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Cours sur L’île du Dr Moreau

Introduction :

- Wells (1866-1946)
- fondateur de la littérature d’anticipation (de science-fiction).
- Il a introduit la machine à remonter le temps : œuvre qui servait à la
critique de la société.
- Réflexion d’ordre politique et sociale
- Publié en 1896 = l’île du Dr Moreau
- Il se pose des questions fondamentales sur ; jusqu’où peut-on transformer
le vivant ? où commence le mal ?
- Pendrick demande pour quelle raison le Dr Moreau a fait souffrir autant
d’animaux
- Moreau va s’expliquer en disant que les animaux ne sont pas si éloignés
de l’homme
- Donc l’homme n’est pas si éloigné de l’animal = aucunes différences de
nature entre l’homme et l’animal
- La souffrance ne constitue pas un obstacle pour la recherche scientifique

Plan (des élèves) :

I/ Un dialogue polémique : 2 visions de l’Homme


M/P : 2 visions de l’Homme

a) Prendick : 1 scientifique humaniste (défenseur de la dosca)


b) Moreau : 1 scientifique sans scrupule

II/ Une réflexion sur la frontière H/animal

a) Quelles différences entre l’Homme et l’animal


b) Ignorer la souffrance
c) Le rejet de la morale

Plan :

I/ En quelle mesure, Moreau et Prendick constitue 2 visions antagonistes


(contraire) de l’homme

a) Prendick : 1 scientifique humaniste (défenseur de la dosca)

- opposition à Moreau = connecteurs d’opposition (l.1, 24, 11, 15), les


incises (l.1, 15) = dimension polémique (verbe interrompre)
- personnage curieux (l.1) : il s’étonne que les animaux parlent
- il s’agit ici d’une dimension polémique qui est d’abord curieuse (phrase
affirmative) puis incrédule (il cherche à comprendre) ; l.1 = mot chose qui
montre son incrédulité
- chose = créature = monstre
- l.11 = incrédulité
- cette incrédulité va devenir une condamnation morale (l.11 = phrase
interrogative très directe et explicit + condition qui montre l’importance
de l’enjeu
- ce conditionnel montre la réserve de Prendick ainsi qu’un désaccord sur
les méthodes
- il s’exprime à travers un vocabulaire dépréciatif (l.20 = le narrateur ; l.24
= discours direct
- application = def : utilité pour l’homme = quelque chose de positif

c) Moreau : 1 scientifique sans scrupule

- apparaît comme un scientifique sans scrupule ni sensibilité


- pour Moreau son projet scientifique est louable = il tente de la démontrer
- l.2 = verbe « démontrer » = démarche argumentative
- nombreuses phrases déclaratives au présent de vérité générale
- l.3 = « un cochon peut recevoir une éducation » l.7
- phrase de vérité générale = assurance dans son raisonnement, aplomb et
servitude
- il cherche à le convaincre
- la relativité du jugement
- l.13, 15, 11, 12, 16 = point de vue répété à 3 reprises
- pour lui ce qui est vrai pour une personne sera faux pour une autre
- Démarche argumentative : 1ère étape = il invalide le point de vue de
Pendrick
- L.21, Moreau essaye de montrer qu’il faut concevoir les choses d’une
autre manière = déshumanisation = processus de réification qui
transforme l’animal en objet, ce n’est plus un être vivant
- Les hommes et les animaux ne sont que des objets d’expérimentation
- Il pousse à l’extrême l’attitude scientifique
- Il assume l’absence totale de moralité dans sa démarche (l.25) = sophisme
scientifique
- L.22 = réel complexe = plus aucune sympathie pour la souffrance
- Personnage antipathique qui permet grâ ce à Wells et dans une seconde
partie de repenser le lien entre l’homme et l’animal
- Sym = sum ; pathie = pathem = souffrir avec

II/ L’Homme, un animal comme les autres

a) Une vision de l’animal ou L’animal un cobaye humanisé

- Rapport homme / animal


- L’animal est présenté comme un être à transformer, on le voit des les
lignes 2 et 3.
- Chirurgie et connaissance scientifique : champ lexical de la science : ligne
2, 4, 9, 6
- Projet scientifique = la transformation
- Néanmoins, ligne 3 comme le dit Moreau : les possibilités ne s’arrête pas à
une transformation physique. La transformation n’est qu’une étape.
- Dans ce texte, Moreau ne dit pas ce qu’il va faire de ces animaux
- l.23 = adjectif « extrême » montre que le projet de Moreau est d’aller
jusqu’ou on peut transformer une être.
- Il donne une conception de l’animal proche de celle de l’homme =
déclaration provocatrice = ligne 3 = cochon
- Syllogisme = sophisme : mineur = la structure mentale est moins
déterminée que la structure corporelle, majeur= or l’hypnotisme peut la
modifier, conclusion = donc l’animal peut-être éduquée.
- Si bien que il y a humanisation de l’animal.
- L’animal est un objet d’étude.
- Fantasme = rendre l’animal e humain possible.

b) Aucune différence entre l’Homme et l’animal

- L’animal peut-être éduquée d’après Moreau


- Idée héréditaire = instinct animal
- L’hypnose peut remplacer l’instinct des animaux
- L.6 = réflexion
- « semblable » ligne 7 = manière de dire que l’Homme est identique à
l’animal.
- Nous = humanité en générale
- Thèse de Moreau = l’éducation morale chez les hommes est une
perversion (rendre mauvais) de l’instinct combatif = ligne 8
- Pugnacité = proportion a aimé le combat et la lutte
- Se canalise = devient le sacrifice de soit
- Processus de la sublimation
- Il y a ici toute une réflexion sur la morale
- Il établit une analogie : de même que l’homme est éduqué par la morale,
de même l’animal peut l’être par l’hypnose = lien proche entre l’Homme et
l’animal.
- Texte argumentatif dans lequel il se justifie et explique sa démarche.
- « Pourquoi je ne pourrais pas faire sur les animaux ce que l‘on fait sur les
hommes depuis des siècles. »
- Ce qui est implicite c’est qu’il n’ y a pas de différence de nature mais de
degré entre l’homme et l’animal
- L. 9 et 10 = différentes physiologique = ses expériences sont légitimes
puisque l’animal peut accéder aux même capacités que l’homme
- Nature = essence de l’humanité
- Moreau justifie ses expériences et pose la question suivante = « Ou se
situe la frontière entre l’Homme et l’Animal ? »

III/ Les dangers de la science ou Le monstre scientifique

- Thème de la souffrance très présent


- En quo peut donner l’image d’un savant fou à Moreau ?
- Tout le discours de Moreau vise à montrer que le point de vue de la
science ne peut pas être sensible ou morale.
- L.21 = il désanimalise
- Le mot « problème » à une connotation scientifique
- Il montre que les scientifiques ne s’embarrassent pas d‘une dimension
morale
- L.23 = il refuse une forme de sympathie
- Sympathie : un obstacle à la recherche scientifique
- Homme froid et insensible
- On voit qu’il rejette la souffrance
- Ligne 16 et suivante = la souffrance n’est pas le critère du bien et du mal
- Il renverse l’idée que la souffrance est la limite contrairement au point de
vu de Pendrick
- Pour Moreau, la sensibilité humaine est un obstacle au progrès
scientifique. C’est pourquoi on peut dire de Moreau que c’est un être
amoral.
- Souffrance = animalité
- Il récuse toute forme de « l’éthique de la moralité »
- Ligne 18 = il est matérialiste
- Il place des questions philosophiques fondamentales :

 La morale est-elle subjective ou universelle ?


 L’éducation morale est-elle nécessaire pour vivre en société ?
 D’ou vient la morale ?
 (théorie de Rousseau)
 l’Homme est capable de pitié donc il est humain
 l’éducation morale est-elle qu’une constitution superficielle qui
nous brime ?
 Si c’est le cas l’Homme n’est qu’un animal supérieur sur lequel
toutes les expériences sont possibles 

c) Moreau, un monstre

- Il ne se donne aucunes limites


- Il se justifie par une loi du Talion scientifique
- Ligne 25 et 26 : si il n’y a pas de moralité dans la nature, il n’y en a pas
envers elle
- Il devient ainsi une sorte de démiurge = créateur ou manipulateur
- Il se prend pour Dieu
- Il n’est plus chercheur, il veut se faire créateur

Conclusion :

Wells crée une nouvelle mythologie


La mythologie servait au homme à s’intéresser sur ce qu’ils sont
On a la fois les être mythologique et le progrès scientifique

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