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ESSAI

SIMANCA LERMA Alexandra


Code : 1094281599
Groupe : A. Culture Francophone
« Le barbare, c'est celui qui croit à la barbarie. » Claude Lévi-Strauss.

Je voudrais commencer à dire que cette phrase de Lévi-Strauss est très célèbre jour
à jour. En effet, dans un premier temps, c’est elle qui nous conduit à apprécier l’être
humain dans son totalité. On sait que c’est l’homme qui peut être capable de se transformer
barbare s’il croit que son alter-ego est un barbare. C’est justement à quoi veut nous amener
l’anthropologue. Il enquête sur la société et ses apparitions comme un tout doté d’une
logique interne règlementé, à la conscience de la personne.

On peut définir la barbarie comme « Caractère de quelqu'un ou de quelque chose


qui est barbare, cruel, féroce ou elle peut être définie aujourd’hui comme l’état d'une
société qui manque de civilisation ». Mais, ce qui attire mon attention est l’histoire de ce
mot car à son origine elle indiquait tous ceux qui, pour les Grecs, ne faisait
pas partie à leur civilisation. Et ensuite la civilisation occidentale a fait le
même usage du mot comme « sauvage ».

De cette manière, cette citation nous mène à réflexion sur la barbarie et ce que nous
estimons comme barbare. D’une part, je coïncide avec la citation précédente puisqu’aucune
culture n’est suprême à une autre. D’autre part, ceux qui jugent aux autres cultures, le font
seulement à un seul aspect, comme par exemple le physique, la couleur de la peau et
d’autres. Pour bien considérer la culture de l’autre, on doit échanger, partager avec l’autre
afin de valoriser les différences culturelles et interculturelles. Celui qui croit à la barbarie,
qui remettre dans son milieu ce qui est nouveau pour lui et n’accepte pas connaître des
autres cultures est lui-même barbare.

C’est un effet de l’ethnocentrisme, il ce centre dans la prétention


que tel culture est supérieure, la sienne, et que les autres formes de
culture autres sont inférieurs. C’est pour cela que Lévi-Strauss met en
avant un devoir éthique de « respect de l’autre dans son altérité ».
Comme il le mentionne dans la citation, le barbare est celui qui croit à la
barbarie de l’autre, c’est-à-dire à son inhumanité. On peut présumer de
cette citation que l’autre est un barbare parce qu’il ne pas reconnaître
en l’autre une même nature humaine, c’est cela être barbare.

Finalement, cette phrase est bien intéressante car établie le fait que chacun peut
arriver à considérer ses propres pensés sur l’autre. Cela nous mène à nous mettre à la place
de l’autre. Est-ce qu’on est apte de se mettre à la place de l’autre, n’importe quel soie son
physique, sa couleur de la peau, sa manière de vivre et son chemin de vie ?

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