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DE BEZOUCE
7 RUE NATIONALE
30320 BEZOUCE
TÉL : 04 66 75 24 23
FAX : 04 66 75 29 71
Ouvert :
Direction des
Systèmes du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h
d’Information
TRAVAUX, FOURNITURE ET
INSTALLATION D’UN RESEAU
DE FIBRES OPTIQUES ET D’UN
SYSTEME DE
VIDEOPROTECTION POUR LA
COMMUNE DE BEZOUCE
N° de marché
Cahier des Clauses
Techniques Particulières
Le marché concerne l’installation d’un réseau de fibres optiques et la mise en œuvre d’un système
de vidéoprotection sur la commune de BEZOUCE.
• Travaux de génie civil et de câblage pour relier les équipements techniques composant le
Système d’Information de la commune,
• Fourniture, mise en place et configuration des matériels et logiciels composant le système de
vidéoprotection,
• Formations et assistance technique à l’utilisation du système de vidéoprotection
• Fourniture et pose des panneaux de signalisation de la vidéoprotection dans les communes
conformes au code de la sécurité intérieure
• Maintenance des matériels, logiciels et du réseau existants et mis en place dans le cadre du
présent marché.
L’ensemble des prestations à prix unitaire figurant au bordereau des prix unitaires, feront l’objet
de bons de commande en application de l’article 77 du Code des marchés publics relatif aux
marchés à bons de commande sans seuil minimum, avec maximum, conclu avec un opérateur
économique. Les bons de commande seront notifiés au fur et à mesure des besoins
Le titulaire du marché doit se conformer à la Loi n° 95-73 du 21 janvier 1995 d’orientation et de
programmation relative à la sécurité et à l’Arrêté du 3 Août 2007 portant définition des normes
techniques des systèmes de vidéosurveillance. Les prestations devront également être conformes aux
normes françaises et européennes en vigueur et à l’ensemble des textes applicables dans ce domaine.
Le titulaire est réputé avoir pris connaissance des contraintes techniques de tous ordres imposées par
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l’environnement existant dans les bâtiments et sur les zones d’intervention, notamment pour ce qui
concerne les contraintes de voirie et d’en avoir tenu formellement compte dans l’établissement de son
offre.
La municipalité de BEZOUCE a souhaité mettre en place une politique globale de sécurisation afin de
réduire les atteintes aux personnes et aux biens constatées dans certains secteurs prioritaires. Elle
s’appuie sur plusieurs actions dont un projet de vidéoprotection qui a pour objectif :
La sécurisation du centre-ville
Le CIUVP, service mutualisé de Nîmes Métropole, exploite également les images de vidéoprotection
d’autres communes de l’agglomération (6 à ce jour) qui ont mis en œuvre leurs propres caméras via des
marchés spécifiques avec l’assistance de la DSI mutualisée.
Le candidat devra fournir dans le cadre de son offre un mémoire justificatif incluant:
Les travaux de génie civil nécessaires à la mise en place du réseau de communication pour
relier les équipements techniques du Système d’Information de la commune.
La fourniture, l’installation et le paramétrage du réseau de communication.
Tous les raccordements nécessaires (courant fort et courant faible) au bon fonctionnement des
matériels, y compris l’ensemble du câblage cuivre, optique ou autre technologies (xDSL ou 4G
par exemple), les raccordements électriques et la mise à la terre des équipements.
La fourniture et l’installation des matériels composant la solution de vidéoprotection (caméras,
switchs, convertisseurs, interfaces de communication, …) y compris les supports nécessaires et
adaptés à l’environnement dans lesquels ils seront implantés.
La fourniture, l’installation et la maintenance corrective et évolutive de toutes les licences
logicielles nécessaires au fonctionnement de la solution de vidéoprotection intégrée au système
central. L’installation des licences sera réalisée en collaboration avec le titulaire du marché du
système en place.
La maintenance du réseau créé pour relier les équipements techniques du S.I. de la commune.
La maintenance des matériels fournis.
La fourniture et la pose des panneaux de signalisation pour la vidéoprotection dans les
communes conformes au code de la sécurité intérieure.
Les formations et l’assistance technique à l’utilisation du système de vidéoprotection.
L’attention des candidats est attirée sur le fait que le dispositif de vidéoprotection sur lequel ils
interviendront en complément de l’existant, est un système intégré multi constructeurs hautement
qualitatif permettant une surveillance des biens et des personnes sur la voie publique de haut niveau.
Les matériels, logiciels et prestations qu’ils fourniront devront donc être en adéquation avec le niveau de
qualité de l’existant. De même, l’équipe projet dédiée au projet devra disposer d’un niveau de
compétences, d’expériences et d’expertise en adéquation avec le niveau d’intégration technique et
l’architecture du dispositif (virtualisation VmWare, réseaux locaux très haut débit multi services et
multicast, SAN virtualisé…).
Des points « surveillés » c’est à dire un ensemble de matériels situés sur une zone géographiquement
homogène. Sur ces points, sont reliées des caméras raccordées par un équipement unique (spécifique
au médium retenu) au réseau de transport des images dit « réseau de collecte » jusqu’à un point dit de
« concentration ». Pour la commune de BEZOUCE le point de concentration est l’Hôtel de Ville de
BEZOUCE.
Sur ce point, les images et télécommandes sont multiplexées (via des fibres optiques) vers le site de
« traitement » des images (commutation, enregistrement…) situé dans les locaux techniques « Cœur
de réseaux » à Nîmes.
Celles-ci sont alors distribuées vers les points de « visualisation » : le Centre Inter Urbain de
Vidéoprotection situé au Colisée, le Centre Opérationnel de Renseignement de la Gendarmerie
Nationale ou le Centre Superviseur Urbain de la commune
Chaque caméra peut être distribuée sur tous les moniteurs des points de visualisation.
Le système central de vidéoprotection est basé sur l’interface homme-machine SINOVIA. La plateforme
de supervision du système est OPENcontrol. L'enregistrement des caméras est réalisé au travers du
logiciel CA Synergie Développement (CASD).
Afin d’assurer la compatibilité du système fourni dans le présent marché avec le système central
de vidéoprotection, le candidat devra fournir et installer les licences d’exploitation dudit
système.
A cette fin, le titulaire a l’obligation de détenir les agréments ou certifications à jour des
constructeurs ou éditeurs. Si les candidats ne disposent pas de ces documents à la remise de
l’offre, ils doivent joindre tout document permettant d’établir qu’ils en disposeront au début de
l’exécution des prestations. Par exemple, s’agissant d’un agrément (attestation de formation), il
conviendra de joindre un document attestant de l’inscription de(s) personne(s) appelée(s) à
réaliser la prestation et la date de leur formation.)
L’ensemble du transport des flux vidéo est réalisé sur le réseau informatique grâce au protocole IP, de
manière sécurisée sur un VLAN dédié. L’opérateur peut visualiser les images provenant des caméras
sur des moniteurs couleurs, il peut, en outre, appeler n’importe quelle caméra pour l’exploiter sur un
moniteur de travail spécifique.
Il est prévu l’extension fonctionnelle du dispositif par l’ajout des briques « Vidéo Surveillance Intelligente
- Détection Automatique d’Anormalité» et d’un serveur de lecture des plaques d’immatriculation.
Le système accepte la programmation des caméras et des zooms pour interdire la visualisation spécifique
de zones privées ou pouvant porter atteinte à la vie privée des personnes (programmation de la caméra et
du zoom dans l’espace) pour être conforme à la loi du 21 janvier 1995 et de son décret d’application du 17
octobre 1996 concernant la vidéoprotection urbaine.
Les collectivités s’appuient sur le réseau Gecko qui irrigue l’ensemble du territoire en fibre optique.
Elles disposent ainsi d’une architecture mutualisée basée sur un réseau de type Ethernet full IP, utilisant
les technologies commutés, en multi-sites, multi-Lan, multi-Vlan et supportant la gestion des flux
Multicast (IGMP et PIM) ainsi que la gestion de la QoS (Diffserv).
DE VIDEOPROTECTION
Commune
Point de concentration
Fibre optique
Ces moyens techniques doivent permettre tout type d’affichage. Les ordres de télécommandes transitent
également sur le réseau informatique. Toute la transmission d’information (images, télécommandes,…) est
véhiculée sur réseau informatique sécurisé, sur un VLAN dédié assurant l’étanchéité des flux d’information.
Caractéristiques de la télémétrie
Le, ou les opérateurs des salles d’exploitation de la vidéoprotection urbaine peuvent, par l’intermédiaire
de leur système graphique, visualiser les images vidéo sur le moniteur d’exploitation.
Ils ne peuvent en aucun cas procéder à une impression dans un fichier virtuel ou à un tirage
photographique des images visualisées. De même, ils ne peuvent pas avoir de commandes manuelles
de l’enregistrement numérique des images et séquences vidéo des autres caméras (celles-ci sont
entièrement gérées par le système en tâche de fond).
Les matériels composant cette chaîne de traitement numérique des images sont intégrés dans des
caissons métalliques rackables pour éviter toutes tentatives de fraude. Ils sont notamment hébergés
dans le datacenter mutualisé de Nîmes Métropole disposant de nombreux systèmes de sécurité
(contrôle d’accès, détection et extinction automatique incendie, onduleur, groupe électrogène,
climatisations redondantes, freecooling…)
Basé sur des enregistreurs NVR-48, les caractéristiques sont les suivantes :
- acquisition de 48 flux vidéo IP
- enregistrement à 25 images par seconde sur chacune des voies
- enregistrement en HD
• Les éventuelles autorisations d’implantation de caméras sur des façades privées seront
demandées par la Commune de BEZOUCE.
• Les éventuelles demandes d’abonnements auprès d’un fournisseur d’électricité (voir paragraphe
4.1.5 Limites de prestation / Electricité)
•
3.4 CONFIDENTIALITE
Le titulaire s'engage à observer une stricte confidentialité concernant tout document et toute information
en provenance des sites sur lesquels il est amené à intervenir, qu'elle qu'en soit la nature (commerciale,
technique, organisationnelle, fonctionnelle, etc…) et ce tant à l'égard des tiers et/ou sous-traitants
éventuels, qu'à l'égard des membres de son personnel non appelés à les utiliser ou à en avoir
connaissance.
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Aucune information et aucun fait venant fortuitement à la connaissance des personnels de l'Entreprise
ne pourront être communiqué à l'extérieur.
Toute révélation et divulgation non autorisée pourra donner lieu à dommages et intérêts à charge de la
partie l'ayant commise, dont le montant sera défini par le plaignant en fonction du préjudice.
Le titulaire doit informer ses sous-traitants des obligations de confidentialité et des mesures de sécurité
qui s'imposent à lui pour l'exécution du marché. Il doit s'assurer du respect de ces obligations par ses
sous-traitants.
3.5 AUTORISATIONS
Le titulaire fera son affaire des demandes d’autorisation autre que les autorisations d’implantation
façades et Préfecture auprès des différents concessionnaires et services gestionnaires en respectant
scrupuleusement la méthode de travail suivante :
Le titulaire lancera les DT qui devront être prise en compte dans les dossiers d’EXE
conformément à la réforme récente ainsi que les DICT.
Le titulaire et la Direction des Systèmes d’Information mutualisée effectueront les visites
préalables avec les services municipaux, communautaires ou responsables de sites concernés
par les travaux et la mise en place du dispositif en vue de produire les études d’exécution.
Le titulaire remettra à la Direction des Systèmes d’Information mutualisée pour validation, les
études d’exécution ainsi produites (synoptiques ; plans au 1/50 pour les cheminements internes,
au 1/500 pour les planches détaillées, au 1/250 pour les raccordements terminaux et une
planche d’assemblage au 1/10 000 reprenant l’étendue de chacune des planches détaillées ainsi
que sa référence).
Sur la base de ces documents validés, le titulaire pourra alors déposer les demandes de
permission de voirie et d’arrêtés auprès des gestionnaires de voirie concernés.
Sous réserve d’obtention de ces accords et de communication des plannings suivant les
principes énoncés à l’article « Organisation des interventions » du présent document, les travaux
pourront débuter.
Le titulaire désignera, dès notification du marché, le Chef de Projet responsable des études et des
opérations de réalisation qui devra être l’interlocuteur privilégié.
Les interventions sont exécutées par le titulaire qui doit se conformer strictement aux prescriptions du
présent CCTP et le la collectivité.
Le Maître d'Ouvrage se réserve le droit d'interdire l'accès du chantier au personnel de chantier jugé par
lui indésirable.
Le titulaire est responsable de l'ensemble des salariés affectés par lui-même, par ses cotraitants et
sous-traitants à la présente opération, en toute circonstance et pour quelle que cause que ce soit. Il est
responsable des accidents et des vols du fait des personnels sous sa responsabilité; de même les
dégâts de toute nature produits à l'occasion de l'exécution de ses travaux sont à sa charge.
Afin que le Maître d’œuvre puisse suivre objectivement l’évolution des travaux, le titulaire doit :
Le respect du planning tous corps d’état validé lors des réunions d’avancement
La présence d’un responsable aux réunions de chantier, et aux réunions de coordination selon
les convocations
L’obtention de l’approbation, par le Maître d’œuvre, du matériel qu’il propose d’installer ou des
travaux dans les conditions respectant le présent CCTP et le mémoire technique du titulaire.
L’autocontrôle de ses travaux consignés sur fiches sur la base des éléments décrits à l’article 3.7
Afin d'organiser et de prévenir tous les responsables des services communautaires, municipaux,
concessionnaires, gestionnaires… le titulaire aura obligation de transmettre chaque semaine et/ou au
minimum 24 heures à l’avance, par e-mail, à la Direction des Systèmes d’Information mutualisée
et pour chacune de ses interventions, travaux ou visite, les éléments suivants :
date de l'intervention,
lieu de l'intervention,
objet de l'intervention,
durée de l'intervention.
Des réunions hebdomadaires d’avancement auront lieu dans les locaux de la DSI mutualisée de la
commune de BEZOUCE, durant toute la phase du marché. Le titulaire, ou le Chef de Projet devra
obligatoirement y participer.
Le manquement à l’une de ces dispositions entraînera le refus de l’installation des matériels et des
opérations associées, ou l’accès aux locaux et au lieu d’installation.
Pour faciliter le suivi et les échanges techniques ou administratifs entre la collectivité concernée et le
titulaire ainsi que les différents acteurs du projet, la DSI mettra à sa disposition un espace numérique de
travail collaboratif et des outils de gestion de projet.
Pour les lignes 1.1 à 1.18 du bordereau des prix unitaires, la maîtrise d’ouvrage émettra un bon de commande au fur et à mesure de l’apparition de ses besoins.
Les délais d’exécution des prestations sont fixés à chaque bon de commande.
Pour l’ensemble des autres prestations prévues au bordereau des prix unitaires : les bons de commandes seront précédés et suivis des opérations suivantes.
Des pénalités de retard seront appliquées au titulaire du marché en cas de non-respect des délais définis ci-dessous.
Le titulaire fera les relevés et photos nécessaires afin d’établir un Devis d’exécution sur la
base des prix du BPU et un Avant-Projet tenant compte des priorités établies par la DSI.
Au cours de cette visite, une reconnaissance du parcours de manière précise intégrant les points
particuliers nécessaires à l'exécution des travaux sera effectuée. Ces éléments seront utilisés pour
réaliser les études d’Avant-Projet.
La reconnaissance du parcours en immeuble porte principalement sur les points suivants :
Les possibilités de cheminement vertical des câbles, en gaine ou en goulotte,
Les possibilités de cheminement horizontal des câbles en utilisant au mieux les infrastructures
existantes,
L'implantation dans les locaux techniques.
La reconnaissance du parcours extérieur des réseaux enterrés porte principalement sur les points
suivants :
L'état des ouvrages, la disposition des masques,
Le profil des chambres,
La vérification de la présence des supports de câbles dans les chambres,
Le contrôle de l'absence de gaz et matériaux nocifs,
La détermination de points de stationnement des tourets et l'emplacement des véhicules,
La détermination des longueurs des liaisons.
3) Etape 3 : Dans un délai de 5 jours ouvrables maximum à compter de la visite, le titulaire devra
transmettre :
le Devis d’exécution sur la base des prix inscrits au bordereau des prix unitaires,
4) Etape 4 : Après acceptation du devis, un bon de commande visé par le représentant du pouvoir
adjudicateur de la Commune de BEZOUCE sera adressé au titulaire.
Chaque bon de commande fixe le délai d’exécution des prestations. Ce délai commence à courir à
compter de la date d’effet inscrite sur le bon, ou à défaut, à compter de la date de notification du bon.
5) Etape 5 : Pour tous les travaux commandés, le titulaire devra fournir, suite aux réunions
préparatoires nécessaires avec les représentants de la MOE, un document de synthèse reprenant
l’ensemble des documents d’études d’exécution préalables.
6) Etape 6 : Le titulaire devra exécuter les prestations dans le délai imparti par le bon de commande
(travaux, installation, mise en service…).
Une fois le PV de mise en service établi, la DSI mutualisée et le CIUVP disposent d’un délai
de 15 jours ouvrables pour s’assurer que le fonctionnement de l’installation commandée reste
opérationnel et conforme aux exigences de la demande initiale.
1. Vérification Terrain
Conformité des travaux et des quantités avec le devis
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Remise en état du site, contrôle d’aspect et de l’intégration dans l’environnement
Site Caméra
o Solidité des fixations
o Cheminement des câbles
o Inviolabilité des câbles et des coffrets techniques disposés à l’extérieur.
o Support
Armoire électrique
o Protection dédiée
o Etiquetage
Armoire ou local technique de raccordement
o Etiquetage
o Raccordements
2. Vérification Fonctionnelle
Affichage
o Positionnement cartographique
o Sur mur d'image
o Pilotage
o Masques
o Zoom
Positionnement
Qualité des images en live, de jour comme de nuit, et, pour les dômes, de leur stabilité en
grossissement maximum
Zones de vision, y compris des protections de la vie privée.
Contrôle opérationnel des mécanismes (zoom et tourelles)
Contrôle opérationnel des éventuels détecteurs de mouvement.
Contrôle de la qualité des enregistrements (Cf. arrêté du 03/08/2007).
Vitesse angulaire des caméras et de la vitesse ainsi que de la stabilité d’évolution des
zooms.
Mesure des temps de réaction des organes éventuellement télécommandés.
Identification des caméras
3. Vérification Technique
Statistiques port
Continuité Multicast
Supervision
Positionnement SIG
Label sur switch
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le titulaire devra remettre le document des ouvrages exécutés (DOE) cf 3.8
Le Titulaire du présent marché sera tenu de remettre, dans un délai de 15 jours ouvrables
après le PV de mise en service, un dossier de DOE par prestation commandée. L’admission
ne sera pas prononcée sans dossier de récolement.
Le DOE devra être obligatoirement déposé sur l’espace collaboratif mis à disposition
par la DSI mutualisée.
A la réception du DOE et une fois que toutes les réserves sont effectivement levées, la DSI mutualisée
établira un PV d’admission déclenchant ainsi le début de la garantie des matériels installés ainsi que la
facturation de l’opération admise.
Les dossiers DOE sont réalisés de façon spécifique pour les travaux de Génie Civil et pour les liaisons
fibre Optique et leurs équipements connexes.
Le DOE sera constitué au minimum des éléments suivants et fourni au format PDF :
Un plan général au 1/200ème avec tous les renseignements utiles : repérage des
extrémités et des joints intermédiaires, emplacement des ouvrages techniques,
cheminement des fourreaux, câbles et leurs longueurs associées,
Synoptique de l’installation réalisée avec précision sur le type de caméra & marque,
câble électrique & section, local technique,
Photos des différentes implantations (caméra, local technique et local énergie)
Les schémas de câblage électrique (implantations, cheminements, …),
Les plans d’implantation des matériels dans les locaux techniques et les baies,
Les données mises à jour du logiciel de gestion de réseau (cf ci-dessous),
un (ou plusieurs) fichier(s) informatique(s) du levé de récolement format DWG ou DXF
sous Autocad 2007, LT 2007 ou Autocad 2010, au format Shapefile (SIG ESRI),
Ces documents seront déposés sur l’espace collaboratif mis à disposition par la DSI.
Le DOE sera complété, en fonction de la nature des travaux commandés, par les éléments spécifiques
suivants :
Systématiquement, l’ensemble des travaux de génie civil et de fibre optiques réalisés seront
saisis en termes de plans et de données techniques sur le logiciel de gestion du réseau
conformément aux exigences des articles suivants.
Le Maître d’Ouvrage fournira sur l'emprise du réseau, à la demande du Titulaire, les fonds de plan. Le
principe de géo référencement retenu est Lambert III.
Etabli par le titulaire sur ce fond de plan, le plan de récolement doit permettre la localisation précise des
ouvrages de Génie Civil.
Ces documents seront complétés de la manière suivante :
Notices techniques de tous les matériels et matériaux installés,
Plans d'exécution des ouvrages conformément à la réalité, cheminement des tubes,
Mode de pose,
Fourreaux, avec spécifications en nombres et dimensionnement,
Emplacement des manchons, emplacement et désignations des regards,
Emplacement précis des armoires et coffrets (éventuellement).
Les plans de récolement seront réalisés rue par rue au 1/500ème avec plan d’assemblage au
1/10000ème.
Les planches porteront le nom de la rue et un indice.
Les chambres seront numérotées sur chaque planche, indice de la planche et indice de la chambre.
A la demande du maître d’ouvrage, les plans seront remis avec les fiches de mandrinage pour
réalisation des OPR.
Le but de ces plans est de relever la position réelle des réseaux et de les implanter dans un référentiel
précis (rattachement au RGF 93, au Nivellement Général de la France en X,Y,Z) afin de conserver la
mémoire de ces objets, de leurs caractéristiques et de leur positionnement, notamment lorsqu'ils sont
enterrés. Ces plans présentent un grand intérêt dans une optique d'efficacité de la maintenance des
réseaux, de prévention des accidents notamment sur les réseaux sensibles, de planification
d’opérations ultérieures, etc.
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Le plan mentionnera les côtes NGF du terrain naturel et des réseaux ou ouvrages, le diamètre ou la
section d’ouvrage et la nature des matériaux.
Pour le cas où la précision des plans des réseaux existants est insuffisante, le plan de récolement devra
être établi et visé par un géomètre expert. Il est indispensable que le prestataire certifié ou un géomètre
expert désigné réalise ses relevés pendant le déroulement de l’opération.
Si l’une de ces opérations fait apparaître des fautes, omissions, écarts hors tolérance ou une exécution
non conforme aux règles de l’art, les installations défectueuses seront rectifiées par l’exécutant, à ses
frais, dans le cadre contractuel de sa mission.
Pour chaque ouvrage, les spécifications suivantes seront précisées :
A - Niches ou chambres
cotation par rapport aux axes fixes (alignements de façades, bordures de trottoirs, mitoyennetés,
etc.),
indication du type de chambre, indication de la profondeur de la chambre,
indication des masques des chambres,
photos numériques des chambres intérieures.
C - Points singuliers
Chaque point singulier du réseau devra faire l'objet de croquis de détails, avec le maximum de
renseignements par rapport à l'existant.
indication des cotes de charge (génératrice supérieure des tuyaux). Ces cotes sont nécessaires à
chaque changement de charge.
indication des longueurs des tronçons sur ligne de cotes (funiculaires) ayant pour origine le
piédroit intérieur d'une chambre et pour aboutissement le piédroit intérieur de la chambre suivante
ou l'extrémité de l'adduction particulière.
indication des cotes de position par rapport à des points immuables (alignements, bordures,
regards d'égout, mitoyennetés, etc.). Les changements de direction, les traversées, les
pénétrations par rapport aux mitoyennetés seront cotées avec une attention particulière.
Le dossier comportera également les photos prises après passage du réseau construit ; chaque photo
sera mise en vis-à-vis de la photo correspondante prise lors de la visite avant travaux. Chaque tronçon
comportera au moins une photo pour la section courante, et chaque point singulier ou point
remarquable fera également l'objet d'une photo.
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Plan de câblage et synoptique Optique
Les DOE seront établis sur la base des schémas et plans fournis dans l’Avant-Projet.
En plus de la fourniture des DOE, le titulaire devra obligatoirement se mettre en relation avec le
prestataire de Nîmes Métropole pour mettre à jour l’application de gestion de réseau Corolle
pour la partie énergie.
Pour le cas où la précision des plans des réseaux existants est insuffisante, le plan de
récolement devra être établi et visé par un géomètre expert. Il est indispensable que le
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prestataire certifié ou un géomètre expert désigné réalise ses relevés pendant le déroulement
de l’opération.
La précision requise de ces données devra correspondre au minimum à celle d’un plan au
1/200ème.
Si l’une de ces opérations fait apparaître des fautes, omissions, écarts hors tolérance ou une
exécution non conforme aux règles de l’art, les installations défectueuses seront rectifiées par
l’exécutant, à ses frais, dans le cadre contractuel de sa mission.
Le candidat devra effectuer une visite préalable des sites à la remise de son offre. Un récépissé
attestant de cette visite lui sera remis et devra être produit par le candidat dans son dossier de
candidature.
Commune de BEZOUCE
Direction des Systèmes d’Information mutualisée
Monsieur Michael Febrer
Le Colisée
3 rue du Colisée
30033 Nimes cedex 9
Tél : 04 66 02 56 21
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Fax : 04 66 02 56 65
Les visites de site ne pourront avoir lieu qu’entre le 29 août 2016 et le 29 septembre 2016.
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ARTICLE 4 : DETAILS TECHNIQUES
DU MARCHE
Dans le cas où les équipements constitutifs d’un ensemble installé ne proviendraient pas du même
constructeur, l’entreprise serait tenue pour seule responsable d’un mauvais fonctionnement ou de toute
défectuosité qui pourrait résulter d’un assemblage d’équipements mal adaptés.
L’entreprise est tenue de conserver la capacité à réparer ou remplacer par des équipements
équivalents, tous les équipements fournis dans le cadre du projet, et ce pour une durée de 5 ans à
compter de la réception.
Pour démontrer la capacité des équipements à réaliser certaines fonctions, ou pour vérifier les
performances des équipements, la Commune de BEZOUCE se réserve le droit, avant le choix définitif
de l’entreprise, de demander à celle-ci des démonstrations concrètes, sur le site ou sur d’autres sites
déjà réalisés par l’entreprise, dans les conditions du présent projet.
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Décret n°92.332, article R 235-3-12 : Maître d’ouvrage,
Décret n°92.333, article R232-11-3 et 4 (03/92) : Protection des accès aux zones de danger,
Décret n°941159 (26/12/94) : Intégration de la sécurité et organisation de la coordination en
matière de sécurité et de protection de la santé,
Décret n°2002-775 du 3 mai 2002, article L32 du code des postes et télécommunications :
Valeurs limites d’expositions du public aux champs électromagnétiques émis par les équipements
utilisés dans les réseaux de télécommunications ou par les installations radio-électriques,
DTU 11.2 : Reconnaissance des sols,
DTU P 06.002 Règles françaises NV 65.et additifs : Règles définissant les effets de la neige et du
vent sur les constructions annexes
DTU P 18.702 Règles BAEL91 : Règles de conception et de calcul des ouvrages en béton armé
suivant la méthode des états limites,
DTU P 22.701 Règles CM66 et additif 80 : Règlement construction métalliques.
DTU P 22.703 : Justification par le calcul de la sécurité des constructions règles de calculs des
constructions à parois minces en acier.
Loi n°93.1418 du 31 décembre 1993, décret d’application du 26 décembre 1994 (arts.R238-1 à
R238-45 du code du travail : Coordination de chantier en matière de sécurité et de protection de la
santé pour les chantiers temporaires ou mobiles,
Loi n° 91-1414 du 31/12/1291-Loi n°93-1418 du 31/12/93 : Mise en œuvre de mesures visant à
favoriser la prévention des risques,
NF A 35.501 : Produits laminés à chaud en aciers de construction non alliés,
NF A 35.503 : Produits sidérurgiques, aciers pour galvanisation par immersion à chaud,
NF A 37.101 : Profilés formés à froid d’usage courant,
NF A 40.001 : Définition des produits en acier,
NF A 45.009 – 45.251 : Profilés cornières
NF A 47.242 : Câbles produits tréfilés, étirés, calibrés, profilés et laminés à froid. Fils destinés
aux câbles pour l’appareil de remontées mécaniques et structures suspendues,
NF A 49.111 : Tubes en acier laminés à chaud
NF A 49. 700 : Tubes en acier – Galvanisation
NF A 55.101 : Apport de métal en Zinc
NF A 91.101 – NF A 91.122 : Galvanisation
NF A 91.201 : Métallisation au Zinc
NF C 15.100 : Installation électriques à basse tension,
NF C 17.100-17.102 : Protection contre la foudre
NF E 04.552 : Dessins techniques
NF E 25.017 & NF EN 20.273 : Eléments de fixation
NF E 27.701 – 27.702 : Boulons à serrage contrôlé destinés à l’exécution des constructions
métalliques
NF E 85 010 (10/88) : Eléments d’installation industrielles – Echelles métalliques
NF E 82.012 (01/91) : Dispositifs de condamnation des accès aux pylônes
NF E 85.101 : Eléments d’installations industrielles. Gardes corps métalliques
NF EN 20.898 : Caractéristiques mécaniques des éléments de fixation, boulons, vis et goujons,
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NF EN 365 : Exigences générales pour le mode d’emploi et pour le marquage,
NF P 01.012 – 01.013 : Dimensions des garde-corps, règles de sécurité, essai
NF P 02.016 : Armatures industrielles pour béton armé
NF P 06-013 : Règles de construction parasismique
NF P 11.201 (DTU n°12) : Travaux de terrassement pour le bâtiment
NF P 11.211 (DTU n° 13.11) : Exécution des fondations superficielles
NF P 11.212.2 (DTU n° 13.2) : Règles de calcul pour les travaux de fondations profondes
NF P 11.212.2 (DTU n° 13.2) & additif 1 et 2 : Fondations profondes
NF P 11.711 (DTU n°13.12 : Règles de calcul des fondations superficielles (fascicules 62 et 64)
NF P 15.101.1 : Ciment. Composition
NF P 18 201 ( DTU n° 21) – 1984 et additif 1987 – BAEL 83 : Exécution des travaux de béton
NF P 183103 et suivants : Adjuvants pour bétons, mortiers et coulis,
NF P 18.201 (DTU n°21) Exécution des travaux en béton
NF P 183541 et 19.541 : Granulats pour bétons
NF P 22.201 (DTU n°32.1) : Construction métalliques (charpente en acier)
NF P 22.250 – 22.251- 22.252 : Assemblages soudés de profils creux circulaires avec découpes
d’intersection
NF P 22.255 : Assemblages soudés de profils creux, ronds ou rectangulaires sur profils de type I
et H
NF P 22.258 : Assemblages soudés de profils creux, ronds ou rectangulaires soumis à un
changement statique
NF P 22.461 à 22.469 : Construction métallique. Assemblages par boulons
NF P 22.471 – 22.472 – 22.473 : Construction métallique. Assemblages soudés
NF P 22.800 : Construction métallique. Préparation des pièces en ateliers
NF P 74.201 (DTU n°59.1) : Travaux de peinture
NF P 94.201 (DTU n°11.1) : Sondages des sols de fondation
NF S 71.502 (EN 353.1) : Anti-chute mobile sur support d’assurage rigide
NF S 71.510 (EN 353.2) : Anti-chutes mobiles sur support d’assurage flexible
NF T 30 038 : Peinture et vernis
Note technique générale 6021/2B : Réglementation de l’OACI
Pr NF E 85.001 : Moyen d’accès permanent aux machines et installations industrielles
Pr NF EN 785 : Protection contre les chutes de hauteur
Règles PS 84 : Règles parasismiques
XP P 18.305 : Béton prêt à l’emploi.
Le titulaire devra également respecter et faire respecter (liste non exhaustive) :
- Les normes internationales équivalentes, sous réserve de les mentionner dans les
documents de soumission,
- Les règles d’aménagement des sites mutualisés,
- La réglementation en matière de signalisation temporaire des chantiers,
Page 32/123
- Les prescriptions des services préfectoraux,
- Les prescriptions du présent document suivant les règles de l’art,…
L’ensemble des ouvrages devra répondre aux prescriptions des normes et règlements régissant les
travaux de construction en France métropolitaine, ainsi qu’aux normes internationales relatives aux
réseaux de communications. Bien noter qu’en cas de divergence entre spécifications, il sera toujours
retenu la plus contraignante.
Les prestations de l’entreprise devront être conformes aux clauses de l’ensemble des lois, décrets,
arrêtés, règlements, circulaires, normes et de tous textes nationaux ou locaux applicables aux ouvrages
de la présente opération.
Lorsque l’interprétation du présent document et des textes officiels aboutit à une contradiction, la
Commune de BEZOUCE se réserve le droit de définir la solution qu’elle jugera la plus appropriée sans
modification du prix ou de délai.
A défaut de posséder ces qualifications, le candidat pourra également fournir des références sur travaux
similaires réalisés durant les trois dernières années en précisant pour chaque référence, le maître
d'ouvrage, le détail des prestations, le montant du marché, la date et le lieu de réalisation. Le personnel
employé par le titulaire devra être qualifié et habilité selon les exigences propres à chaque spécialité
nécessaire à l'exécution de l'ouvrage.
L’entrepreneur ne sera pas admis à fournir de réclamations sur ces points, et la rencontre de difficultés
appréhendées dans l’offre ne modifiera pas ses obligations et n’atténuera pas ses responsabilités, qui
demeurent entières dans l’exécution des travaux.
Le titulaire s'assurera que par ses interventions, il ne dégrade aucune liaison, connexion, équipement
ou dispositif en place sur site au moment de son intervention, quel qu'en soit leur propriétaire. Le
titulaire s'assurera que, par ses interventions, il n'altère pas les qualités intrinsèques des autres
ouvrages (degré coupe-feu, isolement acoustique, résistance mécanique, etc.). Les remises en état
sont toujours effectuées aux frais de l'entrepreneur.
Page 33/123
Le titulaire aura sous sa responsabilité la fourniture, le transport, le stockage éventuel et la mise en
œuvre de tous les matériaux nécessaires à la réalisation et au fonctionnement optimal du dispositif.
Le titulaire du présent marché aura sous sa responsabilité la réfection à l'identique de tous les ouvrages
existants touchés par les travaux consécutifs aux opérations décrites dans le présent document
Pendant l'étude d'exécution et, dans un but de coordination, le titulaire devra coopérer avec les
autres titulaires de marché (mainteneur du système d’éclairage public et armoires de feu,
matériels de réseaux informatiques, infrastructures du cloud… notamment), afin de confirmer
l’implantation de ses matériels et leurs raccordements ou appareillages afin qu'aucune difficulté
ne puisse naître au cours de la mise en œuvre et de l’exploitation.
Le titulaire intégrera dans le prix d’installation des caméras les moyens techniques et humains
nécessaires au travail en hauteur (nacelles de moins de 15m, échelles…).
Il y intégrera notamment la fourniture des livrables obligatoires, à savoir l’Avant Projet (AP) et le Dossier
des Ouvrages Executés (DOE)
Il devra respecter la législation et la règlementation en vigueur concernant le travail en hauteur
(habilitation des personnes travaillant en hauteur et CACES obligatoires,…)
Electricité
Le titulaire aura à charge le raccordement au réseau Courants Forts et l'ensemble des travaux
nécessaires à l'alimentation électrique de ses équipements. Pour le cas où la Commune de
BEZOUCE ne pourrait pas mettre à disposition du titulaire un point de comptage ou une
alimentation électrique à proximité d’un équipement, celui-ci sera chargé de la coordination avec
les fournisseurs d’énergie électrique.
Communications électroniques
Le raccordement aux réseaux de communications électroniques « publics » ou « privés » des
collectivités et l'ensemble des prestations nécessaires à la connexion de ses équipements selon
les limites de responsabilités décrites ci-avant. Le titulaire sera chargé de la coordination avec les
opérateurs télécoms le cas échéant.
VRD
Le titulaire devra prévoir tous les travaux de génie civil entre les caméras montées sur pylônes ou
sur bâtiments et les armoires de rue ou armoires installées dans des bâtiments communaux ainsi
que la réfection de ces interventions. Il fera son affaire de toutes demandes d'autorisations
nécessaires. Les travaux de génie civil prévus par le soumissionnaire devront être conformes aux
normes en vigueur en matière de travaux de génie civil.
Courants faibles
Le titulaire aura à sa charge l’ensemble des câblages (cuivre et optiques) vidéo et informatiques
nécessaires au raccordement de ses équipements au dispositif (y compris les jarretières optique
et cuivre) ou aux réseaux mis à disposition.
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4.1.6 Règlementation DT DICT
Il est précisé que dans le cadre des travaux de faibles importances, à la demande du chef de projet des
DT et DICT conjointes pourront être réalisées.
Les travaux ne peuvent être entrepris avant l’obtention de tous les récépissés relatifs à des ouvrages en
service sensibles pour la sécurité.
Un exemplaire des récépissés des DICT seront conservés en permanence sur le chantier.
L'exécutant des travaux portera, à la connaissance des personnes qui travaillent sous sa direction, les
dispositifs ayant un impact sur la sécurité des réseaux (ex : vannes des réseaux GRDF) qui lui ont été
précisés par l'exploitant.
Il veille à ce que ces dispositifs, lorsqu'ils sont situés dans l'emprise des travaux, restent accessibles
pendant la durée du chantier et à ce qu'ils ne soient pas dégradés ou rendus inopérants du fait de la
réalisation des travaux.
L'exécutant des travaux s'en assure après chaque phase importante du chantier réalisée dans
l'environnement immédiat des dispositifs ayant un impact sur la sécurité.
Il est tenu d'aviser l'exploitant de l'ouvrage dans les plus brefs délais en cas de dégradation, même
superficielle, d'un ouvrage en service, de déplacement accidentel de plus de 10 cm d'un ouvrage
souterrain en service flexible, ou de toute autre anomalie.
Cette obligation peut être satisfaite par l'établissement d'un constat contradictoire entre l'exécutant des
travaux et l'exploitant de l'ouvrage concerné par le sinistre ou l'anomalie.
De manière générale, lors d’un endommagement d’un réseau sensible, la règle des 4A doit être
appliquée :
Arrêter immédiatement le fonctionnement des engins et du matériel de chantier,
Alerté immédiatement les sapeurs-pompiers puis l’exploitant du réseau concerné,
Aménager une zone de sécurité immédiate dans la mesure du possible,
Accueillir les secours à leur arrivée et rester à leur disposition autant que nécessaire.
Page 35/123
Pour plus de détails, se référer au Guide Technique relatif aux travaux à proximité des réseaux
(paragraphe 10 – Dispositions en cas d’endommagement d’un ouvrage).
Il est demandé au titulaire du marché de travaux de réaliser des opérations de localisation des réseaux,
en amont ou pendant les travaux.
Certaines prestations nécessaires à la localisation des réseaux seront à renouveler pour la réalisation
des travaux proprement dits (démarches préalables – DICT, autorisations administratives, dispositions
en matière de signalisation et de sécurité du chantier, installations de chantier, …)
Ces opérations de localisation des réseaux consistent, soit, à effectuer des fouilles permettant de mettre
à nu les ouvrages concernés et à procéder à des mesures directes de localisation sur les tronçons mis
à nu, soit, lorsque les technologies disponibles et la nature des ouvrages le permettent, à des mesures
indirectes de localisation sans fouilles.
Les opérations de localisations avec fouilles sont alors précédées d’une déclaration d’intention de
commencement des travaux (DICT), ainsi que de toutes autres démarches nécessaires notamment
pour intervenir sous voie publique ou privée (arrêtés de voirie, …) ou à proximité d’ouvrages particuliers.
Les opérations de localisation sans fouilles sont réalisées dans les conditions définies par la norme NF
S 70-003 Partie 2 relative aux techniques de détection sans fouille.
Quel que soit le mode de mesure utilisé, le nombre et la localisation des relevés et la technologie
employée doivent permettre de garantir a minima la localisation du tronçon concerné dans la classe de
précision A. Le titulaire propose les dispositions qui permettent d’atteindre cet objectif, à la suite d’une
analyse des éléments qui lui sont fournis par le responsable de projet, des réponses aux DICT et d’une
étude sur site, dans les conditions visées à l’article 6.4 de la norme NF S 70-003-2.
Le titulaire du marché réalise les plans des réseaux localisés et restitue les informations relatives aux
opérations de localisation réalisées dans les conditions visées aux articles 6.8 et 6.11 de la norme NF S
70-003-2. Tous les points référencés directement ou indirectement doivent être cotés
(géoréférencements exprimés en x, y et z dans le système de référence légal en vigueur).
Le titulaire du marché intègre les éléments des réseaux localisés pour l’établissement des plans
d’exécution des ouvrages, à sa charge durant la période de préparation.
Page 36/123
NOTE Cet alinéa s’applique dans le cas où le titulaire du marché est chargé des plans d’exécution.
Dans le cas contraire, il communique ces éléments au responsable du projet.
Dans le cas où les ouvrages localisés au moyen de ces opérations de localisation remettent en cause
les ouvrages objets du présent marché, le titulaire du marché en informe le responsable de projet et
propose des mesures techniques permettant de prendre en compte ces ouvrages.
En cas d’arrêt de chantier, se référer à la clause arrêt de travaux dû à la découverte d’une situation de
dangers lors des travaux.
Réalisation des travaux en présence de réseaux non localisés avec une précision suffisante
C’est le cas où aucune investigation complémentaire n’a été réalisée avant le début de l’exécution des
travaux, où les opérations de localisation des réseaux n’ont pas été réalisées ou n’ont pas abouti et où
l’exécutant des travaux doit donc mettre en œuvre des dispositions particulières pour la réalisation des
travaux.
Sécurité du chantier
Le titulaire du marché est tenu de mettre en œuvre toutes les actions en matière de prévention et de
protection prévues dans le cadre du marché, de la réglementation et notamment dans le cadre du guide
technique.
En particulier, le titulaire du marché dispose d’un personnel formé et qualifié pour intervenir à proximité
des réseaux (à compter du 1er janvier 2017, les personnels intervenants devront disposer des
autorisations d’intervention)
Obligations concernant l’incertitude sur la localisation des réseaux enterrés à proximité des
travaux
Pour chaque réseau insuffisamment localisé, le titulaire du marché doit mettre en œuvre dans une
bande de 3 mètres centrée sur le tracé théorique dudit réseau, les précautions particulières définies par
le guide technique visé à l'article R 554-29 du code de l'environnement
Le bordereau des prix du marché comporte des prix spécifiques qui assurent la rémunération de ces
sujétions.
Il est rappelé au titulaire du marché les étapes importantes de la réglementation relative à la déclaration
d’intention de commencement des travaux :
Page 37/123
- Pour ce faire le responsable du projet ou son représentant fournira au titulaire les éléments de
déclarations lui permettant d’émettre une DICT en référence à la DT et les récépissés de DT
fournis par les exploitants (y compris les réponses non concernées).
En l’absence de réponse d’un exploitant après le délai de 9 jours hors jours fériés à compter de la
réception, le titulaire du marché devra le relancer en lui adressant à nouveau la DICT par lettre
recommandée avec accusé de réception.
Le titulaire du marché devra renouveler la DICT dans le cas où un délai de plus de trois mois
s’écoulerait entre la consultation du télé-service et le commencement des travaux, ou en cas
d’interruption des travaux pendant plus de trois mois.
De plus, si certains réseaux présents dans l’emprise du chantier ou à proximité sont sensibles pour la
sécurité au sens de la définition ci-après, le titulaire du marché devra renouveler la DICT dans le cas où
la durée des travaux dépasserait six mois. Dans ce dernier cas, le titulaire du marché pourra
valablement remplacer le renouvellement de la DICT par l’organisation de réunions périodiques
associant les exploitants de ces réseaux et le responsable de projet ou son représentant à condition
que ces derniers aient été invités aux réunions de chantier dès le démarrage des travaux.
Les réseaux sensibles pour la sécurité sont les ouvrages cités par l’article R 554-2 I. du code de
l’environnement et ceux déclarés sensibles par leurs exploitants au niveau du guichet unique.
- s’il a envoyé la relance à la DICT dans les conditions prévues à l’article R 554-26 VI. du code de
l’environnement et dès que l’absence de réponse de l’exploitant a été constatée (absence de
réponse dans le délai de 9 jours à compter de la réception par celui-ci) ;
- si cette relance a été envoyée sur le fondement d’une DICT elle-même adressée dans les délais
requis par le projet de travaux et dans les conditions prévues par l’article R 554-25 du code de
l’environnement ;
Page 38/123
- si l’ouvrage n’est pas sensible pour la sécurité, les travaux préparatoires pourront se poursuivre
même en l’absence de réponse de l’exploitant a la DICT des lors que deux jours se seront
écoulés après la relance envoyée par courrier recommandé avec accusé de réception.
Avant le lancement du chantier, les parties définissent entre elles les modalités suivant lesquelles l’arrêt
de travaux pourra intervenir.
- Tronçon d'ouvrage, sensible ou non sensible pour la sécurité dont la position exacte s'écarterait
des données de localisation qui ont été fournies à l'exécutant des travaux par le responsable du
projet ou par son exploitant de plus de 1,5 m, ou d'une distance supérieure à l'incertitude
maximale liée à la classe de précision indiquée par ces derniers.
Lorsque le titulaire rencontre une des situations évoquées qui entraînerait un risque pour les personnes
lié au risque d’endommagement d’un réseau sensible pour la sécurité, il sursoit aux travaux adjacents et
alerte le responsable du projet ou son représentant. Un constat contradictoire est établi selon le
formulaire CERFA n°14767*01 « constat contradictoire arrêt de travaux » auquel sont jointes des photos
attestant de l’anomalie rencontrée ou tout autre document.
Le titulaire indique également les conséquences immédiatement perceptibles sur le déroulement du
chantier et les impacts sur le personnel, engins et autres moyens mobilisés.
Selon le cas, le responsable de projet ou son représentant établit par écrit un ordre de reprise immédiat
des travaux ou un ordre d’arrêt de travaux puis détermine les conditions de reprise du chantier. Le
responsable de projet ne peut donner l’ordre de reprise des travaux qu’après la levée de la situation
susceptible d’engendrer un risque pour les personnes ou un danger d’endommagement des ouvrages
concernés.
Page 39/123
marquage piquetage. A cette occasion les éventuels marquage–piquetage réalisés par les exploitants
seront intégrés et maintenus par l’entreprise titulaire.
L’entreprise titulaire veillera au maintien en état du marquage-piquetage pendant toute la durée des
travaux.
Un contrôle de la réalisation effective de ce marquage ou piquetage sera réalisé par le responsable du
projet ou son représentant. Un constat contradictoire sera dressé et donnera lieu à l’établissement d’un
compte rendu du marquage ou piquetage.
Les emplacements précis définitifs des caméras, les procédés de fixation des équipements de
vidéoprotection et des antennes émettrices.
Les solutions de raccordements des divers équipements entre eux, aux réseaux de transmission
et au réseau électrique extérieur E.D.F, ou au réseau électrique de la commune.
Les méthodes d’intervention sur la voirie et dans les bâtiments publics. Un programme
d’intervention sera établi le moment venu par l’entreprise qui précise :
o Les moyens de signalisation et de sécurité prévus pour l’exécution des travaux en zone
publique.
Le titulaire devra fournir dans un délai d’une semaine après notification du présent marché, les numéros
d'appels téléphoniques, de fax ainsi que les adresses mèls des interlocuteurs concernés par le marché.
En préalable à toute commande de travaux à exécuter, la DSI informera le titulaire par télécopie ou par
mèl.
Dans un délai de 5 jours ouvrables maximum à compter de la réception de la demande du maître
d’œuvre, le titulaire s’engage à effectuer une visite sur site. Le jour et l’heure du rendez-vous seront
fixés conjointement par le titulaire et les représentants du maître d’ouvrage.
Au cours de cette visite :
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Le maître d’œuvre établira l’ordre de priorité dans lequel les travaux devront être réalisés. Le
titulaire établira alors un planning de ses interventions en intégrant ce classement et le joindra à
son devis,
Le titulaire fera les relevés nécessaires afin d’établir un devis.
Le titulaire devra transmettre le devis d’exécution des travaux à la Direction des Systèmes d’Information
pour vérification et validation dans un délai de 5 jours ouvrables maximum à compter de la visite.
Après acceptation du devis, un bon de commande signé par le représentant du pouvoir adjudicateur
sera adressé au titulaire. Il y sera précisé le délai maximal d’exécution de la totalité des travaux.
Le délai d’exécution sera fonction des travaux commandés. Chaque bon de commande mentionnera le
délai exact. Ce délai inclura la période de préparation de chantier et réception comprise.
Des pénalités de retard seront appliquées au titulaire du marché en cas de non-respect des
délais précités.
La DSI et le titulaire définiront un document type « Bon de commande » qui sera utilisé tout au long du
marché pour commander des travaux. Ce bon de commande sera signé par le Représentant du pouvoir
Adjudicateur et transmis au titulaire pour exécution. Chaque bon de commande précisera :
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4.4 GENIE CIVIL
Ces règlements fixent les dispositions administratives et les prescriptions techniques qui régissent la
réalisation de travaux destinés à implanter, étendre, entretenir et réparer des objets, ouvrages ou
réseaux divers participants à l’occupation de la voirie en domaine public.
Ils organisent également l’exécution des travaux de réfection de fouilles sur la voirie avec l’accord du
gestionnaire propriétaire, en vue de garantir la sécurité, la qualité et la longévité des voiries ouvertes à
la circulation publique.
Normes et règlements
Les travaux de réalisation des conduites et chambres de tirage seront réalisés suivant les prescriptions
des documents suivants :
CCTG Fascicule 2 pour les terrassements
CCTG Fascicule 63 pour béton non armé et mortiers
CCTG Fascicule 64 pour maçonnerie et génie civil
CCTG Fascicule 65A pour béton armé et précontraint
CCTG Fascicule 70 pour les tranchées (assainissement)
Ces textes sont complétés par les cahiers des charges de France Télécom relatifs à la construction des
conduites multitubulaires et des ouvrages associés, dans le cas où les fourreaux PVC seraient mis en
œuvre.
Les matériaux et matériels sont conformes aux normes et spécifications "Cahier des charges sur les
infrastructures de télécommunications des immeubles neufs à usage d'habitation" (brochures France
Télécom)".
Page 42/123
arrêté interministériel du 26 mai 1978.
Les tranchées seront remblayées et compactées selon les directives de la note technique sur le
compactage des remblais de tranchée du Service d'Etudes Techniques des Routes et Autoroutes
(SETRA).
Pour les tranchées de faible profondeur, la norme XP P98-333 s'ajoute à la norme NF P98-331. La
norme XP P98-333 définit deux catégories de tranchées de faibles dimensions :
les tranchées peu profondes, d'une largeur comprise entre 15 cm et 30 cm et profondeur de 40
cm à 50 cm de charge par rapport à la génératrice supérieure.
les micro tranchées, d'une largeur comprise entre 5 cm et 15 cm.
Désignation Type
Fourreaux Régulation Trafic 1ou 2 90 PVC ou TPC
Appuis communs EDF et EP Câble autoporté
Fourreaux à créer dans réseau pluvial 3 40 PEHD
Fourreaux propriété de la Mairie (autres) PVC 45, 60 et TPC
Fourreaux à créer en génie civil 3 à 7 45, 60 PVC, 3 à 5
40 PEHD ou 90 TPC
Page 43/123
Le titulaire pourra s'appuyer sur le dossier de récolement des réseaux existants qui a été réalisé en
amont du déploiement du réseau.
Page 44/123
15 Enrobé
Grave ciment
80 Grillage avertisseur
30 Sable
10
Fil de localisation
Fourreaux
5
5 5
5 Enrobé
Grave 0/31.5
Grillage avertisseur
80
Remblai naturel
Sable
30
10
Fil de localisation
Fourreaux
5
5 5
Page 45/123
3. Tranchée classique accotement rive de chaussée
Grave 0/31.5
Grillage avertisseur
Remblai naturel
80
Sable
30
10
Fil de localisation
Fourreaux
5
5 5
Lorsque le cheminement autorise un passage en terrain naturel (espaces verts, champs, etc …) ce type
de tranchée sera réalisé.
Cette tranchée peut être décomposée en trois strates :
1. La strate contenant les fourreaux. Au minimum 20 cm de sable compacté recouvriront les différentes
conduites ou fourreaux.
2. La strate entre le grillage avertisseur et le sable. Cette strate sera réalisée par compactage des
matériaux extraits de la fouille.
3. La couche de remblai final réalisée par compactage des matériaux extraits de la fouille.
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Remblai naturel
Grillage avertisseur
80
Sable
30
20
Fil de localisation
Fourreaux
5
5 5
Important
Les matériaux extraits des fouilles et réutilisés pour le remblaiement doivent être contrôlés afin de ne
pas introduire des blocs trop importants dans la tranchée pouvant à terme endommager les conduites.
Avant le compactage du sable d’enrobage il sera vérifié que les fourreaux sont en place conformément
au projet, et qu’ils sont maintenus de façon rigide, sans croisement, pour cela des peignes de maintien
seront utilisés.
Dans tous les cas, le compactage devra être conforme aux recommandations et exigences du
gestionnaire ou du propriétaire du domaine.
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4.4.2.1.2 Tranchée de type « peu profonde » norme XP P98-333 :
- largeur moyenne 20 cm
- profondeur minimale (sauf contre indication spécifique), sous chaussée 40/50 cm
- remblai de type « béton tranchée » B30 coloré (rose)
- les canalisations seront réalisées avec des tubes PEHD télécoms
5 5
20
Enrobé
Béton B30
40 / 50 cm
3 Fourreaux PEHD
5
5 5
15 Enrobé
Béton B30
coloré « rose »
40
Fil de localisation
Fourreaux
5 5
Page 48/123
2. Coupe type Tranchée peu profonde chaussée trafic léger
10
5 Enrobé
Béton B30
coloré « rose »
40
Fil de localisation
Fourreaux
5 5
Béton B30
coloré « rose »
40
Fil de localisation
Fourreaux
5 5
Important
Avant le coulage du béton d’enrobage il sera vérifié que les fourreaux sont en place conformément au
projet, et qu’ils sont maintenus en place de façon rigide, sans croisement, pour cela des peignes de
maintien seront utilisés.
Page 49/123
4.4.2.1.3 « Micro rainurage » :
largeur moyenne 15 cm
profondeur de charge 12 cm,
remblai de finition en résine étanche à 0, 1er remblai en mortier liquide,
Dans cette configuration (Micro-rainurage), nous disposerons au fond de la rainure un
microtube renforcé.
Cette technique sera mise en œuvre autant que possible pour les raccordements
abonnés.
Remblai de
finition
en résine
Ressort
1er remblai de
en mortier plaquage
liquide du tube
sable+ciment
PEHD 100 mm
11/14
12 FO
diam 6
120 mm
15 mm
Les candidats devront, obligatoirement, décrire la méthode de mise en œuvre qu’ils envisagent,
ses avantages, éventuelles limites, cadences...
Page 50/123
4.4.2.1.4 « Coupe type RMS » :
30
10
Page 52/123
4.4.2.7 LES REMONTEES AERO SOUTERAINES (RAS)
Les RAS auront les caractéristiques suivantes :
Seront verticales en surface.
Seront collées à la façade ou au poteau.
Seront obstrués par des bouchons adaptés à la nature des fourreaux.
Lorsque qu’un câble emprunte une RAS, il faudra :
Boucher l’espace laissé libre entre le câble et le fourreau à l’aide de plâtre hydrofuge ou mousse
polyuréthane en veillant à ne pas condamner le fourreau pour un usage futur.
Protéger le(s) câble(s) et la partie visible du/des fourreau(x) à l’aide d’une gaine de protection
correctement dimensionnée (en hauteur comme en diamètre). Les articles de gaine de
protection sont disponibles au BPU.
A la demande de la MOE, il pourra être demandé de poser une gaine anti-vandalisme afin de
protéger le câble. Celle-ci recouvrira le cable suffisamment en aval dans le réseau enterré et en
hauteur sur la façade ou le poteau afin de protégé le câble d’actes malveillants. Elle devra être
souple et en acier.
Les couleurs des poteaux et mâts seront au choix de la ville de BEZOUCE. Le candidat fournira un
nuancier pour une intégration discrète dans le paysage (noir, ton pierre, …).
Le titulaire procédera avant l'application du produit, au dépoussiérage des parties de chaussée devant
recevoir les marquages horizontaux au sol.
L'application sera conforme aux normes A.F.N.O.R. (ancien référentiel ASQUER) sur les marquages
appliqués sur chaussées. L'agrément du représentant du maître d'ouvrage devra avoir été requis au
préalable.
1. Marquage au sol
Le titulaire devra être en capacité de réaliser des marquages définitifs de bandes continues,
discontinues (largeur variable suivant localisation), sigles, flèches directionnelles et toutes sujétions de
marquage horizontal identique à l’existant, la fourniture et l’application de peinture rétro réfléchissante,
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de couleur blanche, homologuée 48 mois. Il devra également être en capacité de réaliser des
marquages définitifs de passages piétons et bandes cyclables et sigles par l’application d’un revêtement
bi-composant à base de résine méthacrylique applicable à froid non réfléchissante.
2. Bandes podotactiles
Les bandes podotactiles devront être en résine métacrylate souple non jaunissante, d’une largeur de 42
cm et d’une épaisseur de 2 cm avec plots, régulièrement disposés, d’une épaisseur de 5 mm pour un
diamètre de base de 25 mm.
La pose des bandes podotactiles à base de résine de méthacrylate se feront par application d'une
résine bi-composant à base d’élastomères polyuréthane sur une surface propre et sèche.
Avant de commencer ses fouilles en tranchée, le titulaire procédera à un sciage systématique sur les 2
bords de la tranchée, à l'aide d'une scie à sol munie d'un disque diamant adapté à la nature du sol en
place. Ce sciage sera exécuté sur une profondeur de 15 centimètres.
Une fois ce sciage effectué, il pourra démolir le corps de chaussée en place, à l'aide d'un brise-roche
hydraulique, d'un marteau piqueur ou tout engin de génie civil adapté.
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Dans le cas de dallage ou pavage, on procédera une dépose soignée avec pince ou outil approprié,
avant mise en dépôt.
Les candidats préciseront les modalités d’exécution de cette prestation, les limites...
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Il est exigé une compacité égale à 95 % de l'optimum Proctor normal, à raison d'un essai par couche de
0,20 pour 200 m3.
Les déblais ayant une trop forte teneur en eau seront substitués aux frais du Titulaire.
Aucun camion ou véhicule de chantier ne doit être autorisé à circuler sur les canalisations, tant que
celles-ci n'ont pas été recouvertes par une couche de sable ou de terre soigneusement compactée, au
moyen d'engins manuels (cylindriques vibrants dames, etc ...). La hauteur de couverture est fonction de
la nature de la canalisation.
Dans le cas où les tranchées sont réalisées à la trancheuse mécanisée, le remblai sera réalisé en grave
ciment 5/6.
Le titulaire est responsable de toutes les dégradations occasionnées aux canalisations. II doit
remplacer, à ses frais, toutes les canalisations détériorées ou écrasées.
Le titulaire doit informer de son intervention les entreprises travaillant éventuellement sur le chantier et
doit protéger les canalisations par les moyens qu'il juge appropriés. En conséquence, le titulaire du
présent marché est responsable des dégâts occasionnés à ses canalisations par les autres entreprises.
S'il était nécessaire pour le fonctionnement du chantier de franchir les canalisations avant l'exécution du
remblai, le titulaire établira, à ses frais, les platelages ou des dallages pour assurer ces
franchissements.
Il doit soumettre au Maître d'Ouvrage pour accord les dispositions proposées et l'emplacement de ces
passages.
Tranchée de type « peu profonde » ou « micro rainurage » :
Pour le remblayage des tranchées de type « peu profonde » ou « micro rainurage », l’utilisation de
« béton coloré tranchée autocompactant » est demandée. Les matériaux autocompactant pour le
remblayage des tranchées sont des mélanges de matériaux divers : Sables, gravillons (<20mm,
cendres volantes, fillers, etc…), de ciment ou d’un liant hydraulique en faible quantité (<100kg par m3),
d’eau et éventuellement d’un ou plusieurs adjuvants.
Ce type de remblayage devra se mettre en place naturellement dans la tranchée par déversement, sans
compactage ni vibration. Ils devront développer un raidissement en quelques heures et présenteront
une résistance à long terme limitée pour les rendre réexcavables.
Les essais sur fourreaux installés doivent être effectués après que les tranchées aient été remblayées
et compactées, que les chambres ou caniveaux aient été installés et les masques mis en place. Ils
doivent être exécutés par unité à l'avancement des travaux.
La validation par mandrinage doit être exécutée quelle que soit la nature des fourreaux posés, PVC ou
PEHD.
Un certificat de mandrinage sera remis au moment des OPR sur demande du Maître d’Ouvrage.
Cet essai permet de vérifier que les fourreaux ne sont ni ovalisés, ni bouchés, ni encombrés.
Le titulaire :
vérifiera que chaque alvéole permette le libre passage de chambre à chambre d'un furet calibré
(ensemble furet - mandrin) conformément aux instructions ci-dessous ;
effectuera ces contrôles en présence du représentant du Maître d'ouvrage;
remplira les enregistrements de contrôle qui lui seront fournis.
Instructions de mandrinage
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Le Titulaire devra :
1. vérifier par une inspection visuelle que la disposition des fourreaux dans les masques soit la
même d'une chambre à l'autre (il ne doit pas y avoir de croisements).
2. vérifier que chaque alvéole permette le libre passage d'un mandrin constitué :
a. d'une tige de longueur L = 90mm ;
b. d'un disque central plein, gabarit rigide
c. de deux disques pleins à chaque extrémité.
3. propulser l'ensemble furet - mandrin à l'aide d'air comprimé, la pression maximale étant 4 bars et
le débit maximal de 3500 litres par minute.
La mise en conformité de l'infrastructure sera à la charge du titulaire et donnera lieu à une nouvelle
série de tests afin de lever les réserves initiales.
Voir règlement de voirie disponible sur demande auprès de la mairie de BEZOUCE et des autres
gestionnaires de voirie.
A cet égard le système de fixation devra présenter une surface en contact avec les effluents dépourvus
d'aspérité susceptible de retenir des corps flottants ou de subir de ces corps des efforts d'arrachement
se reportant sur les fixations. Les fixations seront de type à cheville femelle pour scellement chimique.
Les fourreaux seront fixés par des brides inox disposant de 6 points d'ancrage au minimum et assurant
le maintien en ligne des fourreaux.
Le nombre de points de fixation sera fonction de la qualité de support observée à chaque endroit (en
tout état de cause l’espacement ne pourra pas excéder 1 mètre entre deux brides) et devra donc être
décidé, avec l'accord de la Direction des Systèmes d’Information, section par section pour assurer la
résistance mécanique nécessaire et éviter le fléchissement du système de cheminement entre deux
points d'ancrage.
Les boîtiers d'épissurage ne seront pas admis dans les conduites d'eau pluviale. Ceux-ci devront être
placés en chambre de tirage sur trottoir, ou sur chaussée si l'accès trottoir n'est pas possible.
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Tout percement de conduit d'eau pluviale devra être mis en étanchéité. Il sera prévu au droit de chaque
adduction de site ou de boîtier de jonction, une chambre de tirage permettant un accès au réseau en
surface.
Plusieurs gaines souples en PEHD seront installées en liaison entre le conduit, percé et étanchéifié au
passage des gaines, et la chambre de tirage affleurante avec la surface du sol.
Les fourreaux ne devront pas limiter les accès au réseau.
La réalisation des travaux (génie civil, cheminements, pose des câbles) se fera impérativement en
étroite collaboration et coordination avec les exploitants et services des réseaux d’eaux.
L’entreprise est réputée connaître les présentes obligations. Toutes les observations concernant les
difficultés de mise en œuvre des conditions de travail, au niveau de la sécurité et de la protection de la
santé, devront être soumises à l’avis du Maître d’œuvre.
L’entreprise est responsable de la sécurité, lors de l’organisation et de l’exécution de ses travaux, vis à
vis de leurs employés et du personnel des autres entreprises travaillant dans les mêmes zones
d’activités. Cette responsabilité s’applique également aux sous-traitants, au personnel intérimaire et aux
travailleurs indépendants que les entreprises sont susceptibles d’employer.
Les entreprises ont le devoir d’informer, avant et pendant toute la durée des travaux, tous leurs
intervenants sur le chantier, y compris les sociétés de livraison ou de location de matériel de :
- l’organisation sécurité du site
- des modifications intervenues en matière de sécurité,
- de l’application des consignes de sécurité,
- des mesures d’hygiène et de protection de la santé mises en place sur le site, etc…
L’entreprise s’organisera (information de ses salariés…) pour que la découverte d’un matériau douteux,
susceptible de libérer des fibres d’amiante, soit décelé sans délai. Dans un tel cas, il suspendra ses
travaux et avertira immédiatement le Maître d’Ouvrage.
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Sauf dispositions particulières prévues au cahier des charges techniques, chaque entrepreneur mettra
en œuvre les protections collectives nécessaires à ses propres travaux et veillera au maintien de celles-
ci. Il sera tenu responsable en cas d’intervention de son personnel dans les zones non préparées et
protégées. Il devra intervenir immédiatement à toute demande directe pour remettre en état ou
compléter ces protections.
L’entreprise devra mettre à disposition de son personnel les équipements de protection individuelle
adaptés à son activité : bottes, gants, casque, lampe portative, radio,….
Chaque jour avant intervention, le Titulaire prendra connaissance du bulletin météo auprès de la station
météo agréée par le Maître d’Ouvrage.
Aucune intervention ne doit être entreprise en cas de précipitations ou de risque de précipitations.
Trois accès au réseau seront mis en œuvre lors d’interventions :
- 1 en amont au début du chantier
- 1 en aval en fin de chantier
- 1 en secours en aval de la fin de chantier
- Pénibilité des travaux souterrains : Afin de limiter les travaux pénibles en milieu souterrain,
l’entreprise organisera des postes de travail, sur lesquels les intervenants permuteront, afin
d’éviter plus de 2 heures de travaux dans le cadereau (permutation entre travaux en surface et
travaux dans le cadereau)
En cas de carence dans le respect des consignes de sécurité, le Maître d’ouvrage prendront les
dispositions de mise en œuvre de protection ou d’arrêt du chantier, à la charge du titulaire.
4.4.3.6 DIVERS
4.4.3.6.1 Percements
Les forages dirigés pour franchissement sans ouverture nécessiteront les prestations suivantes :
fouille préparatoire,
mise en œuvre de la foreuse,
mise en place des fourreaux dans le tube de forage,
remise en état des lieux.
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4.4.3.6.4 Recherche de conduite
Les soumissionnaires proposeront et préciseront dans leur offre les types de recherche de conduite
qu’ils sont en mesure de mettre en œuvre.
Sable fin pour remblais de tranchées………………. Carrières agréées par le Maître d'Ouvrage
Sable pour mortiers et bétons………………………… Carrières agréées par le Maître d'Ouvrage
Granulats pour bétons………………………………… Carrières agréées par le Maître d'Ouvrage
Liants hydrauliques……………………………………… Usines agréées par le Maître d'Ouvrage
Chaux et activants – ciments………………………… Usines agréées par le Maître d'Ouvrage
Liants pour enduits Usines agréées par le Maître d'Ouvrage
Matériaux hydrocarbonés (grave bitume et béton bitumineux) Centrales de fabrication agréées par la DDE
Fontes de voirie………………………………………….
Béton prêt à l'emploi…………………………………… Usines agréées par le Maître d'Ouvrage
Fourreaux PVC…………………………………………… Centrales agréées par le Maître d'Ouvrage
Qualité agréée par le C.N.E.T. normes NFT 54-018, labélisés NF et
Dispositif avertisseur…………………………………….. marqués LST.
Armatures pour béton armé………………………….. De couleur blanche
Chambres de tirage……………………………………. Conforme à la norme NF T 54-080
Usines agréées par le Maître d'Ouvrage
si préfabriquées, usines agréées par France Telecom conformes à
la norme NF P 98-050 label NF. De type SOVAL ou SODIF à définir.
Dispositifs de fermeture des chambres Cadres et tampons en acier et/ou fonte doivent être conformes aux
normes NF P 98-312 et NF P 98-312, homologuées par France
Telecom. Résistance minimale: 400 kN sous chaussée et 250 kN
sous trottoirs. Dispositif de sécurisation anti-effraction. (option)
Equipements de chambres Usines agréées par le Maître d'Ouvrage
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Pour ces chambres plus profondes, le fabricant, s'il n'est pas connu du Maître d'Ouvrage, soumet à son
approbation les plans de ferraillage.
Les faces latérales intérieures possèdent des supports d'équerres. Le radier comporte un orifice de
drain.
Les chambres pouvant être équipées de kit bi opérateurs, les masques doivent être doubles.
4.4.4.3.1 Tampons
Lorsque plusieurs tampons 250 KN sont nécessaires pour fermer une chambre, un seul est verrouillé
(les autres ne pouvant être enlevés qu'après celui-ci).
Cette dernière disposition peut être appliquée aux tampons de 400 KN.
Dans le cas ou des kits bi-opérateurs sont installés d'origine la sécurisation se fait sur le kit avec une vis
suivant spécification : CSTT045
Les tampons ne seront pas logotés (ceux équipés de logo FT devront être disqués).
La création d’une prise de terre en chambre pourra être demandée au coup par coup aux extrémités de
tronçon de câble traceur.
La prise de terre sera réalisée en fond de fouille de chambre par mise en place d’un piquet de terre de
2m minimum, soudé à une câblette de cuivre nu (25mm²) de 15m, posée en fond de fouille et raccordée
à une barrette de terre en chambre.
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4.4.4.4 GRILLAGE AVERTISSEUR
Les grillages avertisseurs mis en place au-dessus des conduites seront soit en PVC avec armatures
métalliques de renfort, soit en grillage de fil de fer galvanisé plastifié simple torsion, de couleur blanche
et conforme à la norme NF T 50-080.
Largeur du grillage : 0,30 m minimum. Le grillage couvrira au minimum la totalité de la conduite.
Pour les conduites de grande largeur plusieurs lés de grillage pourront être nécessaires.
La matière utilisée pour la fabrication des tubes sera un polyéthylène noir de masse volumétrique à
950 Kg/m3 et de fluidité à 1 g/10 min (190° C/2,16Kg).
Longueur moléculaire 80.
Le tube de couleur noire aura une teneur minimum de 2,3% +0,3%/-0,3% de noir de carbone.
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Aucune tâche ou impureté dans la masse ne sera admise.
Les surfaces extérieures et intérieures seront exemptes de défauts nuisibles à la qualité (rayures
marquées, grains, criques ou soufflures).
Chaque tube comportera au moins une fois tous les 2 mètres, en caractères de 3mm minimum, le
marquage standard suivant :
Tube prélubrifié : métrage, date de fabrication, fabricant, diamètre x épaisseur
Le tube sera noir avec 2 bandes longitudinales coextrudées de couleur blanche de la même matière
que le tube, réparties à égale distance les unes des autres sur la circonférence du tube. La largeur de la
bande est comprise entre 4 et 6 mm et son épaisseur comprise entre 0,1 et 0,5mm.
Tous les tubes seront conformes à l’essai d’écrasement réalisé selon la norme EN 50086-2-4 (450 N).
Pression nominale 10.
L’essai de résistance à la fissure lente sera effectué suivant la norme NF T 54-077 avec les précisions
ou compléments suivants :
Un lubrifiant (type Teepol shell ou équivalent) sera utilisé comme liquide tensio-actif
Dimensions des viroles :
a. D suivant la norme NF T 54-077
b. R suivant la norme NF T 54-077
c. H suivant la norme NF T 54-077
Résultat :
g. La vitesse de propagation de la fissure est à 20mm par 24 heures.
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Ils pourront être jumelés, contrefichés (type X, Y ou Z) ou haubanés afin d’augmenter leurs
efforts nominaux.
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4.5 FIBRES OPTIQUES
ET CABLAGE CUIVRE
Codification
Le présent document s'appuie sur les éléments de codification suivants :
Codification joints et locaux techniques
J : Joint en chambre
LT : Local Technique municipal
T : Tronçon
E : Extension
X.X : numéro du tronçon ou de l’extension, numéro du joint sur le tronçon ou l’extension
Soit par exemple :
JT 5.7 = joint n°7 du tronçon 5
JE 3.1 = joint n°1 de l'extension 3
LT Colisée = Local Technique site Colisée
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le stockage et le transport des câbles
la mise en place de la signalisation ainsi que l'obtention des différentes autorisations
administratives pour le tirage
la réalisation et la mise en place d’une signalisation spécifique au projet (charte graphique de la
MOA) dont le contenu sera défini avec le maître d’ouvrage.
la mise en place des supports de cheminements intérieurs du point de pénétration au local
technique, y compris les percements
la fourniture et la pose des supports au format 19" (baie ou châssis) complètement équipés
l'alimentation électrique des baies et châssis depuis une protection dédiée dans un coffret
électrique
la fourniture, la pose, des protections d'épissures, y compris les épissures
la fourniture et la pose des tiroirs optiques
la fourniture et la pose des câbles à fibres optiques
la mise en place des connecteurs et les tests réflectométriques
les documents des ouvrages exécutés.
Garantie des équipements et du matériel installé.
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4.5.2 Prescriptions fibres optiques
2
1
structure libre, multitubes modularité 6 FO par tube (sauf pour les raccordements des caméras)
porteur central non métallique (aramide, ...)
gaine intérieure assurant l'étanchéité longitudinale
gaine anti-rongeur par l’intégration soit de méplats, soit de lé en fibre
gaine extérieure PEHD de couleur verte ou bleue, la qualité ignifugé ou FRNC (retardant à la
flamme) sera exigée en cheminements intérieurs, dans le cas contraire le câble devra cheminer
sous fourreaux PVC
Câble non métallique résistant aux conditions sévères : totalement diélectrique.
Diamètre extérieur 20 mm maximum
Les câbles cheminant à la fois en extérieur et en intérieur devront répondre simultanément aux
exigences des deux milieux :
Résistance en extérieur, gaine PEHD
Non-propagation de la flamme en intérieur
structure libre, multitubes modularité 6 FO par tube (sauf pour les raccordements des caméras)
porteur central non métallique (aramide, ...)
gaine intérieure assurant l'étanchéité longitudinale
gaine anti-rongeur par l’intégration soit de méplats, soit de lé en fibre
gaine extérieure PEHD de couleur verte ou bleue, la qualité ignifugé ou FRNC (retardant à la
flamme) sera exigée en cheminements intérieurs, dans le cas contraire le câble devra cheminer
sous fourreaux PVC
Câble non métallique résistant aux conditions sévères : totalement diélectrique.
Diamètre extérieur 20 mm maximum
Les câbles cheminant à la fois en extérieur et en intérieur devront répondre simultanément aux
exigences des deux milieux :
Résistance en extérieur, gaine PEHD
Non-propagation de la flamme en intérieur
4.5.2.1.1 Repérage
Les câbles seront repérés par étiquettes à frapper de couleur verte ou orange. Les étiquettes porteront
au minimum les références des locaux d'extrémités et le nombre de fibres.
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lors des parcours intérieurs, tous les 10m
code TELECOM
1 Rouge (Red)
2 Bleu (Blue)
3 Vert (Green)
4 Jaune (Yellow)
5 Violet (Violet)
6 Blanc (White)
7 Orange (Orange)
8 Gris (Slate)
9 Marron (Brown)
10 Noir (Black)
11 Turquoise (Cyan)
12 Rose (Rose)
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4.5.2.1.2 Marquage des câbles
Marquage des câbles x FO SM + y FO MM + date + métrage
Types Câbles non métallique standards : totalement diélectriques, gaine avec tenue
retenus au feu NFC 32-070, catégorie C2. en cheminement intérieur
Câbles non métallique aux conditions sévères : totalement diélectriques,
double gaine avec tenue au feu catégorie C2. en cheminement intérieur
Extérieur 20 mm max.
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Etanchéité NFC 93 526 20.2 10 échantillons, 168 h Pas de fuite sur 9
La fibre optique multimodes (62,5/125µm) à gradient d'indice sera définie aux longueurs d'ondes
suivantes :
La fibre optique multimodes (50/125µm) à gradient d'indice sera définie aux longueurs d'ondes
suivantes :
Diamètre cœur : 50 µm
Le rayon de courbure des fibres défini par le constructeur sera impérativement respecté.
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9,2 0,6 125 2 245 10 1100-1280 3,5 18 0,4 0,25
La fibre sera conforme à la norme UIT SMF G652 ou UIT SMF G657.
Les fibres optiques terminées par leurs fiches de connecteurs seront disposées dans des têtes de câble
optique pour l'organisation des fibres optiques dans les répartiteurs.
Elles intègreront :
un porte-étiquettes assurant le repérage du câble (ou sa destination),
une face avant permettant de recevoir le nombre de connecteurs correspondants au nombre de
fibres du câble. Les sorties pour connecteurs seront simples ou doubles selon choix du Maître
d'Ouvrage.
un compartiment arrière permettant l'amarrage, le lovage et l'épanouissement des câbles,
un compartiment avant permettant le lovage des fibres équipé d'un bandeau support des
connecteurs,
un compartiment d'exploitation des fibres qui sera extractible.
Capacité :
12 à 24 fibres sur 1U
36 à 48 fibres sur 2 U
Equipement :
avec glissière
retrait de 60mm pour les connecteurs
entrée de câbles par presse étoupe
support de cassette
Les tiroirs (ou modules) pourront être de format ETSI ou 19"
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4.5.2.3.1 Mise en œuvre des répartiteurs et tête de câbles
Les têtes de câbles seront installées dans un tiroir optique. La terminaison des câbles sera réalisée par
connectorisation directe, ou par pig-tail.
Après réparation des câbles, une réserve de câble de 15 mètres environ sera ménagée (lovée) et
permettra le cas échéant de déplacer ultérieurement les têtes dans le local.
Cette surlongueur sera lovée en fond de baie à l'entrée des répartiteurs.
Les répartiteurs supporteront les têtes de câble et seront constitués de baies ou de châssis au format
19 ".
Les têtes de câbles seront constituées de tiroirs au format 19 pouces qui assureront la gestion complète
des câbles et des fibres :
arrivées de câbles latéralement ou à l'arrière des têtes
gestion, organisation et épanouissement des fibres
connectorisation des fibres
support des raccords de connectique, en face avant pour brassage
Leur conception doit garantir leur mise en œuvre aisée, une exploitation simple des brassages, ainsi
que la maintenabilité de l'installation.
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Connecteur SC APC, SC PC, LC PC, MT RJ pour les fibres monomodes et ST, LC PC, MT RJ
pour les multimodes
Duplex
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Elles disposeront des capacités suivantes :
zone de lovage des tubes
1 entrée double et 6 entrées unitaires en face avant
2 entrées unitaires en face arrière
nombre d'épissures maximum 72 à 288
Elles seront conformes aux caractéristiques suivantes :
IP 68
IK 10
Tenue à la traction des câbles 100 daN
Visserie inox
Elles seront mises en œuvre avec le kit spécifique à l'application projetée (entrées, cassettes, fixation,
identification).
4.5.2.9.1 Description
4.5.2.9.2 Caractéristiques
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4.5.2.9.3 Application et Utilisation
Multimode Monomode
Epissures
Nominal Max toléré Nominal Max toléré
Fusion 0.1 dB 0.15 dB 0.15 dB 0.3 dB
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4.5.2.12 APPLICATIONS
Le titulaire confirmera que chaque type de fibre optique proposé supporte le raccordement à des
équipements supportant WDM (Wavelength Division Multiplexing) et DWDM (Dense Wavelength
Division Multiplexing), Il précisera les fenêtres utilisables pour chaque type de fibre proposée et le plan
de fréquence pouvant être utilisé.
Réalisera les liens cuivre avec des composants CAT6A. Les liens installés doivent
impérativement présenter les performances minimum suivantes:
- Longueur de câble : 100 mètres max
- Fréquence : 100 Mhz,
- Impédance : 100 ohms
(Norme ANSI/EIA/TIA-568-B.2-1)
Caractéristiques principales
Insertion Return
Next Elfext
Lost Lost
21,3 dB 39,9 dB 23,3 dB 12 dB
PSANEXT : paradiaphonie exogène cumulée pour les paires et mesurée au sein d'un faisceau de câbles.
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Les cordons de brassage, doivent avoir la même impédance caractéristique que le lien. Pour se faire,
les cordons seront impérativement fournis par le même constructeur ayant fourni les connecteurs
femelles RJ45 terminaux et le câbles.
Cette recommandation réside dans l'obligation absolue de ne pas créer d'interférences ou de
perturbations pouvant résulter de procédés de fabrication différents entre deux constructeurs. Sans le
respect de cette règle impérative, la garantie du constructeur ne serait pas possible.
4.5.3.3 RECOMMANDATION
Nous rappelons les précautions toutes particulières qui doivent impérativement être prises, concernant
le câble, pendant sa manutention lors de l'acheminement sur le chantier :
Tout choc avec le câble, y compris lorsque celui-ci est en touret, doit être évité pour ne pas
modifier les caractéristiques électriques du câble et pour ne pas créer de blessure de la gaine.
L'installateur devra respecter en tous points les règlementations et les directives nationales en matière
de construction et d'électricité.
Les zones étanches au gaz doivent être impérativement respectées.
Le câblage ne doit pas dégrader le dispositif anti-feu en place dans les installations.
Les Liens horizontaux ne doivent pas excéder 90 mètres.
Si les câbles sont supportés en continu, le maximum de câbles est de 96, sinon : 48.
Si le câblage n'est pas supporté, il doit être fixé à intervalles d'1 mètre. Attention, cet intervalle est
moyen mais ne doit pas être régulier afin d'éviter les perturbations harmoniques.
Sur les chemins de câble verticaux, se trouvant dans les conduits, les torons doivent être fixés
fermement mais sans trop serrer à la surface tous les 1 mètre. Si les torons sont ailleurs que dans les
conduits, fixer les torons tous les 50 centimètres.
Les câbles suspendus ne doivent pas servir d'appui pour fixer tout autre chose.
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En cas d'utilisation de crochets de suspension de faux plafond, ne pas passer plus de 8 câbles 4 paires.
Les chemins de câble doivent être suffisamment larges pour accueillir les câbles avec aisance (réserver
30% de place en plus sur les chemins de câbles). Les courbures doivent être douces. Faire
particulièrement attention aux intersections.
Le passage des câbles doit être distant des lignes électriques et des tubes d'éclairage fluorescents
comme le prévoit la Norme EN50174 et NFC15-100. Ce point est rappelé en rubrique chemin de câbles.
Le câblage doit être protégé des arrêtes coupantes. Pour ce faire, utiliser des manchons, des passe-fils
et des gaines.
Respecter impérativement les rayons de courbure des câbles. Les rayons de courbure doivent être
réduits au maximum. Les rayons de courbure doivent être au moins égal à 8 fois le diamètre extérieur
du câble cuivre et 10 fois pour la fibre optique. Certains constructeurs de câble exigent des rayons de
courbure plus contraignants: Vérifier les préconisations des constructeurs des câbles. Il est impératif de
les respecter.
Les câbles doivent impérativement être fixés avec des colliers auto agrippant en tissu à l'exclusion des
colliers de câblage plastiques classiques auto serrant.
Cette liste n'est pas exhaustive et l'installateur s'attachera attentivement à réaliser une installation de la
meilleure qualité.
Principes de base :
Le câblage sera composé de composants cuivre Catégorie 6A FFTP permettant d’obtenir les
performances de la Classe Ea.
Le câblage des liens de distribution fibres optiques pour certains postes de travail devra
répondre aux critères de l’ISO 11801-2002.
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Liens cuivre : Les exigences suivantes doivent être respectées :
Composants : Conformités aux Normes Composants Cat6a de l’EIA/TIA 568B.2-10, ISO-IEC
11801-2002 Amd1 2008.
Liens : Conformité à la classe EA de transmission.
- Connecteur femelle RJ45 FTP Tool Less ZAMAC métallisé monobloc.
- Câble cuivre de distribution FFTP catégorie 6A.
- Câble fibres optiques pour les rocades.
- Les cordons de brassage et de liaison SFTP catégorie 6A.
Protection des appareils de traitement de l’information en réseau, par câbles avec écran général
plus un drain général et un écran par paire. Les composants d’extrémité permettront de se
prémunir contre les perturbations électromagnétiques conduites et rayonnées.
La solution sera certifiée.
Les composants seront renseignés de leurs fiches techniques.
Dimensionnement prévoyant au minimum deux connecteurs terminaux voix/données/image
(VDI) par poste de travail raccordé.
Il est rappelé que la connectique cuivre doit être blindée et en conformité avec les Normes ISO/IEC
11801et EN 50167.sur les performances mécaniques et environnementales. CERTIFICATION EXIGEE.
4.5.3.6.1 Généralités :
Les Normes ISO/CEI 11801 et EN 50173, définissent un câblage générique en trois sous-systèmes de
câblage :
Câblage fédérateur de campus.
Câblage fédérateur d’immeuble.
Câblage horizontal.
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4.5.3.6.2 Répartiteurs :
La Catégorie des câbles sera 6A FFTP avec écran général et écran par paire et gaine LSOH, platine
réseaux, en conformité avec la Norme EN 50167.
Lorsque la distance entre le point d’accès est supérieure à 90 mètres, ou si l'environnement est très
perturbé, on choisira la solution fibres jusqu’aux différents répartiteurs.
La capacité du câble sera de 6 fibres minimum et de 12, 24, 48 ou 72 fibres si le trafic le nécessite.
Les répartiteurs seront secourus par une liaison cuivre au cas ou la longueur est inférieure à 90 mètres
ou une liaison optique passant par un passage différent.
Cette rocade de secours doit interconnecter les 2 sous répartiteurs les plus proches.
Câble de rocade fibres optiques : Le câblage de rocade est le câble vertical distribuant le
système et désigné Câblage BACKBONE OPTIQUE.
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- Ne pas faire cheminer les câbles par des cages d’ascenseur ni à proximité d'appareils
fonctionnant au courant fort à cause des perturbations.
- Veillez à respecter le rayon de courbure prescrit par la Norme, et par le constructeur du
câble (si la prescription du constructeur est plus importante), lors de son positionnement.
Nombre de fibres 4 6 8 12 24 48 72
Diamètre
extérieur du 11 11 11 11 11 13,5 13,5
câble (mm)
Tension
nominale de pose 200 200 200 300 300 800 800
(daN)
Ecrasement
30 30 30 30 30 30 30
(daN/cm)
Rayon de
100 100 100 100 100 300 300
courbure (mm)
Structure unitube unitube unitube unitube unitube 4 tubes 6 tubes
Concernant les liaisons inter bâtiments, les câbles devront être protégés contre les rongeurs.
Utiliser obligatoirement des câbles fibres optiques armés fibres de verre avec les mêmes
caractéristiques que les câbles d’intérieur relativement à l’affaiblissement et aux couleurs des fibres.
Câble de rocade cuivre pour liaison téléphoniques : Câbles cuivre multi paires 278 ou SYT
numérique blindés par ruban aluminium.
Le système et ses composants devront être compatibles avec la Norme IEEE 802.3AF concernant le
Power over Ethernet:
Le PoE (Power over Ethernet ou alimentation par le câble Ethernet) permet d’intégrer les données ainsi
que l’alimentation sur une seule et même infrastructure de câblage jusqu’à 90m).
Lors de coupures d'électricité, le PoE assure un fonctionnement continu des appareils connectés à
distance tels que les téléphones IP, les points d'accès de réseau LAN sans fil et les caméras de
sécurité IP, lorsqu'elle est utilisée conjointement avec une alimentation électrique centralisée sans
interruption (UPS).
Le câble utilisé pour la construction des liens cuivre sera CAT6A FFTP et disposera d'une gaine LSOH
verte RAL 6018.
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Le lien sera construit avec du câble CAT6A FFTP et sera raccordé à des connecteurs femelles RJ45
Coccinelle 10 GIGA.
Le lien desservira le point terminal (Bureau) jusqu'au local de répartition ou de sous répartition et sera
placé dans un panneau 19’’ FTP 1 U en 16 ou 24 ports.
Le système proposé devra être indépendant des constructeurs de matériel informatique et des
constructeur d’autocommutateur afin d'assurer son indépendance.
Le système pourra accepter toutes les applications du marché.
Le système le plus adapté est la chaîne de liaison coccinelle platine réseaux 10 GIGA cuivre CAT6A
FFTP.
Le titulaire prendra en charge tous les supports de cheminements restant à créer, à partir du point de
pénétration, pour la réalisation de son ouvrage sur les cheminements horizontaux ou verticaux. En
particulier :
les chemins de câbles
les goulottes
les fourreaux
conduits
Les fourreaux devront impérativement être posés dans les endroits difficilement accessibles (faux
plafonds, vides de construction,..) permettant de tirer les câbles directement.
Suivant le cas, les chemins de câbles seront de type métallique, ou type dalle marine et de dimensions
adaptées au nombre de câbles à poser en prévoyant une réserve de 30%.
Le Titulaire se mettra en relation avec l'électricien (s’il n'est pas adjudicataire) à ce sujet, et s'assurera :
Que le chemin de câble est éloigné au maximum de toutes les sources de parasites (moteurs
électriques, ascenseurs, tubes…). La cohabitation des câbles courant faible et la proximité
d'appareil à courant fort doit respecter scrupuleusement la Norme NFC 15-100 et EN 50174 afin
de limiter les perturbations électromagnétiques. L'éloignement d'au moins 30 cm des chemins de
câbles courant fort doit être respecté.
De la bonne implantation et de la bonne taille des chemins de câbles.
Que les croisements avec chemin de câbles courant fort se font bien à 90°.
Les câbles doivent être fixés avec des colliers en tissu auto agrippant en tissu à des distances
d'environ 1 mètre en évitant les intervalles trop réguliers qui risqueraient de générer des
perturbations harmoniques.
Elle sera réalisée conformément aux recommandations du CREDO, Elle comportera notamment :
Réflectométrie dans les deux sens,
Réalisée à 850, 1300, 1550 nm, selon le type de fibre
Utilisation de bobines amorce, permettant de d’intégrer les connecteurs d'extrémité aux mesures
effectuées
Détermination des pertes dans les fibres, dans les connecteurs et dans les épissures.
Les opérations de réflectométrie permettront d'obtenir en une seule opération les éléments suivants :
Longueur de la liaison,
Affaiblissement global,
Affaiblissement des différents composants,
Réflectance des éléments réfléchissants,
Visualisation des contraintes et défauts de la fibre.
Le schéma de principe sera le suivant :
Réflectomètre
bobine amorce
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Méthodologie de mesure et précautions opératoires
Le test sera effectué à la « longueur d’onde de mesure ».. Le test pourra également être effectué, en
complément, dans les autres fenêtres d’utilisation de la fibre, en particulier si celle-ci est destinée à
recevoir des applications fonctionnant dans ces fenêtres.
On veillera à afficher un indice réaliste qui se rapproche de la moyenne des indices donnés par les
fabricants de fibre.
Sauf stipulation précise du câblier, les valeurs moyennes suivantes seront employées :
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4.5.5.3.3 Précision des mesures
Il sera admis une incertitude de ± 0.05 dB sur chaque valeur d’affaiblissement relevée avec
l’appareillage.
Le branchement du réflectomètre sur le lien à qualifier sera réalisé au travers d’une bobine amorce afin
de :
de qualifier le connecteur d’entrée,
de s’affranchir de la zone morte du réflectomètre.
Afin d’obtenir de bonnes conditions d’injection, la bobine amorce devra avoir les mêmes caractéristiques
que la fibre testée.
Ses caractéristiques seront les suivantes :
Une bobine sera également placée en sortie du lien pour qualifier le connecteur de sortie.
Typiquement, les longueurs proposées satisfont les exigences :
de qualification des connecteurs d’entrée,
de sortie de la zone morte du réflectomètre.
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4.5.5.3.5 Sanctions
Connectique
Les pertes étant mesurées dans les 2 sens, les critères suivants s’appliquent aux valeurs moyennes :
Liaisons multimodes
Bilan de liaison après épissurage complet des liaisons par réflectométrie. Le bilan de liaison permettra
d'adapter la puissance des équipements actifs, et sera également utilisé dans le cadre de la
maintenance.
Le Titulaire aura en charge l’aménagement des locaux techniques dans lesquels seront installés les
répartiteurs supportant les extrémités des câbles à fibres optiques. Cet aménagement consiste à mettre
en place les supports de cheminement à l'intérieur du local technique et à réaliser l'alimentation
électrique des baies depuis le tableau électrique.
Le Titulaire prévoira :
les protections dédiées dans le tableau électrique désigné par le maître d'ouvrage
les supports de cheminement, chemins de câbles et goulottes
les câbles électriques de dimension appropriée (2,5mm² minimum)
les boîtes de connexion vers les boîtiers de PC en baie
Un tableautin électrique supplémentaire pourra être nécessaire dans le cas où le tableau électrique ne
disposerait plus d’emplacements disponibles.
Le Titulaire devra fournir les installations complètes en ordre de fonctionnement. Tous les travaux
devront être exécutés selon les Règles de l'Art.
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4.5.6 Descriptions des ouvrages « points hauts »
4.5.6.1 PRESTATIONS A CHARGE DU TITULAIRE
Les prestations en charge du Titulaire :
Mise en œuvre de l'architecture retenue avec notamment :
- Audit des besoins et études
- Collecte des données variables auprès des services et entités équipés.
- Assistance aux opérations administratives auprès des autorités compétentes et autres
acteurs potentiels concernés par le projet (ARCEP, ANFR, TDF, propriétaires fonciers…)
- Fourniture de l'ensemble des équipements, matériels et logiciels nécessaires selon
commandes passées.
- Déploiement sur site et vérification des matériels et équipements :
Création et aménagements physiques immobiliers (pylônes et locaux techniques
notamment)
Mise en œuvre et en service des matériels
Configuration des équipements
Connexion aux réseaux internes et externes
Tests de l’architecture déployée.
- Fourniture du Dossier des Ouvrages Exécutés (DOE) :
fourniture de toutes les documentations en français des équipements livrés.
fourniture des dossiers de recette.
Garantie des équipements et du matériel installé.
Le candidat indiquera le coût et décrira les fournitures et prestations nécessaires à la création d’un mât
implanté sur bâtiment existant, support des équipements radioélectriques, sur la base suivante :
Mise en œuvre des platines et éléments de fixation, et mât hauteur 5 mètres
Disposition de cheminement des câbleries et haubanages
Armoire technique étanche et climatisée intérieure hébergeant les équipements actifs
Réseaux et adductions extérieures.
4.5.6.1.4 Constitution d’un point haut de type : Mât sur immeuble existant
Prestations à la charge du titulaire :
Fourniture et pose des éléments matériels permettant la constitution d'un point haut, sur
immeuble existant, de type mât haubané incluant armoire technique et accessoires avec :
- Fourniture et pose pylône haubané 5 m et 8 m, ZONE de VENT 4
- Déclaration de Travaux, autorisations, gestion des accès, états des lieux etc..
- Coordination sécurité, visites techniques, plans de prévention, réunions de chantier
- Plans simplifiés sous autocad
- DOE sous autocad
- Note technique, établissement convention : Vérification documents administratifs, ABF si
besoin etc..
- Plot d'ancrage, haubanage, mise à la terre, paratonnerre, note de calcul et signalétique
sécurité
- Disjoncteur 25A avec différentiel + distribution
- Tous cheminements, patte d'oie, câbles connecteurs et étiquetage: Edf, Ethernet, etc…
- Garantie des équipements et du matériel installé.
4.5.6.1.5 Constitution d’un point haut de type : Mât sur immeuble existant
Prestations à la charge du titulaire :
Fourniture et pose des éléments matériels et logiciels permettant la constitution d’uns liaison
point à point de type Faisceau Hertzien (fourniture et pose toutes sujétions) avec :
- Faisceau Hertzien 5,4 GHz sans taxes - Débit disponible en IP minimum : 14 Mbps :
Antenne intégrée 21 dBi
Accessoires
- Faisceau hertzien - 38 ou 23 ou 13 GHz :
Antenne intégrée 30 ou 60 cm
8xE1 et/ou Ethernet
Antenne séparée 120 cm en remplacement de l'antenne intégrée
Kit de renforcement au vent
Flextwist
- Recherche de site FH avec survey FH : Ligne de vue, visite technique, profil de la liaison,
bilan de liaison, remise d'un dossier avec reportage photo
- Installation et Pointage
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4.5.6.2 PRESTATIONS A CHARGE DU POUVOIR ADJUDICATEUR
Les équipements et fonctionnalités proposés par le candidat devront être strictement conformes aux
recommandations, normes et standards en vigueur, notamment ceux approuvés par l'IEEE, l'IETF,
l'ETSI et l’AFNOR.
Le candidat précisera dans son mémoire justificatif les références normatives des équipements et des
fonctionnalités proposées.
Pour toute solution propriétaire ou en cours de normalisation qui pourrait être justifiée ou nécessaire au
maintien du niveau fonctionnel initial des installations, le titulaire devra obligatoirement préciser au
préalable ce caractère et obtenir par écrit l'approbation du Pouvoir Adjudicateur avant toute mise en
œuvre. Le titulaire devra réaliser la mise en conformité dès disponibilité de la mise à jour de
l'équipement. Les prestations de fournitures complémentaires et déplacements sur site seront à la
charge du titulaire dans le cadre du contrat de maintenance.
L’architecture, les matériels et les règles de mise en œuvre et d’exploitation proposés devront être
conformes aux références normatives et directives suivantes (liste non exhaustive), ou leurs équivalents
:
La Directive 73/23/CEE relative à la basse tension transposée dans le régime réglementaire
français : décret n°95-1081 du 3 octobre 1995 (J.O. du 07/10/95) ;
La Directive 89/336/CEE relative à la compatibilité électromagnétique. La Directive CEM
(89/336/CEE modifiée par la Directive 92/31/CEE) est transposée dans le régime réglementaire
français : décret n°92-587 du 26 juin 1992, modifié par le décret n°95-283 du 13 mars 1995 ;
EN 300 019-1-0 septembre 2003 – Environnemental Engineering (EE) ; Environnemental
conditions and environnemental tests for télécommunications équipement ; Part 1-0 :
Classification of environnemental conditions ; Introduction.
NF EN 60068-2-32 Février 1994 - Essais fondamentaux climatiques et de robustesse
mécanique. Essai Ed : chute libre ;
NF C 12-100 – Protection des travailleurs ;
NF C 12-201 – Protection contre les risques d’incendie ;
NF C 13 100 – Postes de transformation.
NF C 14 100 – Installations de branchement 1ère catégorie
NF C 15 100 – Installation électriques basse tension
NF C 17-100 décembre 1997 – Protection contre la foudre – Installations de paratonnerres :
règles.
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NF C 17-102 juillet 1995 – Protection contre la foudre – Protection des structures et des zones
ouvertes contre la foudre par paratonnerre à dispositif.
NF C 18-100 – Mesures de protection et de prévention.
NF C 20 010 – Règles communes aux matériels électriques, classification des degrés de
protection procurés par les enveloppes.
NF C 20 030 – Matériels électriques basse tension, protection contre les chocs électriques :
règles de sécurité.
NF C 32 321 et 322 – Câbles isolés
NF C 53 220 et 221 – Convertisseurs
NF C 53 320 – Chargeurs batteries
NF C 58 – Perturbation radioélectrique
NF C 61 740 juillet 1995 : Matériel pour installations alimentées directement par un réseau de
distribution publique à basse tension – Parafoudres pour installation basse tension.
Guide UTE 15 443 : Protection des installations électriques basse tension contre les surtensions
d’origine atmosphérique – choix et installations des parafoudres.
CEI 1024-1 mars 1984 : Protection des structures contre la foudre – Première partie : principe
généraux.
CEI 1312-1 février 1995 : Protection contre impulsion électromagnétique générée par la foudre –
Partie 1 : Principes généraux.
Le candidat précisera les dispositions envisageables pour l’établissement de transmission vers les
organisations dotées d’équipements conformes à la norme NF 399.
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Hauteur avec socle : 1900 mm hors tout
Largeur : 800 mm hors tout
Profondeur : 900 mm hors tout
Socle : 100 mm de hauteur
- Options :
Gestion thermique auto ventilée
- Résistance aux intempéries : 280 Km/h au vent / Conforme à la norme IK10
- Technologie double peau avec chambre thermique isolante
- Portes doubles avec fermetures trois points
- Double joints néoprène sur portes et chambres
- 4 montants 19 pouces 30 U avec guides câbles
- Un porte document et un compas de porte 110°
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4.6 SYSTEME DE VIDEOPROTECTION : PRESTATIONS
ATTENDUES
Robuste : La durée de vie, en tenant compte des contraintes d’exploitation, devra être indiquée
au Maître d’ouvrage, et sera d’un entretien aisé (sécurité, facilité d’accès, interchangeabilité des
pièces).
Les caméras présenteront les caractéristiques techniques adaptées aux conditions d’illumination
du lieu vidéo protégé.
Les réseaux sur lesquels transitent les flux vidéo offrent une bande passante compatible avec
les débits nécessaires à la transmission d’images de qualité suffisante pour répondre aux
finalités pour lesquelles le système de vidéoprotection a été autorisé et soit en tout cas dans les
normes techniques prévues à l’arrêté du 03.07.2007.
Les réseaux sur lesquels transitent les flux vidéo prennent en compte la sécurité de ces
derniers, garantissant leur disponibilité, leur confidentialité et leur intégrité. Ceci devra en
particulier être précisé dans le cas de l’usage de réseaux sans fils.
Les caméras, les dispositifs d’émission/réception optiques et les mécanismes d’orientation des
caméras urbaines, et leurs protections contre le vandalisme et les intempéries.
Les équipements réseau de type switchs, convertisseurs optiques, et switchs durcis.
Les supports de toutes natures (fixations, etc..), les raccordements électriques et au réseau de
transmission, et, d’une manière générale, l’ensemble des matériels nécessaires à la réalisation
des ouvrages tels que prévus dans les prescriptions fonctionnelles et techniques du présent
document.
Sur certaines caméras installées dans les zones sensibles, il sera demandé des protections
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complémentaires anti-vandalisme. La définition des caméras en zones sensibles sera précisée lors de
la phase d’initialisation des travaux.
Il est entendu que le titulaire devra réaliser toutes les mises à jour logicielles nécessaires au parfait
fonctionnement de l’ensemble des dispositifs et applications à mettre en œuvre dans le cadre du
présent marché.
Le titulaire devra le paramétrage complet des équipements fournis au titre du présent marché.
Il devra notamment prendre en charge, pour chaque nouvelle caméra, l’activation du certificat
d’authentification 802.1x entre celle-ci et le serveur Radius d’authentification.
Les opérations de paramétrage et de mise en service porteront sur l'ensemble des configurations
matérielles et logicielles dues au titre du présent marché, notamment : création, paramétrage des
caméras (intégration au dispositif, calibrage, création zone de vision, incrustation, masques…).
Chaque point fera l’objet d’une validation par la DSI Mutualisée.
Tous les modèles de caméras doivent au minimum supporter les caractéristiques de sécurité
suivantes :
Le titulaire précisera, pour tous les équipements (caméra, switch, pont radio), la durée de
garantie standard (1 an minimum).
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Caméra mobile:
Caméra mobile à grande vitesse, sous dôme, équipée d’un téléobjectif motorisé permettant de
visualiser un détail. Le choix de la zone détaillée se fait en pointant la partie de la scène sur l’image
d’ensemble par simple clic de la souris depuis le PC de gestion.
Des modèles de caméras thermiques, sensibles au rayonnement infrarouge et utilisables dans des
environnements sombres voir très sombres, seront fournies par le titulaire et devront disposer d’une
résolution minimale de 640 x 480 pixels. De plus ces caméras devront avoir les caractéristiques
suivantes :
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Contre-jour
Classe IP66
Gestion des masques (respect de la loi de Janvier 1995)
Support de la technologie WDR (Wide Dynamic Range / Gamme Dynamique Large)
Support de la fonction de gestion en environnement très faiblement éclairé
Possibilité d’association de leds d’éclairage intégrées dans la caméra (variation
d’éclairage associée à la luminosité ambiante)
Les caméras panomorphes :
Modèle 1 :
Caméra couleur jour nuit
Grand angle
Qualité d’image minimum 500 LTV
Sensibilité 1 lux
Fonction de détection de mouvement
Alimentation en POE (802.3af)
Modèle 2 :
Mêmes caractéristiques sur le modèle 1 avec en plus :
Support de la technologie WDR (Wide Dynamic Range / Gamme Dynamique Large)
Support de la fonction de gestion en environnement très faiblement éclairé
Micro stockage en local
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Les caméras déplaçables
L’ensemble comprenant la caméra, le mât, le chargeur, la batterie devra pouvoir être déplaçable le plus
simplement possible à l’aide d’une remorque et sécurisé sur son lieu d’implantation provisoire à l’aide
de vérins par exemple.
Le schéma ci-dessous décrit les éléments et prestations attendues autour du système de caméra
déplaçable.
WiFi
ou
4G
EP
Mât téléscopique de 3 à 9 m
Trappe sécurisée
à la charge du titulaire
Batterie
2 possibilités de
raccordement de l’énergie
Raccordement énergie
à la charge du titulaire
Sécurisation de la remorque
par vérins hydrauliques
Le titulaire devra prévoir le raccordement en provisoire de l’énergie, soit au travers de l’éclairage public,
soit au travers d’une armoire de rue de type SLT voire de panneaux solaires.
Le candidat devra décrire son système de caméra déplaçable tout en précisant le mode de
raccordement de l’énergie, du réseau de transport ainsi que du système de stockage embarqué.
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Caractéristiques caméra nuit :
Modèle 1 :
Sensibilité 0,1 à 0,35 lux
Classe IP66
Motorisée sur deux axes pour une mise en place très rapide et un ajustement précis de
l’axe de visée et des autres paramètres optiques (zoom, focus, shutter, gain, etc)...
Caméra couleur et Noir&Blanc
Zoom optique : rapport de x10 à x30.
Débattement azimut : 360° avec butée
Débattement site : Supérieur à +/-30°
Intégrable dans le mobilier urbain
Modèle 2 :
Infrarouge pour la Lecture Automatique de Plaques d'Immatriculation (zoom x 18),
Qualité d’image minimum 500 LTV
Classe IP66
Débattement azimut : 360° avec butée
Débattement site : Supérieur à +/-30°
Longueur de focale : 24 mm
Angle de vue en air : (H) 8.5° / (V) 6.5°
Possibilité d’intégrer des projecteurs LED invisibles
Le dispositif de lecture de plaque doit être dédié, ceci dans un but de performance et afin de pouvoir
affronter toutes les situations difficiles (nuit, pluie, brouillard, vitesse supérieure à 100km/h minimum,
etc…).
Le dispositif devra comprendre une caméra avec filtre infrarouge et projecteur infrarouge, réunis dans
un seul caisson.
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Pont Radio Wifi
Le réseau radio sera utilisé dans les bandes de fréquences de 5,4 GHz conforme à la réglementation
décrite par l’ARCEP.
Les antennes doivent être rigoureusement conformes aux directives 05-1080 et 05-1081 relatives à
l’utilisation des bandes de fréquences 5 GHz, émises par l’Autorité de Régulation des
Télécommunications et aux recommandations de l’ARCEP dans le décret du 26 septembre 2006.
Les deux types d’architecture sans-fil envisagés sont en mode point à point et point à multipoint.
Les débits théoriques demandés vont de 30 Mbps à 100 Mbps.
Les caractéristiques minimales attendues, en plus de celles demandées au début du paragraphe, sont :
Support du 802.1Q
Support de l’IGMP V2, V3
Classe IP65
Encryption AES – 256 bits
A la demande de la DSI, le titulaire pourra être amené à réaliser une étude de faisabilité de mise en
œuvre d’une liaison point à point WiFi.
Les fixations proposées devront être compatibles à l’utilisation « vidéoprotection » en offrant une
excellente stabilité face à l’action du vent et aux oscillations.
Les fixations devront être adaptées à l’environnement dans lequel elles seront mises en œuvre :
Le candidat fournira un nuancier pour une intégration discrète dans le paysage (noir, ton pierre, …).
Selon le type de support et à la demande de la DSI, les caméras seront peintes en atelier à l’identique
afin d’améliorer l’intégration paysagère.
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Protection anti-vandalisme
Le candidat devra fournir des protections complémentaire anti-vandalisme pour les caméras.
Grand format :
Petit format :
Les commutateurs Ethernet ou switchs fournis devront disposer de fonctions avancées, d’un haut
niveau de sécurité, d’une robustesse importante dans des contextes difficiles ainsi que d’une facilité
d’utilisation.
Ils devront également être compatibles avec les switchs existants (Hirschmann et plus récemment
Cisco) :
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• Permettre une hiérarchisation du trafic et des fonctions de sécurité,
• Permettre de supporter les protocoles vidéo, de qualité de service, les VLans, l’IGMP, ou encore
la possibilité d’intégrer des ACLs
• Permettre de subir des contraintes environnementales fortes (choc, vibration, température de
fonctionnement, ….)
• Permettre un montage dans des contextes différents (support, rail DIN, baie 19 pouces …),
alimentation 220V ou 24V, relais d'alarme, acceptation des surtensions,
• Offrir une facilité de configuration avec des outils propres (navigateur web) ou par des outils
d’administration du marché
• Offrir une grande facilité dans le remplacement des équipements et leur reconfiguration
(réutilisation par exemple d’une mémoire flash)
• Offrir une haute disponibilité de fonctionnement et garantir une fiabilité importante
Permettre la prise en charge de Power over Ethernet (PoE) jusqu'à 15,4 W par port et Power over
Ethernet Plus (PoE +) jusqu'à 30W par port
• Intégrer un large éventail de protocoles d’Ethernet industriels pour l'automatisation.
• Permettre une conformité à un large éventail de spécifications Ethernet industriel couvrant
l'automatisation industrielle, ITS, ….
• Permettre un mécanisme de redondance de niveau 2 dans une topologie de type anneau
• Les modules SFP proposés par le candidat pourront être compatibles ou constructeur (articles
4.8.12 à 4.8.15)
Le tableau ci-après détaille les caractéristiques minimales exigées pour les switchs. L’attention des
candidats est attirée sur la nécessité de disposer de modularité et de densité de ports fibres optiques
SFP.
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Caractéristiques Exigences minimales CCTP
La mission première du CIUVP est la visualisation proactive 24h/24 et 7j/7 des caméras du dispositif de
vidéoprotection. Il est également amené à effectuer des recherches par relecture des images vidéo, sur
réquisition ou par des personnes habilitées.
Le CIUVP peut être amené à être utilisé en temps réel sur certaines manifestations ou événements.
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Le CIUVP comprend la supervision générale (poste d’exploitation) et la recherche d’images
enregistrées.
Dans le cas où la commune de BEZOUCE décide de créer un nouveau Centre de Surveillance Urbaine
(CSU) dans ses locaux, le candidat devra, aux prix indiqués au BPU, prévoir les prestations décrites ci-
dessous.
Le titulaire devra :
Il est précisé que les systèmes, équipements et logiciels composant le CSU devront être
totalement compatibles, ouverts et évolutifs avec le système central en place sans remettre en
question le système proposé.
Rappel : Un des objectifs du CIUVP étant une exploitation à postériori des images, les images
enregistrées devront être de haute résolution pour permettre la lecture des plaques
minéralogiques de véhicules à l’arrêt ou en circulation, l’identification des automobilistes ainsi
que l’identification des personnes et ce dans des conditions de luminosité très faible
notamment.
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4.7 FORMATION DES UTILISATEURS
Le titulaire devra prévoir une formation du personnel autorisé à visionner les caméras du dispositif
(administrateur, exploitant et opérateur).
Le titulaire devra fournir les supports de cours au format papier et électronique (1 exemplaire par
opérateur formé).
Le nombre de personnes à former pouvant être variable, le candidat pourra cependant considérer pour
sa réponse qu’une session de formation comportera un groupe de 5 personnes.
4.8 ASSISTANCE :
Des journées d’assistance technique sur site ou à distance pourront être commandées selon les
besoins de la Commune de BEZOUCE. Le niveau de compétence de l’intervenant (technicien ou
ingénieur) devra être adapté selon le contenu de la demande.
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4.9 GARANTIE :
Les prestations (dispositif, matériel et logiciel) mis en place dans le cadre du présent marché font l’objet
d’une garantie minimale d’un an dont le point de départ est la notification de la décision d’admission.
Cette garantie est incluse dans les prix unitaires d’acquisition des fournitures.
Les candidats peuvent proposer des garanties d’une durée plus longue et plus complète. Ils devront,
dans ce cas, préciser les contours de cette garantie dans leur offre.
Les exigences des prestations de maintenance décrites au paragraphe 4.9 s’appliquent également aux
matériels et logiciels durant leur période de garantie
L’ensemble des éléments fournis par le titulaire du marché (logiciel, matériel, réseau…) devra être
couvert par des prestations de maintenance jusqu’au terme du présent marché.
L’attention des candidats est attirée sur le fait que les clauses et prescriptions du CCAP et du
CCTP constituent la base contractuelle du marché. En conséquence aucun autre document ou
« contrat type » ne pourra être contractualisé dans le cadre du marché.
Le titulaire prendra en charge au titre de la maintenance quelles que soient les types d’interventions (y
compris dégradations ou détériorations non imputable au titulaire) :
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En cas de dégradation ou de détérioration par un tiers ou un élément externe voire climatique, le
remplacement et la remise en service seront rémunérées par application des prix concernés au BPU.
Le remplacement d’un matériel qui n’est plus couvert par la période de garantie constructeur sera
effectué par application du prix unitaire de fourniture du matériel concerné.
Dans le cas d’une dégradation/destruction des infrastructures ou du réseau provoquée par un tiers, le
titulaire devra fournir à la DSI, en plus d’un devis de réparation provisoire et définitive, un dossier
technique complet, complété par un constat d’huissier, qui sera opposable au tiers responsable des
dégâts.
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Un extranet client (type « GMAO ») permettant de déclarer, suivre et valider la clôture des
incidents est également exigé. Celui-ci devra permettre également la mise en place de reporting sous
forme de tableau de bord régulier.
Astreinte et interventions
Les plages de couverture (24h/24 et 7j/7) et les délais (GTI/GTR) intégrés au prix unitaires sont ceux
décrits ci-après.
La maintenance intégrera en prix de base pour l'ensemble des logiciels fournis et maintenus au titre du
marché :
- La mise à disposition de toutes les versions évolutives et correctives (firmwares des caméras
compris) des produits à maintenir (caméras, logiciels centraux, switchs durcis).
- Les installations des versions évolutives mineures et des correctifs de ces produits.
- L'installation d'une évolution majeure par an.
Les installations des versions mineures ou majeures seront réalisées sur un environnement de pré-
production.
Les impacts éventuels sur la mise en œuvre de ces nouvelles versions sur l’architecture
technique et fonctionnelle de la solution de vidéoprotection, doivent être clairement indiqués et
précisés par le titulaire en amont de chaque opération.
La mise en production sera validée par un comité technique composé de la DSI mutualisée, des
utilisateurs du système et du titulaire du marché.
La maintenance comprend :
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Une maintenance corrective .
Celle-ci comprend :
Celle-ci comprend :
la mise à disposition et l’installation des nouvelles versions évolutives et majeures qui découlent
de l’évolution normale de tous les produits à maintenir (caméras, logiciels centraux, switchs
durcis…), y compris l’actualisation par rapport aux réformes dictées par le législateur ou aux
changements technologiques.
Par exploitation normale, on entend le meilleur rendement possible pour obtenir un fonctionnement
normal du matériel, c'est-à-dire une remise en état de toute défectuosité de l'ensemble des organes de
l'installation.
Afin d’offrir une réactivité importante en cas de panne matérielle et afin de respecter les délais
d’intervention et de remise en état imposés dans le dossier de consultation, le titulaire devra
posséder un stock de pièces de remplacement pour l’ensemble des matériels composant sa
solution (spare).
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La DSI mutualisée complètera ce stock des éléments sous sa responsabilité directe ou de ses
mainteneurs tiers (matériels réseaux notamment) afin de garantir un rétablissement optimal en
termes de délai.
Par exploitation normale, on entend le meilleur rendement possible pour obtenir un fonctionnement
normal des matériels reliés au « réseau », c'est-à-dire que le titulaire assurera « un ensemble d’actions
tendant à corriger les dégradations d’une liaison optique afin de rétablir sa conformité aux
spécifications ».
Les prestations décrites ci-dessus portent sur la maintenance curative de l’ensemble des éléments
fournis par le titulaire dans le cadre de ce marché (dispositif de vidéoprotection)
Cas n°1 : Maintenance GTI 2h/4h GTR 4h/8h 7j/7 24h/24 (article 2.1.1 du BPU)
A la suite de la déclaration d’un incident par téléphone, fax, email ou extranet client; les actions
curatives seront engagées selon les délais suivants sur les 7 jours de la semaine et 24h/24 :
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Cas n°2 : Maintenance GTI 2h/4h ouvrées GTR 4h/8h ouvrées 5j/7 de 9h00 à 18h00 (article 2.1.2
du BPU)
A la suite de la déclaration d’un incident par téléphone, fax, email ou extranet client; les actions
curatives seront engagées selon les délais suivants du lundi au vendredi 9h00 et 18h00.
Pour les tableaux ci-dessus, les délais ne sont pas cumulés et s’entendent à compter de
l’ouverture de l’incident
Le niveau de gravité sera déterminé « à priori » par le pouvoir adjudicateur ou son représentant au
moment de l’appel. Le niveau de gravité est qualifié dans le § 4.10.9 du présent C.C.T.P.
Lors d’une ouverture d’incident chez le titulaire par le pouvoir adjudicateur ou son représentant, le délai
imparti au titulaire pour commencer une intervention de réparation, rechercher la cause d’un incident ou
débuter la réparation, démarre à partir de cette ouverture.
Dans le cas où l’incident serait résolu par la mise en place d’une solution de contournement, le titulaire
dispose de 5 jours ouvrés après mise en place pour apporter une correction considérée comme
définitive et acceptée par la DSI.
Pour les caméras, switchs durcis et convertisseurs, la GTI/GTR devra être impérativement respectée,
quelle que soit la cause de la dégradation. Les candidats préciseront quelles modalités seront mises en
œuvre pour répondre à ces exigences.
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4.10.6 Synoptique de qualification des pannes
Ouverture de la cartographie
Vidéoprotection
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4.10.7 Synoptique de contrôle sur site vidéo
NON
NON
Ré-enclenchement
disjoncteur switch OK ?
NON
NON
Appel cadre Astreinte
DG
06 26 33 44 86
Retour à la normale
(électricité, switch,
fibre) ?
OUI
Clôture incident
Retour information au CIUVP
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4.10.8 Synoptique d’intervention sur mât d’éclairage public
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4.10.9 Processus de maintenance de la vidéoprotection
L’attention des candidats est attirée sur le fait qu’en période de crise (type inondation, fête votive,
évènement, manifestation, surveillance particulière… par exemple), le système de vidéoprotection est
une infrastructure particulièrement critique.
Le candidat indiquera donc dans son mémoire technique les dispositions particulières qu’il envisage de
mettre en œuvre afin qu’une équipe technique soit mobilisée sur le territoire de la commune de
BEZOUCE lors de ces événements. Le cas échéant, la commune de BEZOUCE pourra mettre à
disposition du titulaire un local afin que cette équipe dispose sur le terrain de tous les moyens
nécessaires pour intervenir.
Le candidat décrira la composition de l’équipe de crise et les moyens provisionnés à disposition de cette
équipe.
Cette disposition ne sera pas permanente mais seulement sur sollicitation expresse de la commune en
période de pré-alerte.
A ……………., le
Signature du candidat et tampon
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ANNEXE 1 - PRECISION SUR LA LOCALISATION DES EQUIPEMENTS.
L’annexe 1, remise lors de la visite obligatoire, décrit l’ensemble des équipements et leur
localisation pour le projet de la commune de BEZOUCE.
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