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Aout 2016
Antalgique
Les classifications :
*risque Infectieux :
Groupe A Groupe B
*Risque hémorragique :
*Risque syncopal :
• A haut risque :
- L’hypertension artérielle.
- Troubles du rythme.
- Rétrécissement aortique
• A risque :
- Les myocardiopathies.
La conduite à tenir :
Interrogatoire:
- type de la pathologie et son ancienneté
- traitement suivi
Prendre contact avec le médecin traitant , avec demande d’un rapport détaillé comprenant:
*Risque infectieux :
*Risque hémorragique :
Anti-vitamines K:
- Acénocoumarol (Sintrom®)
- Fluindione (préviscan®)
- Warfarine ( coumadine®)
°Ticlopédine (Ticlid®) .
°Clopidogrel (Plavix®)
°Acétylsalicilate(Kardégic®)
*Avant intervention :
Sous anti-vitamine K:
• Demander un bilan de coagulabilité pour le jour de l’acte 24h avant l’intervention) : TP (Taux de
Prothrombine) et INR (International Normalized Ratio).
- Patients poteurs de prothéses valvulaires mécanique ou valvulopathie mitrales sévères avec facteur
favorisant====)INR 3-4,5
- Si INR > 3 ou 2 soit TP ≤ 30 ou > 45 ====) orienter le patient vers son Cardiologue
VALEUR V.N VALEUR
2 / IVY : 3-8min
- Bilan d’hémostase
Le TS ne doit pas être réalisé pour estimer le risque hémorragique d’un patient sous traitement par
(AAP), sa sensibilité étant inconstante.
Il ne faudra intervenir que si l’on possède une parfaite technique d’hémostase locale .
- Si une alvéolectomie s’impose ; une quantité très faible du tissu osseux doit être éliminée.
1. Une compression locale immédiate pendant 10 minutes avec des compresses imbibées d’acide
tranexamique (Exacyl ®)
2. Comblement alvéolaire:
3. Réalisation de sutures (avec du fil résorbable): mise en place de points de suture unitaires
séparés. les sutures continues sont à éviter .
*Précautions post-opératoires:
- Si une prescription anti-inflammatoire se révèle nécessaire, des corticoïdes en cure courte sont
privilégiés
-le rinçage buccal par un bain de bouche est contre-indiqué pendant les 24 premières heures.
- Une consultation de contrôle à 24h-48h ou un simple contact téléphonique sont recommandés afin
de vérifier la bonne observance des conseils postopératoires
*Risque syncopal :
- De leur traitement .
- préparation psychologique ;
-préparation sédative pour réduire le stress : hydroxyzine (Atarax® 25 mg) ou diazépam (Valium® 5 mg : 1 cp
la veille et 1cp 1h avant l’acte) ;
Traitement de la syncope
- Si le malaise persiste, on procède au massage cardiaque externe qui sera accompagné d’une
ventilation artificielle par bouche à bouche ou en utilisant un appareil spécial, ou alors procéder à
une injection sous-cutanée d’atropine à raison de 0,5 mg( en attendant l’équipe médicale)
Remarque:
Si l’infarctus de myocarde remonte à plus de 6 mois, le chirurgien dentiste n’agira que si l’état général est
jugé satisfaisant et stable, donc il pourra réaliser les soins au cabinet, les extractions en milieu hospitalier .
Cas particuliers :
Hospitalisation du patient
Traitement étiologique
Hospitalisation du patient
Antibiothérapie massive
Type 2 ===)adultes
Moyens de diagnostic :
Moyens de surveillance :
Posologie :
spiramycine 2 MUI
Il fau éviter les médicaments à élimination rénale sinon diminuer la dose et espacer les prises (sauf
patient sous hémodyalise)
-Sérologie
-Bilirubine
-Orientation
Per os====benin
IV=====malin
-Lésion muqueuse dans la région maxillo-faciale mettant à nu de l’os nécrosé pendant plus de 8
semaines
Anesthésie de contact
En exobuccale réaliser une petite incision ne dépassant pas le centimètre et parallèle au rebord
basilaire de la mandibule afin de ne pas léser le nerf mentonnier
Lors de l’interrogatoire :
-Dépister les pathologies en rapport avec un trouble d’hémostase (cirrhose hépatique ;troubles
congénitaux )
Lors de l’acte :
Pendant l’intervention
-contre indication formelle de salicylés et AINS mais la prise d’antalgique est possible
* un vasoconstricteur
Les anesthésiques locaux sont des bases alcaloïdes combinées à des acides (acide chlorhydrique) pour
former des sels hydrosolubles (Base faible + Acide fort = Sels stables et solubles dans l’eau ).
Grâce à l’alcalinité des tissus dans lequel il est injecté, le sel anesthésique est hydrolysé en une base
alcaloïde et libéré il pénètre facilement la membrane nerveuse
• Les petites fibres nerveuses sont infiltrées en premier par rapport aux grosses fibres.
• La myéline constitue un obstacle à l’anesthésique.
• Pour être efficace la concentration de l’anesthésique au niveau de la membrane doit être
suffisante : d’où l’intérêt d’injecter le plus proche possible du nerf à anesthésier.
• Dans un tissu enflammé (très vascularisé), l’anesthésique est vite absorbé par la circulation
générale, ce qui rend son action brève et sa toxicité plus grande : d’où l’intérêt d’injecter assez loin
de toute zone enflammée.
• A part la cocaïne, tous les anesthésiques locaux produisent une vasodilatation localisée au point
d’injection d’où :
* saignement
* absorption rapide
* action brève
*TECHNIQUES D’ANESTHESIE:
A/ Anesthésie de surface:
1- par contact :
* badigeonnage:
Après assèchement de la zone intéressée à l’air tiède, on applique un coton imbibé d’anesthésique. Le
produit est étalé sur la muqueuse. L’effet anesthésique est long à obtenir. Indiquée pour les prélèvements
de faible volume.
* Tamponnement:
On place une mèche imbibée d’anesthésique de contact sur une région intéressée pendant quelques
minutes.
* Pulvérisation:
Consiste à projeter sur une muqueuse une solution anesthésique réduite en gouttelettes.
L’anesthésie est obtenue par projection directe d’un liquide très volatile qui va provoquer une diminution
brutale de la température locale bloquant ainsi les récepteurs sensitifs. Parmi les produits les plus utilisés:
* le tétrafluorodichloroethane : (Friljet®)
Le miroir tenu dans la main gauche tend légèrement la muqueuse jugale ou labiale pour faciliter la
pénétration de l’aiguille qui doit s’effectuer en direction de la région apicale en regard de la dent
intéressée ou de la zone à opérer, au fond du vestibule, le biseau de l’aiguille en face de l’os .
Dès la pénétration, l’injection se fait doucement jusqu’au blanchiment de la muqueuse (3/4 de la carpule) ;
Du côté lingual ou palatin introduire l’aiguille (biseau toujours en face de l’os) à mi distance entre le collet
et la région apicale et injecter le dernier quart doucement . Attendre 2 à 3 minutes avant de commencer
l’acte. Cette anesthésie durera 30 à 40 minutes.
Indications :
La seringue est enfoncée dans le bourrelet inter dentaire mésial et distal, le biseau étant appliqué contre
la dent. L’aiguille est enfoncée au maximum dans l’espace desmodontal en direction de l’apex où
l’anesthésique est alors injecté.
Cette technique est indiquée dans le cas ou la péri apicale est contre indiquée ou en complément à celle-ci.
L’aiguille est introduite au niveau de l’espace desmodontal mais poussée cette fois-ci en direction de l’os
spongieux du septum
• Au maxillaire supérieur:
L’anesthésie tronculaire est beaucoup moins utilisée qu’à la mandibule étant donné l’efficacité de la péri
apicale (corticale mince, os spongieux)
Cependant elle peut être indiquée dans certains cas:
• Indications :
- extractions multiples
- intervention étendue
- énucléation de kyste …
Se fait au niveau du trou palatin antérieur (situé en regard de la papille rétro incisive) L’aiguille est
introduite parallèlement à la table osseuse du coté palatin jusqu’au contact osseux où le produit sera
injecté. On aura l’anesthésie immédiate de la région palatine antérieure (de canine à canine) muqueuse et
os
• Se fait au niveau du trou sous orbitaire (situé à 1cm au dessous du plancher orbitaire sur la verticale
passant par la pupille)
Deux méthodes sont utilisées:
* Voie cutanée :
-localiser le trou sous orbitaire : 1cm du plancher orbitaire et 1cm de l’aile du nez avec l’index de la main
gauche
-le canal sous orbitaire est atteint par tâtonnement en se guidant par l’index de la main gauche
* Voie endobuccale
- placer l’index de la main gauche sur le repère cutané du trou sous orbitaire et
- dégager la lèvre supérieure avec le pouce de la même main
- enfoncer doucement l’aiguille en regard de l’apex de la 2ème PM sup.
- la pointe de l’aiguille est perçue par l’index et l’orifice du canal est atteint par tâtonnement.
- injecter doucement
* Anesthésie du nerf palatin antérieur
• Se fait au niveau du trou palatin postérieur situé à 1cm à distance du collet de la 2ème molaire sup
(dépression)
• L’aiguille est introduite à ce niveau, l’injection se fait lentement
• On obtiendra l’anesthésie des 2/3 postérieurs de l’hémi voûte du palais
* Anesthésie des nerfs dentaires postérieurs supérieurs:
- l’aiguille est enfoncée doucement jusqu’au contact osseux, puis retirer l’aiguille de 1 à 2 mm et injecter
doucement.
• Cette anesthésie donne l’insensibilité de la pulpe dentaire des molaires+2éme prémolaire situées
du même côté, et de la muqueuse du côté lingual.
La muqueuse vestibulaire innervée par le nerf buccal nécessite une anesthésie para apicale vestibulaire
complémlentaire.
* Indications :
• Consiste à insensibiliser le nerf dentaire inférieur à sa sortie au niveau du trou mentonnier situé
entre l’apex des deux prémolaires ;
• La technique est la même que la para apicale ;
• Anesthésie des dents+muqueuse vestibulaire du bloc incisivo-canin et 1ère prémolaire.
* Anesthésie du nerf lingual
2- Syndesmotomie :
utilisation :
il est introduit dans le sillon gingival au niveau d’une des papilles inter dentaires jusqu’au contact
du rebord créstal voire légèrement en dessous et chemine au contact de la dent jusqu'à la papille opposé
en sectionnant le ligament.
Variétés
3- Subluxation :
Usage de l’ Elévateur :
Utilisation :
l’instrument est introduit entre la racine et l’os alvéolaire, et agit comme un levier.
La concavité s’adaptant à la convexité de la racine, on réalise un véritable clivage de la dent de son tissu
de soutien, le but étant d’aboutir à la mobilisation et l’élévation de l’organe dentaire
Usage du Davier :
- Utilisation :
- Variétés
• Forme en baïonnette :
Idem que celui des DDs mais avec l’extrémité des mors qui est en contact
A La mandibule : se distingue par l’orientation des mors qui forment un angle droit avec les manches :
1-Daviers pour incisives et canines :
Usage de Curettes
La face concave de la partie active est appliquée sur toutes les parois de l’alvéole.
Ensuite elle progresse de la profondeur vers la superficie assurant ainsi un curetage soigneux de la cavité.
6-temps gingival
• Compression bi digitale : pincer fortement les berges de l’alvéole de part et d’autre de façon à les rapprocher
au maximum
• Ensuite demander au patient de mordre sur le coton
7-conseils post-opératoires
• ne pas se rincer
• Ne pas enlever le coton avant 1h
• Alimentation semi-liquide pas trop chaude
• Ne pas toucher à l’alvéole
• Pas d’anti inflammatoires (aspirine!!)
• En cas de douleurs prendre du paracétamol
• Éviter les remèdes de « grand-mère » rinçage avec l’alun, le café, le vinaigre…
13/Thérapeutique :
*Antibiotique :
B .sensible===CMI<Taux sérique
B .intermédiaire===CMI=Taux sérique
B .résistante===CMI>Taux sérique
*Anti-inflammatoire :
II/Prothèse :
Classification de Kennedy AppleGate :
Classe I de K-A:
Classe II de K-A:
Classe IV de K-A:
Classe V de K-A:
Classe VI de K-A:
*Stomatites prothetiques
*Classification de Landa :
Maxillaire
Hauteur>= 1cm
Hauteur>= 1cm
Formation hyperplasique
Voute plane
Mandibule
*Empreinte secondaire :
1/Vérifier le PEI en bouche :
*La rétention
2/Enregistrement du joint périphérique : Pate de Kerr(Méthode segmentaire) ou silicone lourd ( Méthode globale)
en respectant la chronologie des zones à enregistrer et ne déposant la pate que sur la zone à enregistrer
Supérieur :
*Zone latérale moyenne droite :mobiliser la zone de réflexion muqueuse (mobiliser la joue)
Inferieur :
Du coté lingual :
*Zone sublinguale : Traction de la langue et la pointe en contacte avec la papille rétro incisive
3/Enregistrement des surfaces d’appuis : silicone léger ( en englobant le joint déjà enregistrer)
Et on vérifie notre PEI ====si ya absence de silicone sur une zone du PEI veut dire que ya compression
4/ Couler le model avec coffrage (bosxing) qui est très important pour préserver notre joint périphérique enregistré
*Enregistrement de l’occlusion :
1/POP :
*Maquette supérieur : -Verticalement : rapport avec la lèvre (dépasse de 1à2mm chez les femmes ; au même
NB :dés le réglage de la maquette supérieur les rectification ne se feront que sur l’inférieur
2/DV : Assurer le stomion (Estimation esthétique) ou assurer l’égalité entre la distance :angle externe de l’œil-
Commissure labiale et point sous nasale-gnathion
4/RC : Peut être enregistre selon plusieurs techniques dont « le reflexe molaire » ;on met un repère sur les 2
maquette ( au niveau latérale) puis on refait le test plusieurs fois ;il faut que les repères coïncident après chaque
test ;
Après validation de tous les paramètres on met en place des agrafes et on retire de la bouche du patient et on
passe au transfert sur articulateur
*Essayage du montage :
Il faut contrôler :* La stabilité ( avec la liberté des freins et brides)
*L’esthétique
Après prise , on met un peu de vernis partout sauf au niveau des dents
Un ébouillantage est réalisé (introduction du moufle dans de l’eau bouillante pendant 20min)
*La résine :
-Pondéral :polymère/monomère=2 /1
-Volumétrique :polymère/monomère=3/1
Stade 1 : liquide
Stade 2 : Filamenteux
Stade 4 :Elastique
Le refroidissement est préférablement fait sans retrait du moufle de son eau ( éviter le choc thermique .
Le crochet==Bras rétentif---du Coté vestibulaire avec une extrémité flexible ---placé au dessous de la LG ===rétention
Occlusion serrée =Lorsqu’on a pas assez d’espace pour la résine et la selle ;dans ce cas on supprime la résine avec
mise en place de supports qui accueillent les dents
III/ODF :
*Céphalométrie :
1/ Le tracé :
*Grande aile du sphenoide (pronlongement de la lame de l’éthmoide et intersection avec le condyle jusqu’à la partie
ant du F.Magnum)
*COE
*Steiner :SL et SE
* S-FPM et S-CVG
*A T de Château
mensuration Valeur moy Valeur Interprétatipon
trouvé
SNA 80,5+-2°
SNB 78+-2°
ANB 2.5+-2°
Convexité 3 ;6=5.5
7 ;10=4.4
11 ;14=3.7
Rapports
15 ;18=2.5
cranio-faciaux
Adulte=1.7
sagittaux
SE 22+-2°
SL 51+-2°
S-CG 17-18mm +-2°
S-FPM 17-18mm+-2°
FPM-ENA 52mm+-2°
A-T de 8ans=46mm+-2
Chateau 12ans=49mm
16ans=51mm
Adulte=52mm
Longeur W.W 101 ;103mm+-2
mensurations
Xi-PM 9ans(64-70)
basales
10ans(65-71)
11ans(67-73)
12ans(68-71)
13ans(70-73)
14ans(72-78)
FMA de 27°+-4
Tweed
Direction de Axe Y de 59°+-2
croissance Brodie
Axe facial de 90°+-3
Ricketts
HES 45%
HEI 55%
Hauteur 47%
Mensurations
ramal
verticales
Hauteur facial 47°+-4
ant
ENA Xi PM
6 PTV Age+3+-3mm
I/F 107°+-2
Rapports i/m 90°+-2
denture- I/A-POG 260+-4
squelettiques I/A-POG 2+-2mm
i/A-POG 22°+-4
i/A-POG 1+-2mm
Rapports I/i 125°+-6
dento-
dentaires
LS/Ligne E -1mm
Esthétique LI/ Ligne E 0
Angle Z 78°+-2
A savoir :
====Open bite
====Deep bite
*Phases de dentition :
-Phase de denture temporaire :Toutes les dents temporaires en place (à l’âge de 2ans)
-Phase de denture mixte : Eruption des 1ere molaire, Incisives centrale et latérale permanentes (Dure 2ans)
-Phase de denture adolescente :Eruption des Prémolaires et canines permanentes ( lee way)
-Dents temporaires :
-Dents permanentes :
4
*Les crochets :
4/Parodontologie :
*Les caractéristiques cliniques d’une gencive saine :
-Consistance :Ferme et adhérente pour la GA ; Souple pour la GL et lâche pour la muqueuse alvéolaire
-Volume normal
- Présence de suppurations
Les indices de l’HBD Les indices de Les indices de Les indices Les indices occlusaux
l’inflammation sévérité de déterminant les
l’atteinte besoins de traitement
parodontale
*OHI-S de Green et *PMA de SHOUR et Classe I : la PTNS : *Abrasion selon
Vermillon : Massler : «topographique» : récession ne 0 :sain pas besoin de Aguel :
-DI-S : 1 :Inflm de la GP dépasse pas la ligne traitement 0 :pas d’abrasion
C0 :Ni débris ni 2 :Inflm de la GP et GM muco-gingivale et le 1 :Gingivite ;absence 1 :Email
coloration 3 :Inflm de la GP ;GM et GA parodonte de tartre ,surplombs 2 :Email+ilots de
C1 :Débris mous interproximal n'est dentine
et poches >5mm ,
couvrant jusqu’au 1/3 de *GI deLoe et Silness : pas altéré. 3 :Email+surface de
• Classe II : la besoins d‘enseigner
la dent 0 :pas d’inflm dentine
C2:// entre 1/3 et 2/3 1 :Inflm légère ;léger récession dépasse la HBD 4 :+++ pulpe vue par
C3:// Plus du 2/3 changement de couleur et ligne muco-gingivale 2 :Présence d’au transparence
-CI-S : de forme aucun saignement et le parodonte moins une dent avec 5 :Mise a nu de la
C0 :Absence de tartre provoqué interproximal est du tartre supra ou pulpe
C1 :Tartre supra gingival 2 :Inflm modérée,rougeur, intact. sous gingival et *Mobilité selon
ne couvrant pas plus du oedéme modéré avec • Classe III : la absence de poche ARPA :
1/3 de la dent saignement provoqué récession dépasse la >5mm ;HBD+ 0 :Physiologique
C2:// entre 1/3 et2/3 3 :Inflm sévère oedéme ligne muco-gingivale détartrage + 1 :Mobiité horiz
C3:// plus des 2/3 ou important, hypertrophie et est accompagnée <1mm perceptible aux
supprimer les
bande continue de tartre accentuée avec tendance d'une atteinte doigts
obturations
sous gingival hémorragique spontanée et parodontale au 2 :Mobilité horiz
niveau interproximal débordante
*PI de Silness et Loe : ulcération suppuration <1mm perceptible à
0 :Pas de plaque *SBI de Muhlemann et Son : restant coronaire à 3 :Présence d’au l’œil
1 :Mince film de plaque 0 :Gencive normale sans la base de la moins une poche 3 :Mobilité horiz
visible après exploration saignement au sondage récession. >5mm ;traitement >1mm
à la sonde 1 :saignement au sondage • Classe IV : la complexe spécifique 4 :Mobilité horiz+
2 :Accumulation pas de changement de récession dépasse la axiale
modérée visible à l’œil couleur ou de contour ligne muco-gingivale
nu 2 :Saignement au sondage et est accompagnée
3 :grande accumulation et érythème d'une destruction
avec présence dans les 3 :Saignement au majeure des septa
espaces inter dentaires sondage ;érythème ;œdème osseux
*Indice de plaque de moyen interdentaires se
O’Leary et al : 4 :Saignement au sondage situant au niveau de
Nbr de face avec érythème ;œdème la base de la
plaque*100 important récession
Nbr de face observée 5 :saignement au sondage, *Indice de Bequeur
saignement spontanée , et coll :
œdème important avec ou Récession en
sans ulcération ; U :large et profonde
suppuration Récession en
*PBI de Mulehman et V :large et peu
Saxer : profonde
0 : pas de saignement Récession en I :
1 :Un seul point de Etroite et courte
saignement *Glickman :
2 :Un liseré de saignement -Cl I :Lésion
qui remplit le sulcus débutante avec
3 :Saignement abondant atteinte du ligament
débordant du sulcus parodontal sans
évidence clinique ou
radiologique
-Cl II :Lésion
partielle ; os détruit
sur une ou plusieurs
faces de la furcation
mais une partie du
ligament et de l’os
est intacte
permettant le
passage partiel de la
sonde
*CL III :Lésion totale
la furcation peut
être obstruée par la
gencive mais l’os a
été détruit à un
degrés assez
important pour
permettre le
passage total de la
sonde en vestibulo-
lingual
*CL IV :Lésion totale
prononcée l’os a été
détruit à un degrés
que la furcation est
ouverte et permet
facilement le
passage d’une
sonde
*Meyer :
-Lésion inter
radiculaire juxta
osseuse
-Lésion radiculaire
infra osseuse
-Lésion inter
radiculaire supra
osseuse
*Universelle :
-CLI :lésion
débutante,
pénétration de la
sonde au moins de
2mm
-CLII :Lésion partielle
pénétration de la
sonde à 2mm ou
plus
-CLIII :Lésion totale
pénétration de part
en part de la sonde
*Les urgences en parodontologie :
Abcès gingival -La zone affectée de la Introduction de matériaux -Incision et drainage du pus
gencive libre est tuméfiée, étrangers en force dans la -Elimination du corps
rouge, d’aspect lisse et gencive (cure-dent) === étranger
brillant irritation -Prescription d’un antalgique
-Douloureuse au toucher (ATB n’est pas nécessaire sauf
-Peut se fistuliser et maladie générale)
permettre l’évacuation du
pus
Tassement alimentaire: -Sensation d’un sillon -Malpositions dentaire -TTT d’urgence: curetage
gingival plein -Perte de point de contact parodontale de la région
-Douleurs à la mastication -Rapports occlusaux intéressée
anormaux -TTT définitif: il est
-Caries proximale et étiologique (ttt ODF)
destruction de la couronne
-Obturation dentaire
débordante
*Le complexe rouge=tréponème Denticola (ex spirochète) ;Porphyromonas gingivalis ;Bactéroide forsytus)
Gingivopathies Parodontolyses
*Processus pathologique responsable * Processus pathologique responsable
*Lésion élémentaire *Mode évolutif
*Mode évolutif *Critère anatomiques :siège+étendu
*Critère anatomiques :siège+étendu *Critères étiologiques
*Critères étiologiques *l’état de la lésion : pure ou associée
*l’état de la lésion : pure ou associée
EXP :Gingivite chronique oedémateuse marginale EXP : Parodontite chronique complexe profonde
généralisée à toute la C.B d’étiologue locale direct localisée au bloc ant sup d’étiologie locale direct et
indirect
-Classification de Page et Schroeder :
Papillon Lefèvre
Hypophastasie
Acatalasie
Chediak Igashi
Acrodynie
Leucopénie
Trisomie 21
Histiocytose X
-Classification d’Armitage :
*Plan de traitement en parodontologie :
1 /traitement d’urgence : (inconstant)
2/thérapeutique initiale :
*remise en état de la cavité buccale par élimination des facteurs favorisants ( sauf :osseux ;musculaire ;muqueux )
-Contention temporaire
4 /Phase corrective :
Muqueux==Approfondissement du vestibule
Extraction parodontale
Greffes…..etc
*Réhabilitation occlusale :
-prothèse définitive
-ODF majeur
-Gouttière
*Posologies :
Monothérapie Bithérapie
*P. réfractaire : Augmentin 500 mg sachet *2/j 01gel* 3/j pdt 14j
Métronidazole 250mg cp
-Classe I : cavité de carie siégeant sur la face occlusale des PM et M , fossettes vestibulaires des M inf ,fossettes
palatines des M sup et cingulum des incisives et canines
-Classe III : Cavité de carie siégeant au niveau de la face proximale des dents antérieurs sans destruction de l’angle
incisif
-Classe IV : Cavité de carie siégeant au niveau de la face proximale des dents antérieurs avec destruction de l’angle
incisif
-Classe V : cavité carieuse siégeant au niveau du 1/3 cervical de toutes les dents et toutes les faces
-Classe VI : cavité de carie siégeant au niveau des surfaces lisses des dents , pointe cuspidienne et bord libre des
dents antérieurs
NB :
Carie proximale= du point de contact jusqu’au bord libre
°radiographie préopératoire
°Anesthésie
°Champ opératoire
°Extirpation pulpaire
°Hémostase
°Séchage
°Obturation
Le code couleur :
-FIN-
Que ce livre soit utile et avantageux pour tous ceux qui le lisent
inchallah car Allah nous a toujours incité à partager notre savoir et nos
connaissances avec autrui
Bon courage