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DOCUMENT 30

Croissance comparée des fonctions logarithmes, puissances et


exponentielles

1. Introduction et résultats préliminaires


Rappelons que :
k
• Les fonctions logarithmes sont les primitives sur R∗+ des fonctions x → , k ∈ R∗ ,
x
prenant la valeur 0 au point 1. Pour tout a > 0, a 6= 1, il existe une fonction logarithme
et une seule prenant en a la valeur 1. On l’appelle la fonction logarithme de base a et
on la note lna . La fonction logarithme népérien, notée ln, est obtenue pour a = e et on
ln x
a lna (x) = .
ln a
• Les fonctions exponentielles sont les fonctions réciproques des fonctions logarithmes.
La fonction réciproque de la fonction logarithme de base a est x → ax = ex ln a , la
fonction exponentielle de base a.
• Les fonctions puissances sont toutes les fonctions de R∗+ dans R du type x → xa = ea ln x
avec a ∈ R.

La proposition suivante donne les limites en +∞ des différentes fonctions exponentielles,


ln x
puissances et logarithmes. Elle donne aussi lim . Ce résultat sera essentiel dans la plupart
x→+∞ x
des démonstrations de ce document.

Proposition 30.1. On a :
(1) lim lna (x) = +∞ si a > 1 et lim lna (x) = −∞ si 0 < a < 1 ;
x→+∞ x→+∞
(2) lim ax = +∞ si a > 1 et lim ax = 0 si 0 < a < 1 ;
x→+∞ x→+∞
(3) lim xa = +∞ si a > 0 et lim xa = 0 si a < 0 ;
x→+∞ x→+∞
ln x
(4) lim =0
x→+∞ x

Preuve 1). Les fonctions logarithmes étant toutes proportionnelles à la fonction logarithme
népérien, il suffit de montrer le résultat pour cette dernière fonction.
Soit B > 0. La fonction logarithme népérien étant croissante, ln 2 > ln 1 = 0. Il existe
donc un entier n tel que n ln 2 > B (propriété d’Archimède) et si A = 2n alors x > A implique
ln x > ln A = n ln 2 > B d’où lim ln x = +∞.
x→+∞
2). Le résultat général se déduit facilement de celui concernant la fonction exponentielle de
base e et de lim ex = 0.
x→−∞
321
322 30. CROISSANCE COMPARÉE

Soit B > 0 et A = ln B. Si x > A alors ex > eA = B (car la fonction réciproque d’une


fonction croissante est croissante) d’où lim ex = +∞.
x→+∞
1
Maintenant, soit ε > 0 et A = ln . Si x < −A alors
ε
1
− ln
x −A ε = ε,
0<e <e =e
d’où lim ex = 0.
x→−∞
3). Il suffit d’utiliser les résultats précédents et le théorème concernant la limite d’une
fonction composée.
4). Soit ε > 0. Pour tout x > 1,
Z x Z x
dt dt √ √
0 < ln x = < √ = 2( x − 1) < 2 x
1 t 1 t
ln x 2 √ 2
d’où 0 < < √ < ε dès que x > A = max(1, ), c’est-à-dire x > A2 .
x x ε

Cette proposition montre que si l’on cherche la limite en +∞ d’une fonction qui est un
produit d’une fonction exponentielle, d’une fonction logarithme et d’une fonction puissance
alors on ne peut pas toujours apppliquer le théorème sur la limite d’un produit car on a parfois
une forme indéterminée. L’un des buts de ce document est de montrer comment on trouve ce
ax xb
type de limite. En particulier, on déterminera lim b et lim ce qui permet de comparer
x→+∞ x x→+∞ ln x
la croissance des fonctions logarithmes, exponentielles et puissances au voisinage de +∞ dans
les cas où ces fonctions tendent vers l’infini.

2. Croissance comparée
Pout tout (α, β, γ) ∈ R3 , on désigne par fα,β,γ la fonction de ]1, +∞[ dans R définie par
fα,β,γ (x) = eαx xβ (ln x)γ .

Théorème 30.1. (1) Si α 6= 0 alors lim fα,β,γ (x) = lim eαx , c’est-à-dire +∞ si
x→+∞ x→+∞
α > 0 et 0 si α < 0 ;
(2) Si α = 0 et β 6= 0 alors lim fα,β,γ(x) = lim xβ , c’est-à-dire +∞ si β > 0 et 0 si
x→+∞ x→+∞
β < 0.
Preuve. On a pour x > 1,
fα,β,γ (x) = eαx+β ln x+γ ln ln x = eu(x) ,
avec u(x) = αx + β ln x + γ ln ln x.
β ln x γ ln ln x ln x
Si α 6= 0 alors u(x) = αx(1 + + . ). D’après la proposition 30.1 et les
α x α ln x x
ln x
théorèmes sur la limite d’un produit et la limite d’une fonction composée, lim = 0 et
x→+∞ x
ln ln x ln x β ln x γ ln ln x ln x
lim . = 0 d’où lim 1 + + . = 1. On a donc au voisinage de
x→+∞ ln x x x→+∞ α x α ln x x
+∞, u(x) ∼ αx avec la limite de x → αx qui existe et vaut ±∞. Il en est donc de même pour
2. CROISSANCE COMPARéE 323

x → u(x). En appliquant encore une fois le théorème sur la limite d’une fonction composée,
lim eu(x) = lim eαx .
x→+∞ x→+∞
γ ln ln x
Maintenant si α = 0 et β 6= 0 alors u(x) = β ln x(1 + ) d’où, au voisinage de +∞,
β ln x
u(x) ∼ β ln x. Il en résulte lim eu(x) = lim eβ ln x = lim xβ .
x→+∞ x→+∞ x→+∞

Remarques. 1). Dans la preuve précédente il ne faut surtout pas dire : si α 6= 0, alors,
au voisinage de l’infini, u(x) ∼ αx donc eu(x) ∼ eαx et lim eu(x) = lim eαx . En effet, si
x→+∞ x→+∞
f (x) ∼ g(x) on n’a pas en général ef (x) ∼ eg(x) . Par exemple, au voisinage de l’infini, x ∼ x + 1
ex+1
et ex 6∼ ex+1 ( lim = e).
x→+∞ ex
Une autre erreur serait de traduire la proposition en disant par exemple que si α 6= 0 alors
fα,β,γ (x) ∼ eαx car deux fonctions ayant la même limite l en un point x0 sont nécessairement
équivalentes seulement si l ∈ R∗ , ce qui n’est pas le cas ici.
2). On traduit parfois la proposition précédente en disant : au voisinage de l’infini, les
fonctions exponentielles l’emportent sur les fonctions puissances et les fonctions logarithmes,
les fonctions puissances l’emportent sur les fonctions logarithmes. En pratique, si l’on a une
expression qui est un produit d’une fonction exponentielle, d’une fonction puissance et d’une
fonction logarithme alors pour chercher sa limite en +∞ on peut supprimer la fonction puissance
et la fonction logarithme après s’être assuré que la fonction exponentielle figure effectivement,
c’est-à-dire avec les notations précédentes que α 6= 0. Lorsque l’on a seulement le produit d’une
fonction puissance et d’une fonction logarithme, on peut supprimer la fonction logarithme.
3). Le produit d’une fonction exponentielle, d’une fonction puissance et d’une fonction
logarithme n’est pas toujours une forme indéterminée au voisinage de +∞. Par exemple, si α,
β et γ sont tous positifs il est inutile d’utiliser le théorème 30.1 pour calculer lim fα,β,γ (x).
x→+∞

Corollaire 30.1. Soit α, β, γ trois nombres réels non nuls.


eαx
(1) La limite en +∞ de β est +∞ si α > 0 et 0 si α < 0.
x

(2) La limite en +∞ de est +∞ si β > 0 et 0 si β < 0.
(ln x)γ
Ce corollaire n’est qu’un cas particulier de la proposition 30.1. Il montre cependant que
lorsque une fonction exponentielle est croissante (α > 0) alors, au voisinage de +∞, elle croı̂t plus
vite que toute fonction puissance croissante et que lorsque une fonction puissance est croissante
(β > 0) alors elle croı̂t plus vite que toute fonction logarithme croissante. Pour ce dernier point,
xβ xβ
il suffit de remarquer que si β > 0 et a > 1 alors lim = ln a lim = +∞.
x→+∞ lna (x) x→+∞ ln x

Proposition 30.2. Au voisinage de +∞, fα,β,γ ∈ o(fα0 ,β 0 ,γ 0 ) si et seulement si


• α < α0
ou
• α = α0 et β < β 0
ou
• α = α0 , β = β 0 et γ < γ 0 ,
autrement dit, si et seulement si (α, β, γ) < (α0 , β 0 , γ 0 ) pour l’ordre léxicographique sur R3 .
324 30. CROISSANCE COMPARÉE

Preuve. Pour x > 1, on a


fα,β,γ (x)
= fα−α0 ,β−β 0 ,γ−γ 0 (x).
fα0 ,β 0 ,γ 0 (x)
En utilisant le théorème 30.1 on voit que
fα,β,γ (x) 0
• si α < α0 alors lim = lim e(α−α )x = 0,
x→+∞ fα0 ,β 0 ,γ 0 (x) x→+∞
fα,β,γ (x) 0
• si α = α0 et β < β 0 alors lim = lim xβ−β = 0,
x→+∞ fα0 ,β 0 ,γ 0 (x) x→+∞
fα,β,γ (x) 0
• si α = α0 , β = β 0 et γ < γ 0 alors lim = lim (ln x)γ−γ = 0.
x→+∞ fα0 ,β 0 ,γ 0 (x) x→+∞
0 0 0
On a donc montré que (α, β, γ) < (α , β , γ ) implique fα,β,γ ∈ o(fα0 ,β 0 ,γ 0 ). On prouve la
réciproque par contraposition. L’ordre léxicographique étant total, on suppose que (α, β, γ) ≥
(α0 , β 0 , γ 0 ). Si (α, β, γ) > (α0 , β 0 , γ 0 ) alors fα0 ,β 0 ,γ 0 ∈ o(fα,β,γ ) et si (α, β, γ) = (α0 , β 0 , γ 0 ) alors
fα0 ,β 0 ,γ 0 = fα,β,γ Dans les deux cas, fα,β,γ n’est pas négligeable devant fα0 ,β 0 ,γ 0 .
Corollaire 30.2. Au voisinage de +∞ :
(1) xβ ∈ o(eαx ) si et seulement si α > 0 ou α = 0 et β < 0.
(2) (ln x)γ ∈ o(xβ ) si et seulement si β > 0 ou β = 0 et γ < 0.
(3) (ln x)γ ∈ o(eαx ) si et seulement si α > 0 ou α = 0 et γ < 0.
Preuve. Il suffit de traduire (0, β, 0) < (α, 0, 0), (0, 0, γ) < (0, β, 0) et (0, 0, γ) < (α, 0, 0) pour
l’ordre léxicographique.
Corollaire 30.3. L’ensemble {fα,β,γ | (α, β, , γ) ∈ R3 } est une partie libre dans l’espace
vectoriel des fonctions continues sur ]1, +∞[.
Preuve. Voir le document 29 et en particulier le lemme 29.1.
En particulier, toutes les fonctions x → eαx , α ∈ R, sont linéairement indépendantes ce qui
est bien utile dans la résolution des équations différentielles linéaires.

3. Applications
3.1. Des fonctions de plus en plus croissantes. En utilisant la notation de Hardy, on
a au voisinage de +∞ et pour tout (α, β, γ) ∈ (R∗+ )3 ,
(ln x)γ  xβ  eαx .
Il est facile de prolonger à droite et à gauche ces ”inégalités” en introduisant des fonctions du
eαx
type x → (ln ... ln x)γ et x → ee . En supposant tous les exposants strictement positifs on a
par exemple :
α2 x eα3 x
(ln ln ln x)γ3  (ln ln x)γ2  (ln x)γ1  xβ  eα1 x  ee  ee .
Pour la preuve et pour généraliser cet exemple, il suffit d’utiliser le lemme suivant.
Lemme 30.1. Soit α1 , α2 , γ1 , γ2 des nombres réels strictement positifs.
(1) On a
eα1 x (ln ln x)γ2
lim eα2 x = 0 et lim = 0;
x→+∞ e x→+∞ (ln x)γ1
α x
autrement dit, eα1 x ∈ o(ee 2 ) et (ln ln x)γ2 ∈ o((ln x)γ1 ) au voisinage de +∞.
3. APPLICATIONS 325

(2) Si α1 < α2 et γ1 < γ2 alors


α1 x α2 x
ee ∈ o(ee ) et (ln ln x)γ2 ∈ o((ln x)γ1 ).
Preuve. Il suffit d’écrire
eα2 x
eα1 x α1 x(1− )
α x = e α1 x
ee 2
et d’utiliser le théoréme 30.1 pour avoir la première limite. Pour les autres limites, on utilise
une méthode analogue.
On peut ainsi définir des fonctions qui sont, au voisinage de l’infini, de plus en plus ou de
moins en moins croissantes tout en tendant vers +∞.
La propositon 2 permet aussi d’obtenir des inégalités au voisinage de +∞. Par exemple
x1000 ∈ o(e0,001x ) et donc il existe x0 tel que, pour x > x0 ,
x1000 < e0,001x .
3.2. Des calculs de limites. Le théorème 30.1 est très utile pour calculer la limite en
+∞ de fonctions faisant intervenir des exponentielles, des puissances et des logarithmes et
en particulier pour étudier leurs branches infinies. Tous les livres contiennent de nombreux
exemples.
Nous allons donner deux exemples d’utilisation un peu moins immédiate du théorème 30.1.
Z x
Exemple 1. Montrer que x → e−t tβ (ln t)γ dt a une limite finie quand x tend vers +∞.
2
x x
Le théorème 30.1 entraine que lim e− 2 xβ (ln x)γ = lim e− 2 = 0. Il existe donc A ∈
x→+∞ x→+∞
x
]2, +∞[ tel que x > A implique e− 2 xβ (ln x)γ < 1. Pour x > A,
Z x Z A Z x
e−t tβ (ln t)γ dt = e−t tβ (ln t)γ dt + e−t tβ (ln t)γ dt
2 2 A
Z A Z x t
≤ e−t tβ (ln t)γ dt + e− 2 dt
2 A
Z A A x
= e−t tβ (ln t)γ dt + 2[e− 2 − e− 2 ]
2
Z A A
≤ e−t tβ (ln t)γ dt + 2e− 2 .
2
Z x
La fonction croissante x → e−t tβ (ln t)γ dt, qui est bornée sur ]2, +∞[, posséde une limite
2Z
x
finie en +∞ valant supx∈]2,+∞[ e−t tβ (ln t)γ dt.
2

Remarques. 1)On a le même résultat avec toute fonction fα,β,γ , α < 0.


2).Cette preuve ne fait pas appel aux résultats classiques sur la convergence des intégrales im-
− x2 β
propres. Si on connait ces résultats alors il suffit de dire qu’au voisinage de l’infini,e x (ln x)γ ∈
Z +∞
x
o(x−2 ) d’où, pour x assez grand, 0 ≤ e− 2 xβ (ln x)γ ≤ x−2 et la convergence de e−x xβ (ln x)γ dt.
2
326 30. CROISSANCE COMPARÉE
Z x
3). Il ne faut pas considérer e−t tβ (ln t)γ dt car l’intégrale ne converge pas toujours en 1
Z +∞ −x 1
e
(Penser à dx.)
1 ln x
4). La fonction gamma est définie pour tout x > 0 par
Z +∞
Γ(x) = tx−1 e−t dt.
0
La convergence de l’intégrale en +∞ est un cas particulier de l’exemple ci-dessus et la conver-
gence en 0, pour 0 < x < 1, est facile à établir à l’aide du critère de Riemann.

Exemple 2. Etude de le dérivabilité en 0 de la fonction f : R → R définie par f (0) = 0 et, pour


1
x 6= 0, par f (x) = e− x2 . Le théorème 30.1 est essentiel dans cette étude, voir le document 32.

3.3. Etude au voisinage de 0 et de −∞.


3.3.1. Au voisinage de −∞. On considère la fonction gα,β,γ définie pour |x| > 1 par
gα,β,γ (x) = eαx |x|β (ln |x|)γ .
On a, pour x < −1, gα,β,γ (x) = e−α|x|+β ln |x|+γ ln ln |x| = f−α,β,γ (|x|). Si α 6= 0 on a
lim gα,β,γ (x) = lim f−α,β,γ (|x|) = lim f−α,β,γ (x) = lim e−αx = lim eαx .
x→−∞ x→−∞ x→+∞ x→+∞ x→−∞

On fait un raisonnement analogue si α = 0, β 6= 0 et finalement,


• lim eαx |x|β ln |x| = lim eαx si α 6= 0
x→−∞ x→−∞
• lim eαx |x|β (ln |x|)γ = lim |x|β si α = 0 et β 6= 0.
x→−∞ x→−∞
On peut aussi étendre le corollaire 30.1 et obtenir :
Corollaire 30.4. Soit α, β, γ trois nombres réels non nuls.
eαx
(1) La limite en −∞ de est 0 si α > 0 et +∞ si α < 0.
|x|β
|x|β
(2) La limite en −∞ de est 0 si β > 0 et +∞ si β < 0.
(ln |x|)γ
3.3.2. Etude au voisinage de 0. Considérons maintenant pour x 6= 0, |x| =
6 1,
hβ,γ : x → |x|β | ln |x||γ .
Remarquons que si on veut étudier ce type de fonction au voisinage de 0, il est inutile de
faire figurer un facteur eαx car lim eαx = 1. On supposera aussi β 6= 0 car si ce n’est pas le cas,
x→0
1
la relation | ln |x|| = | ln | et lim ln x = +∞ résout facilement le problème.
|x| x→+∞
1
Pour x 6= 0, |x| = 6 1, on a hβ,γ (x) = f0,−β,γ ( ) d’où
|x|
1
lim hβ,γ (x) = lim f0,−β,γ ( ) = lim f0,−β,γ (x) = lim x−β = lim |x|β .
x→0 x→0 |x| x→+∞ x→+∞ x→0

On peut donc énoncer.


3. APPLICATIONS 327

Corollaire 30.5. Pour tout (β, γ) ∈ (R∗ )2 , lim |x|β | ln |x||γ = lim |x|β c’est-à-dire 0 si
x→0 x→0
β > 0 et +∞ si β < 0. En particulier, lim |x| ln |x| = 0 et lim x ln x = 0.
x→0 x→0+

Remarques. 1). On traduit souvent ce résultat en disant qu’au voisinage de 0 les fonctions
puissances l’emportent sur les fonctions logarithmes.
2). Dès le début du document, on peut introduire la fonction x → eαx |x|β | ln |x||γ définie
sur R − {0, −1, 1} et étudier ses limites en +∞, −∞ et 0.
328 30. CROISSANCE COMPARÉE

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