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La concentration molaire volumique (C) d’une solution est la quantité de matière (exprimée en moles) de soluté, dissoute par un litre

de solution. Elle s’exprime en moles par litre : mol.L-1

La concentration massique (Cm ) d’une solution est la masse de soluté dissoute par litre de solution. Comme pour la solubilité, elle s’exprime en g.L-1 pour les solides et les liquides.

Concentration Masse

Concentration molaire (C) Concentration massique (Cm) Nombre de mole (n) Volume (v) Masse (m) Masse volumique (ρ) Densité (d)

n m m n m m n gaz ×
n n m
m
m ρ mol
m m
m
n = masse volumique (g/L) d = densité
m m (il n’y a pas d’unité)

C = concentration molaire (mol/L) Cm = concentration massique (g/L) n = nombre de mole (mol) V = VSolution = volume de la solution (L) m = masse (L) M = Masse molaire (g/mol)

« à température et pression données, le volume occupé par une mole de gaz est indépendant de la nature du gaz . » c’est le volume molaire molaire
Dans les CNTP (Conditions normales de température C et de pression p=1013hPa ) : molaire =22,4 L.mol-1
o
Bien lire les données des énoncés. Dans les conditions habituelles d’un laboratoire à molaire .mol-

M. Florent OUEDRAOGO
Tel : (221) 706013169
E-mail : maths_florent@yahoo.fr
http://physiquechimie.ecoles.officelive.com
NEUTRALISATION ACIDE-BASE

L’équivalence acido-basique se traduit donc par les égalités suivantes : na nb signifie que a a b b

Volume v versé (volume d’acide (𝐯𝐚 ) ou volume de base (𝐯𝐛 ))

Burette L’acide : a La base : b

a: Concentration molaire de la solution acide b: Concentration molaire de la solution basique


(c nn e) a olume de l’acide b
: Volume de la base
Solution titrante
(à lire)
L équation de la réaction entre l acide c lor ydrique( l ) et la soude a
Exemple (
⏟ l ) ⏟a → ⏟a l ⏟
Dans ce schéma : E E EL E
+ − 𝐂𝐛 (𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮𝐞)
Solution titrante = ⏟
𝐍𝐚 + 𝐎𝐇
𝐁𝐚𝐬𝐞
𝐯𝐛 ( à 𝐥𝐢𝐫𝐞 )
DOSAGE
Robinet
Objectif. Le matériel. Protocole et schéma de l'expérience

Le dosage ou titrage Une burette : tube gradué  Introduire, dans la burette, la solution de
d'une solution est la avec un dispositif concentration connue Cb : solution titrante Na+ + OH-
détermination de la d'écoulement maîtrisable  Prélever à la pipette un volume Va de la solution de
′ (inc nn e) concentration (titre) (robinet) fixée à une concentration inconnue Ca.
Solution à titrer + BBT
Bécher ′ ( es ré) inconnue d'une potence.  Placer la solution à titrer prelevé dans l'erlenmeyer
solution à partir de Un bêcher ou un erlemeyer (ou le bêcher) en y ajoutant des gouttes de BBT.
celle (titre) connue pour contenir la solution à  Laisser tomber goutte à goutte la solution titrante sur
d'une autre solution titrer la solution à titrer.
Exemple : c'est une Une pipette jaugée pour  Arrêter l'écoulement dès le virage du BBTqui indique
Dans ce schéma : application de la mesurer l'échantillon à la neutralisation de l'acide par la base.
𝐂𝐚 (𝐢𝐧𝐜𝐨𝐧𝐧𝐮𝐞) neutralisation. doser.  Lire alors, sur la burette, le volume Vb de la solution
⏟+ + 𝐂𝐥−
Solution à titrer = 𝐇
𝐀𝐜𝐢𝐝𝐞
𝐯𝐚 (𝐦𝐞𝐬𝐮𝐫é ) Un agitateur (souvent titrante versée.
magnétique) pour
homogénéiser la solution.

Dans ce schéma :
On a donc doser une solution acide ( 𝐇+ + 𝐂𝐥− ) par une solution de base (𝐍𝐚+ + 𝐎𝐇− ) ’équation de la réaction entre l’acide chlorhydrique et le calcaire :

Calcaire + Acide chlorhydrique → Dioxyde de carbone + Chlorure de calcium


a ( l)→ ( a l)

M. Florent OUEDRAOGO
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’OXYDATION DES METAUX

Oxydation des métaux (Fe , Zn , Al , u , Pb ) à l’air froid Oxydation des métaux (Fe , Zn , Al , u , Pb ) à l’air chaud

Oxydation du fer (Fe) à froid : Oxydation du fer (Fe) à chaud :


L’oxygène de l’air à froid attaque le fer en donnant de l’oxyde ferrique (Fe2O3) L’oxydation du fer à c aud donne de l’oxyde magnétique (Fe 3O4)
L’équation est : Fe → Fe L’équation est : Fe → Fe

la formation de la rouille : Oxydation du zinc (Zn) à chaud :


oxyde de fer L’oxydation du zinc à c aud donne de l’oxyde de zinc (Zn )
+ → rouille
ydroxyde ferrique L’équation est : Zn → Zn

Oxydation des métaux non ferreux (Zn ,Al , Cu , Pb) à froid :


Oxydation de l’aluminium (Al) à chaud :
l’air umide les métaux non ferreux tel que le (Zn, Al, Cu, Pb) se couvrent d’une couc e imperméable qui protège c acune de
L’oxydation de l’aluminium à c aud donne de l’oxyde d’aluminium ( lumine :Al2O3)
ces métaux de l’air froid celle de l’aluminium est appelé lumine ( l2O3 )
L’équation est : l → l
NB : tous les métaux attaqués à froid perdent leur éclat métallique

Oxydation du cuivre (Cu) à chaud :


L’oxydation du cuivre à c aud donne successivement de
-l’oxyde de cuivre 1 (Cu2 ) d’équation : u → u
-l’oxyde de cuivre ( u ) d’équation : u → u

Oxydation du plomb (Pb) à chaud :


L’oxydation du plomb à c aud donne
- à 300 le massicot (Pb ) d’équation Pb → 2PbO
- à 450 le minium (Pb3O4) d’équation + → 2Pb

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’A TION A FROID DES A IDES SUR ES METAUX
Réactifs Produits Observations Équations bilan
sur les métaux : Fe , Zn ,Al , Pb , Cu

Dihydrogène (H2)
ction à froid de l’acide (

+
+ l- +
Réaction Fe + 2( + l- ) → ( e ++ l-) + H2
Fe Solution de Chlorure de fer ( e + + l-)
+
+ l- Dihydrogène (H2)
+
Réaction Zn + 2( + l- ) → ( n ++ l- )+ H2
Zn Solution de Chlorure de zinc ( n + + l- )
+
+ l- Dihydrogène (H2)
+
Réaction 2Al + 6( + l- ) → ( l ++ l- )+ 3H2
Al Solution de Chlorure d’aluminium ( l + + l- )
+
+ l- Dihydrogène (H2)
+
+ Réaction éphémère Pb + 2( + l- ) → ( +
+ l- ) + H2
Pb Solution de Chlorure de Plomb ( + l- )
l- )

+
+ l- Néant
Pas de réaction Néant
Cu

Réactifs Produits Observations Équations bilan


sur les métaux : Fe , Zn , Al , Pb, Cu
ction à froid de l’acide

+
+ Dihydrogène (H2)
+ - -
Fe Solution de Sulfate de fer ( e + +
-
) Réaction Fe + ( + ) → ( e ++ )+ H2

+ - Dihydrogène (H2)
+ - -
+
Zn Solution de sulfate de zinc ( n + +
-
) Réaction Zn + ( + ) → ( n ++ )+ H2
-
+
+ Pas de
Néant Réaction Néant
Al
+ - Dihydrogène (H2)
+
+ - Réaction éphémère Pb + ( +
+
-
) → ( +
+
-
)+ H2
Pb Solution de sulfate de Plomb ( + )
-

+
+ Néant
Pas de réaction Néant
Cu

Réactifs Produits Observations Équations bilan


sur les métaux : Fe ,Zn , Al , Pb, Cu
ction à froid de l’acide

+ -
+
Vapeurs nitreuses Réaction Néant
Fe
+
+
Zn Vapeurs nitreuses Réaction Néant
-
+
+ Pas de
Néant Réaction Néant
Al
+
+
Vapeurs nitreuses Réaction éphémère Néant
Pb
+
+
-

Vapeurs nitreuses Réaction Néant


Cu

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LES HYDROCARBURES

Définition : Les ydrocarbures ou carbures d’ ydrogène sont des corps organiques dont la molécule ne renferme que du carbone et de l’ ydrogène e sont des composés binaires que l’on note

ES DIFFERENTES FAMI ES D’HYDRO ARBURES


Le grand groupe des hydrocarbures est constitué de sous-groupes appelés familles. Ainsi on distingue :

La famille des alcanes La famille des alcènes La famille des alcynes

La formule brute générale des alcanes est + avec n { } La formule brute générale des alcènes est avec n { } La formule brute générale des alcynes est − avec n { }

Les premiers alcanes : Les premiers alcènes : Les premiers alcynes :


Valeurs de n Formules brutes noms Valeurs de n Formules brutes noms Valeurs de n Formules brutes noms
n Méthane n Éthène (éthylène) n Éthyne (acétylène)
n Éthane n Propène n Propyne
n Propane n Butène n Butyne
n Butane n Pentène n pentyne

NB : Les alcanes existent en grande quantité sous forme de gisements naturels de gaz ou de pétrole. L'origine de ces gisements est attribuée à la fermentation de la cellulose des végétaux des temps préhistoriques.
Le gaz naturel est essentiellement constitué de méthane et les pétroles contiennent un mélange d'hydrocarbures (dont des alcanes allant de CH 4 à C40H82).
Le méthane, l'éthane, le propane et le butane sont des gaz à température ambiante. À partir de C5, on rencontre des liquides et à partir de C17 des solides.
Les alcanes liquides ou solides ont une densité assez faible (environ 0,7). Comme tous les hydrocarbures, ils sont insolubles dans l'eau ; par contre, ils sont miscibles avec la plupart des liquides organiques et sont eux-mêmes des solvants
pour de nombreux composés organiques.

COMBUSTIONS DES HYDROCARBURES DANS LE DIOXYGENE


L’une des premières utilités des hydrocarbures est la production de chaleur lors de leurs combustions dans le dioxygène.
Combustibles, leurs réactions avec le dioxygène sont exothermiques mais produisent des chaleurs dont la quantité dépend aussi de la nature de la combustion. Ainsi on distingue :
Combustions complètes Combustions incomplètes

Équations Exemples La complexité des produits fournis par la combustion incomplète rend difficile l’écriture de l’équation bilan ans le
mélange de produits obtenus on peut trouver : du carbone (C), du monoxyde de carbone (CO), du dioxyde de carbone
(CO2), de l’eau (H2O)…
Alcanes
Méthane
n+ Le danger de la combustion qui se
+ + → n + (n + ) + → + produit généralement au cours des
incendies est lié, entre autres, à la
formation inévitable du monoxyde
de carbone CO qui est gaz incolore,
Alcènes Éthylène
inodore, inflammable et très
n toxique.
+ → +
+ → n +n

Acétylène
Alcynes

n + → +
− + → n + (n )

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EXTRAIT DE LA CLASSIFICATION PERIODIQUE DES ELEMENTS CHIMIQUES

Le tableau périodique des éléments,


également appelé table de Mendeleïev,

He classification périodique des éléments


(CPE) ou simplement tableau
Hydrogène Hélium périodique, représente tous les éléments
chimiques, ordonnés par numéro
atomique croissant et organisés en
fonction de leur configuration

i Be B N O F Ne électronique, laquelle sous-tend leurs


propriétés chimiques.Son invention est
Lithium Béryllium Bore Carbone Azote Oxygène Fluor Néon généralement attribuée au chimiste russe
Dmitri Mendeleïev, qui construisit en 1869 une table différente de
celle qu'on utilise aujourd'hui1 mais similaire dans son principe, dont

Na M Al Si P S l Ar le grand intérêt était de proposer une classification systématique des


éléments chimiques connus à l'époque en vue de souligner la
Sodium Magnésium Aluminium Silicium Phosphore Soufre Chlore Argon périodicité de leurs propriétés chimiques, d'identifier les éléments qui
restaient à découvrir, et même de pouvoir prédire les propriétés de ces
éléments alors inconnus.
a Le tableau périodique a connu de nombreux réajustements depuis lors
Potassium Calcium jusqu'à prendre la forme que nous lui connaissons aujourd'hui, et est
devenu un référentiel universel auquel peuvent être rapportés tous les

A
types de comportements physique et chimique des éléments. En
Fe u n Au Pb février 2010, sa forme standard comportait 117 éléments, allant de 1H
à 118Uuo, à l'exception de l'élément 117 qui n'a pas encore été
Fer Cuivre Zinc Argent Or Plomb synthétisé

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