Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
,
2 Y avait Fanny qui chantait 3’53
,
3 J entends siffler le train En duo avec
Françoise Hardy 3’21
J’ai pensé qu’il valait mieux Que c’est loin où tu t’en vas
Nous quitter Que c’est loin où tu t’en vas
Nous quitter sans un adieu Auras-tu jamais le temps de revenir ?
Je n’aurais pas eu le cœur de te revoir
Que c’est loin où tu t’en vas
Mais j’entends siffler le train Que c’est loin où tu t’en vas
Mais j’entends siffler le train Auras-tu jamais le temps de revenir ?
Que c’est triste un train qui siffle dans le soir
J’ai pensé qu’il valait mieux
Je pouvais t’imaginer toute seule abandonnée, Nous quitter sans un adieu
Sur le quai, dans la cohue des “au revoir” Mais je sens que maintenant tout est fini
Brad Cole : Fender Rhodes et arrangements des cordes Alec Mansion : arrangements vocaux
Oscar Castro-Neves : guitare acoustique et arrangements rythmiques Avec la participation de la Chorale Unicefou.
Hussain Jiffry : basse électrique Direction chorale : Thom Dewatt.
Michael Shapiro : batterie et percussions. Alec Mansion, Thom Dewatt, Stéphanie Soreil,
Ernie Fields Jr. : flûtes basses Béatrice Husquinet : chœurs additionnels.
The Left Coast Orchestra : ensemble de cordes
5 Les portes du pénitencier 3’41
(Hugues Aufray - Vline Buggy / Alan Price) Edition : EMI
Le soleil n’est pas fait pour nous Que Dieu accueille dans son grand pardon
C’est la nuit qu’on peut tricher Ces enfants, ces fils bannis de la vie
T oi qui ce soir a tout perdu Et qu’il ouvre pour eux dans son paradis
Demain tu peux gagner Les portes du pénitencier
Si tu le peins en bleu, fils Alors le petit garçon est rentré chez lui
Il ne te ressemblera guère. Avec son beau cahier sous le bras
Si tu le peins en rouge, fils Il a essayé de dessiner toute la nuit
On viendra lui voler sa terre. Mais il n’y arriva pas
Si tu le peins en jaune, mon fils
Il aura faim toute sa pauvre vie. Refrain
Si tu le peins en noir, fils
Plus de liberté pour lui. S’il fallait trouver une morale à ma chanson
C’est assez facile en somme.
Je crois qu’il faut dire à tous nos petits garçons
Brad Cole : Hammond B3 et arrangements Que la couleur ne fait pas l’homme.
Charlie McCoy : harmonica
John McFee : guitare électrique
Freddy Koella : guitare acoustique
Davey Faragher : basse électrique
Pete Thomas : batterie
Amy Keys, Kate Markowitz, Carole Rowley : choristes
10 Comme des pierres qui roulent 6’30
(Hugues Aufray / Bob Dylan) Edition : Special Rider Music
Dis-moi, Céline, les années ont passé Dis-moi, Céline, qu’est-il donc devenu,
Pourquoi n’as-tu jamais pensé à te marier ? Ce gentil fiancé qu’on n’a jamais revu ?
De toutes mes sœurs qui vivaient ici Est-ce pour ne pas nous abandonner
Tu es la seule sans mari Que tu l’as laissé s’en aller ?
C’est un fameux trois mâts fin comme un oiseau Un jour je reviendrai, chargé de cadeaux
Hissez haut, Santiano Hissez haut, Santiano
Dix-huit nœuds, quatre cent tonneaux Au pays, j’irai voir Margot
Je suis fier d’y être matelot A son doigt je passerai l’anneau
Refrain
Des filles venues d’un peu partout Que Dieu accueille dans son grand pardon
Poussées par un vent de misère Ces enfants aux ventres meurtris
S’en venaient sombrer pour quelques sous Et qu’il ouvre pour elles sa maison
Dans les rêves des cœurs solitaires Les portes de son Paradis
Elle n’avait pas encore quinze ans Vers l’hôtel du soleil levant
Quand elle est allée
Vendre son âme, son cœur d’enfant
Vendre sa vie aux passants Brad Cole : arrangements
Charlie McCoy : harmonica
Josh Grange : dobro & guitare acoustique
Entre ses bras je me suis couché Freddy Koella : guitare acoustique
Le temps d’une triste chanson Sebastian Steinberg : contrebasse
Mais je garde encore de ses baisers Richard Garcia : percussions
Pete Thomas : batterie
Le goût et l’odeur de sueur sur son front
The Left Coast Orchestra : ensemble de cordes.
Philippe Rault, Brad Cole, Sa
ra Watkins et Hugues Aufra
y
© Robert Landau
Jimmy
Breaux
es, Ken Allardyce
et De gauche à droite, assis : Clinton Welander, Hugu
Brad Cole,
Hug s
ue Debout derrière: John McFee, Sebastian Steinberg,
Philippe Rault, Pete Thomas, Freddy Koell a, Georg es Augier.
Aufray
© Robert Landau
Georges Augier,
Albert Lee,
Hugues Aufray
Koella
Hugues Aufray et Freddy
Réalisation artistique et production exécutive : Philippe Rault pour Bastille Productions, Inc.
Direction musicale : Brad Cole sauf “Prologue” et “J’entends siffler le train” : Jean-Pierre Sabar.
Prise de son et mixages : Ken Allardyce assisté au Studios Sound Factory (Los Angeles)
par Clinton Welander et aux Studios Sunset Sound (Los Angeles) par Graham Hope et Morgan Stratton
Enregistrements additionnels par Brad Cole au Studios The Colemine (Nashville)
par Kevin Harp aux studios Le Garage (Los Angeles) et par Phil Délire aux Studios ICP (Bruxelles)
Enregistrement des voix et mixage : Studios ICP (Bruxelles) assisté de Paul-Edouard Laurendeau.
Mastering : T ony Cousins au Studio Metropolis (Londres)
Direction Artistique : Hugues Aufray, Virginie Borgeaud-Bigot et Alain Yahmi assistés par Audrey Petit.
Chef de projet : Audrey Brisseau. Coordination : Monique Monnet (Garlick Music)
Remerciements spéciaux à Craig Hubler (Sound Factory et Sunset Sound), à Mitchell Froom
(pour son merveilleux piano “punaise”), à John Hastry et à toute son équipe aux Studios ICP à Bruxelles,
à Monique Monnet, et chez Universal Mercury à Alain Yahmi et Audrey Petit.
Photos : Jean-Baptiste Mondino - 2011, sauf page4 : Pierre Jamet - 1948. Design : stan / Gr8!
www.huguesaufray.fr