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- ce înseamnă arhitectură peisageră 1.

1 definitie;

1.2. istoric

- ce utilitate are în dezvoltarea urbană contemporană atât dpdv funcțional, calitativ, ecologic, estetic-
importanță

-Necesitatea ei în România – reglementarea titlului de arhitect peisagist, lipsa comunicării între


arhitectură și peisagistică -> arhitectur care rezolvă toate problemele, chiar dacă nu e specializat în așa
ceva.

- stabilirea unui cadru legislativ/normativ/includere în p.u.g. – comparație ro cu eu – exemple de


dezvoltări haotice și de ce s-ar impune reglementarea lor.

-> necesitatea de a aborda interdisciplinar cu specialiști – ce înseamnă arhitectura peisageră –


denumirea nu este bine atribuită deoarece în românia peisagistica nu are treabă cu arhitectura –
abordare transdisciplinară de la nivelul formării până la a se regăsi în activitatea curentă de proiectare.

- colaborarea dintre arhitect și arhitect peisager – învățământul de specialitate, necesitatea ca în fiecare


birou să existe preocuparea pentru abordarea temei respective în legătură cu proiectele

- direcții internaționale de dezvoltare și abordare a arhitecturii peisagere în raport cu arhitectura.

- exemple de școli și de curente

- politici verzi de promovare – încălzire globală, reciclare și reducerea gradului de poluare

- școala viitorului – arhitectură peisageră în românia și în general

https://www.google.com/search?q=Landscape+of+the+future
%3A+the+future+of+landscape+architecture+education&oq=Landscape+of+the+future
%3A+the+future+of+landscape+architecture+education&aqs=chrome..69i57j69i60l2.699j0j7&sourceid=
chrome&ie=UTF-8

- dialog între arhitectură și arhitectură peisageră – amenajări urbane, acoperișuri/fațade verzi

Linkuri utile:

1. https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/architecture-paysagere
2. https://data.bnf.fr/fr/11937205/architecture_du_paysage
3. https://labexitem.hypotheses.org/500
4. https://db0nus869y26v.cloudfront.net/fr/Architecture
(architecture) : définition de (architecture) et …
dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/(architecture)/fr-f
5. https://livre.fnac.com/n328/Art-Cinema-Musique/Architecture-Architect
Paysages et Jardins - Architecture, Architectes - Livre
6. https://journals.openedition.org/craup
Les Cahiers de la recherche architecturale urbaine et ...

7. https://www.persee.fr/doc/xvii_0291-3798_2000_num_51_1_1519
8. www.gardenconcept.be/accueil/bureau-d-etudes/parcours
Atelier du paysage Laurent Joly-Architecte …Translate this page
9.

1.1 Les architectes paysagistes d'aujourd'hui ont habituellement affaire à du terrain qui a déjà été
modifié par une intervention humaine. Alors que les espaces ruraux et les aires de nature
sauvage diminuent et que les pressions concernant le développement augmentent, beaucoup
de projets nécessitent leurs compétences uniques en conception et leur expertise dans la
restauration de forêts, de champs, de marécages endommagés et de terrains à usage industriel
contaminés et abandonnés (friches industrielles), et dans la nouvelle conception et
l'intensification des espaces urbains qui sont insuffisamment utilisés. Comme de plus en plus de
gens vivent dans les villes ou près des villes, les architectes paysagistes s'intéressent de plus en
plus à la qualité de la vie urbaine et aux façons dont les municipalités développent et gèrent
leurs espaces ouverts.
Pour compenser l'insuffisance des parcs municipaux, on aménage également des terrains
d'agrément commerciaux (dont les concepteurs sont inconnus), ouverts au public, avec
toutefois des frais d'entrée dans certains cas.
L'augmentation et l'enrichissement de la population accentuent aussi les besoins en nouveaux
logements, en lieux récréatifs et en institutions d'enseignement. On construit des nouvelles
villes et on ajoute des quartiers autour de plusieurs des principales agglomérations.
Des architectes paysagistes contribuent à la préservation de paysages uniques ayant une portée
culturelle et à leur mise en valeur sous forme de parcs nationaux ou provinciaux
Dans plusieurs de ces cas, on mise davantage sur l'analyse écologique, visuelle et sociale pour
favoriser un processus décisionnel plus cohérent, grâce à une relation de travail plus étroite
entre les spécialistes des sciences physique et sociale d'une part, et les architectes paysagistes
d'autre part. Des réalisations comme celles-ci contribuent à faire connaître les spécialistes de
cette profession au pays même et à l'étranger ainsi qu'à diversifier leur travail.
De nos jours, alors que la société devient de plus en plus urbaine et qu'elle demande de plus en
plus de ressources limitées, les architectes paysagistes s'efforcent de trouver des solutions
novatrices et éclairées aux problèmes environnementaux et culturels. Les étudiants et les
professeurs des cinq programmes canadiens en architecture paysagère, au même titre que les
membres praticiens de la profession, continuent à chercher de nouvelles façons de créer une
architecture paysagère appropriée aux situations contemporaines.
3.1Le territoire, un paysage, une architecture
L’étymologie du terme paysage désigne simultanément le territoire et la description de sa
perception visuelle. Par volonté d’ancrer l’étude des bâtiments de montagne dans une lecture
territoriale, la considération du paysage est devenue une évidence. Au-delà de la rencontre
entre une personne et la contemplation d’une fraction de territoire ou de la représentation
issues de l’interprétation d’un individu, il a été choisi de considérer le paysage dans sa
dimension perceptive (Berque, 2000 [1990] ; Jakob, 2008 ; Le Breton, 2012) pour développer le
long de l’accès et dans l’architecture, l’objectivité et la subjectivité qui lie l’homme et la nature,
dans le but de sensibiliser les alpinistes à leur milieu d’évolution. C’est pourquoi nous nous
sommes intéressés à la marche comme moyen élémentaire de parcours de la montagne mais
également excellent révélateur de sensations.
1.2 L'expression « architecture paysagère » apparaît pour la première fois sous forme écrite dans le
titre d'un livre de Gilbert Laing Meason paru en Écosse en 1828. Puis, Frederick Law Olmsted et
Calvert Vaux sont les premiers à utiliser le titre professionnel « architecte paysagiste » lorsqu'ils
exposent leur plan Greensward pour l'aménagement de Central Park à New York en 1858.
Les Français sont les premiers Européens à concevoir des ouvrages en sol canadien. En 1604,
Samuel de CHAMPLAIN fait des projets pour la colonie de courte durée de l'Île Sainte-Croix
(désormais l'île Dochet) en ACADIE. Ces plans prévoyaient divers bâtiments et jardins autour
d'une place publique.
À Toronto en 1844, John Howard, originaire d'Angleterre, dessine les plans de l'édifice Osgoode
Hall appartenant à la Law Society of Upper Canada et ceux du nouveau cimetière de l'église
anglicane. Pendant les années 1850, William Mundie et George Laing, deux Écossais ayant
immigré à Hamilton, dans le Canada-Ouest, se font connaître partout dans la région pour leurs
compétences en tant que jardiniers paysagistes. Le carnet de commandes de Mundie comprend
plusieurs grandes serres, les terrains du parc universitaire, de l'école normale et de l'école
modèle à Toronto de même qu'une partie du cimetière de St. Catharine et les alentours du
monument Brock à Queenston. Quant à Laing, il aménage notamment les terrains du château
Dundurn à Hamilton et le domaine Woodend à Ancaster.
Dans beaucoup d'établissements publics, on cherche à atteindre l'autosuffisance en faisant
cultiver les terrains par les pensionnaires pour les nourrir. Dès 1835, le pénitencier du
gouvernement provincial ontarien à Kingston possède son propre verger. À la fin des années
1850, pendant que Olmsted et Vaux vantent l'effet thérapeutique des parcs sur les mœurs des
citadins, quelques médecins préconisent le recours à ces genres de parcs pour calmer et soigner
les malades mentaux. Les deux idées font du chemin. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe
siècle, les plans des hôpitaux psychiatriques canadiens prévoient souvent des terrains
d'athlétisme et un paysage ornemental soigneusement conçu, en plus de jardins, vergers et
champs cultivés.
Les années 1900 à 1920
Les années 1930 à 1940
Les années 1950 et 1960 Les années 1960 marquent une période d'essor pour le Canada et pour
cette profession. EXPO 67 à Montréal est sans doute la principale réalisation de cette décennie.
Le plan directeur de l'ensemble du site est préparé par l'agence Project Planning Associates Ltd.
et les architectes paysagistes de divers cabinets fournissent une bonne partie des plans, du
soutien technique et de la coordination pour cette exposition en plus d'aménager le terrain
environnant des pavillons. La mise à contribution d'un aussi grand nombre d'agences donne à la
profession de l'ampleur et un nouvel élan. La planification de la Place Ontario à Toronto
constitue également un ouvrage majeur d'aménagement paysager de l'époque.
Les années 1970 et 1980
Durant les années 1970, on cherche à fournir aux citadins des espaces verts à des fins
récréatives. On crée alors le parc provincial de Fish Creek (terminé en 1985) qui couvre une
superficie de plus de 3000 acres dans une zone alors située dans les faubourgs de Calgary,
pourtant desservie par les transports en commun. C'est le premier parc provincial qui se trouve
à l'intérieur d'une ville. La principale agence de consultants sur ce projet, tant pour le rapport
consultatif des citoyens (1974) que pour le plan directeur (1976), s'appelle Lombard North
Group. Le parc provincial Bronte Creek, dont le cabinet Project Planning Associates Limited
entreprend en 1972 l'élaboration du plan directeur et du programme d'activités, est le premier
parc provincial ontarien dans un voisinage urbain. Il est conçu dans le but précis d'inciter les
habitants des quartiers défavorisés de Toronto et de Hamilton à s'adonner aux sports et aux
loisirs dans un cadre naturel. Ce site devait lui aussi être accessible par les transports en
commun, un objectif n'ayant jamais été atteint.
Durant les années 1980, la reconstruction urbaine et l'aménagement de sites récréatifs majeurs
acquièrent une grande importance. On crée ainsi des sites de compétitions nationales et
internationales qui attirent de nombreux participants. Le réaménagement de quartiers et la
densification de la population résidante visent à résoudre les problèmes relatifs à la qualité de
vie et au développement durable. De nombreuses études portent alors sur la création d'espaces
verts en milieu urbain. L'étude des routes commémoratives pour le compte de la Commission de
la capitale nationale propose un trajet destiné aux activités d'envergure nationale à Ottawa-Hull
et des mesures en vue d'embellir le panorama le long des routes. Cependant, on y expose
surtout des lignes directrices pour préserver les points de vue et les panoramas actuels aux
alentours du Parlement et des suggestions visant à protéger la végétation dans un contexte
urbain stressant.
On procède aussi à la remise en valeur du bord de mer dans plusieurs villes du pays, notamment
l'île Granville à Vancouver et le quartier riverain à Halifax. Parallèlement, dans beaucoup de
localités, on aménage ce qu'on appelle des « corridors verts » à partir de ravins, d'emprises
désaffectées et d'autres tracés linéaires afin de relier les espaces verts fragmentés et de
composer un réseau de parcs étendu. Il en résulte des espaces naturels où les gens peuvent
déambuler plus librement parmi le paysage urbain. Mentionnons à ce chapitre la Ceinture verte
de la capitale nationale à Ottawa, le parc provincial de Fish Creek à Calgary, la vallée de
Meewasin à Saskatoon et, plus récemment, le Waterfront Trail en Ontario.
On réaménage également des parcs plus petits et des zones réservées à l'intérieur des grands
parcs, en appliquant les concepts contemporains, en améliorant les moyens de connexion
urbaine et en utilisant des nouveaux matériaux. C'est le cas entre autres du parc Ambleside
Landing à Vancouver Ouest, conçu par l'agence Durante and Partners, qui se distingue par une
œuvre d'art environnementale, « Granite Assemblage » de Don Vaughan (travaux terminés en
1990), de la promenade Victoria à Edmonton (Carlyle Landscape Architecture and Urban Design,
travaux réalisés de 1988 à 1990) et du parc Bay-Adelaide à Toronto (Baird, Sampson, architectes,
Milus Bollenberghe, Topps, Watchorn, architectes paysagistes, 1990). Citons aussi le village de
Yorkville Park à Toronto (Oleson, Worland, architectes, Schwartz/Smith/Meyer Inc. et Chip
Sullivan, architectes paysagistes, projet réalisé en 1991-1993), le MUSÉE DES BEAUX-ARTS DU
CANADA (Cornelia Hahn Oberlander, architecte paysagiste, 1984-1989), la Place Berri à
Montréal (Peter Jacobs, architecte et architecte paysagiste et Philippe Poullaouec-Gonidec,
architecte paysagiste, 1989), de même que les jardins du CENTRE CANADIEN D'ARCHITECTURE à
Montréal (Melvin CHARNEY, artiste et architecte, Gerrard and Mackars, architectes paysagistes
consultants, aménagés en 1988-1990).
Espaces urbains et endroits abandonnés
Depuis le début des années 1990, on assiste à une renaissance sur le plan de l'architecture
paysagère contemporaine internationale, qui se concentre particulièrement sur des espaces
publics oubliés et insuffisamment utilisés jusque-là, tels que les espaces urbains inoccupés, les
zones désaffectées postindustrielles et les corridors de chemins de fer abandonnés. Cet intérêt,
fondé sur la compréhension du fait que ces espaces sont vitaux au domaine public, se poursuit
au début du nouveau millénaire. « Groundswell », une exposition importante mise sur pied en
2005 au Museum of Modern Art à New York, fournit des exemples à l'échelle internationale de
paysages récemment réaménagés.
On compte parmi les nouveaux espaces urbains ou les espaces urbains perfectionnés, le
Richmond City Hall en Colombie-Britannique, terminé en 2000 par Phillips Farevaag Smallenberg
de Vancouver, et le Dundas Square à Toronto, dont les travaux, effectués par les Brown and
Storey Architects de Toronto, prennent fin en 2003. Le premier, conçu pour donner à cette
banlieue de Vancouver une identité urbaine, fait appel à une forme d'île et à une chute d'eau
pour symboliser la situation géographique de Richmond dans le fleuve Fraser; des bermes,
représentant des digues, permettent de faire écran aux aires de service et aux stationnements;
et des masses d'azalées décoratives exotiques célèbrent la grande population d'Asiatiques dans
la ville. Le second espace urbain remplace un quartier d'édifices délabrés au cœur du centre-ville
de Toronto par une place publique à surface dure située sur un garage à étages. Dirigé par la
ville au moyen d'un conseil de gestion, l'espace comprend des kiosques de billets et reçoit de
nombreux événements communautaires et commerciaux, notamment des spectacles, des
représentations de films, des expositions et des marchés.
La sauvegarde, la restauration et la réhabilitation du paysage
Le Protocole de Kyoto, ouvert aux fins de signature en 1997, place au premier rang les
problèmes liés au changement climatique et insiste sur la compréhension des questions
environnementales à une échelle mondiale. Dans le domaine de l'architecture paysagère, il
ravive les préoccupations historiques de la profession, renforce l'importance de la résolution de
problèmes et des approches multidisciplinaires et fait participer les spécialistes canadiens à un
éventail de projets stimulants.
Autour des Grands Lacs, la Commission mixte internationale, en se concentrant sur la qualité de
l'eau, élabore des plan d'assainissement pour 43 sites. Depuis, de nombreuses firmes
spécialisées dans l'architecture paysagère au Canada apportent leur expertise dans la
reconstruction de marécages côtiers, ainsi que dans la conservation et la reconstruction
d'habitats fauniques.
La mondialisation
La mondialisation a des répercussions majeures sur la profession. On assiste à une pollinisation
croisée d'idées; les architectes paysagistes canadiens travaillent dans le cadre de concours de
design internationaux et enseignent dans le monde entier. De plus, le nombre d'architectes
paysagistes canadiens qui mènent des projets internationaux augmente de façon spectaculaire.
Dans les années 1990 sur la côte est de la Barbade, Urban Strategies Inc. de Toronto dirige une
équipe composée de consultants de la Grande-Bretagne, des Caraïbes et du Canada dans la
planification du nouveau parc national de la Barbade. L'équipe entreprend une étude complète
sur le plan de la biophysique, du paysage, de l'utilisation du sol, de la culture et de l'économie de
la région. Elle détermine les limites appropriées et les utilisations des sols pour le parc et
élabore un plan d'aménagement, des directives opérationnelles et de gestion et un plan de
recouvrement des coûts. Urban Strategies est également le principal consultant dans le cadre
d'un consortium de développement multinational pour la régénération de Silvertown Quays - le
dernier grand emplacement situé dans le district Royal Docks de Londres.
Williams, Asselin, Ackaoui et associés de Montréal conçoivent en 2000 et en 2001
respectivement, deux nouveaux parcs à Shanghai en Chine : les parcs Xu Jia Hui et Yan An Zhong
Lu. Les deux parcs regroupent des opérations de rénovation urbaine importantes, ajoutent un
espace vert indispensable et embellissent et accroissent l'équilibre écologique de la grande ville.
La théorie, la recherche et l'enseignement
En plus d'une énergie créatrice renouvelée, la profession connaît un intérêt accru envers la
théorie relative à l'architecture paysagère. Les membres des programmes en architecture
paysagère des facultés canadiennes participent au travail théorique; l'urbanisme du paysage est
un sujet brûlant.
La recherche devient un volet important de la profession, à la fois dans les universités et les
bureaux privés. Mentionnons parmi les domaines d'études, les méthodologies de conception,
les préférences et les structures sociales, les systèmes urbains et l'art urbain, la conception des
services communautaires, les préférences visuelles, l'histoire du paysagisme, l'écologie
appliquée et la restauration du paysage, les applications sur ordinateur, les environnements
destinés aux enfants et l'évaluation après construction. De telles recherches conduisent à une
compréhension approfondie de la façon de concevoir des paysages contemporains pour une
durabilité, une utilité et un charme accrus.
Les membres de la faculté d'architecture paysagère de l'Université de Toronto mettent sur pied
le Centre for Landscape Research (CLR) en 1987 pour accroître la visibilité du programme et de
leurs travaux de recherche. Certains des travaux de recherche menés par le CLR, notamment
plusieurs projets pour la Commission de la capitale nationale et la ville d'Ottawa, sont effectués
en collaboration avec des bureaux privés.
La faculté d'architecture paysagère de l'Université de la Colombie-Britannique, par le biais de
son Design Centre for Sustainability, travaille avec de petites communautés, banlieues et villes
dans le but d'établir davantage de plans directeurs d'agglomération officiels et durables, de
règlements sur le lotissement des biens-fonds et de réseaux d'espaces libres. Des groupes
semblables œuvrant dans les universités partout au pays explorent les questions liées aux
systèmes de paysagement, à l'écologie urbaine et à l'éducation.
Conclusion
Les Autochtones sont les premiers à modifier la terre pour leurs propres besoins. La
modification augmente de façon nette avec l'arrivée des colons provenant des pays européens.
Bien que quelques concepteurs-paysagistes travaillent au Canada au cours du XIXe siècle et au
début du XXe siècle, ce n'est pas avant 1934 qu'on fonde une association professionnelle -
l'Association des architectes paysagistes du Canada d'aujourd'hui.
Lecture supplémentaire
S. Cantor, Contemporary Trends in Landscape Architecture (1997);
M. Hough, City Form and Natural Process: Towards a New Urban Vernacular (1995 rev edn);
M. Laurie, An Introduction to Landscape Architecture (1986);
C. Paine, ed, Fifty Years of Landscape Architecture:
The Canadian Society of Landscape Architects, 1934-1984 (1998).

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