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(exam QCM)
cours n3 l'interactionnisme
intro:
auteur comme premier qui ont employer le terme antropo de la com.
college invisible, vaincain designe lecole de lantropo de la com. (university)
3 AUTRE LIEUX palo alto toronto philadelphie... mais aucune relation entre eux e
t college invisible defini tout ces antropologue de la com
pleins de nationalités différentes. diciplines différentes. europeens imigré et personne
s dorigines différentes. comme Beson.
boslawick chercheur qui passe dune université a une autre.
ces gens ont en commun une certaine opposition schema de SHANNON.(car creer par
des ingénieur)
model orchestral de la com sopposant au model emeteur recepteur de shannon.plus
comme un orchestre dans lekel chacun joue sa partition, retour vers l'emtteur
se joue a plus ke 2, la com ne sarrete jamais.
3 cercle: palo alto, philadelphie et 2 personnes appellé les franc tireurs rhole e
t gauffman.
1 palo alto:
a georges beteson.
il travaillé sur des series de photos. ou on vois un enfant de 2 ans se rapprochan
t de sa mere ds un cercle de fmme, lenfant essaye dattiré lattention de sa mere...
influencer par 3 ecoles, la psycanalyse, la cybernetique, la psychologie.\
s'instruit grace a freud. forme de comportement a linterieur dune societé. on ne c
oupe pas la parole, quand est ce qu'on sourri, ...
soubassement archaique des comportements.
nous navons pas conciecnce des nbb de choses acquisent de notre education
rien n'est sans signification.
mvt corporel a une importance, un sourrire ou un lapsuce... nous sommes influenc
er par tous ces details.
mais tres peu de nos comportement acquis sont conscients
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2. Paul Watzlawick
2.1 la def de la maladie mental
une maladie se comprend que par lentourage, et un malade ne doit jamais etre tra
ité seul car comme il est une piece dans un equilibre familiale il est inutil de t
ravaillé seulement avec le malade mental/
la com, mecanisme de base.
nous cessont jamais d'emettre des signaux puisque nous n'arretons jamais notre c
orps. donc nous n'arretons jamais de communiquer
ne nous pouvons pas vivre sans les autres, et nous nous rendons pas a compte a
quel point on en a besoin.
ds nos relations il est impossibble dintegres toutes les mystifications et ts le
s paradoxes car nous disons jamais tte la verité, nous somme pas conscien de tout
et nous disons pas tjs le font de notre pensée.
2.2 les enigmes
le mystere du potentiel de changement chez l'etre humain.
"le changement humain est un phenomene omnipresent, mais nous ne savons rien de
sa genese."
les gens changent mais on ne sait pas tjs pourquoi.
la profondeur de la realité
lobservateur doit se rendre compte kil ne peut pas etre totalment objectif.
on se met daccord sur la signification de ce kon a vu mais ke dans 1 ou 2 ans ca
ne pourrait etre la meme signification.
"nous sommes constament engagé dans les allées et venues d'une communication dont no
us ne savons rien"
1 birdwhistell.
fonder une anthropologie sur la gestualité.
emprunter les principes de description de la linguistique.
annalyser un geste independament. pas comme un langage.
2 albert schefflen
diplomé de medecine neurologie
Les Applications.
la transformation des observation des chercheurs en techniques relationnelles.
interactionisme social.
intro:
pour le moment on a vu linteractionisme qu'entre 2 personnes. et parfois un peti
t groupe. mais pas de la société en general.
nous allons voir des personnes qui ont essayer d'étudier la sociéte ds son ensemble.
il sappuient sur linteret pour les relation interpersonnelle
la relation interpersonnelle, une attention des cultural studies (ecole de chica
go)
les individus et les micro-groupes n'épousent pas totalement les objesctif des str
ucture ds lesquelles ils vivent.
il ya donc un interactionnisme social.
on peut lire ainsi l'histoire d'une société tant a travers les determinisme economiq
ues qui pesent sur les groupes entiers dindividus qu'a travers la culture.
la force symbolique de la culture peut aller a lencontre des systeme politiques
et economiques en place.
il y a alors des transactions, des mediations entre les cultures et les pouvoirs
.
la sociologie de l'interaction va chercher, dans les transformations de structur
es,
les micro-actions des individus ou des petits groupes qui resistent au changemen
t ou le favorisent
1.EDWARD T. HALL.
un premier sens du mot culture: l'architecture, les arts, la litterature, les idée
s...
or, une culture n'est pas integralement verbalisée et consciencte.
lun des aspects les moins etudiés de la culture est la difference des perception d
e l'espace et du tps, qui font partie de la CULTURE PRIMAIRE de lindividu
2. Erwing Goffman.
un auteur qui est classé en micro-sociologie ou en psycho-sociologie.
un eleve de ray birdwhistell
E.Goffman montre bien les enjeux sociaux sont lisibles dans les realités quotidien
nes.
il reprend ces concepts des interactionnistes; le soi, l'acteur, le rôle, l'intera
ction...
la relation sociale est aussi non verbale, communication immediate de nos manier
e d'etre par nos attitudes ou nos actions.
l'importance de la structuration de l'individu par les modes les plus infimes de
communication.
2.1. la personne.
la vie socilae n'est pas faite pour l'esxpression personnelle.
l'individu est constamment obligé de transigner entre ce qu'il aurait envie de dir
e ou de faire et ce que les autres attendent de lui.
parce que l'individu souhaite se sentir appartenir au groupe.
et qu'il attend en retour de la reconnaissance et une reciprocité des conduites st
ables.
se socialiser, c'est precisement apprendre a relativiser son experience propre,
retenir son expression, la maitriser.
l'étalement de soi ne fait pas partie des dommaines communs.
ainsi, nos convention sont tout simplement une reglementation des domaines propr
es et du domaine partagé.
c'est une forme de rrespect; de soi, pour ne pas se mettre ds des situations ou
les autres douteraient de vous ; respect des autres, pour leurs assurer une reco
nnaissance. une vonlonté detre aimer....
le prix a payer est sans doute une centaine forme de convention. chacun est un e
st ainsi en representation souvent moins occupé du contenu que de l'impression glo
bable qu'il donne de lui meme.
quelques ex:
il peut etre preferable de traire ses desaccords.
ou encore, en face des autres, nous leur cachons souvent les efforts que nous av
ons du accomplir anterieurment pour leurproposer une situation lisse, mais fragi
le.
nous construisons par-la une sorte de sphere ideale en taisant nos fluctuations
c'est a la fois un respect de l'autre et un camouflage de nos manques, un reflex
e narcissique elementaire.
2.2. l'equipe.
la representation n'est pas un jeu seulement individuel. l'equipe s'organise pou
r proposer une representation unique. c'est un jeu de groupe.
il est bbien entendu hors de question de se desolidariser de son equipe en le cr
itiquant a l'exterieur l'un des equipiers, ou de reveler les secrets du groupoes
, ses tentions.
un groupes a des "coulisses".(denigrement ds le dos)
cela sert a maintenir le moral de l'équipe, et qu'on fait tous parti du meme group
e.
l'equipe se repartit les roles: le confident, la nonpersonne, le specialiste qui
connait les secret du groupe mais qui n'en parle pas, le collegue...
l'equipe se cree un mode de communication propre a qui sert a assurersa cohérence.
-chaque equipe respecte et adapte un certain nombre de regles.
-en meme tps , il faut travailler lle sens de l'apartenance a l'equipe par l'acc
eptation de la taquinerie, les remarques mutuelles.
- enfin, la loyauté dramaturgique se prouve surtout lorsque l'équipe subit des aléas.
livre drole:
2.3. la dynamique sociale.
les representations ont aussi une fonction de reve.
les coulisses dne sont pas visité, ou leur accés est réglementé.
notion de reve: lucidité sur nous meme, mais doutes sur les autres. il y a dc une
mobilité sociale souvent decevante qu'elle soit laterale ascendante ou lateral. ca
r on decouvre les secret les efforts...
la mobilité sociale n'est pas lacces a un univers plus facile, maisa un univers tt
aussi codifié, tt aussi difficile, tout aussi exigeant pour ses membres
on peut apprendre ldes formulations, des attitudes differentes (manieres de parl
er, geste de politesse...) et peut etre ces details feront ils une enormes diffe
rence.
mais on naura pas besoin de reapprendre le renoncement a lexpression de soi, lac
ceptation de la plaisanterie, lattention aux signes exterieur manifesté par autrui
, etc...
chez e goffman , les rites ne sont pas seulement des comportements exterieurs fi
gés, mais aussi une precaution necessaire.
íl ne sont pas avant tout accomplis pour eux memes , mais ils sont la reponse a un
e attention portée et une analyse de la situation concrete.
il ne sont pas le faits de certaines catégories de population, mais de ttes.