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Fait par :
-CHARANI Nadjet
-LARGUET Abir
-BENABDELAZIZ Cherifa
-HAMMOUM Hania
-BELAININE Selma
-TEGGAR Yasmine
Sommaire :
I. Histoire.
II. Introduction.
III. Définition.
IV. Les types de catalyseurs.
V. Les générations des catalyseurs.
VI. Préparation des catalyseurs.
VII. Les propriétés d’un bon catalyseur.
VIII. Mode d’activation et désactivation des catalyseurs.
IX. Régénération des catalyseurs.
X. Utilisation des catalyseurs.
XI. Mécanisme réactionnelle.
XII. Conclusion.
Histoire :
Avant le 19éme cycle les Grèce utiliser la cendre comme un catalyseur pour produire le savon
ils faisaient bouillir de l'eau contenant des cendres de bois avec de la graisse animale
(la saponification est un exemple de réaction catalytique), Sa compréhension ne nous est
parvenue qu'au 19ème siècle grâce au chimiste français Michel-Eugène Chevreul (1786-
1889 !). Les graisses sont des glycérides qui, sous l'action des cendres végétales (l'alcali issu
des cendres jouant le rôle de catalyseur).
Ce n'est qu'au 19ème siècle que la catalyse commence à faire parler d'elle au sens d'une
découverte.
L'oxydation de l'hydrogène sur des fils de palladium, d'iridium et de platine intéresse entre
autres Faraday (1834).
En 1894, un pas important est franchi dans l'analyse du phénomène, mais dans le cadre de la
thermodynamique des systèmes étudiés. Ostwald attire l'attention sur le fait que la catalyse
n'affecte pas la thermodynamique du système mais seulement la cinétique des réactions
chimiques.
Définition :
Un catalyseur est un composé dont la présence permet de modifier la vitesse d'une réaction
chimique il participe à la réaction mais il ne fait partie ni des produits, ni des réactifs et
n'apparaît donc pas dans l'équation-bilan de cette réaction. Il peut prendre la forme d'une
substance soit solide (alumine), soit liquide (complexe moléculaire), soit gazeuse (monoxyde
d'azote).
-Le catalyseur hétérogène, les exemples présentés étant de plus choisis en pétrochimie dans
deux grandes classes de catalyseurs : les métaux supportés + une phase active et
les zéolithes acides.
A. Catalyseur homogène :
Un catalyseur est dit homogène s’il appartient à la même phase que les réactifs: dans ce
cas la réaction se déroule dans tout le volume Occupé par le système ; elle est d’autant
plus rapide que la concentration en catalyseur est élevée
B. Catalyseur hétérogène:
Un catalyseur est dit hétérogène s’il n’appartient pas à la même phase que les réactifs :
dans ce cas la réaction se déroule à la surface du catalyseur; elle est d’autant plus
rapide que la surface de contact du catalyseur avec les réactifs est importante.
-Phénomène de corrosion.
Phénomène de corrosion
-Ils permettent également de catalyser des réactions chimiques impliquant des molécules
capables de pénétrer à l'intérieur des canaux. Les zéolithes sont ainsi utilisées pour
l'adsorption et la décomposition de molécules odorantes ou polluantes (bâtiments
d'élevage d'animaux, chambres frigorifiques, industrie...). En catalyse, les zéolithes ont
d'importantes applications dans l'industrie pétrolière (augmentation de l'indice d'octane des
essences...) et en pétrochimie.
Remarque : les catalyseurs de 3éme génération est les catalyseurs zéolithe sont les plus
utiliser en pétrochimie.
Mes ou dernière année les catalyseurs sont développé est en trouve aussi autre
catalyseur comme catalyseur Ziegler natta ……
L’opération principale de cette méthode est le mouillage du support solide par une
solution aqueuse contenant les sels précurseurs de la phase active. Le solide final est
récupéré après séchage.
Chacune de ces méthodes de préparation est suivie par des étapes de séchage, broyage,
calcination et rebroyage du solide obtenu. Chacune de ces étapes a son importance et
son influence sur la texture du catalyseur.
Méthode sol-gel:
Parmi les différentes méthodes utilisées pour la synthèse de matériaux, le procédé sol-
gel est particulièrement bien adapté à la fabrication de matériaux homogènes, sous
forme de poudres et de films.
Lors d'une synthèse par voie sol-gel, les précurseurs moléculaires contenus dans la
solution de départ (« le sol ») polymérisent suivant divers mécanismes et forment un
réseau d'oxydes (« le gel »).
Une étape de séchage suivie de traitements thermiques permet d'éliminer les composés
organiques pour former le matériau oxyde inorganique.
Cette technique présente de nombreux avantages. Parmi les plus significatifs, citons la
très grande pureté et l'homogénéité des solutions liées au fait que les différents
constituants sont mélangés à l'échelle moléculaire en solution, les contrôles de la
porosité des matériaux et de la taille des nanoparticules, les traitements thermiques
requis à basses températures ainsi que la synthèse de matériaux inaccessibles par
d'autres techniques.
3. méthode céramique:
La méthode céramique est la méthode la plus ancienne. Elle consiste à mélanger et à
broyer intimement des composés solides (généralement des oxydes ou des carbonates
métalliques) puis à calciner la poudre obtenue dans des conditions favorables à la
formation de la structure que l'on veut obtenir.
Les principaux avantages de cette technique sont sa simplicité et le faible coût des
matières premières utilisées. Ses inconvénients restent la forte consommation
d'énergie et l’hétérogénéité des composés obtenus. Cette méthode reste peu utilisée
pour la préparation des catalyseurs à cause des faibles surfaces spécifiques des
matériaux obtenus.
4. Méthode de co precipation:
Elle consiste à dissoudre dans un solvant (généralement l’eau), les sels des différents métaux
en proportions stœchiométriques puis à ajouter un agent précipitant tel qu’un hydroxyde ,
l’acide oxalique , l’ammoniaque. Le précipité mixte obtenu est filtré puis lavé. Le composé
final de structure bien définie, est obtenu par calcination du précurseur dans les conditions de
températures appropriées à sa formation.
L’homogénéité des phases cristallines obtenues par cette méthode, ainsi que les basses
températures nécessaires à leur obtention constituent les principaux avantages de la technique.
Cependant, cette technique présente quelques inconvénients :
b) SELECTIVITE :
La sélectivité c’est la capacité du catalyseur à activer la transformation vers le produit
recherché.
Elle caractérise l’aptitude du catalyseur a accélérer uniquement la réaction désirée.
P Produit désiré
A P1 Produits secondaires
P2
[%]
c) STABILITE :
La stabilité d’un catalyseur c’est la résistance à la désactivation.
Elle est définie par le temps pendant lequel l’activité et la sélectivité du catalyseur restent
inchangées.
le réacteur et le procédé :
Echelle de temps Réacteur procédé type
a) La sulfuration :
la sulfuration est une étape d’activation importante elle utilisé en pratique sous pression
d’hydrogène et avec une charge d’hydrocarbure renfermant des produits sulfurés .on
cherche une sulfuration complète car l’activité catalytique en hydrogénation croit avec le
taux de soufre et l’on constate qu’une pré-réduction par l’hydrogène en l’absence de soufre
est défavorable à l’activité.
b) La chloration :
La chloration du support est une étape importante pour les catalyseurs de reforming car elle
permet en même temps d’acidifier le support et d’améliorer la dispersion du platine.
CH4 C + 2 H2 (7)
CO + H2 C + H2 (8)
Cn H m n C + m/2 H2
de plusieurs paramètres tel que : température, la nature de la phase active ……etc il consiste
en l’augmentation de la taille des particules qui migrent à partir des cristallites plus petites à
la surface du catalyseur. Ce phénomène est accompagné d’une diminution de la dispersion
de l’espèce active et donc une perte de l’activité catalytique.
Les métaux supporté est les zéolithe c’est les catalyseur les plus utiliser en pétrochimie
permet les procédés suivant: