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« Il faut souvent changer d’opinion pour rester dans son parti » - [Jean-François] Paul de Gondi (cardinal de Retz),

Mémoires (1717).

Pour quelles raisons la suppression des partis politiques est-elle nécessaire ?

I – L’aspect totalitaire des partis politiques

A – L’exercice d’une pression sur les individus

 Propagande  persuasion  adhérents


 Les partis reprennent leur jeu en période de stabilité politique (texte)
 Montesquieu : la liberté se nourrit de contrastes et d’oppositions partisanes

B – La création de passions collectives

 « ils s’opposent soit sur des questions d’intérêt personnel, soit sur des questions de programmes et
d’opinion » - « lutte stérile » des partis
 Leur survie finit par constituer la seule fin en soi aux dépens de celles qui leur avaient donné naissance –
ils ne cherchent plus à atteindre le bien commun et seulement l’idéologie du parti

II – Une remise en cause de la démocratie

A – Une cristallisation artificielle des idées politiques

 « Ils sont parvenus à éloigner complètement la masse française de ses élus, à diviser la France… »  pas
de lien entre le peuple et l’élu une fois la fonction de vote utilisée – indépendance des élus
 Théorie libérale : incapacité du peuple à gouverner – Montesquieu : « Comme la plupart des citoyens, qui
ont assez de suffisance pour élire, n’en ont pas assez pour être élus ; de même le peuple, qui a assez de
capacité pour se faire rendre compte de la gestion des autres, n’est pas propre à gérer par lui-même »

B – Un obstacle au jeu naturel des affinités

 Idée d’une société sans partis (dernier paragraphe)


 Par la suite Ve république, rupture avec les précédentes  démocratie semi-directe
 Art 3 C : « la souveraineté nationale appartient au peuple »

III – Le souhait d’un retour de la volonté du peuple

A – Une limite nécessaire de la liberté de réunion

 « Ils sont parvenus à éloigner complètement la masse française de ses élus, à diviser la France… »  pas
de lien entre le peuple et l’élu une fois la fonction de vote utilisée – indépendance des élus
 Théorie libérale : incapacité du peuple à gouverner – Montesquieu : « Comme la plupart des citoyens, qui
ont assez de suffisance pour élire, n’en ont pas assez pour être élus ; de même le peuple, qui a assez de
capacité pour se faire rendre compte de la gestion des autres, n’est pas propre à gérer par lui-même »

B – Une légitimité par la loi

 Idée d’une société sans partis (dernier paragraphe)


 Par la suite Ve république, rupture avec les précédentes  démocratie semi-directe
 Art 3 C : « la souveraineté nationale appartient au peuple »

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