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Les Eaux

intérieures
1
Un Exposé préparé par les
étudiants

Samih kouddar et Youssef Khalouqi

Encadré par le professeur

Mr Abdessamed Bounagui

2
Sommaire
Introduction
Partie 1 : l’encadrement juridique
Section 1 : la notion des eaux intérieures
a) les composantes de l’eau intérieure
b) la notion de la ligne de base

section 2 : les eaux intérieures et la souveraineté exclusive


a) principe juridique de la souveraineté de l’Etat riverain
b) les limites à la souveraineté

Partie 2 : les problématiques des eaux intérieures


Section 1 : problème de baies
a) la baie d’Hudson
b) la baie de pierre le grand

section 2 : problème des Eaux intérieurs des Atolls


a) Le lagon et la souveraineté des Etats
b) Les atolls de formation insulaire et le tracé de la ligne de base

Conclusion

Bibliographie

Introduction

3
En droit de la mer, on appelle eaux intérieures, les eaux situées en deçà de la ligne de base,
constituée de la laisse de basse mer et de la ligne de base droite. Cette définition mérite certains
éclaircissements, surtout concernant l’encadrement de ce sujet, le droit de la mer couvre dans son
ensemble à travers une évolution historiques qui a commencée par la première conférence de Genève
sur le droit de la mer en 1958, en donnant lieu à un domaine privé du droit la mer (le droit maritime) et
le Domain public qui est (le Domain public maritime)

Le domaine public maritime (DPM) constitue la composante la plus large du domaine public de l’Etat
et la détermination de ses limites repose sur la constatation d’un état de fait résultant de l’action de la
nature. Ses limites ne sont donc pas figées par rapport aux propriétés riveraines, puisqu’elles
dépendent de l’avancée ou du recul de la mer (variation du trait de côte) La délimitation du DPM
s’avère donc un exercice complexe dont le but est d’identifier les limites de cet espace pour faciliter sa
protection et sa préservation et pouvoir par la suite le valoriser. A cet effet, le présent guide s’intéresse
à la présentation de la notion du Domaine Public Maritime, les méthodes adoptées pour sa
délimitation et la procédure administrative de délimitation.

Le domaine public maritime concerne (Le rivage de la mer jusqu’à la limite des plus hautes eaux vives
exceptionnelles Les lais et relais de la mer. Les lagunes et marais salants…) et parmis ces grands axes
on constate Les Eaux intérieures1 et les eaux de la mer territoriale telles que définies par la législation

Toutes les eaux qui se trouvent entre les lignes de base, de l'article 5 ou de l'article 7 de la Convention
de 1982, sont considérées comme des eaux intérieures. La question qui se pose à présent est celle de
savoir quelles sortes d'eaux se trouvent dans cet espace maritime. La doctrine considère unanimement
que ces eaux sont les ports, les rades, les baies et les estuaires, ainsi que les eaux et les baies
historiques. Il est clair que le régime d'eaux intérieures est important pour la sécurité et la défense du
pays, il s'agit en effet de pouvoir exercer la plénitude de ces compétences pour ainsi avoir un plus
grand contrôle sur cet espace maritime et pouvoir déterminer une stratégie de défense du territoire
lui-même.

De ce fait nous allons aborder dans un premier passage l’encadrement juridique de la notion des Eaux
intérieures telle qu’elle est disposée par voie de la convention sur le droit de la mer comme référence
de base, pourtant sur la délimitation des eaux intérieures, et la question de souveraineté et en seconde
lieu nous aborder également quelques difficultés qui s’imposent concernant les Eaux intérieurs

Partie 1 : Le cadre juridique des Eaux intérieures


1
GUIDE TECHNIQUE DE DELIMITATION DU DOMAINE PUBLIC MARITIME MAROCAIN

4
En matière de régime juridique applicable, selon l'article 2 paragraphe 1 de la Convention des Nations
Unies sur le droit de la mer de 1982, l'Etat exerce sur ces eaux la même souveraineté qu'il exerce sur le
territoire. En conséquence, le droit applicable est le droit interne de l'Etat et non le droit international.
Selon René-Jean Dupuy, "cette souveraineté est de principe puisqu'on entend par eaux intérieures celles
qui se trouvent en rapport d'adjacence immédiate avec le territoire de l'Etat riverain".8 Dans ce sens
nous trouvons aussi ceux qui affirment que "internal waters are legally equivalent to a state's land, and
are entirely subject to its territorial sovereignty".9 A ce propos, la C.I.J. nous dit que "le concept
juridique fondamental de la souveraineté des Etats en droit international coutumier, consacré
notamment par l'article 2, paragraphe 1, de la Charte des Nations Unies, s'étend aux eaux intérieures
et à la mer territoriale de tout Etat…".10 De cette manière, si c'est la souveraineté que l'Etat exerce,
nous pouvons conclure que l'Etat riverain exerce ces facultés judiciaires, législatives et exécutives, au
même titre qu'il le fait sur le territoire, ce qui équivaut à dire que c'est le droit interne de l'Etat riverain
qui est applicable sur ces espaces maritimes.

Section 1 : Définition des eaux intérieures

La convention de droit de la mer a défini les eaux intérieures comme étant : des eaux situées en
deçà de la ligne de base de la mer territoriale font partie des eaux intérieures de l'Etat 2. A la première
vue cette définition couvre dans son ensemble au-delà de son contexte juridique un champ maritime
ou technique relative à la mer et aux océans mais d’autre explication ont déduits que Les eaux
intérieures maritimes sont constituées par les eaux situées entre le littoral et la ligne de base de la mer
territoriale.3

Cette définition donne lieu à un certain nombre d’interrogation d’abord sur les eaux situées en deçà de
la ligne de base (A) et la ligne de base (B)

1)Les eaux intérieures


2
Article 8 de la CONVENTION SUR LE DROIT DE LA MER Signée à Montego Bay (Jamaïque) le 10 décembre 1982
3
Droit international public Raymond Ranjeva Charles Cadoux Vanves rue Jean Bleuzen, 92178, France 1992

5
Cette définition inclut dans les eaux intérieures : les ports, les rades, les havres, les fjords, les
baies….. Nous allons définir quelques éléments qui constituent les eaux intérieurs pour apporter des
précisions notamment en ce qui concerne les critères de ces eaux qui sont largement confondu avec
les Eaux territoriales

a) La baie
Au sens du droit de la mer4, "on entend par « baie » une échancrure bien marquée dont la
pénétration dans les terres par rapport à sa largeur à l'ouverture est telle que les eaux qu'elle renferme
sont cernées par la côte et qu'elle constitue plus qu'une simple inflexion de la côte. Toutefois, une
échancrure n'est considérée comme une baie que si sa superficie est au moins égale à celle d'un demi-
disque ayant pour diamètre la droite tracée en travers de l'entrée de l'échancrure."

Une baie est une entrée d'une mer, d'un océan ou d'un lac, entouré de terres; la baie est
généralement largement ouverte vers le large, en anse, et de l'ordre de grandeur de la dizaine de
kilomètres. Au-delà de cet ordre de grandeur, le terme de golfe est plus approprié. Une baie peut
jouxter un estuaire sur un littoral marin. Les baies marines peuvent être entourée par une presqu'île.
(Une baie subit les effets des marées, pouvant être découverte en grande partie à marée basse. La baie
est l'opposé de la péninsule; elle est généralement formée par érosion par les mouvements de la mer
ou d'un lac5)

b) Le Fjord
Un fjord est une vallée glaciaire inondée et très profonde, aux berges en pente très raide.
Souvent, leur embouchure est barrée d'un seuil peu profond formé par une moraine

 Caractéristiques des eaux des fjords6

Du fait de cette topographie particulière, les fjords sont caractérisés par une très forte stratification de
leurs eaux :

o en surface s'écoule une nappe d'eau presque douce et riche en oxygène et nutriments. Peu
dense et calme, cette eau se mélange très peu avec l'eau saline qui se situe sous elle ;
o en profondeur se trouve une eau de salinité normale. L'absence d'agitation et l'obstacle
provoqué par la présence d'un seuil et d'une nappe d'eau douce en surface limite très
fortement les échanges avec la mer bordière. Le temps de résidence de cette eau est donc très
long.

4
(voir la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, article 10)
5
https://www.aquaportail.com/definition-4408-baie.html
6
Futura-Sciences média français du décryptage de l'actualité et du savoir scientifiques

6
c) Estuaire

Un estuaire est une embouchure d'un fleuve, un plan d'eau côtier créé par un cours d'eau se
jetant dans le milieu marin et dans lequel les organismes qui y vivent sont sujets à des variations de
salinité créées par les marées. L'estuaire est la partie terminale plus ou moins évasée d'un fleuve,
caractérisée par la prédominance des phénomènes marins sur les phénomènes fluviaux.

2)La ligne de base


Une ligne de base est une notion maritime très importante, pour le fait qu’elle constitue l’outil
déterminant d’abord la limite extérieur des mers territoriales et ensuite la largeur des mers
territoriales et la conservation des Eaux intérieurs D’après la convention, les lignes de base
correspondent : Soit à la ligne de base normale (A) soit à la ligne de base droite (B)

A) La ligne de base normale

Sauf la disposition contraire de la Convention, la ligne de base normale à partir de laquelle est
mesurée la largeur de la mer territoriale est la laisse de basse mer le long de la côte, telle qu'elle
est indiquée sur les cartes marines à grande échelle reconnues officiellement par l'Etat côtier 7.

La convention de 1982 a voulu par le présent article nous définir une ligne de base normal ont mettant
en place trois notion clés à savoir la laisse de basse mer le long de la côte et « à grande échelle » ainsi
que « les cartes marines reconnues » officiellement par l’Etat côtier. Et en l’occurrence il existe aussi au
terme de la convention des cas particuliers que représentent les lignes de base normal. Nous étudions
chaque élément et la signification qu’ils portent

 La laisse de basse mer

7
L’article 5 de la convention
7
La laisse de basse mer est l'intersection du rivage avec le plan d'eau de la marée la plus basse. Sur une
caste marine, la laisse de basse mer est le trait qui correspond au niveau de référence ("niveau zéro")
de la carte. Aux termes d'une résolution technique de I'Organisation hydrographique internationale 8, le
niveau de référence de toute carte marine est le niveau au-dessous duquel la mer ne descend que très
rarement, ce qui, pratiquement, correspond à peu de choses près à la marée la plus basse.

 Les cartes marines reconnues officiellement

Tout au long de la Convention, on entend par "carte marine" une carte destinée 11 l'usage des marins
comme aide la navigation maritime. Seules les cartes marines indiquent toutes les caractéristiques
pertinentes telles que la laisse de basse mer, les hauts fonds découvrant, les récifs découvrant

Toutes les côtes du monde sont cartographiées, mais pas toujours il grande échelle ou avec la précision
voulue. S'agissant des Etats qui publient les cartes marines de leurs propres côtes, on peut supposer
que ces cartes sont officiellement reconnues. Les pays qui ne publient pas les cartes marines de leurs
propres côtes adoptent les cartes publiées par le pays qui est chargé de cette tâche. Toutes Les autres
cartes marines de la zone seront établies 5 partir des cartes Publiées par cet "organisme
hydrographique primaire9". Tout Etat qui ne publie pas ses propres cartes marines aura généralement
intérêt de préciser quelles sont les cartes qu'il reconnait officiellement

 A grande échelle

L'article 5 de la Convention fait référence aux "cartes marines à grande échelle". En général, il
suffit de consulté. Les cartes marines appropriées publiées par les Etats pour trouver la position
détaillée de la "ligne de base normale". Les zones côtières étant cartographiées à des échelles très
diverses, qui varient en fonction des exigences de la navigation et du détail des levés dont chaque zone
a fait l'objet, il n'est pas possible de préciser quelle peut être la plus Petite échelle pour indiquer la
"ligne de base normale" et il n'est pas toujours pratique ou indispensable de se référer à la carte 10

 Les cas particuliers

8
Résolution technique 7/1919
9
L'un des principaux objectifs de l'OHI est d'assurer que toutes les mers, tous les océans et toutes les eaux
navigables du monde soient hydrographies et cartographiés. (Portail officiel de l’OHI)
10
plus grande échelle. Suivant les cas, les échelles varieront du 1/50 000 au 11200 000.

8
Pour le tracer de la ligne de basse normale la convention a réservée à ce titre des cas
particuliers qui s’appliquent notamment aux récifs et au hauts-fonds découvrant car ils disposent d’une
formation géomorphologique distincte et qu’ils doivent être traitées séparément

Le récifs

Lorsqu'il s'agit de parties insulaires d'une formation atollienne ou d'îles bordées de récifs
frangeants, la ligne de base à partir de laquelle est mesurée la largeur de la mer territoriale est la laisse
de basse mer sur le récif, côté large, telle qu'elle est indiquée sur les cartes marines reconnues
officiellement par l‘Etat côtier.11

Les deux expressions importantes de l'article 6 sont : "parties insulaires d'une formation
atollienne" et "îles bordées de récifs frangeants". Les géomorphologues réservent le terme "atoll" à
une couronne de récifs entourant un lagon et comprenant une ou plusieurs îles de plus grande
hauteur. La chaîne de récifs est habituellement coupée de chenaux, lesquels sont situés en général sur
la côte sous le vent, tandis que le lagon est profond de 45 mètres en moyenne. « Maloelap (îles
Marshall) est l'exemple typique d'un atoll au sens strict du terme géomorphologique »

L'article 6 ne se limite cependant pas aux atolls pris au sens strict du terme scientifique. II parle
en effet de "formations atolliennes", expression plus générale désignant, par exemple, une frange
annulaire de récifs, comprenant ou non une île sur sa circonférence, située en pleine mer et formant
un lagon. A noter cependant que l'article 6 ne concerne que les parties insulaires des formations
atolliennes, ce qui suppose la présence d'une île.

On notera en particulier que l'article 6 permet uniquement d'utiliser comme ligne de base la
laisse de basse mer sur le récif telle qu'elle est indiquée sur les cartes marines, mais non les récifs ou
parties de récifs qui apparaissent sur ces cartes comme étant au-dessous du niveau de référence.

Les hauts-fonds découvrant

Par "hauts-fonds découvrants", on entend les élévations naturelles de terrain qui sont entourées
par la mer, découvertes à marée basse et recouvertes à marée haute. Lorsque des hauts-fonds
découvrant se trouvent, entièrement ou en partie, à une distance du continent ou d'une île ne
dépassant pas la largeur de la mer territoriale, la laisse de basse mer sur ces hauts-fonds peut être
prise comme ligne de base pour mesurer la largeur de la mer territoriale. Lorsque des hauts-fonds
découvrants se trouvent entièrement à une distance du continent ou d'une île qui dépasse la largeur de
la mer territoriale, ils n'ont pas de mer territoriale qui leur soit propre 12.

11
L’article 6 de la convention
12
L’article 13 de la convention de 1982

9
Ces hauts-fonds découvrant sont des formations qui n'apparaissent qu'à marée basse par mer
calme. Lorsqu'ils sont rassemblés en groupes denses, les instituts hydrographiques les représentent le
plus souvent comme un plateau découvrant sans identifier nécessairement chacune des formations
découvertes à marée basse. C'est pourquoi il faudra souvent consulter la carte marine de la plus
grande échelle possible afin de mieux différencier les hauts fonds découvrant individuels et déterminer
ceux d'entre eux qui peuvent servir à mesurer la largeur de la mer territoriale.

L’article 13 stipule que seuls les hauts-fonds découvrants qui se trouvent à une distance du
continent ou d'une île qui ne dépasse pas la largeur de la mer territoriale mesurée depuis le continent
ou l'île peuvent servir à tracer les lignes de base.

B) La ligne de base droite


On peut employer des lignes de base droites le long des parties de la côte qui répondent aux critères
de l'article 7

(Là où la côte est profondément échancrée et découpée, ou s'il existe un chapelet


d'îles le long de la côte, à proximité immédiate de celle-ci, la méthode des lignes de base droites reliant
des points appropriés peut être employée pour tracer la ligne de base à partir de laquelle est mesurée
la largeur de la mer territoriale. Là où la côte est extrêmement instable en raison de la présence d'un
delta et d'autre caractéristiques naturelles, les points appropriés peuvent être choisis le long de la laisse
de basse mer la plus avancée et, même en cas de recul ultérieur de la laisse de basse mer, ces lignes de
base droites restent en vigueur tant qu'elles n'ont pas été modifiées par l'Etat côtier conformément à la
Convention. Le tracé des lignes de base droites ne doit pas s'écarter sensiblement de la direction
générale de la côte et les étendues de mer situées en deçà doivent être suffisamment liées au domaine
terrestre pour être soumises au régime des eaux intérieures. Les lignes de base droites ne doivent pas
être tirées vers ou depuis des hauts fonds découvrant, à moins que des phares ou des installations
similaires émergées en permanence n'y aient été construits ou que le tracé de telles lignes de base
droites n'ait fait l'objet d'une reconnaissance internationale générale. Dans le cas où la méthode des
lignes de base droites s'applique en vertu du paragraphe 1, il peut être tenu compte, pour
l'établissement de certaines lignes de base, des intérêts économiques propres à la région
considérée dont la réalité et l'importance sont manifestement attestées par un long usage.
La méthode des lignes de base droites ne peut être appliquée par un Etat de manière telle que la mer
territoriale d'un autre Etat se trouve coupée de la haute mer ou d'une zone économique exclusive.)

L'article 7 reprend quasiment mot pour mot le texte de l'article 4 de la Convention de 1958, né de
l'arrêt de la Cour internationale de Justice dans l'affaire anglo-norvégienne des pêcheries 13.
On peut employer des lignes de base droites là où la côte est profondément échancrée et découpée,

13
AVIS CONSULTATIFS ET ORDONNANCES. AFFAIRE DES PÊCHERIES. (Royaume-Uni/NORVÈGE). ARRÊT DU 18 DÉCEMBRE
1951

10
ou s'il existe un chapelet d'îles le long de la côte, à proximité immédiate de celle-ci. Les lignes de base
droites doivent être tracées de manière à satisfaire plusieurs critères : le respect de l'orientation
générale de la côte; le fait que les étendues de mer qui sont situées en deçà des lignes de base doivent
être suffisamment liées au domaine terrestre pour être soumises au régime des eaux intérieures;
l'exception des hauts-fonds découvrant; et l'accès de tout autre Etat à la haute mer ou à sa zone
économique exclusive.

Nous allons donc étudier les dispositions de l’article 7 avant de présenter les cas particuliers des
lignes de base droite

 Côtes profondément échancrées

Pour respecter l'esprit de l'article 7 à l'égard des côtes échancrées, on peut tracer des lignes de
base droites là où l'utilisation de lignes de base normales et de lignes de fermeture au travers des baies
et embouchures de fleuves donnerait à la mer territoriale un tracé complexe, et lorsque cette
complexité peut être résolue en employant un réseau de lignes de base droites. Les lignes de base
droites ne doivent pas servir à agrandir indûment la mer territoriale.

 Chapelet d’îles

La notion de "chapelet d'îles" et l'interprétation de L’expression "à proximité immédiate"


appellent encore certaines précisions. De toute évidence, un "chapelet" est formé de plusieurs îles,
mais il est difficile d'en prescrire le nombre minimal. Etant donné que le chapelet doit se trouver "le
long de la côte", cette disposition ne s'applique pas aux chapelets d'îles disposés perpendiculairement
à la côte

Il n'existe aucun critère objectif connu permettant de déterminer uniformément et universellement les
îles qui constituent un chapelet "le long de la côte, à proximité immédiate de celle-ci". Les Etats
s'inspireront cependant de l'esprit général de l'article 7.

Deux formations peuvent généralement être qualifiées de "chapelet d'îles". La première, qui relève
directement de l'Arrêt rendu en 1951 par la CIJ dans l'affaire anglo-norvégienne des pêcheries, 14

Le deuxième type de "chapelet d'îles" est une formation d'îles-barrières située à quelque
distance de la côte et masquant une grande partie du littoral depuis la mer 15

 Les cas particuliers


14
( se présente lorsque les îles semblent constituer un tout avec la terre ferme. Ces îles paraissent imbriquées
dans la côte et, sur les cartes à petite échelle, sont représentées comme un prolongement de la terre ferme. La
plus grande partie du skjrrergcrnrd, sur la côte nord de la Norvège, constitue un exemple typique de cette
formation). Voir la résolution
15
Par exemple, les îles situées le long de la côte yougoslave, de Pula à Sibenik, constituent un exemple typique
d'îles-barrières alignées en chapelet

11
I'article 7 prescrit ensuite des règles qui s'appliquent à certains cas particuliers et les critères respecter
dans le tracé des lignes de base.

Delta

Le paragraphe 2 de I'article 7 concerne les deltas. Trois points essentiels sont à retenir.
Premièrement, ce paragraphe est subordonné au paragraphe 1 et ne peut s'y substituer. En d'autres
termes, pour que les dispositions du paragraphe 2 s'appliquent, la côte où se trouve le delta doit
d'abord répondre aux conditions du paragraphe 1'. Deuxièmement, étant donné que le paragraphe 2
mentionne «la présence d'un delta et d'autres caractéristiques naturelles », il ne s'applique que si la
côte présente effectivement un delta. Troisièmement, la côte doit être "extrêmement instable".

Les dispositions de ce paragraphe sont une innovation de la Convention de 1982. Les Etats
peuvent tracer des lignes de base droites le long de la laisse de basse mer d'un delta situé sur une côte
extrêmement instable sans être tenus de modifier ultérieurement les points choisis à chaque recul de
la laisse de basse mer. Les termes de l'article 7 laissent supposer que les points de base seront modifiés
à terme par l'Etat côtier conformément à la Convention. On présume que cette modification
interviendra lorsque la laisse de basse mer se sera relativement stabilisée dans sa nouvelle position,
d'un côté ou de l'autre de la position choisie à l'origine.

L’emplacement des points de base

L’emplacement La deuxième règle concerne le choix des points appropriés qui vont définir le réseau de
lignes de base droites, en particulier la possibilité d'utiliser des hauts-fonds découvrants comme points
de base. Les points appropriés doivent être situés sur le territoire de I'Etat qui trace les lignes de base
et se trouver au niveau ou au-dessus de la laisse de basse mer qui sert de ligne de base normale sur le
reste de la côte. En outre, le réseau de lignes de base droites doit être "fermé". Cela signifie que le
réseau de lignes de base, que celles-ci soient tracées le long de la côte d'une île ou du continent, doit
commencer et finir au niveau ou au-dessus de la laisse de basse mer, et si des lignes de base droites
sont tirées entre un chapelet d'îles et le continent ou entre le chapelet et une grande île, tous les
points de base intermédiaires doivent être situés au niveau ou au-dessus de la laisse de basse mer.
Ainsi, les eaux intérieures créées par les lignes de base droites doivent être entièrement délimitées par
une série de lignes de base droites (et d'îles le cas échéant) ainsi que par la côte à laquelle est associé
le réseau de lignes de base droites et des points de bases 16

Régime des eaux intérieures.

La question de la distance séparant la ligne de base du continent fait I'objet de la règle figurant
au paragraphe 3 de l'article 7, aux termes de laquelle les étendues de mer situées en deçà de la lignede
base droite "doivent être suffisamment liées au domaine terrestre pour être soumises au régime des
16
(voir I'article 14 de la convention)

12
eaux intérieures". Cette phrase est également reprise de l'Arrêt de 1951 dans l'affaire anglo-
norvégienne des pêcheries. Les juges, rappelant que cette idée est à la base de la détermination du
régime des baies, font observer qu'elle doit recevoir une large application le long d'une côte comme
celle de la Norvège. Malheureusement, il ne s'est pas révélé possible d'élaborer un critère
mathématique pour justifier l'application de cette règle. Son esprit est clair : les eaux intérieures
doivent être dans une proximité relativement étroite de la terre représentée par des îles ou
promontoires. Dans une déclaration à la Commission du droit international, la Suède a estimé que le
critère selon lequel les eaux doivent être suffisamment liées au domaine terrestre signifie que ".
L’étendue des eaux en question est si entourée de terres, les îles le long de la côte comprises elles
aussi, qu'il semble naturel de l'assimiler au domaine terrestre

Section 2 : les eaux intérieures et la souveraineté exclusive .


Dans les eaux intérieures (baies. rades ou estuaires) l’Etat côtier exerce comme sur la terre
ferme sa pleine souveraineté dans et sous la mer et dans l’espace aérien sus-jacent.

Selon L’article 2 de la Convention de Montego Bay : La souveraineté de l'Etat côtier s'étend, au-
delà de son territoire et de ses eaux intérieures et, dans le cas d'un Etat archipel, de ses eaux
archipélagiques, à une zone de mer adjacente désignée sous le nom de mer territoriale.

1) principe juridique de la souveraineté de l’Etat riverain.


L’Etat exerce sa souveraineté sur ses EI complètement assimilées au territoire terrestre et sur
lesquelles l’Etat côtier exerce l’ensemble des compétences 17.

A la différence de la mer territoriale, la souveraineté territoriale reste entière dans les eaux intérieures
et n’est pas limitée par l’obligation d’accorder le passage inoffensif aux navires étrangers. Dans les EI,
le navire étranger doit se signaler aux autorités portuaires et observer les consignes de circulation.

Et c’est pour plusieurs raisons qu’on peut les déduire en mettant en place une série d’argument

17
Article 2 de le CMB : 1. La souveraineté de l'Etat côtier s'étend, au-delà de son territoire et de ses eaux
Intérieures et, dans le cas d'un Etat archipel, de ses eaux archipélagiques, à une zone de mer adjacente désignée
sous le nom de mer territoriale.

13
D’abord en ce qui concerne la position géographique des eaux intérieures qui existent au-deçà de la
ligne de base droite qui sert a mesurée la largeur des mers territoriales, c’est ce qui donne lieu à une
proximité des territoires

Et deuxiement le souci que porte cette proximité pour une raison sécuritaire, et la protection de l’ordre
public que les Eaux intérieures sont classées parmis les Eaux du domain public et la souveraineté de
L’Etat riverain et incontestable et aucun fondement ni même un raisonnement ne peut soulever le
droit à la souveraineté de L’Etat riverain sur ses Eaux intérieures

Troisiément la question de la protection sanitaire peut aussi être évoquer pour arranger la
problématique des bateaux civil et les passages offensifs

2) les limites à la souveraineté.

Le navire est entièrement soumis à la souveraineté de l’Etat côtier dont la compétition territoriale prime
sur celle de l’Etat du pavillon18. Seulement, la soumission n’est pas totale et dépend du type de la
compétition exercée :

Les navires sont soumis à la compétition législative du riverain (ordre, police, santé, navigation…)
Pour ce qui est de la compétition de la juridiction civile, c’est la loi de l’Etat du pavillon et ses tribunaux
qui règleront les contentieux de droit survenus parmi le personnel du bord ainsi qu’entre les personnes
non membres de l’équipage mais transportées légalement par le navire et le capitaine. Les navires
privés ne peuvent pas offrir le droit d’asile, même pour les réfugiés politiques : Principe affirmé par les
grandes puissances maritimes (arrestation en 1840 du ministre espagnol Sotelo à bord du navire
français océan dans le port d’Alicante).

a) Dérogation relative aux passages inoffensifs

L’article 8 de la convention a revenu après la délimitation des Eaux intérieurs à les dotées d’une dérogation
en ce qui concerne (le passe inoffensif) qui constitue en même temps le point de divergence entre les mer
territoriales calculée sur la base d’une ligne de base tracé à partir de la limite extérieur des eaux intérieurs
alors que l’article 8 paragraphe 2 revient sur la position pour rendre applicable le passe inoffensif dans le
cas suivant :

18
Article 2 de statut de Genève.

14
(Lorsque le tracé d'une ligne de base droite établie conformément à la méthode décrite à l'article 7 inclut
dans les eaux intérieures des eaux qui n'étaient pas précédemment considérées comme telles, le droit de
passage inoffensif prévu dans la Convention s'étend à ces eaux.)

Cela veut dire que l’Etat riverain ne peut pas imposé à un passager inoffensif 19 des exceptions relatives à
son passage sur des eaux qui sont devenu récemment pour des raisons de législation ou encore de contrôle
des mers qu’on peut interpréter comme il peut s’agir aussi d’un changement géologique qui peut produire
des nouvelles formation ou d’étendre les eaux territoriales le passager garde son droit de passage inoffensif
car cela revient à son fait d’inconscience et ensuite puisque son passage reste a titre civil

b) L’accès des navires de guerre :

En temps de paix, l’accès relève de la compétition discrétionnaire de l’Etat côtier qui peut l’interdire ou
le limiter.
L’acceptation d’un navire de guerre, et à fortiori d’une escadre, est un acte gracieux de la part de l’Etat
du port et doit toujours faire l’objet d’une notification préalable. Accès souvent soumis à des
conditions restrictives (fixation du nombre d’unités et autorisation expresse au-delà de ce chiffre).
La coutume reconnait un droit véritable d’accès des navires de guerre en cas de péril et si le navire se
trouve en position de relâche forcée.
En temps de guerre, l’entrée des navires de guerre neutres est toujours soumise à une autorisation.

a) La condition de séjour :

La règle de l’immunité des navires de guerre soumet les navires d’Etat à l’exclusivité de la compétence
de l’Etat du pavillon au titre de ses Services Publics.
Ces navires représentent l’Etat du pavillon et exercent des missions de souveraineté à savoir le service
public de la défense.
Ils doivent pouvoir fonctionner en toute indépendance mais observant ses lois de police et de sécurité
(sécurité, salubrité et douane).
Si les hommes se rendent à terre, ils ne peuvent pas accomplir des actes d’autorité

Partie 2 : les problématiques des eaux intérieures :


Les eaux intérieures fait partie des espaces maritimes traditionnelle, la définition des eaux
intérieures comprennent beaucoup des aspects importantes ,mais le problèmes des baies est venues
en 1982 avec la nouvelle définition qui précisent que les baies de faible ouverture sont celles dont un
19
C’est-à-dire un passager qui ne présente pas un danger à l’ordre public
15
seul État
en est
riverain,
ou bien
les baies
pour

lesquelles la distance séparant les points d'entrée n’excèdent pas 24 milles

Cette nouvelle définition des critères de distance des baies de faible ouverture a permis de classer
certaines baies historiques dans la catégorie des baies de faible ouverture. Seules restent en litige les
baies de très grandes dimensions, telles que la baie de Hudson ou la baie de Pierre-le-Grand.
Ces Eaux intérieurs grâces à leur grande dimension créent des problèmes géostratégique et politique
majeur entre des grands puissants économiques et militaires qui revendiquent leurs souverainetés

Section 1 : problème de baies


1) La baie d’Hudson.

La baie d’Hudson est une baie située au canada. Il s’agit d’une des plus grandes baies au monde (sa
superficie set de 822342 km), elle est entouré par les provinces du Québec, de l’Ontario, du Manitoba
et par le territoire du Nunavut.

Certaines particularités géographiques sont régies par des règles d’exceptions. C’est le cas de baie
d’Hudson au canada. Les eaux des baies sont considérées comme des eaux intérieures lorsque
l’ouverture de la baie. Calculée à partir de ses points d’entrée. N’excède pas vingt-quatre milles
marins : dans le cas contraire, il s’agit des eaux internationales. Cependant, cette règle ne vaut pas

16
dans baies dites historiques20. En effet. Même lorsque l’ouverture d’une baie excède la dimension
admise. Un Etat peut en revendiquer la souveraineté s’il prouve qu’il a exercé durant une longue
période des compétences de nature territoriale sur ces eaux sans opposition d’autres états. Le canada 21
est donc justifié de considérer la baie d’Hudson comme partie de sans territoire 22.

A)La baie de pierre le grand.

Le golf de pierre-Le-grand est le plus grand golf de la mer du japon, sur la coté du kraï du
Primorie, En Extrême-Orient russe. Il couvre une superficie d’environ 6 000 km. Le golf s’entend depuis
le cap povorotny a l’est jusqu’à la frontière nord-coréenne à l’ouest, soit 200 km 23.

Le coté du golf de pierre-le-grand, qui est découpée par de nombreuse petites baies, est longue
d’environ 1 500 km. Ca superficie, à
l’heure actuelle la Russie impose sa
souveraineté sur la baie elle désormais
l’Etat côtier mais la dimension qui
dépasse les 24 marins revient
toujours à mettre le sujet de la baie de
pierre le grand en doute

Section 2 : problème


des atolls
20
RÉGIME JURIDIQUE DES EAUX HISTORIQUES, Y COMPRIS LES BAIES HISTORIQUES Document A/CN.4/143
Étude rédigée par le Secrétariat de L’ONU
21
Article de professeur V.K.JONHSTON (canada’s title to Hudson bay and Hudson strait) .
22
Traité de droit administratif volume 2 ,page 28 .
23

17
1) Le

lagon atollienne et la souvraineté des Etats

Une question particulière se pose en ce qui concerne les eaux intérieures des atolls. On souligne plus h
l’importance que revêt l’unité de l’atoll, composé des trois éléments : la ou les îles, le récif et le lagon.
Le nouvel article 6 de la Convention de 1982 sur le droit de la mer dispose que :

« lorsqu’il s’agit de parties insulaires d’une formation atolienne ou d’îles bordées de récifs frangeants,
la ligne de base à partir de laquelle est mesurée la largeur de la mer territoriale est la laisse de basse
mer sur le récif, côté large, telle qu’elle est indiquée sur les cartes marines reconnues officiellement par
l’Etat côtier. »

Cela signifie que les eaux situées entre la laisse de basse mer du récif et l’île ou les îles découvertes en
permanence sont des eaux intérieures ; cette solution se rattache au système des lignes de base
normales, puisque c’est la laisse de basse mer qui est prise en considération ici comme ligne de base ;
les eaux du lagon feraient alors partie de la haute mer. De leur côté, les Etats composés d’atolls
voudraient que les eaux du lagon soient elles aussi des eaux intérieures, ce qui impliquerait l’utilisation
du système des lignes de base droites, prévu aux articles 4 de la Convention de 1958 sur la mer
territoriale et 7 de la Convention de 1982. On doit alors se demander si la configuration des atolls
permet de les considérer comme ayant des côtes profondément échancrées et découpées, ou bordées
d’un chapelet d’îles et d’îlots, situé à proximité immédiate de celles-ci 24.

24
L’article 4, chiffre premier, de la Convention de 1958 est presqu’identique avec l’article 7, chiffre premier, de la
Convention de 1982, aux termes duquel « là où la côte est profondément échancrée et découpée, ou s’il existe
un chapelet d’îles le long de la côte, à proximité immédiate de celle-ci, la méthode des lignes de base droites,
reliant les points appropriés peut être employée pour tracer la ligne de base à partir de laquelle est mesurée la
largeur de la mer territoriale »

18
Un atoll, se présente sous différentes formes. Il se peut qu’il s’agisse d’un récif circulaire fermé,
n’ayant qu’une ouverture. Dans ce cas, on pourrait considérer l’atoll comme une baie et appliquer les
dispositions de l’article 7 de la Convention de 1958 ou celles de l’article 10 de la Convention de 1982. Si
de petits îlots sont situés à l’intérieur du lagon ou à son entrée, ils seront considérés comme des îlots à
l’intérieur ou à l’entrée d’une baie. Cette situation est illustrée dans le croquis.

2) les Atolls de formation insulaire et le tracé de la ligne de base


Un autre cas serait celui d’une formation insulaire du type illustré dans le croquis. Il s’agit là d’une île
centrale entourée de tous les côtés d’îles qui, à leur tour, sont bordées de récifs frangeants 25. On
pourrait alors tracer des lignes de base droites reliant les points extrêmes des récifs vers le large. La
situation illustrée dans le croquis comporte une difficulté du fait qu’il n’y a ni côte continue, ni chapelet
d’îles, puisqu’il s’agit de plusieurs îles centrales. Dans ce cas, il serait difficile d’évoquer une analogie
avec la situation géographique décrite à l’article 4 de la Convention de 1958 et 7 de la Convention de
1982.

Conclusion
25
LE RÉGIME JURIDIQUE DES ÎLES DANS LE DROIT INTERNATIONAL DE LA MER Haritini Dipl 1984 édition Graduate Institute
Publications

19
On retiens des Eaux intérieures, leurs complexités s’agissent de leurs statut géomorphologiques un
statut variable selon les phénomène naturelle qu’ils peuvent en découler ce qui les rendent difficiles
quant à l’application d’une législation, en même temps la plénitude que l’Etat dispose en exerçant une
souveraineté de terrain sur ces eaux tout ça pour combler les lacunes des anciennes expériences et
d’apporter un régime de droit qui sera applicable en vertu de la convention dans les cas d’violation
d’une règle qui organise et qui alimente la vie maritime

20
Bibliographie

Ouvrage
Droit international public Raymond Ranjeva Charles Cadoux Vanves rue Jean Bleuzen, 92178, France
1992

Traité de droit administratif volume 2 Front Cover. André Grisel. Ides et Calendes, 1984

LE RÉGIME JURIDIQUE DES ÎLES DANS LE DROIT INTERNATIONAL DE LA MER Haritini Dipl 1984 édition
Graduate Institute Publications

Législation
CONVENTION SUR LE DROIT DE LA MER Signée à Montego Bay (Jamaïque) le 10 décembre 1982

AVIS CONSULTATIFS ET ORDONNANCES. AFFAIRE DES PÊCHERIES. (Royaume-Uni/NORVÈGE). ARRÊT DU


18 DÉCEMBRE 1951

Résolution technique 7/1919 de L’OHI

Documentation
Étude rédigée par le Secrétariat de L’ONU

Article de professeur V.K.JONHSTON (canada’s title to Hudson bay and Hudson strait)

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Site internet
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