme français, 1952) qui constituent- hors de France-

les premières explorations systématiques du contexte social des oeuvres.

Lucien Goldmann (1913-1970)


Disciple déclaré de Luckacs, le marxiste Lucien Goldmann a défini une méthode:
"le structuralisme génétique" . Selon lui , les groupes sociaux sont les véritables
sujets de la création littéraire. Chaque groupe a une "vision du monde", "ensemble
d'aspirations, de sentiments et d'idées qui réunit les membres d'un groupe (le plus
souvent d'une classe sociale) et les oppose aux auteurs groupes". De cette "vision"
les membres du groupe n'ont pas une conscience claire. C'est l'écrivain, l'artiste qui
en prend "le maximum de conscience possible" Goldmann tendra à dépasser cette
conception romantique du Mage en affirmant dans "Pour une sociologie du roman"
1964 que l'écrivain peut même contester la "vision du monde" de sa classe. Dans
son livre le plus connu le Dieu Caché (1955), il s'efforce de montrer que la "vision
tragique" des écrits de Pascal et de Racine est homologue à l'idéologie d'une

9
Critique littéraire

noblesse de robe écartée peu à peu du pouvoir. Si l'apport de Goldmann à la


connaissance de Pascal et de Racine est faible, ses remarques de méthode sont d'un
vif intérêt. Au structuralisme génétique on a reproché l'insuffisance de son
explication des rapports dialectiques entre l'individu-auteur et le groupe, le
caractère grossier au factice des structures mises en évidence, son ignorance des
pouvoirs du langage , son indifférence à l'art. Les bases historiques et sociologiques
du Dieu caché ne sont pas acceptées par les spécialistes du XVIIe siècle. Enfin la
méconnaissance de la longue tradition religieuse dans laquelle s'insèrent Pascal et
Racine frappe de caducité les conclusions. Goldmann n'en conserve pas moins le
mérite du défricheur.

Les groupes de recherche: plusieurs centres s'attachent à cet ordre

de recherches, notamment:

- L'école de Bordeaux, animée par R. Escarpit (le littéraire et le social 1970).


- Le cercle d'épistémologie de l'École Normale Supérieure qui publie ses cahiers
pour l'analyse. Ce cercle subit l'influence du néomarxisme de L. Althusser, de même
que Pierre Macherey (pour une théorie de la production littéraire, 1966).
- Le groupe Tel Quel, qui s'efforce de concilier - dans l'étude des textes –
matérialisme dialectique, psychanalyse et linguistique : Freud, Marx, Saussure
(Théorie d'ensemble, 1968; J. Kristeva, "la révolution du langage poétique", 1974).
- Le centre d'études des communications de masse (CEC Mas devenu en 1974 le
CETSAS) qui publie la revue Communications.

11

S-ar putea să vă placă și