Sunteți pe pagina 1din 13

HERPESVRIDAE l’évolution de l’infectio selon 4étapes

_génome ADNdb _cap icosaédrique primoinfectio => infection latente => réctivat

_envlop nucléaire ( détache de la mb nucléaiare => réinfection endogène

Ubiquitaire

S Le virus et Mode de transmission Pouvoir pathogène Diagnostic Traiteme


/ son site
f de
latence
A HSV1 _Strictement humain Oral :gigngivo stomatite , Prélèvemnt Aciclovir >inhibition
L ( gg de _Salive , contact direct bouton de fièvre , bouquet Culture DNA polymé sans
P gasser ) !!Attention les bisous vésicules cellulaire l’action sur le virus
H aux bébé et vous avez Oculaire : kératite , uvéite (multiplication latent
a bouton hérpitique ( formes graves ) , rapide )
encéphalite aigue PCR
nécrosante herpétique Sérologie ( IF ,
Autes : éczéma ; syd kaposi , ELISA)
panaris
HSV2 >sécrétion génitale Vésicule sur l’organe génital
(Gg sacré) >transmisson sexuelle douleureuse
> materno feotal Hèrpèse neonatal > forme
(accouchment) cutané muqueux ,
déssimées ou neurologique
Multiplication de HSV : infection des cellules épith et fibrobleste ( cel permissives) à cycle lytique court
> transport vers les gg de latence ( dont l’ARNm est abscent et l’ADN de HSV est circulaire extra chromosomique >
réactivation et réinfection des cellules épithéliales

A Virus de Transmission :sécrétion Physiopathologie : Essentielemnt -Pour le traitement


L varicelle réspiratoires inhilation du virus clinique Guérison spontanée
P et zona >multiplication respiratoire >prélèvement -Aciclovir dans les cas
H VZV > virémie ( qui se manifeste (sang , LCR graves
a Latence : dans les ggs par une éruption varicelle et ,lésions
sensitifs apparition des AC anti VSV ) cutanées …
!!! la varicelle est souvent etc)
béninig à jeun age qui ce >sérologie Cidofovir en cas de
n’est pas le cas chez l’adulte ELISA résistance
Après le virus se localise
dans les ggs sensitifs
(latence)
>la reactivation responsable Existence
d’une éruption
métamérique unilatérale
c’est le Zona
!!! le zona contrairement
au varicele n’a pas de risque
pour les fœtus psq c’est une
infc localisée sans virémie
on peut avoir des zona
ophtalmique !
Le virus Transmission Pouvoir pathogène Diagnostic Traitement
CMV -enfants dans la Chez l’IC : primo infection Le diag repose sur la
crèche (conctac souvent asympt .. . 10% sérologie Ganciclovir
V ubiquit dirct) peut donner inclution -detection de IGg Foscarernt
Sa - sexuelle cyto mégalie permettent de ( ils sont les anti
prévalenc -transfusion Chez l’ID : déssimination detecter une CMV
e très sanguine donne des encéphalites, séronconversion + spécifique ) ***
élevée Greffe -_- rétinites, colties, - les IgM diagn d’une ils ont des
peut -nosocomiale pneumonies primo infection , et effets
toucher - verticale de la les recherches aussi indésirables
100% de la mère à son fils ( in Transmission chez le npouevau né très serieux :’(
populatio utéro ou matérnofoetale (une -avidité des IgG +
l’accouchement , séroconversion + peut que 80% signe de
allaitement ) entrainer : malad primo infection plus !!! aciclovir est
inclusion cytomégaliques que 3 mois inactive sur le
infecte et restent à ICM et virurie > entraine - isolement viral CMV
vie (latence ) dans soit décé 90% 10% après culture cellu a
monocytes et les séquelles à partir du sang des
cellules neurosesorielles . urines ?
endothéliales vascu les symptomes : (atteinte -PCR – recherche
neurologique ,retard d’ag PP65
mental microencéphalie
de foet à l’eco ;dilatation
des ventricules ,
thrombopénie , atteinte
multivéscirale
EBV Par la salive -Mononucléose 3 signes
epstein infectieuse ; qui peut biologiques : 
barre virus -Infecte les cels devenir lymphome B non monocytes , cytolyse
épithéliale de hodgkinier hépatique , présence
l’oropharynx( entra Les signeqs : fièvre , passagère des Ac
ine leurs lyse ) angine où l’ampiciline st hétéréphiles
-Et infecte aussi les contre ind et ASMG
LB dont il rste à vie -tumeur de Burkitt et le Diag : sérologie
( latence ) ARNcinome du Apparition des IgM
nasopharynx au premr temps puis
IgG anti VCA ( viral
capsid ag ) puis
apartion des IgG anti
EBNA (EB nuclear ag

-charge viral ( ADN v


), en cas de la
reactivité

HHVS6 Salive,sanguine , Exanthéme ou roseole Clinique , sérologie


=>dans sexuelle …etc infantile ( des enf entre PCR
LTCD4 comme les hérpès 6mois et 2 ans)
ID : encéphalite , hépatite
fulmitante ( ct un virus
hépatoneutrope )
HHVS7 Mal connu mais il est proche de HHVS6
HHVS8 Sexuelle sarcome de Kaposi , mldie Clinique et Cytostatique ,
Virus oncogène de cstlman ( qcm) , histologique anti-rétrovirals
lymphome des séreuses
Virus à ADN résistant :
Adénovirus HPV ( papillomavirus) HBV ( v. hépatite B)
Structure Tous ont une capside icosaedrique et tous à replication intranucléaire
nu nu envloppé
Génome ADNdb linéaire ADNdb circulaire ADNdb partiellemnt
circulaire
Mode de directe via les fluides contamination par contact par voie sexuelle, sanguine,
transmissio corporels ( salive, direct (sexuel, accouchement) salivaire, mère-enfant et
n gouttelettes...) indirect via ou indirect (objets intrafamiliale.
l'environnement ( objets souillés , sol des piscines...)
souillés,mains sales...)
Caractère -Spicules hémagglutinantes Très résistant oncogène et appartient à l
virologique v. stable , résistant dans strictement humain et famille :hepadnaviridae
l’environnmnt , seul moyen oncogène (HPV 16, 18, 31 les différents HB Ag: Ag HB
de désinfection est >>cancer du col utérin) , c(capside) Ag
l’hypochlorite de NA et R 2eme cancer de la femme HB e (envp) AG HB s
ionisantes après du sein ( surface).
!!! pouvoir carcinogène infection suite à une brèche PS! C’est un virus
purerment expiremntal résistant(malgré qu'il est
chez l’animal !!! enveloppé), strictement
humain
Clinique Tropisme lymphoide Incubation de 1 mois à 3
atteintes respiratoires : épithélitrope mois ) >
pharyngite, angine, lésions cutanéo-muqueuses : 90% asympto et géurison
bronchiolite, trachéite, verrues, épidermo dysplasie spontanée et 10% >
pneumonie, atteintes verruciforme lésions du hépatite virale aiguë,
oculaires tractus génitale: cancer du hépatite fulminate (IHC),
kératoconjonctivites col utérin ,condylomes hépatite chronique
d'origine hydrique,atteintes laryngés et condylomes ano- ( persistance de l'AG HBs
intestinales: gastroentérite, génitaux. plus de 6 mois)
diarrhées des enfants... complications : cirrhose,
Autres: cyctite, éruption. carcinome hépato-cellulaire
Diagnostic prélèvement des sécrétions -Frottis et étude cytologique direct par détection d'Ag
nasopharyngées + frottis de (virus inoculé aux C basales de viral (ELISA), détection
la conjonctive+ selles. l’épiderme puis d'ADN viral ( PCR, TMA,
culture virale (aspect de kératinocytes qui vont le hybridation, séquençage) ou
cellules en dentelle de la libérer après lyse C. les sérologie par détection d'AC
nape), détection de vacuoles intra cytoplasmiques anti HBc-IgM infection
l'Ac( ELIZA,IF, agglutination refoulant le noyau à la actuelle et anti HBs-
par test de Latex), PCR et périphérie (koilocytose). IgGinfection ancienne ou
sérologie. ( séroconversion L’ADN viral peut persister à vaccination.
de IgG et IgM) l'état latent s-s forme
épisomique(copies d'ADN
inactives) ou intégré au
génome cellulaire. PCR

Traitement Pas de traitement antiviral petite chirurgie, Laser, Adefovir, 3TC (lamivudine),
Traitement symptomatique cryo(=froid) thérapie, acide interféron couplé à
( antipyritique , salicylique (cornex ), il existe polyéthylène glycol.
antidiarithique) un vaccin est qui le 2ème Le traitement de l’hépatite
Vaccin au cour de travail vaccin fulminante est la
( 7) contre un cancer après le transplantation de foie en
vaccin anti HBV contre le urgence.
cancer du foie. TRT préventif: vaccin +++
Virus des hépatites à ARN :

Une hépatite est une maladie inflammatoire du foie aiguë ou chronique associant des signes cliniques :
ictère, sd grippal
et biologiques de cytolyse: hyper ALAT, hyper ASAT et de cholestase: hyper bilirubinémie conjuguée et
hyperPAL(Phosphates alcalines).
Souvent asymptomatique d'origine alcoolique, médicamenteuse, auto-immune,bactérienne et surtout
virale. L'hépatite chronique peut se compliquer cirrhose voire Carcinome Hépato-Cellulaire.
y'a d'autres virus qui peuvent atteindre secondairement ou occasionnellement le foie : HSV1 et 2, VZV, CMV,
EBV et le
virus de la fièvre jaune.
VHA et VHE VHC VHD
Famille : VHA :picornoviridae Flarivirdae
VHE : herpesviridae
Structure Forme ?! Icosaedrique Icosaedrique  / -nu
v.envloppé , 1 seul v.envloppé , 6
sérotype génotypes Virus défectif à ARN (-)
ARN(+) linéaire le sb.transmis exclusivement
génotype b1 est le dans le contexte d'une
fréquent en Algérie), coinfection avec
variation génétique ↑ le VHB psq ce dernier produit
(mutation +++), des particules vides
indispensables pour le VHD qui
va les emprunter
Réplication Cytoplasmique Cytoplasmique
Contamination Vha : strictement Sanguine (: Transmis par voie sanguine,
humain ;Vhe : transfusion, greffe, sexuelle, mère-enfant ou
l’homme et l’animal endoscopie (par orale.
brèche de la biopsie),
Contamination : Féco- soins dentaires même
oral ; viande transmission sexuelle
PS! VHA est inactivé transmission mère-
par T°, UV, enfant
hypochlorite de Na,
glutaraldéhyde et
ozone.

Epidimiologie VHA touche souvent Le VHC donne souvent Il donne des hépatites souvent
l'enfant ne passe des hépatites graves aiguës ou chroniques (
jamais à la chronicité chroniques . fulminantes).
(sauf chez ID
VHE : peut passer à la
chronicité …
Diagnostic sérologie ELISA à la repose sur RT- PCR d'abord chez sujet Ag HBs (+)
recherche des Ac: ( rétro transcription qui présente une infectin VHB,
IgM(marqueur pcr) (chez nv-né aprés se fait par détection d'Ag VHD
d'infection aiguë), IgG 15 j)résultat qualitatif et sérologie
(marqueur de et quantitatif. PS! le ELIZA : à la recherche des IgM
vaccination ou de VHC est fluctuant c à d anti VHD + IgG anti VHD
guérison d'une il
infection ancienne) peut être présent mais
=cicatrice PCR(-) donc il fait
immunologique), refaire une autre PCR
direct(---) détection après 6 mois si le
d'Ag par ELISA (selles) résultat est (-). La
culture sérologie ne
cellulaire et PCR. permet pas de poser le
diagnostic
Traitement PS! Il existe un vaccin est limité mais on PS! On ne peut pas dire s'il
(absent en Algérie) assiste à une évolution s'agit d'une infection aiguë ou
thérapeutique, pas de chronique.
vaccin. Vaccin anti VHB protège contre
VHD.

Picornaviridae :
Entérovirus Poliovirus Coxsackievirus et Rhinovirus
Echovirus ( virus
non polio
Caractères -ARNmonocaténaire - capside icosaedrique - mm famille HVA
communs Ag spécifiques : VP1 VP2 VP3 VP4
Transmission Oro-fécal Respiratoire et
(cotamination digestive
interhumaine)
Caractères Superposable des traitement trivalent :
virologiques entérobactéries , Vaccin anti polio
génome de polarité 1+2+3
+ ; résiste dans
l’eau , le sol ; les
huitres et la
chloration d’eau
Clinique Maldie d’éruption Un neurotrope Souvent des infc Aucontraire des
vésiculeuse ; mldie Agnt de la asymptomatiques entérovirus , il ne
mainpieds-bouche poliomyélite ant , passe pas dans
qui se manifeste par aigue , ( paralysie Coscaskievirus B l’estomac , son
des éruptions périphérique dans un peut donner des pouvoir pathogène
maculeuses ou sydr infecteiux ( infc myocardites , peut se manifester par
macupapuleuses spinale , péricardites , ou : rhume ; rhinite ,
!!! elle ne donne pas respiratoires méningites aigues sinusite , otite ,
de gastroentérite ,bulbaires , bronchite ,
encéphaliques , exacerbation de la
méningées crise d’asthme
pseudogrippales ou
innaprentes
Diagnostic Direct: prélèvement
(gorge,LCR,selles) puis
l’isolement cen culture Isolement en Diagnostiqué lors
cellulaire ( après culture cellulaire , d’une infc respiratoire
séroneutralisation par RT-PCR
Ac spécif > aspect des
cellules arrondies, -digc différentiel :
réfringentes, se une fièvrre
detache de la paroi éruptive ou lésion
Indirect : cutanée atypique
séroneutralisation par
sérum du malade et
titrage de
séroconversion

Rétroviridae  (VIH) :

Caractère virologiques F: retroviridae, S/F: orthorétroviridae G: lentivirus 2 types HIV1 HIV2


Structure virus à ARN monocaténaire, capside hélicoïdale (p24), matrice
(p17),envelope avec gp externes gp 120
SU(surface) gp41TM (transmembranaire) des enzymes : transcriptase
inverse, intégrase, protease, principaux gènes :
gag(code pour la capside), pol(code pour TI, IN et protease), env( code
pour gp 120 et 41) les autres gènes codent pour
des protéines régulatrices : vif tat nef…

Multiplication fixation(gp120)> fusion-lyse(gp41)> transcription inverse (TI)>ADN


proviral>intégration dans le génome de l'hôte (IN)>transcription viral>
ARNm et ARN génomique>traduction de l'ARNm et synthèse des
particules viraux>automaturation (protéase) et assemblage
>bourgeonnement et sortie.
PS! le récepteur de la gp 120 est le CD4 et la notion d'un co-récepteur
est très importante CXCR4 pour les LT et CCR5
pour les mo/m et DC.
Virus très variable : taux de mutation très élevé à cause de la faible
fidélité de la TI, l'importance de la réplication virale,
le recombinaison génétique, l'origine multiple et la pression de
sélection du TRT( développement d’une résistance)
Mode de transmission voie sexuelle (homme  femme +++) voie sanguine (ou seringue
infectée) et mère enfant.
Physiopathologie le HIV1 infecte les LTCD4+ , les macrophages et les CD folliculaires.
Le début de l'infection VIH1 est dans les organes lymphoïdes
( réservoir) : l’infection virale des LTCD4+ a un effet létal
par ECP à type syncytium aboutit à la mort cellulaire ou par LTCD8+. En
revanche les monocytes macrophages peuvent
supporter l’infection formant un réservoir pour le virus et un véhicule
surtout vers le SNC. L'évolution se fait selon 3
phases, La phase de primo infection( asymptomatique parfois
symptomatique) se caractérise par un pic de réplication
virale avec antigenémie (P24) + chute de CD4+. La phase de latence,
( asymptomatique sans latence virale) ainsi le taux
de réplication virale et des LT CD4+ se stabilisent avec apparition des
AC anti p24. après au moins 10 ans latence la phase SIDA s’installe
avec taux de LTCD4+ circulaires < à 200/ml(normal=1000) l’Ag p24
réapparait, et <<en miroir>>
une baisse des Ac anti P24. À ce stade il y’a l’apparition des
complications infectieuses et tumorales liées à
l'immunodépression
Diagnostic 1-sérologie( âge sup à 18 ans+++) : mise en évidence d'Ac anti VIH
combiné au Ag p24 par ELISA ( il faut 2
test + ) et confirmation par Waster Blot ou tests simples et
rapides (bandelettes) sur un 2eme prélèvement.
2-direct (âge inf à 18+++): détection d'Ag viral p24 +détection de l'ARN
viral RT-PCR ( charge virale ou ADN proviral).
=>Le but de la suivie biologique de l’infection par un bilan immuno
virologique est prise en charge de l'infection: (test de suivie)
numération des CD4+(ID ) charge virale et génotypage ( résistance )
Trt inhibiteurs : nucléosidiques (ou nucléotidiques) de la TI (INTI), non
nucléosidiques de la TI (INNTI) ,de la
protéase(IP)+ de la fusion(gp120) + de l’entré

Orthomyxovirus :

Structure Virus de la grippe chez homme et chez l'animal, 5 genres: influenza virus A,B,C,
isovirus et thogovirus.
Structure : virus à ADN simple brin polarité(-) non infectieux segmenté(7-8
nucléocapsides), capside hélicoïdale,
enveloppés(sensibles aux détergents et aux solvants), les Ag externes :
gpH( hémagglutinine) gpN (neuraminidase) et
protéines M1( matrice) M2(rôle de canal ionique) seulement pour Virus A,
présence d'un complexe réplicasetranscriptase
formé de 3 polymérases (PA, PB1, PB2)
PS! une des particularité des virus grippaux est la synthèse dans le noyaux de
l'ARNm, l'ARN génomique et l'ARN anti
génomique. Et l'existence de 2 types de variations antigéniques :
Les cassures (ou saut) : changements radicaux de la structure des Ag (gpH +++),
résulte de réassortiments du matériel
génétique virus A seulement
Les glissements (ou dérive) : variations plus discrètes et continues dues aux
mutations ponctuelles à taux élelvévirus
A et B
Clinique infections grippales souvent saisonnières dans l'hiver.
grippe à début brutal: fièvre intense puis atteinte respiratoire ( avec myalgies,
arthralgies, céphalées, pharyngite,
conjonctivite) la courbe thermique dessine la classique V grippal qui indique la
reprise de la fièvre après un intervalle de
rémission.
grippe maligne : peut entraîner IRA avec oedè􀅵e aigu grave.
grippe compliquée : facteur aggravant des pathologies préexistantes cardiaques,
respiratoires, rénales ou surinfection à Cocci Gram (-) et hæmophilus influenzae .
PS! Le virus A est le plus virulent( les autres sont plus bénins)
Diagnostic isolement du virus, culture cellulaire, détection d'Ag (ELIZA, IF), RT-PCR.
sérologie(- - -)
Trt Amtidine et Rimantadine(agissent sur M2 donc Virus A seulement), inhibiteurs de
la neuraminidase
,symptomatique par antipyrétiques ( aspirine, paracétamol), antibiothérapie si
surinfection, antitussifs (anti toux).
Vaccin virus inactivé 2 types: vaccins fragmentés, vaccins sous unitaires Contient 2
souches de virus A ( H1N1, H3N2)
et une souche de virus B.
Paramyxoviridae :

Virus ubiquitaires les plus causants des épidémies saisonnières à transmission respiratoire par
contact interhumain direct, programme de l'éradication par l'OMS. Il y'a 2 sous familles :
Paramyxovirinae et Pneumovirinae.
Ce sont des virus à ARNsb, capside hélicoïdale, enveloppés, GPm: gpG , protéine M
(membrane), gp H (hémagglutinine),
gpN (neuaraminidase) qui détruit la liaison entre l'acide scialique de l'hémagglutinine et son
récepteur, gp F( permet la
fusion et l'hémolysine (nécessite PH neutre). Tous ces virus sont doués de propriété
hémagglutination et d'hémabsorption sauf RVS.
Virus Métapneumov V parainfluenza V de la rougeole v. ourlien ou v. des
respiratoire irus humain humain PIV l’oreillons
syncyciale (hMPV)
Caractèr posséde gp G et 2 génotypes A ARN à polarité virus morbilleux virus à ARN SB non
es F seulement et B (-) non (measles virus), segmenté, tropisme
virologi (pas de gp H et segmenté(6-7 possède gp H, F, extra respiratoire
ques gp N). gènes), capside classé (glandes exocrines et
hélicoïdale, génétiquement en 8 méninges),
gpHN + gpF, 4 classes (de A à H), pléiomorphique,
génoypes PIV virus fragile, peu de aspect
1,2,3,4 variations sphérique à forme
génétiques + il filamenteuse.
présente un seul
sérotype.
Clinique Donne responsables un sd pseudo- virose généralisée se Responsable de
des des infections grippal. manifeste par l'oreillon (une
bronchiolites saisonnières éruptions inflammation des
chez l'enfant à (hiver):brochio morbiliformes ou glandes salivaires
transmission lites, sd exanthème avec ( parotidite) avec
interhumaine grippal. fièvre et 2 signes rougeur du canal de
par aérosol ou particuliers, catarrhe Stenon) fièvre,
contact avec oculo-nasal : nausées,vomissemen
particules larmoiement et ts. Mais aussi les
infectées. hypersécrétion des autres glandes
Infection voies respiratoires, peuvent être
favorisée par laryngite, toux atteintes :
l'humidité et le rauque et pancréatite,
froid. bronchite. Et thyroïdite, orchite,
l'énanthème ovarite, mastite ainsi
de la rougeole (signe des méningites.il est
de Koplick): petits transmis par la
points blancs <<de salive+ voie digestive
grains de semoule>> + aérienne.
sur la muqueuse des
joues.
Complications
neurologiques :
encéphalites,
panencéphalite
postinfectieuse
subaiguë sclérosante
(PESS) à inclusions.
Diagnos Des images par détection surtout clinique, basé après
tic syncyciales d'Ag(IF+++), sérologie, chez ID Dg prélèvement (salive,
observées dans isolement et directIF après urine, LCR, sang) sut
les cellules hémabsorption. prélèvement l'isolement du virus
infectées ( rhinopharynx, LBA) et culture
ou culture, PCR. cellulaire(ECP par
effet
sycycial ), IF et IP, RT-
PCR, séologie ELISA.
Trt Ribavirine en Prévention : Vaccination : ROR
aérosol. vaccination agent vivant atténué
ROR(rougeole, donc contre indiquée
oreillon, rubéole) chez la femme
enceinte

Diagnostic virologique :

La mission d’un -Le diagnostic par isolement des virus et leur identification (grippe,
laboratoire de entérovirus)
virologie -Suivre l’évolution biologique de l’infection
-Prévenir la transmission des virus par les produits biologiques et le don
d’organes (HIV, HCV)
-Apprécier l’état immunitaire d’un individu ou d’une population (rubéole,
hépatites)

. Diagnostic direct: détection du virus lui-même ou un de ses composants


(génome, antigènes)

Il existe 02 méthodes:

. Diagnostic indirect: m.e.e de la réaction immunitaire spécifique contre le


virus (anticorps Ac)

DIAGNOSTIC DIRECt
•Virus: parasitisme intracellulaire obligatoire

•Isolement nécessite des cellules vivantes (in vitro, animal sensible (cobaye), oeuf de poule
embryonné)

les prélèvement

Sang virémie: plusieurs virus •Les virus sont fragiles, sont


Selles entérovirus, virus polio, présents dans des cellules
rotavirus infectées, fragiles (risque de lyse
Prélèvemnts réspiratoires écouvillonnage nasal, aspiration et de mort)
bronchique, lavage broncho- •Plusieurs éléments
alvéolaire conditionnent la réussite d’un
Paramyxovirus, adénovirus isolement par culture; le
Urines CMV , rubéole prélèvement doit être bien fait
Prélvmnts cutanés Vésicules (HSV, VZV) dans de bonnes conditions et en
LCR HSV quantité suffisante
Prlvmnt oculaire par écouvillonnage conjonctival, •Le transport vers le labo, doit
conjonctivite (adénovirus), être rapide <1 h
kératite (HSV, VZV) •Sinon conservation à
Liquide aminiotique CMV , VZV +4°qqheures (glacière et icebox)
•Ou à -80°> 36 heures
•règles de sécurité +++
•+/-traitement pour
décontamination

I/ Isolement du virus

Isolement sur culture cellulaire Inoculation à Isolement sur œuf de


animal sensible poule embryoné
Systèmes de cellules vivantes cultivées in vitro -inoculation à un •Virus de la grippe
•Chaque virus a un tropisme cellulaire propre animal sensible •Inoculation du
•Pas de système cellulaire universel •Certains virus ne prélèvement à des
•Production de modifications morphologiques ECP peuvent être isolés oeufs embryonnées de
•Aspect de l’ECP est évocateur de tel ou tel virus que sur animaux 8 à 11j au n°de la cavité
Ballonisation Arrondissement Formation •la multiplication amniotique ou
des cel avec de syntitia du virus chez allantoïque.
inculsions cytopl l’animal pathologie •Recueil du liquide
refoulant le noy définie après 72 h et détection
vers la périph •Exemple: par une
HSV Entérovirus v. de la coxsackievirus A Rtd’hémagglutination
rougeole injecté chez des •Virus grippe
ECP diagnostic d’orientation souriceaux nnés (hémagglutinines) + GR
2/ La confirmationfait appel à des méthodes paralysie + mort hémadsorption
immunologiques: •Intérêt: production des
•IF ou ELISA: par des Ac monoclonaux spécifiques vaccins
•Séroneutralisation avec des antisérums: >
inhibition de l’ECP virus
cytopatogène

>inhibition de l’
l’hémagglutination(. Vhémmagglutinants)

3/ obesrvation de cultures cellulaires :


Cel de Cel de culture Lignées
culture secondaire continues
primaire
1ers à partir de tissus cellules
éléments embryonnaires hétéroploïdes
cellulaires humains transformées
cultivés in (poumon) immortalisées
vitro à partir (Vero, Mdck)
de tissus ou obtenues de
rein de tissus
singe, cancéreux (Hep
cornée de 2, Hela)
lapin

Isolement : tech Avantage : •m.e.evirus Inconvénients :•Qualité du pvt (transport


laborieuse et permet leur étude et conservation )
fastidieuse •Sensibilité ++++ 1 à 10 •Technique longue et couteuse
puissance 2 virions •Virus: pas d’ECP
•Virus non cultivable

II/ détection des Ag •Directement dans le prélèvement grâce à des Ac monoclonaux spécifiques
viraux •Le principe: virus (pvt) + Ac spécifique Rt
•Méthodes:
>Immunofluorescence
>ELISA
>Agglutination: +++ rapidité exp: rotavirus dans les selles
>Immunofluorescence

III/ recherche •Pvts: sang, LCR, liquide Hybridation


de génome viral amniotique •Principe: complémentarité entre les bases
•Principe: m.e.e du matériel nucléotidiques des Ac nucléiques
génétique ADN ou ARN •Utilisation de séquences nucléotidiques
•Techniques de biologie ( complémentaires à des séquences connues et
moléculaire: quantitative, stables du virus recherché), marquées
qualitative (chimique, Rx actif) = sonde
•02 technique: hybridation et •Matériel génétique du virus étudié + sonde:
amplification résultat positif Radioactivité ou révélation
chimique
Amplification
•Inconvénient majeur: la •PCR(polymérase chaine reaction) ou réaction
contamination faux + de polymérisation en chaine, est la plus utilisée
•Avantages: -sensibilité < 10 •Extraction de l’ADN ou de l’ARN viral
copies -rapidité •Amplification c.a.d production de plusieurs
copies du génome
•+ bases + enzymes
•Révélation par électrophorèse en gel
d’agarose

IV/ Microscopie •Moyen de diagnostic possible


électronique •Morphologie du virus par image caractéristique
•Exp: rotavirus ( forme de roue)

coronavirus (forme de couronne)


•+++ nouveaux virus
DIAGNOSTIC INDIRECT :

Diagnostic indirect
Rechercher le témoin de l’infection virale , les Ac Le diagnostic sérologiquepermet de:
antiviraux spécifiques
•+++ dans certaines infections: HIV, HBV, HCV, •Confirmer une infection récente
rubéole •Témoigner d’une infection ancienne (rubéole, hépatite A)
•Rechercher les AC dans le sang++++, parfois •Témoigner d’un titre vaccinal protecteur (hépatite B)
autres compartiments (LCR, liquide articulaire) •Prouver que le sujet est porteur du virus (HIV) ou est
•Les Ac: IgG ++++, parfois IgM(primoinfection susceptible de présenter des récurrences (CMV, EBV, HSV)
rubéole), rarement IgA(EBV)

Prélèvements de sang en tube sec et tube gélosé


utilisés pour la sérologie: le sang est centrifugé
et les sérums sont gardés puis utilisés pour les
différents tests sérologiques.
Techniques
ELISA Ac (sérum du patient) –molécule (complémentaire)*enzyme +
substrat de l’enzyme virage colorimétrique mesurée DO
Principe de la réaction ELISA
•Formation d’un complexeantigène-anticorps-Sérum
supposécontenir les anticorps recherchés-Antigène (réactif
commercial) adsorbésur unsupport plastique(plaque 96 puits)

Détection du complexe antigène-anticorpspar fixation d’un


anticorps anti-immunoglobuline humainemarqué (réactif
commercial)-par une enzyme(méthode immuno-
enzymatique)-par une molécule fluorescente(immuno-
fluorescence)
Aspect d’une plaque de réaction ELISAen fin de manipulation :
les puits fortement colorés correspondent à des sérums
positifs pour la réaction ELISA. La lecture automatisée des
densités optiques est réalisée sur un spectrophotomètre.

Immunofluorescence m.e.e du complexe (Ac-Ag) par des Ig humaines * par un


fluorochrome fluorescein
Inhibition d’hémaglutination : pour les virus possédant une hémagglutinine

Principe: inhiber une fonction propre du virus


( hémagglutination)
Ag (utilisé) + sérum du patient + GR:
Réaction -: Ag-GR: hémagglutination
Réaction +: Ag-Ac-GR: sédimentation
Neutralisaton de l’ECP pour virus lytique Principe:
>Culture en cellules in vitro + sérum du patient
>ECP + Rt -absence d’Ac
>ECP-Rt + présence d’Ac
•Réaction de fixation du complément
•Technique radioimmunologique par procédé radioactif actif: délaissée
•Immunoblot: ELISA sur membrane
•Il existe des tests rapides

Bandelettes de western blot en fin de réaction :une bande colorée apparait lorsque le sérum testé contient des
anticorps reconnaissant l'antigène adsorbé à cet endroit-là sur la bandelette.
Test sérologique HIV-1 et –2 rapide

Comment choisir une technique Comment interpréter une sérologie?


sérologique?
•Délai d’apparition des anticorps (variable
•Simple et reproductible /virus)
•Fiable •État immunitaire du sujet (immunodéprimé,
•cout↘ nouveau-né)
•Sensibilité↗ faux -↘ •Interprétation:
•spécificité↗ faux +↘ 02 sérums: précoce (début des signes
cliniques) et tardif ( 15 à 20j )
Séroconversion ou ascension significative du
taux d’Anticorps
IgM+++ parfois indicateur de primoinfection
contre le virus (anticorps Ac)

Source : résumé Miriami

Réorganisation : Lamia Bouziane

S-ar putea să vă placă și