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1) L'ADJECTIF

L'adjectif est un mot que l'on joint au nom pour exprimer une qualité de l'être ou de l'objet nommé pour
introduire ce nom dans le discours (Grevisse, p.309).

Il exprime la caractéristique de l'objet désigné par le substantif.

Sa fonction primaire syntaxique consiste donc à former

Une épithète (une grande maison) ou

un attribut (la maison est grande).

L'ADJECTIF: ASPECT GRAMMATICAL

L'adjectif possède les catégories grammaticales du nom: le genre et le nombre. Puisqu'il dépend
entièrement de la caractéristique morphologique du nom qu'il détermine.

La catégorie du genre des adjectifs est asémantique= elles ne correspondent à rien de réel dans le
monde extralinguistique!

Le féminin des adjectifs se forme de la même façon que le féminin des substantifs.

2) LA CATÉGORIE MORPHOLOGIQUE : LE GENRE

Le féminin des adjectifs se forme de la même façon que le féminin des substantifs bien que dans
certains cas l'adjectif marque à lui seul l'appartenance sexuelle:

a) Je suis surprise; Cela vous rend malhereuse;

b) Notre nouvelle camarade;

c) Soyez attentives.

On ne distingue le genre ni à l'oral, ni à l'écrit dans les cas suivants:

 Au masculin en -e: rouge, brave;


 Adj de couleur dérivé de noms: une robe marron; une étoffe carmin;
 Les adjectifs qui ne s'emploient qu'un de deux genres: un nez aquilin, un courant triphasé;
bouché bée, ignorance crasse.
 Adj. peu usité: une toilette chic, une chèvre angora; la couleur kaki.

LA CATÉGORIE MORFHOLOGIQUE : LE NOMBRE

La catégorie du nombre des adjectifs est également asémantique.

Beaucoup de formes qui ne varient pas en genre varient en nombre (des gens chics, des uniformes
kakis).

GROUPES SÉMANTIQUES D'ADJECTIFS

On distingue deux grands groupes sémantiques d'adjectifs: adjectifs qualificatifs et adjectifs de relation
qui diffèrent par leur origine, leur sens général, leur fonctions syntaxiques.
Les adjectifs qualificatifs caractérisent un objet d'après

 sa forme (long, rond)


 sa couleur (noir, rouge)
 ses dimensions (petit, énorme)
 les sentiments ou l'impression qu'ils provoquent (doux, agréable, odieux) etc.

Les adjectifs de relation caractérisent les objets d'après leur relations avec d'autres objets. Ils marquent
l'appartenance ou l'origine (ouvrier, français), les relations temporelles ou spatiales (futur, préalable,
isolé, voisin) etc.

3) LES DEGRES DE SIGNIFICATIONS DES ADJECTIFS

Une des fonctions des adjectifs est d'exprimer les qualités des objets:

* La catégorie de dégres d'intensité

* La catégorie de dégres de comparaison

LA CATÉGORIE DE DÉGRES D'INTESITÉ

L'adjectif qualificatif exprime une qualité à des degrés d'intensité l'expression ou l'intensité est exprimée
par les adverbes, les préfixes ou les suffixes.

L'intensité faible: l'adverbe peu et les adverbes en-ment: faiblement, légèrement, etc.

Il est peu courageux.

Les préfixes sous-, hypo peuvent également être utilisés :

Il est sous-alimenté;

Il est hypotendu.

LA CATÉGORIE DE DÊGRES D’INTENSITE

L'intensité moyenne:

Les adverbes assez, moyennement, quasi (ou quasiment), presque, plutôt

Elle est plutôt jolie. Sa rėdaction était presque réussie.

L'intensité élevée: Les adverbes très, tout, fort, bien, tout à fait + les adverbes en -ment entièrement,
absolument, etc.

Il est fort petit. Ce plat est trop chaud.

Enfin, on pourra utiliser les préfixes extra-, super-, hyper- ultra-.. pour marquer une forte intensité:

C'est archifaux ! C'est hyper-intéressant!

Plus rare, on utilisera le suffixe -issime : Cet acteur est richissime.


4) LA CATÉGORIE DE DÉGRES DE COMPARAISON

Le dégres positif constitue en fait le dégres zéro de l'évaluation des adjectifs (J.Pinchon, R. Wagner) =
égale aux dégres d'intensité.

Le comparatif indique que la qualité dénotée est évaluée par rapport å quelque chose.

4 modalités de comparaison d'une qualité:

 I qualité est comparée dans 2 objets: L'hiver est plus froid que l'automne.
 I qualité est comparée dans le même objet pris dans une autre circonstance: L'hiver de cette
année est plus froid que l'année précédente.
 2 qualités sont comparées dans le même objet: L'hiver de cette année est plus humide que
froid.
 2 qualités sont comparées dans 2 objets différents: Généralement l'hiver est aissi froid quel'été
est chaud.

LES DEGRÉS DE COMPARAISON: LE COMPARATIF

Suivant l'adverbe qu'on met devant l'adjectif, on donne une intensité

- de supériorité : plus + adj.: Il est plus grand que toi.

- d'égalité : aussi + adj : Il est aussi grand que toi.

- d'infériorité : moins + adj : Il est moins grand que toi.

L'adjectif est généralement suivi d'un complément de comparaison introduit par « que » et qui peut
être :

- un groupe nominal : Il est plus petit que sa femme.

- un adjectif qualificatif : Il est aussi obstiné

- un adverbe: Ce vin est moins bon qu'autrefois.

- une proposition subordonnée : Ce professeur est plus aimé qu'on ne le croit.

Plus mauvais alterne avec pire: Mes conditions de travail sont plus mauvaises (pires) que les tiennes.

 Pire aux expressions figées: Le remède est pire que le mal. Il n'y a pire sourd que celui qui ne
veut pas entendre!
 Pis: comme adjectif: c'est bien pis!
 Comme adverbe: "plus mal"= les choses vont de mal en pis.
 Moindre: seulement avec les adj. abstarits: c'est un moindre mal! Il connaît cette histoire dans
les mondres détails.

LES DEGRÉS DE COMPARAISON: LE SUPERLATIF

Le superlatif exprime le plus haut ou le plus bas degré d'une qualité par rapport à un ensemble.
L'adjectif est alors précédé de le plus (comparatif de supériorité) ou de le moins (comparatif
d'infériorité).
- la supériorité: Ce tableau est le plus beau de tous.

- l'infériorité : Il est le moins gentil de tous.

On le voit l'adjectif est généralement suivi dans ce cas, d'un complément, généralement introduit par
une préposition: Alexandre est le plus grand des conquérants. Il était le meillew d'entre nous.

5) LES ADJECTIFS SANS DEGIRÉS

Les adjectifs de qualité n'admettent pas en degrès:

Les adj. relationnels: métalique, géologique (s'ils ne sont pas employés au sens figuré) très métallique;
plus géologique

Les idées absolues, très concrète: carré, circulaire, double, mort. une notion d'intensité ou de

Des adj. Avec une notion d'intensité ou de comparaison: dermier, excessif, perpétuel, premier, unique

LES FONCTIONS SYNTAXIQUES DES AJDJECTIFS: EPITHETE*ATTRIBUT

L'adjectif qualificatif peut avoir deux fonctions: il est épithète ou il est attribut.

S'il s'ajoute au nom directement, il fait partic du groupe nominal.

On dit alors qu'il est épithète: La monstrueuse créature avance vers le héros. GN

Soit il est relié au nom au moyen d'un verbe, l'adjectif qualificatif fait partic du groupe verbal. On dit
alors qu'il est attribot:

La creature est monstruenIse. GV

LES FONCTIONS SYNTAXIQUES DES AIDJECTIFS: ÉPITHÈTE

Les adjectifs préposés (d'une syllabe): bon, joli, petit, grand.

Antéposé: = sens figuré = une appréciation subjective: une sourde hostilité, un affreux spectacle
Nom+adj.épithète = la norme grammaticale!!!!

Après le nom sont placés les adj.relationnels: une fete familiale.

Les adj. polysyllabiques près d'un nom monosyllabique: l'eau potable, un vers harmonieux.

Les adj.de couleur, de forme: une table ronde, un champ vert.

Des participes passés pris adjectivement: un voyage fatiguant, un animal apprivoisé.

L'épithète peut être séparée du nom par une virgule. On dit alors qu'elle est détachée:

La créature, monstrueuse, nous regardait de ses petits yeux méchants

ou

Monstrueuse, la créature nous regardait de ses petits yeux méchants.

Dans le dernier exemple, en mettant monstrueuse au début de la phrase, on met l'adjectif en valeur (en
le plaçant au début de la phrase). On insiste sur l'idée de monstruosité.
LES FONCTIONS SYNTAXIQUES DES ADJECTIFS: ATTRIBUT

Il qualifie un nom, mais a besoin d'un verbe pour cela (très souvent le verbe être ) :

Le dragon est monstrueux.

L'adjectif monstrueux qualific le nom dragon par l'intermédiaire du verbe être; il est alors appelé
adjectif qualificatif attribut, il appartient verbal (est monstrueux).

Les verbes: au groupe sauf être, devenir, paraitre, sembler, demeurer, avoir l'air, passer pour forment le
groupe nominal:

Le dragon devient monstrueux (GN)

Le dragon semble monstrueux(GN)

Le dragon air monstrueux (GN)

L'ADJECTIF ATTRIBUT

L'adjectif attribut du sujet: Dracula a l'air effrayant.

Dans cet exemple, effrayant est attribut du sujet, car il qualifie le nom du groupe nominal sujet Dracula.

L'adjectif attribut du COD (on dit aussi de l'objet)

L'adjectif se rencontre en fonction d'attribut du COD avec des verbes comme croire, juger, faire, estimer,
rendre, trouver, nommer, laisser, appeler.

Prenons ces deux phrases :

1- La créature est monstrueuse. (monstrueuse qualifie le nom du groupe nominal sujet La créature. Il
est donc attribut du sujet.)
2- J'ai trouvé la créature monstrueuse.(si monstrueuse est toujours attribut de la créature, il est cette
fois attribut du COD.)

Résumons

L'épithète fait partie du groupe nominal et peut être supprimée.

L'attribut fait partie du groupe verbal, et ne peut être supprimé. S'il qualifie le sujet, il est attribut du
sujet, S'il qualifie le COD, il est attribut du COD.
6) L’adverbe est un mot qui s’ajoute à un verbe, mais aussi à un adjectif
ou à un autre adverbe  pour en modifier ou en préciser le sens.

Les adverbes peuvent aussi être classés en fonction des différents


sens qu’ils apportent à la phrase. On distingue en général les
catégories suivantes:

Les adverbes de manière

 bien, mal, rapidement, joyeusement, lentement, etc.


[c’est dans cette catégorie qu’on trouve le plus d’adverbes en  -ment]
Les adverbes de quantité ou d’intensité
 assez, beaucoup, encore, énormément, extrêmement, peu, très,
etc.
 Les adverbes de temps (nommés aussi adverbes de circonstance)
 autrefois, bientôt, demain, hier, désormais, maintenant, tantôt,
tôt, etc.
Les adverbes de lieu (nommés aussi adverbes de circonstance) 
 autour, derrière, devant, dedans, dehors, etc.
Les adverbes d’affirmation, de négation et de doute (nommés aussi
adverbes d’opinion ou d’appréciation)
 apparemment, assurément, aucunement, certainement, jamais,
nullement, peut-être, vraisemblablement, etc.

Les adverbes d’interrogation

 Quoi ? Qui ? Combien ? Comment ? Où ? Pourquoi ? Quand ?,


etc.

7) Les fonctions de l’adverbe

a) Comme son nom l’indique, l’adverbe a tout d’abord pour fonction


de compléter un verbe. Il donne des informations sur l’action
exprimée par le verbe.

Exemples:

 Il court rapidement. [Comment court-il? réponse: rapidement]


 Il mange beaucoup. [Combien mange-t-il ? réponse: beaucoup]
 Il se couche tard. [Quand se couche-t-elle? réponse: tard]

Remarque  :
Certains adjectifs sont employés adverbialement après un verbe.
Ces adjectifs ont alors la fonction d’un adverbe et sont, par
conséquent, invariables.

Exemples: elle travaille dur, la vie coûte cher, il chante faux, etc.

Pour en savoir plus, consultez notre article sur les adjectifs qui


restent invariables.

b) En plus, l’adverbe peut aussi donner des précisions supplémentaires


à un adjectif ou à un autre adverbe:

Exemple d’adverbes qui modifient le sens d’un adjectif  :

  L’entreprise est très prospère.
 Ce matériau est extrêmement robuste.
 Avec un bon microscope, on voit des choses infiniment petites.

Exemple d’adverbes qui modifient le sens d’un adverbe  :

 Il marche trop lentement.
 Elle parle très bien français.
 Il a assez mal travaillé.

Rappel de la différence entre la fonction d’un adjectif et


d’un adverbe :

 L’adjectif qualifie un nom (ou un pronom) et s’accorde avec lui


en genre et un nombre.
 L’adverbe qualifie un verbe, un adjectif ou un autre
adverbe et est invariable.

8) Le comparatif et le superlatif sont des degrés de l’adverbe.

Le comparatif permet d’établir une relation d’égalité, d’infériorité ou


de supériorité entre deux termes. Le complément introduit
par que n’est pas obligatoire.

Le superlatif peut être absolu : dans ce cas, l’adverbe est précédé


par un autre adverbe exprimant l’intensité (il
travaille  extrêmement  bien,  très  bien,  fort  bien). Il peut aussi
être relatif : il indique le plus haut ou au plus bas degré.

Degré de Comparatif Superlatif (relatif)


comparaison (forme: article défini «  le  » + comparatif

d’infériorité et de supériorité)

égalité aussi… que  

supériorité plus… que le plus… (de)

infériorité moins… que le moins… (de)

Exemples :

 Ce collaborateur travaille vite.
[degré positif, sans comparaison]
 Ce collaborateur travaille aussi  vite que son collègue.
[degré d’égalité]
 Ce collaborateur travaille plus  vite que son collègue.
[degré de supériorité]
 Ce collaborateur travaille moins  vite que son collègue
[degré d’infériorité]
 Ce collaborateur travaille le plus / le moins  vite de toute
l’équipe.
[superlatif vers le haut et vers le bas]

Remarque:

Si vous vous voulez intensifier le superlativ de supériorité (plus… que)


ou d’infériortié (moins… que), vous pouvez placer des adverbes
d’intenstité tels que beaucoup, nettement, sensiblement,
notablement avant la comparaison:

 Ce collaborateur travaille beacoup plus vite que son collègue.


 Avec notre produit, votre linge sera nettement plus blanc.
 Appliquez notre crème, et votre peau
sera sensiblement plus douce.

9) LE CLASSEMENT DES PRONOMS


Les pronoms personnels, possessifs, démonstratifs, relatifs, interrogatifs, indéfinis
Les pronoms démonstratifs (ça, ce, ceci, celui, celui-la)
Les pronoms possessifs (le mien, le tien, lé sien)
Les pronoms relatifs (qui , que, quoi, dont, lequel)
Les pronoms demonstratives (ca,ce, celui-ci, celui)
Les pronoms indefinis (aucun, chacun, pas un personne, tout)
11) C’ est la présence ou l’absence de la flexion que distigue les espèces de mots invariables
(prépositions, conjonctions, interjections).
Les prépositions et les conjonctions indiquent une relation logique entre les parties du
discours dans la phrase.
On oppose encore les parties du discours majeures (nom, verbe, adjectif et adverbe) qui ont un
sens et des parties du discours mineures, (prépositions, conjonctions), qui ne signifient rien par
elles-mêmes.
Selon Ch. Bally les ligaments (copules, prépositions, conjonctions, actualisateurs,
quantificateurs et signes grammaticaux implicites) ont pour fonction de grouper en syntagmes les
signes appartenant à des catégories complémentaires dans le rapport de déterminé et déterminant.
Quant aux classes des mots-outils : prépositions, conjonctions, articles, interjections,
particules on hésite généralement entre deux solutions. Certains savants les considèrent comme
parties du discours du fait que ce soient des mots à part comme les mots significatifs. Pour ces
auteurs les parties du discours sont de simples parties du vocabulaire. Les autres savants refusent
de mettre dans le même sac les mots-outils et les mots nominatifs, car ils appartiennent à des
niveaux différents du système linguistiques et dans la proposition ils exercent des fonctions
toutes différentes.
Reste à essayer de définir le statut de la conjonction, mot-outil à valeur grammaticale qui
présente des particularités. La conjonction n’entre dans aucun sous-système des catégories
grammaticales propres à telle ou telle partie du discours, mieux dire, elle constitue une catégorie
grammaticale mais qui diffère de toutes celles qu’on connaît, car la conjonction marque des
rapports entre des phrases entières, elle remplit cette fonction pas par rapport au mot mais à un
niveau plus supérieur: la phrase, la superphrase
selon V. Brøndal : la relation – la préposition et la conjonction;

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