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Théorie des organisations

Cours magistral | EG6


CHAPITRE I : APPROCHE CLASSIQUE DE L’ORGANISATION
| Cours publié sur M@ Fac d'Eco par NABIL EL IDRISSI LALAMI
| Professeur: M. KADOUS
| M@ Fac d'Eco
| 2019
CHAPITRE I : L’APPROCHE CLASSIQUE DE L’ORGANISATION
Désigne l’ensemble des théories qui ont étudié l’organisation et la conduite en se fondant sur la
rationalité, l’universalisme et le déterminisme. Cependant, la production est passé de l’artisanale à
l’industrielle. Les principes communs des classiques sont : hiérarchie/ commandement/
subordination/ organisation/ la science dans le travail

1 – L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL TAYLOR

2- L’ORGANISATION ADMINISTRATIVE DU TRAVAIL FAYOL

3- La THEORIE DE LA BUREAUCRATIE ET DE L’AUTORITE WEBER

1 – L’ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL / TAYLOR

 Biographie de Taylor :
Frederick Winslow Taylor (1856-1915) était un ingénieur américain à l’origine de l’Organisation
Scientifique du Travail. Il est également à la base de la révolution industrielle du 20ème siècle.. Il fit
des études de juriste à l’université de Harvard. Malgré sa réussite à son concours d’entrée, il préféra
s’orienter vers la mécanique. Après 4 ans d’apprentissage en tant que mécanicien et modeleur, il
intègre la Midvale Steel Company au poste de tourneur sur métaux.
Très vite il devient contremaître et applique les mathématiques dans la gestion et l’organisation de
l’entreprise. Ainsi, en 1884 il devient ingénieur en Chef de la Midvale après avoir étudié pendant
plusieurs années le fonctionnement de la société afin de déterminer la meilleure façon d’optimiser le
travail.
 Problématique de L’OST
Comment intégrer et diriger une main d’œuvre abondante rurale et peu
qualifiée de façon à augmenter sa productivité.
 Philosophie et fondements de L’OST
Une longue expérience de l’atelier conduit Taylor à penser que l’un des problèmes principaux est de
lutter contre la paresse naturelle des ouvriers, qui est provoqué par la tendance de tous les hommes
à la paresse. Les ouvriers n’ont pas intérêt à produire. Ainsi, le principal objectif du management,
compris au sens de l’organisation, doit être d’assurer le maximum de prospérité, aussi bien pour
l’employeur que pour chaque employé. Pour atteindre cet objectif, il préconise que la direction et la
main d’œuvre se fassent mutuellement confiance. La prospérité de l’entreprise ne réside pas de dans
l’augmentation de la productivité mais dans son amélioration. De ce fait, la prospérité de l’employé
dépend de son rendement, qui dépend de son coté de l’efficacité de son travail. Taylor dit que tous
systèmes management qui ne lie pas la rémunération au salaire cours un grand risque parce qu’il
poussent l’ouvrier à limiter sa production puisqu’il est persuadé que le patron n’augmentera pas son
salaire même s’il augmente le rythme de production, relève d’un très mauvais management.

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Certain méthodes de travail gaspillent l’énergie et les efforts des ouvriers qui ne reçoivent ni aide ni
conseil de la part de leurs direction. Or ce que les travailleurs demandent à leur employeurs, plus que
toute autre chose, c’est un salaire élevé, ce que les employeurs veulent ce sont des bas couts de
production ; l’existence ou l’absence de ces deux élément constituent le meilleur indice d’un bon ou
mauvais management. C’est la cause pour laquelle Taylor dit de suivre des bases scientifique qu’il
définit
Le one best way : c'est-à-dire qu’il n’y a qu’une unique bonne façon d’organiser la production, le
travail, et l’entreprise, et cette façon doit s’imposer à tous. Et ainsi un encadrement rigoureux de la
main d’œuvre, rationnaliser son comportement au travail et augmenter ainsi sa productivité. Plus le
principe hiérarchique, les supérieurs pensent le travail et le commandent, vers la perspective de
standardisation des taches, des gestes, et spécialisation.

 Les principes et méthodes tayloriens


Taylor suggère de remplacer la gestion de type artisanal inefficace par une direction scientifique, et
pour cela il donne plusieurs principes :
Principe hiérarchique : Une séparation fondamentale doit être opérée, entre les ouvriers et la
direction et les cadres supérieurs.
Analyse et organisation du travail : l’étude scientifique du travail doit être faite par une équipe de
spécialistes car elle est trop difficile et trop longue pour être réalisée par du personnel de production.
Il s’agit de trouver la méthode la plus efficace et rapide d’exécution du travail. Il faut donc observer
les qualités de l’ouvrier, décomposer le travail en taches, assembler les gestes les plus efficaces et
éliminer les gestes inutiles, le temps selon la tâche, déterminer la séquence optimale des opérations
et des gestes, affecter les taches par postes de travail spécialisés.
Sélection scientifique des ouvriers : il s’agit de sélectionner les ouvriers sur la base de critère retenus
pour chaque poste de travail. Tout travailleur peut devenir excellent par le training.
Rémunération lié au rendement : le salaire varie en fonction du nombre de pièces produites. Plus on
produit plus en reçoit un salaire bon avec p1= (1+x)*p0.
La supervision : un ouvrier peut avoir plusieurs chefs, Taylor refuse l’unité de commandement.
Néanmoins, il pense que l’ouvrier doit avoir quatre contremaître par fonction au lieu d’un. Un
premier chargé de l’inspection, un deuxième chargé de la réparation, un troisième chargé de la
vitesse et un quatrième chargé de l’équipe. Avec une supervision conjointe de chaque salarié. La
coopération : doit être étroite car le travail et la responsabilité du travail se divisent d’une façon
presque égale entre les managers et les ouvriers. Cette coopération renforce la solidarité humaine et
favorise la productivité.
La coopération : doit être étroite car le travail et la responsabilité du travail se divisent d’une façon
presque égale entre les managers et les ouvriers. Cette coopération renforce la solidarité humaine et
favorise la productivité.
Le travail à la chaine : c’est un prolongement du taylorisme introduit par Ford au XXe siècle qui a mis
en application les principes et la méthode de l’OST sur les lignes de montage de voitures dans son
usine.

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 Les critiques et apports :
 Les critiques :
 Le one best way n’existe pas, les propositions de Taylor décrivent un modèle idéal et des
lois organisationnelles universelles. Or en réalité il est possible et même préférable,
d’organiser la production et le travail selon plusieurs manières en fonction de la situation.
 Organiser tient non-seulement de la science, mais aussi de l’art ou de l’intuition par essai-
erreur.
 L’intérêt matériel n’est pas le seul élément qui gouverne le comportement des salariés.
 Les ouvriers exécutent des taches routinières, ils sont considérés comme des axes machines/
sentiments négligés.
 La rémunération liée au rendement individuel est critiquée par plusieurs auteurs. Le
rythme imposé est mal/influence le rendement collectif.
 Les apports :
Malgré toute les critiques qu’ont peux adresser à l’organisation scientifique du travail préconise par
Taylor et ses disciples, la rationalisation du travail a eu des effets plus que positifs :
 Avec l’OST la production de masse est devenue possible.
 Augmentation de la productivité et abaissement des couts.
 Elévation du niveau de vie des salariés.

Selon Taylor l’amélioration de la productivité passe par l’amélioration de rendement


de l’ouvrier au travail, ce qui conduit à la mise au point de méthodes d’organisation
fondées sur une analyse scientifique des taches réalisés par les spécialistes, et cela
Pour analyser l’ensemble des variables qui permettent d’augmenter et de rationnaliser
la production et les comportements des ouvriers.

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1 – L’ORGANISATION ADMINISTRATIVE DU TRAVAIL / FAYOL

 Biographie de Fayol :
L’organisation administrative du travail est fondée par Henri Fayol, est un ingénieur français, er
diplômé de l’école de Mines de Saint-Etienne. Il est le 1 théoricien à s’être préoccupé de
l’administration des entreprises. Il est un praticien qui a mené une réflexion sur son expérience
professionnelle, comme directeur général. Etant l’un des fondateurs de management, Fayol porte sur le
travail des dirigeants.

 Problématique de L’OAT
Comment améliorer l’efficacité du travail des dirigeants et quelles sont les fonctions
exercées dans l’entreprise ? Quelles sont les activités de la fonction d’administration ?

 Les fonctions de l’entreprise


Les fonctions devant être remplies dans toute entreprise, quelle que soit sa taille ou son activité, sont
au membre de six :
-Fonction technique : production/fabrication/transformation.
-Fonction commerciale : achats/ventes/échanges.
-Fonction financière : s’occupe de la recherche des capitaux nécessaires pour l’investissement. -------
-Fonction comptable : l’enregistrement de toute les opérations comptable/établissement des bilans/
détermination du cout de revient.
- Fonction de sécurité : sécurité social et des biens de l’entreprise
- Fonction administrative ou de direction : s’occupe des activités administratives qui composent ce
qui est appelé aujourd’hui la fonction de direction. Cette dernière est présente au sein de toutes les
fonctions, et exercée par tous les gestionnaires, mais plus on s’élevé dans la hiérarchie plus son poids
est important.
 les qualités requises pour l’exercice de la fonction administrative
Fayol pense que la fonction administrative, à laquelle les théoriciens n’accordaient pas une grande
importance, est une fonction centrale qui mérite une attention. Ainsi, pour bien remplir son rôle, le
dirigeant ou le cadre doit posséder les qualités et les capacités suivantes :
Physiques : santé, vigueur et adresse.
Mentales : la capacité de comprendre et d’apprendre, le jugement, l’adaptabilité.
Morales : énergie, fermeté, volonté d’accepter des responsabilités, l’initiative.
Educations : connaissances générales sur des sujets n’appartenant pas exclusivement aux fonctions exercées.
Techniques : spécifiques à la fonction exercée.
Expérience : Provenant du travail exercée en lui-même.
 les qualités requises pour l’exercice de la fonction administrative
Selon Fayol, c’est à la fonction administrative qu’on doit poser notre attention puisque les autres
fonctions sont plus au moins connues.
La prévoyance : c'est-à-dire le fait de prévoir et d’anticiper les mutations qui surviendront par le
dressement d’in programme d’action précis, flexible qui assure la continuité entre le court et le long
terme, plus la précision.

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L’organisation : il s’agit d’une part, d’une part de donner une structure au corps social (personnel),
et d’autre part de symboliser cette structure sous forme d’un organigramme.
Le commandement : c’est un art qui utilise des capacités technique et des outils scientifique qui
consiste à donner des directives au personnel pour assurer le bon fonctionnement.
La coordination : il s’agit de relier les services et harmoniser tous les efforts et toutes les actions, par
une conférence hebdomadaire des chefs de services.
Le contrôle : veiller au respect des règles et des ordres donnés. Il doit être rapide et suivi des
sanctions.
 Les 14 principes d’administration selon Fayol
Fayol a proposé 14 principes d’administration, d’autres penseurs ont ajouté quelques une à la liste
pour devenir 21, selon lui ces principes doivent être respecté pour veiller le bon fonctionnement de
l’organisation.
 La division du travail : permet de produire plus et mieux avec le même effort grâce
à la spécialisation des travailleurs qui deviennent expérimentés et productifs.
 L’autorité et la responsabilité : la fonction est marque de la responsabilité, la sanction est la
marque de l’autorité. On ne conçoit pas une autorité sans responsabilité et vice versa. Il existe 2
types d’autorité (statutaire ou officiel accordé au supérieurs/ et personnelle qui dépend des
qualités).
 La discipline : c’est l’obligation d’obéissance des subalternes aux ordres de leurs
supérieurs selon les conventions établies. Généralement, le degré d’obéissance des hommes
dépend de la valeur de leurs chefs.
L’unité de commandement : contrairement à Taylor, Fayol pense que l’homme doit
avoir un seul chef. Pour que chaque employé reçoit les ordres d’un seul supérieur. Or un double
commandement est une source de confits.
 L’intérêt général : la subordination de l’intérêt individuel à l’intérêt général, càd que c’est
l’intérêt de l’ESE qui doit avoir la priorité.
 La rémunération proportionnelle : salaire qui suit l’effort pour l’entreprise
 La centralisation/ la décentralisation : ni bonne ni mauvaise.
 La hiérarchie : chaine de commandement, ne doit pas empêché les communications littérales.
 L’ordre : à la fois matériel, moral, et social.
 L’équité : la bienveillance/ faire montrer la bonne foi.
 Stabilité du personnel : =la stabilité automatique de l’entreprise/ l’instabilité implique des couts.
 l’initiative : un puissant qui doit être encouragé.
 l’union du personnel : l’esprit de corps/ la communication verbale est acceptable que les ordres
lourds écrits.
 Appréciation de la théorie administrative de Fayol
Fayol a, le premier, construit une théorie complète de l’organisation en s’adressant, avant tout, aux
dirigeants. Cependant, certains auteurs comme Gulick et Bresh pensent qu’il faut souligner le
caractère moderne et précurseur de l’œuvre de Fayol.
Ce qui donne une acceptation à la théorie de Fayol c’est qu’il a laissé la liste de ses principes
d’administration délibérément ouvertes, leur application n’est pas absolue, mais dépend au
contexte. L’un des principaux problèmes auquel se confronte la théorie de Fayol c’est la difficile
conciliation entre le principe de spécialisation et de l’unité de commandement. Notamment il a
voulu se débarrasser du principe de Taylor, qui pensait de la diversité de commandement pour

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remplir cette lacune qui amènera à des conflits. Mais il ne savait guère que l’unité de
commandement peut donner comme résultat l’existence d’un cadre omniscient, ce qui est rare voire
impossible

Le mérite de Fayol a été de dégager de son expérience des principes simples et logiques,
afin de favoriser la productivité dans l’entreprise grâce à la définition des
responsabilités. Un bon orateur dit : Les idées de Fayol sont tellement actuelles. J’ai dû
vérifier plusieurs fois qu’il était bien contemporain de Taylor.

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3- La THEORIE DE LA BUREAUCRATIE ET DE L’AUTORITE WEBER

 Biographie de Fayol :
La pensée de Max weber, éminent théoricien du début du 20 siècle, né en Allemand, sociologue,
économiste, politologue, a construit une image de l’organisation structurée en bureaux, et décrit une
typologie des organisations fondée sur l’origine de l’autorité.
 Problématique de L’OAT
Sur quoi reposent le pouvoir et l’autorité dans l’organisation ? Quelles sont les formes d’autorités
les plus efficace pour les sociétés modernes et quelles sont ses caractéristiques ?
 Les formes d’autorité
L’autorité est le pouvoir de commander. Dans tout système d’autorité, les subordonnés acceptent les
ordres parce qu’ils les croient légitimes, or cette légitimité peut avoir plusieurs sources selon Max
weber.
L’autorité traditionnelle : l’autorité du chef est légitime par le statut dont il a hérité, elle se transmet
par usage, comme l’autorité léguée de père en fils dans une entreprise familiale. Ce type d’autorité
est favorisé par la croyance en la nature inviolable des traditions, mais peut mener à des tensions ou
des conflits, car les subordonnés intègrent cette forme d’autorité sans forcément la reconnaitre.
L’autorité charismatique : repose sur le charisme d’un leader dont la valeur est exceptionnelle. C’est
un ensemble de qualités naturelles qui permettent à un individu de disposer d’une ascendante sur
les autres. Ce type d’organisation est instable par nature, le chef peut à tout moment perdre son
aura et la croyance des membres à ces qualités supérieurs peut à tout moment disparaitre. Il est
aussi difficile de trouver un hériteur qui a les mêmes qualités du leader charismatique.
L’autorité bureaucratique : elle découle de la légalité des ordres et de la légitimité légale de ceux qui
les donnent. Réputé rationnelle-légale, car l’autorité ici repose sur des règles écrites, et encadrée par
des normes et des procédures impersonnelles. Ce modèle est le plus efficace et le plus efficient. Il
faut signer que ce type peut coexister parfois avec les 2 autres types.
 Les caractéristiques du model bureaucratique
Max weber caractérise son model par les traits suivants :
 Une bureaucratie est organisée selon une hiérarchie clairement définie.
 La division du travail.
 L’emploie professionnel est la seule occupation de l’intéressé.
 Les membres sont personnellement libres et n’obéissent qu’aux devoirs de leur fonction
officielle.
 Les employés sont sélectionnés et nommés sur la base de leurs qualifications (via des concours,
examens, ou diplômes).
 Les employés sont rémunérés par un salaire fixe évoluant selon leur rang hiérarchique.
 L’employé ne peut pas devenir propriétaire des moyens de l’organisation, et ne doit utiliser
aucun outil pour servir leurs propres intérêts.
 L’organisation repose sur des règles abstraites, établies intentionnellement par accord mutuel.
 Appréciation du modèle bureaucratique
En pratiquant la théorie wébérienne, le mérite est de placer au centre de l’organisation un modèle
de domination de type rationnel et impersonnel nécessaire au fonctionnement des groupes lorsqu’il
s’agit des sociétés les plus complexes. Ainsi, il est aisé de remarquer que ce modèle vise à garantir la

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compétence et l’efficacité. Si ce modèle n’est pas infaillible, il reste le meilleur moyen pour révéler
les qualifications professionnelles et pour sélectionner la bonne personne à la bonne place. De
même, lorsque l’autorité découle de la fonction et de la légitimité des règles, elle est plus facile à
accepter. Ce modèle rationnel-légal jouit de plus d’une grande stabilité que l’allégeance à une
personne ou le respect des traditions. On ajoute que nul ne peut être poursuivi s’il applique les
consignes strictement, mais nul n’est censé les outrepasser. Le modèle ne se prête pas au
développement des baronnies ou du despotisme.

Similitude du modèle wébérien avec OST et OAT : -La bureaucratie


s’accompagne d’une taylorisation des activités. - Le one best way : toute
organisation doit posséder les caractéristiques bureaucratiques si elle veut
fonctionner de façon rationnelle. -La recherche de la productivité. -la
rationalité du modèle wébérien s’impose aux salariés.

 Critiques et limites du modèle wébérien


Personne ne peut nier l’apport indéniable du modèle wébérien de la bureaucratie, cependant Max
Weber a quelque peu délaissé les effets produits par les bureaucraties en activité et les
dysfonctionnements qui accompagnent la plupart du temps ces structures. Des autres auteurs vont
s’attacher après Max à montrer les écarts qui éloignent la réalité empirique du modèle théorique.
(École sociologique américaine). Selon eux on risque d’obtenir des conséquences non prévues.
Michel Crozier a montré que le modèle d’organisation bureaucratique à la française se caractérisait
par de véritable cercles vicieux. En définitive, le modèle wébérien est critiqué notamment parce qu’il
représente un type idéal et non une réalité.

Max weber constate que le développement des organisations


bureaucratiques touche toutes les formes d’organisation. Ce modèle reste
le plus utile et le plus efficace dans la réalité empirique.

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