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cad

I.1 Présentation de SONATRACH re


des
I.1.1. L’entreprise « SONATRACH » am
SONATRACH est la compagnie nationale Algérienne de recherche, éna
d’exploitation, de transport par canalisation, de transformation et de ge
commercialisation des hydrocarbures et de leurs dérivés. Elle intervient me
également dans d’autres secteurs tels que la génération électrique, les énergies nts
nouvelles et renouvelables et le dessalement d’eau de mer. Elle exerce ses stru
métiers en Algérie et partout dans le monde où des opportunités se présent. ctur
SONATRACH a été créer le 13-02-1963 par le décrit n°63-491. els
exig
SONATRACH est classées régulièrement parmi les douze grandes compagnies
és
pétrolières mondiales, grâce à :
par
la
 Un potentiel humain qualifie.
croi
 Une législation très attractive et compétitive en matière d’hydrocarbures.
ssa
 D’impotentes réserves.
nce
 Une expérience de (40) années dans le domaine d’exploitation et du
des
développement des champs.
acti
 Une grande expérience dans l’industrie du GAZ.
vité
 Une situation géoéconomiques privilégiée, avoisinant l’important marché
s de
de l’union européenne et ouvert sur le reste
l’en

I.1.2. Croissance et intégration 1971-1980 trep


rise
Phase capital de l’histoire de SONATRACH elle fut marquée par :
ou
a. La nationalité.
par
b. D’investissements massifs ayants pour objectif :
la
 L’augmentation des capacités de raffinage ;
néc
 La création des capacités de liquéfaction ;
essi
 Le développement et la pétrolochimie ;
te
 L’extension du réseau du transport par canalisations
de
 L’intensification des efforts et l’exploitation.
se
SONATRACH adapta au cours de cette phase, une organisation intégrée de
dot
nature à favoriser la cohérence et à assurer la réalisation des programmes
er
d’investissement consentis. Cette organisation restera jusqu’à la restriction, le
des
moyens propres.  U
n
I.1.3. Restriction et de l’essaimage SONATRACH 1981-1986

C’est une phase marquée par des décisions politiques et réorganisation de p


l’économie nationale, ces mesures concernent le 1er chef de SONATRACH dont la r
conception SONATRACH sur sa vocation initiale. C’est ainsi qu’un grand nombre é
de ses activités jugées éloignés de sa vocation, à la cour de la décennie 80, siège s
de nouvelle entreprise. i
d
I.1.4. Nature et modernisation 1987-1997 e
Cette opération a donnée naissance à l’organisation de 1987 toute fois cette n
organisation s’est trouvée très vite confrontée : t
Au niveau national : aux grands chargements induits par les reformes
économique de 1988. d
Au niveau international : aux grands bouleversements consécutifs à la i
chute des prix du pétrole sur le marché extérieures. r
La perspective de tous ces changement à conduit l’entreprise à lancer la e
réflexion sur le redéploiement d'activités. c
Une longue et riche réflexion accompagnée d’un diagnostic des forces et t
faiblesse aboutit a la conclusion que l’adaptation aux changements et aux e
bouleversements qui se dessinent nécessite nom pas seulement une structure u
mais un vaste projet de modernisation élevant SONATRACH au rang de grand r
pétrolier.
g
La stratégie en matière de ressource humaine constitue la pierre au gulaire du
é
processus de modernisation de SONATRACH.La mise en place de cette stratégie
n
détermine le succès ou l’échec du processus.
é
r
I.1.5. Nouveaux statuts SONATRACH en société par action (Spa) :
a
Par décret présidentiel en date du 11-02-1988 SONATRACH et devenue une l
société par action avec les organes suivants :
 Une assemblée générale (A.G) ; (
 Un conseil d’administration (A.C) ; P
 Un président directeur général (P.D.G) nommé par le décret présidentiel ; .
D
.
G) est secondé par des vice-présidents qui sont à la tête des branches La
d’activités ou des directions coordination groupe. régi
on
En 1999, l’ALGÉRIE avec partenaires figurait au premier rang des découvertes
de
mondiales SONATRACH, entreprise ayant pour but de faire la recherche, la
Rho
production, le transport, la transformation et la commercialisation des
urd
hydrocarbures, se trouve aujourd’hui en position consolider sa position mondiale
e-
grâce à l’importance de ses réserves énergétiques, ses capacités de production
Nou
d’hydrocarbures liquides et gaz eaux, ses capacités technologiques et
ss
managériales.
fait
part
En fin, les objets stratégiques de SONATRACH reposent sur le développement
ie
international et le partenariat, la diversification de ses activités, la maîtrise
de
continue de ses métiers de base et le renforcement de ses capacités
la
technologiques et managériales.
Will
I.2. Ces principaux objectifs sont
aya
 Les couvertures des besoins nationaux en hydrocarbures (par l’achat et
d’IL
vente des hydrocarbures) ;
LIZI.
 L’métayage des sites pétroliers ;
Elle
 L’exploitation du gaz liquéfie et du pétrole ;
est
 Le port de recette devises nécessaire au développement économique ;
situ
 Le développement, l’exploitation et la gestion des réseaux transport et
ée à
stockage des hydrocarbures.
350
I.3. Les objectifs stratégiques de « SONATRACH »
Km
Les objectifs stratégique reposent sur :
au
 La maîtresse continue de ses métiers de base ;
Sud
 Le confortement de ses capacités technologique et manganésiens ;
/Su
Le développement international et le partenariat.
d-
I.4. L’organisation de « SONATRACH »
est
SONATRACH est organisée en 4 activités :
de
 L’activité amont (AMT : amont).
OU
 L’activité AVAL ;
AR
 L’activité transport par canalisation (TRC : transport par canalisation) ;
GLA
 L’activité commercialisation.
, à
I.5. Description du site industrielle :(RHOURDE NOUSS).
120
I.5.1. Situation géographique: 0
Km au Sud/Sud-est d’ALGER et à 270 Km au Sud/Sud-est de HASSI MESSAOUD.  R
Elle est reliée à la route nationale N3 (OUARGLA-ILLIZI) par une bretelle de 30km H
goudronnée. O
 La Direction Régionale de RHOURDE-NOUSS se trouve à la lisière de l’ERG U
ORIENTAL avec une alternance de HAMADA (ou GASSI) et d’ERG (ou R
SIOUF) de direction généralement Nord/Sud. D
 L’altitude moyenne est située à 275m par rapport au niveau de la mer. E
 Son climat est désertique (sec avec un très faible taux d’humidité). -
 Ecart important de température entre l’hiver et l’été (-5°C à 55°C). N
 Elle enregistre une pluviométrie très faible (2 à 4 mm/an). O
 Terrain accidenté vu la position de la région (limite de l’erg oriental). U
Fréquence importante des vents de sable S
S

S
U
D
Rhourde-nouss
-
O
U
E
S
T
.

 R
Figure. I.1: Situation géographique de la région H
O
U
I.5.2. Description des champs de Rhourde Nouss :
R
La région de Rhourde Nouss est composée de plusieurs champs sur un rayon de D
100 Km par rapport au siège de la Direction Régionale qui est située sur le champ E
de Rhourde Nouss Centre. Les principaux champs mis en exploitation sont : -
 RHOURDE-NOUSS CENTRE. C
 RHOURDE-NOUSS NORD-EST. H
 RHOURDE-NOUSS SUD-EST. O
UFF.  2
 RHOURDE-ADRA. 0
 RHOURDE-HAMRA. 1
 HAMRA. 1
D’autres champs, de moindre importance, ont été découverts et seront
développés dans le futur, Il s’agit de : :
 Champ de Rhourde-Hamra Sud-est.
 Champ de Rhourde-Nouss 3. i
 Champ de Mouilah. n
 Champ de Meksem. s
 Champ de Draa Allal. t
 Champ d ’Elketaia. a
 Champ de Rhourde Adra Sud-est. l
l
I.5.3. Historique : e
Premier découverte de gaz à RHOURDE NOUSS en 1956. Le premier puits r
RN1, foré en 1962, a mis en évidence la présence de gaz riche en condensât au
niveau de plusieurs réservoirs.
u
Après la découverte de l’huile sur les puits RN4 un centre de traitement d’huile a n
été construit et mis en exploitation en 1966. e
 10-Mai-1966 : Mise en service du Centre de traitement d’huile.
 28-Jan-1988 : Démarrage de l’usine (phase A). n
 14-Juin-1989 : Mise en service de Rhourde Adra. o
 24-Avril-1992 : Mise en service de Rhourde Hamra. u
 29-Mai-1992 : Mise en service de Rhourde Chouff. v
 16-Juin-1995 : Démarrage de l’usine de HAMRA. e
 23-Mai-1996 : Première expédition de GPL (HAMRA). l
 13-Août-1999 : extension de la phase A par un cinquième train d’une l
capacité de 10.250 Millions M³/j de gaz. e
 Fin Février -2000 : Démarrage Usine GPL (Phase B) d’une capacité de
traitement de 48 Millions de m³/j pour la production de 3800 t/j du GPL. u
 06-Mars-2000 : Première expédition de GPL (Rhourde Nouss). n
 2009 : accident dans GPL (éclatement d’un train 200). i
 2010 : Ouverture de chantier du QHA; Démarrage prévu 1er semestre t
2013. é
de compression ou niveau de la phase A (U59)  V
 2011 : démarrage de l’unité CSC (centre de séparation et compression) a é
pour but de séparer l’huile. r
i
I.5.4. L'organigramme de la région de Rhourd Nouss : f

 L'organigramme général : i

La région Rhourde Nouss est divisée en neuf (09) divisions assurant deux types c
de fonctions : Opérationnelle et Soutien a
t
i
o
n
,

d
é
p
a
n
n
a
g
e
,

 Division maintenance : é
p
o La division de maintenance a pour missions
a
essentielles :
r
 La planification, le développement, l’organisation et la mise en œuvre
a
des services de maintenance pétrolière liés aux besoins actuels et futurs
t
de la direction régionale.
i
 L’exécution des services de maintenance nécessaires au bon
o
fonctionnement des installations notamment.
n
ou révision non confiés aux complexes.  a
 Protection cathodique. s
 Grandes révisions. s
o La division maintenance se compose de six services : u

 Service inspection corrosion r

 Service planning et méthodes e

 Service électricité
 Service instrumentation t

 Service mécanique industrielle o

 Service turbomachine u

 Service inspection corrosion : s

Qui est compose de trois sections :


l
1 section inspection
e
2 section corrosion
s
3 sections protection cathodique
Ses principales tâches sont :
a
 l’inspection du matériel (appareil à pression gaz, les machines
c
tournantes).
t
 la protection des pipes par des liquides de protection contre la corrosion.
i
 la mesure et le contrôle des épaisseurs des pipes.
o
 la protection cathodique (protection par injection de courant).
n
 Service planning et méthodes:
s
Se compose de quatre sections :
1. section électricité
n
2. section instrumentation
é
3. section mécanique industrielle
c
4. section turbomachine
e
Le service s’occupe de la planification et l’optimisation des travaux de
s
maintenances en préparant un planning des différents travaux (travaux à court
s
terme, à moyen terme et à long terme) pour l’ensemble des services de la
a
division, plus l’approvisionnement en pièces de rechanges pour les différents
i
équipements.
r
 Service instrumentation:
e
Ses principales tâches sont :
s
pour le bon fonctionnement de l’instrumentation des installations
industrielles du complexe et des puits.
 assure l’entretien des équipements.
 assure la mise à jour des dossiers techniques des équipements.
 Service électricité:
Ce service veille sur :
 la production, transport et la distribution d’électricité sur les différentes
structures. I.5.
 la maintenance des installations électriques. 5.
De
 Service mécanique industrielle: scri
Il effectue : pti
 la mécanique d’intervention préventive.
on
du
 la mécanique d’intervention curative. co
Ces interventions mécaniques sont faites sur les différentes installations mp
(pompes, compresseurs, vannes, fours, colonnes,…). lex
e
 Service turbomachine: de
Rh
Il effectue la mécanique d’intervention préventive et curative sur les machines
our
tournantes (turbines, compresseurs, ….). de
L’organigramme de la Division ;maintenance No
uss
:

C
h
a
r
g
e

e
t

p
r
oduits :
La capacité globale de Rhourde Nouss est portée à :

Gaz brut 51 millions SM³/j.

Réinjection 75% environ, soit 30 millions SM³/j gaz


sec.

Commercialisation 20 millions SM³/j.

GPL 1500 T/j. (2013)


3800 T/j (2016)
Figu
Condensât 2000 T/j. (2016) re.
I.2:r
ése
au
Pétrole brut 520 T/J. (2016)
coll
ect
es
des
Tableau I.1 :la capacité globale de Rhourde Nouss
puit
s
 Réseaux collectes : pro
duc
Cette production est assurée par un certain nombre de puits producteurs et
teur
injecteurs de gaz, un ensemble de collectes et manifolds. s de
 Puits producteurs de gaz : 76 Pha
 Puits injecteurs de gaz : 36 se A
et
 Puits d’huile : 33
B.
 Collectes : 780 Km (diamètre de 8 à 20”)
o P
 Manifolds : 37
u
Puits producteurs phase “A” et “ B” i
t
s

r
é
injecteurs: 1
.

L
a

p
h
a
s
e

:
Figure. I.3: Schéma simplifier dessertes puits injecteurs.

 Puits d'huile de l'usine (CSC): T


r
a
i
t
e
m
e
n
t

d
e

5
Figure. I.4:Schéma simplifié de puits d'huile de CSC.
1
I.5.6. Les différents complexes de la région:
m
La région de Rhourde Nouss est à vocation principalement gazière. Elle est dotée
i
de :
l
 Deux usines de traitement du gaz humide :
lion sm3/j pour récupérer le condensât. con
2. La phase B : Traitement de 48.3 million sm3/j pour récupérer le GPL, et den
les traces du condensât. sats
 Un centre de compression et de séparation pour la production d’huile réc
CSC. upé
 Une centrale électrique produit 21 MW de l’énergie propre pour la rés
région. au
 La Phase A: sép

Cette usine traite le gaz brut au niveau du 4 train identique chacun comporté un arat

ensemble des équipements pour but de : réaliser une bonne séparation afin de eur

récupérer le maximum du condensât (c5+), et assurer la compression du gaz TBP

(partie HP) vers la phase B et le recyclage du gaz sec traité (c1 et c2) vers la son

réinjection et l’expédition. t
exp
édi
Le cinquième train (U-70) fait seulement le traitement de la partie haut pression
és
«HP» du gaz brut. L’usine existante traité actuellement une charge de 51 million
au
sm3/j de gaz brut avec une production de 2000 T/j du condensât.
des
sale
 La Phase B: ur
Les installations de cette usine sont conçues pour récupérer le GPL contenus de
dans le gaz de vente produit par l’usine (phase A). Le GPL produit est envoyé brut
dans un pipeline vers HAOUDH ELHAMRA (HEH), le condensat résultant du , et
fractionnement est renvoyé vers stockage dans la phase B, et le gaz résiduaire puis
est aussi renvoyé aux installations de la phase A pour être dirigé vers la vente ou son
la réinjection. t
env
 Centre de compression et de séparation (CSC):
oyé
Elle produit sa propre énergie électrique au moyen d’une centrale électrique de 21MW
vers
et un apport à partir de HAMRA (ligne de 60KM). Le Centre de Séparation et de
la
Compression (CSC) a pour but de séparer l’huile, l’eau et le gaz provenant des33
colo
puits dans l’unité 500. Ils sont regroupés suivant leur niveau de pression et sont
nne
connectés à trois séparateurs pour séparer le gaz et le condensat. Les gaz
de
provenant de la ligne de tête des trois séparateurs de différentes pressions (MP,
stab
BP, TBP) sont comprimés dans le système de compression pour obtenir la
ilisa
pression de batterie à l’usine de gaz Rhourde Nouss, qui est de 83 bars. Les
tion
; après le traitement, le brut dessalé et stabilisé provenant de la colonne est L
stocké dans le bac de stockage de brut dans le système 22 avant expédition. '
L'objectif prioritaire de cette installation est la production d'huile.
u
 Centre processing and facility (CPF): n
La nouvelle installation de traitement de Quartzite de Hamra (QH) est conçue i
pour traiter 10 millions Sm3/jour de gaz (base sèche) provenant de 33 puits de
t
production dans quatre (04) champs, dans la région de Rhourde Nouss. L’usine a
é
une production nominale de 10 millions Sm3/jour et produit du gaz sec ayant un
Pouvoir Calorifique Supérieur (PCS) entre 9 800 et 9 900 Kcal/Sm3 et un contenu
de CO2 inférieur à 2,0 % molaire. Le gaz d’exportation est envoyé vers le gazoduc d
GR4 du réseau de transport TRC. e

c
o
m
p
r
e
s
s
e
Figure. I.5:schéma de bloc de l'usine CPF
u
o Objectifs de l'usine de CPF :
r

Construire une usine pouvant traiter 10 millions Sm3/j de gaz brut


B
 Produire un gaz de vente ayant :
 Un pouvoir calorifique supérieur (PCS) entre 9800 et 9900 kcal/Sm3. o
 Une teneur en CO2 inférieure à 2 mol%. o
 Une pression de 94 bars à la jonction des 36 pouces. s
 Teneur en eau inférieure à 1 PPMV.
t
 Comprimer le CO2 à 200 bars et le réinjecter dans un puits déplétif.
e
 Condensat non stabilisé à diriger vers la phase A.
r
 Gaz (associé) lourd à diriger vers la phase A.
G05:
Le gaz humide séparé dans le Slug Catcher est envoyé dans le collecteur
d’aspiration commun qui alimente les deux (2) compresseurs booster en
parallèle, chacun conçu pour une capacité de 50 % (équivalent à 5 millions
Sm3/jour pour la charge nominale au CPF).
Ces compresseurs sont constitués d'un ballon de garde, d'une turbine à gaz, d'un
compresseur et d'un aéro-refroidisseur
L'eau et le condensat récupérés dans les ballons de garde sont acheminés vers le
secteur de prétraitement du condensat. Le rôle des deux compresseurs de
surpression consiste à augmenter la pression des gaz provenant du slug catcher
et du séparateur de condensat à 85 bars.

o Les équipements
 Collecteurs d’aspiration des Compresseurs Boosters.
 02 Ballons d’aspiration des compresseurs boosters (G05-VD-23-01/02).
 02 Compresseurs boosters Siemens de type STC-SV (G05-KA-23-01/02).
 02 Turbines à gaz des compresseurs booster Siemens de type SGT-400
(G05-DT-23-01/02).
 02 Aérorefroidisseurs des Compresseurs (G05-GC-23-01/02 A/B).
 02 Unités de récupération de chaleur des compresseurs Booster (G05-
GW-23-01/02).

1.5.7. Description des unités :


Figure. I.6: schéma simplifié du procède Phase A et B, CSC, CPF
VI. 1 Introduction

Il est admis de nos jours par tout le monde que le problème de production dans les entreprises
est en relation directe avec la maintenance.

La préoccupation principale de toute l’entreprise consiste à réduire les coûts de production en


minimisant les périodes d’immobilisation des installations.

L’existence d’un service maintenance se justifie par la nécessité d’assurer la disponibilité


permanente des équipements pour que le service puisse accomplir sa tâche en obtenant le rendement
optimal. Son coût constitue une partie de plus en plus grande du coût total de fabrication à tel point
que le service de maintenance est devenu un groupe capital dans les entreprises.

VI.2 Définition de la maintenance


D’après la norme AFNOR X60-010, la maintenance est définie comme " l'ensemble des
actions permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié ou en mesure d'assurer un
service déterminé ".

Maintenir c'est donc effectuer des opérations (de nettoyage, graissage, visite, réparation,
révision, amélioration…etc.) qui permettent de conserver le potentiel du matériel pour assurer la
continuité et la qualité de production, ainsi de choisir les moyens de prévenir, de corriger ou de
rénover suivant l'utilisation du matériel.

La maintenance a pour but :

 
 Assurer le bon fonctionnement du matériel.



Réduire le temps d’arrêt en cas de panne.



Prolonger la durée de vie du matériel.

Faciliter la gestion des stocks liés aux pièces de rechanges.

Améliorationde production en optimisant les coûts engendrés des différentes opérations de
maintenance.

VI.2.1 Différents Types de maintenance

On distingue dans le milieu industriel deux types de maintenance :

 La maintenance corrective (palliative et curative)


 La maintenance préventive (systématique et conditionnelle).

 La maintenance préventive

Elle vise à diminuer la probabilité de défaillance d’un système, pour cela elle s’appuie sur la
maintenance systématique et la maintenance conditionnelle.

 La maintenance corrective

Elle s’applique après la panne et consiste au dépannage ou à la réparation.

MAINTENANCE

Maintenance préventive Maintenance corrective

Maintenance Maintenance
systématique conditionnelle

Effectuée à Effectuée en Effectuée après la


Intervalle réguliers de Fonction de l'état de panne
façon systématique machine
GENERALITES SUR LES TURBOMACHINES

I.1 Généralités :
La turbomachine, qu'elle soit motrice ou réceptrice, comprend un rotor animé d'une
vitesse de rotation uniforme. Elle est traversée par un fluide qui s'écoule d’une façon
permanente.
La vitesse de rotation uniforme et l’écoulement permanent du fluide sont les
caractéristiques essentielles des turbomachines.
Cette solution est-elle avantageuse au point de vue de la construction elle même ?
Remarquons que l'organe récepteur de la plupart de nos machines a un mouvement
de rotation : la broche du tour, la roue de l’automobile, l'hélice de l’avion. Il est donc
peu rationnel d’utiliser une machine motrice dans laquelle l'organe moteur (piston du
moteur à explosions par exemple) a un mouvement rectiligne alternatif. La turbine à
vapeur a fait disparaitre presque complètement la machine alternative. La turbine à
gaz devient le moteur de l'avion et, dans quelques années peut-être, le moteur de
l'automobile : la turbine hydraulique contribue pour un large part à la production de
l'énergie électrique consommée en France. Les pompes et les compresseurs rotatifs,
machines réceptrices, se substituent dans beaucoup de cas aux machines alternatives.
Essayons dès maintenant d'établir les avantages des turbomachines :
 suppression des forces d’inerties alternatives toujours gênantes.
 couple moteur constant et non plus très variable comme dans la machine
alternative.
 réduction notable des pertes par frottement mécanique, elles sont localisées
uniquement dans les paliers guides du rotor.
 possibilités de construire des machines de très grande puissance sous un
encombrement acceptable : turbine à vapeur de 900 000 kW des centrales
thermiques modernes.

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