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Un peu de Philo : L'allégorie de la caverne est une

métaphore par laquelle Platon illustre le passage de


l'ignorance à la connaissance. Le monde de la caverne
représente l'ignorance, l'univers des opinions trompeuses,
du faux-semblant, tandis que l'extérieur de la caverne
représente le monde des Idées, des vérités qui sont les
objets de recherche du philosophe.
L'allégorie de la caverne de Platon est l'un des piliers de la
sophrologie."Platon met en scène la condition humaine, la nôtre, mais
également celle de nos ancêtres. Pour lui, nous sommes tous prisonniers
d’une caverne."

Ouvrir les yeux, et si c'était le moment ?


Dans l'allégorie de la caverne de Platon, le premier homme qui en sort après
avoir été enchaîné dans le noir est douloureusement ébloui. Allez, ça va faire
un peu mal au début, mais le soleil c'est tellement bon 🌞😊🌞

L’allégorie de la caverne est sans doute le texte le plus connu de toute la


philosophie occidentale, qu’on redécouvre sans cesse.
Dans une grotte se trouvent des hommes qualifiés de prisonniers, attachés
par les jambes et la nuque, divertis par d’autres hommes qui agitent des
objets fabriqués : peuvent-ils être semblables à nous ? Se poser cette
question est l’un des enjeux de l'allégorie qui intervient au livre VII de La
République : existe-t-il un lien avec l’enjeu de celui-ci qui est de s’interroger
sur la définition de la justice et réfléchir sur une constitution politique à
même de rendre les gens capables de vivre ensemble ?

Interpréter le mythe de la caverne


Il est très difficile de donner une interprétation unitaire à l’allégorie de la
caverne, je pense même que c’est le dessein de Platon que d’avoir produit
un texte dont on ne peut pas donner une interprétation unitaire. C’est un
texte sur lequel on revient constamment et qu’on relit de manière différente
à chaque fois qu’on se le réapproprie.              
Dimitri El Murr

Apparition du mythe de la Caverne dans "La


République" de Platon
"La République" pose la question de ce qu’est la justice : pour y répondre,
il faut réfléchir aux conditions de naissance de la justice sociale pour
comprendre la structure de la justice dans l’âme, d’où la "poléogonie", la
naissance d’une cité proposée à partir du livre II. À partir du livre V on a ce
décrochage de "La République" où Socrate pose la question des
possibilités ou de réalisation de la cité juste dont on vient de dessiner les
traits. C’est dans le cadre de cette question que le mythe de la caverne
intervient puisqu'une des conditions de la réalisation de la cité juste c’est
l’avènement du philosophe roi : un philosophe règne ou un roi devient
philosophe, et une des manières de comprendre comment un philosophe
peut régner c’est de définir ce qu’est un philosophe, et pour cela, il faut
définir l’objet de sa connaissance, Socrate utilise alors des images, et la
Caverne en est une…              
Dimitri El Murr

L’allégorie de la caverne, une fable politique ?


Qui sont ces prisonniers ? On l’ignore… C’est un mystère et il est clair que
Platon a choisi de ne pas donner une réponse à cette question et de la
laisser dans la limite de la comparaison : ces hommes sont semblables à
nous, mais qui sont-ils vraiment, on ne le sait pas. Le dispositif même de
leurs ligatures, des liens qui leur sont imposés, est extrêmement
important : ils n’ont pas les mains liées. Pourquoi ? Une des hypothèses
qui a été faite dans un article admirable de Jacques Brunschwig c’est que
les mains sont libres parce que ça permettrait peut-être aux prisonniers de
voter sachant qu’en grec voter se dit "kheirotonein" : "lever la main".

La fable politique est donc un enjeu de l’allégorie de la caverne. Si la


société carcérale de la caverne est une image de la cité démocratique,
clairement quand on vote, on est conditionné par un certain nombre de
manipulations qui sont ici ces fameux montreurs de prestige qui projettent
dans la caverne les ombres d’objets...              
Dimitri El Murr

L allégorie de la caverne

Idée : le nom que on lui a donner par la suite extrait


de la rep au début du livre 7
Une allégorie = métaphore un récit symbolique une
représentation d une idée par une métaphore
Tt la théorie philo de Platon
Platon nous parle de la vérité et du chemin qu’il faut
parcourir pour y arriver. Dans ce texte Platon nous
parle de la vérité au sens de la réalité paropposition
aux illutions
Les hommes de la cavernes baignent dans l illutions
La vérité = le monde intelligible (dans l allégorie c est l
extérieur de la caverne) et le chemin est par étape
I- le monde de la caverne ou le monde des illutions +
ingnorence
II- la sortie de prisonnier vers l extérieur
III- le retour du prisonnier dans la caverne

Platon veut nous parler des ho en général,ils vivent en


greneral, ils ne voient que les ombres = grande
illutions de la penser et positive par rapport a la
pensée. Nosue sommes inconscient de la vérité les
prisonnier ne savent rien car ils connaissent que cela
L état des prisonnier = une maladie «  si on les
guérissaient de leurs… » cette guérison est une
souffrance pour le prisonnier il est difficile d admettre
une vie dans l illutions. leurs réalité est remise en
question
Le prisonnier va être obliger de sortir de la caverne
mais il vat y aller progressivement d abort ombres =>
reflet> les objets> les chose du monde extérieur de
nuit puis de jour et le soleil directement .

Les ombres = l opinons


Objet fabriquer = la conviction
Les réalité elles même = penser/science hypothétique
Le soleil = accès aux idéeelles même = la vérité pour
Platon
Le vrai est dans le monde intelligible la théorie de
Platon
La science dialectique = se fait par le dialogue, cela
sert a faire passer les étapes
La prisonnier alors devenu philosophe ( il a regarder le
soleil) il a subit une transformation => nouveau mode
de connaissances il ne retraite rien, mais il veut reste
dans le monde réel
Le prisonnier qui estpartit il n est plus bon a rie dans
la caverne, pour ceux qui sont rester il le trouvent
inadapté au monde de l illutions , ils ne se
comprennent plus, il a l aire a coter de la plaque ils le
menace de la tuer, c est une allusion pour Socrate, car
il s est fait condamner a mort par la cite
Donc a l image de Socrate l esclave devenus
philosophe, son rôle est de revenir pour dialoguer avec
lesautres et les libérer, c est la vrai rôle du philosophe

Platon met en scène tout les homme du passer comme


du présent. Platon veux signifier que notre rapport au
réel est une rapport imaginaire. Tout est déjà fabriquer
avec ce qui nous entour
Platon appel la doxa le type de discours qui règne
dans la caverne. Il prône la connaissance intelligible
plus tôt que la connaissance sensible.. pour
saffranchir du pouvoir de l opinion il faut une
transformation radicale

Le chemin de la connaissance est plein de difficulté

La thèse du texte :
Les enjeux :
Le mouvement :

Le plan
I- le point de vue métaphasique : platon veut nous
ontrer que le monde que nous persevons en premier
est un monde d apparences donc la cause est la
réalité immatérielle = un ensemble d idee
II- pointde vue morale contrairement à l'image,
statique, de la ligne, celle de la caverne est dynamique
: il s'agit de décrire le mouvement progressif d'un
homme vers la lumière du jour et le monde extérieur à
la caverne, lesquels représentent la connaissance et
la vérité. En un mot l'allégorie évoque, comme on l'a
vu, l' éducation de l'âme. Introduire la science dans
une ame dépourvue toute chose. Ce quetante a tors
les sophistes De lui dépend l'autonomie de la pensée.
Encore faut-il, pour que cette capacité puisse
s'exercer librement, que l'âme soit délivrée de ces "
masses de plomb " qui l’encombre, c'est à dire de tous
les plaisirs sensuels ou illusions sensorielles, qui la
retiennent clouée au domaine sensible et l'empêchent
de s'élever vers le domaine intelligible.
III- point de vu...
Li

a/ La consistance des idées. On a souvent envie d'opposer la notion d'idée et la notion


de réalité. La réalité est ce qui relève du réel, de la matière. Les idées quant à elles sont plutôt dans
nos têtes ; elles relèvent de l'esprit, du psychisme. 1/ L'origine Grecque de la notion d'idée Au plan
de l’étymologie l'origine du mot Idée est controversée. Il y a deux origines possibles : le mot « idéa »
désigne la forme visible, l'aspect et le mot « eidos » désigne la notion d'aspect extérieur. Dans la
tradition grecque on a essentiellement deux théories des idées. – théorie platonicienne : l'idée selon
Platon est « la forme idéale, concevable par la pensée, et dont chaque objet matérielle est la
reproduction imparfaite ». Cette notion de Platon a un fort potentiel au niveau politique. Les idées
correspondent à la représentation parfaite des choses. Il y a une supériorité des idées sur le réel. On
peut donc imaginer la cité idéale pour la mettre ensuite en œuvre. – théorie d'Aristote : elle renvoie
à la conception abstraite par rapport aux choses concrètes.

La question de la vérité, qui clôt le groupement « la raison et le réel », est une sorte de
point de convergence de toutes les interrogations philosophiques. N’oubliez pas que la
philosophie est l’amour et la recherche de la vérité. Ne cherchez pas à minimiser la
valeur de la vérité, à relativiser son importance ( « relativisme »).
Philosophie - Bac toutes séries

La vérité
La question de la vérité, qui clôt le groupement « la raison et le réel », est une sorte de
point de convergence de toutes les interrogations philosophiques. N’oubliez pas que la
philosophie est l’amour et la recherche de la vérité. Ne cherchez pas à minimiser la
valeur de la vérité, à relativiser son importance ( « relativisme »).
Pour le sens commun, une proposition ou une théorie est « vraie » lorsqu’elle est
conforme au réel et qu’elle peut être attestée par l’observation ou par l’expérimentation.
Cette approche est aussi celle de la philosophie, mais jusqu’à un certain point
seulement. Les philosophes nous ont appris, depuis Socrate, à nous méfier d’une
définition trop étroite, ou trop naïve, de la vérité. La vérité est un fait de langage, et le
langage est un système de conventions. Des conventions sont par définition
contestables. Et l’on observe en effet que les hommes ont beaucoup de mal à s’entendre
sur la définition et sur les critères de la vérité.

Vérité et réalité
Le langage courant confond souvent le vrai et le réel. Lorsque l’on dit « la laine est
vraie », cela veut dire qu’elle est authentique, donc « réelle » au sens de « naturelle » et
non pas qu’elle dit la vérité, car une chose ne « dit » rien et seul ce qui est « dit » peut
être « vrai » ou « faux ». La vérité ne concerne donc que le discours tenu par un homme,
qui peut être « vrai » (conforme à ce dont il témoigne) ou « faux » (erroné ou
mensonger). Ainsi un homme politique qui dit la vérité ne peut être démenti par les faits.
Mais le problème se complique singulièrement lorsque l’on parle de « vérité
scientifique » ou « philosophique ». Car la réalité que la science prend pour objet (la
structure de l’atome ou l’espace-temps par exemple) constitue en elle-même un
problème. En science comme en philosophie des théories se succèdent, constituant des
représentations cohérentes d’une réalité qui ne va jamais de soi. La vérité est une
construction, une « fiction » efficace, plausible, et non pas le simple duplicata de la
réalité.

Les critères de la vérité


On ne sait donc pas définir simplement la vérité. Platon observe dans le Ménon que si
l’on savait ce qu’est la vérité, on n’aurait pas besoin de la rechercher, or cette recherche
définit la philosophie. A défaut de pouvoir définir strictement la vérité, on se concentrera
donc plutôt sur la question de ses critères : à quoi peut-on la reconnaître ? La première
réponse est simple (« le critère de la vérité est l’évidence ») mais insatisfaisante, car une
évidence (sentiment de posséder le vrai) peut être trompeuse. La seconde réponse est
beaucoup plus probante : la vérité doit être soit démontrée soit démontrable. Toutefois,
l’histoire des idées nous apprend que certaines « démonstrations » qui ont emporté
longtemps la conviction des savants ou des philosophes se sont avérées, pour finir,
invalides. C’est le cas des fameuses démonstrations de l’existence de Dieu, réfutées par
Kant. Faut-il donc jeter l’éponge et adopter une position « sceptique ? ».

Valeur de la vérité
On admet souvent aujourd’hui que la vérité est « subjective », ce qui signifierait que « ce
qui est vrai pour moi est vrai ». On appelle « relativisme » la doctrine selon laquelle
toutes les opinions se valent, c’est-à-dire sont également vraies, ou également fausses,
selon le point de vue. Par exemple l’opinion d’un nazi est « vraie » pour un nazi mais
fausse pour un démocrate. La philosophie depuis son origine, ne cesse de combattre le
relativisme. Même si la vérité est difficile à définir et à élaborer, mais il ne faut jamais
abandonner l’exigence de vérité. Non seulement parce que la vérité est utile à la vie
tandis que le mensonge est funeste et dangereux. Mais aussi parce que le choix de la
vérité constitue une orientation éthique. La vérité, même partielle, même relative, même
provisoire, est en effet un terrain d’entente entre les hommes. Ce qui est vrai vaut pour
tous, et c’est pourquoi les savants et les philosophes peuvent toujours dialoguer et tenter
de s’entendre, par opposition aux fous et aux fanatiques qui estiment que leurs opinions
ou leurs croyances relèvent d’un « savoir absolu », c’est-à-dire non négociable ni
compatible avec aucun autre.

Sujets de dissertation
A quoi reconnaît-on un jugement vrai ?
Peut-on résister à la vérité ?
Toutes les opinions se valent-elles ?

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