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Techniques d’assemblage

Contenu Page

Le rivetage .................................................................................. 2
Le soudage et le brasage............................................................ 4
Le collage .................................................................................... 9

Dessins
Chapitre 6
Techniques d’assemblage

TECHNIQUES D’ASSEMBLAGE

(Voir également chapitres « Soudage » et « Montage » dans « Technologie de la


machine-outils », éd. CIP Tramelan, 1997)

Le rivetage
L'assemblage par rivetage est obtenu au moyen de rivets (tige cylindrique
comportant une tête) que l'on introduit dans les trous de deux ou plusieurs pièces
préalablement superposées.

La partie cylindrique (tige) émergeant des pièces est refoulée; cela a pour effet:

- le gonflement de la tige qui remplit parfaitement son logement


- la formation d'une rivure qui assure un serrage axial énergique

Les types de rivets

Rivet tubulaire (POP)

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Chapitre 6
Techniques d’assemblage

Le principe

1) Mise en place du rivet


2) Mise en place de la bouterolle sur le rivet
3) Ecrasement de la tige du rivet et formation de la tête
4) Rivet posé

Très sérieusement concurrencé par le soudage, (cette technique n’est par exemple
pratiquement plus appliquée en chaudronnerie), le rivetage conserve un domaine
d’application relativement important dans l’industrie aéronautique.

Ce procédé ne nécessite pas des investissements importants.

L’exécution et le contrôle des rivures sont très simples. Par contre, le rivetage
endommage l’état de surface des tôles. La pose des rivets est coûteuse étant donné
la lenteur du procédé

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Chapitre 6
Techniques d’assemblage

Le soudage et le brasage

Les procédés de soudage et de brasage produisent des joints qui sont


indémontables et permettent en général le flux de chaleur et de courant électrique.
Ils sont, si proprement conçus, étanches et ont la meilleure performance mécanique
par poids additionnel de tous les types de joints.

Bien que les termes soudage en phase liquide et brasage sont souvent confondus
dans le langage commun, des différences bien précises entre les deux existent.

Le brasage est une technique consistant à effectuer un apport de métal fondu entre
deux pièces formant. Les pièces à braser ne sont pas fondues, donc la température
de fusion du métal d'apport doit être inférieure de la température solidus des pièces
à braser.

Le terme soudage s'applique aux procédés où les deux pièces à souder sont
localement fondues et ensuite solidifiées en formant une entité.

Les procédés de soudage et brasage se distinguent également par le moyen de


chauffage qui est utilisé.

Pour le brasage, il existe des moyens de chauffage local et global comme par
exemple le chalumeau et le chauffage par induction (local), ainsi que l’utilisation de
fours et de bains de sel (global).

Le soudage est limité à des méthodes de chauffage locales.

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Chapitre 6
Techniques d’assemblage

Brasage Soudage en phase

Température de brasage en de Température de soudage en de dessus


dessous de la température de fusion de la température de fusion du métal de
du métal de base base.

Les pièces à souder peuvent avoir de Les pièces à souder doivent avoir des
grandes différences en point de fusion points de fusion assez proches

Il y peut avoir un métal d’apport mais il


Il y a toujours un métal d’apport existe aussi des méthodes sans métal
d’apport (soudage autogène)

La microstructure est sensiblement


La microstructure du métal de base
modifiée dans la zone de fusion et dans
peut être gardée
la zone thermiquement affectée (ZTA)

Chauffage local ou global Le chauffage est toujours local

Un joint est en général formé entre deux pièces. La composition de celles-ci est
nommée métal de base (pour les métaux) ou plus généralement matériau de base.
Ceci est pour le distinguer du métal d’apport, qui est le matériau fondu et ajouté pour
remplir la fente, nom de l’interstice entre les deux pièces à joindre. La jonction établie
est, selon le cas, référée comme soudure ou brasure.

Le métal d’apport peut être

• un simple morceau de métal introduit dans la zone chauffée du soudage


• sous forme d’électrode fusible, il fait alors partie du circuit de soudage
• identique au métal de base, on parle alors de soudure homogène
• différent du métal de base, pour la soudure hétérogène
• sous forme de soudure autogène, lorsqu’il n’y a pas de métal d’apport.

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Chapitre 6
Techniques d’assemblage

Différences générales entre soudage en phase liquide et brasage.

Par arc électrique


Soudage
Électrodes enrobée, sous flux solide, MIG / MAG,
Assemblage physiques

TIG, plasma
Par faisceau
indémontable

Brasage
Laser, electrons
Thermo-chimique
Gaz combustibles, aluminothermie
Brasage

Tendre
Fort
Soudo-brasage

Différents types d’arrangements de pièces à joindre

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Chapitre 6
Techniques d’assemblage

La soudure autogène

Le brûleur, qui expulse un mélange d'oxygène et de gaz, est l'organe le plus


important d'un équipement de soudure autogène. Le gaz associé à l'oxygène est
l'acétylène, un gaz (hydrocarbure non saturé). Attention, il est impossible de
percevoir les fuite de ce gaz
.
Le mélange gazeux
Le mélange gazeux s'effectue dans la lance du chalumeau. L'oxygène et l'acétylène
y sont mis en présence, le premier à grande vitesse, le second sous basse pression.
Ceci entraîne, au niveau de l'ouverture de la lance, une dépression provoquant
l'aspiration de l'acétylène et permettant le mélange.

Les manomètres
Les manomètres dont sont pourvues les bouteilles jouent un rôle fort important : ils
permettent de réduire en effet la pression, élevée à l'intérieur des bouteilles, jusqu'à
une valeur permettant la production d'une flamme utilisable : 1 bar pour l'oxygène,
0,4 bar pour l'acétylène.

L'allumage
Ouvrir les deux vannes. Utiliser de préférence un briquet spécial pour enflammer le
mélange gazeux. La flamme aura généralement l'aspect d'un panache jaune-blanc,
ce qui est l'indication d'un mélange trop riche en acétylène. Elle apparaît également
détachée de la buse.

Le débit d’acetylène
Diminuer ensuite progressivement le débit d'acétylène, jusqu'à ce que la flamme
«recolle » à la buse. Commencer par un excès d'acétylène pour en diminuer ensuite
le débit est le meilleur moyen de s'assurer d'un réglage optimal pour le soudage.

Réglage du débit d’oxygène


Augmenter progressivement le débit d'oxygène, jusqu'à ce qu'un beau panache
blanc se forme. Ce réglage doit être effectué avec précision. Un excès d'oxygène est
nuisible à la qualité de la soudure. Si nécessaire, diminuer le débit d'oxygène, puis
reprendre le réglage.

La zone de chauffe
Pour que la chaleur soit répartie au mieux sur les matériaux à souder, il est important
d'utiliser la zone la plus chaude de la flamme, dite « zone réductrice » (l’extrémité du
dard).

Le maintien du chalumeau
Incliner la lance de 42° par rapport à la ligne de soudure. Le dard, la partie la plus
blanche de la flamme, effleurera les parties à souder sans les toucher. Pousser la
lance vers l'avant (au contraire du travail à l'arc électrique). La température élevée
fondra ensemble les bords des deux pièces.

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La soudure électrique

Le poste de soudure :
Les postes de soudure permettent de souder électriquement. La plupart sont
alimentés par le secteur (220 V), et sont donc équipés d'un fil trois brins et d'une
simple prise de terre. Les postes les plus puissants, fournissant une intensité
supérieure à 140 A, sont alimentés en triphasé.
Deux câbles sortent du poste de soudure : l'un sera relié à l'électrode, l'autre à la
pince de masse, qui sera elle-même reliée à la pièce métallique à souder. L’armoire
de distribution électrique doit comporter un fusible de 16 A.

Le principe :
Le type de soudure exécuté avec un poste à arc requiert une température très
élevée. Cette température peut être obtenue grâce à un arc électrique, en fait un
»éclair » de quelques mm de long reliant l'électrode du poste aux surfaces
métalliques à assembler.
En frottant légèrement l'extrémité de l'électrode contre le métal des pièces, on
provoque un court-circuit.
Celui-ci a pour résultat l'apparition d'une étincelle chauffant l'air entre les deux points
de contact : c'est dans cette atmosphère très conductrice que se produit alors un arc
électrique.

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Chapitre 6
Techniques d’assemblage

Le collage
Définition

C'est une matière qui lie des éléments pas adhérence et par cohésion. Par cette
opération, il ne se produit aucun changement de la structure.

• L'adhérence: C'est la force de liaison exercée entre l'adhésif et les pièces à


assembler
• La cohésion: C'est la force qui agit entre les molécules de l'adhésif pour les
maintenir ensemble.

Genre de contraintes des collages:

Contrainte au cisaillement sous traction:

Les forces agissent parallèlement au collage. Elles se répartissent uniformément sur


toute la surface collée.

Contrainte à la traction

Les forces agissent verticalement sur le collage et se répartissent uniformément sur


toute la surface collée

Précautions à prendre pour le collage

- Ventilation et aération des ateliers où le travail est effectué


- Aspiration des vapeurs se développant aux postes de travail.
- Porter des gants de protection
- Interdiction de fumer
- Pendant les travaux de collage, il est interdit de manger
- Enduire les mains d'une crème protectrice avant de commencer
- Il faut se laver les mains après avoir fait un collage
- Ne pas se nettoyer les mains avec des solvants

Précautions à prendre pour éviter les accidents

Les solvants, les adhésifs contenant partiellement des solvants, les diluants et
les agents de dégraissage appartiennent aux produits de travail les plus
dangereux. Lors de leur fabrication ou de leur utilisation en grandes quantité, il
y a danger d'insalubrité, d'incendie ou d'explosion.

Il faut donc observer strictement les prescriptions légales et les indications fournies
par les fabricants.

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