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Présenté
Pour l’obtention du titre :
AAZMI ABDELLAH
Titre :
Jury :
M. SALLAOU Mohamme…………..…..Président & Examinateur (ENSAM-Meknès)
Je prie Dieu de vous bénir, de vous prêter une longue vie, et j’espère que vous
serez toujours fiers de moi.
A mes chers Amis : je vous remercie pour votre soutien moral grâce à vos mots,
votre présence, vos conseils j’ai su trouver ma voie.
AAZMI ABDELLAH
Aux heures des nuits durant lesquelles ce rapport a été écrit, il y avait
du silence, une solitude méditative et l’expérience d’un curieux stage, au-delà
du temps et de l’espace, vers la passion, l’essence de la quête intellectuelle.
Des moments de réflexion et, souvent, de méditation. Des moments de
contemplation et de faiblesse. Nous en avions besoin.
Pendant ces quatre mois, mon travail a été accompagné par le soutien
permanent de ma famille, je vous remercie.
L’unité de production des engrais sont composés d’un ensemble d’équipements dont certains
sont souvent à l’origine des arrêts de production et constituent donc les goulots d’étranglements
de cette unité. Vu l’importance des investissements réalisés, il est nécessaire de les fiabiliser au
maximum. Cet impératif fait de la maintenance une fonction stratégique à part entière dans la
mesure où il faut assurer une disponibilité maximale à moindre coût. Dans ce cadre, il vous est
demandé de :
The fertilizer production unit consists of a set of equipment, some of which is often the cause
of production shutdowns and thus constitutes the bottlenecks of this unit. Given the importance
of the investments made, it is necessary to make them as reliable as possible. This imperative
makes maintenance a strategic function in its own right insofar as it is necessary to ensure
maximum availability at a lower cost. In this context, you are asked to:
Remerciements ........................................................................................................................ II
Abstract ................................................................................................................................... IV
Sécheur ............................................................................................................... 10
2.2 Généralité sur les standards OCP Production Système (OPS) .................................. 19
5. ANNEXES ....................................................................................................................... 65
Pour maintenir son leadership mondial et devenir une entreprise de référence mondiale pour les
industries de process continu, le groupe OCP a mené depuis 2006 une transformation profonde
basée sur une stratégie ambitieuse qui vise d’augmenter les volumes de production et de
développer en permanence, ses capacités d’adaptation, de flexibilité, de compétitivité et
d’anticipation dans une approche globale qui fait du développement durable et de la
responsabilité sociétale deux variantes extrêmement déterminantes pour pouvoir répondre aux
exigences, de plus en plus fortes, des clients dans un marché fortement concurrentiel.
Dans cette optique, l’unité de production des engrais DAP s’est engagée dans une dynamique
de maîtrise et fiabilisation de l’outil de production qui est composé d’une multitude
d’équipements tournants dont les défaillances sont souvent à l’origine des arrêts de la
production.
Vu l’importance des investissements réalisés sur ces unités de production, il est nécessaire de
les fiabilisé au maximum. Cet impératif fait de la maintenance une fonction stratégique à part
entière dans la mesure où il faut assurer une disponibilité maximale à moindre coût et ce à
travers plusieurs piliers consolidés dans un programme phare bâtit OCP Production System.
Chapitre
1 1. Présentation de l’organisme
d’accueil et mise en situation du
projet
1.1 Introduction
Le premier chapitre a pour objectif de présenter le milieu du projet, qui est l’Office Chérifien
du phosphate, ainsi qu’une mise en position du projet tout en présentant le processus de
production des différents types d’engrais dans l’unité JFC 2. Subséquemment,
Le 28 février 2008, l’Office Chérifien des Phosphates, établissement public régi par le dahir n°
1-60-178 du 4 safar 1380 (29 juillet 1960), est transformé en une société anonyme à conseil
d’administration, dénommée « OCP SA ».
Le groupe se trouve dans diverses zones du pays : des sites de la production du phosphate brut
: Khouribga, Youssoufia, Benguerir et Boucraâ. C’est environ la moitié du phosphate produit
qui est exportée comme matière première à destination d'une quarantaine de pays à travers le
monde, tandis que l'autre moitié est livrée aux sites de transformations chimiques à savoir Safi
et Jorf Lasfar.
Lejonc & cie : Crée en 1960 et dotée d’un capital de 21Mdhs, détenue à 100 % par OCP SA,
son activité consiste en l’achat, l’acquisition, la négociation de tous biens mobiliers et
immobiliers, location de terrains et d’autres biens immobiliers.
STAR : dotée d’un capital de 84,5Mdhs, détenu à 100 % par OCP SA, la STAR est spécialisée
dans le transport et l’affrètement maritimes.
SOTREG : Société anonyme au capital de 56 millions de dirhams, détenu à 100 % par l’OCP.
SOTREG a été créé en 1973 avec pour unique objet le transport du personnel du Groupe OCP.
IMSA : Société anonyme au capital de 2Mdhs, IMSA a été créée en 1970. À travers cette filiale,
le Groupe OCP assure une prestation sociale en hôtellerie et restauration, ainsi elle assure
plusieurs activités socioculturelles au profit du personnel et de leur famille à charge.
• BUNGE MAROC PHOSPHORE (BMP) : a été créée en avril 2008 à JORF LASFAR
et a démarré son activité en mars 2009. BMP a pour activité la production et la
commercialisation d’acide phosphorique, d’engrais phosphatés et azotés et d’autres
produits dérivés. L’entreprise a une capacité de production de 375 000 tonnes P2O5 par
an.
• EURO MAROC PHOSPHORE S.A (EMAPHOS) : a été créée en 1996 à JORF
LASFAR. C’est le premier partenariat d’OCP pour l’activité chimie au Maroc.
EMAPHOS a comme activité la transformation d’acide phosphorique marchand en
acide phosphorique purifié, et sa commercialisation.
• INDO MAROC PHOSPHORE S.A (IMACID) : a été créée en 1997 à JORF
LASFAR. IMACID comprend notamment une unité d’acide phosphorique d’une
capacité de 430.000 tonnes P2O5. IMACID assure, depuis sa création, une disponibilité
fiable d’acide phosphorique au marché indien, basée sur un partenariat long terme.
• JACOBS ENGINEERING S.A (JESA) : Créée en août 2010, JESA est une joint-
venture détenue à parts égales entre OCP et l’américain Jacobs Engineering, leader
mondial de l’ingénierie. JESA offre des services d’ingénierie et de gestion de projets
d’envergure aussi bien au Maroc qu’à l’international. JESA accompagne notamment
OCP dans son programme d’investissement et ses projets de développement et vise à
devenir un acteur majeur dans sa région.
• JORF FERTILZER COMPANY (JFC) : Composé de deux unités (JFC1 et JFC2) à
JORF LASFAR spécialisés dans la production et la commercialisation des engrais et
d’acide phosphorique (JFC1 : est créé en 2015, JFC2 : est créé en 2016).
Le présent stage de projet de fin d’étude se déroulera pendant 3 mois dans l’unité JFC2, et plus
précisément dans l’atelier des engrais.
de 613.4 Millions de DH sur une croissance annuelle de 50,3% avec une capacité de production
d’un million de tonnes par an d’engrais.
Engrais Composés : Ce sont des engrais ayant des teneurs déclarées au moins deux éléments
fertilisants majeurs. Il s’agit des engrais NP, PK, NK, NPK. Les teneurs des éléments fertilisants
des engrais sont exprimées en azote (N2), en anhydride phosphorique (P2O5) et en oxyde de
potassium (K2O). Dans le cas des engrais composés l’indication des teneurs exprimés en pour
cent, en masse dans la formule de l’engrais, s’effectue dans l’ordre : N2- P2O5- K2O.
• TSP : Triple superphosphate est produit par réaction de l’acide phosphorique avec le
phosphate minéral.
• SSP : Superphosphate simple (P205 :14%)
• MAP: Mono-ammonium phosphate (N: 11%, P205: 54%)
• DAP: Di-ammonium phosphate (N: 18%, P205 :47%)
• NPK : C’est un mélange d’engrais en proportions appropriées en éléments nutritifs :
azote, phosphore et potassium. (N : 14%, P205 : 28%, K2O : 14%).
Plusieurs procédés industriels existent dans le marché de la fabrication des engrais. L'atelier
d'engrais à JORF LASFR est conçu selon le procédé AZF à double réacteurs tubulaires du
sécheur (RTS) et du granulateur (RTG). Dès sa mise en service en fin de l'année 1987 et début
1988, l'atelier d'engrais à JORF LASFR a connu un grand nombre de problèmes touchant tous
les domaines de l'exploitation : procédé, résistance des matériaux, analyses chimiques,
rendements, assainissement. Face à cette situation, les responsables de l'atelier Engrais ont
engagé leurs propres investigations pour augmenter le taux de disponibilité et assurer les
performances requises.
En 2010, le procédé est changé par le procédé Jacobs qui se base sur 6 étapes.
• Réaction(Préneutraliseur)
• Granulation(Granulateur)
• Séchage (Sécheur)
• Classification (Criblage et broyage)
• Conditionnement (Refroidissement et enrobage)
• Lavage et Assainissement.
Les éléments utilisés pour la fabrication des engrais peuvent être classés en trois catégories.
Cette réaction conduite en premier lieu à la formation du mono-ammonium phosphate puis dans
un deuxième lieu à la formation du di-ammonium phosphate.
𝑛(𝑁𝐻3)
= 𝑅𝑀
𝑛(𝐻3𝑃𝑂4)
1.4.1 Pré-Neutraliseur
La réaction principale se fait dans une cuve d’attaque appelée ‘’Pré-Neutraliseur’’, dans
laquelle on introduit de l’acide phosphorique 54% en P2O5, de l’ammoniac gazeux entrainer
par la vapeur de l’eau et le liquide de lavage, ce dernier former par l’acide phosphorique 29%
en P2O5 et l’eau de lavage des gaz aspirés à partir des différents équipements de l’installation.
Le PN équipé d’un agitateur qui permet : La réduction des mousses, L’homogénéisation du
milieu réactionnel et l’uniformité de la température.
1.4.2.2 Granulateur
Cette étape permet de transformer la bouillie en engrais granulaire. La granulation à lieu dans
le granulateur rotatif ou la bouillie est pulvérisée sur un lit d’engrais recyclé et arrosée
d’ammoniac liquide. La réaction d’ammonisation débutant dans le Pré-Neutraliseur est
complétée dans le granulateur pour donner un rapport molaire (NH3/H3PO4) définitif au
produit, ce rapport est de 1,86 à la sortie du granulateur. La granulation s’accomplit par la
réaction d’ammonisation.
Le produit granulé humide sort du granulateur au travers d’une grille située à la sortie du
granulateur. Le produit s’achemine directement vers le sécheur par l’intermédiaire d’une goulotte
spécialement.
Sécheur
Les granules d’engrais à la sortie du granulateur sont humides et de granulométries variées, le
séchage permet de diminuer le contenu en humidité dans ces granules de 3-4% à environ 1-
1.5%.
Grade %DAP
> 4mm 30 à 10 %
2-4 mm 40 à 50 %
<2 mm 30 à 40 %
La Chambre de Combustion est équipée d’un brûleur alimenté en fuel. L'air de combustion est
approvisionné par le ventilateur d'air de Combustion et le ventilateur d'air de dilution qu’est
utilisé pour réduire la température des gaz de combustion jusqu’au niveau requis pour la
catégorie d'engrais à produire. Les températures excessives doivent être évitées pour empêcher
la décomposition, et la fusion du produit. Le produit passant n’entraîne pas un bouchage des
mailles des cribles.
Le produit entre 2,5 et 4 mm est dirigé au moyen d’élévateur vers les cribles secondaires pour
assurer une deuxième séparation du produit marchand et enfin des cribles finisseurs pour
améliorer la granulométrie du produit fini.
Les gros qui ne passent pas la première toile des cribles sont acheminés vers le broyage, avant
d’être recyclé et les fines sont acheminées directement vers la bande de recyclage.
1.4.5 Conditionnement
1.4.5.1 Refroidisseur
Le refroidisseur est une unité à lit fluidisé conçu pour refroidir le produit à approximativement
40°C avec de l’air ambiant qui a été refroidi à 15°C dans les conditionneurs d’air de la ligne.
Les ventilateurs de refroidissement de la ligne aspirent l'air à travers les conditionneurs et le
refoulent à une pression légèrement supérieure vers le refroidisseur du produit. Les granules
refroidis sont transportés par un élévateur de produit vers des volets afin de répartir les granules
dans les cribles finisseurs.
Cependant la ligne production de DAP représente une ligne critique dans l’entité, tel que son
arrêt implique directement un arrêt du produit marchant et donc un arrêt de vente du produit.
L’atelier des engrais a vécu plusieurs arrêts causés par des anomalies différentes, dont la plupart
d’entre elles n’ont pas pu être maitrisées et résolues.
Par conséquence notre étude envisagera le déploiement d’un système permettant l’amélioration
de production avec une transformation opérationnelle afin d’atteindre les performances
industrielles exigées, notamment l’élimination des arrêts répétitifs et des déclenchements
fréquents de l’atelier.
Qui est concerné par le La ligne de production des engrais – JFC2 -Jorf Lasfar
projet ?
Quel est le projet ? Fiabilisation des élévateurs à godets
Où sera-t-il appliqué ? Bureau de méthode – Service de la maintenance mécanique
Quand le stage s’est Du 19 février 2018 au 20 juin 2018
déroulé ?
Comment sera-t-il élaboré Application des standards OPS
Pourquoi ce projet ? ▪ Optimiser la maintenance des élévateurs à godets ;
▪ Augmenter la durée de vie de la ligne.
Forces Faiblesses
▪ Encadrement à la hauteur ▪ Absence des fondations de la
▪ Personnel expérimenté et qualifié doté maintenance professionnelle
d’un bon savoir-faire ▪ Contrainte de temps pour traiter tous les
▪ Personnel motivé modes de défaillance
▪ Disponibilité des informations ▪ Manque d’historique détaillé de panne et
concernant les standards OPS d’intervention
▪ Existence d’un point de documentation ▪ Absence des dossiers machines selon les
comme le BDM standards OPS
▪ Existence d’une cellule d’inspection ▪ Absence des modes opératoires
intégré dans le BDM ▪ Absence des indicateurs de coûts
▪ Manque des plans de maintenance
Chapitre
2
2. Déploiement des fondations de la
maintenance professionnelle
2.1 Introduction
La maitrise des outils de production est une nécessitée primordiale pour l’OCP. L’instauration
d’un système permettant cette maitrise est alors une évidence pour l’office. Pour se faire, en
2009 l’office chérifien du phosphate a lancé une initiative de recherche de l’excellence
opérationnelle en émergeant au sein de l’entreprise une nouvelle culture d’efficacité et
performance.
Ce chapitre a pour objectif de mettre en place une des démarches suivies par l’office, et qui
représente un des piliers des standards OCP Production System (OPS). Cette dernière est la
maintenance professionnelle qui a pour objectif de fiabiliser et d’assurer la disponibilité des
équipements du système de production.
Méthodes de la maintenance
Maintenance Maintenance
Préventive Améliorative Maintenance corrective
Maintenance
Autonome (MA)
Maintenance
Périodique (MP)
Maintenance
Conditionnelle
(MC)
Maintenance conditionnelle
• Identifier les équipements les plus névralgiques de la ligne de production des engrais
• Utiliser aux mieux les ressources de la maintenance, la main d’œuvre et des moyens
financiers.
Classer les équipements selon un ordre de criticité décroissant, et faire une subdivision en quatre
classes.
Classe AA 5%
Classe A 15%
Classe B 60%
Classe C 20%
Négligeable = 1
6 Aspect sécurité Très fort pour le personnel = 5
de l'anomalie
Sans risque pour le personnel = 1
7 Aspect Fort impact = 5
environnement
de l'anomalie Faible impact = 1
8 Fréquence des Supérieur à 25 par la période considérée= 35
pannes
Entre 15 à 25 par la période considérée = 25
Probabilité des
Pannes (P) Entre 10 à 15 par la période considérée = 15
Clairement nous pouvons distinguer la famille des élévateurs à godets avec sa moyenne de
criticité de 102, comparé à celle des viroles tournantes de 98,7 et des ventilateurs 85,3. Les
élévateurs à godet représentent alors une famille critique dans la ligne de production.
Nous devons noter aussi que le score de l’élévateur AT01 (de 139) est le plus élevé dans la
ligne, vu sa fréquence de panne cet élément a causé une baisse de production des engrais à
cause de son importance dans l’atelier. Cet équipement était le sujet des réunions de l’équipe
de la maintenance à plusieurs reprises, malgré ceci les problèmes rencontrés au niveau de
l’élévateur AT01 n’ont pas pu être évité dans les autres élévateurs de l’atelier. Par conséquent,
notre étude se focalisera sur une analyse minutieuse des pannes des deux élévateurs à godet
AT01 et AT06, afin de pouvoir généraliser le résultat obtenu sur toute la famille des élévateurs.
À nos jours plusieurs types de godet existent, chacun d’eux a sa particularité. Nous détaillons
par la suite les quatre types utilisés dans l’industrie, tel que chaque peut avoir des
caractéristiques différentes soit au niveau du type du pied de l’élévateur, le type des godets, le
type de la charge ou même suivant la capacité de l’élévateur, ces quatre types sont :
Pied Gode
Positive Petite Petite
simple simple
Double Double
Par gravité Moyenne Moyenne
pied godet
Centrifuge
Figure 2.5: Elévateur à Figure 2.6: Elévateur à Figure 2.7: Elévateur à Figure 2.8: Elévateur à
décharge positive décharge continue décharge horizontale décharge centrifuge
techniques selon sa hauteur de fonctionnement et sa capacité, nous présentons alors par la suite
les différentes performances pour chaque élévateur à godets.
Nous allons mener ainsi une analyse fonctionnelle en se basant sur le bête à corne de chaque
élévateur, le diagramme pieuvre et finalement le diagramme FAST permettant de déterminer la
fonction principale, les fonctions contraintes et les fonctions élémentaires.
a. L’élévateur 507AAT01
L’élévateur 507AAT01 est situé à côté du granulateur et qui permet d’alimenter ce dernier par
les engrais porté par le convoyeur 507AAT02 dédié aux engrais à recyclé. Cet élévateur est
aussi appelé l’élévateur secondaire et bien évidement comme tous les élévateurs de l’atelier il
est fabriqué par Rexnord modèle 4415-02.
Transporter les engrais recyclés du convoyeur à bande de recyclage AT02 vers le granulateur
Transporter les engrais séchés du sécheur AF02 vers les cribles primaires
Le diagramme bête à corne décrivant l’élévateur à godet de référence 507AAT05 est illustré
dans la figure ci-dessous.
c. L’élévateur 507AAT06
L’élévateur 507AAT01 est situé juste après la classification finale pour enfin transporter le
produit aux tamis finisseur AB09 et AB10. Ainsi que pour cette raison il est souvent appelé
l’élévateur de classification et du même fabriquant que les autres élévateurs avec des godets du
modèle 4142-05M.
Transporter les engrais criblés des cribles primaires vers les cribles secondaires
Tableau 2.3: Les fonctions de service du fonctionnement normal des élévateurs à godets
f. Le diagramme F.A.S.T
Le diagramme FAST (Function Analysis System Technic) est un outil permettant la description
fonctionnelle du système, et ceci en déterminant la fonction principale (FP) et les fonction
élémentaires (FT) pour aboutir aux solutions. Nous l’utilisons par la suite afin d’analyser le
fonctionnement des élévateurs à godets.
Caractéristique Description
Type de
Chaîne double, décharge continue
l’élévateur
Angle
Vertical
d’inclinaison
Capacité
636 t/h 765 t/h 150 t/h 303 t/h 100 t/h
normale
Hauteur 33 m 43 m 43 m 43 m 35 m
Puissance du
132 kW 160 kW 37 kW 90 kW 22 kW
moteur
Puissance
94 kW 117.28 kW 38 kW 63.83 kW 12.33 kW
calculé
Vitesse de la
0.79 m/s 0.87 m/s 0.71 m/s 0.69 m/s 0.66 m/s
chaine
La démarche suivie nous permettra de ressortir les modes critiques selon un indice appelé
l’indice de priorité des risques (I.P.R) ou tout simplement indice de criticité (C). Cet indice est
en effet un produit de trois paramètres.
Criticité (C) = G x F x N
Tel que :
• G : La gravité de l’effet du mode de défaillance
• F : La fréquence du mode selon la durée choisie
• N : Le risque de non-détection
Note 1 2 3 4 5
Fréquence F Moins d’une Une Une Une Une ou plus
défaillance défaillance défaillance défaillance d’une
par an par semestre par trimestre par mois défaillance
mois par semaine
Non détection Détection Détection par Détection Détection Indétectable
N visuelle par instrument par difficile
l’agent instruments nécessitant
développé des essaies
Gravité G Pas d’arrêt de Arrêt Arrêt entre Arrêt entre Arrêt
production inférieur à 30 30 à 1h 1h à 4h supérieur à
min 4h
Tableau 2.5: Grille de cotation des critères d’évaluation des modes de défaillances
Les résultats de cette analyse (annexe 22), est simplifié dans le tableau qui suit tel que chaque
équipement de l’élévateur y est approprié ses différents modes de défaillance et son indice de
criticité.
vise à résoudre et éliminer définitivement les points de faiblesse des élévateurs à godets de
l’atelier.
du plan de maintenance, cela nous aidera à remettre les élévateurs dans les contions normaux
de leur fonctionnement.
Ensembles Révisions
Ensemble 1. Vérifier que les modèles indiqués sur les plaques
d’entraînement signalétiques du moteur et du bloc réducteur concordent à
ceux du dessin pour assurer que les ensemble requis ont été
fournis.
2. Niveau d’huile : Vérifier la plaque signalétique ou la
documentation du fournisseur pour déterminer le type
d’huile à utiliser.
3. Bouchon du reniflard : Vérifier qu’il n’est pas bouché par la
peinture ou d’autre matériaux étrangers.
Chapitre
3
3. Mise en œuvre des actions contre les
points de faiblesse et évaluation de la
fiabilisation
3.1 Introduction
Après avoir élaborer un plan de maintenance des élévateurs à godets au sein de l’atelier de
production des engrais, nous allons essayer dans cette parte de résoudre des problèmes majeurs
nécessitant des actions à long terme, et ceci en élaborant un plan d’action, suivi par un calcul
de gain pour passer au plan de maintenance conditionnel et clôturer avec l’élaboration d’un
système permettant cette maintenance.
Temps 6 mois
Pour réaliser la méthode cinq pourquoi, il faut se poser la question – pourquoi le problème s’est-
il produit ? – au moins cinq fois d’affilées. Ainsi on va suivre un raisonnement logique qui va
permettre de retrouver la racine du problème. Chaque cause trouvée devient le nouveau
problème à analyser et il faut explorer chaque cause pour remonter aux origines du problème.
En fait la cause racine apparaît quand nous n’avons plus de réponse à la question Pourquoi.
En général au bout de cinq fois, d’où le nom de la méthode. Par la suite nous appliquons cette
méthode pour chaque mode de défaillance (annexes 10,11,12,13 et 14).
Technologie non-
Changer le type du bouchon fusible
adéquate du bouchon
ajout d’une chambre de retardement au Facile Fort
fusible et du coupleur
coupleur hydraulique
hydraulique
Ce phénomène est récemment rencontré au niveau de tous les élévateurs à godet de l’atelier de
ce fait nous allons remplacer l’accouplement à denture rigide en torsion ZAPEX ZN par un
autre type d’accouplement élastique de gamme PERIFLEX.
Les accouplements de type ZAPEX ZN lors de leur emploi dans l’entité ont rencontré plusieurs
problèmes dont parmi ces problèmes :
9550 × 𝑃𝑇
𝐶𝑁 = 𝐹𝐵 × 𝐹𝑇 ×
𝑟𝑝𝑚
Tel que :
• 𝐶𝑁 : Le couple nominal en Nm
• 𝐹𝐵 : Le facteur de service
• 𝐹𝑇 : Le facteur de température
• 𝑃𝑇 : La puissance transmise en kW
Nous pouvons par la suite calculer le couple nominal, de ce fait nous pouvons alors choisir la
puissance transmise de l’élévateur à godet 507AAT04 comme étant l’élévateur qui marque la
puissance la plus grande 117.28 kW avec une vitesse de rotation du moteur de 1490 tr/min.
Ce qui nous donne alors un couple nominal de 1127,54 Nm. D’après le catalogue STROMAG-
PERIFLEX choisissons l’accouplement de série PNA et de référence PNA100-222R.
Une de ces protections est au niveau du coupleur hydraulique tel que l’augmentation de la
charge est accompagnée d’une élévation de température limitée par un bouchon fusible à une
température d’un coté de 120°C et de l’autre coté de 140°C. Le bouchon fusible comme son
nom l’indique est un bouchon qui change de phase quand la température dépasse la limite du
bouchon pour conséquent une fuite d’huile est générée, de ce fait ceci cause plusieurs problèmes
à savoir :
• L’huile perdu a une bonne qualité et pourra être fonctionnelle pour une durée encore
plus longue.
• La fusion du bouchon fusible nécessite un arrêt de production d’une durée supérieure
à 4 heures.
Nous choisissons alors un bouchon avec sonde de température. Ce dernier répond à notre
besoin tel que :
• Réutilisation du bouchon.
• Nous n’avons pas de perte d’huile.
Concernant la deuxième protection elle n’est pas employée dans les élévateurs à godets et qui
est la chambre de retardement. Par conséquent nous nous posons devant une obligation de
changer le coupleur hydraulique parce que la marque FALK n’offre ni la possibilité d’installer
un bouchon autre qu’au bouchon fusible ni celle d’intégrer une chambre de retardement.
Figure 3.4: Les courbes de démarrage selon les différentes chambres de retardement
Le choix du coupleur hydraulique d’après le catalogue KTR des coupleurs hydrauliques se
fait en se basant sur la puissance et la vitesse du moteur et l à l’aide du graphe donné par le
constructeur (annexe 15). Par la suite nous définissant pour chaque élévateur le type du
coupleur hydraulique à installer.
Référence
65 70P 50 60 40P
du coupleur
Les capteurs utilisés dans les élévateurs à godets de l’atelier sont des détecteurs à membrane.
Il s’agit d’une membrane affleurant la paroi d’un système, d’un diamètre de l’ordre de 100 à
200 mm et réalisée en élastomère et qui est résistant à l’abrasion. Lorsque le produit vient au
contact avec le diaphragme, la pression appliquée fait déformer ce dernier et actionne un micro-
rupteur. Quand le produit redescend, il libère le diaphragme et désactive le micro-rupteur. Dans
un milieu tel que l’atelier DAP nous faisons face à un produit qui se condense sur les parois du
système de ce fait une couche épaisse se forme au niveau du diaphragme et par la suite nous
obtenons un faux signal qui arrête la production.
Le catalogue SIEMENS des détecteurs de niveau à palettes rotatives SITRANS LPS200 vérifie
toutes les conditions. Par conséquent nous choisissons le capteur de référence 7ML5725-
2BC32-1AA0.
Le système est constitué d’un vérin permettant l’ouverture de la porte donnant la possibilité au
balayeur d’éjecter les chutes du matériau qui devait être transporté. Le balayeur est guidé par
un module linéaire vers la sortie.
Le calcul des efforts peut se faire de deux méthodes, dont la première est la méthode analytique
et la deuxième la méthode numérique. Les deux méthodes se basent sur l’hypothèse que les
articulations sont des liaisons pivot parfaites, et que les pièces sont des solides indéformables.
La méthode analytique est une application directe des lois de mécanique statique, contrairement
à la méthode numérique qui prend en considération tous les efforts agissants sur les vérins soit
en statique ou en dynamique, par conséquence la méthode numérique est encore plus précise et
moins susceptible à l’erreur comparée à celle analytiquement.
a. Méthode numérique
La méthode numérique est une méthode qui se base sur la simulation informatique permettant
d’exécuter un programme informatique sur un ordinateur afin de simuler un phénomène
physique réel. De ce fait, il faut tout d’abord mettre en œuvre un modèle théorique de notre
problème, et par la suite étudier son fonctionnement et ses propriétés modélisées et prédire son
évolution. Notre étude comportera une analyse dynamique du système, le choix d’un logiciel
de simulation des systèmes dynamiques est évident.
Nous avons choisi le logiciel MSC ADAMS qui est un acronyme de « Automated Dynamic
Analysis of Mechanical Systems » qui veut dire l’analyse automatique de la dynamique des
systèmes mécaniques. Ce dernier est équipé par Fortran et C++, il est connu et certifié comme
étant un logiciel fort et essential aux développements des prototypes virtuels. Le logiciel
d'analyse dynamique et de cinématique multi-corps MSC ADAMS est le plus utilisé dans le
monde. Il nous permet d’étudier la dynamique du mouvement des pièces, et de voir comment
les charges et les forces sont distribuées dans un système mécanique.
Le modèle numérique est sous forme d’un dessin d’un solide 3D. Après avoir fini le dessin nous
avons réalisé les liaisons entre les différents solides (le vérin, les bras, la porte de vidange). Par
la suite nous avons défini la charge appliquée sur la porte. Et finalement nous avons défini la
translation du vérin afin de lancer le calcul et obtenir les résultats détaillés dans la section
suivante.
Figure 3.8: Variation de l’effort appliqué sur le vérin par la méthode numérique
b. Méthode analytique
Lors de la méthode analytique nous allons supposer que l’effet du poids des bras peut être
négligé devant l’effet de l’effort du vérin lors de la simulation. L’étude contiendra seulement
une étude statique qui néglige l’effet de l’accélération en rotation. Nous allons faire notre étude
en définissant les efforts agissants sur la structure tel que représentés dans la figure suivante.
Paramètre Description
Après avoir transporter la force de cavage au point 1, nous allons maintenant utiliser le principe
fondamental de la statique et bien précisément le théorème des moments statiques sur l’axe
𝑖
(D) : ∑𝑖 𝑀(𝐷) =0
Maintenant nous allons appliquer le théorème des moments statique sur l’axe (D’) :
𝑖
∑ 𝑀(𝐷′) =0
𝑖
𝑃∗sin(𝑎2)∗sin(𝑜)
Alors : 𝑓 ′ ∗ sin(𝑎2) = 𝐹𝑣 ∗ sin(𝑎3) → = 𝐹𝑣 ∗ sin(𝑎3)
sin(𝑎1)
𝑷∗𝐬𝐢 𝐧(𝒂𝟐)∗𝒔𝒊𝒏(𝒐)
Et donc : 𝑭𝒗 = 𝐬𝐢 𝐧(𝒂𝟏)∗𝒔𝒊𝒏(𝒂𝟑) (1)
La variation des trois angles ne se fait pas d’une façon indépendante, du fait que la variation de
chaque angle implique la variation des autres. Nous allons alors utiliser une nouvelle fois le
logiciel MSC ADAMS pour mesurer ces variations et calculer alors 𝑭𝒗.
Nous obtenons alors les variations des différents angles a1, a2, a3 et o suivantes :
Après avoir obtenu la variation de ces trois angles il ne nous reste que d’introduire l’équation
(1) dans l’outil « Function Builder » qui nous permettra de construire la courbe de𝑭𝒗.
Figure 3.12: Variation de l’effort appliqué sur le vérin par la méthode analytique
La courbe obtenue a une valeur maximale de 1248.1437 N. Nous pouvons alors comparer entre
les valeurs obtenues dans la méthode analytique et celles obtenues par la méthode analytique,
afin de conclure qu’on remarque une marge d’erreur assez faible entre ces deux dernières, et
qui est dû à l’hypothèse analytique en statique et aussi à la négligeassions du poids des bras.
Ceci représente bien l’effort permettant une ouverture, cependant à l’instant t0=0s la porte est
fermée et résiste à un effort appliqué par le matériau condensé au pied de l’élévateur sur sa
paroi. C’est à dire que le vérin doit résister à l’effort essayant d’ouvrir la porte. Par conséquent
cet effort appelé aussi la force de pression appliqué sur la paroi verticale est calculé par la
formule :
𝐹 = 0.5 ∗ 𝜌𝑔𝑉𝑚𝑎𝑡é𝑟𝑖𝑎𝑢𝑐𝑜𝑛𝑑𝑒𝑛𝑠é
𝑷∗𝐬𝐢 𝐧(𝒂𝟐(𝒕𝟎))
Alors que : 𝑭𝒗 = 𝐬𝐢 𝐧(𝒂𝟏(𝒕𝟎))∗𝒔𝒊𝒏(𝒂𝟑(𝒕𝟎))
Ce qui donne finalement un effort de 13537 N, nous posons alors un coefficient de sécurité
égale à 1.2 pour donner un effort maximal est 16000N afin de sécuriser le fonctionnement du
système.
Nous passons à la course du vérin tel qu’elle est générée après la simulation du mouvement de
rotation de la porte et qui nous donne une translation de 0.3 m pour le vérin.
Tout calcul doit être conforme à nos besoins, de ce fait nous présentons en premier lieu le cahier
de charge en ce qui suit :
▪ Effort du vérin : 𝐹𝑣 = 16000𝑁.
▪ La vitesse du vérin : 𝑣𝐺𝑜𝑑𝑒𝑡 = 0,2𝑚/𝑠.
Avec :
▪ F : L’effort maximal du vérin.
▪ 𝑃 : La pression de service du vérin. Elle est déterminée à partir du. Dans notre cas, elle est
égale à 200 bars.
▪ 𝑆 : La section du piston.
▪ 𝜂𝑣 ∶Le rendement du vérin. Nous supposons qu’il est égal à 90%.
Par la suite, nous obtenons le diamètre de la tige en utilisant la relation suivante :
4𝐹
𝐷𝑝 ≥ √
𝜋𝑃𝜂𝑣
𝑫𝒑 = 𝟒𝟎𝐦𝐦; 𝑫𝒕 = 𝟐𝟎𝐦𝐦 ;
𝜼𝒗 = 𝟎. 𝟗
▪ A l’entrée :
𝑄(𝑜𝑢𝑣𝑒𝑟𝑡𝑢𝑟𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒) = 𝑣 ∗ 𝑆 = 𝟏𝟓. 𝟎𝟖𝒍/𝒎𝒊𝒏
𝑝
▪ A la sortie :
𝑄(𝑓𝑒𝑟𝑚𝑒𝑡𝑢𝑟𝑒𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒) = 𝑣 ∗ (𝑆 − 𝑆𝑡 ) = 𝟏𝟏. 𝟑𝟏𝟔𝒍/𝒎𝒊𝒏
𝑝
4×𝑄
𝐷𝑐 = √
𝜋 × 𝑉
4 × 15.08 × 10−3
𝐷𝑐 = √
𝜋 × 3 × 60
𝐷𝑐 = 𝟏𝟎. 𝟑𝟐𝟖𝒎𝒎
4×𝑄
𝐷𝑐 = √
𝜋 × 𝑉
4 × 4.716 × 10−3
𝐷𝑐 = √
𝜋 × 3 × 60
𝐷𝑐 = 𝟖, 𝟗𝟒𝟕𝒎𝒎
b. Dimensionnement de la pompe
L’objectif de cette partie sera de dimensionner et choisir la pompe qui pourra alimenter le
vérin. Nous commençons par calculer le débit maximal 𝑄𝑝 que doit fournir cette pompe.
𝑄𝑝 = 𝑄(𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒𝑔𝑜𝑑𝑒𝑡𝑣é𝑟𝑖𝑛)
𝑸𝒑 = 𝟏𝟓. 𝟎𝟖𝒍/𝒎𝒊𝒏
A.N. :
A partir des données du catalogue nous allons utiliser la valeur de 200 bars pour ∆𝑝𝑚𝑎𝑥 .
Concernant le rendement volumétrique de la pompe 𝜂𝑣𝑝 , nous allons l’estimer à 0,96.
Concernant la fréquence de rotation, nous allons la supposer égale à 𝐍𝐩 = 𝟏𝟎𝟎𝟎𝐭𝐫/𝐦𝐢𝐧.
Nous calculons alors :
𝑸𝒑
𝐶𝑦𝑃 = 𝑁
𝑝 ∗𝜂𝑣𝑝
Avec :
➢ 𝐶𝑦𝑃 : La cylindrée de la pomper ;
➢ 𝑁𝑝 : La fréquence maximale de rotation de la pompe ;
➢ 𝑄𝑝 : Le débit maximal de la pompe ;
➢ ∆𝑝𝑚𝑎𝑥 : La pression maximale admissible ;
➢ 𝜂𝑣𝑝 : Le rendement volumétrique de la pompe ;
Nous retenons :
o Choix de la pompe :
D’après le catalogue Parker Hanifin des pompes hydrauliques à piston axial - Série 19
(Voir l’annexe 18). Nous avons choisi la pompe de référence F11-019, dont les caractéristiques
sont comme suit :
𝐂𝐲𝐏 = 𝟏𝟗𝐜𝐦𝟑/𝐭𝐫 ;
∆𝐩𝐦𝐚𝐱 = 𝟑𝟓𝟎𝐛𝐚𝐫𝐬
𝐍𝐩 = 𝟏𝟎𝟎𝟎𝐭𝐫/𝐦𝐢𝐧
o Rendements de la pompe :
Les rendements de la pompe sont :
➢ 𝜂𝑚𝑝 : Le rendement mécanique de la pompe ;
➢ 𝜂𝑣𝑝 : Le rendement volumétrique de la pompe ;
➢ 𝜂𝑔𝑙𝑝 : Le rendement total du moteur hydraulique.
𝜼𝒎𝒑 = 𝟎. 𝟗𝟗
𝜼𝒗𝒑 = 𝟎. 𝟗𝟐
𝜼𝒈𝒍𝒑 = 𝟎. 𝟗𝟏
Afin de choisir la pompe de gavage convenable à notre système hydraulique, nous devons
calculer sa cylindrée. Pour se faire, nous utilisons la formule suivante :
𝑔 𝑄𝑛é𝑐𝑒𝑠𝑠𝑎𝑖𝑟𝑒
𝐶𝑦 =
𝑁𝑝 × ᶯ𝑉,𝑝𝑔
En tenant compte que 40% du débit de la pompe de gavage servira pour la compensation des
fuites, nous obtenons :
𝑸
𝑸𝒏é𝒄𝒆𝒔𝒔𝒂𝒊𝒓𝒆 = 𝟎.𝟒𝒇 = 3.75 l/min
Donc :
𝒈
𝑪𝒚 = 𝟒. 𝟎𝟕𝒄𝒎²/𝒕𝒓
3.3.4.4 Choix du système linéaire
Nous passons en ce qui suit au choix du système linéaire composé d’un module linéaire et d’un
moteur permettant la translation du balayeur. Nous avons ainsi posé le cahier des charges
suivant :
Le module linéaire FLI modèle SLTL15G constitué d’un système vis écrou permettant la
transformation du mouvement de rotation à un mouvement de translation et guidé par deux
liaisons pivot glissant en parallèle équivalentes à une liaison glissière. Ce dernier vérifie le
cahier des charges cité précédemment (annexe 19).
Le moteur alimentant le module linéaire est un moteur pas à pas. Ce type est généralement
choisi pour ce mode de fonctionnement tel que nous avons besoin d’une rotation de l’arbre du
moteur dans les deux sens avec une précision bien donné et réglé par l’utilisateur.
Nous définissons par la suite le couple nécessaire pour translater un effort maximal de 10 kN
par la formule suivante :
𝒑 ∗ 𝑭𝒎𝒂𝒙
𝑪=
𝒓 ∗ 𝟐𝒑𝒊
Tel que :
• p : le pas de la vis du module linéaire (4 mm)
• Fmax : l’effort maximal à translater (10 kN)
• r : le rendement du système linéaire (0.95)
Nous choisirons par la suite le moteur HN2003451 du catalogue MAE-PITTMAN qui vérifie
le couple calculer en mode bipolaire afin d’assurer sa fonction (annexe 20).
Et sachant que l’indisponibilité d’un équipement à cause d’une anomalie se calcul par la
formule suivante :
Après avoir mis en œuvre les différentes actions et contre-mesures, nous avons les résultats
suivants :
Fréquence de
Etat Heures d’arrêt Indisponibilité
panne
Ancien 8 5h 0.52%
Par conséquence le gain en disponibilité est de 0.48%. Sachant que la production au niveau de
l’atelier DAP est de 752 tonnes/h. Nous obtenons alors un gain de 3.6 tonnes/h. Et donc par
année nous aurons un gain de 27635,10 tonnes.
Nous remarquons ainsi que le score des élévateurs à godets a largement diminué et ceci en
appliquant les actions et contre-mesures à court terme ainsi que trois actions à long terme :
Par conséquence afin d’augmenter de plus en plus la fiabilité des élévateurs il est nécessaire de
d’achever la réalisation des actions et contre-mesures qui restent. Et par la suite réévaluer le
système. Ceci est bien l’objectif des chantiers de fiabilisation, tel que nous avons pu élaborer
un système évolutif augmentant le gain de la ligne de production tout en augmentant la fiabilité
des équipements névralgique de cette ligne.
Conclusion générale
Ce projet de fin d’études à la ligne de production des engrais à La JFC II intitulé « Fiabilisation
des élévateurs à godets suivant les standards OPS » a été une fructueuse opportunité et une vraie
bonne expérience professionnelle. En effet, il m’a permis de mettre en œuvre un certain nombre
d’outils théoriques et techniques que nous avons acquis durant notre cursus de formation au
sein de l’Ecole National Supérieur d’Arts et Métiers de Meknès, et exploiter de nouvelles
méthodes. C’était aussi une occasion particulière pour découvrir de près le monde
professionnel, les problèmes réels que rencontrent l’ingénieur et aussi la diversité des
équipements dont disposent la ligne de production des engrais.
Dans ce projet, nous avons pu atteindre notre objectif fixé au départ, qui est l’amélioration de
la disponibilité des élévateurs à godets vu qu’ils représentent les équipements névralgiques de
l’unité de production des engrais, qui présente un souci continu pour le service maintenance
mécanique.
En effet, à partir d’une analyse précise du cahier des charges, nous avons bâti notre
raisonnement sur une méthodologie logique et bien structurée en suivant les étapes suivantes :
Référence bibliographique
ANNEXES
Annexe 4 : Liste des pièces de rechanges requise pour les élévateurs à godets
Annexe 5 : Méthode QQOQPC appliqué au coupleur hydraulique
Annexe 22 : Calcul de criticité pour les modes de défaillance des élévateurs à godets
Criticité
Temps de Probabilité
Facteur de
Classification Réparation des Pannes
d'influence(D) l'équipem
(T) (P)
ent (C)
No 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Les
AB01/BB01/CB0
broyeurs à 10 5 5 5 5 1 1 5 40 77
1/DB01
chaine
AT02 15 1 1 1 1 1 1 15 40 76
Les AT03 15 1 1 1 1 1 1 5 40 66
convoyeurs AT07 5 1 1 1 1 1 1 5 40 56
AT11 5 1 1 1 1 1 1 5 40 56
Les cribles AS01/BS01/CS0
5 5 5 5 1 1 1 5 20 48
Primaires 1/DS01
Finisseurs AS09/BS09 5 5 5 1 1 1 1 5 20 44
13
AT01 30 5 1 1 5 1 1 35 60
9
Les AT04 20 5 1 1 5 1 1 5 60 99
élévateurs à AT05 5 5 1 1 5 1 1 5 60 84
godets 10
AT06 15 5 1 1 5 1 1 15 60
4
AT13 5 5 1 1 5 1 1 5 60 84
PN AM01 20 5 1 1 1 1 1 5 20 55
Granulateu 10
AM03 15 5 5 5 5 1 1 5 60
r 2
Enrobeur AM04 10 5 5 5 5 1 1 5 40 77
CàC AF01 5 5 5 5 5 1 1 5 60 92
11
Sécheur AF02 30 5 5 5 5 1 1 5 60
7
Refroidisse
AE02 15 5 1 1 1 1 1 5 20 50
ur
AC01 20 5 5 5 1 1 5 5 40 87
Les AC02 20 5 5 5 1 1 5 5 40 87
ventilateurs AC03 15 5 5 5 5 1 1 5 40 82
AC04 5 5 5 5 5 1 1 5 40 72
AC05 5 5 5 5 1 1 1 5 40 68
AC06 5 5 5 5 1 1 1 5 40 68
AC07 5 5 5 5 1 1 1 5 40 68
AS11 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
Les cyclones AS12 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
AS13 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
AP01 10 5 1 1 1 1 1 5 20 45
AP02 10 5 1 1 1 1 1 5 20 45
AP03 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
AP04 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
Les pompes
AP05 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
principales
AP06 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
AP07 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
AP08 10 5 1 1 1 1 1 5 20 45
AP10 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
KP01 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
KP02 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
Les pompes
KP03 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
réserves
KP04 5 5 1 1 1 1 1 5 20 40
KP08 10 5 1 1 1 1 1 5 20 45
Prélaveur AD01 10 5 5 5 1 1 1 5 40 73
Ligne de production :
Classification des équipements - Synthèse
507 A – 516 A
Classification de
N° de l'équipement Nom de l'équipement Evaluation l'équipement AA, A, B
ou C
507AAT01 ELEVATEUR A GODETS 139 AA
507AAF02 SECHEUR 117 AA
507AAT06 ELEVATEUR A GODETS 104 A
507AAM03 GRANULATEUR 102 A
507AAT04 ELEVATEUR A GODETS 99 A
CHAMBRE DE
507AAF01 92 A
COMPBUSTION
507AAC01 VENTILATEUR 87 A
507AAC02 VENTILATEUR 87 A
507AAT05 ELEVATEUR A GODETS 84 A
507AAT13 ELEVATEUR A GODETS 84 A
507AAC03 VENTILATEUR 82 A
507AAM04 ENROBEUR 77 A
Broyeurs (AB01-
BROYEURS 77 B
BB01-CB01-DB01)
507AAT02 CONVOYEUR A BANDE 76 B
507AAD01 PRELAVEUR 73 B
507AAD02 LAVEUR SECHEUR 73 B
507AAD03 LAVEUR DE POUSSIERE 73 B
507AAD04 LAVEUR DE GAZ FINAL 73 B
507AAC04 VENTILATEUR 72 B
507AAC05 VENTILATEUR 68 B
507AAC06 VENTILATEUR 68 B
507AAC07 VENTILATEUR 68 B
507AAT03 CONVOYEUR A BANDE 66 B
507AAT07 CONVOYEUR A BANDE 56 B
507AAT11 CONVOYEUR A BANDE 56 B
507AAA01 AGITATEUR DU PN 55 B
507AAM01 PRENEUTRALISEUR 55 B
507AAD05 PILE 50 B
507AAE02 REFROIDISSEUR 50 B
EVAPORATEUR
507AAE04 50 B
D'AMONIAC
507AAS01 CRIBLE PRIMAIRE 48 B
507AAA02 AGITATEUR 48 B
507AAA03 AGITATEUR 48 B
507AAA04 AGITATEUR 48 B
507AAA05 AGITATEUR 48 B
507AAA06 AGITATEUR 48 B
507AAP01 POMPE A BOUILLE 45 B
POMPE DE LAVAGE DE
507AAP02 45 B
GAZ
507AAS05 CRIBLE PRIMAIRE 44 B
507AAS09 CRIBLE FINISSEUR 44 B
POMPE DE LAVAGE DE
507AAP03 40 B
GAZ
POMPE DE LAVAGE DE
507AAP04 40 B
GAZ
POMPES DEFOAMER DE
507AAP05 40 B
MESURE
POMPES DEFOAMER DE
507AAP06 40 B
MESURE
507AAS11 CYCLONE SECHEUR 40 B
CYCLONE
507AAS12 40 B
REFROIDISSEUR
POMPE TRANSFERT
516AAP01 40 B
HIULE D'ENROBAGE
POMPE TRANSFERT
516AKP01 40 B
HIULE D'ENROBAGE
POMPE DEPOTAGE
516AAP02 40 B
HUILE ENROBAGE
POMPE DEPOTAGE
516AKP02 40 B
HUILE ENROBAGE
POMPE DE TRANSFERT
516AAP04 40 B
DE FUEL
POMPE DE TRANSFERT
516AKP04 40 B
DE FUEL
POMPE DEPOTAGE
516AAP05 40 B
HUILE ENROBAGE
POMPE DEPOTAGE
516AKP05 40 C
HUILE ENROBAGE
POMPE DE
516BAP01 DECHARGEMENT DE 40 C
FUEL
POMPE DE
516BKP01 DECHARGEMENT DE 40 C
FUEL
516 AAP03 POMPE FUEL LOURD 40 C
516 AKP03 POMPE FUEL LOURD 40 C
507AAS13 CYCLONE POUSSIERE 40 C
507AEC02 TANSFORMER 36 C
507AEC03 TRANSFORMER 36 C
507AKP01 POMPE A LISIER 36 C
Annexe 4 : Liste des pièces de rechanges requise pour les élévateurs à godets
Description Quantité requise
Pignon d’entrainement 1
Pignon entraîné 1
Coussinet 2
Identification du
Clarification du Atelier : DAP Réalisé par :
problème du coupleur
phénomène Entité : JFC 2 Aazmi Abdellah
hydraulique
Données relatives au phénomène
Qui Le coupleur hydraulique
Quoi Température élevée qui implique une fusion du fusible
Ou Entre le moteur et le réducteur
Quand Surcharge du godet
Par quel Continuellement en chaque point du coupleur
Comment A la présence d’une surcharge la pression de l’huile augmente ce
qui implique une augmentation de sa température
Phénomène Des arrêts répétitifs et fréquents de l’élévateur
reformulé
Identification du
Clarification du Atelier : DAP Réalisé par :
problème du
phénomène Entité : JFC 2 Aazmi Abdellah
moteur vireur
Données relatives au phénomène
Qui Le moteur vireur
Quoi Sur-échauffement du moteur
Ou Entre le moteur et le réducteur
Quand Présence d’une charge au godet
Par quel Continuellement en chaque point du moteur
Comment A la présence d’une charge au démarrage le moteur est par la suite
surchauffé
Phénomène Présence d’une charge au démarrage
reformulé
Identification du
Clarification du Atelier : DAP Réalisé par :
problème des
phénomène Entité : JFC 2 Aazmi Abdellah
godets
Données relatives au phénomène
Qui Godets
Quoi Usure et déformation
Ou Tout au long de l’élévateur à godet
Quand A la présence d’une charge excessive
Par quel Graduellement ou brusquement
Comment La présence d’une surcharge anormale, soit qu’elle soit supérieure
à celle du Cdc ou une charge dû à un corp étranger du système
Phénomène Présence d’une charge anormale au niveau des godets
reformulé
Identification du
Clarification du Atelier : DAP Réalisé par :
problème de
phénomène entité : JFC 2 Aazmi Abdellah
l’accouplement
Données relatives au phénomène
Qui L’accouplement
Quoi Usure de l’accouplement
Ou Entre le moteur et le réducteur
Quand Surcharge du godet
Par quel Graduellement
Comment Les charges excessives impliquent une dégradation de
l’accouplement
Phénomène Surcharge des accouplements
reformulé
Identification du
Clarification du Atelier : DAP Réalisé par :
problème du
phénomène entité : JFC 2 Aazmi Abdellah
coussinet
Données relatives au phénomène
Qui Coussinet
Quoi Cassure et usure
Ou Tourteau inférieur
Quand A la présence d’un frottement excessif
Par quel Graduellement au niveau du point de contact
Comment Une surcharge sur le coussinet cause par la suite sa fatigue rapide
et son usure
Phénomène Des arrêts répétitifs et fréquents de l’élévateur
reformulé
Description
de l'écart
Vérification 1. Pourquoi Vérification 2. Pourquoi Vérification 3. Pourquoi Vérification 4. Pourquoi Vérification 5. Pourquoi
Mode de
défaillance
Matériau non
NV
conforme
Démarrage avec Absence de vidange Problème de vidange et absence
V V V
charge avant démarrage du moteur vireur
V Surcharge V Grand couple
Sur- Présence d’une
V V Qualification humaine V Manque du mode opératoire
échauffement corp étrangère
du coupleur Problème de
V Défaut géométrique V V Mauvaise vérification avec CDC
hydraulique fabrication
V Frottement excessif V Mauvais guidage
V Défaut de réglage V Qualification humaine V Manque du mode opératoire
Technologie non
V adéquate du bouchon
fusible
Description
de l'écart
Vérification 1. Pourquoi Vérification 2. Pourquoi Vérification 3. Pourquoi Vérification 4. Pourquoi Vérification 5. Pourquoi
Mode de
défaillance
Démarrage avec Absence de vidange Problème de vidange et absence
V V V
charge avant démarrage du moteur vireur
Mauvais
Couple maximal
Sur- V Surcharge V Couple important V V dimensionnement du V Non-respect du cahier de charge
faible du moteur
échauffement moteur
du moteur Présence corp
V V Qualification humaine V Manque du mode opératoire
vireur étranger
Problème de
V Défaut géométrique V V Mauvaise vérification avec CDC
V Frottement excessif V Mauvais guidage fabrication
V Défaut de réglage V Qualification humaine V Manque du mode opératoire
Description
de l'écart
Vérification 1. Pourquoi Vérification 2. Pourquoi Vérification 3. Pourquoi Vérification 4. Pourquoi Vérification 5. Pourquoi
Mode de
défaillance
Matériau non
V
conforme
Présence d’une corp
V V Absence de filtrage V Problème de fabrication V Mauvaise vérification avec CDC
étrangère
Usure et
déformation Condensation de la Mal fonctionnement du
V Bourrage V V V Technologie non adéquate
des godets V Surcharge matière capteur de bourrage
Non-respect des
Défaut de
V Cadence élevé V V conditions de V Qualification humaine
production
fonctionnement
Description
de l'écart Vérificatio Vérificatio Vérificatio Vérificatio
Vérification 1. Pourquoi 2. Pourquoi 3. Pourquoi 4. Pourquoi 5. Pourquoi
Mode de n n n n
défaillance
Description
de l'écart
Vérification 1. Pourquoi Vérification 2. Pourquoi Vérification 3. Pourquoi Vérification 4. Pourquoi Vérification 5. Pourquoi
Mode de
défaillance
Matériau non
NV
conforme
NV Défaut géométrique
Cassure et
usure des Dépassement de la
V Vieillissement V
coussinets durée de vie
Détérioration du Cassure du chapeau en
V V
chapeau fonte Mauvaise qualité
V
des plaques
V Fatigue
Indices de
Matériel Caractéristique de la défaillance
criticité
Action et
Mode de Effet de
Cause de Mode de contremesures
N° Composant Fonction N° défaillan défaillanc G F N C
défaillance détection
ce e
Usure
des Essaie non
Changer les
1.1 éléments Fatigue Vibration destructiv 5 2 4 40
éléments en usure
de la e
chaine
Transmet
Rupture
Chaines tre le
des Détachem Changer les
1 d'entrainem mouvem Charge
1.2 éléments ent de la Visuelle 5 1 1 5 éléments en
ent ent aux excessive
de la chaîne rupture
godets
chaine
Surcharge Vérifier la charge
Essaie non
Déforma et remplacer les
1.3 Désalignem Vibration destructiv 5 1 4 20
tion éléments
ent e
déformer
Réduction
Capteur de
Echauffe de la Contrôler la charge
Générer 2.1 Surcharge températu 1 2 1 2
ment durée de appliquée
une re
vie
énergie
2 Moteur
mécaniq
ue de Problème
Pas de Arrêt du Capteur de Vérifier le
rotation 2.2 d'alimentati 2 1 1 2
rotation système rotation montage
on
Fissure
Remplacer les
Transpor et Présence
godets en usure et
3 Godets t du 3.1 déformat d’un corps Surcharge Visuel 5 2 5 50
élimination du
produit ion des étranger
corps étranger
godets
Tordre
les
chaines
Guidage Renforcer la
Tendeur à Déséquili Usure de Analyse
4 des 4.1 Vibration 4 1 2 8 structure du
gravité bre la chaine vibratoire
chaines tendeur
Absorpti
on des
chocs et
vibration
s
Surcharge
Sur- Arrêt de
Remplacer le
5.1 échauffe transmissi 4 4 4 64
Transmis coupleur
Coupleur ment Frottement on Analyse
5 sion du
hydraulique vibratoire
couple
Arrêt de
Fuite Dégradation Remplacer les
5.2 transmissi 4 1 2 8
d'huile des joints joints d'étanchéité
on
Contrôle
Usure Arrêt de Contrôler les dents
non
6.1 des Surcharge transmissi 5 1 2 10 des pignons du
destructiv
dents on réducteur
e
Réduction
Capteur de Améliorer la
Echauffe de la
6.2 Frottement températu 3 3 2 18 méthode de
ment durée de
Réductio re lubrification
vie
6 Réducteur n de
vitesse Fuite Dégradation Echauffem Niveau Remplacer les
6.3 3 1 2 6
d'huile des joints ent d'huile joints d’étanchéité
Dégradatio
n des Contrôler
Mauvais Analyse
6.4 Vibration éléments 2 1 4 8 l'alignements des
alignement vibratoire
du arbres
réducteur
Contrôle
Arrêt du non
7.1 Usure Surcharge 5 1 3 15 Corriger l'usure
système destructiv
Transmis
e
Tourteau sion du
7 Affectatio
inférieur mouvem
n des
ent Mauvais Analyse Renforcer les
7.2 Vibration éléments 3 1 3 9
guidage vibratoire guides du tourteau
du
système
Transmis Contrôle
Tourteau sion du Usure de Surcharge, Vibration, non Remplacer la
8 8.1 4 1 2 8
supérieur mouvem denture fatigue Surcharge destructiv section dentée
ent e
Mauvaises
Boîtier,
Colmatag conditions Assurer un
structure Baisse de
9 Sécurité 9.1 e des de Visuel 2 1 2 4 revêtement
portes sécurité
parois fonctionne contre-colmatage
visites
ment
Mauvaises
Entré de conditions
Goulotte de Bouchag Baisse de Nettoyage de la
10 la 10.1 de Visuel 2 1 2 4
charge e production goulotte de charge
matière fonctionne
ment
Mauvaises
Sortie de conditions Nettoyage de la
Goulotte de Bouchag
11 la 11.1 de Surcharge Visuel 4 1 2 8 goulotte de
décharge e
matière fonctionne décharge
ment
Réduction
Améliorer le
de la Capteur de
Echauffe lubrifiant et la
12.1 Frottement durée de températu 1 3 1 3
ment méthode de
vie, re
lubrification
grippage
Mauvaise
lubrification Contrôle
Corriger
Surcharge Panne non
12.2 Grippage 3 2 4 24 l'ajustement au
Action de totale destructiv
roulement
particule e
Guidage
étranger
12 Paliers en
rotation Améliorer le
Rupture Arrêt de
12.3 Surcharge Visuel 3 3 2 18 dispositif
du palier production
d'étanchéité
Rupture
des Arrêt de Remplacer les
12.4 Surcharge Visuel 4 1 2 8
rouleme production roulements
nts
Contrôle
Défaut
non Remplacer les
12.5 Usure d'alignemen Bruit 5 3 3 45
destructiv paliers
t, Surcharge
e
Démarrag
Démarra
Sur- e avec le Remplacer par un
Moteur ge à
13 13.1 échauffe Surcharge moteur de Outillage 3 5 4 60 moteur à
vireur petite
ment fonctionne puissance élevé
vitesse
ment
Sécurité
de l'arrêt Mauvaises Contrôler les
Anti- Coincem Arrêt
14 de retour 14.1 conditions Visuel 5 1 1 5 conditions de
dériveur ent prolongé
de la de base bases
bande
Transmis Usure, Défaut Arrêt de la
Accoupleme Remplacer
15 sion du 15.1 déformat d'alignemen transmissi Visuel 4 4 3 48
nt rigide l’accouplement
couple ion t, surcharge on
Mauvaise Panne Contrôle
16 Coussinet 16.1 Grippage 3 2 4 24
lubrification totale non
Surcharge destructiv
e Corriger
Action de l'ajustement au
particule roulement
étranger
Mauvaise
lubrification Contrôle
Dégradatio
Surcharge non
16.2 Erosion n du 3 2 4 24
Guidage Action de destructiv
coussinet
en particule e
rotation étranger
Remplacer les
Mauvaise paliers
lubrification Contrôle
Arrêt de non
16.3 Usure Défaut 5 4 3 60
production destructiv
d'alignemen e
t
Surcharge
Ligne de production :
Classification des équipements - Synthèse
507 A – 516 A
Classification de
N° de l'équipement Nom de l'équipement Evaluation l'équipement AA, A, B
ou C
507AAM03 GRANULATEUR 134 AA
507AAF02 SECHEUR 117 AA
507AAC01 VENTILATEUR 115 A
CHAMBRE DE
507AAF01 97 A
COMPBUSTION
507AAC02 VENTILATEUR 97 A
507AAC03 VENTILATEUR 92 A
507AAC04 VENTILATEUR 90 A
507AAT06 ELEVATEUR A GODETS 84 A
507AAT01 ELEVATEUR A GODETS 82 A
507AAM04 ENROBEUR 77 A
Broyeurs (AB01-
BROYEURS 77 A
BB01-CB01-DB01)
507AAT02 CONVOYEUR A BANDE 76 A
507AAD01 PRELAVEUR 73 B
507AAD02 LAVEUR SECHEUR 73 B
507AAD03 LAVEUR DE POUSSIERE 73 B
507AAD04 LAVEUR DE GAZ FINAL 73 B
507AAT04 ELEVATEUR A GODETS 73 B
507AAT05 ELEVATEUR A GODETS 73 B
507AAT13 ELEVATEUR A GODETS 73 B
507AAC05 VENTILATEUR 68 B
507AAC06 VENTILATEUR 68 B
507AAC07 VENTILATEUR 68 B
507AAT03 CONVOYEUR A BANDE 66 B
507AAT07 CONVOYEUR A BANDE 56 B
507AAT11 CONVOYEUR A BANDE 56 B
507AAA01 AGITATEUR DU PN 55 B
507AAM01 PRENEUTRALISEUR 55 B
507AAD05 PILE 50 B
507AAE02 REFROIDISSEUR 50 B
EVAPORATEUR
507AAE04 50 B
D'AMONIAC
507AAS01 CRIBLE PRIMAIRE 48 B
507AAA02 AGITATEUR 48 B
507AAA03 AGITATEUR 48 B
507AAA04 AGITATEUR 48 B
507AAA05 AGITATEUR 48 B
507AAA06 AGITATEUR 48 B
507AAP01 POMPE A BOUILLE 45 B
POMPE DE LAVAGE DE
507AAP02 45 B
GAZ
507AAS05 CRIBLE PRIMAIRE 44 B
507AAS09 CRIBLE FINISSEUR 44 B
POMPE DE LAVAGE DE
507AAP03 40 B
GAZ
POMPE DE LAVAGE DE
507AAP04 40 B
GAZ
POMPES DEFOAMER DE
507AAP05 40 B
MESURE
POMPES DEFOAMER DE
507AAP06 40 B
MESURE
507AAS11 CYCLONE SECHEUR 40 B
CYCLONE
507AAS12 40 B
REFROIDISSEUR
POMPE TRANSFERT
516AAP01 40 B
HIULE D'ENROBAGE
POMPE TRANSFERT
516AKP01 40 B
HIULE D'ENROBAGE
POMPE DEPOTAGE
516AAP02 40 B
HUILE ENROBAGE
POMPE DEPOTAGE
516AKP02 40 B
HUILE ENROBAGE
POMPE DE TRANSFERT
516AAP04 40 B
DE FUEL
POMPE DE TRANSFERT
516AKP04 40 B
DE FUEL
POMPE DEPOTAGE
516AAP05 40 B
HUILE ENROBAGE
POMPE DEPOTAGE
516AKP05 40 C
HUILE ENROBAGE
POMPE DE
516BAP01 DECHARGEMENT DE 40 C
FUEL
POMPE DE
516BKP01 DECHARGEMENT DE 40 C
FUEL
516 AAP03 POMPE FUEL LOURD 40 C
516 AKP03 POMPE FUEL LOURD 40 C
507AAS13 CYCLONE POUSSIERE 40 C
507AEC02 TANSFORMER 36 C
507AEC03 TRANSFORMER 36 C
507AKP01 POMPE A LISIER 36 C