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Dissertation de l’audit

Les entreprises, les organisations au travers de leurs activités, sont en permanence confrontées à l'amélioration
de leurs performances dans un environnement qu'elles souhaitent sécuriser. Cette amélioration est de plus en plus
recherchée au travers d'une décentralisation de la prise de décisions pour en assurer la pertinence et la mise en
œuvre rapide. Dans ces conditions, le chef d'entreprise, le dirigeant est naturellement amené à s'interroger sur la
maîtrise du fonctionnement de l'organisation, par lui-même et ses collaborateurs.

Ainsi, les entreprises sont amenées à produire un certain nombre d’informations répondant aux diverses
préoccupations qu’elle suscite. (Comme il ne sert à rien de disposer d’informations dont la qualité est douteuse
on ne peut dissocier l’obligation de produire des informations de la nécessité de garantir leur qualité, tel est le
rôle de l’auditeur).

La fonction d'audit donne à cet égard l'assurance raisonnable que les opérations menées, les décisions prises sont
`'sous contrôle`' et qu'elles contribuent donc aux objectifs de l'entreprise en prenant appui sur les procédures, les
lois, et les règles de la profession. Et si tel n'était pas le cas, elle apporterait des recommandations pour y
remédier. Pour ce faire l'audit évalue le niveau du contrôle, c'est-à-dire la capacité des organisations à atteindre
efficacement les objectifs qui leur sont assignés et à maîtriser les risques inhérents à leur activité. C'est donc une
fonction éminemment utile aux dirigeants, quel que soit leur niveau de responsabilité, ce qui explique son
développement au cours des deux dernières décennies avec une extension de son champ d'action sur l'efficacité
et la performance au-delà de la simple conformité.

Par ailleurs, il faut savoir que pour réaliser une mission d'audit il faut bien connaître les finalités de l'audit, savoir
ses différentes phases et démarche, maîtriser les différents outils et parvenir à s'organiser correctement pour sa
réussite.

Alors, quels sont les procédures, démarches de l’auditeur, sa responsabilité ainsi que les différents techniques et
outils utilisés par l’auditeur « du fait qu’ils sont des moyens de connaissance de l’activité de l’entité audité et de
détection des anomalies et d’analyse des problèmes », les types d’audit et les principaux domaines et la relation
entre ces derniers ?

I- Généralité sur la notion d’audit :


1- Concept et définition de l’audit :

L'audit est un métier et une fonction, désormais à part entière, dans un grand nombre d'entreprises et
d'organisations de par le monde.

- C'est une profession organisée ;


- C'est un outil structuré, au service d'une direction générale ou d'un
comité d'audit représentant les intérêts des actionnaires ;
- C'est une fonction de contrôle, au départ, qui s'oriente de plus en plus vers un rôle de généraliste et évolue
désormais vers celui de consulting.

Au même titre que d'autres professions ou fonctions voisines, souvent plus répandues ou mieux connues, telles
que le contrôle de gestion, l'organisation, le conseil économique; l'audit est un outil dont la vocation essentielle
est d'améliorer l'efficacité dans l'entreprise.

      L’audit est la procédure de contrôle de la comptabilité et de la gestion de l’entreprise. Cette définition peut
être étendue au- delà du contrôle de gestion de l’entreprise on peut, aussi, bien parler de l’audit des états
comptable que l’audit d’une machine ou d’une procédure de fabrication.
      Le contrôle des comptes d’une entreprise peut prendre plusieurs formes distinctes. Ma première distinction
porte sur le produit contrôlé : les comptes sociaux annuels, les comptes aux tiers ou la garantie des créances.
      La seconde distinction porte sur la nature de ce contrôle. Il peut s’agir d’un contrôle purement contractuel qui
vise à s’assurer que les opérations ont été correctement comptabilisées. Dans ce cas, le contrôle des comptes est
souvent appelé « révision comptable des comptes ».
      Mais il peut aussi s’agir du contrôle légale des comptes, c'est-à-dire du commissariat aux comptes,   qui obéit
à des normes d’audit très contraignantes destinées à offrir aux tiers une garantie sur   l’image fidèle des comptes.

2- Les normes d’audit :

La réalisation de toute mission d'audit, quels qu'en soient les objectifs, implique l'existence au préalable de règles
précises, formalisées, connues et acceptées des émetteurs et des récepteurs de l'information soumise à l'audit.
Malgré le caractère parfois général de la formulation de ces normes, il faut souligner leur caractère pratique et
opérationnel.

En effet, l'utilisation d'une méthode, de techniques et d'outils en matière d'audit ne peut être réellement efficace
et adaptée aux objectifs de l'audit que si l'auditeur a une idée claire des normes qu'il doit appliquer. Les normes
constituent à la fois une aide dans la mise en oeuvre des méthodes et techniques et un recours en cas de
difficultés dans le déroulement de la mission.

Les normes d'audit guident l'auditeur dans chacune des étapes du processus d'audit. Elles ont comme objectifs :
de définir les principes fondamentaux de la pratique de l'audit ; de fournir un cadre de référence pour la
réalisation et la promotion d'un large champ d’intervention d'audit à valeur ajoutée ; d'établir les critères
d'appréciation du fonctionnement de l'audit ; de favoriser l'amélioration des processus organisationnels et des
opérations.

Les normes facilitent et éliminent toute ambiguïté dans l'information entre son émetteur et son récepteur.
 
·        Emetteurs des comptes = dirigeants, comptables
Récepteurs des comptes = actionnaires, banquiers, tiers
 
·        L'activité de tout auditeur (interne ou externe) est basée sur deux ensembles de normes :
 
                 1) normes comptables (internationales, nationales, sectorielle,…)
                 2) normes d'audit

Les techniques et outils de l'audit doivent être appliqués dans le cadre des trois catégories de normes suivantes :
 
                 1) normes générales
                 2) normes de travail
                 3) normes de rapport
  Qui sont établit par : 
à organisme professionnel institué par un texte de loi ou réglementaire
 
à dans le cadre de normes internationales d'audit financier (IFAC)

I – LES NORMES GENERALES

Les normes générales sont personnelles par nature, elles concernent la compétence de l'auditeur, son
indépendance, la qualité de son travail le secret professionnel.

1- La norme de compétence

Les qualifications requises pour être un commissaire aux comptes sont définies par les textes. En outre, le
commissaire aux compte complète régulièrement et met à jours ses connaissances. Il s'assure également que ses
collaborateurs ont une compétence appropriée à la nature et à la complexité des travaux à réaliser.

2- La norme d'indépendance
La loi, les règlements et la déontologie, font une obligation à l'auditeur d'être et de paraître indépendant, c'est à
dire d'éviter toute situation qui pourrait faire présumer d'un manque d'indépendance. L'auditeur doit non
seulement conserver une attitude d'esprit indépendante lui permettant d'effectuer sa mission avec intégrité et
objectivité, mais aussi d'être libre de tout lien réel qui pourrait être interprété comme constituant une entrave à
cette intégrité et objectivité. Il s'assure également que ses collaborateurs respectent les règles d'indépendance.

3- La norme de la qualité du travail

L'auditeur exerce ses fonctions avec conscience professionnelle et avec la diligence permettant à ses travaux
d'atteindre un degré de qualité suffisant compatible avec son éthique et ses responsabilités. Il doit s'assurer que
ses collaborateurs respectent les mêmes critères de qualité dans l'exécution des travaux qui leur sont délégués.

4- La norme de secret professionnel

L'auditeur ou le commissaire aux comptes (CAC) est astreint au secret professionnel pour les faits, actes et
renseignements dont il a pu avoir connaissance à raison de ses fonctions. Il est tenu de respecter le caractère
confidentiel des informations recueillies qui ne doivent être divulguées à aucun tiers sans y être autorisation ou
une obligation légale ou professionnelle de le faire. Il s'assure également que ses collaborateurs sont conscients
des règles concernant le secret professionnel et les respectent.

NORMES DE TRAVAIL : Les normes de travail selon le manuel d’audit légal et contractuel, sont exposé sous
forme de 6 chapitres, allons de la certification jusqu’aux relations du commissaire aux comptes avec le conseil
d’administration et les dirigeants (orientation et planification de la mission).

      Orientation et Planification de la mission


à Plan de mission ou Note d'orientation
 
·        Appréciation du contrôle interne
 
·        Obtention des éléments probants
 
·        Délégation et Supervision
 
·        Documentation des travaux effectués
à Dossiers
 
·        Utilisation des travaux de contrôle effectués par d'autres personnes
 
·        Coordination des travaux entre co-CAC

LES NORMES DE RAPPORT : Dans l'ensemble que constituent les normes d'audit, la partie relative aux
rapports est par définition celle qui sera perçue le plus directement par les utilisateurs de l'information financière
externe.

 PPT : Le CAC certifie que les comptes annuels sont réguliers et sincères et donnent une image fidèle du
résultat des opérations de l'exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine de la
société.

3- Les techniques d’audit :

PPT : TECHNIQUES D'AUDIT


 
 Rappel : Les techniques d'audit doivent être appliquées dans le respect des normes d'audit.
 
 
·        Contrôles sur pièces
 
·        Contrôles de vraisemblance
 
·        Observation physique
 
·        Confirmation directe (Circularisation)
 
·        Examen analytique
 
·        Sondages
  

II- Responsabilité de l’auditeur et sa démarche/ outils et techniques utilisées :


1- Responsabilité de l’auditeur et sa démarche :

L'auditeur est un élément central du dispositif de transparence et de qualité des comptes. Cette responsabilité
accrue a bien sûr amené les entreprises, soit parce qu'elles y étaient obligées, soit pour s'assurer de la qualité
de leur process, à demander des travaux de plus en plus approfondis aux auditeurs.

La responsabilité du commissaire aux comptes :

Le commissaire aux comptes est nommé pour six ans, par l’Assemblée Générale Ordinaire de l’entreprise ou
l’organe délibérant de l’entité contrôlée. Une fois nommé, il peut à toute époque de l’année opérer toutes
vérifications qu’il juge opportunes. Il a donc un pouvoir permanent de contrôle mais n’est pas chargé d’un
contrôle permanent.

Son domaine d’intervention est fixé très précisément par le législateur par une liste des entités devant désigner
un commissaire aux comptes. Les entités soumises au contrôle d’un commissaire aux comptes le sont en raison
de leur forme (Sociétés par actions, anonyme ou en commandite.), soit en raison de leur importance (SARL..)soit
en raison de leur nature (associations recevant des dons ou subventions dépassant 150 000) La finalité de la
mission du commissaire aux comptes est de contribuer à la fiabilité de l’information financière et par la même de
concourir à la sécurité de la vie économique et sociale, tant pour les besoins de gestion et d’analyse interne à
l’entreprise que pour les besoins de l’ensemble des partenaires ou les tiers intéressé par celle ci. Pour former son
opinion sur les comptes, l’auditeur externe procède à un audit en appliquant les normes internationales. Ces
contrôles ne seraient être exhaustifs : ils sont faits par des sondages et sont fonction de l’évaluation faite par le
commissaire aux comptes de la qualité des systèmes comptables et des contrôles internes en vigueur dans
l’entreprise.

L’objectif de cet audit est d’obtenir l’assurance raisonnable que les comptes ne comportent pas d’anomalies
significatives. Donc on peut dire que finalement sa mission consiste à :
  certifier des comptes annuels et des comptes consolidés à la réalisation d’un audit ou vérification approfondie
des systèmes d’information de l’entreprise et des comptes qui en sont issus ;
  assurer des vérifications spécifiques portant sur le respect de certaines dispositions légales et sur des
informations diverses telles que les conventions réglementées, l’égalité entre actionnaires, le rapport de gestion,
les documents adressés aux actionnaires. ;
  présenter le rapport général par lequel il rend compte de sa mission à l’Assemblée Générale des actionnaires
et qui est déposé au greffe du tribunal de commerce. Dès lors le commissaire aux comptes engage lors de ses
missions sa responsabilité civile et pénale pour les fautes ou infractions commises à l’occasion de ses fonctions.
Pour cela nous verrons dans une première partie la responsabilité civile du commissaire aux comptes et dans une
seconde partie la responsabilité pénale du commissaire aux comptes.

La responsabilité civile du commissaire aux comptes :


Compte tenu de l’importance des missions confiées au commissaire aux comptes, il engage sa responsabilité
civile dès lors qu’il a commis une faute dans l’accomplissement de sa mission conformément à la loi ou qu’il a
manqué à toutes les diligences que l’on attendait de lui.

Les différentes fautes engageant la responsabilité civile du commissaire aux comptes :

.Nous venons de voir que cet auditeur externe a une obligation de moyens, cependant il peut avoir une obligation
de résultat en ce qui concerne la certification du montant global des rémunérations versées aux personnes les
mieux rémunérées, les rapports sur les conventions réglementées passées par le dirigeant et la société, la
vérification de l’application des règles relatives aux actions de garanties, le contrôle de la régularité des
modifications statutaires, la convocation des organes de direction et l’assemblée (si les dirigeants sont en état de
carence ou que la mission d’alerte l’implique), l’obligation d’informer ces organes d’irrégularités et
inexactitudes ou de faits délictueux ou de modifications dans la présentation des comptes et dans la méthode
d’évaluation.

PPT : RESPONSABILITES DU CAC


 
 
·        Obligation de moyens et non de résultat.
 
·        Responsabilité Civile
 
à art. 178 du Code de Commerce : le CAC engage sa responsabilité, même vis-à-vis des tiers, toutes les fois qu'il
a commis une faute de surveillance, sous réserve de la prescription quinquennale.
 
·        Responsabilité Pénale
 
·        Responsabilité Disciplinaire

La démarche de l’auditeur : ( voir polycope de al-hadiri )

PPT :DEMARCHE D'AUDIT
 
REM: La démarche de l'audit financier est toujours la même; il suffit d'adapter aux spécificités de chaque
mission.
 
·        L'audit n'est pas qu'un travail matériel de pointage; il intègre un aspect intellectuel essentiel :
compréhension de l'entreprise, de son système de contrôle interne et des options retenues pour l'établissement
des comptes
 
à il se dégage 3 phases principales dans la démarche de l'auditeur:
 
                 1) Acquisition d'une connaissance générale de l'entreprise
                 2) Evaluation du contrôle interne
                 3) Examen direct des comptes et des états financiers

III- Les domaines d’audit ou typologie :

L’audit comptable et financier :

 L’audit comptable :

Il consiste en l’évaluation de la fiabilité de l’information comptable et en la vérification de la sécurité


des procédures aboutissant à l’inscription dans les comptes.

Il vise à examiner le contenu des comptes pour:


 la sincérité des enregistrements;

 la bonne application des règles;

 leur aptitude à refléter l’image fidèle de l’entreprise.

 Définition de l’audit financier : (ppt)

L'audit financier est l'examen auquel procède un professionnel compétent et indépendant en vue
d'exprimer une opinion motivée sur la fidélité avec laquelle les états financiers d'une entité traduisent
sa situation à la date de clôture et ses résultats pour l'exercice considéré, en tenant compte du droit et
des usages du pays où l'entreprise a son siège.
 
2.1- Audit Financier Interne
 
·        réalisé par un professionnel interne à l'entité
·        difficulté d'indépendance à utilisation limitée
·        intérêt de l'audit interne autre que sur le plan financier : sécurité, efficacité, fiabilité de
l'information en interne, etc.
 
2.2- Audit Financier Externe
 
·        examen pratiqué par un professionnel externe à l'entité sur les comptes de laquelle l'opinion est
exprimée.
 
·        2 aspects distincts :
            1) audit contractuel (ponctuel, exceptionnel)
            2) audit légal (prescrit par la loi) = Commissariat aux Comptes : mission d'audit externe
conduisant à certifier que les comptes présentés répondent aux qualifications légales de régularité, de
sincérité et d'image fidèle.

Dans le cadre de l'audit comptable et financier, la réalité étant les informations produites par
l'entreprise, la norme étant les règles, les lois, les méthodes d'enregistrement et les instructions de la
direction générale.

En effet, l'audit comptable et financier s'intéresse aux actions ayant une incidence sur la préservation
du patrimoine, les saisies, les traitements comptables et l'information financière publiée par
l'entreprise.

 L’audit opérationnel :

L'audit opérationnel est une évaluation périodique, continue et indépendante de toutes les opérations
de l'organisation en vue d'aider les gestionnaires à améliorer le rendement de leurs unités
administratives et ce, par l'appréciation objective des opérations et la formulation des
recommandations appropriées.

Dans l'audit opérationnel, il s'agit d'auditer la réalité (les opérations) au lieu de l'image que la
comptabilité en donne. L'idée est donc d'auditer la réalité plutôt que la description comptable afin de
permettre à l'entreprise de pouvoir affronter la compétition avec les meilleurs atouts.
III – le risque de l’audit :

APPROCHE PAR LES RISQUES : PPT


 
·        Rappel de l'objectif de l'auditeur : exprimer une opinion motivée sur la régularité, la sincérité et
l'image fidèle des informations financières qui lui sont soumises.
 
 
·        Il ne peut toutefois procéder à un contrôle exhaustif de toutes les informations financières à il
met en oeuvre des moyens de contrôle qui lui permettent à la fois :
 
- de motiver son opinion
- d'obtenir la meilleure efficacité des moyens mis en oeuvre.
 
 
à Concentration des contrôles sur les zones ou postes à risque.

IV- Le seuil de signification :

SEUIL DE SIGNIFICATION : (PPT)


 
·        Définitions :
- C'est la mesure que peut faire l'auditeur du montant à partir duquel une erreur, une
inexactitude ou une omission peut affecter la régularité, la sincérité et l'image fidèle des
comptes annuels.
 
- C'est le montant à partir duquel le jugement d'un lecteur averti pourrait être modifié sur les
états financiers.
 
·        Utilité:
Il sert de guide à l'auditeur tout au long de sa mission pour :
- programmer la nature et l'étendue des sondages
- apprécier la gravité des anomalies éventuellement constatées.
 
·        Mode de calcul:
- Notion subjective qui relève du jugement de l'auditeur
- Pourcentage d'un élément de référence : bénéfice net, résultat courant hors éléments
exceptionnels, capitaux propres, chiffre d'affaires, etc.
Conclusion

Le rapport d'audit est considéré comme un moyen important dans la communication financière entre les
différents utilisateurs des états financiers.

En effet, la certitude que procure l'auditeur et l'obligation légale d'auditer les états financiers favorisent que ce
rapport joue un rôle primordial dans la garantie de régularité et la sincérité des états financiers.

En premier lieu, il est utilisé par les actionnaires et les dirigeants comme un indicateur sur l'efficacité et
l'efficience des décisions des dirigeants ainsi qu'entre les actionnaires et les créanciers, c'est dans ce cadre qu'on
parle de la demande de rapport de l'auditeur comme solution aux problèmes d'agence.

En deuxième lieu, le rapport d'audit peut être considéré l'un des principaux sources d'informations par les
banquiers lors de la décision d'octroyer un crédit malgré qu'il y a d'autres sources, qu'elles montrent les études
empiriques intéressantes de ce point d'intérêt, qui ont un grand pouvoir sur la décision du banquier, cependant,
lors de l'existence des réserves émises par l'auditeur externe, cette opinion peut être considéré très importante et
occupe ainsi le premier rang parmi les sources utilisées par le banquier pour prendre la décision exacte.

Certes, le rôle que joue le rapport de l'auditeur externe dans la résolution des conflits d'intérêts et l'aide à la
décision montre la place importante de l'opinion de l'auditeur chez les différents utilisateurs.

A cet égard, en cas d'existence d'une faute dans cette opinion causant des dommages à leur utilisateur, la loi peut
engager ainsi la responsabilité pénale et civile de l'auditeur externe s'il y a les conditions nécessaires.

C'set pour cette raison que l'auditeur externe suivre une démarche bien particulière dans la formulation de son
opinion afin de minimiser les risques possibles liés à l'exécution d'une telle mission.

Conclusion 2

L'audit a pour objectif d'effectuer des travaux rigoureux et systématiques afin d'étudier, de vérifier et
d'évaluer les différents cô tés de l'activité de l'entreprise. Ces exigences peuvent être appréhendées par
différents niveaux d'audit s'attachant chacun à une dimension de l'entreprise : l'audit comptable et
financier, l'audit interne...

L'un des aspects majeurs de l'audit concerne aussi bien la vérification des données financières, que la
régularité et la sincérité des comptes présentés par les dirigeants de l'entreprise.

En définitive, la transition du métier trouve son origine dans la conception même du rô le de l’auditeur, qui
peut s’envisager de deux façons : être le garant de la conformité par rapport aux normes comptables ou
bien tenter de répondre également aux demandes plus larges, exprimées par les utilisateurs des états, sur
des sujets que la normalisation ne couvre pas toujours parfaitement. Trouver un tel mode de
fonctionnement pour les auditeurs, qui fait appel à des connaissances plus spécifiques, offre de nouvelles
opportunités quant à la place de ce métier.

Les cabinets d'audit connaissent un développement vu les multitudes des services proposés ainsi que leur
effectif. Ce développement répond à des obligations légales accrues, exigées par l'Etat marocain et des
obligations manifestées par les entreprises pour répondre à des besoins spécifiques.

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