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1
Partie I Généralités
1
SIMATIC HMI
Partie II Couplages
aux automates 2
Communication SIMATIC S5
11
Manuel d’utilisation
Partie III Couplages 12
aux automates
SIMATIC S7
14
Partie IV Couplages 15
aux automates
SIMATIC 500/505
17
18
Partie V Couplages par blocs
de données
24
A
Partie V Annexes
F
Index
6AV3991–1BC05–1AC0
Edition 05/99
Informations relati- Ce manuel donne des consignes que vous devez respecter pour votre propre sécurité ainsi
ves à la sécurité que pour éviter des dommages matériels. Elles sont mises en évidence par un triangle
d’avertissement et sont présentées, selon le risque encouru, de la façon suivante :
Avertissement
! signifie que la non-application des mesures de sécurité appropriées peut conduire à la
mort, à des lésions corporelles graves ou à un dommage matériel important.
Danger
! signifie que la non-application des mesures de sécurité appropriées peut conduire à des
lésions corporelles légères ou à un dommage matériel.
Nota
doit vous rendre tout particulièrement attentif à des informations importantes sur le pro-
duit, aux manipulations à effectuer avec le produit ou à la partie de la documentation cor-
respondante.
Personnel qualifié La mise en service et l’utilisation de la console ne doivent être effectuées que conformé-
ment au manuel. Seules des personnes qualifiées sont autorisées à effectuer des interven-
tions sur la console. Il s’agit de personnes qui ont l’autorisation de mettre en service, de
mettre à la terre et de repérer des appareils, systèmes et circuits électriques conformément
aux règles de sécurité en vigueur.
Toute communication ou reproduction de ce support Nous avons vérifié la conformité du contenu du présent ma-
d’information, toute exploitation ou communication de son nuel avec le matériel et le logiciel qui y sont décrits. Or des
contenu sont interdites, sauf autorisation expresse. Tout divergences n’étant pas exclues, nous ne pouvons pas nous
manquement à cette règle est illicite et expose son auteur au porter garants pour la conformité intégrale. Si l’usage de ce
versement de dommages et intérêts. Tous nos droits sont manuel devait révéler des erreurs, nous en tiendrons compte
réservés, notamment pour le cas de la délivrance d’un brevet et apporterons les corrections nécessaires dès la prochaine
ou celui de l’enregistrement d’un modèle d’utilité. édition. Veuillez nous faire part de vos suggestions.
Siemens AG
Automation & Drives
SIMATIC Human Machine Interface E Siemens AG 1999
Postfach 4848, D-90327 Nuernberg Sous réserve de modifications.
Siemens Aktiengesellschaft No de réf. : 6AV3991–1BC05–1AC0
Conventions typo- Les conventions typographiques suivantes ont été utilisées dans ce manuel :
graphiques
VAR_23 Les mots imprimés en caractères de machine à écrire
caractérisent des saisies ou des affichages tels qu’ils
apparaissent à l’écran. Il peut s’agir de commandes, noms
de fichier, entrées dans des boîtes de dialogue ou messages
système.
Variable Les noms des boîtes de dialogue ainsi que de leurs champs
et boutons sont imprimés en italiques.
Fichier → Les commandes de menu sont reliées par une flèche. Le
Editer chemin d’accès complet à la commande est toujours
indiqué.
F1 Les désignations de touches sont imprimées dans une autre
fonte.
Edition Remarque
07/94 1re version
12/94 Correction des erreurs, prise en compte de SINEC L2-DP
10/95 – Nouveaux chapitres SIMATIC S7, SIMATIC 500/505
– Mise à jour technique
– Restructuration du manuel
01/96 – Ajout de nouvelles fonctionnalités pour ProTool et
SIMATIC S7
– Nouveau chapitre Telemecanique TSX Adjust
05/96 Correction des erreurs
11/97 – Prise en compte des pupitres de contrôle-commande TD17,
OP7/17, OP27/37, TP27/37
– Mise à jour technique de la partie Couplages aux automates
SIMATIC S5
05/99 Correction des erreurs
Nuernberg
Johnson City
Singapur
Fax: +49 (911) 895-7002 Téléphone: +1 423 461-2522 Téléphone: +65 740-7000
Partie I Généralités
1 Types de couplage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-1
1.1 Présentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-2
1.2 Quel couplage pour quel pupitre de contrôle-commande ? . . . . . . . 1-4
1.3 Couplages aux automates SIMATIC S5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-9
1.3.1 Couplage AS511 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-9
1.3.2 Couplage avec protocole ASCII libre (FAP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-10
1.3.3 Couplage au réseau PROFIBUS-DP avec SIMATIC S5 . . . . . . . . . 1-11
1.3.4 Couplage au réseau SINEC L1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-12
1.3.5 Couplage au réseau PROFIBUS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-13
1.3.6 Couplage parallèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-14
1.4 Couplages aux automates SIMATIC S7 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-15
1.4.1 Couplage MPI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-15
1.4.2 Couplage au réseau PROFIBUS–DP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-16
1.4.3 Couplage PPI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-17
1.5 Couplages aux automates SIMATIC 500/505 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-18
1.6 Couplage par blocs de données . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1-19
Partie VI Annexe
A Messages système . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A-1
A.1 Messages système des pupitres de contrôle-commande . . . . . . . . A-1
A.2 Blocs fonctionnel standard du SIMATIC S5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A-26
A.3 Numéros d’erreur du bloc fonctionnel standard . . . . . . . . . . . . . . . . . A-27
B Contrats automate . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B-1
B.1 Cas particuliers de contrats automate . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B-13
B.2 Codes de touche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . B-14
C Modules d’interface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C-1
C.1 Généralités . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C-2
C.2 Module d’interface série . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C-3
C.3 Module parallèle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C-7
C.4 Module d’interface SINEC L2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C-9
C.5 Module d’interface SINEC L2-DP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C-11
D Caractéristiques techniques des blocs fonctionnels standard . . . . . . . . D-1
D.1 Couplage AS511 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D-2
D.2 Protocole ASCII libre (FAP) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D-4
D.2.1 FAP sur l’interface SI2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D-4
D.2.2 FAP sur module CP . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D-5
D.3 Couplage SINEC L1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D-7
1.1 Présentation
Tableau 1-1 Les deux groupes de pupitres : pupitres à afficheur graphique et pupitres
à afficheur de lignes
Choix du type de Les critères de choix du type de couplage entre pupitre de contrôle-comman-
couplage de et automate sont entre autres :
le type d’automate,
l’unité centrale de l’automate,
le type de pupitre de contrôle-commande,
le nombre de pupitres de contrôle-commande par automate,
la structure du système automatisé existant et, le cas échéant, le type de
bus utilisé,
les composants supplémentaires requis.
Types de couplage Les types de couplage suivants sont actuellement pris en charge :
acceptés
SIMATIC S5
– couplage AS511,
– couplage avec protocole ASCII libre (FAP),
– couplage au réseau PROFIBUS-DP,
– couplage au réseau SINEC L1,
– couplage au réseau PROFIBUS,
– couplage parallèle.
SIMATIC S7
– couplage point à point (PPI).
– couplage multipoint (MPI),
– couplage au réseau PROFIBUS-DP.
SIMATIC 500/505
– protocole NITP
Autres automates
Les autres automates peuvent être couplés à l’aide de pilotes de type NA-
TIVE. Ces pilotes sont appelés NATIVE, car les adresses spécifiques à
l’automate sont indiquées directement dans la configuration du pupitre de
contrôle-commande. La description de leur mise en service n’est livrée
que sous forme d’aide en ligne.
Il existe en outre des pilotes de type Block. Les pupitres de contrôle-com-
mande configurés avec ProTool n’acceptent que le pilote de type Block
pour ”couplage série libre”, par exemple un PC. Les pupitres de contrôle-
commande configurés avec COM TEXT acceptent les pilotes de type
Block décrits en partie V.
Critères de sélec- Etant donné que tous les types de couplage ne sont pas possibles pour tous les
tion pupitres de contrôle-commande, les tableaux 1-2, 1-3, 1-4, 1-5 regroupent les
diverses possibilités. L’automate et la configuration réseau existante sont les
facteurs déterminants pour le choix du type de couplage. Les tableaux 1-6,
1-7 et 1-8 montrent les possibilités de couplage des divers automates
SIMATIC.
Tableau 1-2 Types de couplage possibles pour les pupitres à afficheur de lignes – Partie 1
Tableau 1-3 Types de couplage possibles pour les pupitres à afficheur de lignes – Partie 2
Tableau 1-4 Types de couplage possibles pour les pupitres à afficheur de lignes – Partie 3
x possible
– impossible
Tableau 1-5 Types de couplage possibles pour les pupitres à afficheur graphique
SIMATIC 500/505
Serie 500
Serie 505
Tableau 1-9 Possibilités de couplage d’autres automates par pilotes de type Native
Automate CPU
Allen-Bradley SLC 500, PLC5
Mitsubishi FX
Modicon CPU 984 (sauf 984A, 984B, 984X),
CPU984-785, CPU TSX
Telemecanique TSX
Unité centrale AP
Pupitre de contrôle-commande
COROS
OP35
Interface SI1
Protocole AS 511
Unité centrale CP AP
Pupitre de contrôle-commande
COROS
OP35
SI2
au choix
Protocole FAP
Module maître,
par exemple IM308B/C
Unité centrale AP
Pupitre de contrôle-commande
COROS
OP35
Esclave Maître
Protocole PROFIBUS-DP
PROFIBUS
Borne de réseau
CP 530
Pupitre de contrôle-commande Unité centrale AP
Protocole SINEC L1
BUS SINEC L1
Liaison physique : RS485
BT777 BT777
CP 5430/31
Pupitre de contrôle-commande Unité centrale AP
Maître
Maître
Protoc. PROFIBUS
PROFIBUS
Borne de réseau
TD Unité centrale AP
Module
d’interface
parallèle
Interface MPI
Protocole MPI
au choix
Protocole S7
SF I0.0 Q0.0
RUN I0.1 Q0.1
STOP I0.2 Q0.2
I0.3 Q0.3
I0.4 Q0.4
I0.5 Q0.5
I0.6
SIMATIC I0.7
S7-200
Interface PPI
Protocole PPI
Principe Le couplage des TD/OP à d’autres automates, par exemple le couplage série
libre, Allen-Bradley, Mitsubishi ou Telemecanique, est réalisé selon le princi-
pe du couplage par blocs de données.
Couplage FAP
5
Couplage au réseau
PROFIBUS–DP
6
Couplage parallèle
9
Zones de données pour la com-
munication
10
Zones de données utilisateur
pour SIMATIC S5
11
Communication Manuel d’utilisation
1-2 Edition 05/99
Gestion de la communication pour
SIMATIC S5 2
Ce chapitre présente l’ensemble des blocs nécessaires aux divers couplages.
2.1 Présentation
Lors de la connexion d’un pupitre de contrôle-commande à un automate SIMATIC S5, vous devez
déclarer dans l’automate divers blocs destinés à la communication. Le tableau 2-1 récapitule les blocs
nécessaires selon le type de couplage.
Bloc AS511 FAP par FAP par PROFI- SINEC PROFI- Parallèle
SI2 CP BUS-DP L1 BUS
Bloc fonctionnel standard x x x x x x x
Zone d’interface 1) x x x x x x x
Bloc de données - x x x x x -
d’assignation
Boîtes d’émission et de - x x x x x -
réception 1)
Blocs de dialogue - - - x 2) x x -
1) En cas de connexion de plusieurs pupitres de contrôle-commande à un SIMATIC S5, ces blocs doivent être
déclarés séparément pour chaque pupitre.
2) uniquement avec le CP5430/31
Bloc fonctionnel Le bloc fonctionnel standard COROS est nécessaire pour tous les types de
standard couplage. Il coordonne le transfert des données entre pupitre de contrôle-
commande et AP. Vous devez toutefois utiliser des blocs fonctionnels stan-
dard différents pour les divers AP et types de couplage. Les blocs fonction-
nels standard COROS doivent être commandés séparément.
Zone d’interface La zone d’interface est un bloc de données nécessaire pour tous les types de
couplage. Elle contient des zones qui permettent la synchronisation du pupi-
tre de contrôle-commande et du SIMATIC S5 lors de l’échange de données.
Bloc de données Le bloc de données d’assignation contient les paramètres pour tous les pupi-
d’assignation tres de contrôle-commande connectés, par exemple quelle zone d’interface
utiliser pour quel pupitre.
Boîtes d’émission Les boîtes d’émission et de réception servent de zone de travail au bloc fonc-
et de réception tionnel.
Blocs de dialogue Les blocs de dialogue sont des blocs fonctionnels standard qui sont nécessai-
res en supplément pour les couplages aux réseaux SINEC L1, PROFIBUS et
PROFIBUS-DP. Ils doivent être commandés en cas de couplage correspon-
dant.
Fichiers des blocs Le bloc fonctionnel standard à utiliser dépend de l’AP employé et du type de
fonctionnels stan- couplage choisi. Le tableau 2-2 répertorie les noms de fichier relatifs aux AP
dard utilisés. Ces fichiers se trouvent sur la disquette COROS Blocs fonctionnels
standard qui doit être commandée séparément.
Nota
Réalisez une copie de la disquette originale.
Ne travaillez qu’avec la disquette originale.
Conservez la disquette originale en lieu sûr.
Le numéro du bloc fonctionnel standard peut être modifié librement.
Le bloc fonctionnel standard peut être utilisé au choix en mémoire vive
(RAM) ou dans l’EPROM de l’unité centrale.
2.3 Exemples
Exemples prêts à Des exemples sont livrés avec le logiciel de configuration. Ils contiennent
l’emploi d’une part des fichiers de configuration pour les divers pupitres de contrôle-
commande et d’autre part des fichiers de programme pour l’unité centrale
choisie. Le bloc fonctionnel standard n’est pas compris dans les fichiers de
programme. Vous devez le copier à partir de la disquette à commander sépa-
rément.
Le pupitre de contrôle-commande est prêt à fonctionner lorsque vous avez
chargé le fichier de configuration dans le pupitre et transféré le fichier de
programme vers l’AP. La communication est alors déjà établie entre le pupi-
tre de contrôle-commande et l’AP. Des instructions détaillées de mise en ser-
vice de l’exemple sont jointes à la documentation de l’outil de configuration.
Les exemples ont été réalisés pour tous les types de couplage. Nous vous re-
commandons d’utiliser les fichiers de programme comme base de program-
mation du couplage.
2.4 Optimisation
Temps de scruta- Les temps de scrutation entrés dans le logiciel de configuration pour les zo-
tion et temps de nes de communication, ainsi que les temps de scrutation des variables, sont
mise à jour des facteurs essentiels pour les temps de mise à jour effectivement atteints.
Le temps de mise à jour est égal à la somme du temps de scrutation, du
temps de transfert et du temps de traitement.
Vous devez tenir compte des facteurs suivants lors de la configuration pour
obtenir des temps de mise à jour optimaux :
Définissez les diverses zones de données de sorte qu’elles soient aussi
petites que possibles et aussi grandes que nécessaire.
Si des zones de données sont utilisées ensemble, placez-les les unes à côté
des autres. Le temps de mise à jour effectif est amélioré si vous définissez
une grande zone au lieu de plusieurs petites zones.
Des temps de scrutation trop courts abaissent inutilement les performan-
ces globales. Choisissez le temps de scrutation en fonction de la vitesse
de modification des valeurs du processus. Par exemple, la température
d’un four varie beaucoup moins vite que la vitesse de rotation d’un entraî-
nement électrique.
Valeur indicative pour le temps de scrutation : environ 1 seconde.
Pour améliorer les temps de mise à jour, vous pouvez éventuellement re-
noncer au transfert cyclique des zones de données utilisateur (temps de
scrutation 0). Utilisez plutôt des contrats automate pour effectuer un
transfert spontané des zones de données utilisateur.
Placez les variables d’un message ou d’une image de manière contiguë
dans une zone de données.
Afin d’être sûr que les modifications au niveau de l’automate puissent
être détectées par le pupitre de contrôle-commande, elles doivent être
maintenues pendant une durée au moins égale au temps de scrutation ef-
fectif.
Images Pour les images, la vitesse de mise à jour effectivement atteinte dépend :
du nombre de zones de données utilisées,
du type et nombre des données à afficher,
de la dispersion des données au sein d’une zone de données.
Il est recommandé de tenir compte des remarques suivantes lors de la confi-
guration pour obtenir de courts temps de mise à jour :
N’utilisez qu’un seul bloc de données pour les variables d’une image.
Placez les données utilisées dans le bloc de données aussi près les unes
des autres que possible.
Ne configurez des temps de scrutation courts que pour les entrées qui doi-
vent effectivement être mises à jour rapidement.
Seulement pour les afficheurs de ligne :
Pour les images avec de nombreuses valeurs de mesure et valeurs de con-
signe/mesure, activez la mise à jour partielle des images à l’aide d’un
contrat automate.
Dans le cas des courbes déclenchées par bit, si le bit global est mis à un dans
la zone de données de courbe, le pupitre de contrôle-commande actualise
chaque fois toutes les courbes dont le bit est à 1 dans cette zone. Il remet en-
suite le bit à zéro. Si le programme du S5 remet aussitôt le bit à 1, le pupitre
est constamment en train d’actualiser les courbes. Il n’est alors pratiquement
plus possible de dialoguer avec le pupitre de contrôle-commande.
Contrats automate Lorsque de nombreux contrats automate sont transmis en suite rapide au pupi-
tre de contrôle-commande, la communication entre pupitre et automate risque
d’être surchargée.
Lorsque le bloc fonctionnel écrit la valeur 0 dans le premier mot de données
de la boîte de contrat, le pupitre de contrôle-commande a reçu le contrat. Le
pupitre traite alors ce contrat, ce qui lui prend un certain temps. Si l’unité
centrale est rapide, il est possible que le pupitre soit encore en train de traiter
ce contrat automate, alors qu’un nouveau contrat automate est déjà transmis.
Ajoutez éventuellement une temporisation.
Lecture cyclique La lecture de la liste d’adresses des blocs de données lors de chaque accès à
des adresses des l’automate n’est nécessaire que lorsque les zones de données utilisateur sont
DB redéfinies, par exemple pendant la phase de mise en service. En fonctionne-
ment normal, il est recommandé de désactiver cette lecture pour améliorer
les performances.
Le pupitre est Si, au niveau de l’unité centrale, la communication est établie via AS511 par
connecté à l’inter- les deux interfaces, la seconde interface est utilisée avec une priorité inférieu-
face SI2 de l’UC re. Exemple de configuration possible : PG sur SI1 et pupitre de contrôle-
commande sur SI2. Dans ce cas, le pupitre risque d’afficher des messages
d’erreur relatifs à une perturbation de la communication. Ce comportement
est particulièrement notable avec la CPU928B.
Remède :
Communication par FAP.
La surveillance du Le bit de vie ne peut pas être mis à 1 pendant le transfert. La surveillance du
bit de vie se dé- bit de vie risque donc se déclencher lors du transfert d’enregistrements de
clenche pour les grande taille. Dans ce cas, augmentez la valeur pour la surveillance du bit de
recettes vie dans le mot de données DW98 de la zone d’interface. Nous vous recom-
mandons de donner à la surveillance du bit de vie une valeur comprise entre
2000 et 4000 (format de données KF).
Groupes d’auto- Dans le cas du couplage par AS511, les automates se répartissent en deux
mates groupes qui diffèrent par la structure de la communication. Le groupe 2 com-
prend les automates suivants :
– AP 95U
– AP 100U (CPU 103)
– AP 115U (sauf la CPU 945)
– AP 135U
Zone
d’interface
Zone de
Zones de données
utilisateur Pupitre de
contrôle-
Contrats commande
automate
Messages
Guide-
opérateur
Automate
Recettes
Rôle du bloc fonc- Les flèches représentées dans l’image 3-1 symbolisent le flux d’information
tionnel standard entre les composants.
Pupitre de contrôle-commande et AP communiquent entre eux par l’inter-
médiaire de l’interface pour console de programmation SI1/2 de l’unité cen-
trale. La communication est assistée par le bloc fonctionnel standard, qui doit
être intégré au programme utilisateur en STEP5. Son rôle est, entre autres, de
surveiller la liaison au pupitre et de coordonner le transfert de données.
Rôle de la zone La zone d’interface est utilisée par le bloc fonctionnel standard et doit donc
d’interface être déclarée dans tous les cas.
L’échange de données général entre automate et pupitre de contrôle-comman-
de est réalisé par l’intermédiaire de variables. L’échange de zones de données
particulières, par exemple pour les contrats automate et l’horloge de surveil-
lance, est réalisé via la zone d’interface. Elle contient des données et des
pointeurs sur des zones de données qui sont nécessaires, entre autres, pour la
synchronisation de l’échange de données entre automate et pupitre de contrô-
le-commande. Vous trouverez une description détaillée de la zone d’interface
au chapitre 10.1, page 10-2.
Zones de données Vous ne devez déclarer des zones de données utilisateur que si vous voulez
utilisateur utiliser la fonction correspondante. Les zones de données utilisateur sont, par
exemple, nécessaires pour
– déclencher des messages
– transférer des touches de fonction
– commander des LED
– les recettes
Vous trouverez une description détaillée des zones de données utilisateur au
chapitre 11.
Procédure Les points suivants décrivent la procédure générale à suivre pour mettre en
service un couplage AS511 pour des automates du groupe 2.
1. Déclarez le bloc de données pour la zone d’interface, par exemple DB
51, avec une longueur de 185 DW. Vous n’avez pas besoin de prédéfinir
des valeurs. La zone d’interface doit se trouver exclusivement dans la
zone de données DB. Les blocs de données étendus DX ne sont pas auto-
risés.
Si le bloc de données manque ou est trop court, un message d’erreur est
écrit dans l’accumulateur 1 après l’appel du bloc fonctionnel standard.
2. Copiez le bloc fonctionnel standard FB 51 (son nom est TDOP:511) de-
puis la disquette COROS Blocs fonctionnel standard dans votre program-
me en STEP5.
3. Chargez le numéro du bloc de données de la zone d’interface dans l’accu-
mulateur 1. Faites ensuite un appel inconditionnel du bloc fonctionnel
standard.
Exemple de programme :
L KY 51,0 51=numéro de la zone d’interface
:SPA FB 51 communication avec le pupitre de contrôle-commande
NAME :TDOP:511 couplage AS511
:T MW 100 enregistrer l’accumulateur 1 dans le mot de mémento
MW 100
:SPB=FEHL saut vers le traitement d’erreur
l’état du contrat et le numéro d’erreur sont dans MW 100.
Exemple :
OB 20/21/22
:A DB 51
:L KF 1
:T DW 64
Il est également possible de réinitialiser le pupitre de contrôle-commande
et le bloc fonctionnel standard, en mettant à 1 le bit 0 de ce mot de don-
nées avec le programme cyclique. La procédure correspondante est expo-
sée au chapitre 10.2.1, page 10-6, sous Redémarrage.
5. Vérifiez dans l’accumulateur 1 si le bloc fonctionnel standard a émis un
message d’erreur.
Si une erreur survient pendant le traitement du bloc fonctionnel, le résul-
tat logique prend la valeur 1. Cela vous permet de sauter à votre propre
traitement d’erreur avec l’instruction SPB.
Après l’appel du bloc fonctionnel standard, l’accumulateur 1 contient
l’état actuel du contrat et, le cas échéant, le numéro de l’erreur survenue.
Le contenu de l’accumulateur 1 est représenté dans la figure 3-2.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
6. Si vous utilisez des zones de données utilisateur, vous devez les déclarer
maintenant (voir le chapitre 11).
CommunicationManuel d’utilisation
Edition 05/99 3-5
Couplage AS511, groupe 2
Exemple de programme :
L KY 52,0 52=numéro de la seconde zone d’interface
:SPA FB 51
NAME :TDOP:511
:T MW 100
:SPB=FEHL
Limitations :
Le pupitre de contrôle-commande n’effectue aucune surveillance du bit
de vie. Il ne peut donc pas détecter si l’AP se trouve, par exemple, en état
Stop.
L’augmentation de charge de l’interface dans le sens pupitre vers AP peut
conduire à une diminution des performances.
Particularités :
Lors du lancement de fonctions d’état de la console de programmation (mes-
sage sur la console : traitement d’état en cours, par exemple pour
Etat des blocs, Forçage variable), il faut tenir compte des points suivants :
le message système $340 est affiché sur le pupitre de contrôle-commande,
les manipulations sur le pupitre ne sont plus possibles,
la communication du pupitre avec l’AP est arrêtée. Un traitement dans le
programme en STEP5 du numéro d’erreur 115, qui provient du bloc fonc-
tionnel standard, n’aurait donc pas de sens dans ce contexte.
Groupes d’auto- Dans le cas du couplage par AS511, les automates se répartissent en deux
mates groupes qui diffèrent par la structure de la communication. Le groupe 1 com-
prend les automates suivants :
– AP 90U
– AP 100U (CPU 100, CPU 102)
Description La figure 4-1 décrit la structure de la communication, avec les blocs de pro-
gramme et de données qui doivent être déclarés dans l’AP pour la communi-
cation entre AP et pupitre de contrôle-commande.
Zone
d’interface
Contrats Bloc
automate fonctionnel
standard
Pupitre de
Zones de données contrôle-
utilisateur commande
Messages
Guide-
opérateur
Rôle du bloc fonc- Les flèches représentées dans l’image 4-1 symbolisent le flux d’information
tionnel standard entre les composants.
Pupitre de contrôle-commande et AP communiquent entre eux par l’inter-
médiaire de l’interface pour console de programmation SI de l’unité centrale.
La communication est assistée par le bloc fonctionnel standard, qui doit être
intégré au programme utilisateur en STEP5. Son rôle est, entre autres, de
surveiller la liaison au pupitre et de coordonner le transfert de données.
Rôle de la zone La zone d’interface est utilisée par le bloc fonctionnel standard et doit donc
d’interface être déclarée dans tous les cas.
L’échange de données général entre automate et pupitre de contrôle-comman-
de est réalisé par l’intermédiaire de variables. L’échange de zones de données
particulières, par exemple pour les contrats automate et l’horloge de surveil-
lance, est réalisé via la zone d’interface. Elle contient des données et des
pointeurs sur des zones de données qui sont nécessaires, entre autres, pour la
synchronisation de l’échange de données entre automate et pupitre de contrô-
le-commande. Vous trouverez une description détaillée de la zone d’interface
au chapitre 4.3, page 4-7.
Zones de données Vous ne devez déclarer des zones de données utilisateur que si vous voulez
utilisateur utiliser la fonction correspondante. Les zones de données utilisateur sont, par
exemple, nécessaires pour
– déclencher des messages
– transférer des touches de fonction
– commander des LED
Vous trouverez une description détaillée des zones de données utilisateur au
chapitre 11.
Limitations fonc- Les limitations suivantes s’appliquent aux automates du groupe 1 dans le cas
tionnelles d’un couplage AS511 :
les recettes ne sont pas possibles,
les contrats automate sont écrits directement dans la zone d’interface.
Procédure Les points suivants décrivent la procédure générale à suivre pour mettre en
service un couplage AS511 pour des automates du groupe 1.
1. Déclarez le bloc de données pour la zone d’interface, par exemple DB
51, avec une longueur de 70 DW. Vous n’avez pas besoin de prédéfinir
des valeurs.
2. Copiez le bloc fonctionnel standard FB 51 (son nom est TDOP:511) de-
puis la disquette COROS Blocs fonctionnel standard dans votre program-
me en STEP5.
3. Ouvrez le bloc de données. Faites ensuite un appel inconditionnel du bloc
fonctionnel standard..
Exemple de programme :
A DB 51 51=numéro de la zone d’interface
:SPA FB 51 communication avec le pupitre de contrôle-commande
NAME :TDOP:511 couplage AS511
:T MW 100 enregistrer l’accumulateur 1 dans le mot de mémento
MW 100
:SPB=FEHL saut vers le traitement d’erreur
l’état du contrat et le numéro d’erreur sont dans
MW 100.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
6. Si vous utilisez des zones de données utilisateur, vous devez les déclarer
maintenant (voir le chapitre 11).
Exemple de programme :
L KY 52,0 52=numéro de la seconde zone d’interface
:SPA FB 51
NAME :TDOP:511
:T MW 102
:SPB=FEHL
Limitations :
Le pupitre de contrôle-commande n’effectue aucune surveillance du bit
de vie. Il ne peut donc pas détecter si l’AP se trouve, par exemple, en état
Stop.
L’augmentation de charge de l’interface dans le sens pupitre vers AP peut
conduire à une diminution des performances.
Particularités :
Lors du lancement de fonctions d’état de la console de programmation (mes-
sage sur la console : traitement d’état en cours, par exemple pour
Etat des blocs, Forçage variable), il faut tenir compte des points suivants :
le message système $340 est affiché sur le pupitre de contrôle-commande,
les manipulations sur le pupitre ne sont plus possibles,
la communication du pupitre avec l’AP est arrêtée. Un traitement dans le
programme en STEP5 du numéro d’erreur 115, qui provient du bloc fonc-
tionnel standard, n’aurait donc pas de sens dans ce contexte.
DW DL DR Utilisation
0–9 Zone de communication du FB standard. –
Cette zone ne doit pas être modifiée.
10–28 réservé –
29 Version de microprogramme du pupitre Le pupitre écrit dans
30 254 Numéro du DB DW 29 et 30
30.
DW DL DR Utilisation
48–50 48 bits de réveil Doivent être entrés
par l’utilisateur dans
la configuration.
51–57 réservé –
58 Surveillance du bit de vie (horloge de sur- 200 par défaut (for-
veillance) mat KF)
59 Numéro de version du FB standard Le FB standard écrit
dans DW 59.
60–68 Zone de communication du FB standard. –
Cette zone ne doit pas être modifiée.
Nota
La zone de communication et toutes les zones non utilisées pour le couplage
correspondant sont des zones réservées. Le programme utilisateur ne doit pas
écrire dans les zones réservées.
Affectation des Le bloc fonctionnel standard est démarré via le bit 0. Le bit 1 indique l’état
bits dans DR 40 actuel du bloc fonctionnel standard et le bit 2 le mode de fonctionnement du
pupitre de contrôle-commande. La figure 10-1 représente la structure des bits
de commande et de compte rendu 1.
DR 40
7 2 1 0
- - - - - R R W
Démarrage du FB
Etat du FB
Mode de fonctionnement du pupitre
- = non attribué
R = accès en lecture seulement
W = accès en lecture et en écriture
Figure 4-3 Structure des bits de commande et de compte rendu 1 (DR 64 dans la
zone d’interface)
Démarrer le FB Le bloc fonctionnel standard doit être démarré à l’aide de l’octet droit du mot
standard de données 40 de la zone d’interface.
Dans le bloc d’organisation de démarrage utilisé (OB 21/22), le mot de don-
nées 40 doit prendre la valeur 1 (format KF) pour déclencher le démarrage
du bloc fonctionnel et remettre à zéro tous les autres bits de commande.
Exemple : OB 21/22
Message d’erreur Vérifiez dans l’accumulateur 1 si le bloc fonctionnel standard a émis un mes-
du FB standard sage d’erreur.
Si une erreur survient pendant le traitement du bloc fonctionnel, le résultat
logique prend la valeur 1. Cela vous permet de sauter à votre propre traite-
ment d’erreur avec l’instruction SPB.
Après l’appel du bloc fonctionnel standard, l’accumulateur 1 contient l’état
actuel du contrat et, le cas échéant, le numéro de l’erreur survenue.
Le contenu de l’accumulateur 1 est représenté dans la figure 10-2.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
DL DR
DW 15 8 7 0
42 non attribué Heure (0...23)
Heure
43 Minutes (0...59) Secondes (0...59)
44 non attribué
45 non attribué Jour de la semaine (1...7)
Date
46 Jour (1...31) Mois (1...12)
47 Année (0...99) non attribué
Synchronisation Les bits de commande et de compte rendu 2 de la zone d’interface (DW 41)
du transfert synchronisent le transfert de la date et de l’heure. Lorsque le pupitre de
contrôle-commande a transféré une nouvelle date ou heure à l’automate via
un contrat automate, il met à 1 les bits représentés dans la figure 4-6. Une
fois la date et l’heure exploités, vous devez remettre ces bits à zéro dans le
programme en STEP5 afin de pouvoir détecter le transfert suivant.
DL 41
15 14 13 12 8 - = non attribué
W W W - - - - - W = accès en lecture et en écriture
Nota
Le contrat automate 41 ne doit pas être appelé de manière cyclique ni à des
intervalles inférieurs à 5 secondes, car il y a sinon surcharge de la communi-
cation avec le pupitre de contrôle-commande. Les numéros d’erreur 502 ou
503 s’affichent alors sur le pupitre.
Pupitres utilisa- Les réveils ne peuvent être utilisés qu’avec les OP15 et OP17. Un réveil est un
bles moment qui revient de manière périodique (horaire, journalière, hebdomadaire,
annuelle) et auquel une fonction spécifiée est exécutée, par exemple :
– imprimer le tampon de messages
– imprimer une image
– sélectionner une image
Lorsqu’une heure de réveil est atteinte dans l’OP, le bit correspondant est mis
à un 1 dans cette zone :
DW 15 Numéro de bit 0
48 16 1
49 32 17
50 48 33
Numéro de réveil
Transfert de réveils Dans les entrées d’image, il est possible de créer des champs de saisie pour
à l’AP réveil dotés d’une liaison processus, et donc une liaison à l’automate. Si un
(uniquement pour réveil est modifié par une saisie sur l’OP, le nouveau réveil est transmis à
les configurations l’automate.
avec COM TEXT)
Type de réveil Structure de la liaison processus :
DR
DR
DR
DR
Nota
La liaison processus pour les types de réveil ”hebdomadaire” et ”annuel”
doit avoir impérativement une longueur de 2 mots de données. Sinon, le
message système $635 apparaît après la saisie de l’heure de réveil.
Synchronisation Les bits de commande et de compte rendu 2 de la zone d’interface (DW 41)
du transfert synchronisent le transfert des bits de réveil.
Si l’OP met à 1 un nouveau bit de réveil dans la zone d’interface, il met éga-
lement à 1 le bit correspondant des bits de commande et de compte rendu 2
(voir la figure 4-7). Il vous suffit donc d’interroger ce bit pour détecter une
modification des bits de réveil.
DL 41
15 14 13 12 8 - = non attribué
W W W - - - - - W = accès en lecture et en écriture
Version du DW 29 :
microprogramme du Le pupitre de contrôle-commande écrit le numéro de version de son micro-
pupitre programme dans le mot de données DW 29. Vous pouvez exploiter cette indi-
cation dans le programme en STEP5.
Entrées du FB Le bloc fonctionnel standard écrit dans les mots de données DW 31 et 59 des
standard informations que vous pouvez exploiter dans le programme utilisateur. Le
programme utilisateur ne doit pas écrire dans ces mots de données.
Identificateur de l’AP DW 31 :
et du couplage Le bloc fonctionnel standard écrit l’identificateur 0 2 dans l’octet gauche
DL pour le type d’AP, et 1 dans l’octet droit DR pour le type de couplage. La
structure du mot de données est représentée dans la figure 4-8.
Numéro de version DW 59
du FB standard Le bloc fonctionnel standard écrit son numéro de version dans ce mot de don-
nées.
15 ... 8 7 6 5 0
DW 59 Version (0 à 99) en format R R non attribué
KF (virgule fixe)
Surveillance du bit DW 58
de vie Le pupitre de contrôle-commande inverse à intervalles réguliers un bit de la
zone d’interface qui n’est pas accessible à l’utilisateur. Le bloc fonctionnel
standard compte le nombre de fois où il a été appelé entre deux inversions de
ce bit. Si le nombre d’appels (cycles) dépasse une valeur prédéfinie, le bloc
fonctionnel standard écrit le message d’erreur 115 dans l’accumulateur 1.
Entrez dans ce mot de données le nombre maximal d’appels du bloc
fonctionnel avant qu’il n’émette un message d’erreur. Si la valeur de ce mot
de données est remplacée par 0, le bloc fonctionnel standard y inscrit la va-
leur par défaut 200.
Si les temps de cycle du programme utilisateur sont trop courts, l’erreur 115
peut survenir bien que la liaison soit correcte. Augmentez dans ce cas la va-
leur pour le nombre d’appels, par exemple 2000.
Structure du Quatre mots de données de la zone d’interface sont réservés à un contrat au-
contrat automate tomate. Le premier mot de données contient le numéro de contrat. Les mots
de données 2 à 4 peuvent recevoir jusqu’à trois paramètres, selon la fonction.
La structure générale d’un contrat automate est représentée dans la figu-
re 4-9.
Etat et numéro L’état du contrat automate, éventuellement accompagné d’un numéro d’er-
d’erreur du contrat reur, est indiqué dans le mot de données DW 39.
automate en cours
Après appel du bloc fonctionnel standard, ce mot de données contient les
mêmes informations que l’accumulateur 1. La figure 4-10 représente le
contenu de l’accumulateur 1. Le bit 8 Pas de contrat en traitement constitue
une exception. Il n’est en effet pas mis à 1 dans la zone d’interface.
DL DR
15 12 11 10 8 7 0
- = Le bit n’est pas attribué
- - - R R R - R Numéro d’erreur R = accès en lecture seulement
Numéro d’erreur
Etat du contrat
Figure 4-10 Etat du contrat et numéro d’erreur pour les contrats automate
L’octet gauche DL contient l’état du contrat. Les bits sont mis à 1 par le bloc
fonctionnel standard. Si le contrat automate s’est terminé sans erreur, le bloc
fonctionnel standard donne la valeur 0 à l’octet droit DR. Si le contrat auto-
mate s’est terminé sur une erreur, l’octet DR contient le numéro d’erreur.
Une description des numéros d’erreur se trouve en annexe A.3.
Zone
d’interface
Messages
Guide- DB-EMPF
opérateur Boîte de
réception
Recettes
Description Les composants entourés d’un trait pointillé dans la figure 5-1 doivent être
déclarés individuellement pour chaque pupitre de contrôle-commande à
connecter. Les flèches symbolisent le flux d’information entre les compo-
sants.
Rôle du bloc fonc- Pupitre de contrôle-commande et automate communiquent entre eux par l’in-
tionnel standard termédiaire de l’interface CP ou de l’interface de programmation SI2 de
l’UC. L’échange de données de l’automate vers le pupitre est effectué via une
boîte d’émission, celui du pupitre vers l’automate via une boîte de réception.
Ces deux zones de données servent de tampons d’émission et de réception au
bloc fonctionnel standard.
Rôle de la zone La zone d’interface est utilisée par le bloc fonctionnel standard et doit donc
d’interface être déclarée dans tous les cas.
La zone d’interface est un bloc de données qui joue aussi bien le rôle d’inter-
face entre programme utilisateur et bloc fonctionnel standard qu’entre pro-
gramme utilisateur et pupitre de contrôle-commande. Elle contient des don-
nées et des pointeurs sur des zones de données qui sont, entre autres,
nécessaires à la synchronisation de l’échange de données entre automate et
pupitre. Vous trouverez une description détaillée de la zone d’interface au
chapitre 10.1, page 10-2.
Rôle du DB-ZU Le bloc de données d’assignation DB-ZU contient les paramètres de tous les
pupitres de contrôle-commande configurés et qui participent à la communica-
tion avec l’AP. Vous trouverez une description générale du DB-ZU au chapi-
tre 10.3. Le tableau 5-1 représente la structure de la zone de 16 mots de don-
nées du DB-ZU, telle qu’elle doit être utilisée pour respectivement un pupitre
de contrôle-commande dans le cas du protocole FAP.
DW DL DR Utilisation
n+0 réservé No de DB de la zone Doit être entré par
d’interface l’utilisateur.
n+1 réservé –
n+2 Numéro de version du FB standard –
n+3 Etat du contrat Numéro d’erreur Doit être exploité
par l’utilisateur.
n+4 Adresse du CP Doit être entrée par
(uniquement pour CP523 et l’utilisateur.
CP521SI)
n+5 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
0 = DB de réception ; doit
être entré par l’utili-
1 = DX
sateur.
n+6 0 Adresse de début
(numéro du DW)
n+7 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
0 = DB d’émission ; doit être
entré par l’utilisa-
1 = DX
teur.
n+8 0 Adresse de début
(numéro du DW)
n+9 sans objet avec FAP –
n+10
DW DL DR Utilisation
n+11 Paramètres d’interface Doivent être entré
n+12 par l’ ili
l’utilisateur.
n+13
n+14 réservé –
n+15
Zones de données Vous ne devez déclarer des zones de données utilisateur que si vous voulez
utilisateur utiliser la fonction correspondante. Les zones de données utilisateur sont, par
exemple, nécessaires pour
– déclencher des messages
– transférer des touches de fonction
– commander des LED
– les recettes
Vous trouverez une description détaillée des zones de données utilisateur au
chapitre 11.
Boîtes d’émission Le bloc fonctionnel standard utilise des boîtes d’émission et de réception
et de réception pour la communication interne. Ces deux boîtes doivent être déclarées par
l’utilisateur en un emplacement quelconque de l’AP. L’adresse des deux boî-
tes doit être inscrite dans le bloc de données d’assignation DB-ZU. La lon-
gueur des boîtes dépend de l’unité centrale utilisée (voir le tableau 5-2).
Tableau 5-2 Relation entre l’unité centrale utilisée et la taille des boîtes d’émission et
de réception
Procédure Les points suivants décrivent la procédure générale à suivre pour mettre en
service un couplage FAP.
1. Déclarez le bloc de données pour la zone d’interface, par exemple DB
51, avec une longueur de 185 DW. Vous n’avez pas besoin de prédéfinir
des valeurs.
Si le bloc de données manque ou est trop court, un message d’erreur est
écrit dans l’accumulateur 1 après l’appel du bloc fonctionnel standard.
2. Copiez le bloc fonctionnel standard FB 52 (son nom est TDOP:521 ou
TDOP:523) ou le bloc fonctionnel standard FB 53 (son nom est
TDOP:FAP) de la disquette COROS Blocs fonctionnel standard dans vo-
tre programme en STEP5.
Le tableau 5-3 indique le bloc fonctionnel à utiliser en fonction de la
configuration matérielle.
Tableau 5-3 Blocs fonctionnels standard pour les diverses configurations matérielles
DW DL DR Utilisation
n+0 réservé 51 Doit être entré par
l’utilisateur.
n+1 réservé –
n+2 Numéro de version du FB standard –
n+3 Etat du contrat Numéro d’erreur Doit être exploité
par l’utilisateur.
n+4 0 128 Doit être entré par
l’utilisateur.
n+5 0 50 Pointeur sur la boîte
de réception
p ; doit
n+6 0 0 être entré par l’utili-
sateur.
n+7 0 50 Pointeur sur la boîte
d’émission ; doit être
n+8 0 50 entré par l’utilisa-
teur.
n+9 sans objet avec FAP –
n+10
n+11 9600 0 Doit être entré par
n+12 0 0 l’ ili
l’utilisateur.
n+13 1
n+14 réservé –
n+15
Exemple de programme :
L KY 52,1 52=numéro du DB-ZU
1 = numéro d’appareil
:SPA FB 52 communication avec le pupitre de contrôle-commande
NAME :TDOP:523 Couplage FAP par CP523
:T MW 100 enregistrer l’accumulateur 1 dans le mot de mémento
MW 100
:SPB=FEHL saut vers le traitement d’erreur
l’état du contrat et le numéro d’erreur sont dans MW
100.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
10. Si vous utilisez des zones de données utilisateur, vous devez les déclarer
maintenant (voir le chapitre 11).
Entrées spécifi- Le paramétrage de l’interface vers l’AP est effectué à l’aide du bloc de don-
ques au couplage nées d’assignation DB-ZU. Ce sous-chapitre décrit exclusivement les entrées
dans le DB-ZU spécifiques au couplage FAP. Vous trouverez une description générale du DB-
ZU au chapitre 10.3.
Adresse du CP DWn+4
Ce mot de données doit correspondre à l’adresse du module CP telle qu’elle
est réglée au niveau matériel.
avec CP521SI :
DL DR (adresse de début)
0 64...120
(par incréments de 8)
avec CP523 :
Nota
Les processeurs de communication CP521 SI et CP523 occupent 8 adresses
dans la zone d’entrée/sortie de l’automate.
Veillez à ne pas effectuer de réglages qui conduisent à un chevauchement
avec la zone d’adresses d’autres modules. Le bloc fonctionnel standard ne
vérifie pas si les zones d’adresses se chevauchent !
Paramètres d’inter- Vous devez tenir compte des réglages suivants si vous connectez le pupitre de
face pour l’UC contrôle-commande à l’interface SI2 de l’unité centrale :
CPU 943/944 : DW n + 11 et DW n + 12 sont sans objet. Ils sont prédéfi-
nis dans l’unité centrale.
Avec la CPU 945, les mots de données DW n + 11 et DW n + 12 doivent
être paramétrés dans la configuration.
Valeurs à configurer :
– Vitesse de transmission : 9600 ou 19200
– Parité : paire
– Bits de stop : 1
Avec la CPU 928 B, les mots de données DW n+(5..8) pour les boîtes
d’émission et de réception, ainsi que les mots de données DW n+(11..13)
pour les paramètres d’interface, sont sans objet. Il suffit d’entrer le numé-
ro de la zone d’interface dans le mot de données DW n+0. Le paramétra-
ge de la CPU 928B est décrit au chapitre 5.4, page 5-11.
Temps de cycle Pour le couplage FAP via le module processeur de communication CP521 SI,
avec CP521 SI les appels successifs du bloc fonctionnel standard ne doivent pas être séparés
de plus de 80 ms. Le temps de cycle du programme du S5 ne doit donc pas
excéder 80 ms.
Si le temps de cycle du programme de l’AP est supérieur à 80 ms, le bloc
fonctionnel standard ne doit pas être appelé dans OB1. Il doit alors être appe-
lé dans le bloc d’organisation déclenché par horloge OB13. Dans ce cas, en-
registrez les mémentos banalisés et rechargez-les ensuite. Vous devez para-
métrer un temps de cycle inférieur à 80 ms pour l’OB13.
Structure du DX2 La figure 5-3 indique les valeurs avec lesquelles le bloc de données étendu
DX2 doit être paramétré. Le paramétrage commence de manière absolue par
DW 0.
Toutes les valeurs sont indiquées en hexadécimal.
No de DW Paramètre Signification
0 4D41 MA
1 534B SK
2 5832 X2
3 0030 Transfert de données
avec type de couplage
”pilote ouvert”
4 44xx ou no de DB xx ou
58xx no de DX xx
pointeur sur le jeu
5 xxxx à partir du no de DW xxxx statique de paramètres
6 0000 réservé
7 0000 réservé
8 44xx ou no de DB xx ou
58xx no de DX xx pointeur sur la boîte d’émission
9 xxxx à partir du no de DW xxxx
10 xxxx longueur en mots
11 44xx ou no de DB xx ou
58xx no de DX xx
pointeur sur la
12 xxxx à partir du no de DW xxxx
boîte de réception
13 xxxx longueur en mots
14 44aa no de DB aa 1)
15 0064 no de DW 100 pointeur sur KBS/KBE
Jeu statique de pa- Il contient les paramètres relatifs à la couche de transfert binaire ainsi que
ramètres des paramètres spécifiques au transfert.
La figure 5-4 indique les valeurs contenues dans le jeu statique de paramètres
dans le DB/DX. Le paramétrage commence par le mot de données indiqué
dans le DX2.
No de DW Paramètre Signification
n 0001 100 bauds
0002 150 bauds
0003 300 bauds
0004 600 bauds
0005 1200 bauds
0006 2400 bauds
0007 4800 bauds
0008 9600 bauds
0009 19200 bauds
n+1 0000 pas de parité
0001 parité impaire
0002 parité paire
n+2 0006 6 bits par caractère
0007 7 bits par caractère
0008 8 bits par caractère
n+3 0001 1 bit de stop
Nota
Le mot de données n + 7 doit contenir la valeur 10
(délai de caractères = 100 ms).
Reprise des numé- Le programme système vérifie toutes les 100 ms si des erreurs de communi-
ros d’erreur du cation se sont éventuellement produites au niveau de la seconde interface
système d’exploi- série (SI2) de la CPU 928B. En cas d’erreur, le programme système appelle
tation le bloc de données d’organisation OB 35.
Vous devez programmer les instructions suivantes dans l’OB 35 pour traiter
les messages d’erreur :
OB35
A DB aaaa numéro de la zone d’interface
T DD 101
Paramètres dans la Le tableau 5-5 regroupe les paramètres d’interface qui doivent être réglés
configuration dans la configuration. Il indique également les valeurs par défaut proposées
par l’outil de configuration. Le paramétrage doit être effectué dans
ProTool sous Système cible→Automate,
COM TEXT sous Configurer→Réglage de base→Couplage TDOP.
Nota
Les OP7 et OP17 n’acceptent qu’un seul bit de stop.
6.1 Introduction
Définition Le réseau PROFIBUS-DP est un réseau de terrain maître esclave qui accepte
un maximum de 122 esclaves. Le réseau PROFIBUS L2-DP est normalement
piloté par un maître. Ce maître scrute les esclaves de manière cyclique. Le
maître est par exemple un AP avec module de couplage compatible à la nor-
me DP. Chaque pupitre de contrôle-commande est affecté de manière perma-
nente à un AP maître.
La connexion des esclaves PROFIBUS-DP est compatible à la norme PROFI-
BUS-DP, DIN E 19245, partie 3.
Matériel Vous avez besoin des composants matériels suivants pour intégrer les pupitres
nécessaire de contrôle-commande à un réseau PROFIBUS-DP existant :
pour TD10, TD20 et OP20 :
un module d’interface PROFIBUS-DP et une cartouche de microprogram-
me ,
pour OP5 et OP15 : les variantes d’appareil OP5/A2, OP15/A2 ou
OP15/C2,
pour OP7 : les variantes d’appareil OP7/DP ou OP7/DP-12,
pour OP17 : les variantes d’appareil OP17/DP ou OP17/DP-12,
pour OP25/35, OP27/37 et TP27/37 : aucun composant supplémentaire
n’est nécessaire,
dans l’AP :
un module compatible avec la norme DP, par exemple IM308C. Ce modu-
le n’est nécessaire qu’une seule fois dans l’AP,
pour chaque appareil (pupitre de contrôle-commande ou AP) :
un bornier réseau PROFIBUS-DP ou un autre composant homologué pour
cet usage (sauf la borne de réseau FSK, voir les possibilités de configura-
tion dans le catalogue SIMATIC HMI ST80.1),
pour le S5-155 U avec CPU 946/947, vous devez utiliser la version
3UA22 ou une version ultérieure.
Logiciel Vous avez en outre besoin des composants logiciels suivants pour le couplage
nécessaire au réseau PROFIBUS-DP :
bloc fonctionnel standard SIMATIC HMI à partir de la version 3.2 (ver-
sion 3.3 pour les fenêtres DP) pour l’AP correspondant,
logiciel de configuration ProTool ou ProTool/Lite à partir de la version 2,
ou COM TEXT à partir de la version V3.10,
logiciel de configuration spécifique pour paramétrer le module de coupla-
ge de manière compatible à la norme DP.
Autres maîtres du Dans certains cas particuliers, un autre AP avec module maître conforme à la
réseau norme DP peut être connecté à un réseau PROFIBUS-DP. Les pupitres de
contrôle-commande peuvent alors être répartis entre les deux maîtres.
Limites système Dans le cas des réseaux PROFIBUS-DP, au maximum 120 des 122 esclaves
peuvent être des pupitres de contrôle-commande. Ces valeurs sont théoriques.
Les limites effectives résultent de la capacité mémoire et des performances
de l’automate.
$
"
!
$
"
!
!
$
Description Les composants entourés d’un trait pointillé dans la figure 6-1 doivent être
déclarés individuellement pour chaque pupitre de contrôle-commande à
connecter. Les flèches symbolisent le flux d’information entre les compo-
sants.
Rôle du bloc fonc- Pupitre de contrôle-commande et AP communiquent entre eux par l’intermédi-
tionnel standard aire module maître PROFIBUS-DP. L’échange de données de l’automate vers
le pupitre est effectué via une boîte d’émission, celui du pupitre vers l’auto-
mate via une boîte de réception. Ces deux zones de données servent de tam-
pons d’émission et de réception au bloc fonctionnel standard.
Le bloc fonctionnel standard doit être intégré au programme utilisateur en
STEP5. Son rôle est, par exemple, de surveiller la liaison au pupitre de
contrôle-commande et de coordonner le transfert de données.
Rôle de la La zone d’interface est un bloc de données qui joue aussi bien le rôle d’inter-
zone d’interface face entre programme utilisateur et bloc fonctionnel standard qu’entre pro-
gramme utilisateur et pupitre de contrôle-commande. Elle contient des don-
nées et des pointeurs sur des zones de données qui sont, entre autres,
nécessaires à la synchronisation de l’échange de données entre automate et
pupitre. Vous trouverez une description détaillée de la zone d’interface au
chapitre 10.1, page 10-2.
Rôle du DB-ZU Le bloc de données d’assignation DB-ZU contient les paramètres de tous les
pupitres de contrôle-commande configurés et qui participent à la communica-
tion avec l’AP. Vous trouverez une description générale du DB-ZU au chapi-
tre 10.3, page 10-19. Le tableau 6-1 représente la structure de la zone de
16 mots de données du DB-ZU, telle qu’elle doit être utilisée pour respecti-
vement un pupitre de contrôle-commande dans le cas du PROFIBUS-DP.
DW DL DR Utilisation
n+0 réservé No de DB de la zone Doit être entré par
d’interface l’utilisateur.
n+1 réservé –
n+2 Numéro de version du FB standard –
n+3 Etat du contrat Numéro d’erreur Doit être exploité
par l’utilisateur.
n+4 sans objet avec PROFIBUS-DP –
n+5 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
0 = DB de réception ; doit
être entré par l’utili-
1 = DX
sateur.
n+6 0 Adresse de début
(numéro du DW)
n+7 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
0 = DB d’émission ; doit être
entré par l’utilisa-
1 = DX
teur.
n+8 0 Adresse de début
(numéro du DW)
n+9 Entrées spécifiques au couplage qui dépen- Doit être entré par
n+10 d du
dent d type d’adressage
d’ d utilisé.
ili é l’ ili
l’utilisateur.
n+11
n+12 sans objet avec PROFIBUS-DP –
n+13
n+14 réservé –
n+15
Entrées Les entrées dans le bloc de données d’assignation DB-ZU dépendent du type
spécifiques au d’adressage. La description suivante des mots de données n+9 à n+11 fait une
couplage dans distinction entre les deux types d’adressage ”adressage linéaire/adressage par
DB-ZU page” et ”adressage par fenêtre DP”. Pour de plus amples informations sur la
signification de ces types d’adressage, veuillez vous reporter au manuel du
PROFIBUS-DP.
Dans le cas de l’adressage par fenêtre DP, vous pouvez utiliser des tailles de
bloc maximales de 32 octets. Cela accroît les performances du pupitre de
contrôle-commande. Le temps de réponse du système de périphérie décentra-
lisée est allongé par la même occasion.
Nota
Le type d’adressage ”fenêtre DP” n’est possible qu’avec l’IM308C à partir
de la version 3.
Entrées pour La figure 6-2 représente la structure des mots de données n+9 à n+11 du DB-
l’adressage linéai- ZU pour l’adressage linéaire et l’adressage par page. Les données doivent
re et l’adressage coïncider avec celles configurées pour le module de couplage.
par page
DL DR
DW n +9 Type d’adressage Adresse de début de la périphérie
DW n +10 Numéro de page Taille de bloc
DW n +11 réservé
Figure 6-2 Structure des mots de données du DB-ZU pour l’adressage linéaire et
l’adressage par page
Entrées pour La figure 6-3 représente la structure des mots de données n+9 à n+11 du DB-
l’adressage par fe- ZU pour l’adressage par fenêtre DP. Les données doivent coïncider avec cel-
nêtre DP les configurées pour le module de couplage.
DL DR
DW n +9 Type d’adressage Numéro IM
DW n +10 Adresse PROFIBUS Taille de bloc
du pupitre
DW n +11
Figure 6-3 Structure des mots de données du DB-ZU pour l’adressage par
fenêtre DP
Nota
Les pupitres de contrôle-commande TD10, TD20 et OP20 n’acceptent pas
l’adressage par fenêtre DP.
Boîtes d’émission Le bloc fonctionnel standard utilise des boîtes d’émission et de réception
et de réception pour la communication interne. Ces deux boîtes doivent être déclarées par
l’utilisateur en un emplacement quelconque de l’AP. L’adresse des deux boî-
tes doit être inscrite dans le bloc de données d’assignation DB-ZU. La lon-
gueur des boîtes dépend de la taille de bloc utilisée (voir le tableau 6-2).
Tableau 6-2 Relation entre la taille de bloc utilisée et la taille des boîtes d’émission et
de réception
Zones de données Vous ne devez déclarer des zones de données utilisateur que si vous voulez
utilisateur utiliser la fonction correspondante. Les zones de données utilisateur sont, par
exemple, nécessaires pour
déclencher des messages
transférer des touches de fonction
commander des LED
les recettes
Vous trouverez une description détaillée des zones de données utilisateur au
chapitre 11.
Procédure Les points suivants décrivent la procédure générale à suivre pour mettre en
service un couplage au réseau PROFIBUS-DP.
1. Déclarez le bloc de données pour la zone d’interface, par exemple DB
51, avec une longueur de 256 DW. Dans le cas de l’adressage par fenêtre
DP (IM308C uniquement), le bloc doit avoir une longueur de 255 DW.
Vous n’avez pas besoin de prédéfinir des valeurs.
Si le bloc de données manque ou est trop court, un message d’erreur est
écrit dans l’accumulateur 1 après l’appel du bloc fonctionnel standard.
2. Copiez le bloc fonctionnel standard FB 58 (son nom est TDOP:DP) de-
puis la disquette COROS Blocs fonctionnel standard dans votre program-
me en STEP5. Si vous utilisez l’adressage par fenêtre DP, vous devez uti-
liser la version 3.3 ou ultérieure du bloc fonctionnel.
3. Déclarez le DB-ZU, par exemple DB 52, avec une longueur minimale de
16 mots. Le bloc de données d’assignation DB-ZU contient les
paramètres de tous les pupitres de contrôle-commande configurés et
connectés à l’AP.
Si plusieurs pupitres de contrôle-commande sont couplés au même AP via
PROFIBUS-DP, tous les pupitres peuvent utiliser le même bloc de don-
nées d’assignation DB-ZU. Dans ce cas, vous devez affecter 16 mots du
DB-ZU à chaque pupitre de contrôle-commande.
4. Effectuez maintenant les entrées nécessaires dans le bloc de données d’as-
signation DB-ZU. Le tableau 6-3 montre un exemple d’affectation pour
un pupitre. Le décalage n dans le DB-ZU correspond à [(numéro d’appa-
reil –1)*16].
Entrez le numéro de DB de la zone d’interface dans le mot de données
DW n+0. Dans les mots de données n+5 à n+8, déclarez les pointeurs
pour les boîtes d’émission et de réception. Ecrivez les entrées spécifiques
au couplage dans les mots de données n+9 à n+11.
Le bloc de données d’assignation DB-ZU n’est exploité que lors du dé-
marrage du bloc fonctionnel standard. Cela signifie que d’éventuelles
modifications du DB-ZU en cours de fonctionnement provoquent un dé-
marrage du bloc fonctionnel standard.
DW DL DR Utilisation
0 réservé 51 Doit être entré par
l’utilisateur.
1 réservé –
2 Numéro de version du FB standard –
3 Etat du contrat Numéro d’erreur Doit être exploité
par l’utilisateur.
4 sans objet avec PROFIBUS-DP –
5 0 58 Pointeur sur la boîte
de réception
p ; doit
6 0 0 être entré par l’utili-
sateur.
7 0 58 Pointeur sur la boîte
d’émission ; doit être
8 0 41 entré par l’utilisa-
teur.
9 0 128 Zone P linéaire avec
adresse de début 128
10 32 Taille de bloc
11 réservé –
12 sans objet avec PROFIBUS-DP –
13
14 réservé –
15
Exemple de programme :
L KY 52,1 52=numéro du DB-ZU
1 = numéro d’appareil
:SPA FB 58 communication avec le pupitre de contrôle-commande
NAME :TDOP:DP couplage au réseau PROFIBUS-DP
:T MW 100 enregistrer l’accumulateur 1 dans le mot de mémento
MW 100
:SPB=FEHL saut vers le traitement d’erreur
l’état du contrat et le numéro d’erreur sont dans
MW 100.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
10. Si vous utilisez des zones de données utilisateur, vous devez les déclarer
maintenant (voir le chapitre 11).
Paramétrage du ré- Le tableau suivant indique les paramètres à entrer dans le réseau PROFIBUS-
seau DP pour le module de couplage et le pupitre de contrôle-commande afin
qu’ils puissent communiquer entre eux.
Nota
La vitesse de transmission est d’autant plus élevée que la taille de bloc est
importante. Le temps de réponse du système de périphérie décentralisée est
toutefois allongé par la même occasion. Afin d’améliorer les performances
des pupitres à afficheur graphique, vous devez absolument choisir pour ceux-
ci une taille de bloc élevée.
Utilisation de QVZ Si vous avez activé le retard d’acquittement (QVZ) pour le pupitre de contrô-
pour le pupitre le-commande et déclaré l’OB23, vous devez mettre à zéro l’accumulateur 1 à
la fin de l’OB23, par exemple avec L KH0000. Le QVZ émis lors de l’initia-
lisation du pupitre (redémarrage, mise sous tension) n’est ainsi pas pris en
compte et l’unité centrale reste en mode RUN.
Paramétrage du Le tableau 6-4 regroupe les paramètres d’interface qui doivent être réglés lors
pupitre de la configuration du pupitre de contrôle-commande. Il indique également
les valeurs par défaut proposées par l’outil de configuration. Le paramétrage
doit être effectué dans
ProTool sous Système cible→ Automate,
COM TEXT sous Configurer → Réglages de base → Couplage TDOP.
COM PROFIBUS Pour configurer un IM308B/C, vous devez utiliser le logiciel de configura-
tion COM PROFIBUS. Des fichiers GSD pour pupitres de contrôle-comman-
de esclaves sont livrés avec l’outil de configuration SIMATIC HMI. Ces fi-
chiers GSD se trouvent
pour ProTool, dans le dossier \PROTOOL\PLCPROG\GSD,
pour ProTool/Lite, dans le dossier \PROLITE\PLCPROG\GSD
Des fichiers GSD différents sont nécessaires pour les divers pupitres de
contrôle-commande. Le tableau 6-5 indique les correspondances.
Paramètres Vous devez régler les paramètres suivants dans COM PROFIBUS afin que
l’IM308B/C et le pupitre de contrôle-commande puissent communiquer entre
eux :
Type de station : COROS OP.. ou HMI..
Numéro de station : 3...126
La valeur entrée ici doit correspondre à l’adresse d’OP qui est entrée lors
de la configuration du pupitre de contrôle-commande.
Configuration prévue :
La configuration prévue est déterminée par le choix de la taille de bloc.
La taille de bloc est déterminée par le nombre d’emplacements indiqué.
L’adresse 055 est indiquée pour chaque emplacement utilisé.
Vous pouvez choisir entre les tailles de bloc suivantes : 8 octets, 16 octets,
32 octets, 64 octets, 120 octets.
Identificateur d’adresse :
L’identificateur d’adresse est attribué automatiquement par la configura-
tion prévue et ne doit pas être modifié.
Adresses E et S :
Ce champ reste vide en cas d’adressage par fenêtre DP.
Entrées spécifi- Seul le type d’adressage 0 (zone P linéaire) est autorisé dans les entrées spé-
ques au couplage cifiques au couplage du DB-ZU. Le mot de données n+11 contient le numéro
dans le DB-ZU du bloc fonctionnel supplémentaire. L’affectation des mots de données n+9 à
n+11 du DB-ZU est donc réalisée comme suit :
DL DR
DW n +9 0 Adresse de début de périphérie
DW n +10 sans objet Taille de bloc
DW n +11 0 No du FB supplémentaire
Figure 6-5 Structure des mots de données du DB-ZU pour l’adressage linéaire
Nota
Si vous configurez l’interface DP de l’AP 95U maître DP via le DB1, vous
ne devez pas utiliser de mémento banalisé pour l’état DP.
COM PROFIBUS Vous devez disposer du logiciel de configuration COM PROFIBUS pour
configurer l’AP 95U maître DP. Des fichiers GSD pour pupitres de contrôle-
commande esclaves sont livrés avec l’outil de configuration SIMATIC HMI.
Ces fichiers GSD se trouvent :
pour ProTool, dans le dossier \PROTOOL\PLCPROG\GSD,
pour ProTool/Lite, dans le dossier \PROLITE\PLCPROG\GSD
Des fichiers GSD différents sont nécessaires pour les divers pupitres de
contrôle-commande. Le tableau 6-6 indique les correspondances.
Si les fichiers GSD du dossier de COM PROFIBUS sont plus anciens que
ceux livrés avec ProTool ou si COM PROFIBUS ne prend pas encore en
charge un nouveau pupitre, copiez ces fichiers de ProTool dans
COM PROFIBUS. Redémarrez ensuite COM PROFIBUS et choisissez Lire
fichiers GSD.
Si vous avez déjà réalisé une configuration COM PROFIBUS avec un ancien
fichier et voulez utiliser les fichiers GSD actuels, vous devez recommencer la
configuration.
Paramètres Vous devez régler les paramètres suivants dans COM PROFIBUS afin que
l’AP 95U maître DP et le pupitre de contrôle-commande puissent communi-
quer entre eux :
Type de station : COROS OP.. ou HMI..
Numéro de station : 3...126
La valeur entrée ici doit correspondre à l’adresse d’OP qui est entrée lors
de la configuration du pupitre de contrôle-commande.
Désignation du bus : Profibus-DP
Protocole du bus : réglable/S5-95U
Configuration prévue :
La configuration prévue est déterminée par le choix de la taille de bloc.
La taille de bloc est déterminée par le nombre d’emplacements indiqué.
L’adresse 055 est indiquée pour chaque emplacement utilisé.
Vous pouvez choisir entre les tailles de bloc suivantes : 8 octets, 16 octets,
32 octets.
Identificateur d’adresse :
L’identificateur d’adresse est attribué automatiquement par la configura-
tion prévue et ne doit pas être modifié.
Adresses E et S :
Ce champ ne peut recevoir que des adresses de zone P ; la plage d’adres-
ses admissibles est 64-191.
Transfert du fichier Le transfert de la configuration COM PROFIBUS du PG/PC vers l’AP est
COM réalisé via l’interface DP de l’unité centrale. La vitesse de transmission doit
être réglée uniquement sur 19,2 kbauds.
1. Effectuez un effacement général sur l’AP.
2. Transférez la configuration COM PROFIBUS vers l’AP.
3. Transférez le programme de l’automate S5 (sans DB1).
Remarques sur le Pour le paramétrage d’autres modules maîtres PROFIBUS-DP, veuillez vous
paramétrage référer aux descriptions correspondantes des modules. Veuillez tenir compte
des caractéristiques techniques suivantes lors du couplage d’un pupitre de
contrôle-commande à un réseau PROFIBUS-DP :
Paramétrez le pupitre de contrôle-commande comme esclave PROFIBUS-
DP selon la norme DIN E 19245, partie 3.
Le répertoire d’adresses (taille de bloc) de la zone d’E/S est fixé à 32 oc-
tets pour chaque pupitre de contrôle-commande.
Pour les pupitres de contrôle-commande qui n’acceptent qu’une vitesse de
transmission inférieure à 12 Mbauds, entrez l’identificateur 8020 comme
ID de fabricant du pupitre esclave. Pour les pupitres de contrôle-comman-
de qui acceptent une vitesse de transmission de 12 Mbauds, entrez l’ID de
fabricant 8040.
Les modes ”SYNC” et ”FREEZE” ne sont pas pris en charge par le pupi-
tre de contrôle-commande.
Les données paramétrables par l’utilisateur ne sont pas possibles.
Une surveillance d’accès de l’esclave est certes possible, mais n’est pas
adéquate pour les pupitres de contrôle-commande esclaves. Lorsqu’un
accès est détecté, le pupitre de contrôle-commande effectue un redémar-
rage.
Utilisez uniquement l’une des vitesses de transmission suivantes du pupi-
tre de contrôle-commande (sans tenir compte d’autres possibilités de ré-
glage éventuelles proposées par l’outil de configuration) :
– 93,75 Kbit/s,
– 187,5 Kbit/s,
– 500 Kbit/s,
– 1,5 Mbit/s,
– 12 Mbit/s.
L’ ”intervalle esclave min.” doit prendre une valeur de 2 ms pour tous les
pupitres de contrôle-commande, sauf l’OP15. Pour l’OP15, vous devez
régler 6 ms.
Configurez la zone d’adresses de périphérie du pupitre de contrôle-com-
mande comme zone d’E/S combinées avec cohérence des octets (identifi-
cateur d’adresse 55H).
Il n’y a pas d’autres exigences de cohérence.
Paramètre Réglage
Paramètres réseau accepter les ”paramètres calculés”
Mode de fonctionnement DP fonctionnement libre
Surveillance scrutation seul ”non” est adéquat pour les pupitres de contrôle-
commande
Temps de cycle de scrutation au moins 5 ms ; aussi petit que possible
Plus grand intervalle esclave 5 ms
min.
7.1 Présentation
Connexion Le TD/OP est connecté au réseau SINEC L1 par un bornier réseau SINEC L1
BT 777. La connexion peut être effectuée au choix par
l’interface de base du TD/OP ou
le module d’interface série du TD/OP.
Le module d’interface série permet d’utiliser simultanément une interface
série et le couplage au réseau SINEC L1.
Fonction La liaison série du réseau de terrain SINEC L1 est définie par la norme
RS485.
La conversion de l’interface physique TTY du TD/OP en interface physique
RS485 du SINEC L1 est effectuée par le bornier réseau SINEC L1.
Logiciel Pour le couplage au réseau SINEC L1, vous avez besoin de:
nécessaire
un bloc fonctionnel FB-TDOP:L1 (FB 56) pour l’automate programmable,
un progiciel COM 530 pour le paramétrage du processeur de communica-
tion CP 530,
Paramétrage du Le réseau SINEC L1 est paramétré à l’aide du progiciel COM 530. Pour de
réseau SINEC L1 plus amples informations, veuillez vous reporter au manuel correspondant.
Pour réaliser la connexion de chaque appareil TD/OP au réseau, il faut que la
liste d’appel du CP 530 contienne l’adresse d’esclave de chaque TD/OP, telle
qu’elle a été paramétrée avec COM TEXT.
Nota
La connexion du bornier réseau BT777 au TD/OP ne doit être branchée ou
débranchée que lorsque le TD/OP est hors tension!
Le réseau peut toutefois être actif à ce moment là.
DB-TDOP
Bloc de données
Zone de Bloc d’assignation
commu– fonctionnel DB-ZU
Programme
nication standard
utilisateur
Boîtes DB-SEND
de contrat Boîte d’émission
Zones de données
utilisateur DB-EMPF
Boîte de réception
Contrats
automate
DB-HTB
Messages
Commande
du TD/OP
Blocs de dialogue
Recettes
Processeur de
communication SINEC L1
BT777
TD/OP TD/OP TD/OP
Description Les composants entourés d’un cadre en pointillés dans la figure 7-1 doivent
être déclarés séparément pour chaque TD/OP à connecter. Les flèches sym-
bolisent le flux d’information entre les composants.
Chaque station est connectée au réseau SINEC L1 par son propre bornier
réseau BT777. Les borniers réseau convertissent les signaux à transmettre
dans la physique RS485 du protocole SINEC L1.
Rôle du bloc fonc- TD/OP et AP communiquent entre eux par l’intermédiaire d’un processeur de
tionnel standard communication SINEC L1. L’échange de données de l’automate vers le
TD/OP est effectué par l’intermédiaire d’une boîte d’émission, celui du TD/
OP vers l’automate par l’intermédiaire d’une boîte de réception. Ces deux
zones de données servent de tampons d’émission et de réception au bloc
fonctionnel standard.
Le bloc fonctionnel standard doit être intégré au programme utilisateur en
STEP5. Son rôle est, entre autres, de surveiller la liaison au TD/OP et de
coordonner le transfert de données. Il est assisté à cette occasion par des
blocs de dialogue qu’il appelle lui-même.
Rôle du DB-TDOP La zone d’interface DB-TDOP est aussi bien une interface entre programme
utilisateur et bloc fonctionnel standard qu’entre programme utilisateur et
TD/OP. Elle contient des données et des pointeurs sur des zones de données
qui sont entre autres nécessaires pour la synchronisation de l’échange de don-
nées entre AP et TD/OP.
Un contrat automate accompagné de ses paramètres est placé par le program-
me utilisateur dans le bloc de données utilisateur ”contrats automate”. Le
contrat automate est déclenché par l’entrée d’un pointeur sur cette zone de
données dans une boîte de contrat libre dans le DB-TDOP.
Des zones de données utilisateur ne doivent être déclarées que lorsque la
fonction correspondante doit être utilisée.
Rôle du Le bloc de données d’assignation DB-ZU contient une liste de tous les
DB-ZU TD/OP configurés et qui participent à la communication avec l’AP ainsi que
de leurs paramètres de commande.
Condition Pour une configuration minimale destinée au fonctionnement d’un TD/OP sur
préalable le réseau SINEC L1 vous avez besoin de
côté AP, du bloc fonctionnel standard FB 56 (TDOP:L1) du fichier pro-
gramme,
de la zone d’interface DB-TDOP,
du bloc de données d’assignation DB-ZU et
de blocs de dialogue.
Ces composants sont décrits dans les pages suivantes.
Zone d’interface Déclarez par exemple le bloc de données DB 51 avec une longueur de 228
DW. Ce bloc de données constitue la zone d’interface DB-TDOP.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
Entrées spécifi- L’interface vers l’AP est paramétrée par l’intermédiaire du bloc de données
ques au couplage d’assignation DB-ZU. Seules les entrées spécifiques au réseau SINEC L1
dans le DB-ZU sont décrites ici. Vous trouverez la description générale du DB-ZU au chapi-
tre 10.3.
Le bloc de données d’assignation DB-ZU doit être déclaré avec une longueur
minimale de 16 mots.
DW n+4, DW n+11..13
Ces mots de données sont réservés.
DW n+9, DW n+10 : paramètres SINEC L1
Ces deux mots de données contiennent
l’adresse de page du processeur de communication et
le numéro d’esclave du TD/OP.
DL DR
DW n +9 non affecté numéro de page du CP
DW n +10 non affecté numéro d’esclave du TD/OP
Nota
Le bloc de données d’assignation DB-ZU n’est exploité que lors du démarra-
ge du bloc fonctionnel standard. Une éventuelle modification du DB-ZU doit
être suivie d’un démarrage du bloc fonctionnel standard.
Blocs de dialogue Toutes les fonctions d’interface sont traitées par l’intermédiaire du bloc fonc-
tionnel FB-TDOP: L1. Ce dernier a besoin des blocs de dialogue suivants :
– HTB-SEND,
– HTB-RECEIVE,
– HTB-CONTROL et
– HTB SYNCHRON.
Nota
Les blocs de dialogue utilisent le bloc de données DB-HTB comme zone de
travail. Ce dernier doit être déclaré de manière permanente comme DB56
avec une longueur minimale de 16 mots de données.
Si le bloc de données DB 56 est déclaré avec une longueur supérieure à 16
mots de données, l’utilisateur peut en disposer librement à partir du mot de
données DW 16.
Le tableau 7-1 récapitule les numéros de bloc fonctionnel des blocs de dialo-
gue nécessaires pour les diverses unités centrales.
Bloc fonctionnel AP
S5-115 U S5-135 U S5-155 U
FB-SEND FB 244 FB 120 FB 120
FB-RECEIVE FB 245 FB 121 FB 121
FB-CONTROL FB 247 FB 123 FB 123
FB-SYNCHRON FB 249 FB 125 FB 125
Pour l’AP 115 U, les blocs de dialogue sont contenus dans l’EPROM de
l’unité centrale; sinon, vous devez les commander séparément.
Appel des blocs de A l’exception de FB-SYNCHRON, les blocs de dialogue sont appelés auto-
dialogue matiquement par le bloc fonctionnel standard.
FB-SYNCHRON doit être appelé dans les blocs d’organisation de démarrage
OB 20, OB 21 et OB 22 :
Exemple d’appel pour SIMATIC S5-115 U :
Boîte d’émission, Vous devez déclarer une boîte d’émission et une boîte de réception d’une
boîte de réception longueur fixe respective de 34 mots de données pour chaque TD/OP connec-
té. Vous devez déclarer des pointeurs sur les boîtes d’émission et de réception
dans les mots de données n+5 à n+8 du DB-ZU.
Nom du paramètre Valeur par défaut dans COM TEXT Plage de valeurs
Interface TTY TTY; V.24
Vitesse de transmission 187,5 kbit/s 9,6 kbit/s
19,2 kbit/s
93,75 kbit/s
187,5 kbit/s
500 kbit/s
1,5 Mbit/s
Parité paire paire; impaire; aucune
Bits de données 8 7; 8
Bits de stop 1 1; 2
Numéro d’esclave1) 1 1 à 30
Les paramètres d’interface indiqués pour le TD/OP doivent coïncider avec les valeurs paramétrées pour
le processeur de communication SINEC L1.
8.1 Présentation
Limitations du sys- Vous devez tenir compte des limitations suivantes du système lors de la
tème connexion des TD/OP au réseau SINEC L2 :
le réseau accepte un maximum de 32 maîtres (TD/OP ou AP) ou autres
abonnés pouvant avoir le statut de maître. Il est possible de connecter
d’autres abonnés (esclaves) au réseau SINEC L2, mais il ne sont pas inté-
grés à la communication TD/OP-AP.
le nombre maximum de TD/OP par AP est 30 (si un seul AP maître est
connecté au réseau SINEC L2).
Matériel Pour le couplage au réseau SINEC L2, vous avez besoin des composants ma-
nécessaire tériels suivants :
pour chaque appareil TD10, TD20, OP20 : un module d’interface
SINEC L2
pour chaque automate programmable (sauf S5-95 L2) :
un processeur de communication CP avec accès libre à la couche 2, (par
exemple CP 5430) ou
un automate programmable S5-95 L2 avec accès libre à la couche 2 (réfé-
rence de commande 6ES5 095-8MB02 ou supérieure).
pour chaque appareil (TD/OP ou AP) :
un bornier réseau SINEC L2 ou un autre composant homologué pour cet
usage (sauf la borne de réseau FSK, voir le catalogue SINEC L2).
Logiciels Pour le couplage au réseau SINEC L2, vous avez besoin des composants lo-
nécessaires giciels suivants :
cartouche de mémoire ”OPTIONS” avec microprogramme SINEC L2
bloc fonctionnel FB-TDOP:L2 pour l’AP correspondant
logiciel de configuration COM TEXT à partir de la version V2.00
logiciel COM pour module CP
DBĆTDOP
DBĆZU
Programme
utilisateur Zone de
commu-
nication
Bloc
Boîtes de fonctionnel DB-SEND
contrat standard boîte d’émission
DBĆEMPF
DBĆAPP boîte de réception
DBĆHTB
Zone de
données
utilisateur Blocs de
dialogue
Processeur de
communication SINEC L2
Réseau SINEC L2
Description Les composants entourés d’un cadre en pointillés dans la figure 8-1 doivent
être déclarés séparément pour chaque TD/OP à connecter. Les flèches sym-
bolisent le flux d’information entre les composants.
Rôle du bloc fonc- TD/OP et AP communiquent entre eux par l’intermédiaire d’un processeur de
tionnel standard communication SINEC L2. Ce processeur de communication est déjà intégré
à l’automate SIMATIC S5-95 L2. L’échange de données de l’automate vers
le TD/OP est effectué par l’intermédiaire d’une boîte d’émission, celui du
TD/OP vers l’automate par l’intermé diaire d’une boîte de réception. Ces
deux zones de données servent de tampons d’émission et de réception au bloc
fonctionnel standard.
Le bloc fonctionnel standard doit être intégré au programme utilisateur en
STEP5. Son rôle est, entre autres, de surveiller la liaison au TD/OP et de
coordonner le transfert de données. Il est assisté à cette occasion par des
blocs de dialogue qu’il appelle lui-même.
Rôle du DB-TDOP La zone d’interface DB-TDOP est aussi bien une interface entre programme
utilisateur et bloc fonctionnel standard qu’entre programme utilisateur et
TD/OP. Elle contient des données et des pointeurs sur des zones de données
qui sont entre autres nécessaires pour la synchronisation de l’échange de don-
nées entre AP et TD/OP.
Un contrat automate accompagné de ses paramètres est placé par le program-
me utilisateur dans le bloc de données DB-APP. Le contrat automate est dé-
clenché par l’entrée d’un pointeur sur cette zone de données dans une boîte
de contrat libre dans le DB-TDOP.
Les zones de données utilisateur ne doivent être déclarées que lorsque la
fonction correspondante doit être utilisée.
Rôle du DB-ZU Le bloc de données d’assignation DB-ZU contient une liste de tous les
TD/OP configurés et qui participent à la communication avec l’AP ainsi que
de leurs paramètres de commande.
Condition Pour une configuration minimale destinée au fonctionnement d’un TD/OP sur
préalable le réseau SINEC L2 vous avez besoin de
côté AP, du bloc fonctionnel standard FB 55 (TDOP:L2) du fichier pro-
gramme,
de la zone d’interface DB-TDOP,
du bloc de données d’assignation DB-ZU et
de blocs de dialogue.
Ces composants sont décrits dans les pages suivantes.
Zone d’interface Déclarez par exemple le bloc de données DB 51 avec une longueur de
256 DW. Ce bloc de données constitue la zone d’interface DB-TDOP.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
Entrées spécifi- L’interface vers l’AP est paramétrée par l’intermédiaire du bloc de données
ques au couplage d’assignation DB-ZU. Seules les entrées spécifiques au réseau SINEC L2
dans le DB-ZU sont décrites ici. Vous trouverez la description générale du DB-ZU au chapi-
tre 10.3.
Le bloc de donnée s d’assignation DB-ZU doit être déclaré avec une lon-
gueur minimale de 16 mots.
Vous devez effectuer des entrées spécifiques au couplage dans les mots de
données DW n+9 à DW n+11.
SIMATIC S5-95 L2 DL DR
DW n +9 Adresse d’abonné L2 1) réservé
DW n +10 SAP du TD/OP 1) 2) SAP de l’AP 2)
DW n +11 STBS 2) STBS 2)
Autres AP DL DR
DW n +9 Adresse d’abonné L2 Adresse de page CP 5430 2)
DW n +10 SAP du TD/OP 1) 2) SEND-/REC-ANR 2)
DW n +11 réservé
Blocs de dialogue Toutes les fonctions d’interface sont traitées par l’intermédiaire de blocs de
dialogue. Les blocs de dialogue nécessaires dépendent de l’AP utilisé.
SIMATIC S5-115 U, Lorsque le TD/OP est connecté à l’AP par l’intermédiaire du réseau SINEC
S5-135 U et L2, les blocs de dialogue gèrent les échanges de données entre le bloc fonc-
S5-155 U tionnel standard et le module CP. Les blocs de dialogue nécessaires ont les
numéros de bloc fonctionnel suivants, en fonction du type d’AP :
Bloc fonctionnel AP
S5-115 U S5-135 U S5-155 U
FB-SEND FB 244 FB 120 FB 120
FB-RECEIVE FB 245 FB 121 FB 121
FB-CONTROL FB 247 FB 123 FB 123
FB-SYNCHRON FB 249 FB 125 FB 125
Pour l’AP 115U, les blocs de dialogue sont contenus dans l’EPROM de l’UC,
sinon, vous devez les commander séparément.
Nota
Les blocs de dialogue utilisent comme zone de travail le bloc de données
DB-HTB. Vous devez le déclarer de manière permanente comme DB 55
avec une longueur minimale de 16 mots de données. Si le bloc de données
DB 55 est déclaré avec plus de 16 mots de données, l’utilisateur peut utiliser
librement les mots de données à partir de DW 16.
SIMATIC S5-95 L2 L’EPROM du SIMATIC S5-95 L2 contient les deux blocs fonctionnels
L2-SEND et L2-RECEIVE. Ces derniers sont appelés par le bloc fonctionnel
FB-TDOP:L2. L’utilisateur n’a pas besoin de les synchroniser.
Nota
Ces deux blocs fonctionnels utilisent comme zone de travail le bloc de
données DB-HTB. Ce dernier doit être déclaré de manière permanente com-
me DB 55 avec une longueur minimale de 16 mots de données.
Si le bloc de données DB 55 est déclaré avec plus de 16 mots de données,
l’utilisateur peut utiliser librement les mots de données à partir de DW 16.
Messages d’erreur Les blocs de dialogue inscrivent d’éventuels messages d’erreur dans les mots
de données DW 101 et DW 102. La description exacte de ces erreurs se trou-
ve dans le manuel SINEC L2.
Structure :
DL DR
DW 101 ANZW
DW 102 non attribué PAFE
Boîte d’émission, Vous devez déclarer une boîte d’émission et une boîte de réception d’une
boîte de réception longueur fixe respective de 128 mots de données pour chaque TD/OP
connecté. Vous devez déclarer des pointeurs sur les boîtes d’émission et de
réception dans les mots de données n+5 à n+8 du DB-ZU.
Etendue Vous devez paramétrer les abonnés afin de les connecter au réseau SINEC
L2. Le paramétrage comprend :
Des paramètres liés à la station :
par exemple l’adresse de la station, son type (actif/passif) etc.
Des paramètres du réseau :
par exemple la vitesse de transfert, le protocole etc.
Des paramètres de liaison :
ces paramètres permettent de déclarer des canaux de liaison et des tam-
pons pour la communication.
Logiciels néces- Le processeur de communication SINEC L2 doit être paramétré pour l’AP
saires (sauf le S5-95 L2) avec le logiciel COM correspondant.
La configuration/le paramétrage du TD/OP est réalisé avec le logiciel de
configuration COM TEXT.
Valeurs par défaut Une valeur par défaut est prévue pour la majorité des paramètres aussi bien
dans le logiciel COM du processeur de communication que dans COM
TEXT. Les valeurs par défaut attribuées sont identiques dans les deux cas.
Les tableaux suivants récapitulent les paramètres nécessaires pour la
connexion du TD/OP au réseau. Ces tableaux indiquent également si les va-
leurs des paramètres configurés dans les logiciels COM TEXT et COM doi-
vent être identiques.
Vous trouverez une description détaillée des paramètres du réseau dans le
manuel d’utilisation de SINEC L2.
Les tableaux 8-1 à 8-3 contiennent les paramètres d’interface qui doivent être réglés lors de la configu-
ration avec COM TEXT. Les tableaux indiquent également les valeurs par défaut proposées par
COM TEXT. Vous devez régler les paramètres suivants :
S paramètres relatifs à la station (tableau 8-1),
S paramètres relatifs au réseau (tableau 8-2) et
S paramètres de connexion (tableau 8-3).
Le paramétrage doit être effectué sous Configurer → Réglages de base → Couplage TDOP.
1) La vitesse de transmission configurée dans COM TEXT doit coïncider avec la valeur indiquée pour le
processeur de communication
1) Les temps sont entrés sous forme de ”temps de bit”. Une unité de temps de bit correspond au temps écoulé
lors de l’émission d’un bit (inverse de la vitesse de transfert), voir le manuel d’utilisation de SINEC L2
2) SAP : Service Access Point.
Toutes les valeurs configurées avec COM TEXT (à l’exception du SAP par défaut) doivent coïncider
avec les données de configuration du processeur de communication.
Nota
Des valeurs par défaut significatives sont proposées pour les paramètres du réseau. Une modification
incorrecte des valeurs par défaut risque de conduire à un dysfonctionnement du réseau.
Les valeurs configurées avec COM TEXT ne doivent pas obligatoirement coïncider avec les entrées de
configuration du processeur de communication.
Les paramètres configurés suivants doivent également être inscrits dans le bloc de données DB-ZU :
S adresse d’abonné de l’appareil TD/OP (DL n+9)
S SAP de l’appareil TD/OP (DL n+10)
Les paramètres suivants doivent également être paramétrés pour l’AP correspondant :
S adresse L2 de l’AP
S SAP de l’AP
Type LIBRE
PRIO H
SEND/REC-ANR librement configurable (doit concorder avec DR n+10 dans l’entrée du
DB-ZU relative à ce TD/OP)
SAP Le Service Access Point est librement configurable (il doit concorder
avec le paramètre SAP de l’AP dans le masque ”Paramètres de liaison”
de COM TEXT.
Le paramétrage de l’interface SINEC L2 du SIMATIC S5-95 L2 est décrit dans le manuel d’utilisation
correspondant.
Vous devez configurer un ”accès libre à la couche 2” pour chaque TD/OP affecté à l’AP. Vous devez
pour cela éditer le bloc de données DB1 de l’AP.
Vous devez déclarer, pour chaque liaison TD/OP, un Service Access Point (SAP) respectivement pour le
sens émission et le sens réception. Vous devez définir un ”Emettre octet d’état” (STBS) et un ”Recevoir
octet d’état” (STBR) pour chaque SAP d’émission.
Les numéros de ces octets d’état doivent être inscrits dans le bloc de données DB-ZU.
9.1 Présentation
Les afficheurs de texte TD10 et TD20 peuvent être connectés aux automates de la série SIMATIC S5
par l’intermédiaire d’un module d’interface parallèle.
Le couplage entre le TD et l’AP est alors réalisé par 16 entrées numériques et une sortie numérique du
module d’interface parallèle. Etant donné qu’aucun transfert de données n’est possible du TD vers l’AP,
les fonctionnalités du TD en couplage parallèle sont réduites.
Plusieurs TD peuvent être connectés simultanément à un AP.
La figure 9-1 représente la configuration standard.
SS2
Module d’interface
parallèle
Couplage parallèle 16
1
Groupes d’AP Dans le cas du couplage parallèle, les AP se répartissent en deux groupes qui
diffèrent par la structure de communication. Les groupes comprennent les AP
suivants :
Groupe 1:
AP 90U,
AP 100U (UC 100, UC 102)
Groupe 2:
AP 95U,
AP 100U (UC 103),
AP 115U.
Sens de communi- La communication n’a lieu que dans un seul sens : de l’automate vers le TD.
cation Seul le signal d’acquittement du TD est transféré vers l’AP par une ligne.
Configuration Le couplage peut être configuré de manière à ne pas utiliser la totalité des 16
minimale lignes de données de l’AP vers le TD. Cela conduit aux limitations suivantes :
S le nombre de messages configurables est inférieur à 999
S les contrats n’ont pas de paramètres
S les messages n’ont pas de variables.
Nota
Si vous voulez configurer un système minimal, vous devez prendre connais-
sance du chapitre 9.4 (Structure de la valeur de sortie vers le TD).
Matériel et logiciel Pour le couplage parallèle, vous avez besoin des matériels et logiciel sui-
nécessaire vants :
S 1 TD10 ou TD20,
S 1 module parallèle,
S 1 AP avec 16 sorties numériques et une entrée numérique.
Le module d’E/S numérique utilisé doit avoir une fréquence de commuta-
tion d’au moins 100 Hz.
Les AP autorisés sont :
– AP 90U,
– AP 95U,
– AP 100U,
– AP 115U (UC 941 à UC 944),
– AP 115U (UC 941B à UC 944B).
S console de programmation,
S bloc fonctionnel FB-TDOP:PAR pour l’AP correspondant.
Limitations Dans le cas du couplage parallèle, les données ne peuvent être transmises que
de l’AP vers le TD. Par conséquent, les fonctions qui exigent que le TD
émette une demande de données, ou qui nécessitent un transfert de données
du TD vers l’AP, ne peuvent pas être utilisées, par exemple :
S variable dans des images processus ou dans le journal de bord d’équipe
S transfert vers l’AP d’acquittements de message d’alarme
S transfert vers l’AP de l’image mémoire du clavier
Pour les AP du groupe 1, le nombre de mots des variables est limité à 5 par
message.
Les figures 9-2 et 9-3 schématisent le principe de transfert des contrats et messages de l’AP vers le TD
pour les divers groupes d’AP.
AP du groupe 1
DB-TD
FB 54 Zone d’interface 6 5 Dout du
Module
module
d’entrée
parallèle
2 3
Bloc Valeur de sortie Programme
2 1 utilisateur 3 4
fonctionnel Din 0 à Din
standard Boîte de contrat Module 14
de sortie du module
Commande et
surveillance parallèle
À L’utilisateur entre les données de contrat ou de message dans la boîte de contrat libre du DB-TD.
Á Les données contenues dans la boîte de contrat sont lues octet par octet par le bloc fonctionnel
standard FB 54. Il leur ajoute ensuite un mot de sortie et les prépare sous forme de valeur de sor-
tie.
 La valeur de sortie est transmise au module de sortie par l’utilisateur.
à Le module de sortie transmet la valeur de sortie au TD.
Ä Le TD interprète les données reçues et acquitte la réception sur la sortie Dout par un signal d’ac-
quittement.
Å L’utilisateur lit le signal d’acquittement du TD par l’intermédiaire d’un module d’entrée. Il le
transmet lors de l’appel suivant au bloc fonctionnel standard sous forme de résultat logique.
AP du groupe 2
DB-TD
FB 54 Zone d’interface 7 6 Dout du
Module
module
3 d’entrée
4 parallèle
Valeur de sortie
1
8 boîtes
de contrat 4 5 Din 0 à Din 14
Bloc Programme
fonctionnel Commande et utilisateur Module du module
standard surveillance de sortie parallèle
2
Boîte d’émission
DB-APP
Zone de données
2 de contrat
Contrats
automate
Messages
d’événement
Messages
d’alarme
À L’utilisateur entre :
– les contrats et les messages dans le bloc de données DB-APP,
– un pointeur sur un contrat ou sur un message dans une boîte de contrat libre du DB-TD.
Á Le bloc fonctionnel FB 54 prélève les données de contrat et de message dans la zone de données
de contrat et les copie dans une boîte d’émission du DB-TD.
 Les données contenues dans la boîte d’émission sont lues octet par octet par le bloc fonctionnel
FB 54. Il leur ajoute ensuite un mot de sortie et les prépare sous forme de valeur de sortie.
à La valeur de sortie est transmise par l’utilisateur au module de sortie.
Ä Le module de sortie transmet la valeur de sortie au TD.
Å Le TD interprète les données reçues et acquitte la réception sur la sortie Dout du module parallèle
avec un signal d’acquittement.
Zones de pro- Vous avez besoin des zones de programme et de données suivantes dans l’AP
gramme et de don- pour utiliser un TD par l’intermédiaire de l’interface parallèle du module :
nées nécessaires
– bloc fonctionnel standard FB 54 (TDOP:PAR),
– zone d’interface DB-TD,
– zone de données de contrat DB-APP (seulement pour les AP du groupe 2).
Explications sur À Vérifier que le bit d’acquittement Dout du TD vaut ”1” pour lancer
l’appel l’appel (mettre à disposition le résultat logique RLG).
AP du groupe 1 Á Ouvrir la zone d’interface DB-TD.
AP du groupe 2 Á Charger le numéro du DB-TD depuis l’octet gauche (DL) de l’accumu-
lateur 1.
 Appeler le bloc fonctionnel FB 54
Avant de retourner au programme utilisateur, le bloc fonctionnel FB 54
transmet à l’accumulateur 1 l’état et le numéro d’erreur du contrat en
cours (voir le chapitre A.3). En outre, s’il détecte une erreur, il met le
résultat logique RLG à ”1”.
à Mémoriser l’état du contrat et le numéro d’erreur (MW100) et les met-
tre ainsi à disposition pour une exploitation ultérieure.
Ä Charger l’un après l’autre les deux octets du mot de sortie et les inscri-
re dans le module de sortie.
(ABn = bits de données Din00 ... Din07
ABn+1 = bits de données Din08 ... Din15).
Les valeurs de sortie doivent être inscrites dans le mot de sortie même
en cas d’erreur.
Å Saut vers le traitement d’erreur si RLG=1.
Démarrage du bloc Vous devez programmer dans le bloc d’organisation de démarrage une ins-
fonctionnel truction qui met à 1 le bit de démarrage dans la zone d’interface DB-TD.
standard
Le bit de démarrage se trouve dans les bits de commande et de compte-rendu
du DB-TD.
AP du groupe 1 : DW 40, bit 0
AP du groupe 2 : DW 64, bit 0
Bloc KH = 0 0 0 1
d’organisation de
démarrage
Bit = 1
(Lancer le
Accès utilisateur : R = lecture démarrage
W = écriture du FB 54)
– = Le bit n’est pas attribué
Remise à zéro du Pour remettre à zéro le bloc fonctionnel standard, il est également possible de
bloc fonctionnel mettre à 1 pendant un cycle de programme complet le bit de démarrage
standard dans le programme cyclique. Le bloc fonctionnel standard FB-TDOP:PAR
remet le bit de démarrage à zéro.
X= 40 pour AP du groupe 1
60 pour AP du groupe 2
Détection d’erreurs Au moment du démarrage et après la fin d’un transfert de données, le bloc
de câblage et de fonctionnel FB 54 met à 1 toutes les sorties utilisées.
ruptures de câble
L’afficheur de texte TD vérifie au moment du démarrage que toutes les lignes
utilisées sont bien à ce niveau. S’il détecte des lignes défectueuses, il émet le
message système $514 ”Ligne no xx défectueuse” (xx = 0 à 15). Le TD effec-
tue ensuite un redémarrage.
Nota
Si vous utilisez un système minimal avec un nombre réduit de lignes de
données, vous devez configurer avec COM TEXT les lignes non utilisées. Si
vous ne déclarez pas les lignes non utilisées dans la configuration, le
système les signalera comme défectueuses lors de la vérification des ruptures
de câbles.
Etat du contrat, Le bloc fonctionnel FB 54 inscrit l’état du contrat/du message ainsi qu’une
numéro d’erreur erreur éventuelle dans un mot de la boîte de contrat actuellement en cours de
du contrat en traitement du DB-TD.
cours
Ce mot contient les mêmes informations que l’accumulateur 1 immédiate-
ment après l’appel du bloc fonctionnel FB 54.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
La longueur minimale à déclarer pour la zone d’interface DB-TD dépend de l’AP utilisé :
– AP du groupe 1 : 60 mots de données,
– AP du groupe 2 : 134 mots de données.
Si le DB-TD n’est pas disponible ou est trop court, un message d’erreur correspondant est inscrit dans
l’octet DR de l’accumulateur 1 après l’appel du bloc fonctionnel standard.
Identificateur AP et DW 31 :
identificateur de Le bloc fonctionnel FB 54 inscrit dans ce mot de données du DB-TD un iden-
couplage tificateur spécifique à l’AP et un identificateur spécifique au couplage.
DL : Valeur AP UC Fichier
Identificateur AP AP 100U CPU103 S5TD01ST.S5D
0 1
(code BCD)
0 2 AP 90U S5TD02ST.S5D
AP 100U UC 100, UC 102
0 3 AP 95U S5TD03ST.S5D
5 0 AP 115U UC 941, 942, 943, 944 S5TD50ST.S5D
DR : Bit Couplage
Identificateur du
1 Couplage AS 511
couplage (code BCD)
2 Couplage parallèle
3 Protocole ASCII libre (PG-SS)
4 Protocole ASCII libre (CP 521 SI)
5 Protocole ASCII libre (CP 523)
6 Couplage L1
7 Couplage L2
DL : Version du FB 54:
Valeur : 0 à 99
DR : Lettre d’identification :
Les bits 6 et 7 contiennent la lettre d’identification (A à D) provenant du
numéro de bibliothèque.
Valeur Lettre d’identification
00 A
01 B
10 C
11 D
La zone de données de contrat DB-APP ne doit être déclarée que pour les AP
du groupe 2. Elle contient des données de contrat et de messages qui doivent
être transférées vers le TD. La longueur de la zone de données de contrat
dépend du nombre de contrats et de messages entrés. Le numéro du bloc de
données DB-APP utilisé doit être différent de celui du DB-TD.
Les paragraphes suivants décrivent les possibilités de configuration ainsi que le déclenchement et le
transfert de messages et de contrats automate.
Nota
Le message d’événement 0 est un message de veille configurable (qui ne
peut pas contenir de variable). Le texte du message configuré est affiché à la
place du message de veille fixe du microprogramme lors du démarrage du
TD.
Contrats automate Les contrats automate servent à déclencher, par l’intermédiaire du pro-
gramme utilisateur, certaines fonctions prédéfinies, par exemple :
– changer le mode opératoire du TD,
– sélectionner des images spéciales,
– régler la date/l’heure.
Vous trouverez une liste des contrats automate possibles en annexe B.
Pointeur sur Le pointeur renvoie au premier mot de données du DB-APP (zone de don-
un contrat nées de contrat avec données de contrat/de message).
L’utilisation de pointeurs dans les boîtes de contrat du DB-TD permet d’obte-
nir une suite continue de contrats/messages dans le DB-APP.
DB-TD
8 boîtes de contrat DB-APP, par ex.
pointeur sur Contrat
Programme
utilisateur pointeur sur Message
pointeur sur d’événement
Message d’alarme
.. ..
. .
Une fois que le TD a accepté le contrat ou le message et que tous les paramè-
tres de contrat ou toutes les variables de message ont été transférés, le bloc
fonctionnel FB 54 efface le pointeur dans la boîte de contrat. Le premier mot
de données de la boîte est alors remplacé par la valeur 0.
Il n’est possible d’inscrire un nouveau contrat (pointeur sur un contrat ou un
message) que si le premier mot de données de la boîte vaut 0 (voir Structure
d’une boîte de contrat, DW n+1).
Structure d’une Chacune des huit boîtes de contrat est structurée comme suit :
boîte de contrat DL DR
pour AP du 15... ..8 7.. ..0
groupe 2 DW n+0 KH=00 Numéro du DB
entrer la valeur 0 ! Adresse de début
DW n+1
DW n+2 réservé
Etat du contrat, numéro d’erreur du contrat
DW n+3
Adresse de début Numéro du premier mot de données d’un contrat ou d’un message dans le
DB-APP.
Valeurs autorisées : 0 à 255
Etat du contrat, L’état du contrat et le numéro d’erreur du contrat en cours sont décrits au
numéro d’erreur chapitre 10.2.5.
En-tête de Pour les AP du groupe 2, le pointeur placé dans la boîte de contrat du DB-TD
message pointe sur l’en-tête de contrat. L’utilisateur doit y entrer :
S le numéro de message (1 à 999)
S l’état du message
S le mode ”message d’événement” ou ”message d’alarme”
15 14 13 12 11 10 9.. ..0
0 0 X X X X numéro de message (1 à 999)
0 0 apparaît
0 1 disparaît
1 0 Etat du message
acquitté
1 1 réservé
0 1 Message d’événement
Mode
1 0 Message d’alarme
Zone des variables La zone des variables n’est nécessaire que lorsque vous avez configuré des
messages contenant des variables.
Mots de variable 1 à n :
Entrez ici les valeurs des variables respectives dans l’AP.
Les contrats automate et les messages sont transférés mot par mot au TD (va-
leur de sortie du DB-TD, DW 28).
15 14 13 12 11... ..0
0 P Mode Données
Din 0
Module
parallèle
Din 14
Dout
Affectation des en- Les bits 0 à 14 de la valeur de sortie sont affectés aux entrées numériques Din
trées numériques 0 à Din 14 du module parallèle.
Parité Le bit de parité est utilisé pour contrôler la validité des données transférées.
Si vous souhaitez exploiter le bit de parité, vous devez :
activer le traitement de parité dans les bits de commande et de
compte-rendu du DB-TD et déclarer une parité paire ou impaire,
configurer le traitement de parité dans l’outil de configuration COM
TEXT (parité paire/impaire) afin que le TD effectue un contrôle de parité.
Bit
13 12 Signification
0 0 réservé
0 1 Message d’événement
1 0 Message d’alarme
Transfert de l’en- Pour les messages, le système transfère octet par octet tout d’abord l’en-tête
tête de message de message, puis (si elles ont été configurées) les variables de message.
15 14 13 12 11 10 9... ...0
0 P Z Numéro de message Valeur de sortie (DB-TD, DW 28)
Transfert des
variables
Transfert de Pour les contrats automate, le système transfère tout d’abord l’en-tête de
l’en-tête de contrat contrat, puis (le cas échéant) les paramètres de contrat.
15 14 13 12 11 10 8 7... ...0
0 P – Nombre Numéro de contrat Valeur de sortie (DB-TD, DW 28)
– Le bit n’est pas attribué
Octet de faible poids du numéro de contrat que vous avez
indiqué dans l’en-tête de contrat
Nombre d’octets de paramètre qui suivent. Si Nombre = 0, le
transfert du contrat est terminé, sinon les paramètres de contrat
sont ensuite transférés octet par octet.
Mode Contrats automate
Bit de parité
Transfert des
paramètres de contrat
15 14 13 12 11 10 8 7... ...0
0 P – Nombre Octet de paramètre Valeur de sortie (DB-TD, DW 28)
– Le bit n’est pas attribué
Les paramètres sont transférés octet par octet au TD.
Nombre d’octets de paramètre qui restent à transférer. Nombre est
décrémenté de 1 après chaque transfert. Il
prend donc la valeur 0 après le transfert du dernier octet de
paramètre.
1) Intervalle maximal admissible entre deux caractères reçus. Un message d’erreur est émis si aucun caractère n’arrive
au TD pendant cet intervalle de temps.
2) 0 = la ligne n’est pas utilisée; 1 = la ligne est utilisée.
Les paramètres d’interface spécifiés pour le TD doivent coïncider avec les valeurs paramétrées pour le
SIMATIC S5.
Préparatifs Avant l’appel du bloc fonctionnel FB 54, vous devez établir une liaison logi-
que de toutes les lignes d’acquittement à un RLG valide pour le bloc fonc-
tionnel standard.
Exemple :
U E4.0 ligne d’acquittement de l’appareil 1
U E4.1 ligne d’acquittement de l’appareil 2
S M100.0 mémento intermédiaire pour le RLG
UN E4.0 ligne d’acquittement de l’appareil 1
UN E4.1 ligne d’acquittement de l’appareil 2
R M100.0 mémento intermédiaire pour le RLG
U M100.0 constituer le RLG à partir du mémento
inter-médiaire
Fonction La zone d’interface est un bloc de données qui joue le rôle d’interface entre
le programme utilisateur et le bloc fonctionnel standard. Elle contient des
données et des pointeurs sur des zones de données qui sont nécessaires à
l’échange de données entre automate et pupitre de contrôle-commande. Une
zone d’interface distincte doit être déclarée pour chaque pupitre de contrôle-
commande connecté.
Longueur Le tableau suivant indique la longueur minimale du bloc de données pour les
minimale divers types de couplage.
Nota
Le bloc de données de la zone d’interface doit être déclaré dans la mémoire
vive (RAM) de l’UC. Les blocs de données étendus DX ne sont pas
autorisés. Le numéro de DB doit être supérieur ou égal à 10.
Types de couplage La description suivante est valable pour les types de couplage ci-dessous :
– AS511, AP du groupe 2 ;
AP 95U, AP 100U (CPU 103), AP 115U, AP 135U et AP 155U
– FAP
– PROFIBUS-DP
– SINEC L1
– PROFIBUS
DW DL DR Utilisation
0–9 Zone de communication du FB standard. –
Cette zone ne doit pas être modifiée.
10 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur une
boîte de recettes ;
seul les pupitres à
11 0 Adresse de début afficheur de lignes
écrivent dans ces
mots de données.
12 Longueur en mots
Explications au cha-
pitre 11.7.3.
13 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
de suites de recet-
tes ; seul les pupitres
14 0 Adresse de début à afficheur de lignes
écrivent dans ces
mots de données.
15 Longueur en mots
Explications au cha-
pitre 11.7.3.
16 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
de numéros de recet-
tes ; seul les pupitres
17 0 Adresse de début à afficheur de lignes
écrivent dans ces
mots de données.
18 Longueur en mots
Explications au cha-
pitre 11.7.3.
DW DL DR Utilisation
19–28 réservé –
29 Version de microprogramme du pupitre Le pupitre écrit dans
30 254 Numéro du DB DW 29 et 30
30.
DW DL DR Utilisation
99 Numéro de version du FB standard Le FB standard écrit
dans DW 99.
100 réservé –
101 – Messages d’erreur des blocs de dialogue Doit être exploité
102 (PROFIBUS uniquement) par l’utilisateur.
103 – réservé –
255
(longueur selon le type de couplage)
Si un pointeur sur une zone de données est indiqué dans la zone d’interface,
plusieurs types de données sont autorisés pour cette zone de données. Le ta-
bleau 10-2 regroupe les types de données autorisés.
Nota
La zone de communication et toutes les zones non utilisées pour le couplage
correspondant sont des zones réservées. Le programme utilisateur ne doit pas
écrire dans les zones réservées.
Affectation des Le bloc fonctionnel standard est démarré via le bit 0. Le bit 1 indique l’état
bits dans DR 64 actuel du bloc fonctionnel standard et le bit 2 le mode de fonctionnement du
pupitre de contrôle-commande. La figure 10-1 représente la structure des bits
de commande et de compte rendu 1.
DR 64
7 2 1 0
- - - - - R R W
Démarrage du FB
Etat du FB
Mode de fonctionnement du pupitre
- = non attribué
R = accès en lecture seulement
W = accès en lecture et en écriture
Figure 10-1 Structure des bits de commande et de compte rendu 1 (DR 64 dans la
zone d’interface)
Démarrer le FB Le bloc fonctionnel standard doit être démarré à l’aide de l’octet droit du mot
standard de données 64 de la zone d’interface.
Dans le bloc d’organisation de démarrage utilisé (OB 20/21/22), le mot de
données 64 doit prendre la valeur 1 (format KF) pour déclencher le démarra-
ge du bloc fonctionnel et remettre à zéro tous les autres bits de commande.
Exemple : OB 20/21/22
Message d’erreur Vérifiez dans l’accumulateur 1 si le bloc fonctionnel standard a émis un mes-
du FB standard sage d’erreur.
Si une erreur survient pendant le traitement du bloc fonctionnel, le résultat
logique prend la valeur 1. Cela vous permet de sauter à votre propre traite-
ment d’erreur avec l’instruction SPB.
Après l’appel du bloc fonctionnel standard, l’accumulateur 1 contient l’état
actuel du contrat et, le cas échéant, le numéro de l’erreur survenue.
Le contenu de l’accumulateur 1 est représenté dans la figure 10-2.
15 12 11 10 8 7 0
- Le bit n’est pas attribué
- - - X X X - X Numéro d’erreur X Le bit est attribué (accès en lecture seulement)
DL DR
DW 15 8 7 0
66 non attribué Heure (0...23)
Heure
67 Minutes (0...59) Secondes (0...59)
68 non attribué
69 non attribué Jour de la semaine (1...7)
Date
70 Jour (1...31) Mois (1...12)
71 Année (0...99) non attribué
Synchronisation Les bits de commande et de compte rendu 2 de la zone d’interface (DW 65)
du transfert synchronisent le transfert de la date et de l’heure. Lorsque le pupitre de
contrôle-commande a transféré une nouvelle date ou heure à l’automate via
un contrat automate, il met à 1 les bits représentés dans la figure 10-4. Une
fois la date et l’heure exploités, vous devez remettre ces bits à zéro dans le
programme en STEP5 afin de pouvoir détecter le transfert suivant.
DL 65
15 14 13 12 8 - = non attribué
W W W - - - - - W = accès en lecture et en écriture
Nota
Le contrat automate 41 ne doit pas être appelé de manière cyclique ni à des
intervalles inférieurs à 5 secondes, car il y a sinon surcharge de la communi-
cation avec le pupitre de contrôle-commande. Les numéros d’erreur 502 ou
503 s’affichent alors sur le pupitre.
Pupitres Les réveils ne peuvent être utilisés qu’avec les OP15 et OP17. Un réveil est un
utilisables moment qui revient de manière périodique (horaire, journalière, hebdomadaire,
annuelle) et auquel une fonction spécifiée est exécutée, par exemple
– imprimer le tampon de messages
– imprimer une image
– sélectionner une image
Lorsqu’une heure de réveil est atteinte dans l’OP, le bit correspondant est mis
à un 1 dans cette zone :
DW 15 Numéro de bit 0
72 16 1
73 32 17
74 48 33
Numéro de réveil
Transfert de réveils Dans les entrées d’image, il est possible de créer des champs de saisie pour
à l’AP (uniquement réveil dotés d’une liaison processus, et donc une liaison à l’automate. Si un
pour les configura- réveil est modifié par une saisie sur l’OP, le nouveau réveil est transmis à
tions avec COM l’automate.
TEXT)
DR
DR
DR
DR
Nota
La liaison processus pour les types de réveil ”hebdomadaire” et ”annuel”
doit avoir impérativement une longueur de 2 mots de données. Sinon, le
message système $635 apparaît après la saisie de l’heure de réveil.
Synchronisation Les bits de commande et de compte rendu 2 de la zone d’interface (DW 65)
du transfert synchronisent le transfert des bits de réveil.
Si l’OP met à 1 un nouveau bit de réveil dans la zone d’interface, il met éga-
lement à 1 le bit correspondant des bits de commande et de compte rendu 2
(voir la figure 10-5). Il vous suffit donc d’interroger ce bit pour détecter une
modification des bits de réveil.
DL 65
15 14 13 12 8 - = non attribué
W W W - - - - - W = accès en lecture et en écriture
Version du DW 29 :
microprogramme du Le pupitre de contrôle-commande écrit le numéro de version de son micro-
pupitre programme dans le mot de données DW 29. Vous pouvez exploiter cette indi-
cation dans le programme en STEP5.
Entrées du FB Le bloc fonctionnel standard écrit dans les mots de données DW 31 et 99 des
standard informations que vous pouvez exploiter dans le programme utilisateur. Le
programme utilisateur ne doit pas écrire dans ces mots de données.
Identificateur de l’AP DW 31 :
et du couplage Le bloc fonctionnel standard écrit un identificateur respectivement pour le
type d’AP et le type de couplage dans la zone d’interface. La structure du
mot de données est représentée dans la figure 10-6. Les affectations sont
regroupées dans les tableaux 10-3 et 10-4. L’identificateur d’AP indiqué dans
le tableau 10-4 correspond au numéro dans le nom du fichier du bloc
fonctionnel standard.
Exemple :
Identificateur de l’AP = 69
Nom du fichier du bloc fonctionnel standard = S5TD69ST.S5D
!
Valeur Couplage
1 AS511 (via l’interface SI1 de l’UC)
2 Parallèle
3 FAP (via l’interface SI2 de l’UC)
4 FAP (via CP 521 SI)
5 FAP (via CP 523)
6 SINEC L1 (via CP 530)
7 PROFIBUS
9 PROFIBUS-DP
Numéro de version DW 99
du FB standard Le bloc fonctionnel standard écrit son numéro de version dans ce mot de don-
nées.
15 ... 8 7 6 5 0
DW 99 Version (0 à 99) en format R R non attribué
KF (virgule fixe)
Surveillance du bit DW 98
de vie Le pupitre de contrôle-commande inverse à intervalles réguliers un bit de la
zone d’interface qui n’est pas accessible à l’utilisateur. Le bloc fonctionnel
standard compte le nombre de fois où il a été appelé entre deux inversions de
ce bit. Si le nombre d’appels (cycles) dépasse une valeur prédéfinie, le bloc
fonctionnel standard écrit le message d’erreur 115 dans l’accumulateur 1.
Entrez dans ce mot de données le nombre maximal d’appels du bloc
fonctionnel avant qu’il n’émette un message d’erreur. Si la valeur de ce mot
de données est remplacée par 0, le bloc fonctionnel standard y inscrit la va-
leur par défaut 200.
Si les temps de cycle du programme utilisateur sont trop courts, l’erreur 115
peut survenir bien que la liaison soit correcte. Augmentez dans ce cas la va-
leur pour le nombre d’appels, par exemple 2000.
Boîtes de contrat Une boîte de contrat de la zone d’interface contient un pointeur sur l’adresse
dans la zone dans laquelle se trouve le contrat automate proprement dit. Lorsque vous
d’interface voulez déclencher un contrat automate, vous devez écrire le pointeur dans la
boîte de contrat.
La zone d’interface contient au total 8 boîtes de contrat. Cela vous permet de
déclencher successivement plusieurs contrats automate. L’ordre dans lequel
le pupitre de contrôle-commande doit exécuter les contrats automate peut
toutefois différer de leur ordre dans la zone d’interface.
Déclenchement Lorsque vous écrivez un pointeur sur un contrat automate dans la zone d’in-
d’un contrat terface, le bloc fonctionnel standard déclenche le transfert vers le pupitre de
automate contrôle-commande.
Commencez par écrire les données proprement dites du contrat automate
dans la zone mémoire, par exemple dans un bloc de données. Ecrivez ensuite
le pointeur sur cette zone mémoire dans la boîte de contrat. Ecrivez ainsi tout
d’abord dans le mot de données DW 33, puis dans DW 32.
Le pointeur est effacé de la boîte de contrat après que le pupitre de contrôle-
commande a accepté le contrat automate. Le bloc fonctionnel standard rem-
place alors le contenu du premier mot de données par la valeur ”0”. Ce n’est
qu’alors que le bloc fonctionnel standard a terminé le traitement du contrat
automate et que le programme en STEP5 peut de nouveau écrire dans la boîte
de contrat. Le pupitre de contrôle-commande n’indique pas si le contrat auto-
mate est en cours d’exécution ou s’il a été effectivement exécuté.
Exemple pour un Nous exposons ci-après un exemple pour le contrat automate 51 ”Sélection
contrat automate d’image”. L’image numéro 5 doit être appelée sur l’OP17 et le curseur est
placé dans l’entrée d’image 0, dans le second champ. L’affectation de la pre-
mière boîte de contrat est représentée graphiquement dans la figure 10-8. Le
contrat automate proprement dit se trouve dans le bloc de données 100, à
partir de DW 4. Le programme en STEP5 correspondant est listé dans le ta-
bleau 10-5.
Etat et numéro L’état du contrat automate, éventuellement accompagné d’un numéro d’er-
d’erreur du contrat reur, est indiqué dans le cinquième mot de données de la boîte de contrat.
automate en cours
Après appel du bloc fonctionnel standard, ce mot de données contient les
mêmes informations que l’accumulateur 1. La figure 10-9 représente le
contenu de l’accumulateur 1. Le bit 8 Pas de contrat en traitement constitue
une exception. Il n’est en effet pas mis à 1 dans la zone d’interface.
DL DR
15 12 11 10 8 7 0
- = Le bit n’est pas attribué
- - - R R R - R Numéro d’erreur R = accès en lecture seulement
Numéro d’erreur
Etat du contrat
Figure 10-9 Etat du contrat et numéro d’erreur pour les contrats automate
L’octet gauche DL contient l’état du contrat. Les bits sont mis à 1 par le bloc
fonctionnel standard. Si le contrat automate s’est terminé sans erreur, le bloc
fonctionnel standard donne la valeur 0 à l’octet droit DR. Si le contrat auto-
mate s’est terminé sur une erreur, l’octet DR contient le numéro d’erreur.
Une description des numéros d’erreur se trouve en annexe A.3.
Fonction Vous devez déclarer un bloc de données d’assignation si l’AP est couplé au
pupitre de contrôle-commande via FAP, SINEC L1, PROFIBUS ou
PROFIBUS-DP. Le bloc de données d’assignation contient une liste de tous les
pupitres de contrôle-commande configurés et connectés à l’AP.
Une zone de 16 mots de données est nécessaire pour chaque pupitre de
contrôle-commande à connecter :
DW 0
: Zone pour le pupitre de contrôle-commande 1
DW 15
DW 16
: Zone pour le pupitre de contrôle-commande 2
DW 31
DW (x-1)16
: Zone pour le pupitre de contrôle-commande x
DW x16 - 1
DW 240
: Zone pour le pupitre de contrôle-commande 16
DW 255
Nota
Le bloc de données d’assignation DB-ZU doit être déclaré dans la
mémoire vive de l’unité centrale. Les blocs de données étendus DX ne
sont pas autorisés.
Le numéro de DB doit être supérieur ou égal à 10.
Le bloc de données d’assignation DB-ZU n’est exploité que lors du
démarrage du bloc fonctionnel standard. S’il est modifié par la suite, il
faut déclencher un nouveau démarrage du bloc fonctionnel standard.
Si plusieurs blocs fonctionnels standard sont utilisés simultanément dans
un AP (pour des couplages différents), il est possible d’utiliser un DB-ZU
commun.
DW DL DR Utilisation
n+0 réservé No de DB de la zone Doit être entré par
d’interface l’utilisateur.
n+1 réservé –
n+2 Numéro de version du FB standard –
n+3 Etat du contrat Numéro d’erreur Doit être exploité
par l’utilisateur.
n+4 Entrée spécifique au couplage Doit être entré par
l’utilisateur.
n+5 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
0 = DB de réception ; doit
être entré par l’utili-
1 = DX
sateur.
n+6 0 Adresse de début
(numéro du DW)
n+7 Type de données Numéro du DB/DX Pointeur sur la boîte
0 = DB d’émission ; doit être
entré par l’utilisa-
1 = DX
teur.
n+8 0 Adresse de début
(numéro du DW)
n+9 Entrées spécifiques au couplage Doit être entré par
n+10 l’ ili
l’utilisateur.
n+11
n+12
n+13
n+14 réservé –
n+15
n = (numéro d’appareil –1) * 16
15 ... 8 7 6 5 0
DW 59 (99) Version (0 à 99) R R non attribué
en format KF (virgule fixe)
Les types de données autorisés pour les pointeurs sont regroupés dans le ta-
bleau 10-8.
Nota
Les boîtes d’émission et de réception ne doivent pas se chevaucher. Le
bloc fonctionnel standard ne détecte pas le chevauchement et cela peut
conduire à un dysfonctionnement.
Les adresses des deux boîtes ne sont déterminées que lors du démarrage
du bloc fonctionnel standard. Elles ne doivent donc pas être modifiées
pendant le fonctionnement de l’AP.
11.1 Présentation
Définition Les zones de données utilisateur peuvent se trouver dans une zone mémoire
quelconque de l’automate. Les messages, les recettes et les courbes consti-
tuent des exemples de zones de données utilisateur.
Tableau 11-1 Zones de données utilisateur utilisables pour les divers pupitres de contrôle-commande
Zone de données utilisateur TD10 TD20 TD17 OP5 OP7 OP15 OP25 OP27 TP27
OP17 OP35 OP37 TP37
OP20
Messages d’événement x x x x x x x x x
Messages d’alarme – x – x x x x x x
Contrats automate x x x x x x x x x
Recettes – – – x x x x x x
Image du clavier système – x x x x x x x –
Image des touches de fonction – – – x x x x x –
Image des LED – – – – x x x x –
Réveil – – – – – x – – –
Date et heure x x x x x x x x x
Numéro d’image – x – x x x x x x
Version utilisateur x x x x x x x x x
Zone de sélection de courbe – – – – – – x x x
Zone de données de courbe – – – – – – x x x
Définition Les messages sont composés de texte statique et/ou de variables. Texte et
variables peuvent être librement configurés.
Les messages se répartissent en messages d’événement et en messages
d’alarme. Le programmeur définit ce qu’est un message d’événement et ce
qu’est un message d’alarme.
Message d’alarme Un message d’alarme rend compte d’une alarme de fonctionnement, par
exemple
La vanne ne s’ouvre pas
Température moteur trop élevée
Acquittement Etant donné que les messages d’alarme signalent des états opératoires excep-
tionnels, ils doivent être acquittés. L’acquittement est réalisé au choix
par l’opérateur sur le pupitre de contrôle-commande ou
par la mise à 1 d’un bit dans la zone d’acquittement de l’automate.
Déclenchement Le déclenchement d’un message est réalisé par la mise à 1 d’un bit dans
d’un message l’une des zones de messages de l’automate. L’emplacement des zones de
messages est défini à l’aide de l’outil de configuration. La zone correspon-
dante doit également être déclarée dans l’automate.
Dès que le bit est mis à 1 dans la zone d’événements ou d’alarmes de l’auto-
mate et que cette zone est transmise au pupitre de contrôle-commande, ce
dernier reconnaît que le message correspondant est ”apparu”.
Réciproquement, lorsque le même bit est remis à zéro dans l’automate, le
pupitre de contrôle-commande considère que le message a ”disparu”.
Correspondance Un message peut être configuré pour chaque bit de la zone de messages
entre bit de messa- configurée. Les bits sont affectés par ordre croissant aux numéros de mes-
ge et numéro de sage.
message
Exemple :
On suppose que l’on a configuré la zone de messages d’événement suivante
pour l’automate SIMATIC S5 :
DB 60 Adresse 43 Longueur 5 (en DW)
La figure 11-1 montre la correspondance entre les numéros de message, au
total 80 (516), et les divers numéros de bit dans la zone de messages d’évé-
nement de l’automate.
Cette correspondance est réalisée automatiquement dans le pupitre de contrô-
le-commande.
Zones Si l’automate doit être informé de l’acquittement d’un message d’alarme sur
d’acquittement le pupitre de contrôle-commande ou si l’automate doit acquitter lui-même
des messages, vous devez déclarer les zones d’acquittement correspondantes
dans l’automate :
Zone d’acquittement pupitre → automate :
L’automate est informé par l’intermédiaire de cette zone du fait qu’un
message d’alarme a été acquitté par l’opérateur du pupitre de contrôle-
commande.
Zone d’acquittement automate → pupitre :
Cette zone permet à l’automate d’acquitter un message d’alarme.
Ces zones d’acquittement doivent également être indiquées dans la configu-
ration sous Zones de communication.
La figure 11-2 schématise les diverses zones de messages d’alarme et d’ac-
quittement. Le déroulement des opérations d’acquittement est présenté dans
les figures 11-4 et 11-5.
Zone d’acquittement
pupitre ! AP
Correspondance Chaque message d’alarme est doté d’un numéro de message. Ce numéro de mes-
entre bit d’acquit- sage est affecté respectivement au même bit x de la zone de messages d’alarme
tement et numéro et au même bit x de la zone d’acquittement. La zone d’acquittement a normale-
de message ment la même longueur que la zone de messages d’alarme correspondante.
Si la longueur d’une zone d’acquittement n’est pas égale à la longueur totale
de la zone de messages d’alarme correspondante et s’il existe d’autres zones
d’alarmes et d’acquittement, on a la correspondance suivante :
Message d’alarme Bit d’acquittement du message d’alarme no 1
no 1
Message d’alarme Bit d’acquittement du message d’alarme no 49
no 49
Zone d’acquittement Lorsque l’automate met à 1 un bit dans cette zone, le message d’alarme cor-
AP → pupitre respondant est acquitté sur le pupitre de contrôle-commande. Remettez en-
suite ce bit à zéro quand vous remettez à zéro le bit dans la zone de messages
d’alarme. La figure 11-4 représente le chronogramme correspondant.
La zone d’acquittement AP → pupitre de contrôle-commande
doit se raccorder directement à la zone de messages d’alarme correspondante,
doit avoir exactement le même temps de scrutation et
peut avoir au plus la même longueur que la zone de messages d’alarme
correspondante.
Si la zone d’acquittement AP → pupitre de contrôle-commande ne se trouve
pas physiquement immédiatement après la zone de messages d’alarme, le
message système $655 est émis lors du démarrage du pupitre de contrôle-
commande.
Zone d’acquittement
AP → pupitre
Acquittement par l’AP
Zone d’acquittement Lorsqu’un bit est mis à 1 dans la zone de messages d’alarme, le pupitre de
pupitre → AP contrôle-commande remet à zéro le bit correspondant dans la zone d’acquit-
tement. Si le message d’alarme est acquitté sur le pupitre de contrôle-com-
mande, le bit est mis à 1 dans la zone d’acquittement. L’automate peut ainsi
détecter que le message d’alarme a été acquitté. La figure 11-5 représente le
chronogramme correspondant.
La zone d’acquittement pupitre → AP peut avoir au plus la même longueur
que la zone de messages d’alarme correspondante.
Zone d’acquittement
pupitre → AP
Taille des zones Les zones d’acquittement AP → pupitre et pupitre → AP ne doivent pas être
d’acquittement plus grandes que la zone de messages d’alarme correspondante. Elles peuvent
toutefois être déclarées plus petites, lorsque certains messages d’alarme ne
doivent pas être acquittés par l’automate. Ce cas est mis en évidence dans la
figure 11-6.
Zone de messages Zone raccourcie
Messages d’alarme d’acquittement des alarmes
d’alarme qui
peuvent être
acquittés
Messages
d’alarme qui ne
peuvent pas être
acquittés
Nota
Placez les messages d’alarme importants dans la zone de messages d’alarme
à partir du bit 0 dans l’ordre croissant.
Les deux bits correspondants de la zone de messages d’alarme et de la zone
d’acquittement ne doivent pas être mis à 1 en même temps.
Utilisation Les actions sur des touches du pupitre de contrôle-commande peuvent être
transférées vers l’automate et y être exploitées. Il est ainsi possible, par
exemple, de déclencher une action dans l’automate, comme le démarrage
d’un moteur.
Les touches de fonction des pupitres opérateurs (OP) sont pourvues de diodes
électroluminescentes (LED). Ces LED peuvent être commandées à partir de
l’automate. Il est ainsi possible de signaler, en allumant la diode correspon-
dante selon le contexte, la touche sur laquelle l’opérateur doit appuyer.
Condition Pour pouvoir exploiter l’actionnement des touches et commander les LED, il
préalable faut que les zones de données correspondantes – les images mémoire ou, plus
brièvement, les images – soient déclarées dans l’automate et qu’elles soient
définies comme zones de communication dans la configuration.
Transfert Les images du clavier sont transférées spontanément vers l’automate. Cela
signifie que le transfert est effectué chaque fois que l’opérateur appuie sur
une touche du pupitre de contrôle-commande. Il n’est donc pas nécessaire de
configurer un temps de scrutation. Il est possible de transférer au maximum
deux actions simultanées sur des touches.
= touche SHIFT
enfoncée
Nota
Si le pupitre de contrôle-commande est arrêté ou séparé de l’automate alors
qu’une touche est enfoncée, le bit correspondant reste à 1 dans l’image du
clavier.
Structure L’image du clavier système est une zone de données de longueur fixe. Cette
longueur dépend du pupitre de contrôle-commande. Les diverses longueurs
sont indiquées dans le tableau 11-3.
Numéro de bit
15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0
( ): INS A–Z
\
+/– . AĆZ DEL 1er mot
ENTER ESC ACK HELP
Y Z Q R I J A B TAB G H E F C D O P M N K L W X U V S T = , 2e mot
+ - * / 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0
réservé 3e mot
Nota
Les bits non utilisés ne doivent pas être écrasés par le programme utilisateur.
Bit global de Le bit global de clavier sert de bit de contrôle. Il est mis à 1 lors de chaque
clavier transfert de l’image du clavier du pupitre de contrôle-commande vers l’auto-
mate et doit être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la
zone de données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme utilisateur de détec-
ter si l’image du clavier système a été de nouveau transmise.
Zones de données Les pupitres opérateurs sont dotés de touches de fonction auxquelles vous
pouvez associer une image dans l’automate. L’image des touches de fonction
peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes dont le nombre et
la longueur dépendent de l’OP.
Affectation des L’affectation des diverses touches aux bits des zones de données est détermi-
touches née lors de la configuration des touches de fonction. A cette occasion, il faut
entrer pour chaque touche le numéro au sein de la zone image.
L’image des touches de fonction doit être également entrée dans la configura-
tion sous Zones de communication, Type : Clavier fonction.
Bit global de Le bit 15 du dernier mot de données de chaque zone de données est le bit
clavier global de clavier. Il sert de bit de contrôle. Le bit global de clavier est mis à
1 lors de chaque transfert de l’image du clavier de l’OP vers l’automate. Il
doit être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la zone de
données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme utilisateur de détec-
ter si un bloc a été de nouveau transféré.
Zones de données L’image des LED peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes,
comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
L’image des LED doit également être entrée dans la configuration sous Zones
de communication, Type : Image des LED.
Affectation des L’affectation des diverses diodes électroluminescentes aux bits des zones de
LED données est déterminée lors de la configuration des touches de fonction. A
cette occasion, il faut entrer pour chaque LED le numéro de bit au sein de la
zone image.
Le numéro de bit (n) désigne le premier de deux bits successifs qui comman-
dent un total de quatre états différents de la LED (voir le tableau 11-4) :
Tableau 11-4 Fréquence de clignotement des LED pour toutes les OP exepté OP17
Sur l’OP17, les touches K disposent de LED bicolores (rouge/vert). Les états
de LED qui en résultent sont décrits dans le tableau 11-5.
Condition Pour utiliser la zone de numéros d’image, vous devez la déclarer comme
préalable Zone de communication dans la configuration. Elle ne peut être déclarée
qu’une seule fois dans un seul automate.
La zone de numéros d’image est transférée de manière spontanée vers l’auto-
mate. Cela signifie que le transfert a lieu à chaque fois qu’une modification
est détectée sur le pupitre de contrôle-commande. Il n’est donc pas nécessaire
de configurer un temps de scrutation.
Structure La zone de numéros d’image est une zone de données de longueur fixe. Cette
longueur dépend du pupitre de contrôle-commande. Les diverses longueurs
sont indiquées dans le tableau 11-6.
Entrée Affectation
type de l’image active 1 : image
2 : recette
3 : image spéciale
numéro de l’image/recette active 1 à 99
numéro de l’entrée active 1 à 99
numéro du champ de saisie actif 0 à 32 (0 : numéro d’entrée)
Entrée Affectation
type de l’image active 1 : image
4 : fenêtre permanente
5 : fenêtre des messages d’alarme
6 : fenêtre des messages d’événement
numéro de l’image active 1 à 65535
numéro du champ de saisie actif 1 à 65535
Pour les images spéciales, le numéro de l’image active est affecté de la ma-
nière suivante :
Valeur Signification
1 page des messages d’alarme
2 page des messages d’événement
3 tampon des messages d’alarme
4 tampon des messages d’événement
Courbes Une courbe est une représentation graphique de valeurs de l’automate. Selon
la configuration, la lecture de la valeur est déclenchée par un bit ou par hor-
loge.
Courbes Le pupitre de contrôle-commande lit soit une valeur de courbe, soit la totalité
déclenchées par du tampon de courbe, lorsqu’un bit de déclenchement est mis à 1. Cela est
bit déterminé dans la configuration. Les courbes déclenchées par bit sont en
général utilisées pour des valeurs soumises à des variations rapides. La pres-
sion d’injection lors de la fabrication de pièces en plastique en constitue en
exemple.
Pour le déclenchement de ces courbes, vous devez définir des zones corres-
pondantes dans la configuration (sous Zones de communication)) et les décla-
rer dans l’automate. Ces zones permettent au pupitre de contrôle-commande
et à l’automate de communiquer.
Les zones nécessaires sont :
– la zone de sélection de courbe
– la zone de données de courbe 1
– la zone de données de courbe 2
(n’est nécessaire qu’avec le tampon commuté)
Le même bit est attribué de manière permanente à chaque courbe dans ces
zones configurées. Cela permet d’identifier de manière univoque chaque
courbe dans toutes les zones.
Tampon commuté Le tampon commuté est un second tampon utilisé pour la même courbe. Il
peut être déclaré dans la configuration.
Pendant que le pupitre de contrôle-commande lit les valeurs dans le tampon
1, l’automate écrit dans le tampon 2. Lorsque le pupitre lit dans le tampon 2,
l’automate écrit dans le tampon 1. Cela évite que l’automate n’écrase les va-
leurs de courbe pendant que le pupitre les lit.
Répartition des Les diverses zones – sélection de courbe, données de courbe 1 et 2 – peuvent
zones de données être réparties en des zones de données distinctes dont le nombre maximal et
la longueur totale sont prédéfinis (voir le tableau 11-7).
Zones de données
Sélection Données
1 2
Nombre maximal par type 8 8 8
Longueur totale de toutes les zones 8 8 8
de données (en mots)
Zone de sélection Lorsqu’une image avec une ou plusieurs courbes est ouverte sur le pupitre de
de courbe contrôle-commande, ce dernier met à 1 les bits correspondants dans la zone
de sélection de courbe. Lorsque l’image est refermée, le pupitre remet à zéro
les bits correspondants dans la zone de sélection de courbe.
La zone de sélection de courbe peut être exploitée dans l’automate pour sa-
voir quelle courbe est actuellement affichée sur le pupitre. Les courbes peu-
vent également être déclenchées sans exploitation de la zone de sélection de
courbe.
Zone de données Cette zone est destinée au déclenchement de courbes. Mettez à 1 le bit asso-
de courbe 1 cié à la courbe dans la zone de données de courbe, ainsi que le bit global de
courbe, avec le programme du S5. Le pupitre de contrôle-commande détecte
le déclenchement et remet à zéro le bit de courbe et le bit global de courbe. Il
lit ensuite une valeur ou la totalité du tampon, selon la configuration.
Exemple de zone de données de courbe d’une longueur de 2 DW
Numéro de bit
Zone de données La zone de données de courbe 2 est nécessaire pour les courbes pour lesquelles
de courbe 2 un tampon commuté a été configuré. Elle a exactement la même structure que
la zone de données de courbe 1.
11.7 Recettes
Nota
Dans le cas des afficheurs graphiques, seules les variables sont utilisées pour
le transfert des enregistrements. Pour transférer un enregistrement d’un sup-
port de données (par exemple mémoire flash ou disquette) vers le S5, vous
devez tout d’abord le charger dans les variables.
Synchronisation L’une des caractéristiques essentielles des recettes est que les données sont
transférées de manière synchronisée et qu’un écrasement incontrôlé des don-
nées est évité. La coordination du transfert des enregistrements est garantie
par la mise à 1 de certains des bits de commande et de compte 1 de la zone
d’interface.
Transfert direct Lors de l’écriture d’un enregistrement, les variables de ce dernier sont écrites
directement dans les adresses respectivement définies. Lors de la lecture di-
recte, les variables sont lues dans les mémoires cibles de l’automate et écrites
dans le pupitre de contrôle-commande.
Transfert indirect Toutes les variables de l’enregistrement sont écrites dans une mémoire inter-
médiaire de l’automate. Pour les pupitres à afficheur de lignes, cette mémoire
intermédiaire est la boîte de recettes, pour les pupitres à afficheur graphique,
il s’agit du tampon de données. La boîte de recettes contient les valeurs des
variables et leurs adresses. Le tampon de données ne contient que les valeurs
des variables, les adresses ne sont pas transférées.
Dans le cas du transfert indirect, la longueur maximale de l’enregistrement
est de 98 mots de données.
Pupitres à Lors de la connexion d’un pupitre à afficheur de lignes, vous devez déclarer
afficheur de lignes dans l’AP des zones pour la boîte de recettes, la boîte de suites de recettes et
la boîte de numéros de recettes. Utilisez à cette occasion les mêmes entrées
que celles définies dans la configuration sous Zones de communication.
Les boîtes de recettes et de suites de recettes contiennent, outre les données,
également les adresses des variables.
Pour les automates du groupe 2, la zone d’interface contient des mots de don-
nées pour les pointeurs sur les boîtes de numéros de recettes, de recettes et de
suites de recettes. Le pupitre écrit le pointeur défini dans la configuration
dans ce mot de données.
Boîte de recettes :
La boîte de recettes est une zone de données d’une longueur maximale de
256 mots de données.
Les valeurs entrées doivent être ventilées dans les zones mémoire correspon-
dantes par le programme du S5. Utilisez le bloc fonctionnel FB 42 pour ven-
tiler les données dans les adresses correspondantes.
DL DR
1er mot Numéro de recette No d’enregistrement
2e mot Longueur totale de la recette en mots
3e mot Type valeur 1 No du DB/DX valeur 1
Pointeur
4e mot Adresse de début valeur 1 sur
5e mot Longueur en mots valeur 1 valeur 1
6e mot
.. Données valeur 1
.. Pointeur sur valeur 2
..
Données valeur 2
.. ..
DL DR
1er mot
Pointeur sur valeur 1
3e mot
4e mot Données valeur 1
..
Pointeur sur valeur 2
..
Données valeur 2
..
Pupitres à Lors de l’utilisation d’un pupitre à afficheur graphique, vous devez déclarer
afficheur dans l’AP une zone pour le tampon de données. Utilisez à cette occasion les
graphique mêmes entrées que celles définies dans la configuration avec ProTool sous
Zones de communication.
Dans le tampon de données, les données ne sont pas accompagnées d’adres-
ses.
Tampon de données :
Le tampon de données est une zone de données d’une longueur maximale de
256 mots de données.
Il sert de mémoire intermédiaire lors des transferts d’enregistrements du pu-
pitre de contrôle-commande vers l’automate. Les valeurs entrées doivent être
ventilées dans les zones mémoire correspondantes par le programme en
STEP5.
Les identifications 1, 2 et 3 (numéros de recette) configurées dans ProTool
sont également transférées dans le tampon de données et doivent être exploi-
tées par l’automate.
Bits de commande Le transfert des enregistrements est coordonné par les bits 11 à 15 des bits de
et de compte commande et de compte rendu 1 du mot de données DW 64 de la zone d’in-
rendu 1 terface (voir le chapitre 10.1).
Les bits de commande et de compte rendu concernés dans DL 64 sont :
Bit 11 = 1 : la boîte est verrouillée
Bit 12 = 1 : l’enregistrement est défectueux
Bit 13 = 1 : l’enregistrement n’est pas défectueux
Bit 14 = 1 : transfert de données terminé
Bit 15 = 1 : transfert de données en cours
Déroulement du Les diverses étapes du transfert du pupitre vers l’automate sont décrites ci-
transfert dessous.
pupitre → AP
1. Le pupitre contrôle le bit 11 avant le transfert. Si le bit 11 vaut 1, le trans-
fert se termine sur un message d’erreur. Si le bit vaut 0, le pupitre met le
bit 11 à 1.
2. Pendant le transfert, le pupitre met le bit 15 à 1.
3. Après le transfert, le pupitre met le bit 14 à 1.
4. Interrogez le bit 14 avec le programme du S5. S’il vaut 1, ventilez le cas
échéant les données dans les adresses correspondantes. Mettez ensuite le
bit 12 ou le bit 13 à 1.
5. Libérez la boîte en remettant le bit 11 à zéro.
Le déroulement qui vient d’être décrit est programmé en guise d’exemple
pour les pupitres à afficheurs de lignes dans le bloc fonctionnel de recette
(FB42:Rezept). Ce dernier est livré sur la disquette COROS Blocs fonctionnel
standard qui doit être commandée séparément. Le bloc fonctionnel FB42 ne
peut pas être utilisé avec les pupitres à afficheur graphique.
Si la configuration standard a été intégrée au projet
d’un pupitre à afficheur graphique, la procédure de
transfert ci-dessus correspond à l’utilisation de la tou-
che ci-contre dans l’image standard Z_RECORD_2.
A DB 51
L DL 64
T MB 200
UN M 200.7
U M 200.6
S M 200.5
R M 200.3
L MB 200
T DL 64
BE
Transfert par Pour les pupitres à afficheur de lignes, le contrat automate n 70 permet de
contrat automate transférer un enregistrement du pupitre vers l’automate. Le contrat automate
pour les afficheurs 69 déclenche, quant à lui, le transfert de l’automate vers le pupitre.
de lignes
Exemple Vous trouverez ci-après un exemple d’utilisation du contrat automate n 70
pour un OP7 ou OP27 couplé à un SIMATIC S5. L’exemple indique les éta-
pes à suivre sur l’OP7/OP27, puis sur l’automate.
Principe Vous pouvez configurer des variables indirectes associées à des champs de
saisie pour tous les pupitres à afficheur graphique et pour les pupitres à affi-
cheur de lignes OP7/17 et TD17. La valeur est saisie par l’opérateur directe-
ment sur le pupitre. Après la saisie sur le pupitre, les contenus de ces varia-
bles sont transférés de manière coordonnée dans le tampon de données de
l’automate.
Utilisation Les variables indirectes peuvent être utilisées dans les images comme des
variables ”normales”, c’est-à-dire comme des variables avec adresses.
Automate Profil de
protocole
Réglable dans ProTool Modules
SIMATIC S7-300/400 CPU, MPI,
modules FM capables de DP1),
communiquer, standard1),
FM353/354, universel1)
SIMODRIVE MCU 172A
SIMATIC S7-200 CPU PPI,
MPI1),
DP1),
standard1),
universel1)
SIMATIC S7-NC FM-NC, MPI,
SINUMERIK 840D/810D DP,
standard,
universel
1) Uniquement les unités centrales avec interface PROFIBUS-DP
SINUMERIK/
S7Ć300 Pupitre SIMODRIVE
PG Pupitre
S7Ć400
SINUMERIK/
S7Ć300 Pupitre
SIMODRIVE
SIMATIC S5
Pupitre avec
IM308C
Types de données Le tableau suivant regroupe les types de données qui peuvent être utilisés
autorisés dans la configuration.
* Si ProTool est intégré à STEP 7 et si vous utilisez des variables de type STRING,
ces dernières sont enregistrées et actualisées par ProTool comme dans STEP 7.
L’exemple suivant illustre l’ordre des octets pour le type de données STRING[4]
avec la valeur initiale ’AB’ :
Octet 0 : longueur maximale de la chaîne de caractères : 4
Octet 1 : longueur effective de la chaîne de caractères : 2
Octet 2 : valeur ASCII de ’A’
Octet 3 : valeur ASCII de ’B’
Octet 4 : –
Octet 5 : –
Si ProTool n’est toutefois pas intégré à STEP 7, il n’écrit ni ne lit rien dans les
octets 0 et 1 d’une variable de type STRING. Vous devez en tenir compte lors de la
configuration des adresses dans ProTool.
Si l’exemple précédent se trouvait dans un bloc de données de l’automate de l’oc-
tet 100 à l’octet 105, vous devriez configurer l’adresse de début 102 pour cette
variable de type STRING dans ProTool.
Partenaire de Avec une connexion MPI, chaque module capable de communiquer du S7 est
communication un partenaire de communication du pupitre de contrôle-commande. Il s’agit
de :
– chaque unité centrale
– modules fonctionnels capables de communiquer (FM),
par exemple FM356
Les modules capables de communiquer sont représentés en gris dans la fi-
gure 12-2.
Adresse MPI Chacun des modules capables de communiquer du S7-300 est doté d’une
adresse MPI univoque, qui ne doit être attribuée qu’une seule fois dans la
configuration de réseau. Une seule unité centrale doit être utilisée pour cha-
que rack. La figure 12-4 représente une connexion directe du pupitre de
contrôle-commande à l’interface MPI de l’unité centrale.
Adresse du Lors de l’adressage, il faut distinguer entre les partenaires dotés de leur pro-
partenaire pre adresse MPI et les partenaires sans adresse MPI distincte.
– Pour les partenaires dotés de leur propre adresse MPI, il suffit d’entrer
cette adresse. L’emplacement et le rack ne sont pas nécessaires.
– Pour les partenaires dépourvus d’adresse MPI distincte, vous devez
entrer l’adresse MPI, l’emplacement et le rack.
Exemple : Afin que le pupitre puisse communiquer avec l’unité centrale représentée
adresse de l’unité dans la figure 12-4, vous devez entrer les paramètres suivants dans la confi-
centrale guration pour le Partenaire pour la communication unité centrale S7 :
Ces valeurs sont également proposées comme valeurs par défaut dans
ProTool ou ProTool/Lite.
Nombre de racks Un automate S7-300 peut compter 4 racks au maximum. Le pupitre de contrô-
le-commande peut établir une communication avec chacun des modules capa-
bles de communiquer qui est enfiché dans ces racks. La figure 12-5 représente
une configuration avec plusieurs racks et l’adressage correspondant.
Adresse MPI Seuls les modules qui possèdent un connecteur MPI ont également une
adresse MPI. L’adresse MPI ne doit être attribuée qu’une seule fois dans la
configuration de réseau. Les modules qui ne possèdent pas de connecteur
MPI sont adressés indirectement par
– l’adresse MPI du module auquel le pupitre de contrôle-commande est
connecté,
– l’emplacement et le rack dans lequel est enfiché le module
avec lequel le pupitre de contrôle-commande doit communiquer.
La figure 12-6 représente une configuration de réseau simple avec un rack.
Adressage avec le Un module S7 capable de communiquer est adressé à l’aide des paramètres
S7-300 suivants :
Adresse : adresse PROFIBUS du CP
Emplacement : emplacement du module S7
Rack : rack dans lequel est enfiché le module S7.
Adressage avec le Un module S7 capable de communiquer est adressé à l’aide des paramètres
S7-400 suivants :
Adresse : adresse PROFIBUS du CP ou
de l’interface DP de l’unité centrale
Emplacement : emplacement du module S7
Rack : rack dans lequel est enfiché le module S7.
Utilisation Les touches F et K des pupitres opérateurs peuvent être utilisées comme
touches directes DP, en plus de leur utilisation normale prévue dans la
configuration. Dans le cas des pupitres tactiles, vous devez attribuer la
fonction Touche directe au bouton configuré. Une touche directe DP est une
touche ou un bouton qui permet de mettre à 1 un bit dans la zone d’E/S de
l’unité centrale.
L’unité centrale du S7 considère les touches directes DP comme des entrées
DP normales. Elles doivent donc être configurées, par exemple, comme une
station ET200. Le temps de cycle (temps de cycle effectif) du bus DP dé-
coule de la somme de toutes les entrées/sorties configurées. Cela permet de
déterminer le temps de réaction des touches directes DP. Dans une configura-
tion DP standard, le temps de réaction des touches DP est < 100 ms.
Pupitres Les touches directes DP peuvent être utilisées avec les pupitres de
utilisables contrôle-commande suivants :
Pupitres à afficheur de lignes : OP7, OP17
Pupitres à afficheur graphique : OP25/35, OP27/37 (y compris CPI)
Pupitres tactiles : TP27/37 (y compris CPI)
S7Ć400
2
PROFIBUSĆDP
Pupitre
1 1
Procédure Les paragraphes ci-après décrivent la procédure générale à suivre pour confi-
générale de gurer le pupitre de contrôle-commande avec STEP 7 pour la communication
configuration générale (comme maître) et pour le configurer comme esclave pour les tou-
ches directes DP.
1. Créez un projet STEP 7 et configurez le matériel avec une unité centrale
intégrable au système DP, par exemple la CPU 413-2DP.
2. Copiez une configuration standard, par exemple pour OP17, dans votre
projet STEP 7. Les configurations standard se trouvent dans le projet
STEP 7 ProTool. Chargez le logiciel de configuration ProTool en fai-
sant un double-clic sur le pupitre de contrôle-commande.
3. Choisissez la commande Système cible →Automate et cliquez successive-
ment sur les boutons Editer et Paramètres.
4. Dans la boîte de dialogue affichée, choisissez le réseau et l’unité centrale
(CPU) à laquelle le pupitre de contrôle-commande doit être connecté. Les
paramètres du réseau sont alors récupérés automatiquement. Un exemple
de configuration est représenté dans la figure 12-12.
Affectation des Les touches ou boutons du pupitre sont affectées à des octets dans la zone des
entrées/sorties entrées DP, les LED sont affectées à des octets dans la zone des sorties DP.
Le tableau 12-3 indique le nombre d’octets utilisés pour les divers pupitres de
contrôle-commande. Les affectations exactes sont illustrées dans les figures
suivantes.
Les pupitres tactiles sont dépourvus de touches matérielles. Ils possèdent uni-
quement des boutons à l’écran. Ces boutons sont librement configurables. La
fonction Touche directe vous permet d’affecter un bit de la zone d’entrée DP
à un bouton. Le sens de numérotation des bits dans la zone d’entrée DP est de
la droite vers la gauche. Au contraire des touches des pupitres opérateurs
dont l’affectation est fixe, les boutons des pupitres tactiles peuvent être affec-
tés librement. Vous trouverez une description précise de la fonction dans le
manuel d’utilisation de ProTool.
Module CPI Un module CPI en option peut être enfiché sur les OP27/37 et TP27/37. Ce
module CPI permet de connecter des touches externes qui peuvent être utili-
sées dans le bus DP comme les touches ou les boutons du pupitre de contrôle-
commande. L’affectation dans la zone d’entrées/sorties pour le premier mo-
dule CPI est placée à la suite de la zone définie de manière permanente.
7 6 5 4 3 2 1 0 Octet 7 6 5 4 3 2 1 0
n+0
n+1
n+3
n+4
7 6 5 4 3 2 1 0 Octet 7 6 5 4 3 2 1 0
n+0
n+1 ACK INFO A–Z A–Z
n+2
7 6 5 4 3 2 1 0 Octet 7 6 5 4 3 2 1 0
n+0
n+1
n+2
7 6 5 4 3 2 1 0 Octet 7 6 5 4 3 2 1 0
n+0
n+1
Numéro d’image Si des touches directes PROFIBUS utilisent les mêmes bits dans des images
PROFIBUS différentes pour des fonctions différentes, l’automate S7 doit distinguer les
(TP uniquement) fonctionnalités à l’aide du numéro d’image. La mise à jour des numéros d’i-
mage dans l’automate après un changement d’image est toutefois soumise à
un retard, qui peut être contourné à l’aide de la fonction d’image Numéro
d’image PROFIBUS.
Avec la fonction Numéro d’image PROFIBUS, vous pouvez mettre à 1 des
bits quelconques dans la zone d’entrée DP pour identifier l’image et les trans-
mettre à l’automate en même temps que les bits des touches directes. Une
correspondance univoque est ainsi assurée à tout moment entre bit de com-
mande et numéro d’image.
Le nombre de fonctions rapides disponibles dépend de la répartition des bits
dans la zone d’entrée DP :
Configuration Vous devez choisir l’automate SIMATIC S7 - 300/400 pour les modules fonc-
dans ProTool tionnels FM353 et FM354 ainsi que pour le SIMODRIVE MCU 172A.
Dans la suite de ce chapitre, deux exemples décrivent l’adressage des modu-
les fonctionnels FM et du SIMODRIVE MCU 172 pour le couplage par l’in-
terface MPI.
CPU FM353
Adresse 2 3
Emplacement 0 0
Rack 0 0
Le calculateur complet SIMODRIVE MCU 172A comprend une unité cen-
trale et un module de positionnement FM. Pour le couplage du pupitre de
contrôle-commande à un SIMODRIVE MCU 172A, il suffit de configurer un
seul automate dans ProTool. La figure 12-15 représente une configuration
avec SIMODRIVE MCU 172A.
Configuration Vous devez sélectionner l’automate SIMATIC S7 - NC pour les modules fonc-
dans ProTool tionnels FM-NC et les calculateurs complets SINUMERIK 810D/840D, car
le NC est doté de son propre adressage.
Dans la suite de ce chapitre, divers exemples décrivent l’adressage des modu-
les fonctionnels FM et du SINUMERIK 810D/840D pour le couplage par
l’interface MPI et par PROFIBUS-DP.
Adresse des L’unité centrale et le module fonctionnel FM-NC constituent pour le pupitre
partenaires avec de contrôle-commande deux partenaires distincts qui doivent être déclarés
MPI comme deux automates dans ProTool. Chaque partenaire est doté de sa pro-
pre adresse MPI. La figure 12-16 représente une configuration pour FM-NC
et le tableau suivant contient l’adressage. La figure 12-17 illustre la boîte de
dialogue de ProTool avec l’adressage du FM-NC.
SINUMERIK 810D
Adresse des L’unité centrale et le module fonctionnel FM-NC constituent pour le pupitre
partenaires avec de contrôle-commande deux partenaires distincts qui doivent être déclarés
PROFIBUS-DP comme deux automates dans ProTool. L’accès aux deux partenaires se fait
par l’adresse DP du CP. La figure 12-19 représente une configuration pour
FM-NC et le tableau suivant contient l’adressage. La figure 12-20 illustre la
boîte de dialogue de ProTool avec l’adressage du FM-NC.
Principe Le couplage PPI est une connexion point à point où le pupitre de contrôle-
commande est le maître et l’automate S7-200 est l’esclave. Il est possible de
connecter au plus deux automates S7-200 à un pupitre de contrôle-com-
mande.
De même, il est également possible de connecter plusieurs pupitres de
contrôle-commande à un automate S7-200. Le S7-200 ne permet dans ce cas
qu’une seule liaison à un moment donné. Les pupitres de contrôle-commande
ne prennent en charge la fonctionnalité multimaître qu’à partir des versions
de ProTool indiquées dans le tableau 12-4.
Facteurs La structure des zones de données utilisateur décrites au chapitre 14, ainsi
prépondérants que les temps de scrutation configurés dans les zones de communication,
sont des facteurs essentiels pour les temps de mise à jour effectivement at-
teints. Le temps de mise à jour est égal à la somme du temps de scrutation,
du temps de transfert et du temps de traitement.
Vous devez tenir compte des facteurs suivants lors de la configuration pour
obtenir des temps de mise à jour optimaux :
Définissez les diverses zones de données de sorte qu’elles soient aussi
petites que possibles et aussi grandes que nécessaire.
Si des zones de données sont utilisées ensemble, placez-les les unes à côté
des autres. Le temps de mise à jour effectif est amélioré si vous définissez
une grande zone au lieu de plusieurs petites zones.
Des temps de scrutation trop courts abaissent inutilement les performan-
ces globales. Choisissez le temps de scrutation en fonction de la vitesse
de modification des valeurs du processus. Par exemple, la température
d’un four varie beaucoup moins vite que la vitesse de rotation d’un entraî-
nement électrique.
Valeur indicative pour le temps de scrutation : environ 1 seconde.
Pour améliorer les temps de mise à jour, vous pouvez éventuellement renon-
cer au transfert cyclique des zones de données utilisateur (temps de scruta-
tion 0). Utilisez plutôt des contrats automate pour effectuer un transfert
spontané des zones de données utilisateur.
Placez les variables d’un message ou d’une image de manière contiguë
dans une zone de données.
Afin d’être sûr que les modifications au niveau de l’automate puissent être
détectées par le pupitre de contrôle-commande, elles doivent être mainte-
nues pendant une durée au moins égale au temps de scrutation effectif.
Images Pour les images, la vitesse de mise à jour effectivement atteinte dépend :
du nombre de zones de données utilisées,
du type et nombre des données à afficher,
de la dispersion des données au sein d’une zone de données.
Il est recommandé de tenir compte des remarques suivantes lors de la confi-
guration pour obtenir de courts temps de mise à jour :
N’utilisez qu’un seul bloc de données pour les variables d’une image.
Placez les données utilisées dans le bloc de données aussi près les unes
des autres que possible.
Ne configurez des temps de scrutation courts que pour les entrées qui doi-
vent effectivement être mises à jour rapidement.
Contrats automate Lorsque de nombreux contrats automate sont transmis en suite rapide au pupi-
tre de contrôle-commande, la communication entre pupitre et S7 risque d’être
surchargée.
Lorsque le pupitre de contrôle-commande écrit la valeur 0 dans le premier
mot de données de la boîte de contrat, le pupitre a reçu le contrat. Le pupitre
traite alors ce contrat, ce qui lui prend un certain temps. Si l’unité centrale est
rapide, il est possible que le pupitre soit encore en train de traiter ce contrat
automate, alors qu’un nouveau contrat automate est déjà transmis.
Condition Dans le cas de l’automate SIMATIC S7, la zone d’interface n’est nécessaire
que si les fonctions qu’elle contient doivent être utilisées ou exploitées par le
S7. La zone d’interface doit être configurée lorsque vous utilisez les fonc-
tions suivantes :
– envoi de contrats automate au pupitre de contrôle-commande
– mise à la même heure et date du S7 et du pupitre de contrôle-com-
mande
– exploitation de l’identificateur de couplage
– recettes (transfert d’enregistrements)
– détection du démarrage du pupitre de contrôle-commande dans le pro-
gramme du S7
– exploitation du mode de marche du pupitre de contrôle-commande
dans le programme du S7
– exploitation du bit de vie du pupitre de contrôle-commande dans le
programme du S7
– réglage de réveils (OP15 et OP17 uniquement)
Structure de la La structure de la zone d’interface est représentée dans la figure 13-1. Vous
zone d’interface pouvez créer la zone d’interface dans un bloc de données ou dans une zone
de mémentos. Vous devez en outre entrer l’adresse de la zone d’interface
dans la configuration. Cela est nécessaire afin que le pupitre de contrôle-
commande sache où se trouvent les données.
Une zone d’interface distincte doit être déclarée pour chaque pupitre de
contrôle-commande connecté. Si plusieurs unités centrales sont connectées à
un pupitre de contrôle-commande, vous devez déclarer une zone d’interface
par unité centrale.
Zone d’interface :
Adresse 7 0
n+0
Bits de commande et de
compte rendu
n+4
Boîte de
contrat
n+12 réservé
n+13 Identificateur de couplage
n+14 réservé
n+15
Heure
n+18
réservé
n+21
Date
n+25 réservé
n+26
Réveil
n+31
Signification Les bits de commande et de compte rendu synchronisent le transfert des zo-
nes de données utilisateur qui se trouvent aussi bien dans la zone d’interface
que dans des zones mémoire quelconques, par exemple le tampon de don-
nées. La boîte de contrat, l’identificateur de couplage, la date, l’heure et les
réveils sont des zones de données utilisateur qui se trouvent directement dans
la zone d’interface.
Introduction Trois octets de la zone d’interface sont disponibles pour les bits de com-
mande et de compte-rendu. Les octets n+0 et n+1 servent à la coordination
entre pupitre de contrôle-commande et S7. L’octet n+3 est nécessaire pour le
transfert d’enregistrements et de variables indirectes.
Les octets n+0, n+1 et n+3 sont décrits ci-après. L’utilisation des bits avec les
recettes est en outre décrite plus en détail au chapitre 14.7.
Description La figure suivante montre la structure de l’octet n+0. Elle est suivie de la
de l’octet n+0 description des divers bits.
Adresse
n+0 7 6 5 4 3 2 1 0
Bits de réveil
Heure
Date
Description La figure suivante représente la structure de l’octet n+1. Elle est suivie de la
de l’octet n+1 description des divers bits.
Adresse
n+1 7 6 5 4 3 2 1 0
Bit de vie
Mode de fonctionnement
Démarrage
Bit 0 Démarrage :
1 = le pupitre de contrôle-commande a démarré
Le bit 0 est mis à 1 par le pupitre de contrôle-commande quand
son démarrage est terminé. Vous pouvez remettre le bit à zéro dans
le programme du S7 et détecter ainsi un redémarrage du pupitre.
Bit 1 Mode de fonctionnement :
1 = le pupitre est hors ligne
0 = pupitre en fonctionnement normal
Lors du démarrage, le pupitre de contrôle-commande écrase le bit
1 de l’octet n+1 indiquant le mode de fonctionnement et le met à
0.
Si l’opérateur du pupitre le met en mode hors ligne, il n’est pas sûr
que le pupitre puisse encore mettre le bit 1 de l’octet n+1 à 1. Si le
bit de compte rendu est mis à 1 par l’automate, le programme de
l’automate peut demander si le bit a été remis à 0, c’est-à-dire si le
pupitre se trouve toujours en mode hors ligne ou s’il communique
de nouveau avec l’automate.
Bit 2 Bit de vie :
Le bit de vie est inversé par le pupitre de contrôle-commande une
fois par seconde. Cela permet au programme du S7 de détecter si
la liaison au pupitre a été interrompue.
Généralités Cette section décrit la structure et l’utilisation des zones de données utilisa-
teur qui se trouvent dans la zone d’interface.
L’automate S7 utilise la boîte de contrat pour déclencher une action sur le
pupitre de contrôle-commande. Tous les autres octets sont des zones dans
lesquelles le pupitre de contrôle-commande écrit des données. Ces zones peu-
vent être exploitées par le programme de l’automate S7. Ces octets sont dé-
crits en détail ci-après.
7 0 7 0
Identificateur de couplage :
7 0
Heure : Date :
Adresse 7 0 Adresse 7 0
n+15 Heure (0...23) n+21 Jour de la semaine (1 - 7)
n+16 Minutes (0 - 59) n+22 Jour (1 - 31)
n+17 Secondes (0 - 59) n+23 Mois (1 - 12)
n+24 Année (0 - 99)
Adresse 7 0
n+26 8 1
:
: Numéro de réveil
n+31 48 41
14.1 Présentation
Définition Les zones de données utilisateur peuvent se trouver dans une zone mémoire
quelconque de l’automate S7. Les messages, les recettes et les courbes cons-
tituent des exemples de zones de données utilisateur.
Tableau 14-1 Zones de données utilisateur utilisables pour les divers pupitres de contrôle-commande
Zone de données utilisateur TD17 OP3 OP5 OP7 OP15 OP25 OP27 TP27
OP17 OP35 OP37 TP37
Messages d’événement x x x x x x x x
Messages d’alarme – – x x x x x x
Contrats automate x – x x x x x x
Recettes – x x x x x x x
Image du clavier système x x x x x x x –
Image des touches de fonction – – x x x x x –
Image des LED – – – x x x x –
Réveil – – – – x – – –
Date et heure x x x x x x x x
Numéro d’image – x x x x x x x
Version utilisateur x x x x x x x x
Zone de sélection de courbe – – – – – x x x
Zone de données de courbe – – – – – x x x
Définition Les messages sont composés de texte statique et/ou de variables. Texte et
variables peuvent être librement configurés.
Les messages se répartissent en messages d’événement et en messages
d’alarme. Le programmeur définit ce qu’est un message d’événement et ce
qu’est un message d’alarme.
Message d’alarme Un message d’alarme rend compte d’une alarme de fonctionnement, par
exemple
La vanne ne s’ouvre pas
Température moteur trop élevée
Acquittement Etant donné que les messages d’alarme signalent des états opératoires excep-
tionnels, ils doivent être acquittés. L’acquittement est réalisé au choix
par l’opérateur sur le pupitre de contrôle-commande ou
par la mise à 1 d’un bit dans la zone d’acquittement de l’automate S7.
Déclenchement Le déclenchement d’un message est réalisé par la mise à 1 d’un bit dans
d’un message l’une des zones de messages du S7. L’emplacement des zones de messages
est défini à l’aide de l’outil de configuration. La zone correspondante doit
également être déclarée dans l’automate S7.
Dès que le bit est mis à 1 dans la zone de messages d’événement ou d’alarme
de l’automate et que cette zone est transmise au pupitre de contrôle-com-
mande, ce dernier reconnaît que le message correspondant est ”apparu”.
Réciproquement, lorsque le même bit est remis à zéro dans l’automate, le
pupitre de contrôle-commande considère que le message a ”disparu”.
Correspondance Un message peut être configuré pour chaque bit de la zone de messages confi-
entre bit de gurée. Les bits sont affectés par ordre croissant aux numéros de message.
message et
Exemple :
numéro de
message On suppose que l’on a configuré la zone de messages d’événement suivante
pour l’automate SIMATIC S7 :
DB 60 Adresse 42 Longueur 5 (en mots)
La figure 14-1 montre la correspondance entre les numéros de message, au
total 80 (5 x 16), et les divers numéros de bit dans la zone de messages d’évé-
nement de l’automate.
Cette correspondance est réalisée automatiquement dans le pupitre de contrô-
le-commande.
Zones Si l’automate S7 doit être informé de l’acquittement d’un message d’alarme sur
d’acquittement le pupitre de contrôle-commande ou si le S7 doit acquitter lui-même des messa-
ges, vous devez déclarer les zones d’acquittement correspondantes dans le S7 :
Zone d’acquittement pupitre de contrôle-commande → S7 :
L’automate est informé par l’intermédiaire de cette zone du fait qu’un
message d’alarme a été acquitté par l’opérateur du pupitre.
Zone d’acquittement S7 → pupitre de contrôle-commande :
Cette zone permet à l’automate d’acquitter un message d’alarme.
Ces zones d’acquittement doivent également être indiquées dans la configu-
ration sous Zones de communication.
La figure 14-2 schématise les diverses zones de messages d’alarme et d’ac-
quittement. Le déroulement des opérations d’acquittement est présenté dans
les figures 14-4 et 14-5.
Zone d’acquittement
pupitre ! S7
Correspondance Chaque message d’alarme est doté d’un numéro de message. Ce numéro de
entre bit d’acquit- message est affecté respectivement au même bit x de la zone de messages
tement et numéro d’alarme et au même bit x de la zone d’acquittement. Cela est également
de message valable en cas d’utilisation de plusieurs zones d’acquittement lorsque la lon-
gueur de la zone d’acquittement précédente n’est pas égale à la longueur to-
tale de la zone de messages d’alarme correspondante.
Cette correspondance est mise en évidence dans la figure 14-3.
Message d’alarme no 1 Bit d’acquittement du message d’alarme no 1
Message d’alarme no 49 Bit d’acquittement du message d’alarme no 49
Zone Lorsque l’automate met à 1 un bit dans cette zone, le message d’alarme cor-
d’acquittement respondant est acquitté sur le pupitre de contrôle-commande. Remettez en-
S7 → pupitre suite ce bit à zéro quand vous remettez à zéro le bit dans la zone de messages
d’alarme. La figure 14-4 représente le chronogramme correspondant.
La zone d’acquittement S7 → pupitre de contrôle-commande
doit se raccorder directement à la zone de messages d’alarme correspondante,
doit avoir exactement le même temps de scrutation et
peut avoir au plus la même longueur que la zone de messages d’alarme
correspondante.
Si la zone d’acquittement S7 → pupitre de contrôle-commande ne se trouve
pas physiquement immédiatement après la zone de messages d’alarme, le
message système $655 est émis lors du démarrage du pupitre de contrôle-
commande.
Zone d’acquittement
S7 → pupitre
Acquittement par le S7
Zone Lorsqu’un bit est mis à 1 dans la zone de messages d’alarme, le pupitre de
d’acquittement contrôle-commande remet à zéro le bit correspondant dans la zone d’acquit-
pupitre → S7 tement. Si le message d’alarme est acquitté sur le pupitre de contrôle-com-
mande, le bit est mis à 1 dans la zone d’acquittement. L’automate S7 peut
ainsi détecter que le message d’alarme a été acquitté. La figure 14-5 repré-
sente le chronogramme correspondant.
La zone d’acquittement pupitre → S7 peut avoir au plus la même longueur
que la zone de messages d’alarme correspondante.
Zone d’acquittement
pupitre → S7
Taille des zones Les zones d’acquittement S7 → pupitre et pupitre → S7 ne doivent pas être
d’acquittement plus grandes que la zone de messages d’alarme correspondante. Elles peuvent
toutefois être déclarées plus petites, lorsque certains messages d’alarme ne
doivent pas être acquittés par l’automate. Ce cas est mis en évidence dans la
figure 14-6.
Zone de messages Zone raccourcie
Messages d’alarme d’acquittement des
d’alarme qui alarmes
peuvent être
acquittés
Messages
d’alarme qui ne
peuvent pas être
acquittés
Nota
Placez les messages d’alarme importants dans la zone de messages d’alarme
à partir du bit 0 dans l’ordre croissant.
Utilisation Les actions sur des touches du pupitre de contrôle-commande peuvent être
transférées vers l’automate S7 et y être exploitées. Il est ainsi possible, par
exemple, de déclencher une action dans l’automate, comme le démarrage
d’un moteur.
Les touches de fonction des pupitres opérateurs (OP) sont pourvues de diodes
électroluminescentes (LED). Ces LED peuvent être commandées à partir de
l’automate S7. Il est ainsi possible de signaler, en allumant la diode corres-
pondante selon le contexte, la touche sur laquelle l’opérateur doit appuyer.
Condition Pour pouvoir exploiter l’actionnement des touches et commander les LED, il
préalable faut que les zones de données correspondantes – les images mémoire ou, plus
brièvement, les images – soient déclarées dans l’automate S7 et qu’elles soient
définies comme zones de communication dans la configuration.
Transfert Les images du clavier sont transférées spontanément vers l’automate S7. Cela
signifie que le transfert est effectué chaque fois qu’une modification est dé-
tectée sur l’OP. Il n’est donc pas nécessaire de configurer un temps de scruta-
tion. Il est possible de transférer au maximum deux actions simultanées sur
des touches.
= Touche SHIFT
enfoncée
Nota
Si le pupitre de contrôle-commande est arrêté ou séparé de l’automate S7
alors qu’une touche est enfoncée, le bit correspondant reste à 1 dans l’image
du clavier.
Structure L’image du clavier système est une zone de données de longueur fixe. Cette
longueur dépend du pupitre de contrôle-commande. Les diverses longueurs
sont indiquées dans le tableau 14-3.
Numéro de bit
15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0
( ): INS A–Z
\
+/– . AĆZ DEL 1er mot
ENTER ESC ACK HELP
Y Z Q R I J A B TAB G H E F C D O P M N K L W X U V S T = , 2e mot
+ - * / 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0
réservé 3e mot
Nota
Les bits non utilisés ne doivent pas être écrasés par le programme utilisateur.
Bit global de Le bit global de clavier sert de bit de contrôle. Il est mis à 1 lors de chaque
clavier transfert de l’image du clavier du pupitre de contrôle-commande vers l’auto-
mate et doit être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la
zone de données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme utilisateur de détec-
ter si l’image du clavier système a été de nouveau transmise.
Zones de données Les pupitres opérateurs sont dotés de touches de fonction auxquelles vous
pouvez associer une image dans l’automate. L’image des touches de fonction
peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes dont le nombre et
la longueur dépendent de l’OP.
Affectation des L’affectation des diverses touches aux bits des zones de données est détermi-
touches née lors de la configuration des touches de fonction. A cette occasion, il faut
entrer pour chaque touche le numéro au sein de la zone image.
L’image des touches de fonction doit être également entrée dans la configura-
tion sous Zones de communication, Type : Clavier fonction.
Bit global de Le bit 7 du dernier mot de données de chaque zone de données est le bit
clavier global de clavier. Il sert de bit de contrôle. Le bit global de clavier est mis à
1 lors de chaque transfert de l’image du clavier de l’OP vers l’automate. Il
doit être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la zone de
données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme utilisateur de détec-
ter si un bloc a été de nouveau transféré.
Zones de données L’image des LED peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes,
comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
L’image des LED doit également être entrée dans la configuration sous Zones
de communication, Type : Image des LED.
Affectation L’affectation des diverses diodes électroluminescentes aux bits des zones de
des LED données est déterminée lors de la configuration des touches de fonction. A
cette occasion, il faut entrer pour chaque LED le numéro de bit au sein de la
zone image.
Le numéro de bit (n) désigne le premier de deux bits successifs qui comman-
dent un total de quatre états différents de la LED (voir le tableau 14-4) :
Tableau 14-4 Fréquence de clignotement des LED pour toutes les OP exepté OP17
Sur l’OP17, les touches K disposent de LED bicolores (rouge/vert). Les états
de LED qui en résultent sont décrits dans le tableau 14-5.
Condition Pour utiliser la zone de numéros d’image, vous devez la déclarer comme
préalable Zone de communication dans la configuration. Elle ne peut être déclarée
qu’une seule fois dans un seul automate.
La zone de numéros d’image est transférée de manière spontanée vers l’auto-
mate. Cela signifie que le transfert a lieu à chaque fois qu’une modification
est détectée sur le pupitre de contrôle-commande. Il n’est donc pas nécessaire
de configurer un temps de scrutation.
Structure La zone de numéros d’image est une zone de données de longueur fixe. Cette
longueur dépend du pupitre de contrôle-commande. Les diverses longueurs
sont indiquées dans le tableau 14-6.
OP5/15, OP7/17 :
Entrée Affectation
type de l’image active 1 : image
2 : recette
3 : image spéciale
numéro de l’image/recette active 1 à 99
numéro de l’entrée active 1 à 99
numéro du champ de saisie actif 0 à 8,
0 : numéro d’entrée
Dans le cas des images spéciales, la zone de numéros d’image prend les af-
fectations suivantes :
Entrée Affectation
Type de l’image active 1 : image
4 : fenêtre permanente
5 : fenêtre des messages d’alarme
6 : fenêtre des messages d’événement
Numéro de l’image active 1 à 65535
Numéro du champ de saisie actif 1 à 65535
Pour les images spéciales, le numéro de l’image active est affecté de la ma-
nière suivante :
Valeur Signification
1 page des messages d’alarme
2 page des messages d’événement
3 tampon des messages d’alarme
4 tampon des messages d’événement
Courbes Une courbe est une représentation graphique de valeurs de l’automate. Selon
la configuration, la lecture de la valeur est déclenchée par un bit ou par hor-
loge.
Courbes Le pupitre de contrôle-commande lit soit une valeur de courbe, soit la totalité
déclenchées par du tampon de courbe, lorsqu’un bit de déclenchement est mis à 1. Cela est
bit déterminé dans la configuration. Les courbes déclenchées par bit sont en gé-
néral utilisées pour des valeurs soumises à des variations rapides. La pression
d’injection lors de la fabrication de pièces en plastique en constitue en exem-
ple.
Pour le déclenchement de ces courbes, vous devez définir des zones corres-
pondantes dans la configuration (sous Zones de communication)) et les décla-
rer dans l’automate. Ces zones permettent au pupitre de contrôle-commande
et à l’automate de communiquer.
Les zones nécessaires sont :
– la zone de sélection de courbe
– la zone de données de courbe 1
– la zone de données de courbe 2
(n’est nécessaire qu’avec le tampon commuté)
Le même bit est attribué de manière permanente à chaque courbe dans ces
zones configurées. Cela permet d’identifier de manière univoque chaque
courbe dans toutes les zones.
Tampon commuté Le tampon commuté est un second tampon utilisé pour la même courbe. Il
peut être déclaré dans la configuration.
Pendant que le pupitre de contrôle-commande lit les valeurs dans le tampon
1, l’automate écrit dans le tampon 2. Lorsque le pupitre lit dans le tampon 2,
l’automate écrit dans le tampon 1. Cela évite que l’automate n’écrase les va-
leurs de courbe pendant que le pupitre les lit.
Répartition des Les diverses zones – sélection de courbe, données de courbe 1 et 2 – peuvent
zones de données être réparties en des zones de données distinctes dont le nombre maximal et
la longueur totale sont prédéfinis (voir le tableau 14-7).
Zones de données
Sélection Données
1 2
Nombre maximal par type 8 8 8
Longueur totale de toutes les zones de 8 8 8
données (en mots)
Zone de sélection Lorsqu’une image avec une ou plusieurs courbes est ouverte sur le pupitre de
de courbe contrôle-commande, ce dernier met à 1 les bits correspondants dans la zone
de sélection de courbe. Lorsque l’image est refermée, le pupitre remet à zéro
les bits correspondants dans la zone de sélection de courbe.
La zone de sélection de courbe peut être exploitée dans l’automate pour sa-
voir quelle courbe est actuellement affichée sur le pupitre. Les courbes peu-
vent également être déclenchées sans exploitation de la zone de sélection de
courbe.
Zone de données Cette zone est destinée au déclenchement de courbes. Mettez à 1 le bit asso-
de courbe 1 cié à la courbe dans la zone de données de courbe, ainsi que le bit global de
courbe, avec le programme du S7. Le pupitre de contrôle-commande détecte
le déclenchement et remet à zéro le bit de courbe et le bit global. Il lit ensuite
une valeur ou la totalité du tampon, selon la configuration.
Exemple de zone de données de courbe d’une longueur de 2 DW
Numéro de bit
Zone de données La zone de données de courbe 2 est nécessaire pour les courbes pour lesquelles
de courbe 2 un tampon commuté a été configuré. Elle a exactement la même structure que
la zone de données de courbe 1.
14.7 Recettes
Nota
Dans le cas des afficheurs graphiques, seules les variables sont utilisées pour
le transfert des enregistrements. Pour transférer un enregistrement d’un sup-
port de données (par exemple mémoire flash ou disquette) vers le S7, vous
devez tout d’abord le charger dans les variables (memoire interne dans le
pupitre de contrôle–commande).
Synchronisation L’une des caractéristiques essentielles des recettes est que les données sont
transférées de manière synchronisée et qu’un écrasement incontrôlé des don-
nées est évité. La coordination du transfert des enregistrements est garantie
par la mise à 1 de certains des bits de commande et de compte rendu 2 de la
zone d’interface.
Transfert direct Lors de l’écriture d’un enregistrement, les variables de ce dernier sont écrites
directement dans les adresses respectivement définies. Lors de la lecture di-
recte, les variables sont lues dans les mémoires cibles de l’automate et écrites
dans le pupitre de contrôle-commande.
Avec ProTool, les variables destinées au transfert direct doivent posséder à la
fois une liaison à l’automate et l’attribut Ecriture directe. Les varia-
bles auxquelles aucune adresse n’est affectée dans l’automate ne sont pas
transférées.
Transfert indirect Toutes les variables de l’enregistrement sont écrites dans une mémoire inter-
médiaire de l’automate, le tampon de données. Le tampon de données ne
contient que les valeurs des variables, les adresses ne sont pas transférées.
Lors de l’écriture d’un enregistrement, les variables sont écrites dans la mé-
moire intermédiaire. Lors de la lecture d’un enregistrement, le programme de
l’automate doit tout d’abord écrire les variables dans la mémoire intermé-
diaire. Le pupitre de contrôle-commande lit alors les variables dans celle-ci.
Dans le cas du transfert indirect, la longueur maximale de l’enregistrement
est de 190 mots de données.
Tampon de données :
Pupitres à Trois identifications vous permettent d’identifier une recette dans l’automate.
afficheur Les identifications peuvent être librement définies. Nous vous recomman-
graphique dons d’entrer comme première identification la même valeur que le numéro
de la recette.
Dans ProTool, vous entrez la désignation de la recette dans la boîte de dialo-
gue Paramètres sous Identifications. ProTool inscrit automatiquement le nu-
méro de la recette dans la première identification. Les identifications sont
écrites dans le tampon de données lors du transfert d’enregistrement du pupi-
tre vers l’automate. Elle peuvent être exploitées par l’automate.
Lorsque vous créez des enregistrements sur le pupitre, vous leur attribuez un
nom symbolique. Ce dernier n’est pas transféré lors du transfert d’enregistre-
ment entre pupitre et automate. L’enregistrement ne dispose d’aucune identi-
fication dans l’automate.
Tampon de données :
Vous devez réserver une zone pour le tampon de données dans l’automate.
Utilisez à cette occasion les mêmes entrées que celles définies dans la confi-
guration avec ProTool sous Zones de communication. La figure suivante re-
présente la structure du tampon de données.
Les mots de données à partir du mot 6 ne sont perinents que lors d’un trans-
fert indirect.
Etape 6 : Les bits mis à 1 dans les étapes 3 et 4 sont remis à zéro par le pupitre de
contrôle-commande.
Etape 1 : Le bit 0 est contrôlé par le pupitre. Si le bit 0 vaut 1 (= tampon de données
verrouillé), le transfert est terminé sur un message d’erreur système. Si le bit
0 vaut 0, le pupitre met le bit à 1.
Etape 5 : Le pupitre lit l’enregistrement dans le tampon de données, puis remet les bits
suivants à zéro : bit 3, bit 2 ou 1 (selon l’acquittement), bit 0.
Si la configuration standard a été intégrée au projet
d’un pupitre à afficheur graphique, la procédure de
transfert ci-dessus correspond à l’utilisation de la tou-
che ci-contre dans l’image standard Z_RECORD_2.
Transfert par Pour les pupitres à afficheur de lignes, le contrat automate n 70 permet de
contrat automate transférer un enregistrement du pupitre vers l’automate. Le contrat automate
pour les afficheurs 69 déclenche, quant à lui, le transfert de l’automate vers le pupitre.
de lignes
Exemple Vous trouverez ci-après un exemple d’utilisation du contrat automate nº 70
pour un OP7 couplé à un SIMATIC S7-200. Il indique les étapes à suivre sur
l’OP7, puis sur l’automate.
OP7
1. Configurez les variables pour la recette.
2. Configurez la recette, c’est-à-dire définissez des textes et des variables.
3. Configurez une image permettant d’éditer et de transférer la recette. Défi-
nissez pour cela deux touches de fonction. Attribuez la fonction Répertoi-
re de recettes avec le paramètre 2 (éditer) à l’une des touches de fonction.
Attribuez la fonction Répertoire de recettes avec le paramètre 7 (transfé-
rer) à l’autre touche.
4. Configurez les deux zones de communication Zone d’interface et Tampon
de données.
Principe Dans le cas des pupitres à afficheur graphique, vous pouvez configurer des
variables indirectes associées à des champs de saisie. La valeur est saisie par
l’opérateur directement sur le pupitre. Après la saisie sur le pupitre, les
contenus de ces variables sont transférés de manière coordonnée dans le tam-
pon de données de l’automate.
Utilisation Les variables indirectes peuvent être utilisées dans les images comme des
variables ”normales”, c’est-à-dire comme des variables avec adresses.
Généralités Pour les automates de la série SIMATIC 500/505, le couplage est effectué par
l’intermédiaire du protocole propre aux automates. Il s’agit d’un couplage
point à point.
Les pupitres de contrôle-commande suivants peuvent être couplés aux auto-
mates SIMATIC 500/505 :
Limitations Le couplage RS422 au SIMATIC 575-VME n’est pas pris en charge à l’heure
connues actuelle.
Avec la série SIMATIC 500 CPU 560-2120 et CPU 560-2820, il n’est pas
possible d’accéder aux types de données S Memory (User Data Types spé-
ciaux) lors de l’utilisation de la fonction spéciale CPUs 565-2120 et
565-2820.
Pilote pour Le pilote pour le couplage au SIMATIC 500/505 est livré avec le logiciel de
SIMATIC 500/505 configuration et est installé automatiquement.
Câble standard Les câbles de connexion suivants sont disponibles pour la connexion du pupi-
tre de contrôle-commande au SIMATIC 500/505 :
à SIMATIC 500/505
V.24 V.24 RS422 RS422
de à 9 contacts à 25 contacts à 9 contacts1) à 9 contacts2)
tous les pupitres 6XV1 6XV1 – –
V.24, à 15 440-2K... 440-2L...
contacts
tous les pupitres – – 6XV1 6XV1
RS422, à 9 440-2M... 440-1M...
contacts
Zones de données Le tableau 15-2 récapitule les types de données utilisateur (User Data Types)
qui peuvent être utilisés lors de la configuration de variables et de zones de
communication. La condition préalable est que ces zones de données aient
été également déclarées pour l’unité centrale avec TISOFT.
Analog Alarm, Process Loop et Special Function sont des termes génériques
qui représentent plusieurs User Data Types (voir les tableaux 15-3 à 15-5).
Lorsque vous choisissez ces termes génériques dans la boîte de dialogue Va-
riable, vous faites apparaître une liste de sélection supplémentaire dans la-
quelle vous pouvez choisir les User Date Types proprement dits.
Temps de scruta- La structure des zones de données utilisateur décrites au chapitre 17, ainsi que
tion et temps de les temps de scrutation configurés dans les zones de communication, sont des
mise à jour facteurs essentiels pour les temps de mise à jour effectivement atteints. Le
temps de mise à jour est égal à la somme du temps de scrutation, du temps de
transfert et du temps de traitement.
Vous devez tenir compte des facteurs suivants lors de la configuration pour
obtenir des temps de mise à jour optimaux :
Définissez les diverses zones de données de sorte qu’elles soient aussi
petites que possibles et aussi grandes que nécessaire.
Si des zones de données sont utilisées ensemble, placez-les les unes à côté
des autres. Le temps de mise à jour effectif est amélioré si vous définissez
une grande zone au lieu de plusieurs petites zones.
Des temps de scrutation trop courts abaissent inutilement les performan-
ces globales. Cela est également valable pour la période de base. Choisis-
sez le temps de scrutation en fonction de la vitesse de modification des
valeurs du processus. Par exemple, la température d’un four varie beau-
coup moins vite que la vitesse de rotation d’un entraînement électrique.
Valeur indicative pour le temps de scrutation : environ 1 seconde.
Pour améliorer les temps de mise à jour, vous pouvez éventuellement renon-
cer au transfert cyclique des zones de données utilisateur (temps de scruta-
tion 0). Utilisez plutôt des contrats automate pour effectuer un transfert
spontané des zones de données utilisateur.
Placez les variables d’un message ou d’une image de manière contiguë
dans une zone de données.
Afin d’être sûr que les modifications au niveau de l’automate puissent
être détectées par le pupitre de contrôle-commande, elles doivent être
maintenues pendant une durée au moins égale au temps de scrutation ef-
fectif.
Donnez la plus grande valeur possible à la vitesse de transmission.
Images Dans le cas des courbes déclenchées par bit, si le bit global est mis à un dans
la zone de données de courbe, le pupitre de contrôle-commande actualise
chaque fois toutes les courbes dont le bit est à 1 dans cette zone. Il remet en-
suite le bit à zéro. Si le programme de l’automate remet aussitôt le bit à 1, le
pupitre est constamment en train d’actualiser les courbes. Il n’est alors prati-
quement plus possible de dialoguer avec le pupitre de contrôle-commande.
Condition Dans le cas de l’automate SIMATIC 500/505, la zone d’interface n’est néces-
saire que si les fonctions qu’elle contient doivent être utilisées ou exploitées
par le SIMATIC 500/505. La zone d’interface doit être configurée lorsque
vous utilisez les fonctions suivantes :
– envoi de contrats automate au pupitre de contrôle-commande
– mise à la même date et heure du SIMATIC 500/505 et du pupitre de
contrôle-commande
– exploitation de l’identificateur de couplage
– recettes (transfert d’enregistrements)
– détection du démarrage du pupitre de contrôle-commande dans le pro-
gramme de l’automate
– exploitation du mode de marche du pupitre de contrôle-commande
dans le programme de l’automate
– exploitation du bit de vie du pupitre de contrôle-commande dans le
programme de l’automate
Nota
La structure de la zone d’interface est la même pour tous les pilotes de type
NATIVE.
Zone d’interface :
Adresse 1 16
n+0 Bits de commande
n+1 réservé
n+2
Boîte de
contrat
n+5
n+6 Bits de compte rendu
n+7 réservé
n+8 Numéro de version
n+9
Heure
n+11
n+12
Date
n+14
n+15
réservé
n+25
Signification Les bits de commande et de compte rendu synchronisent le transfert des zo-
nes de données utilisateur qui se trouvent aussi bien dans la zone d’interface
que dans des zones mémoire quelconques, par exemple le tampon de don-
nées. La boîte de contrat, l’identificateur de couplage, la date et l’heure sont
des zones de données utilisateur qui se trouvent directement dans la zone
d’interface.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16
Généralités Cette section décrit la structure et l’utilisation des zones de données utilisa-
teur qui se trouvent dans la zone d’interface.
Le SIMATIC 500/505 utilise la boîte de contrat pour déclencher une action
sur le pupitre de contrôle-commande. Tous les autres octets sont des zones
dans lesquelles le pupitre de contrôle-commande écrit des données. Ces zo-
nes peuvent être exploitées par le programme du SIMATIC 500/505. Les
mots de données sont décrits en détail ci-après.
Boîte de contrat:
1 16
Heure
n+10 Minutes (0...59) Secondes (0...59)
n+11 non attribué
n+12 non attribué Jour de la sem. (1 – 7)
Date
n+13 Jour (1...31) Mois (1...12)
n+14 Année (0...99) non attribué
Pour pouvoir détecter quand la date et l’heure ont été transférés, vous devez
mettre les mots de données à 0 avant d’envoyer le contrat automate.
Nota
La structure de la zone d’interface est la même pour tous les pilotes de type
NATIVE.
17.1 Présentation
Définition Les zones de données utilisateur peuvent se trouver dans une zone mémoire
quelconque de l’automate SIMATIC 500/505. Les messages, les recettes et
les courbes constituent des exemples de zones de données utilisateur.
Tableau 17-1 Zones de données utilisateur utilisables pour les divers pupitres de contrôle-commande
Définition Les messages sont composés de texte statique et/ou de variables. Texte et
variables peuvent être librement configurés.
Les messages se répartissent en messages d’événement et en messages
d’alarme. Le programmeur définit ce qu’est un message d’événement et ce
qu’est un message d’alarme.
Message d’alarme Un message d’alarme rend compte d’une alarme de fonctionnement, par
exemple
La vanne ne s’ouvre pas
Température moteur trop élevée
Acquittement Etant donné que les messages d’alarme signalent des états opératoires excep-
tionnels, ils doivent être acquittés. L’acquittement est réalisé au choix
par l’opérateur sur le pupitre de contrôle-commande ou
par la mise à 1 d’un bit dans la zone d’acquittement de l’automate.
Déclenchement Le déclenchement d’un message est réalisé par la mise à 1 d’un bit dans
d’un message l’une des zones de messages de l’automate SIMATIC 500/505. L’emplace-
ment des zones de messages est défini à l’aide de l’outil de configuration. La
zone correspondante doit également être déclarée dans le SIMATIC 500/505.
Dès que le bit est mis à 1 dans la zone de messages d’événement ou d’alarme
de l’automate et que cette zone est transmise au pupitre de contrôle-com-
mande, ce dernier reconnaît que le message correspondant est ”apparu”.
Réciproquement, lorsque le même bit est remis à zéro dans l’automate, le
pupitre de contrôle-commande considère que le message a ”disparu”.
Correspondance Un message peut être configuré pour chaque bit de la zone de messages
entre bit de configurée. Les bits sont affectés par ordre croissant aux numéros de mes-
message et sage.
numéro de
Exemple :
message
On suppose que l’on a configuré la zone de messages d’événement suivante
pour l’automate SIMATIC 500/505 :
V 43 Longueur 5 (en mots)
La figure 17-1 montre la correspondance entre les numéros de message, au
total 80 (5 16), et les divers numéros de bit dans la zone de messages d’évé-
nement de l’automate.
Cette correspondance est réalisée automatiquement dans le pupitre de contrô-
le-commande.
Zone d’acquittement
pupitre ! API
Correspondance Chaque message d’alarme est doté d’un numéro de message. Ce numéro de
entre bit d’acquit- message est affecté respectivement au même bit x de la zone de messages
tement et numéro d’alarme et au même bit x de la zone d’acquittement. La zone d’acquittement
de message a normalement la même longueur que la zone de messages d’alarme corres-
pondante.
Si la longueur d’une zone d’acquittement n’est pas égale à la longueur totale
de la zone de messages d’alarme correspondante et s’il existe d’autres zones
d’alarmes et d’acquittement, on a la correspondance suivante :
Message d’alarme no 16 Bit d’acquittement du message d’alarme no 16
Message d’alarme no 64 Bit d’acquittement du message d’alarme no 64
Zone Lorsque l’automate met à 1 un bit dans cette zone, le message d’alarme cor-
d’acquittement respondant est acquitté sur le pupitre de contrôle-commande. Remettez en-
API → pupitre suite ce bit à zéro quand vous remettez à zéro le bit dans la zone de messages
d’alarme. La figure 17-4 représente le chronogramme correspondant.
La zone d’acquittement API → pupitre de contrôle-commande
doit se raccorder directement à la zone de messages d’alarme correspondante,
doit avoir exactement le même temps de scrutation et
peut avoir au plus la même longueur que la zone de messages d’alarme
correspondante.
Si la zone d’acquittement API → pupitre de contrôle-commande ne se trouve
pas physiquement immédiatement après la zone de messages d’alarme, le
message système $655 est émis lors du démarrage du pupitre de contrôle-
commande.
Zone d’acquittement
API → pupitre
Acquittement par l’API
Zone Lorsqu’un bit est mis à 1 dans la zone de messages d’alarme, le pupitre de
d’acquittement contrôle-commande remet à zéro le bit correspondant dans la zone d’acquit-
pupitre → API tement. Si le message d’alarme est acquitté sur le pupitre de contrôle-com-
mande, le bit est mis à 1 dans la zone d’acquittement. L’automate peut ainsi
détecter que le message d’alarme a été acquitté. La figure 17-5 représente le
chronogramme correspondant.
La zone d’acquittement pupitre → API peut avoir au plus la même longueur
que la zone de messages d’alarme correspondante.
Zone d’acquittement
pupitre → API
Taille des zones Les zones d’acquittement API → pupitre et pupitre → API ne doivent pas
d’acquittement être plus grandes que la zone de messages d’alarme correspondante. Elles
peuvent toutefois être déclarées plus petites, lorsque certains messages
d’alarme ne doivent pas être acquittés par l’automate. Ce cas est mis en évi-
dence dans la figure 17-6.
Zone de messages Zone raccourcie d’acquittement
Messages d’alarme des alarmes
d’alarme qui
peuvent être
acquittés
Messages
d’alarme qui ne
peuvent pas être
acquittés
Nota
Placez les messages d’alarme importants dans la zone de messages d’alarme
à partir du bit 1 dans l’ordre croissant.
Les deux bits correspondants de la zone de messages d’alarme et de la zone
d’acquittement ne doivent pas être mis à 1 en même temps.
Utilisation Les actions sur des touches du pupitre de contrôle-commande peuvent être
transférées vers l’automate et y être exploitées. Il est ainsi possible, par
exemple, de déclencher une action dans l’automate, comme le démarrage
d’un moteur.
Les touches de fonction des pupitres opérateurs (OP) sont pourvues de diodes
électroluminescentes (LED). Ces LED peuvent être commandées à partir de
l’automate. Il est ainsi possible de signaler, en allumant la diode correspon-
dante selon le contexte, la touche sur laquelle l’opérateur doit appuyer.
Condition Pour pouvoir exploiter l’actionnement des touches et commander les LED, il
préalable faut que les zones de données correspondantes – les images mémoire ou, plus
brièvement, les images – soient déclarées dans l’automate et qu’elles soient
définies comme zones de communication dans la configuration.
Transfert Les images du clavier sont transférées spontanément vers l’automate. Cela
signifie que le transfert est effectué chaque fois que l’opérateur appuie sur
une touche du pupitre de contrôle-commande. Il n’est donc pas nécessaire de
configurer un temps de scrutation. Il est possible de transférer au maximum
deux actions simultanées sur des touches.
Nota
Si le pupitre de contrôle-commande est arrêté ou séparé de l’automate alors
qu’une touche est enfoncée, le bit correspondant reste à 1 dans l’image du
clavier.
Structure L’image du clavier système est une zone de données de longueur fixe à 3
mots de données.
A chaque touche du clavier système est associé exactement un bit dans
l’image du clavier système.
L’image du clavier système doit être également entrée dans la configuration
sous Zones de communication, Type : Clavier système. Cette image ne peut
être déclarée qu’une seule fois dans un seul automate.
réservé 3e mot
Nota
Les bits non utilisés ne doivent pas être écrasés par le programme utilisateur.
Bit global de Le bit global de clavier sert de bit de contrôle. Il est mis à 1 lors de chaque
clavier transfert de l’image du clavier du pupitre de contrôle-commande vers l’auto-
mate et doit être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la
zone de données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme utilisateur de détec-
ter si l’image du clavier système a été de nouveau transmise.
Zones de données Les pupitres opérateurs sont dotés de touches de fonction auxquelles vous
pouvez associer leur image dans l’automate. L’image des touches de fonction
peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes dont le nombre et
la longueur dépendent de l’OP.
L’image des touches de fonction doit être également entrée dans la configura-
tion sous Zones de communication, Type : Clavier fonction.
Affectation des L’affectation des diverses touches aux bits des zones de données est détermi-
touches née lors de la configuration des touches de fonction. A cette occasion, il faut
entrer pour chaque touche le numéro au sein de la zone image.
Bit global de Le bit 16 du dernier mot de données de chaque zone de données est le bit
clavier global de clavier. Il sert de bit de contrôle. Le bit global de clavier est mis à
1 lors de chaque transfert de l’image du clavier de l’OP vers l’automate. Il
doit être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la zone de
données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme utilisateur de détec-
ter si un bloc a été de nouveau transféré.
Zones de données L’image des LED peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes,
comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
L’image des LED doit également être entrée dans la configuration sous Zones
de communication, Type : Image des LED.
Affectation des L’affectation des diverses diodes électroluminescentes aux bits des zones de
LED données est déterminée lors de la configuration des touches de fonction. A
cette occasion, il faut entrer pour chaque LED le numéro de bit au sein de la
zone image.
Le numéro de bit (n) désigne le premier de deux bits successifs qui comman-
dent un total de quatre états différents de la LED (voir le tableau suivant) :
Tableau 17-3 Fréquence de clignotement des LED pour toutes les OP exepté OP17
Sur l’OP17, les touches K disposent de LED bicolores (rouge/vert). Les états
de LED qui en résultent sont décrits dans le tableau 17-4.
Condition Pour utiliser la zone de numéros d’image, vous devez la déclarer comme
préalable Zone de communication dans la configuration. Elle ne peut être créée que
dans un seul automate et une seule fois dans celui-ci.
La zone de numéros d’image est transférée de manière spontanée vers l’auto-
mate. Cela signifie que le transfert a lieu à chaque fois qu’une modification
est détectée sur l’OP. Il n’est donc pas nécessaire de configurer un temps de
scrutation.
Structure La zone de numéros d’image est une zone de données de longueur fixe. Cette
longueur dépend du pupitre de contrôle-commande. Les diverses longueurs
sont indiquées dans le tableau 17-5.
OP7/17 :
Entrée Affectation
type de l’image active 1 : image
2 : recette
3 : image spéciale
numéro de l’image/recette active 1 à 99
numéro de l’entrée active 1 à 99
numéro du champ de saisie actif 0 à 8,
0 : numéro d’entrée
Dans le cas des images spéciales, la zone de numéros d’image prend les af-
fectations suivantes :
1 8 9 16
1er mot 3 numéro de l'image spéciale
2e mot FFH n° du champ de saisie actif
Entrée Affectation
type de l’image active 1 : image
4 : fenêtre permanente
5 : fenêtre des messages d’alarme
6 : fenêtre des messages d’événement
numéro de l’image active 1 à 65535
numéro du champ de saisie actif 1 à 65535
Pour les images spéciales, le numéro de l’image active est affecté de la ma-
nière suivante :
Valeur Signification
1 page des messages d’alarme
2 page des messages d’événement
3 tampon des messages d’alarme
4 tampon des messages d’événement
Courbes Une courbe est une représentation graphique de valeurs de l’automate. Selon
la configuration, la lecture de la valeur est déclenchée par un bit ou par hor-
loge.
Courbes Le pupitre de contrôle-commande lit soit une valeur de courbe, soit la totalité
déclenchées par du tampon de courbe, lorsqu’un bit de déclenchement est mis à 1. Cela est
bit déterminé dans la configuration. Les courbes déclenchées par bit sont en gé-
néral utilisées pour des valeurs soumises à des variations rapides. La pression
d’injection lors de la fabrication de pièces en plastique en constitue en exem-
ple.
Pour le déclenchement de ces courbes, vous devez définir des zones corres-
pondantes dans la configuration (sous Zones de communication)et les décla-
rer dans l’automate. Ces zones permettent au pupitre de contrôle-commande
et à l’automate de communiquer.
Les zones nécessaires sont :
– la zone de sélection de courbe
– la zone de données de courbe 1
– la zone de données de courbe 2
(n’est nécessaire qu’avec le tampon commuté)
Le même bit est attribué de manière permanente à chaque courbe dans ces
zones configurées. Cela permet d’identifier de manière univoque chaque
courbe dans toutes les zones.
Tampon commuté Le tampon commuté est un second tampon utilisé pour la même courbe. Il
peut être déclaré dans la configuration.
Pendant que le pupitre de contrôle-commande lit les valeurs dans le tampon
1, l’automate écrit dans le tampon 2. Lorsque le pupitre lit dans le tampon 2,
l’automate écrit dans le tampon 1. Cela évite que l’automate n’écrase les va-
leurs de courbe pendant que le pupitre les lit.
Répartition des Les diverses zones – sélection de courbe, données de courbe 1 et 2 – peuvent
zones de données être réparties en des zones de données distinctes dont le nombre maximal et
la longueur totale sont prédéfinis (voir le tableau 17-6).
Zones de données
Sélection Données
1 2
Nombre maximal par type 8 8 8
Longueur totale de toutes les zones de 8 8 8
données (en mots)
Zone de sélection Lorsqu’une image avec une ou plusieurs courbes est ouverte sur le pupitre de
de courbe contrôle-commande, ce dernier met à 1 les bits correspondants dans la zone
de sélection de courbe. Lorsque l’image est refermée, le pupitre remet à zéro
les bits correspondants dans la zone de sélection de courbe.
La zone de sélection de courbe peut être exploitée dans l’automate pour sa-
voir quelle courbe est actuellement affichée sur le pupitre. Les courbes peu-
vent également être déclenchées sans exploitation de la zone de sélection de
courbe.
Zone de données Cette zone est destinée au déclenchement de courbes. Mettez à 1 dans le pro-
de courbe 1 gramme de l’automate le bit affecté à la courbe dans la zone de données de
courbe et le bit global de courbe. Le pupitre de contrôle-commande détecte le
déclenchement et remet à zéro le bit de courbe et le bit global de courbe. Il
lit ensuite une valeur ou la totalité du tampon, selon la configuration.
Zone de données La zone de données de courbe 2 est nécessaire pour les courbes pour lesquelles
de courbe 2 un tampon commuté a été configuré. Elle a exactement la même structure que
la zone de données de courbe 1.
17.7 Recettes
Nota
Dans le cas des afficheurs graphiques, seules les variables sont utilisées pour
le transfert des enregistrements. Pour transférer un enregistrement d’un sup-
port de données (par exemple mémoire flash ou disquette) vers l’automate,
vous devez tout d’abord le charger dans les variables.
Synchronisation L’une des caractéristiques essentielles des recettes est que les données sont
transférées de manière synchronisée et qu’un écrasement incontrôlé des don-
nées est évité. Des bits sont mis à 1 dans la zone de bits de commande et de
compte rendu de la zone d’interface afin de garantir un déroulement coor-
donné lors du transfert des enregistrements.
Tampon de données :
Pupitres à Trois identifications vous permettent d’identifier une recette dans l’automate.
afficheur Les identifications peuvent être librement définies. Nous vous recomman-
graphique dons d’entrer comme première identification la même valeur que le numéro
de la recette.
Dans ProTool, vous entrez la désignation de la recette dans la boîte de dialo-
gue Paramètres sous Identifications. ProTool inscrit automatiquement le nu-
méro de la recette dans la première identification. Les identifications sont
écrites dans le tampon de données lors du transfert d’enregistrement du pupi-
tre vers l’automate. Elle peuvent être exploitées par l’automate.
Lorsque vous créez des enregistrements sur le pupitre, vous leur attribuez un
nom symbolique. Ce dernier n’est pas transféré lors du transfert d’enregistre-
ment entre pupitre et automate. L’enregistrement ne dispose d’aucune identi-
fication dans l’automate.
Tampon de données :
Vous devez réserver une zone pour le tampon de données dans l’automate.
Utilisez à cette occasion les mêmes entrées que celles définies dans la confi-
guration avec ProTool sous Zones de communication. La figure suivante re-
présente la structure du tampon de données.
Bits de commande :
Bit 6 1 = l’enregistrement/la variable est défectueux
0 = l’exploitation n’a pas eu lieu
Bit 7 1 = l’enregistrement/la variable n’est pas défectueux
0 = l’exploitation n’a pas eu lieu
Transfert pupitre Les étapes suivantes décrivent le déroulement du transfert, comment le pupi-
→ API tre de contrôle-commande met à 1 les bits de synchronisation dans la zone
(déclenchement d’interface et comment le programme de l’automate doit y réagir.
sur le pupitre)
Etape 1 : Le bit 8 des bits de compte rendu est contrôlé par le pupitre de contrôle-com-
mande. Si le bit 8 vaut 1 (= tampon de données verrouillé), le transfert est
terminé avec un message d’erreur système. Si le bit 8 vaut 0, le pupitre met
le bit à 1.
Etape 2 : Le pupitre écrit les identifications dans le tampon de données. Les valeurs de
la variable sont écrites dans l’adresse configurée.
Etape 3 : Le pupitre met le bit 7 des bits de compte rendu à 1 (=transfert de données
terminé).
Etape 5 : Le pupitre met à zéro les bits 7 et 8 des bits de compte rendu.
Etape 6 : Les bits 6 et 7 doivent être remis à zéro dans le programme de l’automate.
Si la configuration standard a été intégrée au projet
d’un pupitre à afficheur graphique, la procédure de
transfert ci-dessus correspond à l’utilisation de la tou-
che ci-contre dans l’image standard Z_RECORD_2.
SIMATIC 500/505
20
Mitsubishi FX
21
Allen-Bradley
22
18.1 Présentation
Couplages pris en Les TD/OP peuvent également être couplés à d’autres automates. Les coupla-
charge ges suivants sont, entre autres, pris en charge :
SIMATIC 500/505,
série libre,
Allen-Bradley,
Mitsubishi et
Telemecaniques.
Les logiciels de gestion de blocs de données se trouvent sur une disquette qui
doit être commandée séparément.
– Pour ProTool, cette disquette s’appelle ”Drivers”.
L’installation des logiciels de gestion s’effectue à l’aide du
programme Setup
– Pour COM TEXT, cette disquette s’appelle ”Optionale Kopplungen”.
Les logiciels de gestion sont installés à l’aide d’un programme
d’installation qui se trouve sur la disquette.
Connexion Vous pouvez utiliser chaque interface du TD/OP qui est prévue pour la
physique connexion d’un automate. Les possibilités sont regroupées dans le tableau
suivant.
Nota
Siemens AG décline toute responsabilité en cas de dysfonctionnement ou de
dommages liés à l’utilisation de câbles fabriqués par vos soins ou de câbles
d’autres fabricants.
Nota
Les paramètres de l’interface ne peuvent pas être modifiés pendant le fonc-
tionnement normal.
Echange de Avec ces types de couplage, le TD/OP ne peut accéder pas librement aux
données zones de mémoire ou de périphérie, mais échange des blocs de données pré-
définis avec l’automate. L’utilisateur est responsable de la composition et de
la distribution de ces blocs de données dans l’automate.
La figure 18-1 schématise la structure de la communication avec les composants nécessaires à la com-
munication entre les automates des classes 1 ou 2 et les TD/OP
TD/OP Automate
.
..
Classe 1
4
Bloc de
données 15 Programme de l’automate 5
1 3
Zones de
Interface série
données Blocs de
données 2
utilisateur 1
d’émission
. Classe 2
Variable ..
Blocs de Mémoire
données de 3
réception
Classe 1 Dès que le TD/OP a transféré un bloc de données d’émission, l’automate doit
retourner le bloc de données de réception correspondant. Cela est réalisé, par
exemple, avec le protocole Série libre.
Nota
Un fonctionnement duplex intégral n’est pas autorisé. Cela signifie que l’au-
tomate ne peut émettre des données que lorsque le TD/OP a terminé le trans-
fert d’un bloc de données.
Avertissement
! Les zones mémoire auxquelles accèdent les blocs d’émission ne doivent pas
être utilisées à d’autres fins dans le programme de l’automate. Le TD/OP
écrit de manière cyclique dans ces zones !
Nombre de blocs Le nombre de blocs de données doit être fixé par l’utilisateur.
de données et nu- Chaque bloc de données est repéré par un numéro (0...15). Les blocs de don-
méros des blocs nées affectés d’un numéro pair (0, 2...14) sont prévus pour le transfert de
de données l’automate vers le TD/OP. Les blocs de données affectés d’un numéro impair
(1, 3 ... 15) sont destinés au transfert inverse.
Les blocs de données doivent être disponibles par paires : bloc de données 0
et 1, bloc de données 2 et 3, ...
Taille des blocs de Chaque bloc de données peut contenir un maximum de 1024 mots (2048 oc-
données tets). Pour des raisons de performances, l’utilisateur devrait toutefois se limi-
ter à 256 mots par bloc de données.
La longueur d’un bloc de données ne peut pas être configurée directement.
Elle découle respectivement de la plus haute adresse de mot utilisée.
L’ensemble des blocs de données ne doit pas dépasser le volume total de don-
nées indiqué ci-dessous :
Structure des Chaque bloc de données est composé d’un en-tête de bloc de données fixe et
blocs de données d’une zone à disposition de l’utilisateur.
No de mot Entrée
0 Numéro de bloc de données
1 Longueur de bloc de données en mots
2
: Libre pour l’utilisateur
255 (1023)
Echange des blocs Les blocs de données doivent être disponibles par paires : blocs de données 0
de données et 1, blocs de données 2 et 3, etc. Le bloc de données d’émission (numéro
impair) est transmis en premier, puis le bloc de données de réception (numéro
pair).
Cycle L’échange des blocs de données entre TD/OP et automate est effectué de ma-
nière cyclique. Un cycle commence toujours par le transfert du bloc de don-
nées 1 vers l’automate qui retourne alors le bloc de données 0 vers le TD/OP.
L’échange de tous les autres blocs de données dépend de la priorité configu-
rée (0...9) :
Priorité = 0 :
– le TD/OP a apporté une modification au bloc à émettre,
– le TD/OP a besoin, en raison du temps de scrutation configuré, d’une
zone de données ou d’une variable d’un bloc de données de réception.
Ne modifiez la priorité standard 0 que si vous avez besoin d’optimisations
spéciales.
Priorité = 1 :
– dans chaque cycle.
Priorité = 2..9 :
– dans chacun des second à neuvième cycles.
Nota
Lor s de la configuration, placez les données pourvues d’un temps de scruta-
tion dans des blocs de données qui possèdent la priorité 0. Si la priorité est
différente, le temps de scrutation demandé risque de ne pas être assuré en
raison du transfert cyclique.
Fonction Les blocs de données 0 et 1 contiennent des informations qui ont une signifi-
cation particulière pour le déroulement et la surveillance de la communica-
tion et pour le transfert de contrats automate.
Cette paire de blocs est toujours échangée de manière cyclique.
Structure du bloc Le bloc de données 0, destiné au transfert de l’automate vers le TD/OP, est
de données 0 structuré de la manière suivante :
No de mot Entrée
0 Numéro de bloc de données 0
1 Longueur du bloc de données en mots
2 Bits de commande
3 réservé
4 réservé
5
: Boîte de contrat
8
9
: Libre pour l’utilisateur
255 (1023)
Structure du bloc Le bloc de données 1, destiné au transfert du TD/OP vers l’automate, est
de données 1 structuré de la manière suivante :
No de mot Entrée
0 Numéro de bloc de données 1
1 Longueur du bloc de données en mots
2 Bits de compte-rendu
3 réservé
4 Identificateur
5
: Heure
7
8
: Date
10
11
: Bits de réveil
13
14
: réservé
18
19
: Libre pour l’utilisateur
255 (1023)
Nota
Le programme de l’automate ne doit pas accéder en écriture à des mots
réservés.
Mot
– – 13 – – – 9 8 7 6 5 – 3 2 – 0
No 2
Contrats
Transfert d’enregistrements
Bit de réveil
Date/heure
Surveillance du bit de vie
Démarrage du TD/OP
Mot
15 14 13 – – – 9 – 7 6 5 – – 2 – 0
No 2
Contrats
Transfert d’enregistrements
Bit de réveil
Date/heure
Surveillance du bit de vie
Démarrage du TD/OP
série libre 1
SIMATIC 500/505 2
. .
.. ..
Les contrats automates possibles pour les divers appareils sont indiqués en
annexe B.
Procédure recommandée :
1. L’utilisateur écrit le contrat dans la boîte de contrat.
2. L’utilisateur met à 1 le bit de commande 13 (commande transmise).
3. Le TD/OP met à 1 le bit de compte-rendu 13 (traitement du contrat en
cours).
4. Le TD/OP exploite le contrat.
5. Le TD/OP met à 1 le bit de compte-rendu 14 (contrat terminé avec erreur)
ou 15 (contrat terminé sans erreur).
6. L’utilisateur exploite les bits de compte-rendu.
7. L’utilisateur efface le bit de commande 13.
8. Le TD/OP efface les bits de compte-rendu.
Un nouveau contrat ne doit être transmis qu’après la remise à 0 du bit de
compte-rendu 13.
Heure
6 minutes (0...59) secondes (0...59)
7 non attribué
8 non attribué jour de la semaine (1...7)
Date
9 jour (1...31) mois (1...12)
10 année (0...99) non attribué
Nota
Si la surveillance du bit de vie est désactivée, le système risque de ne pas
détecter une éventuelle perturbation de la liaison sur le TD/OP. Le rétablisse-
ment automatique de la communication après suppression de la perturbation
n’est alors pas possible.
Procédure recommandée :
1. L’utilisateur met à 1 le bit de commande 3 (effectuer une surveillance du
bit de vie).
2. Le TD/OP inverse le bit de compte-rendu 2 lors de chaque cycle.
3. L’utilisateur doit copier la valeur du bit de compte-rendu 2 dans le bit de
commande 2 au cours de chaque cycle.
ou
1. L’utilisateur met à zéro le bit de commande 3 (il n’y a pas de surveillance
du bit de vie).
Pour les applications normales, la surveillance du bit de vie devrait toujours
être activée.
Désignation Les logiciels de gestion et les exemples de configuration sont contenus sur
du support de une disquette pour ProTool, respectivement pour COM TEXT :
données
S ProTool : Drivers,
S COM TEXT : Optionale Kopplungen.
Nota
S Créez une copie de la disquette originale.
S Ne travaillez qu’avec cette copie de sauvegarde.
S Conservez la disquette originale en lieu sûr.
18.4 Configuration
Pour le couplage à d’autres automates, vous devez configurer les paramètres suivants sous COM TEXT
ou ProTool :
Version utilisateur Une vérification de la version utilisateurpeut être effectuée lors du démarrage
du TD/OP pour assurer que, en cas d’utilisation de plusieurs appareils, cha-
cun d’eux est connecté au bon automate.
La valeur mémorisée dans l’automate est pour cela comparée à la valeur
configurée. En cas de non-concordance, un message système correspondant
est affiché sur le TD/OP et l’appareil redémarre.
Pour pouvoir utiliser cette fonction, vous devez entrer les valeurs suivantes
lors de la configuration du TD/OP :
Valeur de la version mémorisée dans l’automate (1...255). Ce contrôle est
supprimé si vous entrez 0 :
– ProTool : Système cible → Paramètres → Divers
– COM TEXT : Paramétrage général
Type et adresse de données de la valeur mémorisée dans l’automate :
– ProTool : Système cible → Zones de communication →
Version application utilisateur:
– COM TEXT : Liste pointeurs zones
Types de champ et Pour les types de champ et les zones de données suivants, le transfert de don-
zones de données nées est effectué aussi bien du TD/OP vers l’automate qu’en sens inverse:
valeurs de consigne/de mesure
valeurs de consigne de recette
boîte de numéros de recettes/tampon de données
Les variables ou les zones de communication correspondantes doivent être
déclarées dans des blocs de données d’émission lors de la configuration. La
même zone de données est encore une fois attribuée à cette valeur dans le
bloc de données de réception correspondant.
Priorité En plus du temps de scrutation d’une variable, vous pouvez entrer une prio-
rité pour chaque bloc de données. Cela permet un échange du couple corres-
pondant de blocs de données, indépendamment du temps de mise à jour ef-
fectivement nécessaire.
Avantage :
Les variables d’une image peuvent par exemple être mises à jour avant l’acti-
vation de cette image.
Inconvénient :
Charge inutile sur le transfert de données.
C’est pourquoi il faut normalement toujours définir la priorité 0. La vitesse
de mise à jour des données est alors uniquement déterminée par le temps de
scrutation.
Optimisation des Il est conseillé de suivre les recommandations ci-dessous afin de maintenir la
performances charge sur l’interface à un niveau aussi bas que possible :
Les zones de données qui sont exploitées constamment (par exemple les
zones de messages, l’image des LED) doivent si possible se trouver dans
le bloc de données 0 ou être transférées de manière cyclique en étant re-
groupées dans un autre bloc de données. La priorité sélectionnée doit
alors correspondre approximativement au temps de scrutation nécessaire
(en fonction du volume total de données transmises et des paramètres de
l’interface, en particulier de la vitesse de transmission).
Les variables processus qui sont mises à jour en fonction de l’état de
fonctionnement (par exemple les valeurs de mesure dans les images) ne
doivent pas être transmises de manière cyclique. Les valeurs de mesure
d’une image doivent si possible être regroupées dans un même bloc de
données et être toutes configurées avec le même temps de scrutation. Si le
processus impose des temps de scrutation différents, les valeurs qui doi-
vent être mises à jour plus rapidement doivent être positionnées ”vers
l’avant” (vers les petits numéros de mot) dans le bloc de données.
Une même zone d’un bloc de données peut être utilisée plusieurs fois. Par
exemple, les valeurs de mesure de diverses images peuvent accéder aux
mêmes mots d’un bloc de données (par l’intermédiaire de variables diffé-
rentes). Le programme utilisateur doit alors retrouver les zones mémoire
correspondantes à partir de la zone de numéros d’image.
Limitations Les fonctions PG (ETAT VAR et FORÇAGE VAR) ne peuvent pas être utili-
sées lors du couplage à d’autres automates.
Connexion Le couplage ”Série libre” permet de connecter le TD/OP à tous les automates
ou ordinateurs qui disposent d’une interface série librement programmable,
par exemple PC-AT ou unité centrale SIMATIC S5 avec ”logiciel de gestion
ouvert”.
Nota
Le déroulement du transfert pour ces couplages est décrit dans les chapitres
précédents dans les sections consacrées aux automates de classe 1.
Câble standard Les câbles suivants sont disponibles pour connecter le TD/OP à un PC-AT :
de PC-AT
TD/OP
V.24, 15 broches 6XV1 440-2K... 6XV1 440–2L...
Gestion des L’utilisateur doit programmer dans l’automate des sous-programmes destinés
blocs de données à la gestion de l’interface série.
Configuration des La longueur d’un bloc de données ne peut pas être configurée directement,
blocs de données mais est chaque fois déterminée à partir de la plus haute adresse de mot utili-
sée.
Protocole Seuls les blocs de données décrits en 18.2 sont échangés. L’automate détecte
la fin d’un bloc d’émission du TD/OP à la fin du transfert du bloc de don-
nées, soit à partir de la longueur transmise, soit à partir du délai de caractères
réglable. Le protocole ne comprend pas d’autres mécanismes de sécurité.
a Exemple d’utilisation :
Les fonctions suivantes sont exécutées de manière cyclique :
S déclenchement d’un message d’événement,
S déclenchement d’un message d’alarme (pas pour le TD10),
S acquittement de ce message d’alarme (pas pour le TD10),
S affichage de la date et de l’heure du TD/OP sur le PC
Avec les OP5/OP15/OP20, vous pouvez en outre sélectionner l’image 1
par l’intermédiaire du menu.
e Emission et réception automatique de télégrammes :
Les répertoires ACKN_TEL et REQU_TEL contiennent des fichiers qui
peuvent être échangés comme blocs de données. Vous pouvez modifier
ces fichiers avec un éditeur et les utiliser pour vos propres essais de
configuration.
i Initialisation :
Réinitialise le programme et l’interface utilisée.
Q Quitter le programme :
Termine l’exécution du programme
Nota
Ce programme ne constitue qu’un exemple de couplage possible. Modifiez
l’exemple de configuration pour l’adapter à vos besoins ou intégrez si néces-
saire des parties du code source à vos propres applications.
Nota
Le déroulement du transfert relatif à ce couplage est décrit dans les chapitres
précédents dans les sections consacrées aux automates de classe 2.
Câble standard Les câbles standard suivants sont disponibles pour la connexion au
SIMATIC 500/505 :
de SIMATIC 500/505
V.24 V.24 RS422 RS422
9 broches 25 broches 9 broches, 9 broches,
à ancien1) nouveau2)
TD10, TD20, 6XV1 6XV1 – –
OP5, OP15, OP20, 440–2K... 440–2L...
OP25, OP35
V.24, 15 broches
OP5-A2, – – 6XV1 6XV1
OP15-A1/B/C1, 440–2M... 440–1M...
OP25, OP35
RS422, 9 broches
TD10, TD20, – – 6XV1 –
OP20 440–2N...
avec SSM, 25 broches
SSM = module d’interface
... = code de longueur
1) pour SIMATIC 500/505 (PLC 525, PLC 535, PLC 545 – 1101, PLC 565T)
2) pour SIMATIC 505 (PLC 545 – 1102, PLC 555)
Déclaration des Avec les automates SIMATIC 500 et 505, les blocs de données ne peuvent
blocs de données être stockés que dans la mémoire V. Lors de la programmation de l’automate,
la mémoire V doit être déclarée de sorte à pouvoir accepter tous les blocs de
données dont l’utilisateur a besoin.
La zone d’adresses admissibles est comprise entre V1 et V1 048 575.
Gestion Dans le cas du SIMATIC 500/505, un logiciel de gestion compris dans le sys-
tème d’exploitation de l’automate se charge de l’émission et de la réception
des blocs de données. Le rôle de l’utilisateur se borne à assurer que les blocs
de données reçoivent les données appropriées (y compris l’en-tête de bloc de
données) et soient e xploités correctement.
Affectation Dans l’automate SIMATIC 500/505, la numérotation des bits d’un mot de
des bits données diffère de celle utilisée dans cette documentation. L’affectation des
bits est la suivante :
Numérotation utilisée dans la présente documentation :
16 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1
Plage de valeurs Dans le TD/OP, les variables entières sont toujours représentées avec signe;
pour les entiers leur plage de valeurs s’étend de –32 768 à 32 767. Toutefois, dans le
SIMATIC 500/505, les variables entières sont dépourvues de signe. Leur do-
maine de valeurs s’étend donc de 0 à 65 535.
Nota
Ne transférez que le programme LADDER !
Connexion du Connectez le TD/OP à l’unité centrale de votre automate à l’aide d’un câble
TD/OP à l’UC standard approprié. Les fonctions suivantes sont exécutées de manière cycli-
que :
déclenchement d’un message d’événement,
déclenchement d’un message d’alarme (pas pour le TD10),
acquittement de ce message d’alarme (pas pour le TD10).
Avec les OP5, OP15 et OP20 vous pouvez en outre sélectionner l’image 1 par
l’intermédiaire du menu.
Nota
Ce programme ne constitue qu’un exemple de couplage possible. Modifiez
l’exemple de configuration pour l’adapter à vos besoins ou intégrez si néces-
saire des parties du programme à vos propres applications.
Les fichiers des exemples ont été configurés pour un couplage par l’interface
V.24. Pour un couplage par RS422, vous devez modifier en conséquence le
paramètre Type d’interface dans ProTool ou COM TEXT et établir une con-
nexion RS422.
Câble standard Les câbles standard suivants sont disponibles pour la connexion au
Mitsubishi FX :
de MITSUBISHI (RS422)
FX0 FX Serie
à Mini DIN 8 broches Sub-D 25 broches
Déclaration des Lors de la programmation de l’automate, les registres de données doivent être
blocs de données attribués de façon à accepter tous les blocs de données dont l’utilisateur a
besoin.
Les mots de données 0 et 1 de chaque bloc de données doivent certes être
présents, mais ne sont pas échangés entre le TD/OP et l’automate. L’utilisa-
teur peut donc les employer à d’autres fins.
La zone d’adresses autorisées est comprise :
pour FX0 entre D0 et D31,
pour FX-Serie entre D0 et D511.
Gestion Dans le cas du Mitsubishi FX, un logiciel de gestion compris dans le système
d’exploitation de l’automate se charge de l’émission et de la réception des
blocs de données. Le rôle de l’utilisateur se borne à assurer que les blocs de
données contiennent les données appropriées et soient exploités correcte-
ment.
Connexion Connectez le TD/OP à l’unité centrale de votre automate à l’aide d’un câble
du TD/OP à l’UC standard approprié. Les fonctions suivantes sont exécutées de manière cycli-
que :
déclenchement d’un message d’événement,
déclenchement d’un message d’alarme, (pas pour le TD10)
acquittement de ce message d’alarme, (pas pour le TD10).
Nota
Ce programme ne constitue qu’un exemple de couplage possible. Modifiez
l’exemple de configuration pour l’adapter à vos besoins ou intégrez si néces-
saire des parties du programme à vos propres applications.
Les exemples de configuratio ont respectivement configurés pour les types
d’interface indiqués dans les tableaux 21-1 et 21-2.
En cas de couplage des pupitres opérateurs OP5, OP15A, OP25 et OP35 par
RS422 ou des appareils TD10, TD20 et OP20 par l’interface V.24 intégrée,
vous devez modifier en conséquence le paramètre Type d’interface dans
ProTool ou dans COM TEXT et établir une connexion V.24 ou RS422.
Câble standard Les câbles standard suivants sont disponibles pour la connexion aux automa-
tes Allen-Bradley :
à ALLEN-BRADLEY
Déclaration des Les blocs de données ne peuvent être déclarés que dans le fichier de données.
blocs de données Lors de la programmation de l’automate, le fichier de données doit être dé-
claré de façon à accepter tous les blocs de données dont l’utilisateur a besoin.
Le tableau ci-dessous indique les valeurs de l’adresse source (SRC) et de
l’adresse cible (DST) des blocs de données pour les automates Allen-Brad-
ley :
Gestion Dans le cas des automates Allen-Bradley, un logiciel de gestion compris dans
le système d’exploitation de l’automate se charge de l’émission et de la ré-
ception des blocs de données. Le rôle de l’utilisateur se borne à assurer que
les blocs de données contiennent les données appropriées et soient exploités
correctement.
Connexion Connectez le TD/OP à l’unité centrale de votre automate à l’aide d’un câble
du TD/OP à l’UC standard approprié. Les fonctions suivantes sont exécutées de manière cycli-
que :
déclenchement d’un message d’événement,
déclenchement d’un message d’alarme (pas pour le TD10),
acquittement de ce message d’alarme (pas pour le TD10).
Avec les OP5, OP15 et OP20, vous pouvez en outre sélectionner l’image 1
par l’intermédiaire du menu.
Nota
Ce programme ne constitue qu’un exemple de couplage possible. Modifiez
l’exemple de configuration pour l’adapter à vos besoins ou intégrez si néces-
saire des parties du programme à vos propres applications.
Couplage au PLC-5 :
Les fichiers des exemples sont configurés pour un couplage au PLC-5 par
l’interface V.24. Pour le couplage par RS422, vous devez remplacer le type
d’interface par RS422 dans ProTool ou COM TEXT et établir une conne-
xion RS422.
Couplage au SLC 500 :
Pour un couplage au SLC 500 par l’interface V.24, vous devez sélectionner
l’automate SLC 500 comme type d’AP/de CPU dans ProTool ou
COM TEXT.
Nota
Le déroulement du transfert relatif à ce couplage est décrit dans les chapitres
précédents dans les sections consacrées aux automates de classe 2.
Câble standard Les câbles standard suivants sont disponibles pour la connexion au Telemeca-
nique TSX :
à Telemecanique Adjust
Déclaration des Avec les automates du Système Telemecanique TSX, les blocs de données
blocs de données sont stockés dans la mémoire pour valeurs variables internes. Lors de la pro-
grammation de l’automate, la mémoire pour valeurs variables internes doit
être déclarée de sorte à pouvoir accepter tous les blocs de données dont l’uti-
lisateur a besoin.
La zone d’adresses admissibles est comprise pour l’automate
TSX 17 entre W0 et W1023,
TSX 7 selon la configuration entre W0 et au plus W360447.
Plage de valeurs Dans le TD/OP et dans le Telemecanique TSX, les variables entières sont
pour les entiers toujours représentées avec signe ; leur plage de valeurs s’étend de -32 768 à
+32 767.
Connexion Connectez le TD/OP à l’unité centrale de votre automate à l’aide d’un câble
du TD/OP à l’UC standard approprié. Les fonctions suivantes sont exécutées de manière cycli-
que :
S déclenchement d’un message d’événement,
S déclenchement d’un message d’alarme,
S acquittement de ce message d’alarme, .
Lorsque vous appuyez sur la touche ENTER, vous passez du niveau messa-
ges au niveau images et appelez l’image 1.
Nota
Ce programme ne constitue qu’un exemple de couplage possible. Modifiez
l’exemple de configuration pour l’adapter à vos besoins ou intégrez si néces-
saire des parties du programme à vos propres applications.
24.1 Présentation
Définition Les zones de données utilisateur peuvent se trouver dans une zone mémoire
quelconque de l’automate. Elles comprennent par exemple les messages, les
recettes et les courbes.
Tableau 24-1 Zones de données utilisateur possibles pour les divers TD/OP
Définition Les messages sont composés de texte statique et/ou de variables. Texte et
variables peuvent être librement configurés.
Les messages se répartissent en messages d’événement et en messages
d’alarme. Le programmeur définit ce qu’est un message d’événement et ce
qu’est un message d’alarme.
Message d’alarme Un message d’alarme rend compte d’une alarme de fonctionnement, par
exemple
La vanne ne s’ouvre pas
Température moteur trop élevée
Acquittement Etant donné que les messages d’alarme sont utilisés pour afficher des états
opératoires exceptionnels, ils doivent être acquittés. L’acquittement est ré-
alisé au choix
par l’opérateur sur le TD/OP ou
par la mise à 1 d’un bit dans la zone d’acquittement de l’automate.
Déclenchement Le déclenchement d’un message est réalisé par la mise à 1 d’un bit dans
d’un message l’une des zones de messages de l’automate. La position des zones de messa-
ges est définie à l’aide de l’outil de configuration. La zone correspondante
doit également être déclarée dans l’automate.
Dès que le bit est mis à 1 dans la zone d’événements ou d’alarmes de l’auto-
mate et que cette zone est transmise au TD/OP, ce dernier reconnaît que le
message correspondant est ”apparu”.
Réciproquement, lorsque le même bit est remis à zéro dans l’automate, le
TD/OP considère que le message a ”disparu”.
Correspondance Un message peut être configuré pour chaque bit de la zone de messages
entre bits de mes- configurée. Les bits sont affectés par ordre croissant aux numéros de mes-
sage et numéros sage.
de message
Zones Si l’automate doit être informé de l’acquittement d’un message d’alarme sur
d’acquittement le TD/OP ou si l’automate doit lui-même acquitter des messages, vous devez
déclarer les zones d’acquittement correspondantes dans l’automate :
Zone d’acquittement TD/OP → automate :
L’automate est informé par l’intermédiaire de cette zone du fait qu’un
message d’alarme est acquitté par l’opérateur du TD/OP.
Zone d’acquittement automate → TD/OP :
L’acquittement d’un message d’alarme par l’automate s’effectue par l’in-
termédiaire de cette zone.
Ces zones d’acquittement doivent également être indiquées dans la
configuration sous Zones de communication.
La figure 24-1 schématise les diverses zones d’alarmes et d’acquittement. Le
déroulement des opérations d’acquittement est présenté dans le tableau 24-3.
Zone d’acquittement
TD/OP ! AP
Correspondance Chaque message d’alarme est doté d’un numéro de message. Ce numéro de
entre bits d’acquit- message est affecté respectivement au même bit x de la zone d’alarmes et au
tement et numéros même bit x de la zone d’acquittement. La zone d’acquittement a normale-
de message ment la même longueur que la zone d’alarmes correspondante.
Si la longueur d’une zone d’acquittement ne comprend pas la longueur totale
de la zone d’alarmes correspondante et s’il existe d’autres zones d’alarmes et
d’acquittement, on a la correspondance suivante :
Bit d’acquittement du
Message d’alarme no 1 message d’alarme no 1
Bit d’acquittement du
Message d’alarme no 49 message d’alarme no 49
Figure 24-2 Correspondance entre les bits d’acquittement et les numéros de message
Zone d’acquittement La mise à 1 d’un bit par l’automate dans cette zone déclenche l’acquittement
AP → TD/OP du message d’alarme correspondant sur le TD/OP.
La zone d’acquittement automate → TD/OP
doit se raccorder directement à la zone d’alarmes correspondante,
doit avoir exactement le même temps de scrutation et
peut avoir au plus la même longueur que la zone d’alarmes correspon-
dante.
Si la zone d’acquittement automate → TD/OP ne se trouve pas physiquement
immédiatement après la zone d’alarmes, le message système $655 est émis
lors du démarrage du TD/OP.
Zone d’acquittement Lorsqu’un message d’alarme est acquitté sur le TD/OP, le bit correspondant
TD/OP → AP est mis à 1 dans la zone d’acquittement TD/OP → automate. L’automate peut
ainsi détecter que le message d’alarme a été acquitté.
La zone d’acquittement TD/OP → automate peut avoir au plus la même lon-
gueur que la zone d’alarmes correspondante.
Taille des zones Les zones d’acquittement ne doivent pas être plus grandes que la zone d’alar-
d’acquittement mes correspondante. Elles peuvent toutefois être déclarées plus petites, lors-
AP → TD/OP et que certains messages d’alarme ne doivent pas être acquittés par l’automate.
TD/OP → AP Ce cas est mis en évidence dans la figure 24-3.
Zone d’alarmes Zone raccourcie
Messages d’acquittement des alarmes
d’alarme qui
peuvent être
acquittés
Messages
d’alarme qui ne
peuvent pas être
acquittés
Nota
Placez les messages d’alarme importants dans la zone d’alarmes à partir du
bit 0 dans l’ordre croissant !
Utilisation Les actions sur des touches du TD/OP peuvent être transférées vers l’auto-
mate et y être exploitées. Il est ainsi possible, par exemple, de déclencher une
action dans l’automate, comme le démarrage d’un moteur.
Les diodes électroluminescentes (LED) placées dans les touches de fonction
de l’OP peuvent être commandées à partir de l’automate. Il est ainsi possible
de signaler en allumant la diode correspondante selon le contexte, la touche
sur laquelle l’opérateur doit appuyer.
Condition Pour pouvoir utiliser cette possibilité, il faut que les zones de données corres-
préalable pondantes – les images mémoire ou, plus brièvement, les images – soient
définies dans l’automate et qu’elles soient déclarées comme zones de commu-
nication dans la configuration.
Transfert Les images du clavier sont transférées spontanément vers l’automate. Cela
signifie que le transfert est effectué chaque fois que l’opérateur appuie sur
une touche du TD/OP. Il n’est donc pas nécessaire de configurer un temps de
scrutation. Le TD/OP transfère un appui simultané sur deux touches au maxi-
mum.
= touche SHIFT enfoncée
Nota
Si le TD/OP est arrêté ou séparé de l’automate alors qu’une touche est en-
foncée, le bit correspondant reste à 1 dans l’image du clavier.
Structure L’image du clavier système est une zone de données d’une longueur fixe de
un mot de données (pour le TD20)
deux mots de données (pour les OP5/15/20)
trois mots de données (pour les OP25/35)
A chaque touche du clavier système est associé exactement un bit de manière
permanente dans l’image du clavier système. Exception : la touche DIR des
OP5/15 et les touches curseur.
L’image du clavier système doit être également entrée dans la configuration
sous Zones de communication, Type : Clavier système. Cette image ne peut
être déclarée qu’une seule fois dans une seule unité centrale.
Nota
Les bits non utilisés ne doivent pas être écrasés par le programme utilisateur.
Bit global de Le bit global de clavier sert de bit de contrôle. Il est mis à 1lors de chaque
clavier transfert de l’image du clavier du TD/OP vers l’automate et doit être remis à
zéro dès que le programme utilisateur a exploité la zone de données.
Une lecture régulière du bit global permet au programme de l’automate de
détecter si l’image du clavier système a été de nouveau transmise.
Zones de données L’image des touches de fonction peut être divisée en plusieurs zones de don-
nées distinctes dont le nombre et la longueur dépendent de l’OP :
Affectation des L’affectation des diverses touches aux bits des zones de données est détermi-
touches née lors de la configuration des touches de fonction. A cette occasion, il faut
entrer pour chaque touche le numéro au sein de la zone image.
Bit global de Le bit 15 du dernier mot de données de chaque zone de données est le bit
clavier global de clavier. Il sert de bit de contrôle. Le bit global de clavier est mis à 1
lors de chaque transfert de l’image du clavier de l’OP vers l’automate. Il doit
être remis à zéro dès que le programme utilisateur a exploité la zone de don-
nées.
Une lecture régulière du bit global permet au programme de l’automate de
détecter si un bloc a été de nouveau transféré.
Zones de données L’image des LED peut être divisée en plusieurs zones de données distinctes,
comme indiqué dans le tableau ci-dessous.
L’image des LED doit également être déclarée dans la configuration sous
Zones de communication, Type : Image des LED.
Affectation L’affectation des diverses diodes électroluminescentes aux bits des zones de
des LED données est déterminée lors de la configuration des touches de fonction. A
cette occasion, il faut entrer pour chaque LED le numéro de bit au sein de la
zone image.
Le numéro de bit (n) désigne le premier de deux bits successifs qui comman-
dent un total de quatre états différents de la LED :
Utilisation Le TD/OP consigne dans la zone de numéros d’image des informations sur
l’image appelée sur le TD/OP.
Cela rend donc possible un transfert d’informations sur le contenu actuel de
l’afficheur du TD/OP vers l’automate, d’où elles peuvent à leur tour déclen-
cher certaines réactions, par exemple l’appel d’une autre image.
Condition préala Pour utiliser la zone de numéros d’image, vous devez la déclarer comme
Zone de communication dans la configuration. Elle ne peut être créée qu’une
seule fois dans un seul automate.
La zone de numéros d’image est transférée de manière spontanée vers l’auto-
mate. Cela signifie que le transfert a lieu à chaque fois qu’une modification
est détectée sur le TD/OP.
Il n’est donc pas nécessaire de configurer un temps de scrutation.
Structure La zone de numéros d’image est une zone de données d’une longueur fixe de
2 mots de données pour les TD20, OP5/15/20,
5 mots de données pour les OP25/35.
La structure de la zone de numéros d’image dans la mémoire de l’automate
est représentée ci-après pour les divers TD/OP.
TD20, OP5/15/20 :
Octet gauche Octet droit
Entrée Affectation
Type de l’image active 1 : image
2 : recette
3 : image spéciale
Numéro de l’image/la recette active 1 à 99
Numéro de l’entrée active 1 à 99
Numéro du champ de saisie actif 0 à 8,
0 : numéro d’entrée
Dans le cas des images spéciales, la zone de numéros d’image est affectée de
la manière suivante :
Octet gauche Octet droit
1er mot 3 Numéro d'image spéciale
2e mot FFH Numéro du champ de saisie actif
OP25/35 :
1er mot Type de l'image active
2e mot Numéro de l'image active
3e mot réservé
4e mot Numéro du champ de saisie actif
5e mot réservé
Entrée Affectation
Type de l’image active 1 : image
4 : fenêtre permanente
5 : fenêtre des messages d’alarmes
6 : fenêtre des messages d’événement
numéro de l’image active 1 à 65535
numéro du champ de saisie actif 1 à 65535
Pour les images spéciales, le numéro de l’image active est affecté de la ma-
nière suivante :
Valeur Signification
1 page des messages d’alarme
2 page des messages d’événement
3 tampon des messages d’alarme
4 tampon des messages d’événement
Courbes Une courbe est une représentation graphique d’une valeur de l’automate. Se-
lon la configuration, la lecture de la valeur est déclenchée par un bit ou par
horloge.
Courbes déclen- Le TD/OP lit les valeurs de courbe de manière cyclique chaque fois qu’une
chées par horloge certaine période déterminée dans la configuration s’est écoulée. Les courbes
déclenchées par horloge conviennent à des grandeurs à évolution continue,
comme la température de service d’un moteur.
Courbes déclen- Le TD/OP lit soit une valeur de courbe soit la totalité du tampon de courbe
chées par bit lorsqu’un bit de déclenchement est mis à 1. Cela est déterminé dans la confi-
guration. Les courbes déclenchées par bit sont en général utilisées pour des
valeurs soumises à des variations rapides. La pression d’injection lors de la
fabrication de pièces en plastique en constitue en exemple.
Pour le déclenchement de ces courbes, vous devez définir des zones corres-
pondantes dans la configuration (sous Zones de communication) et les décla-
rer dans l’automate. Ces zones permettent au TD/OP et à l’automate de com-
muniquer.
Les zones nécessaires sont :
– la zone de sélection de courbe
– la zone de données de courbe1
– la zone de données de courbe2
(n’est nécessaire qu’avec le tampon commuté)
Le même bit est attribué de manière permanente à chaque courbe dans ces
zones configurées. Cela permet d’identifier de manière univoque chaque
courbe dans toutes les zones.
Tampon commuté Le tampon commuté est un second tampon pour la même courbe. Il peut être
déclaré dans la configuration.
Pendant que le TD/OP lit les valeurs dans le tampon 1, l’automate écrit dans
le tampon 2. Lorsque le TD/OP lit dans le tampon 2, l’automate écrit dans le
tampon 1. Cela évite que l’automate n’écrase les valeurs de courbe pendant
que le pupitre opérateur les lit.
Répartition des Les diverses zones – sélection de courbe, données de courbe 1 et 2 – peuvent
zones de données être réparties en des zones de données distinctes dont le nombre maximal et
la longueur maximale sont prédéfinis (voir le tableau 24-5).
Zones de données
Sélection Données
1 2
Nombre max. par type 8 8 8
Longueur totale de toutes 8 8 8
les zones de données (en
mots)
Zone de sélection Lorsqu’une image avec une ou plusieurs courbes est ouverte sur le TD/OP, ce
de courbe dernier met à 1 les bits correspondants dans la zone de sélection de courbe.
Lorsque l’image est refermée, le TD/OP remet à zéro les bits correspondants
dans la zone de sélection de courbe.
La zone de sélection de courbe peut être exploitée dans l’automate pour sa-
voir quelle courbe est actuellement affichée sur le TD/OP. Les courbes peu-
vent également être déclenchées sans exploitation de la zone de sélection de
courbe.
Zone de données Cette zone est destinée au déclenchement de courbes. Mettez à 1 le bit asso-
de courbe1 cié à la courbe dans la zone de données de courbe ainsi que le bit global de
courbe avec le programme de l’automate. Le TD/OP détecte le déclenche-
ment et remet à zéro le bit de courbe et le bit global de courbe. Il lit ensuite
une valeur ou la totalité d u tampon, selon la configuration.
Exemple de zone de données de courbe d’une longueur de 2 DW
Zone de données La zone de données de courbe2 est nécessaire pour les courbes pour lesquelles
de courbe2 un tampon commuté a été configuré. Elle a exactement la même structure que
la zone de données de courbe1.
Utilisation Lors du démarrage du TD/OP, il est possible de vérifier s’il est connecté à
l’automate ou au module CP voulu. Cela est important lorsque vous utilisez
plusieurs TD/OP.
Le TD/OP compare pour cela la valeur configurée à une valeur mémorisée
dans l’automate. Cela permet d’assurer la compatibilité des données de confi-
guration avec le programme de l’automate. Si les données ne concordent pas,
le message système $653 est affiché sur le TD/OP et l’appareil redémarre.
Pour pouvoir utiliser cette fonction, vous devez définir les valeurs suivantes
lors de la configuration du TD/OP :
valeur qui appartient à la configuration : (1...255)
Si vous entrez 0, ce contrôle est supprimé.
– COM TEXT :
Paramétrage général
– ProTool :
Système cible → Paramètres → Divers
type de données et adresse de la valeur mémorisée dans l’automate :
– COM TEXT :
Liste pointeurs zones, champ Zone de version utilisateur
– ProTool :
Système cible → Zones de communication, sélectionnez Version
application utilisateur: dans le champ Type:.
24.7 Recettes
Synchronisation L’une des caractéristiques essentielles des recettes est que les données sont
transférées synchronisées et qu’un écrasement incontrôlé des données est
évité. La coordination du transfert des enregistrements est garantie par la
mise à 1 de bits dans les bits de commande et de compte-rendu des blocs de
données 0 et 1.
Transfert direct Lors de l’écriture d’un enregistrement, les variables de ce dernier sont écrites
directement dans les adresses respectivement définies. Lors de la lecture di-
recte, les variables sont lues depuis les mémoires cibles de l’automate et écri-
tes dans l’OP.
Avec ProTool, les variables destinées au transfert direct doivent posséder à la
fois une liaison à l’automate et l’attribut Ecriture directe. Les varia-
bles auxquelles aucune adresse dans l’automate n’est affectée ne sont pas
transférées.
Transfert indirect Toutes les variables de l’enregistrement sont écrites dans une mémoire inter-
médiaire de l’automate. Pour les OP avec afficheur graphique, il s’agit du
tampon de données. Le tampon de données ne contient que les valeurs des
variables, les adresses ne sont pas transférées.
Le fait que les variables aient une adresse ou non est sans importance pour le
transfert indirect. L’interprétation des valeurs de la mémoire intermédiaire
échoit au programme de l’automate.
Afficheur de lignes Lors de la configuration sous COM TEXT, la recette reçoit un nom et un nu-
méro. Le nom et le numéro de la recette sont tous deux visibles sur l’OP.
Les enregistrements que vous créez sur l’OP reçoivent également un nom et
un numéro.
Le numéro de recette, le numéro d’enregistrement et le nom de l’enregistre-
ment sont transférés vers l’automate avec les données lorsque vous déclen-
chez un transfert d’enregistrements OP → automate.
Afficheur de lignes Lors de la connexion d’un OP à afficheur de lignes, vous devez déclarer dans
l’automate de zone pour la boîte de numéros de recettes. Utilisez à cette oc-
casion les mêmes entrées que celles définies dans la configuration sous Zones
de communication.
Afficheur Lors de l’utilisation d’un OP avec afficheur graphique, vous devez déclarer une
graphique zone pour le tampon de données dans l’automate. Utilisez à cette occasion les
mêmes entrées que celles définies dans la configuration avec ProTool sous
Zones de communication.
Le tampon de données ne contient pas d’adresse, mais uniquement les données.
Tampon de données :
Le tampon de données est une zone de données d’une longueur maximale de
256 mots de données.
Il sert de mémoire intermédiaire lors des transferts d’enregistrements de l’OP
vers l’automate. Les valeurs entrées doivent être ventilées dans les zones mé-
moire correspondantes par le programme de l’automate.
Les identifications 1, et 3 (numéros de recette) configurées dans ProTool sont
également transférées dans le tampon de données et doivent être exploitées
par l’automate.
Bit de Le transfert des enregistrements est coordonné par les bits 8 et 9 des bits de
commande et de commande du bloc de données 0 et par le bit 9 des bits de compte-rendu du
compte-rendu 1 bloc de données 1.
Les bits de commande et de compte-rendu concernés sont :
Bits de commande
Bit 8 = 1 : transfert d’enregistrement verrouillé
Bit 9 = 1 : transfert d’enregistrement accepté
Bits de compte-rendu
Bit 9 = 1 : transfert d’enregistrement terminé
Déroulement du Les diverses étapes du transfert de l’OP vers l’automate sont décrites ci-des-
transfert OP → AP sous.
1. L’OP contrôle le bit de commande 8 avant le transfert. Si le bit 8 vaut 1,
le transfert se termine sur une erreur système. Si le bit vaut 0, le transfert
est effectué.
2. Après le transfert, l’OP met le bit de compte-rendu 9 à 1.
3. Interrogez le bit de compte-rendu 9 avec le programme de l’automate.
S’il vaut 1, mettez à 1 le bit de commande 8.
4. Exploitez le tampon de données/la boîte de numéros de recettes et copiez
le contenu du bloc de données d’émission dans le bloc de données de ré-
ception.
5. Mettez ensuite à 1 le bit de commande 9.
6. L’OP efface le bit de compte-rendu 9.
7. Effacez alors le bit de commande 9.
8. Après que vous avez ventilé les données vers les adresses correspondan-
tes, libérez le tampon/la boîte en mettant à 0 le bit de commande 8.
Transfert par Pour les afficheurs de lignes, le contrat automate no 70 permet de transférer
contrat automate un enregistrement de l’OP vers l’automate. Le contrat automate 69 déclenche
pour les afficheurs quant à lui le transfert inverse, de l’automate vers l’OP.
de lignes
Principe Pour les pupitres opérateurs OP25 et OP35, vous pouvez configurer des va-
riables indirectes qui sont associées à des champs de saisie. La valeur est sai-
sie par l’opérateur directement sur l’OP. Après la saisie sur l’OP, les contenus
de ces variables sont transférés de manière coordonnée dans le tampon de
données de l’automate.
Utilisation Les variables indirectes peuvent être utilisées dans les images comme des
variables ”normales”, c’est-à-dire comme des variables avec adresses.
Facteurs La structure des zones de données utilisateur décrites au chapitre 24 ainsi que
prépondérants les temps de scrutation configurés dans les zones de communication sont des
facteurs essentiels pour les temps de mise à jour effectivement atteints.
Veuillez tenir compte des règles suivantes :
S Définissez les diverses zones de données de sorte qu’elles soient aussi
petites que possibles et aussi grandes que nécessaire.
S Si des zones de données sont utilisées ensemble, placez-les les unes à côté
des autres. Le temps de mise à jour effectif s’améliore si vous définissez
une grande zone au lieu de plusieurs petites zones.
S Des temps de scrutation trop courts abaissent inutilement les performan-
ces globales. Choisissez-les en fonction de la vitesse de modification des
valeurs du processus. Par exemple, la température d’un four varie beau-
coup moins vite que la vitesse de rotation d’un entraînement électrique.
Valeur indicative pour le temps de scrutation : environ 1 seconde.
S Le transfert spontané de zones de données par contrat automate améliore
les temps de mise à jour des zones de données traitées de manière cycli-
que : temps de scrutation = 0.
S Placez les variables d’un message ou d’une image de manière contiguë
dans une zone de données.
Temps de Si vous entrez un temps de scrutation nul pour une zone de données, celle-ci
scrutation n’est pas transmise de manière cyclique vers l’OP. Pour obtenir le transfert de
cette zone de données, vous devez dans ce cas utiliser le contrat automate
approprié (voir l’annexe B).
Images Si le bit global est mis à 1 dans la zone de données de courbe pour les cour-
bes déclenchées par bit, l’OP met chaque fois à jour toutes les courbes dont
le bit est mis à 1 dans cette zone. Il met ensuite le bit à zéro. Si le bit est im-
médiatement remis à 1 par le programme de l’automate, l’OP passe son
temps à mettre les courbes à jour. Il n’est alors pratiquement plus possible de
faire des manipulations sur l’OP.
Modules d’interface
C
Charactéristiques techniques des
blocs fonctionnels standard
D
Index
I
Communication Manuel d’utilisation
X-24 Edition 05/99
Messages système A
A.1 Messages système des pupitres de contrôle-commande
Messages d’erreur Les messages suivants signalent une erreur matérielle du composant mémoire
au démarrage du concerné :
pupitre – EPROM-memory failure,
– RAM-memory failure,
– Flash-memory failure
Numéro de message
Nota
Les messages système sont affichés dans la langue choisie dans la configura-
tion. Tant que le pupitre de contrôle-commande ne dispose pas de données de
configuration, les messages s’affichent en langue anglaise.
642, 643 Le champ de valeur de mesure pour un message d’alarme Configurer de nouveau le message
n’a été créé que de manière symbolique. d’alarme (–> numéro de message).
Procédure en cas Pour tous les messages système se rapportant à des ”erreurs internes”, procédez
d’”erreur interne” comme suit :
a) Mettez le pupitre de contrôle-commande hors tension, mettez l’automate à
l’état STOP et faites ensuite redémarrer les deux appareils.
b) Mettez le pupitre de contrôle-commande en mode de transfert pendant son
démarrage, retransférez la configuration et faites redémarrer le pupitre et
l’automate.
c) Si l’erreur se produit de nouveau, contactez votre agence Siemens la plus
proche. Indiquez le numéro de l’erreur ainsi que, le cas échéant, les varia-
bles du message.
Erreurs générales Les blocs fonctionnels standard ne peuvent normalement pas faire passer
l’unité centrale à l’état STOP. Ils ne peuvent toutefois pas détecter si les péri-
phériques d’E/S auxquels ils accèdent sont effectivement disponibles.
Si l’automate passe à l’état STOP avec une erreur ADF ou QVZ lors du démar-
rage du programme de l’AP, vous êtes en présence de l’une des erreurs suivan-
tes :
S erreur dans l’attribution des périphériques de l’AP (dans le bloc de données
DB1 pour les automates S5-135U ou S5-155U)
S erreur dans l’attribution d’adresse du périphérique pour les CP 521 SI,
CP 523 ou IM308B (dans le DB-ZU).
Nota
L’état STOP peut être évité en programmant les blocs d’organisation d’erreur
correspondants de l’automate. Cela ne supprime toutefois pas l’erreur de con-
figuration.
Traitement d’erreur Si une erreur se produit pendant le traitement du bloc fonctionnel standard, le
résultat logique RLG est mis à 1. Cela permet à l’utilisateur de recourir à un
saut conditionnel SPB pour appeler un traitement d’erreur personnalisé.
Type de Les erreurs produites sont consignées par le bloc fonctionnel standard en divers
consignation emplacements de la mémoire de l’automate :
Le tableau suivant montre les possibilités d’erreur regroupées par numéro d’er-
reur en tenant compte du type de consignation. Les erreurs possibles pour
PROFIBUS et PROFIBUS-DP sont repérées par un astérisque ”*” placé après
le numéro d’erreur.
Type de consignation
Bl fonctionnel
Bloc f ti l standard
t d d:
Zone d’interface
possibilités
poss b l tés d
d’erreur
erreur et tra
traitement
tement des erreurs
DB-ZU (le cas
échéant)
Accumulateur
1
Numéro a b c Description de l’erreur Cause/remède
d’erreur
1* S DB-ZU : numéro non auto- Le numéro de DB-ZU transféré à l’accumulateur 1 doit
risé être compris entre 10 et 255. L’octet de fort poids de l’ac-
cumulateur a peut-être été confondu avec celui de faible
poids.
2* S DB-ZU : manque Selon le nombre de pupitres de contrôle-commande con-
nectés, le DB-ZU doit être déclaré avec une longueur
minimale de 16 mots.
3* S DB-ZU : trop court La longueur du bloc de données DB-ZU dépend du plus
haut numéro de pupitre de contrôle-commande attribué,
même si un seul pupitre de contrôle-commande est con-
necté.
4* S Numéro de pupitre de Le numéro de pupitre de contrôle-commande transmis à
contrôle-commande : non l’accumulateur 1 doit être compris entre 1 et 16. L’octet
autorisé de fort poids de l’accumulateur a peut-être été confondu
avec celui de faible poids.
5* S Aucun démarrage n’a été Mettre à 1 une fois le bit de démarrage (D64.0 dans la
exécuté zone d’interface)
6 S Mauvais type de CPU Contrôler le type et la version de l’unité centrale
Liste Les pages suivantes listent tous les contrats automate, ainsi que leurs paramè-
tres, qui sont possibles pour les divers pupitres de contrôle-commande. La
colonne No contient le numéro de contrat de l’automate. En règle générale,
les contrats ne peuvent être déclenchés par l’automate que lorsque le pupitre
de contrôle-commande se trouve en mode en ligne.
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
Fonctions spéciales
30 Sélection langue, luminosité (contraste) – – – – – – –
31 Changement de mode de fonctionnement – – – – – – –
Réglages
35 Régler la date/l’heure – – – – – – –
36 Interface interne – – – – – – – –
(OP5/OP7 : V.24 ; OP15/OP17 : IF1)
37 Interface du module – – – – – – – –
(OP5/OP7 : TTY ; OP15/OP17 : IF2)
38 Paramètres d’imprimante – – – – – – – –
40 Type de message – – – – – – – –
Textes de message
45 Affichage des textes des messages d’alarme – – – – – – – –
46 Affichage des textes des messages d’événement – – – – – – –
Messages système
50 Afficher le tampon des messages système – – – – – – –
Mots de passe
55 Début de session – – – – – – – –
56 Saisie du mot de passe – – – – – – – –
Paramètres 2, 3 –
12 Activer/désactiver le listage de messages –
Paramètre 1 0 : non
1 : oui
Paramètres 2, 3 –
13 Changement de langue
Paramètre 1 0 : 1re langue
1 : 2e langue
2 : 3e langue
Paramètres 2, 3 –
14 Régler l’heure (en DCB)
Paramètre 1 OG : –
OD : heures (0..23)
Paramètre 2 OG : minutes (0..59)
OD : secondes (0..59)
Paramètre 3 –
15 Régler la date (en DCB)
Paramètre 1 OG : –
OD : jour de la semaine (1..7 : dimanche...samedi)
Paramètre 2 OG : jour (1..31)
OD : mois (1..12)
Paramètre 3 OG : année
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
Paramètres 2, 3 –
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
TD10
TD20
TD17
OP20
OP25
OP27
OP15
OP17
OP35
OP37
TP27
TP37
OP5
OP7
No Fonction
Contrats avec Si le paramètre ”Verrouillage du curseur” prend une valeur différente de zéro
verrouillage du dans l’un des contrats 11, 51, 53, 72 et 73, ni les touches curseur, ni la touche
curseur ESC ne permettent de quitter le champ de saisie sélectionné. Pour lever le
verrouillage du curseur, il faut alors :
répéter le contrat avec verrouillage du curseur = 0,
déclencher un autre contrat qui provoque une modification de l’affichage.
Si l’opérateur essaie de quitter le champ de saisie pendant le verrouillage du
curseur, l’appareil affiche le message $400 Entrée non autorisée”.
Le verrouillage du curseur n’est pas possible pour les pupitres à afficheur
graphique.
Touches de OP5 :
fonction F1...F6 : 1...6
OP7 :
F1...F4 : 1...4
K1...K4 5...8
OP15 :
F1...F16 : 1...16
OP17 :
F1...F8 : 1...8
K1...K16 : 9...24
OP20 :
F1...F24 : 1...24
6 3
1 8 7
TD17 :
ESC 6
11
16 18
HELP 22 23 ENTER 24
OP5 et OP15 :
7 8 9 DEL
1 2 3 4 INS 5 6
D E F HARD
4 7 5 8 6 9 COPY 10 11 12
A B C
1 13 2 14 3 15 16 SHIFT 17 18
19 0 20 +/– 21 22 23 24
.
OP7 et OP17 :
7 8 9 INS
1 2 3 4 DEL 5 ESC 6
D E F
4 7 5 8 6 9 10 11 ACK 12
A B C
1 13 2 14 3 15 16 SHIFT 17 18
OP20 :
7 8 9 INS DEL
1 2 3 4 5 6
D E F
HARD
4 7 5 8 6 9 COPY 10 11 12
A B C
16 SHIFT
1 13 2 14 3 15 17 18
. 19 0 20 +/– 21 22 23 24
C.1 Généralités
Conception Afin de pouvoir couvrir toutes les interfaces, des solutions différentes ont été
adoptées selon les appareils :
TD10, TD20 et OP20
Ces appareils disposent de divers modules d’interface.
OP5/15 et OP7/17
Ces pupitres opérateurs existent en diverses variantes d’appareil.
OP25/35, OP27/37 et TP27/37
Toutes les interfaces sont intégrées dans ces appareils.
Modules Si l’une des conditions suivantes est remplie, vous devez enficher un module
d’interface d’interface dans les TD10/20, OP20 :
S utilisation d’une imprimante avec les TD10/20, OP20
S connexion à l’automate par l’intermédiaire de
– interface RS422
– 2e interface série (mode de bouclage)
– interface parallèle,
– réseau SINEC-L2,
– réseau SINEC-L2-DP
Identificateur de Chaque module d’interface est doté d’un identificateur de matériel qui est lu
matériel par le TD/OP lors du démarrage de l’appareil et comparé aux données de la
configuration. En cas de différence, l’appareil affiche un message d’erreur et
reste bloqué.
Avertissement
! Ne connectez ou déconnectez le module d’interface que lorsque la tension
d’alimentation du TD/OP est coupée.
Versions Le module d’interface série est prévu pour les trois types de transmission
suivants :
V.24 (RS 232),
X.27 (RS 422),
TTY (20 mA).
Eléments de Un module d’interface série comporte deux connecteurs femelles Sub-D dont
connexion certaines lignes sont câblées en parallèle. C’est pourquoi il n’est possible
d’utiliser qu’un seul connecteur à la fois.
Eléments de Un interrupteur DIL plat 4 voies se trouve sur le module d’interface série.
réglage
Réglage d’usine et réglage standard :
tous les interrupteurs en position OFF.
Ce réglage doit être maintenu en cas d’utilisation de câbles standard.
Le câble standard 6ES5 726-5 pour couplage à l’UC 928 B constitue une ex-
ception. Dans ce cas tous les interrupteurs doivent être en position ON.
La figure C-1 représente la position des éléments de réglage et le réglage
standard.
S1
. .4
.3
.2
.1
Module d’interface série :
ON OF
réglage standard de
F
l’interrupteur DIL S1
15 broches 25 broches
AP avec 6XV1440-2A
PG-SS TTY 6ES5 726-5 UC 928 B
TTY/V.24 avec module TTY
6XV1418-0C S1 : tous les interrupteurs
6XV1440-2G V.24 sur ’ON’
CP521
SI TTY
6ES5 735-2
6XV1440-2F V.24
CP
523 TTY
Interrupteurs La commutation actif/passif pour le mode TTY est réalisée avec les interrup-
S1.1 et S1.2 teurs S1.1 et S1.2 (voir la figure C-2).
21 11 TxD+ +JT
18 6 TxD– TxD+
22 7 TxD–
S1.1 23 15 GND
10 13 RxD+ +JR
9 9 RxD– RxD+
11 2 RxD–
S1.2
12 12 GND
X1, connecteur 20 broches
Nota
Les bornes de réseau FSK ne peuvent pas être connectées!
Connecteur
Panneau arrière
femelle Sub-D
à 9 contacts
vers la borne de réseau SINEC L2
8 1
Brochage du connecteur Connecteur femelle SUB-D à 9
contacts
15 9
Broche Signal
1 blindage
2 Data B (redondant)
3 Data B
4 RTS-PG (identique à la broche no 9)
5 Tension d’alimentation de Data Ground et Masse
6 Tension d’alimentation +5 V CC
7 Data A (redondant)
8 Data A
9 RTS-PG (sortie de validation d’émission)
Description Le module d’interface SINEC L2-DP permet d’intégrer les TD10, TD20 et
succincte l’OP20 à un système SINEC L2-DP.
La connexion du Module SINEC L2-DP au réseau SINEC L2-DP est réalisée
par une interface série à la norme physique RS 485. Cette interface est dispo-
nible sur le connecteur femelle à 9 contacts du module.
Le Module SINEC L2-DP peut être connecté à tous les composants Siemens
du réseau SINEC L2, par exemple les bornes de réseau RS 485 ou les bornes
de réseau SINEC L2 FO.
Nota
Les bornes de réseau FSK ne peuvent pas être connectées!
Connecteur
femelle Sub-D à Panneau arrière
9 contacts
vers la borne de réseau SINEC L2
8 1
Brochage du Connecteur femelle SUB-D à 9 contacts
connecteur
15 9
Broche Signal
1 blindage
2 réservé
3 Data B
4 réservé
5 Tension d’alimentation de Data Ground et Masse
6 Tension d’alimentation +5 V CC pour la borne de réseau
7 réservé
8 Data A
9 réservé
Tableau D-2 Temps de traitement du FB51 (toutes les indications de temps sont en millisecondes)
Emission d’un té- Traitement d’un contrat automate à émettre. Le temps diffère selon qu’un
légramme de l’AP pointeur sur un nouveau contrat est trouvé dans la première boîte d’applica-
tion scrutée ou dans l’une des boîtes suivantes. La valeur ne délivre aucune
information sur le moment où le contrat se trouve effectivement dans le
TD/OP ou y est exécuté.
Exploitation d’un Ecriture de la date, l’heure et des bits d’interruption de réveil dans la zone
télégramme du d’interface.
TD/OP
Tableau D-4 Temps de traitement du FB53 (toutes les indications de temps sont en millisecondes)
Tableau D-7 Temps de traitement du FB52 (toutes les indications de temps sont en millisecondes)
*) pour ces AP (avec UC 521 SI), seulement 6 octets sont transférées vers le TD/OP ou
lus par celui–ci lors de chaque cycle (appel du bloc fonctionnel standard).
Tableau D-9 Temps de traitement du FB56 (toutes les indications de temps sont en millisecondes)
Emission d’un Traitement d’un contrat automate à émettre par le bloc fonctionnel FB-
télégramme de SEND. La valeur ne délivre aucune information sur le moment où le contrat
l’AP se trouve effectivement dans le TD/OP ou y est exécuté.
AP CPU Fonctions
Charge de base Le bloc fonctionnel doit être appelé de manière absolue dans le programme
cyclique. En charge normale, il traite les bits de commande et de compte ren-
du, cherche si les 8 boîtes d’application du bloc de données d’interface DB–
TDOP contiennent des entrées et exploite le bit de vie destiné à la surveillan-
ce de la liaison. Le bloc fonctionnel a besoin du temps indiqué pour effectuer
toutes ces tâches.
Transfert d’un Un transfert de données de l’automate vers le TD/OP qui lui est connecté, est
contrat TD/OP précédé d’une demande de données envoyée par le TD/OP. Le bloc fonction-
nel exploite tout d’abord cette demande de données (contrôle de validité, de
présence des zones de données etc.), rassemble ensuite les données de-
mandées, puis les transmet.
Le temps d’exécution a été déterminé pour une zone de données (1 pointeur)
de la demande de données. Dans ce cas, 20 octets de données utiles sont
transférés.
Transfert d’un Dans le cas d’un transfert de contrats automate, le bloc fonctionnel interroge
contrat automate les boîtes d’application jusqu’à ce qu’il trouve une entrée et vérifie la zone
de données indiquée dans le pointeur. Les données à transmettre sont ras-
semblées dans la boîte d’émission avec la zone de coordination, puis elles
sont émises. Le bloc fonctionnel n’accepte aucun contrat TD/OP pendant ce
cycle.
Remarques sur les Le temps de réponse des TD/OP sur le bus PROFIBUS est déterminé par le
bus PROFIBUS et temps de cycle de l’AP. Vous pouvez améliorer les temps de réponse en utili-
PROFIBUS–DP sant une unité centrale rapide (par exemple CPU 944/S5–115U ou CPU
928/S5–135U) ou en répartissant les TD/OP sur plusieurs AP.
L’utilisation des unités centrales CPU 941 et CPU 942 de la série S5–115U,
ainsi que de la CPU 922 de la série S5–135U, ne peut, par conséquent, être
recommandée que soit pour des configurations où le facteur temps n’est pas
déterminant, soit pour un petit nombre d’appareils, soit pour de petites confi-
gurations (peu de zones de communication ou, mieux encore, dont les trans-
ferts sont déclenchés par contrat
Nota
Siemens n’accorde aucune garantie sur les câbles soudés par vos soins.
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> SIMATIC S5 (TTY)
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 15 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage à coulisse
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre AP
PE 1 1 PE
Blindage du boîtier Blindage du boîtier
PE 8 8 PE
R20 mA 13
+RxD 9
– RxD 2 6 +TxD
GND 15 7 – TxD
T20 mA 11 9 +RxD
+TxD 6 2 – RxD
GND 12
– TxD 7
* Pour les câbles TTY en longueurs spéciales > 10 m, deux diodes Zéner (12 V) doivent être
soudées dans le connecteur à 15 contacts côté pupitre de contrôle-commande (TTY actif) :
BZX 55 C12 No d’id. 30095128
Blindage des deux côtés avec une grande surface de contact au boîtier
Câble : 5 x 0,14 mm2 ; blindé ; longueur maxi 1000 m
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> CPU 928B/945 (TTY)
6 XV1440 - 2J...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage à coulisse
PE 1 1 PE
Blindage du boîtier Blindage du boîtier
PE 8
T20 mA 11
+TxD 6
– TxD 7 13 +RxD
GND 15 14 – RxD
R20 mA 13
7 GND
+RxD 9
– RxD 2 10 +TxD
19 – TxD
RxD 3 2 TxD
TxD 4 3 RxD
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> imprimante (TTY)
6 XV1440 - 2B...
Imprimante : DR210-/211-/230-/231-N
DR215-/216-/235-/236-N
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
TTY passif TTY actif
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre Imprimante
PE 1 Blindage
1
Blindage du boîtier du boîtier
PE 8
+RxD 9 21 – TxD
– RxD 2 18 +TxD
+TxD 6 10 – RxD
– TxD 7 9 +RxD
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> imprimante (V. 24)
6 XV1440 - 2C...
Imprimante : DR210-/211-/230-/231-N
DR215-/216-/235-/236-N
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
V.24 V.24
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre Imprimante
1 PE
Blindage du boîtier
RxD 3 2 TxD
TxD 4 3 RxD
GND 15 7 GND
CTS 5 25 BUSY
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> CP 521 SI (V.24)
6 XV1418 - OC...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 25 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
V.24 V.24
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre CP521 SI
Blindage du boîtier 1 PE
RxD 3 2 TxD
TxD 2 3 RxD
CTS 5 4 RTS
RTS 4 5 CTS
GND 7 7 GND
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> CP 521 SI (TTY)
6 XV1440 - 2G...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre CP521 SI
PE 1 1 PE
Blindage de l’appareil
Blindage de l’appareil
PE 8
R20 mA 13
+RxD 9
– RxD 2 18 +TxD
GND 15 21 – TxD
T20 mA 11 9 +RxD
+TxD 6 10 – RxD
– TxD 7
GND 12
Pour les câbles TTY en longueurs spéciales > 10 m, deux diodes Zéner (12 V) doivent être soudées
dans le connecteur à 15 contacts côté pupitre de contrôle-commande (TTY actif) :
BZX 55 C12 No d’id. 30095128
Blindage des deux côtés avec une grande surface de contact au boîtier
Câble : Liycy 5 x 0,14 mm2 ; longueur maxi 1000 m
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> CP 523 (TTY)
6 XV1440 - 2F...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre CP 523
PE 1 25 PE
Blindage du boîtier Blindage du boîtier
PE 8
+24V
R20 mA 13
+RxD 9
– RxD 2 10 +TxD
GND 15 12 – TxD
+24V
T20 mA 11 6 +RxD
+TxD 6 8 – RxD
– TxD 7
GND 12
Pour les câbles TTY en longueurs spéciales > 10 m, deux diodes Zéner (12 V) doivent être
soudées dans le connecteur à 15 contacts côté pupitre de contrôle-commande (TTY actif) :
BZX 55 C12 No d’id. 30095128
Blindage des deux côtés avec une grande surface de contact au boîtier
Câble : 5 x 0,14 mm2 ; longueur maxi 1000 m
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande RS422 <–>
SIMATIC 500/505 RS422
Connecteur 1 : connecteur mâle Sub-D à 9 contacts Connecteur 2 : connecteur mâle Sub-D à 9 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
sortie de câble sur le contact 1 sortie de câble sur le contact 1
RS422 RS422
Connecteur 1 Connecteur 2
–
TxD+ 3 9 DI+ +
TxD– 8 2 DI– –
+ RxD+ 4 3 DO+
– RxD– 9 8 DO–
GND 5 5 GND_RS422
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> SIMATIC 500/505
ou PC
6 XV1440 - 2K...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur femelle Sub-D à 9 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
sortie de câble sur le contact 1 sortie de câble sur le contact 1
coquille entièrement métallique
V.24 V.24
Connecteur 1 Connecteur 2
PE 8 6 DSR
4 DTR
CTS 5
RxD 3 3 TxD
TxD 4 2 RxD
GND 12 5 GND
RTS 10
7 RTS
8 CTS
Blindage des deux côtés avec une grande surface de contact au boîtier
Câble : 5 x 0,14 mm2 ; blindé ; longueur maxi 15 m
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> SIMATIC 500/505
ou PC
6 XV1440 - 2L...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
sortie de câble sur le contact 1 sortie de câble sur le contact 1
coquille entièrement métallique
V.24 V.24
Connecteur 1 Connecteur 2
PE 1 25 PE Blindage du boîtier
Blindage du boîtier 8
RxD 3 2 TxD
TxD 4 3 RxD
RTS 10 4 RTS
CTS 5 5 CTS
GND 12 7 GND
6 DSR
20 DTR
8 DCD
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande RS422 <–>
SIMATIC 500/505 RS422
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 9 contacts connecteur mâle Sub-D à 9 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
sortie de câble sur le contact 1 sortie de câble sur le contact 1
RS422 RS422
Connecteur 1 Connecteur 2
–
TxD+ 3 5 DI+ +
TxD– 8 8 DI– –
+ RxD+ 4 1 DO+
– RxD– 9 7 DO–
GND 5 6 GND_RS422
3 GND_RS485
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande RS422 <–>
SIMATIC 500/505 RS422
6 XV1440 - 2N...
Ne s’applique qu’aux pupitres de contrôle-commande suivants :
TD10, TD20, OP5, OP15, OP20, OP30
Connecteur 1 : connecteur mâle Sub-D à 25 contacts Connecteur 2 : connecteur mâle Sub-D à 9 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
sortie de câble sur le contact 1 sortie de câble sur le contact 1
coquille entièrement métallique
Connecteur 1 Connecteur 2
GND 12
+ RxD+ 14 1 DO+
– RxD– 15 7 DO–
TxD+ 16 5 DI+ +
TxD– 17 8 DI– –
GND 7 6 GND_RS422
GND 23 3 GND_RS485
Câble de liaison :
Câble adaptateur (TTY/V. 24)
6 XV1440 - 2DE32
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur femelle Sub-D à 25 contacts
verrouillage à coulisse boulon pour verrouillage par vis
Connecteur 1 Connecteur 2
PE 1 1 PE Blindage
du boîtier
PE 8
TxD 4 2 TxD
RxD 3 3 RxD
RTS 10 4 RTS
CTS 5 5 CTS
GND 12 7 GND
GND 15
– RxD 2
+RxD 9 9 +RxD
(R20mA) 13 10 – RxD
+TxD 6 18 +TxD
(T20mA) 11 21 – TxD
– TxD 7
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> Mitsubishi FX0
6 XV1440 - 2P
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 9 contacts connecteur femelle mini DIN à 8 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
sortie de câble vers l’arrière sortie de câble vers l’arrière
Connecteur 1 Connecteur 2
TxD+ 3 2 RxD+ +
TxD– 8 1 RxD– –
GND 5 3 GND
+ RxD+ 4 7 TxD+
– RxD– 9 4 TxD–
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> Mitsubishi FX0
6 XV1440 - 2Q
Connecteur 1 : connecteur Sub-D à 25 contacts Connecteur 2 : connecteur femelle mini DIN à 8 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
sortie de câble vers l’arrière sortie de câble vers l’arrière
Connecteur 1 Connecteur 2
TxD+ 16 1 RxD+ +
TxD– 17 2 RxD– –
GND 7 3 GND
+ RxD+ 14 7 TxD+
– RxD– 15 4 TxD–
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> Mitsubishi FX
6 XV1440 - 2R
Connecteur 1 : connecteur mâle Sub-D à 9 contacts Connecteur 2 : connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
câble vers l’arrière câble vers l’arrière
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre Mitsubishi FX
Blindage du boîtier PE 1
+
–
TxD+ 3 2 RxD+ +
TxD– 8 15 RxD– –
GND 5 20 GND
12 +5V
+ RxD+ 4 3 TxD+
– RxD– 9 16 TxD–
4 DSR+ +
17 DSR– –
5 DTR+
18 DTR–
21 PWE
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> Mitsubishi FX
6 XV1440 - 2S
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre Mitsubishi FX
TxD+ 16 2 RxD+ +
TxD– 17 15 RxD– –
GND 7 20 GND
12 +5V
+ RxD+ 14 3 TxD+
– RxD– 15 16 TxD–
4 DSR+ +
17 DSR– –
5 DTR+
18 DTR–
21 PWE
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–>
Allen Bradley PLC-5/RS422
6 XV1440 - 2V...
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre PLC-5
+TxD 3 16 – RxD +
– TxD 8 3 +RxD –
+
+RxD 4 14 +TxD
–
– RxD 9 2 – TxD
GND 5 7 GND
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–>
Allen Bradley PLC-5/RS422
6 XV1440 - 2W...
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre PLC-5
+RxD 14 14 – TxD
– RxD 15 2 +TxD
16 – RxD –
+TxD 16
– TxD 17 3 +RxD +
GND 7 7 GND
Câble de liaison :
Câble adaptateur (TTY/V. 24)
TTY
Connecteur 1 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts 1 PE Blindage
verrouillage à coulisse 8 PE du boîtier
coulisse sur le connecteur
2 sorties de câble 2 – RxD
Connecteur 1
6 +TxD
OP 5 7 – TxD
9 +RxD
11 20mA
12 M
Blindage PE 1
13 20mA
du boîtier PE 8
14 PSV
– RxD 2
15 M
RxD 3
TxD 4
CTS 5
Connecteur 3 :
connecteur femelle Sub-D à 15 contacts
+TxD 6
verrouillage à coulisse
– TxD 7 tête d’arrêt sur le connecteur
+RxD 9 Connecteur 3
RTS 10
V.24
20mA 11
M 12
20mA 13
1 PE Blindage
P5V 14
du boîtier
8 PE
M 15
3 RxD
4 TxD
5 CTS
10 RTS
12 M
14 PSV
Câble : 5 x 2 x 0,14 mm , blindé ; longueur de câble 20 cm
2 15 M
Blindage des deux côtés avec une grande surface de contact au boîtier
6 XV1440 - 2T...
Connecteur 1 Connecteur 2
1 1
2 2
3 3
4 4
5 5
6 6
7 7
8 8
9 9
6 XV1440 - 2UE 32
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 15 contacts connecteur mâle Sub-D à 9 contacts
verrouillage à coulisse boulon pour verrouillage par vis
câble sur le contact 1 câble vers l’arrière
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre AT-PC
RTS 10 7 RTS
RxD 3 2 RxD
TxD 4 3 TxD
CTS 5 8 CTS
GND 15 5 GND
Câble de liaison :
OP20 <–> MR20
6 XV1440 - 2E...
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur mâle Sub-D à 25 contacts connecteur mâle Sub-D à 25 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
Connecteur 1 Connecteur 2
1 1
2 2
3 3
4 4
5 5
6 6
7 7
8 8
9 9
10 10
12 12
13 13
14 14
15 15
16 16
17 17
18 18
19 19
20 20
21 21
22 22
23 23
24 24
25 25
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> Omron
6 XV1440 - 2X...
Connecteur 1: Connecteur 2:
connecteur mâle Sub D à 15 contacts connecteur mâle Sub D à 9 contacts
verrouillage à coulisse verrouillage par vis
sortie de câble sur le contact 1 sortie de câble sur le contact 1
coquille entièrement métallique coquille entièrement métallique
V.24 V.24
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre Omron
RxD 3 2 TxD
TxD 4 3 RxD
GND 12 7 GND
9
Câble de liaison :
Pupitre de contrôle-commande <–> Omron
Connecteur 1 : Connecteur 2 :
connecteur Sub-D à 9 contacts connecteur Sub-D à 9 contacts
verrouillage par vis verrouillage par vis
sortie de câble vers l’arrière sortie de câble vers l’arrière
Connecteur 1 Connecteur 2
Pupitre Omron
+TxD 3 8 –RxD +
R=220
– TxD 8 6 +RxD –
+ +RxD 4 2 –TxD
– –RxD 9 1 +TxD
GND 5 GND
Structure de la documentation
La documentation SIMATIC HMI comprend les composantes suivantes :
Manuels d’utilisation pour :
– Logiciel de configuration
– Logiciel de runtime
– Communication entre automate et le pupitre contrôle-commande
Manuel produits pour les pupitres de contrôle-commande suivants :
– MP (Multi Panel)
– OP (Operator Panel)
– TP (Touch Panel)
– TD (Text Display)
– PP (Push Button Panel)
Aide en ligne pour le logiciel de configuration
Guides de mise en service
Descriptions succinctes
TD17
installation d’options,
Manuel produit entretien et échange de pièces.
OP3 Opérateur de mise Décrit le matériel de l’OP3, les procédures générales de dialo-
Manuel produit en service, utilisa- gue et le couplage au SIMATIC S7.
teur, programmeur
PP7, PP17 Opérateur de mise Décrit le matériel, l’installation et la mise en service des Push
Manuel produit en service, utilisa- Button Panel PP7 et PP17.
teur
numéro de bit, 11-12, 14-12, 17-12 V.24, 7-10, 18-3, 20-5, 22-2, 22-5, C-3
Image des touches de fonction, 11-11, 14-11, X.27, C-3
17-11, 24-9 Interface de base, 7-2
Image du clavier, 11-8, 14-8, 17-8 Interface de module, paramétrage, B-5
Image du clavier système, 11-9, 14-9, 17-9, Interface de programmation, 1-18
24-8
Interface, paramétrer, B-5
Image spéciale
Interruption, bloc de dialogue, 2-7
Manipulations, 18-14
Zone de numéros d’image, 24-12
zone de numéros d’image, 11-14, 14-14,
17-14
Images du clavier, 24-7 Jeu statique de paramètres, 5-13
Impression d’image, B-10
Impression d’une recette avec tous les enregis-
trements, B-3
Impression de recette, B-10 Langue d’installation, 18-15
Impression de toutes les images, B-3 Lecture de la zone d’acquittement dans l’auto-
Impression des statistiques des messages d’alar- mate, B-8
me, B-7 Lecture de la zone de messages d’alarme dans
Impression des statistiques des messages d’évé- l’automate, B-8
nement, B-7 Lecture de la zone de messages d’événement
Impression du rapport d’équipe, B-7 dans l’automate, B-8
Impression du tampon des messages d’alarme, Lecture de la zone des LED dans l’automate,
B-7 B-8
Impression du tampon des messages d’événe- LED
ment, B-7 Affectation, 24-10
affectation, 11-12, 14-12, 17-12
Indirect, 11-20, 14-20, 24-18
états, 11-12, 14-12, 17-12
Initialisation, Programme/Interface, 19-4 OP17, 11-12, 14-12, 17-12
Installer, Sous ProTool, 18-15 Liaison, Autres automates, 18-3
Interface, 12-7, 12-15, 12-32 Libérer, alarmes, 2-7
Autres automates, 18-3
Ligne d’acquittement, 9-22
COM1, 19-4
Configuration, 19-4 Limitations
De base, 7-2 Autres automates, 18-19
Initialisation, 19-4 couplage AS511, 4-3
MPI, 1-15 Couplage parallèle, 9-3
Parallèle, 9-22, C-2 mode de bouclage, 3-6, 4-6
Paramétrer, 18-4 Limitations du système, Couplage au réseau SI-
Paramètres, 18-16 NEC L2, 8-2
PG, 1-9
RS232, C-3 Limite système, couplage au réseau PROFI-
BUS-DP, 6-3
RS422, 18-3, 20-5, 22-2, 22-5, C-3
RS485, 18-3 Listage de messages oui/non, B-4
Série, 18-4, 19-2 Liste, messages système, A-1
série, 1-9, 1-10, 1-12, 1-19
SI2, 1-10, 5-14 Liste d’adresses des DB, 2-6
TTY, 7-10, 18-3, C-3
Protocole, Couplage série libre, 19-2 Réglage du niveau de mot de passe, B-7
zone de numéros d’image, 14-13
zones de données utilisateur, 14-2
SIMATIC S7-200, 12-5, 12-30 Taille de bloc, 6-6, 6-16, 6-19
SIMATIC S7-300, 12-5 Taille des zones d’acquittement, 14-7, 24-6
SIMATIC S7-400, 12-5 Tampon commuté, 11-15, 14-15, 17-15, 24-13
Simulation de clavier, B-11 Tampon de données, 11-22, 24-19
SINEC L2, 8-1 TD, 9-2
Blocs de dialogue, 8-7
Paramétrage, 8-9 Télégramme, Emission/réception automatique,
19-4
S5– 95L2, 8-12
Telemecanique
SINEC L2–DP, standard FB, D-10
Blocs de données, 23-3
SINEC L2-DP, paramètres, 6-19 Connexion, 23-2
SINUMERIK S7, modules, 12-27 Exemple de configuration, 23-4
SLC 500, 22-2 Telemecanique TSX Adjust, Fichiers des exem-
ples, 23-4
Sortie numérique, C-7
Temps de cycle, CP521 SI, 5-10
Structure
bloc de données étendu, 5-12 Temps de mise à jour, 2-5, 12-33, 15-7, 24-22
Blocs de données, 18-7, 18-9 Temps de scrutation, 2-5
Boîte de contrat, 9-17, 18-11 Configuration, règles, 18-19
Message d’alarme, 9-18 Logiciels de gestion Block , 24-22
Message d’événement, 9-18 pour zones de données utilisateur, 2-5
Module parallèle, C-7 PROFIBUS-DP, 6-21
Module SINEC L2, C-9 remarques, 2-5
Module SINEC L2-DP, C-11 Valeurs prépondérantes, 24-22
Valeur de sortie, 9-19 valeurs prépondérantes, 12-33, 15-7
Structure de la communication, 8-3 zone de communication, 2-5
Autres automates, 18-5 TISOFT, 20-4
couplage au réseau PROFIBUS-DP, 6-4
Touche de fonction, B-14
Couplage au réseau SINEC L1, 7-4
Couplage au réseau SINEC L2, 8-3 Touches de fonction, bit global de clavier, 17-11
couplage FAP, 5-2
Couplage parallèle, 9-4
Variables de type Integer, 20-3, 23-3 Zone de bits d’alarme, mise à 1 d’un bit, 11-3,
14-3, 17-3
Verrouillage du curseur, B-13
Zone de communication
Verrouiller, alarmes, 2-7
Zone de numéros d’image, 24-11
Version application utilisateur, 24-15 zone de numéros d’image, 11-13, 14-13,
Version de microprogramme 17-13
SIMATIC S5, 4-14, 10-12 Zone de données
zone d’interface, 4-7, 10-4 date, 4-11, 10-9, 16-6
Version utilisateur, 11-17, 14-17, 17-17, 18-18 heure, 4-11, 10-9, 16-6
image du clavier système, 11-9, 14-9, 17-9
Vitesse de transmission, 6-13, 7-10, 8-10, 12-7,
12-15, 12-32, 19-4, 20-3, 23-3, C-10, C-12 Zone de données de courbe, 14-15, 14-16,
17-16, 24-14
Zone de messages, 11-3, 11-4, 14-3, 14-4, 17-4
Zone de messages d’alarme, nombre, 11-4,
14-4, 17-4
Watchdog, fonction, 18-13
Zone de messages d’événement
mise à 1 d’un bit, 11-3, 14-3, 17-3
nombre, 11-4, 14-4, 17-4
Zone de numéros d’image, 11-13, 14-13, 17-13,
Zone d’acquittement, 11-5, 11-6, 14-5, 14-6, 24-11
17-5, 17-6
Zone de sélection de courbe, 11-16, 14-16,
Zone d’acquittement des alarmes 17-16, 24-14
Nombre, 24-3 Zone des données de contrat, Déclarer, 9-14
nombre, 11-4, 14-4, 17-4
Zone des variables, 9-18
Zone d’alarmes, Mettre le bit à 1, 24-3
Zones d’acquittement, 24-4, 24-5
Zone d’événements, Mettre le t à 1, 24-3
Zones de communication, Configurer, 18-17
Zone d’interface
AP du groupe 1, 4-7 Zones de données
bit de réveil, 4-8, 10-4 Déclarer, 7-6, 8-5, 9-6
bits de commande et de compte rendu, 4-7, Image du clavier système, 24-8
10-4 SIMATIC 500/505, 15-4
boîte de contrat, 10-4 Transfert d’enregistrements, 24-19
boîte de numéros de recettes, 10-3 transfert d’enregistrements, 11-21
boîte de recettes, 10-3 Zone de données de courbe, 24-14
boîte de suites de recettes, 10-3 zone de données de courbe, 11-16, 14-16,
contrat automate, 4-7 17-16
Couplage parallèle, 9-10 Zone de numéros d’image, 24-11
date/heure, 4-7, 10-4 zone de numéros d’image, 11-13
fonction, 10-2 Zone de sélection de courbe, 24-14
identificateur de l’AP et du couplage, 4-7, zone de sélection de courbe, 11-16, 14-16,
10-4 17-16
longueur, 10-2 Zones de données utilisateur
message d’erreur des blocs de dialogue, 10-5 Autres automates, 24-1, 24-2
SIMATIC 500/505, 16-1 Ecriture indirecte de variables, 24-21
SIMATIC S5, 10-2 écriture indirecte de variables, 11-26, 14-26
SIMATIC S7, 13-1 Fonctionnalités, 24-2
surveillance du bit de vie, 4-8, 10-4 fonctionnalités, 11-2, 14-2, 17-2
version de microprogramme, 4-7, 10-4 Messages d’alarme, 24-3
zones réservées, 10-5