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Fiche urbanisme

Textes :
Loi 1967 d’orientation foncière (LOF) : dissociation schéma directeur et POS. Crée le SCOT.
Loi 1973 Royer : implantation grande surface soumise à autorisation spéciale.
Loi 1982 décentralisation : transfert compétence où POS élaboré par commune et SCOT au niveau supra-communal. Si commune ne se
dote pas d’un POS, compétence Etat.
Loi 1985 Montagne : urbanisation en continuité (éviter le mitage). Révision en 2016 avec assouplissement : possible construction
d’annexe sur construction existante, PLU peut démontrer que pas obligation continuité si pas atteinte à préservation paysage ou activité
agricole, interdiction de construire sur bande de 300m près des lacs d’une superficie - 1000 hectares.
Loi 1986 Littoral : application pour plan d’eau + 1000 hectares ou commune près d’un estuaire. 1 : bande 100m à partir de la limite des
rivages où interdiction construire sauf espace déjà urbanisé (sauf construction économique avec besoin d’eau). 2 : extension limitée pour
espace proche du rivage ou selon JA « proche » = dès que visibilité mer et « limitée » = petite maison individuelle (Commune de Gassin 93).
3 : principe d’urbanisation en continuité (existant ou en hameau nouveau intégré à l’environnement). Possible pas en continuité pour
certains équipements si incompatible avec voisinage (éolienne). Servitude de passage indemnisé avec servitude longitudinale (tout littoral)
sauf terrain à - 15m d’habitation et servitude transversale avec pas voie accès à - 500m.
Loi Bosson 1994 : limite possibilité de recours du tiers pour éviter effet d’annulation en chaine.
Loi 2000 Solidarité et renouvellement urbain (SRU) : impose 1% de logements sociaux aux communes et sur un parc d’habitation
principale : 20%. Si non-respect, aucun PC délivré ne proposant pas de logements sociaux. // principe de possibilité de préemption partielle
donc si terrain partiellement dans ZU ou ZAU, vend en 2 parties et peut demander à adm de préempter le tout mais prix différent.
Loi 2006 Engagement national de logement (ENL) : redéfini intérêt pour agir pour restreindre accès au juge. // association agréé ou
non n’agi contre un PC que si dépôt statut en préfecture est antérieur à l’affichage en mairie de la demande de PC. // obligation d’audit du
PLU par les autorités locales tous les 3 ans.
Loi 2007 Droit au logement opposable (DALO) : toute personne non ou mal logé peut saisir la commission de médiation et ensuite le JA
pour exercer ce droit.
Lois Grenelles 2010-2011 : impose connexion DU à DE et ses grands principes. Elaboration des documents sous compétence
intercommunale : métropole et communauté urbaine.
Loi Duflot 2013 : mobilisation du foncier public pour les logements.
Décret 2013 : suppression de la possibilité de faire appel dans plusieurs cas : recours c/ PC d’un bâtiment à usage principal d’habitation ou
c/ PA si zone tendue entre 1/12/2013 et 2018 avec seulement possibilité de cassation.
Loi 2014 ALUR : communauté de communes et communauté d’agglomération ont aussi compétence pour élaboration de documents (cf
Grenelle). // Consultation obligatoire pour des travaux soumis à PC ou PA. Si projet privé, on peut obliger l’aménageur. // si ZAU classé
comme tel depuis 9 ans et rien ne s’est passé, toute la zone est inconstructible sauf révision PLU. // densification des lotissements donc
démarche build in my backyard où on subdivise un lot à d’autres personnes qui vont construire. Littéralement, construire dans mon jardin.
// renforce principe de la caducité décennale où pas possible de s’opposer à la caducité du R et lotissement de + 10 ans en 2014 voit leur R
supprimé de tout effet et application du PLU.
Loi 2014 Pinel : PC valant autorisation d’équipement commercial est créé où depuis 73 critère de 300m2 de surface de vente et ici
supérieur à 1 000m2. Examen par maire et autorité compétente : commission départementale ou nationale d’aménagement commercial
(CDAC ou CNAC). Délai d’instruction PC prorogé possiblement de 5 mois et si avis négatif maire ou commission, pas PC. PC vaut
autorisation de construire et autorisation d’implantation d’équipement commercial. Modification : PC modificatif et nouvelle autorisation.
LOI 2015 NOTRe : schémas régionaux d’aménagement de DD et égalité territorial (SRADET) peuvent être élaboré par la région. //
périmètre SCOT et PLUI peut être identique.
Loi 2016 Liberté de création, architecture et patrimoine (LCAP) : institue le site patrimonial remarquable : ville, village, quartier dont
rénovation du point de vue architectural, paysager avec un intérêt public ou espace ruraux formant ensemble cohérent sont classé par M
culture sur proposition CT. Site aura plan de sauvegarde et de mise en valeur élaboré par Etat et plan de valorisation d’architecture et du
patrimoine élaboré par CT. Zone de visibilité de 500m autour du monument.
Loi Sapin II 2016 : gouvernement prend par ordonnance des règles sur le transfert de propriété lors de cession en ZAC pour prévoir
publicité préalable donc que si cession par Etat.
Loi 2017 Egalité et citoyenneté : EPI de minimum 100 communes peut élaborer un PLU infra-communautaire.
Loi 2017 : prescription délits de 6 ans (avant 3) et point départ est fin des travaux. Toute infraction doit être intentionnelle (on doit
connaitre loi et pétitionnaire doit démontrer sa bonne foi donc cas si règle flou ou complexe). Poursuite contre bénéficiaire travaux,
entrepreneur ou architecte.

Règles :
Autorité compétente au niveau central est le ministère de la cohésion du territoire avec la direction départementale du territoire qui
assiste les communes gratuitement si -10 000 habitants et pas EP de +10 000 habitants sinon marché public passé avec l’Etat.
Corse et IDF sont deux régions qui ont compétence pour adopter le SDRIF : schéma directeur de la région.
Département : mission de protection des espaces naturels sensibles et droit de préemption sur intervention foncière.
Compétence intercommunale d’élaboration documents mais 25% communes peuvent s’y opposer ne représentant que 20% de la
population.
Rôle des citoyens : intervient pas référendum, enquête publique, concertation (art 103-2 CU : obligation si ZAC, élaboration ou révision doc
urba, projet construction et aménagement affectant l’environnement). La commune organise des réunions pour informer les citoyens dans
un temps raisonnable.
Rôle association : ont capacité d’action contentieuse spéciale. 1 : agréé (depuis 3 ans, activité statutaire réelle dans domaine de
protection, délivré par préfet) devant JJ se porte partie civile si violation règle urba. REP : apprécie intérêt pour agir selon objet acte
matériel et territorial et selon objet statutaire. Agrément : ont toutes intérêt pour agir si agrément déjà avant décision attaqué. 2 : pas
agréé : intérêt si objet en rapport avec acte et champ territorial restreint. Pour les deux, loi ENL où dépôt statut en préfecture avant
affichage en mairie de la demande de PC.
Plus de principe d’indépendance des législations et en raison de l’évolution de ses objectifs, règle urba devient le réceptacle d’autres
législations.
PLU respecte SCOT qui respecte autres législations. Rapport SCOT/PLU : compatibilité. Si pas SCOT, règle s’impose direct à PLU. SCOT pas
opposable à PC donc effet direct sur adm et indirect sur particulier. Conformité : contrainte classique (PC/PLU), compatibilité (PLU/SCOT),
obligation de prise en compte (SRADET/PLU). Rapport de conformité PC/loi.
Règle urba affecte valeur du bien et sa destination mais ne change pas propriétaire.
Indemnisation : responsabilité sans faute pour rupture d’égalité devant charges publiques si préjudice anormal et spécial.
Contenu minimal PLU : zonage. Reste : libre appréciation CT. PLU restreint le droit de propriété. Censure PLU trop précis avec degré de
contrainte trop haut. Ni trop imprécis car adm a pouvoir quasi-discrétionnaire dans choix PC. Contrôle juge sur légalité PLU : erreur
manifeste d’appréciation.
Chaque zone du PLU est associé à un R : imperméable aux limites de propriété, pas contraire au principe d’égalité, aucun droit acquis au
maintien du R d’urba.
En plus des zones dans PLU, secteurs spéciaux avec contraintes spéciales à l’intérieur. Espace boisé classé : pas changement affectation
espace ni PC sauf autorisation exceptionnelle délivré par Etat pour max 1/10 surface et reste céder gratuitement. Emplacement réservé :
emplacement gelé où pas PC (sauf conservation MM). But réaliser voie publique, espace publique ou projet d’IG (sociaux). Possible droit
délaissement avec MED CT d’acquérir B et qui a 1 an pour répondre. Peut négocier prix ou juge expropriation tranche. Autres hypo :
respect performance énergétique et environnementale avec écoquartier, bonus de constructibilité, donner % de logements sociaux (fin
Megève).
Auteur PLU oriente affectation et destination B pour garantir mixité des usages.
PLU fixe règle de hauteur max et depuis Alur : min care but de densification. Possible obligation de réalisation d’aires de stationnement en
fonction de logement (influe sur utilisation voiture). Contrainte sur nombre espace vert, emprise au sol constructible.
PLU contient : rapport de présentation expliquant les choix retenus, doc graphique avec possible règle graphique, R, projet
d’aménagement et de DD (PADD : orientation en termes d’aménagement de l’espace) et orientation d’aménagement et de programmation
(OAP : fixe orientation concrète). Décret 2015 : zone sans R PLU possible avec juste OAP (laisse projet se développé). PLU contient aussi des
annexes.
Elaboration PLU : 1 : conseil municipal ou si EPCI : organisme délibérant décide prescription d’élaboration ou réédition. Délibération initiale
a déjà des effets juridiques car adm peut opposer un sursis à statuer aux demandes de PC si compromet ou rend + onéreux l’exécution du
futur plan (flou donc pouv adm important). 2 : instruction donc rédaction par maire ou président EPCI. 3 : délibération conseil ou organe
sur acte préparatoire et pas recours possible. Avis des personnes publiques associée. Si interco et une commune pas d’accord sur dispo la
concernant directement ou sur OAP il y a une nouvelle délibération à la majorité des 2/3 des membres de l’assemblée. 4 : enquête
publique et prés TA désigne commissaire enquêteur (reçoit public, organise réunion, recueil Q). Rend rapport motivé. 5 : Approbation PLU
par conseil ou organe et différent de l’acte préparatoire que si dans sens conforme à avis commissaire. Transmis au préfet : contrôle de
légalité. Si SCOT, exécutoire après transmission et publication. Pas SCOT ou pas PLU mais PLH, exécutoire 1 mois après transmission (préfet
peut notifier modification à commune dans 1 mois et nouvelle délibération le rendra exécutoire). EENV avec affichage. PLU affiché en
mairie et publié dans recueil locaux et aussi par voie informatique.
Modification PLU : 1 : révision obligatoire si réduction ZN, ZA (même procédure qu’élaboration). 2 : modification : réduction ZA, ZAU avec
enquête publique (procédure sans associé personne publique).
Mise en compatibilité du PLU : 1 : si DUP nécessaire et que projet incompatible avec le PLU, mise en compatibilité par DUP. 2 : si règle
supérieure change, mise en compatibilité par CT sur demande préfet et si ne le fait pas : par Etat. 3 : procédure intégrée pour le logement
(PIL) permet une mise en compatibilité pour opération de construction avec logement ou locaux industriels par arrêté préfectoral.
IDF : région avec SDRIF élaboré par conseil régional approuvé par décret en CE et s’impose au PLU avec rapport de compatibilité. MGP avec
PLU métropolitain, compétence élaboration SCOT, compétence PLH. SCOT respecte SDRIF (compatible). Pour implantation d’activité
commerciale : agrément avec redevance spécifique.
SCOT identifie les terrains non bâtis à vocation à être densifié et cherche les réseaux à réaliser. S’intéresse aussi à implantation
commerciale et peut être prescriptif en imposant que pas PC si pas toutes les ZU déjà utilisé et peut imposer secteur avec une densité
minimum. Pas direct opposable à PC sauf PC valant autorisation d’équipement commercial (compatible) ou si opération d’aménagement
avec surface plancher de + 5000m2.
Dispo réglementaire du RNU : assurer intégration du bâtiment dans le paysage environnant. Directement opposable à PC (conformité).
Pas PLU : pas envie, pas d’argent, annulé. Sans PLU : pas de compétence d’urbanisme donc application RNU ou règle de constructibilité
limitée (que dans partie urbanisé) ou avoir à coté du RNU une carte communale (transfert compétence à maire qui délivre PC et zonage
grossier).
Construction non conforme : pas PC, non-respect PC, modifier sans procédure valable. Cas si règles d’urba ont changées. Dérogation : droit
de reconstruire à l’identique et prescriptions adm de 10 ans.
Adm refuse PC en se fondant sur règle telles que PLU, carte communale, RNU, loi Littoral. Mais PC ne respecte pas les règles extérieures au
code d’urba et code d’environnement ni les accords privés. Un PC ne respectant pas une servitude de passage sera légal selon JA car
principe de l’indépendance des législations.
Délivrance PC : maire compétent (même si interco). Exception : maire au nom Etat si pas PLU, POS, carte communale et doc urba illégal.
Maire ou préfet ou nom Etat art L 422-2. A savoir qu’un PC rendu après avis conforme Etat créé partage de compétence (ex : architecte de
France). Mais PC toujours demandé à la mairie.
Demande PC : indiqué identité demandeur. Travaux sur MM en copropriété concernant les B commun : accord AG copropriété présumé
par adm. Mair affiche demande PC et délivre récépissé avec délai d’instruction de 2 mois si maison individuelle sinon 3. Déclaration
préalable : délai d’1 mois. Silence : PC tacite. Si adm veut que demande soit complété, délai ne court qu’après réception des pièces.
PC expresse ou tacite. Pas tacite dans cas où travaux sur MM inscrit au titre des monuments historique ou un PC nécessitant une
dérogation. Adm accorde, refuse ou sursois à statuer. 1 : sursis si doc urba en révision et que travaux compromette ou rende + onéreux
projet. Sursis de 2 ans, max 3. Fin sursis : demandeur a 2 mois pour confirmer sa demande et adm a 2 mois pour répondre sinon accordé.
2 : octroi PC avec prescriptions : imposer contraintes découlant de règle d’urba. 3 : si projet respecte réglementation d’urba, pas possible
refus.
PC exécutoire dès notification si exprès ou expiration délai d’instruction. Affichage en mairie et sur le terrain avec délai de 2 mois pour
recours tiers. Affichage continu et régulier (solution : 3 conseil d’huissier). Pas de construction si pas PC définitif.
PC périmé si dans les 3 ans à compter de sa délivrance, pas de début d’exécution sérieuse. Délai suspendu si recours c/PC mais périmé si +
d’1 an d’interruption après début travaux. Prorogation possible 2x pour une durée de 1 an que si règle n’ont pas évolué défavorablement.
Pas de délai pour terminer les travaux.
PC est une autorisation attachée au terrain et adm ne peut pas refuser son transfert mais si nouvel acquéreur veut modifier : nouveau PC
ou PC modificatif.
Retrait PC sans illégalité si demande bénéficiaire et Alur : retrait si illégalité dans délai de 3 mois à compter de délivrance donc pas PC
définitif 3 mois après.
Ouverture travaux : déclaration d’ouverture adressée au maire et adm a droit de visite pendant travaux et 6 ans après (délai prescription
délit). Fin chantier : dépôt déclaration d’achèvement et conformité travaux (DDACT) adressé à la mairie qui fait partir délai d’1 an où PC ne
pourra plus faire l’objet d’aucun recours contentieux. Si pas conforme : sanction pénale.
Procédure lotissement : dossier déposer à l’adm indiquant nombre lots et R. Délai d’instruction de 3 mois si PA et 1 si déclaration.
Règlement : opposable à demande PC, appliqué conjointement au PLU (+ sévère l’emporte). Cahier : acte contractuel liant les colotis. Le
règlement dure donc max 10 ans et le cahier n’est pas opposable à une demande de PC et va toujours devant JJ.
Vente lots : pas droit de vendre avant délivrance PA (ni acompte). Toute publicité faite avant la délivrance du PA doit préciser que celui-ci
n’est pas donné. Commercialisation après PA : pas travaux d’équipement mais division (sauf si lotisseur a garantie bancaire d’achèvement).
Acquéreur lot doit déposer demande PC (opposer à PLU et R).
REP : possible annulation avec effets rétroactifs. Si recours abusif, promoteur fait recours devant JJ pour démontrer fraude et intention
malveillante. PC valant autorisation d’équipement commercial avec 2 degrés possibles de juridiction : TA et CAA.
Intérêt pour agir c/ acte réglementaire si recours individuel : si PLU, toute personne sur le territoire de la commune car y réside ou y
travaille et si PLUI, toute personne dans l’intercommunalité. Si SCOT : toute personne présente dans le territoire concerné. C/ acte
individuel : toute personne se voyant opposé un refus ou lésé lors d’une décision positive. Seulement recours par voisin.
Recours collectif : formé par association ou personne publique. Ex : commune si PC autorisé par E, préfet via déféré préfectoral c/ PC
délivré par maire.
Asso : intérêt à agir selon leur objet comparé à l’acte. Doit avoir été créé avant la date d’affichage de la demande de PC en mairie. Asso
facilement conçu et peut faire opération financière.
er
Délai : 1 : PC affiché sur le terrain pendant 2 mois et 1 jour est le point de départ du délai de recours. Théorie de la connaissance acquise
du CE : si concurrent ne pouvait ignorer acte, on lui oppose le délai de recours. Cas si forme recours gracieux c/ PC. En effet PC doit
comporter la mention des voies et délais de recours. 2 : PLU délai de recours de 2 mois à compter de la publication dans le journal
d’annonce local. 2 dérogations : demande d’abrogation et exception d’illégalité formé à tout moment. Si PC jamais affiché ou pas prouvé
que continu, pas délai de recours mais plus possible après 1 an à partir de la déclaration d’achèvement.
Notification intégrale du recours au titulaire autorisation et auteur acte. Nécessité de notifier indiquer sur panneau d’affichage. Pas de
notification du recours si recours gracieux qui ne proroge pas le délai de recours contentieux.
Recours contentieux administratif pas suspensif. Il est nécessaire de joindre en cas de procédure d’urgence un référé suspension. Pour JA,
condition d’urgence présumé si PC. Adm ou bénéficiaire démontre l’IG à construire.
Recours c/ permis pose question de la légalité de l’acte réglementaire PLU. Exception d’illégalité est perpétuelle, invocable à tout moment
lors du recours c/ permis. Vice de l’illégalité externe couvert 6 mois après EENV document (L 600-1). Vice non couvert : enquête publique,
incompétence.
REP : contrôle de la légalité interne et externe. PLU : erreur manifeste d’appréciation. Pas règle de l’économie des moyens et cristallisation
des moyens.
Divisibilité acte adm avec possible annulation partielle (ex : zonage).
Responsabilité sans faute : risque, rupture d’égalité devant charges publiques etc avec Bitouzet. Responsabilité pour faute : faute liée à
illégalité, lacune, Faute selon comportement adm. JP stricte sur caractéristique préjudice indemnisable : lien de causalité direct entre faute
et préjudice, certain, (impossibilité promoteur de réaliser opération MM est purement éventuel sauf si déjà promesse de vente).
Atténuation responsabilité si faute victime. Si pétitionnaire est professionnel, régime + dur. Faute victime écarté si particulier et R
complexe (ex : zone littoral).
Typologie infraction pénale (délit) : travaux sans autorisation, non-respect PC, infraction régime lotissement (pas droit vendre ou droit
visite).
Poursuites : 1 : constatation infraction par PV dressé par officier de police judiciaire ou fonctionnaire municipal assermenté par préfet.
Transmis au procureur et parquet a opportunité des poursuites. 2 : particulier dépose plainte au parquet ou se constitue partie civile. Peut
être commune, organe divers avec intérêt qu’il défend, tiers voisin (préjudice civil), asso assermentée.
Sanctions : 1 : interruption travaux ordonné par juge pénal ou si PV par autorité adm et si continuation travaux, nouvelle infraction. Maire
peut prendre mesure d’exécution forcée (saisi machine) : étape conservatoire. 2 : régime sanction pénale : peine d’amende plafonnée,
mesure de restitution avec démolition mais – L 480-13. Aussi principe de proportionnalité.
Opération d’aménagement décidé par CT ou promoteur. Maitrise foncière par achat ou PPP : droit préemption ou expropriation. DPU par
commune sur ZU ou ZAU.DUP ne joue pas pour MM bâti depuis – de 4 ans ni vente de lots en copropriété. Exception : commune peut
décider d’instaurer DPUR (renforcé) par délibération conseil municipal.
Construction ZAC dans commune sans règle d’urba : règle de constructibilité limitée donc que ZAC dans zone déjà urbanisé avec RNU.
Pendant élaboration projet ZAC, concertation obligatoire, créé par commune ou interco et acte de création fait grief (possible REP). Dossier
de réalisation avec tous les équipements publics à réaliser, programme de construction et chantier financier.
Modalités réalisation ZAC : CT en régie ou tiers. 1 : contrat de mandat, intervention au nom et pour compte personne publique (marché
public loi ALUR et CT paie tout). 2 : concession d’aménagement : confier toute l’opération à un tiers et CT défini programme. Le tiers
finance.
Beaucoup de concession d’aménagement conclu avec société publique locale ou SPLA (aménagement) donc société privée avec K public.
Contrat in house permet que pas mise en concurrence.
Réalisation ZAC : 1 : acquisition terrain (DUP) et souvent rétrocéder à aménageur. 2 : réalisation équipement prévu. 3 : cession terrain à
opérateur privé. Contrat privé. 4 : délibération sur fin zone à fin réalisation.

Articles :
Art 7 charte environnement : toute personne peut participer à l’élaboration de décision publique ayant une incidence sur l’environnement.
L 105-1 : principe de non-indemnisation des servitudes d’urbanisme (but que commune ne fasse pas de choix selon des considérations
financières).
L 111-6 : RNU : en dehors des espaces urbanisés, pas de construction dans bande de 100m près d’autoroute, route express, déviation. 75m
si autre route classé à grande circulation.
L 111-12 : RNU : interdiction de raccorder aux réseaux les constructions non autorisées.
L 111-15 : droit de reconstruire à l’identique nonobstant des dispositions contraires pour tous bâtiment détruit depuis – 10 ans si
régulièrement édifié.
L 111-16 : RNU : pas possible de s’opposer à l’utilisation de matériaux renouvelable (sauf protection patrimoine.
L 111-24 : RNU : arrêté de carence dans une commune fait que tout PC de +12 logements ou +800m2 devra comporter 30% de logements
sociaux.
L 210-1 : toute décision de préemption doit être motivée selon l’objet pour lequel elle a lieu.
L 213-1 (loi ALUR) : champ appli matériel DPU : toute opération d’aliénation à titre onéreux d’MM ou ensemble de droits sociaux donnant
vocation à l’attribution en propriété ou en jouissance d’un MM est susceptible de DPU. Cession droits sociaux parts SCI et préemption si
cession majorité part SCI ou conduit à acquéreur à détenir la majorité. Dérogations : 1 : SCI familiale (constitué exclusivement entre
e
parents et alliés au 4 degré) + SCI a patrimoine dans plusieurs unités foncières.
L 213-1-1 (loi ALUR) : DPU si aliénation à titre gratuit (donation et legs) changé avec loi Macron 2015 : en cas de donation entre vifs sauf si
donation familiale (pas asso).
L 213-2 (et suivants ) : procédure DUP : 1 : déclaration d’intention d’aliéner déposer en mairie lorsqu’on veut vendre et qu’on est dans
zone soumise à DUP. Indique prix et condition aliénation. Sinon nullité vente avec délai de prescription de 5 ans suivant publication acte
transférant propriété. Illégalité DIA n’entraine pas illégalité décision de préemption. Pas changement prix. 2 : décision préemption où
commune a 2 mois pour se prononcer après dépôt (silence = rejet) et Alur : peut demander au propriétaire (ensemble ou non) série de
pièce complémentaire et visite bien = suspension délai. Titulaire a 1 mois pour décider si délai inférieur à 1 mois. Si rejet, vente selon DIA.
Si préempte, DIA est offre de vente ou alors contre-offre adm et propriétaire peut décider de ne pas vendre ou alors devant JJ évaluation
bien. 3 : transfert de propriété avec Alur : à la plus tard des 2 dates entre paiement prix et signature acte authentique. Paiement dans 4
mois à compter vente parfaite sinon liberté propriétaire. 4 : décision préemption illégale : soit référé suspension et propriétaire vend selon
DIA à autre. Soit pas référé et transfert propriété à adm qui propose rachat B à propriétaire initial et acquéreur évincé et évite
ère
enrichissement sans cause. Soit bien rétrocédé par adm et si tiers de BF, pas effet annulation 1 vente (soit REP c/ adm et tiers
séparément soit contentieux de la responsabilité). Si promesse de vente et revente à prix inférieur, reçoit différence des intérêts.
L 300-1 : définition opération d’aménagement large : commune identifie un quartier où détient foncier. Opération d’aménagement et
préemption dès qu’on précise qu’on veut réaliser telle ou telle opération. // définition opération ZAC large.
L 311-1 : ZAC est zone où CT intervient pour réaliser aménagement et équipement des terrains pour les céder à opérateur public/privé. Loi
SRU : règle applicable à ZAC = PLU (en pratique, modification PLU avec ZAC). Limite : opération d’aménagement existe effectivement.
L 402-1 : est un lotissement la division en propriété ou en jouissance d’une unité foncière ou plusieurs unités continues créant un ou
plusieurs lots destinés à être bâtis. Ne peut pas être interdis dans PLU.
L 410-1 : certificat d’urbanisme ordinaire indique règle d’urbanisme, participation, taxes et renvoi à PLU applicable. Indique si zone de
tension (où CT pourrait se substituer à l’acquéreur). Détaillé : on a un projet dans les grandes lignes et savoir si réalisable donc en plus des
infos, adm donne réponse approximative (utile si ZAU). Commune instruit demande de certificat et a 1 mois sinon considéré comme tacite
et adm ne peut refuser PC sur fondement de nouvelles dispo d’urba dans 18 mois suivants. Possible REP c/ certificat.
L 421-1 : on ne peut pas construire sans PC.
L 421-9 : prescription administrative de 10 ans donc si construction finie depuis +10 ans, refus PC ou déclaration ne peut pas être fondé sur
l’irrégularité de la construction initiale (sauf si travaux sans PC).
L 422-2 : maire ou préfet rend PC au nom Etat si 1 : travaux pour E, EP E ou concessionnaire : préfet. Travaux pour opération logement dans
commune avec arrêté de carence. Travaux pour compte E étranger ou OI.
L 442-9 : les cahiers des charges approuvé par préfet ont valeur réglementaire. Caducité décennale pour les cahier approuvé ou toute
clause réglementaire présente dans le cahier. Déf ministère = pourrait être dans le R. Aussi si non réglementaire avec effet
d’interdire/restreindre droit de construire ou d’affecter usage/destination MM : disparaisse dans les 5 ans après 2014. Al 3 : les
dispositions de cet article ne remettent pas en cause les droits et obligations sur les rapports entre les colotis défini dans le cahier.
L 442-14 : acquéreur lot demandant PC où PC ne peut pas être refusé ou assorti de prescriptions spéciale sur le fondement de disposition
intervenu dans les 5 ans suivant l’achèvement des travaux prévu dans le PA.
L 480-4 : pas de travaux sans autorisation nécessaire (PC). Possible permis de régularisation mais quand même sanction pénale.
L 480-13 (loi Macron 2015) : avant, démolition si pas PC ou si PC annulé. 2 nouvelles conditions : PC annulé et bien à certains endroits. Ex :
Natura 2000, réserve naturelle. Sinon, simple amende.
L 521-1 code de justice administrative : saisi du juge des référés d’une demande de suspension. Condition : urgence + existence d’un
moyen propre à créer un doute sur la légalité de la décision. Recours accessoire qui accompagne le REP.
L 600-1 : illégalité pour vice de forme ou de procédure d’un PLU, SCOT ou carte communale n’est pas invocable par la voie de l’exception
d’illégalité après l’expiration d’un délai de 6 mois à compter de la prise d’effet de ce document.
L 600-1-2 (ordo 2013) : recevabilité recours si requérant démontre que la construction, l’aménagement ou les travaux sont de nature à
affecter directement les conditions d’occupation, utilisation ou jouissance.
L 600-1-3 (ordo 2013) : limite temporelle à l’intérêt pour agir où si c/PC, s’apprécie à la date de l’affichage en mairie de la demande de PC.
L 600-1-4 : le voisin au sens de -1-2 peut attaquer le permis valant autorisation d’équipement commercial en tant qu’autorisation de
construire et les commerçants ne peuvent contester que le volet commercial du permis.
L 600-2 : l’annulation d’une décision de refus d’un PC une fois définitive, la demande d’autorisation ne peut être refusé sur le fondement
de disposition d’urbanisme intervenue après la date de refus du PC. Le pétitionnaire doit confirmé sa demande initiale et si joint à REP une
demande d’injonction, cette demande vaut confirmation de la demande de PC initial.
L 600-3 : prescription de tout recours 1 an à compter de l’achèvement de la construction.
L 600-4-1 : JA annule un acte d’urbanisme en se prononçant sur l’ensemble des moyens de la requête susceptible de fonder l’annulation
(pas règle de l’économie des moyens).
L 600-5 (loi 2006) : si recours c/ PC et JA estime que le vice n’affecte qu’une partie du projet et peut être régularisé par permis modificatif,
annulation partielle avec délai de régularisation. Ne pas toucher à l’économie générale du projet. Divisibilité du PC.
L 600-5-1 : si adm se rend compte d’un vice régularisable du PC par PC modificatif, JA sursois à statuer et donne un délai à l’adm :
contentieux sans objet après régularisation.
L 600-7 (ordo 2013) : titulaire PC qui voit son PC se faire attaquer peut faire une demande reconventionnelle pour condamner l’auteur du
recours à des D&I. Conditions : recours apparait comme étant MEO dans des conditions qui excède la défense des intérêts légitimes du
requérant + cause au bénéficiaire un préjudice excessif (dur à déterminer ce qui est « excessif »).
L 600-8 (ordo 2013) : moraliser la pratique des désistements négocié : obligation d’enregistrement de la transaction auprès des S fiscaux
sinon somme présumée sans cause et action en répétition par le promoteur ou l’acquéreur.
L 600-9 : si JA estime que vice PLU affecte un plan du secteur, programme d’orientation ou action ou disposition sur habitat, transport,
déplacement OAP, peut y limiter l’annulation. Annulation partielle et principe de divisibilité. JA sursois à statuer si voit que régularisation
possible mais doc applicable tant que pas régularisation.
L 600-10 : non-respect PLU est une infraction.
L 600-12 : si PLU déclaré illégal ou annulé, principe du retour aux règles ou doc d’urbanisme antérieur (PLU, POS ou sinon RNU).
R 151-11 : avant 2015, le CE ne considérait qu’une règle n’existait que si présente dans règlement du PLU. Ici, peuvent être écrites et
graphiques donc juste mentionner dans la partie R. Possible règle rédigée sous forme qualitative avec déf des objectifs à atteindre (que si
résultat précis et vérifiable)
R 151-13 : possible règles alternatives pour application circonstanciée à condition locale spéciale depuis 2015.
R 151-27 sur les destinations possibles : exploitation agricole et forestière, habitation, commerce et activité de S, équipement d’un intérêt
collectif et SP, autres activités de secteur secondaire ou tertiaire. PLU peut optionnellement identifier secteur où autorise/interdit
destination. Changement destination : dépôt déclaration préalable ou PC.
R 423-1 : demandeur PC est propriétaire terrain, mandataire ou une personne attestant être autorisé par eux (ex : architecte). Sinon, doc
inexécutable devant JJ mais pas illégal.
R 442-1 : régime du lotissement ne s’applique pas quand : détachement d’un terrain d’une propriété pour rattacher à une autre propriété
en continu (ex : céder à son voisin) ou quand division foncière dans ZAC.
R 600-1 (réforme 94) : principe de notification du recours c/ décision occupation ou utilisation sol (certificat d’urba, non-opposition à
déclaration préalable, PC, PA, permis de démolir). Requérant dépose son recours au TA et averti le titulaire de l’autorisation et l’adm sinon
recours irrecevable. Notification dans les 15jour du dépôt par lettre recommandé avec accusé de réception faite directement au
pétitionnaire. Vaut aussi pour préfet qui fait un déféré préfectoral.
R 611-7-1 code de justice administrative : cristallisation des moyens avec technique des moyens fermés où JA gèle le débat dans un état
donné.

Arrêts :
CE 86 Syndicat des copropriétaires de l’immeuble Les Périades : PLU ne contient que des règles de fond, on ne peut pas imposer des
formalités qui ne sont pas dans le code de l’urbanisme.
CE 86 Société Gepro : sur conséquence de l’illégalité d’un PLU sur PC. PC n’est pas un acte d’application du PLU donc annulation PLU
n’entraine pas directement annulation PC sauf si dispositions illégales du PLU ont permis à l’octroi du PC. PC confronté aux anciennes
dispositions. Ici, PLU annulé sur règle hauteur et PC pris dessus donc pas confronté à règle antérieure : obsolète.
CE 88 Sekler : règle d’urba change et construction devient non conforme : PC possible que si travaux rend MM + conforme à PLU ou lui sont
étrangers.
CE 90 ASSAUPAMAR : illégalité PLU invoqué via exception d’illégalité : PC pas acte appli PLU.
CE 93 Commune de Chamonix : ZAC créé pour réalisation annexe hôtel n’est pas opération d’aménagement donc pas ZAC.
CE 97 Commune de Megève : PLU illégal car règle portant sur l’intérieur du bâtiment : obsolète.
CE Bitouzet 98 : principe est non-indemnisation (L 105-1) mais indemnisation si servitude fait peser une charge spéciale et exorbitante sur
le propriétaire. 1 seule appli : Société d’aménagement du domaine de Château Barrault 2016 (fondement protocole 1 CEDH).
Commission européenne 2004 avis à France : concession d’aménagement sont soit marché public soit concession soumis à DUE.
CJCE 2007 Auroux c/ France : concession d’aménagement sont des marchés publics de travaux car contrat pris dans sa globalité donc
respecte droit de la commande publique.
CE 2008 Commune de Courbevoie : PC pas acte appli PLU et exception d’illégalité doit démontrer que le PC n’est pas conforme aux normes
redevenues applicables.
CE 2008 Commune de Meung-sur-Loire : art L 210-1 où adm pas tenu dans sa motivation de décision préemption d’avoir un projet précis
mais doit être réel. Juge contrôle opération d’aménagement et réalité motivation.
CE 2010 Ville de Paris : annulation d’un PLU trop imprécis.
CE 2010 Commune de Saint Lunaire : obligation dans prescription de la commune de l’élaboration d’un PLU d’y faire figurer une définition
objective et les modalités : obsolète. Ici, recours c/ acte approuvant PLU et comme cet acte était illégal, PLU l’était alors que ne concernait
pas son contenu.
CE 2011 Société Innov Immo : acte créant ZAC n’a pas à respecter PLU mais tout équipement ou aménagement réalisé le doit.
CE 2012 Hoffmann : PLU interdisait lotissement donc annulation car autorité pas compétente pour interdire par principe de procéder à des
opérations de division foncière. Droit à disposer de leur bien où seule la loi peut fixer des limites.
CAA Versailles 2012 : détournement de pouvoir que de préempter sans justifier de telle ou telle opération.
CE 2012 RD Machine Outils : CE élabore grille de contrôle décision préemption : IG suffisant selon caractéristique bien et son coût
prévisible. Contrôle aussi adéquation bien selon opération (ex : pas bien sur Champs-Elysées pour logements sociaux).
CE 2014 Monsieur et Madame de Lamarck : si demande d’un PC, nécessaire régularisation de ce qui n’a pas été dûment autorisé avant. Si
pas possible régulariser, jamais PC ni autorisation possible.
CE 2015 Commune de Porto-Vecchio : PLU compatible avec loi Littoral et PC conforme à PLU et si adaptation par PLU, pas regard sur
rapport PC/loi donc pas importance de cette loi.
CE 2015 Loubier : exception au caractère légal d’un PC demandé par un demandeur pas dans R 423-1 : 1 : adm a des informations
établissant un caractère frauduleux de la demande. 2 : adm a des informations faisant apparaitre sans contestation sérieuse que le
demandeur n’a pas qualité pour demander PC. Info ne doivent pas avoir été recherché. Refus PC ou déclaré illégal.
CE 2015 Ciaudo : prescription assortie à l’octroi d’un PC si 1 : concerne point précis et limité et 2 : assure la conformité des travaux à la
disposition d’urbanisme applicable. // quand prévu par PLU, possible prescription et pétitionnaire peut attaquer son PC pour les voire
annuler (divisibilité).
CE 2016 Commune de Pia : PA refuser car on ne sait pas si les constructions respecteront les règles d’urbanisme. On contrôle la même
chose que pour PC donc respect règle PLU. En l’espèce, promoteur est obligé de construire des logements sociaux.
CE 2016 Bartolomei : Le JA institue une présomption d’intérêt pour agir pour le voisin immédiat donc le bénéficiaire du PC doit démontrer
que le projet est sans incidence sur les conditions d’occupation, utilisation, jouissance du requérant.
CE 2017 Commune de Saint Bon Tarentaise : REP c/ délibération initiale PLU possible mais pas c/ délibération finale approuvant PLU. // fin
Saint Lunaire et ici, acte lançant procédure de révision document doit faire l’objet d’un recours distinct et direct.
CE 2017 Société Savoie Lac Investissement : PLU ne peuvent pas adapter loi Littoral donc directement opposable au PC avec rapport de
conformité.
CE 2017 Commune de Saint Bauzille de Putois : règle de constructibilité limité : pas de construction si étend partie actuellement urbanisé :
juste possible densification mais pas construction en continuité. Exception : construction à usage agricole, incompatible avec voisinage,
justifier par intérêt commune.
e
Cass 3 civ 2017 : le cahier des charges est un contrat privé donc une construction contraire va devant le JJ. Colotis engagés entre eux et
pas application loi Alur.
Cass crim 2017 : PC définitif mais PLU annulé avant commencement des travaux mas réalisation travaux : infraction pénale sur le
fondement de L 600-10 car non-respect d’une disposition d’urbanisme applicable.
e
3 ch civil 2015 et crim 2017 : JP englobe dans son appréciation régime sanction pénale le droit au respect d’une vie familiale normale
CEDH et respect domicile. Ici : construction sur zone inconstructible mais domicile principal donc contrôle de proportionnalité. Si décision
démolition, assorti d’une astreinte et si rien, remis en état d’office.
CC 2017 QPC (art 480-13) : valide pour faciliter construction donc si illégalité, de suite référé suspension.

Définition :
PLU : document opérationnel contenant de manière précise les règles applicables au territoire communal.
SCOT : document intercommunal prospectif fixant des grands objectifs et des orientations. Commune sans SCOT ont des contraintes :
seulement PC pour ZU sauf accord préfet.
ZU : zone urbaine immédiatement constructible. Si PLUI, peut ne pas avoir de R spécial et renvoyer aux règles du RNU (souvent en zone
rural). ZAU : zone à urbaniser qui a vocation à être équipé pour être constructible. Si à proximité des voies publiques et réseaux existant :
constructible sinon modification doc d’urba pour rapprocher les voies et réseaux. Valeur terrain dépend de proximité ZU. ZA zone agricole
et ZN zone naturelle : peu constructible sauf installations nécessaires à action agricole et forestière ou extension bâtiment : PLU doit
imposer compatibilité avec maintien caractère A ou N.
COS (coefficient d’occupation des sols) : rapport nombre de m2 constructible à surface du terrain. Outil de densification et loi 2014
supprime sa portée juridique (pas dans PLU mais toujours dans POS).
PLH : défini objectif de la politique de logement pour assurer entre commune/quartier une répartition équilibrée et diversifié de l’offre de
logement. 20% logements sociaux et 25% si zone tendue. Toujours rattacher à un PLUI et si PLU ne l’a pas intégré, rapport de compatibilité.
Pas directement opposable à PC.
RNU : règlement national d’urbanisme est encadrement minimal.
PPRN (plan de prévention des risques naturels) : Etat prend doc délimitant zone exposée au risque et directement opposable à PC
(conformité).
PPRT (plan de prévention des risques technologiques) : Etat interdit construction sur certaines zones, directement opposable à PC.
Certificat d’urbanisme : effet protecteur car une fois demandé, gèle règle applicable sur le B immobilier. But de donner des informations
sur le statut du bien. Peut être ordinaire ou détaillé.
CERFA (centre d’enregistrement et de révision des formulaires administratifs) : a liste de pièces exigibles pour la demande de PC dot projet
architectural sauf construction à usage d’habitation pour personne physique inférieur à 150m2.
Taxe d’aménagement : m2 sur base valeur forfaitaire avec taux décidé par la CT (sur tout territoire pour tout opérateur).
Versement pour sous-densité : PLU fixe un minimum de densité et si moins, paie.
PC modificatif : ne modifie pas économie générale du projet mais modifie aspect secondaire du PC initial. Recours c/ ce PC ne concerne pas
PC initial. Si trop de modification, le juge le requalifie en nouveau PC et tout est remis en cause. Possible que si PC initial valide et travaux
pas achevés. Possible si travaux achevés pour régulariser un PC illégal (flou).
Lotissement : opération de division foncière avec soit permis d’aménager soit régime déclaratif. Règlement du lotissement : acte adm
réglementaire particulier élaborer par le divisionnaire. Cahier des charges : contrat de droit privé correspondant au règlement de
copropriété du lotissement. R et cahier sont annexés à l’acte de vente.
Permis d’aménager : autorisation de diviser pour construire mais pas autorisation de construire.
Préemption : Ct se substitue à un acquéreur lors d’une opération de vente (désire de vente). Droit de préemption urbain CT et interco,
droit de préemption des espaces naturels sensibles département et conservatoire du Littoral, droit de préemption dans une zone
d’aménagement différé (ZAD) Etat.

ZAC : opération d’aménagement public.

Exemples :
Véranda sans PC mais si régularise, pas respect règle de prospect PLU donc PC ou autorisation impossible. Assouplissement : possible si
travaux confortatifs. Refus PC ou autorisation implique qu’adm prouve état B tel que dans plan de départ.
e
S’il y a un incendie, droit de reconstruire à l’identique avant 10 ans si avait été régulièrement édifié donc passe outre le 2 c as de non-
conformité de la construction lié au changement des règles d’urba.
Paris 1 demande des travaux : préfet au nom Etat rend PC.
Pas preuve que délai continu mais à la fin des travaux, plus de recours 1 an après.
Lotissement dans site particulièrement remarquable : PA. Lotissement prévoyant création ou aménagement voies, espace, équipements
communs : PA. Si chaque lots est desservi directement par un accès au réseau : déclaration préalable (sauf nécessité d’aménager).
Règle de hauteur, distance dans cahier des charges ont valeur réglementaire donc caducité décennale.
PC délivré le 3/1/2018 et affiché le 10. Pour construire sans risque : 1 : recours tiers jusqu’au 10/3 et si le 9, délai de 15 jours notification. Si
recours gracieux 7/3, notification dans délai de 15 jours et maire a 2 mois pour répondre donc 7/5 refus tacite. Après recours gracieux, pas
recours contentieux si pas notifié recours gracieux sinon délai prorogé jusqu’au 7/7 en comptant délai de notification. 2 : administration a
délai de 3 mois pour retirer le PC à compter de sa délivrance donc 3/4. 3 : déféré préfectoral avec délai de 2 mois à compter de la
transmission de l’acte (date décision si électronique).
Seule possibilité de prorogation est si recours gracieux notifié.
PC déclaré illégal alors qu’on avait engagé des frais de construction : responsabilité pour faute. Refus PC ou retrait illégal : illégalité
caractérisant faute. Omission importante dans certificat d’urbanisme = lacune caractérisant faute. Retard dans délivrance autorisation ou
non-respect engagement = faute.

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