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Intrevention…
La responasabilite de l’inf
a) Peur du mariage
b) Adultère de la femme
c) Dépression et folie
Aucun amour aussi fort soit il, ne peut résister à des assauts répétés de
violences à récidive. Souvent la séparation de corps ou le divorce, sont de
véritables solutions à une situation désespérés. Beaucoup de femmes
préfèrent rompre une union qui chemine vers l'irréparable, pour elles et
leurs enfants. D'autres part, la violence est destructive aussi bien pour les
victimes que pour l'auteur : C'est un enchainement qui détruit le foyer, le
couple, les individus eux même.
b) Dommages physiques
Il faut signaler enfin les cas d'ivresse, qui se multiplient de plus en plus.
c) Polygamie :
Cause évoquée pour les jeunes qui se marient sur un coup de tête, malgré
l'opposition des parents... Mais il y'a aussi les mariages entre des
personnes d'ethnies différentes, de religions différentes.... Il a été souvent
fait état des mariages forcés : la plupart des cas d'insoumission de filles
mariées trop jeunes, de refus de l'acte sexuel, viol conjugales, et autres
formes de violences proviennent de ce genre d'union.
Elle est une forme et cause de violence. Du coté de l'épouse comme celui
de l'époux, les ingérences de la belle-famille sont souvent des sources de
conflits qui peuvent dégénérer. Pour des raisons économiques, la
cohabitation avec la belle-famille est souvent un mal nécessaire chez nous,
mais elle ne génère souvent que des incompréhensions et des haines
entres les membres de la famille.
Role inf
Les professionnels de santé sont en première ligne pour repérer les femmes
victimes de violence au sein du couple, affirme la Haute Autorité de la Santé
(HAS) qui a publié, mercredi 2 octobre, des recommandations sur le sujet,
objet d'une vaste mobilisation de la part des associations et du gouvernement.
Lésions traumatiques, symptômes inexpliqués ou troubles de l'anxiété doivent
ainsi alerter infirmiers, médecins, kinésithérapeutes,... et l'ensemble du corps
médical et paramédical sur la possibilité de violences conjugales vécues par
les patientes.
En moyenne, 219 000 femmes de 18 à 75 ans sont victimes chaque année en France de
violences physiques et/ou sexuelles commises par leur ancien ou actuel partenaire intime, selon
la Haute Autorité de Santé, qui rappelle que le phénomène concerne tous les âges de la vie et
tous les milieux sociaux. Or, la plupart des femmes ne parlent pas spontanément des violences
qu'elles subissent, parce qu'elles ont honte, peur ou parce qu'elles sont sous l'emprise de leur
agresseur. Il est donc crucial que les professionnels de santé, qu'ils soient infirmiers, médecins,
kinésithérapeutes, dentistes, sages-femmes... soient conscients de leur rôle prépondérant dans
la détection de ces violences et l'orientation des femmes qui en sont victimes. Parfois, le cabinet
médical, l'hôpital, la salle de soins, est d'ailleurs le seul endroit où les victimes peuvent se rendre
seules et ainsi, se confier. Malheureusement, faute de formation et d'outils, la plupart des
professionnels de santé sont le plus souvent démunis face à cette problématique qu'ils
connaissent peu ou mal, et ne vont pas forcément repérer ces situations ni savoir comment agir
pour protéger les victimes, regrette la Haute Autorité. C'est donc tout l'enjeu de sa dernière
recommandation qui doit constituer une sorte de vade mecum pour faciliter le repérage, la prise
en charge et l'orientation des victimes par les professionnels de santé. Alors que les femmes
battues hésitent souvent à porter plainte, elles sont beaucoup plus enclines à se tourner vers un
professionnel de santé et le médecin, la sage-femme, l'infirmière ou le pharmacien sont souvent
les premiers à pouvoir venir en aide aux victimes.
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