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Université Adventiste Consendai

Faculté de théologie

Sujet : faire une clarification des notions en rapport avec


la théologie systématique

Travail pour l’accomplissement des exigences partielles


du cours de Théologie Systématique RELT 415

Par
 NDOUMOU Daniel Fabrice : 22171
 KOMBO JOH Guy :
 NDJEMBA Emmanuel :22149
 AMINOU AMINOU Ezéchiel :22150
 PLEKA KROBE Jean Jaures :

Enseignant : Année académique : 2018-


2019
Dr. ESSO Jean Christian
Sujet 1 : différence entre la foi et la raison
 Définitions
a- La foi
 D’après Encarta, c’est le mouvement de toute la personnalité impliquant à la fois la
volonté et l’intelligence vers une personne ou une idée.
 Selon Hébreux 11 :1 c’est « une ferme assurance des choses qu’on espère, une
démonstration de celles qu’on ne voit pas. »
En résumé, nous définissons la foi comme le don par lequel Dieu se laisse connaître
par l’homme et établie avec lui une relation de confiance.
b- La raison 
Du point de vu philosophique, c’est la connaissance purement humaine excluant
toute révélation. C’est aussi la faculté de discerner le bien du mal.
Relation entre Foi et Raison
La foi est intelligente ; elle inclue à ce titre aussi la raison. Une foi sans raison
n’est que de la présomption qui est une opinion trop élevée, avantageuse de soi-
même.

Sujet 2 : différence entre inerrance et infaillibilité


 Définitions
a- L’inerrance : inerrance ne signifie pas d’erreur. Ceci implique la syntaxe, la
grammaire, l’orthographe etc.
b- L’infaillibilité : l’infaillibilité signifie sans faille, contenu vrai.
Relation entre inerrance et infaillibilité
L’infaillibilité est l’inerrance du message c’est-à-dire le contenu.

Sujet 3 : étudier le texte de Matthieu 6 :11 et voir les différentes interprétations faites sur ce
texte et les implications théologiques.
Analyse du texte
Plusieurs

Notre compréhension dudit texte


Avant toute chose, il convient pour nous de voir les différentes significations de la notion de
« pain » dans la Bible afin de voir sur celle donc qui s’applique à cette enseignement de la
prière donné par Jésus.
La notion de pain apparaît 260 fois et renvoie à chaque fois à l’une des significations
suivantes :
 Genèse 3 :19 : pain, nourriture, grain, aliment, repas.
 Matthieu 6 :25 ; 31-32 : nourriture, grain, aliment, repas (broma).
 Matthieu 16 :11-12 : enseignement, parole.
 Jean 6 :35 : Christ
 Jean 6 :50-51 : sacrifice du Christ

Question : dans Matthieu 6 :11 de quel pain s’agit-il ?


Réponse : il s’agit ici du pain comme parole de Dieu.
En effet, la présence du mot « pain » dans cet exemple de prière est appelé en théologie
l’intrus. Ceci se vérifie dans la mesure où tout ce que Jésus enseigne dans cette prière est
spirituel. Aussi dans cette prière, on relève sept (07) éléments spirituels principaux que tout
fidèle disciple du Christ devrait tenir en compte chaque jour à savoir : la sanctification du
nom de Dieu, le règne de Dieu, la volonté de Dieu, le pain (parole de Dieu), le pardon des
offenses, la protection de la tentation, la délivrance du mal. La présence du pain comme
quatrième (4è) élément et par ailleurs le centre de cette liste d’éléments spirituels implique le
fait que Christ (sa parole) doit être le centre de nos vies et c’est alors que nous que nous
jouirons de ces grâces en totalité.

Sujet 4 : différence entre révélation générale et révélation spécifique


 Définition
 Révélation : du grec « apocalyptos » qui signifie dévoiler, la révélation est un
acte souverain par lequel Dieu se rend accessible aux humains.
Notre Dieu est un Dieu qui se révèle à nous. Il vient à nous pour nous montrer son caractère et
nous révéler sa volonté. Il se révèle à nous de deux manières : de manière générale et de
manière spécifique.
a- Révélation générale 
Il s’est révélé par la nature
 Physique : toutes créatures physiques (montagne, relief, océan etc). Psaumes 19
 Révélation surnaturelle : métaphysique (éclaire, tremblements de terre, etc)
Psaumes135 :7 ; Ezéchiel1 :13
b- Révélation spécifique
 Incarnation de Dieu/plan du salut (Matthieu1 :21 ; Phil2 :6-11)
 Bible/Saintes-Ecritures (2tim3 :16-17 ; 2Pi1 :21).

Sujet 5 : inspiration


Ce mot vient du verbe « inspirer », dérivé lui-même de deux mots latins : ‘‘in’’ (dans) et
‘‘spirare’’ (souffler) et qui signifie par conséquent « mettre un souffle, un esprit dans
quelqu’un ». C’est l’acte par lequel Dieu met son Esprit en Son agent.
Dans la Bible, un homme est considéré comme inspiré lorsqu’il agit sous l’impulsion d’une
force qui le domine ; cette force est en général l’Esprit divin. Ainsi, lorsque la Bible parle de
personnes inspirées, il s’agit avant tout de ceux qui ont été appelés par Dieu à une tâche
spéciale.
Dans la Bible, un homme est considéré comme inspiré lorsqu’il agit sous l’impulsion d’une
force qui le domine ; cette force est en général l’Esprit divin. Ainsi, lorsque la Bible parle de
personnes inspirées, il s’agit avant tout de ceux qui ont été appelés par Dieu à une tâche
spéciale. (2Pi 1 :20-21)

Sujet 6 : autorité de la Bible et principe de canonisation


a- Autorité de la Bible
Venant d’elle-même, elle fut mise en relief de fort belle manière par Martin Luther lors de
la réforme protestante qui reconnaît en elle-même les cinq (05) sola :
- Sola Scritura
- Sola Gracia
- Sola Fide
- Solus Christus
- Soli Deo Gloria.
2Tim3 :16 « Dans la Bible, un homme est considéré comme inspiré lorsqu’il agit sous
l’impulsion d’une force qui le domine ; cette force est en général l’Esprit divin. Ainsi, lorsque
la Bible parle de personnes inspirées, il s’agit avant tout de ceux qui ont été appelés par Dieu
à une tâche spéciale. »
2Pi 1 :21 « car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée,
mais c'est poussé par le Saint -Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu.”

b- Canonisation

Aucun texte clair ne permet d’appuyer la raison qui a déterminé l’église à adopter un canon
officiel des Ecrits chrétiens ; pas lus que le processus qui a abouti à ce canon.

Pour Jésus et ses disciples, la loi, les prophètes et les Ecrits du Judaïsme étaient les Saintes-
Ecritures. L’interprétation de ces écrits fut toute fois déterminée par le travail, les paroles et la
personne de Jésus tel qu’il avait été compris par ses disciples. Les apôtres qui furent les
dépositaires des paroles et actes de Jésus et qui poursuivirent la mission furent considérés
comme faisant autorité.

c- Canon de l’Ancien Testament (AT)


Aux environs de l’an 50 avant J.C, certains érudits juifs présentèrent une traduction grecque
de l’AT appelé la Septante (70) généralement abrégée LXX. Elle avait été appelé 70 parce
que l’histoire rapporte que 70 personnes avaient participées à sa traduction. La Septante fut la
Bible communément utilisée du temps de Jésus-Christ et de l’église primitive.
d- Canon du Nouveau Testament (NT)
Suite à la tentative entreprise par Marcion (chrétien hérétique) de fixer un canon du NT à l’an
150 après Jésus-Christ, vingt des vingt-sept livres du NT semblent avoir été considérés
comme faisant autorité vers 200 après Jésus-Christ.
Contestés au départ, les livres de l’épître de Jacques, épître aux Hébreux, 2è épître de Saint
Jean, 3è épître de Saint Jean, épître de Jude, 2è épître de Saint Pierre et l’Apocalypse furent
admis plus tard.
Les livres de Barnabé, 1ère épître de Clément, le pasteur Dermas et le Didakhé quoique
reconnus par beaucoup furent rejetés.
La 39è lettre de Saint Athanase, évêque d’Alexandrie envoyée en 367 aux églises placées sous
sa juridiction mit fin à toutes les incertitudes sur les limites du canon néo-testamentaire. Des
sept (07) lettres conservées dans une collection de messages annuels de carême délivré par
Athanase, il déclare canonique les 27 livres qui constituent encore aujourd’hui le NT mais en
les citant dans un ordre différent qui est celui actuel.

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