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Sécurité maritime
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-S.o.l.a.s :
1)- généralité :
-un passager désigne toute personne autre que un équipage ou enfant < 1 ans.
-un navire a passagers transporte plus de 12 passagers.
-navire neuf (construction et début de projet a partir de 25 mai 1980).
-1 mille = 1852 m = 6080 pieds.
-il y a trois types de visite : (partielle, de renouvellement, et supplémentaire).
5)-certificat de sécurité :
- pour les navires a passagers la validité ne dépasse pas les 12 mois.
- pour les navires de charge la validité ne dépasse pas 05 ans.
Administration maritime peut prolongé la durée de certificat pour un voyage ou pour 1 mois
pour des navires qui effectuent des courts voyages.
6)-engins de sauvetages :
- la flottaison d’exploitation la moins élevée :
a)-pour navire de charge : sans cargaison, et reste 10% de prévisions et 10% de combustible.
b)-pour navires a passagers : nombre total des passagers et leurs bagages.
-voyage international court :
Pas plus de 200milles, ou pas plus de 600milles avec escale.
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A- bouées de sauvetage :
-au moins 1e bouée placée a proximité de l’arrière.
-au moins 1e bouée chaque bord doit être munie d’une ligne de sauvetage d’une longueur
de 30 m.
- au moins la moitie des bouées doivent être munie de appareils lumineux.
- au moins deux bouées doivent être munie de signaux fumigènes.
- chaque bouée doit porte en majuscules le nom et port d’immatriculation de navire.
B- brasiers de sauvetage :
- une pour chaque personne.
- en mois 10% du nombre total pour enfants pour les navires a passagers.
- des brassiers de sauvetage supplémentaire du 05% du nombre total des passager en
les trouve sur les pont ou des endroit de service du quart (salle de contrôle,
passerelle).
- rôle d’appel et consigne : ces des liste qui destine la tache de chaque équipage en cas de
situation critique : exemple : - abondement du navire
- incendie. -pollution - avarie.
- les consignes d’explantation des engins de sauvetages doivent être visible avec éclairage de
secours.
- abondement du navire :
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1- chaque embarcation de sauvetage doit avoir une liste de l’équipage avec le nom de
l’officier responsable.
2- la surface de chaque poste de rassemblement doit pour au moins 0.35m² pour
personne.
3- la mise a l’eau pouvant être pour une assiette de 10° et une gîte de 20°.
4- poste de mise à l’eau avant doit être situe à l’arrière de la cloison d’abordage.
5- les embarcations doivent situe a 2 m au moins de la flottaison lorsque le navire est en
plein charge.
6- la mise a l’eau doit être en délit de en moins 05 minute.
7-l’arrimage des embarcations de l’arrière :
- 80 m<= LCC<120 m : embarcation situe a l’avant de l’hélice a une distance au moins
Supérieur ou égale a la longueur de l’embarcation.
- LCC>=120 m pour navire de charge et LCC >=80 m pour navire a passagers :
Embarcation situe à l’avant de l’hélice a une distance au moins
Supérieur au égale a la longueur et demie de l’embarcation.
8- les canots de secours doivent pouvoir mise a l’eau au moyen de bosse avec une
vitesse qui ne dépasse pas 5 nœuds.
9- 06 personnes approuvées pour le canot de secours.
10- la récupération de canot de secours avec son plein charge en délit qui ne dépasse pas
5 minutes.
11- pour navire a passagers effectuent un voyage plus de 24 heures, doit existe la
formation des passagers d’emploi des brassières de sauvetage avec un rappel chaque 24
heures.
12- les exercices de abondons du navire et d’incendie au moins une fois chaque mois.
13- embarcation de sauvetage mise a l’eau et manœuvrer chaque 03 mois.
14- embarcation de sauvetage a chute libre manœuvrer chaque 06 mois, et peut être
prolonger a 12 mois par administration maritime.
15- pour les navires effectuent un court voyage, la mise a l’eau des embarcation est pour
chaque 12 mois (prolonger par A.M).
16- pour le canot de secours la mise à l’eau est pour chaque mois.
17- mise à l’épreuve l’éclairage de secours a chaque exercice.
18- la vérification et entretien des garants des engins de sauvetage sont pour chaque 30
mois.
19- la durée de vie des garant (câbles) est de 05 ans.
Mise a l’eau des embarcation du sauvetage avec leur plein charge pour les navires a
passagers doit être dans un délai qui ne dépasse pas les 30 minutes.
4- canot de secours :
- navire a passagers d’une GB>=500t, un canot de secours chaque bord.
- navire a passagers d’une GB <500t, un cant de secours.
- un canot de secours rassemble 6 radeaux de sauvetage, ou 9 radeaux pour les navires qui
effectuent des voyages internationaux.
5- armement par des bouées :
- longueur <= 60m ,8 bouées.
- longueur >=60m et <=120m ,12 bouées.
- plongeur >=120m et <=180m, 18 bouées.
- longueur >=180m et <=240m, 24 bouées.
- longueur >=300m, 30 bouées.
Les navires <= 60m doivent avoir au moins 6 bouées munie d’appareils lumineux a
allumage automatique.
5) les navires d’une GB> 20 000, la mise a l’eau a l’aide des bosses et le navire en route a
une vitesse quelconque pouvant atteindre 5 nœuds.
6) pour les bouées de sauvetage :
7) nombre des bouées pour les navires de charge :
- si la longueur du navire est > 100m, en trouve 8 bouées ;
- si lgr >=100m et <150m, en trouve 10 bouées.
- si lgr >=150m et < 200m, en trouve 12 bouées.
- si lgr >= 200m, en trouve 14 bouées.
La mise a l’eau des embarcations avec plein charge en délai qui ne dépasse pas 10
minutes.
- confortable
- au moins doit être constitue de 2 compartiments.
- se gonfle automatiquement, ou à la main, ou à la bouche.
- elle assure la flottabilité en cas de défaillance de l’un du compartiment.
- Appareils lumineux des brassières de sauvetage :
- intensité lumineux >= 0.75cd.
- a pour une durée de fonctionnement de 08 heures.
- visible d’une couleur blanche.
- c’est le feu est un feu a éclats ça fréquence est >=50cd et <=70 cd par minute.
- par maillon de rupture (rompre sous l’effet d’une force entre 2.2 KN et 0.4 KN.
- largage hydrostatique (actionner à une profondeur qui ne dépasse pas les 4 m).
D- échelles d’embarquement :
- les marches de bois dur, longueur>=480 mm, épaisseur>=25mm, largeur>=115m.
- entre marche et l’autre une distance >=300mm, <=380mm.
- la distance entre deux cordage de l’échelle>=650mm.
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Réglementation :
- incendie.
22- un navire neuf est définie :
- dont le contrat de construction est passe le 31/12/1975.
- dont la quille est posée après le 30 /06/1976.
- dont livraison s’effectue après la 31/12/1974.
23- les cours d’exploitation des moyens de sauvetage sont prescrits par STCW 78.
24- Les séances de formation et exercices réguliers à bord navires sont prescrit par SOLAS
74.
25- la fréquence des visites d’inspection des radeaux de sauvetage est d’une année.
26- une station de révision du matériel de sécurité doit être agrée par l’administration
maritime (les gardes cotes) et le constructeur.
27- les sécurités de ralenti que doit équiper les machines :
- basse pression d’huile de graissage < 1.0 atm.
- haute température eau douce de réfrigération >84°C.
- basse pression eau douce de réfrigération >1.7 atm.
- feu dans le collecteur de balayage.
28- les sécurités d’arrêt d’urgence que doit équiper les machines :
- base pression d’huile de graissage < 0.7 atm.
- base pression d’huile arbre a cames < 0.8 atm.
- survitesse (mer agitée).
- haute température de la butée > 79°C.
29- la classification des matières isolantes :
- classe A : non combustible, et non inflammable (acier ou équivalent).
- classe B : non combustible, et non inflammable (acier ou équivalent).
- classe C : combustible et inflammable (acier ou équivalent).
Classe A et B, permettre pas le passage de flammes et des fumées.
Les cloisons Classe A : résiste une heures (A60).
Les cloisons Classe B : résiste que 30 minutes.
30- un navire a passagers est un navire qui transporte plus de 12 passagers.
31- le matériel de sécurité est régit par la convention internationale SOLAS.
8- les modifications importantes ont été faites a bord pour les équipements prescrits par la
MARPOL, le certificat I.O.P.P perd de se validité si ces modifications sont effectuées sans
l’aval d’autorité.
9- lors d’une visite annuelle, si une défaillance du système de surveillance continue 15 ppm
apparaît, le certificat I.O.P.P sera retire et un conditionnel délivrer.
10- la durée de validité d’un certificat conditionnel I.O.P.P est de 2 mois.
11- pour pomper les eaux des cales en fait l’appel a une barge.
12- les critères des rejets des hydrocarbures dans les zones dites spéciales :
- les rejets interdits partout pour tous les navires de GB >= 400t, sauf dans les cas ou le
Navire fait route et utilise un séparateur avec filtre et dont la teneur en hydrocarbure ne
Dépasse pas 15 ppm.
- les rejets sont toléré pour les navires de GB<400t jusqu'à 12 miles des cotes a condition
D’utiliser un séparateur dont la teneur en hydrocarbure de rejets ne dépasse pas 15 ppm.
13- le registre des hydrocarbures doit être conserve abord après la dernière inscription pendant
Une période de 3 années.
14- les différentes indications a porter sur le registre des hydrocarbures lors de l’opération de
Rejets : - la quantité rejeter
- l’heure de l’opération.
- la méthode utilisée (séparateur de cale a 100 ppm, ou 15 ppm)
15- une zone spéciale désigne une zone maritime qui, pour des raisons techniques reconnues.
Exemple : la mer méditerranée, noire, baltique, rouge, les golfes.
16- la citerne de décantation désigne une citerne destinée spécialement à recevoir les résidus
des tanks, les eaux de nettoyage et les autres mélanges hydrocarbures.
17- les grands pétroliers adaptant la technique du « LOT » : load on top (chargement par
dessus).
18- les restrictions apportes par MARPOL (02/10/1983) concernent les rejets hydrocarbures :
- tout les rejets hydrocarbures sont interdit a moins de 12 miles d’un littoral pour les
Pétrolier ou d’un cargo.
- tout les rejets de pétrole brut ou raffiné est interdit aux pétrolier au moins de 50 mile des
Cotes.
- tout rejet hydrocarbure est strictement interdit pour les pétroliers et limiter a 15 gramme
Par tonnes d’eau pour les rejets des autres navires.
- tout les navires doivent posséder a bord un dispositif de control des rejets, « une
Véritable boite noire », enregistre en permanence les caractéristiques des effluents
Rejets et commandant l’arrêt immédiat du déversement des que la limite imposée par la
Loi sont dépasse.
19- tout les pétroliers neufs de plus de 20 000 tonnes doivent être équipé soit :
- cuves de ballast totalement isolées.
- système de lavage au brut.
20- les rejets de hydrocarbures sont absolument interdits dans les zones spéciales.
21- en 31/12/1988 l’annexe 5 de la MARPOL concernant les ordures est entrée en vigueur.
22- en peut rejeté des substances polluantes en mer dans les circonstances suivantes :
- sauver les vies humaines en mer.
- assurer sa propre sécurité ou celle d’un autre navire.
- éviter une avarie au navire où a la cargaison.
23- les procédures a suivre si on remarque une nappe d’hydrocarbure sur la surface de l’eau
près du navire durant l’opération de soutage :
- stopper l’opération de soutage et rechercher la source de la fuite sur le navire, et ne
Prendre l’opération que la fuite a été maîtrisée.
- utiliser tous moyens nécessaires pour récupérer les fuites et nettoyer la surface de l’eau.
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Étudie particulièrement).
24- le carbure solide est un combustible de classe A.
25- il est proscrit d’éteindre un feu de classe D avec de la poudre polyvalente.
26- pour éteindre un feu de métaux on utilise l’eau.
27- les pentures sont classes dans les feux classe B.
28- en agit sur les feux de gaz avec de la poudre sèche ou halogène et CO2.
29- d’après la classification internationale des feux (ISO) les caoutchouc font parti de la class
B.
30- la lutte contre l’incendie commence a partir de l’instant ou l’alarme a été donnée.
31- l’équipe de reconnaissance est composée de 2 à 3 personnes.
32- exemple sur les A.E .T (accès aux espaces fermées) :
- les ballasts - coffer-dam - salle de propulsion.
33- les conditions d’une visite a A.E.T :
- aération, ventilation, taux d’oxygène >18%.
- la présence d’un officier qui postera a entre de l’espace clos.
- utilisation d’un appareil respiratoire.
- éclairage de l’espace.
- présence de matériel de secours et de réanimation a l’entre de l’espace fermée.
- la personne doit porter des vêtements, et chaussures anti-dérapent.
34- les objectifs des exercices et séances de formations :
- localisation du matériel de sécurité.
- travailler en équipe.
- entretien du matériel
- familiarisation avec le matériel.
35- les consignes de sécurités qu’il faut suivre pour prévenir les risques d’incendie
d’explosions et asphyxie aux combustibles liquide :
- ne tolérer aucune fuite aux soutes, tuyautages et vannes.
- installer des récipients et des gattes pour recueillir les fuites.
- nettoyer, rincer, assécher souvent les cales de machine.
- vérifier l’étanchéité des lampes a l’emploi (baladeuses).
- ne jamais pénétrer dans une soute sans l’avoir aéré, et dégazé.
- maintenir les moyens d’extinction en parfait état de marche
(Extincteur mobile et installation fixe).
36- technique de lutte et la marche générale des opérations :
a- intervention immédiate.
b- intervention renforcée, mise a alarme générale et organiser les équipes :
- équipe d’investigation
- équipe de secours.
- équipe de protection.
- l’équipe de liaison.
37- les tableaux d’intégrité au feu des cloisons qui séparent les locaux adjacents se trouve
dans le document : SOLAS.
38- la tenue du pompier de pénétration est utilisée pour procéder à une opération ponctuelle
dans le feu.
B- Les extincteurs :
C- CO2 :
D- Appareils respiratoires :
1- les appareils respiratoires isolant a circuit fermé de type FENZY 65 à une autonomie de
1H30 minutes.
2- les appareils respiratoires isolant a circuit fermé de type FENZY 67 à une autonomie de
3 heures à 4 heures.
3- les appareils respiratoires a circuit ouvert (ARI /CO) à une autonomie de 20 a 30 minutes.
4- pour attaquer un feu dans une enceinte fermée en utilise un appareil respiratoire isolant.
5- dans une enceinte fermée en feu, il y a un danger de mort si :
- l’appareil respiratoire est décapelé.
- la sonnerie de fin gaz comprimé dans la bouteille est hors service.
- à la sonnerie l’équipe d’attaque ne sort pas de l’enceinte.
2- les ventilateurs électriques du bord doivent être reliée a une commande a distance
principale d’arrêts d’urgence.
3- les mesures a prendre a fin d’éviter un feu dans le collecteur d’échappement d’un moteur
diesel :
- régler les injecteur et les pompes a combustibles.
- éviter les marche à faible allure.
- éviter les fumées par réglage correct du graissage cylindre.
- avoir un bon réglage de température de réfrigération.
- nettoyage périodique des conduits de gaz.
- entretien des tubes de l’économiseur.
4- les mesures à prendre a présence d’un feu au niveau du collecteur de balayage du moteur
principal :
- l’arrêt du moteur.
- introduire de la vapeur saturée dans le collecteur pour le M2T, et de CO2 pour les M4T.
- nettoyage du collecteur et contrôle de l’état des segments.
- nettoyage de collecteur des purges d’huile sur les M2T.
5- un explosimètre est un appareille de mesure de la limite inférieur d’inflammabilité.
6- un explosimètre donne le % de la vapeur du combustible dans un 1m3 d’air.
7- les nombres des pompes a incendies dans :
- navire a passagers : GB>= 4 000, en trouve 3 pompes.
GB< 4 000, en trouve 2 pompes.
- navire de charge : GB>= 1 000, en trouve 2 pompes
GB< 1 000, en trouve une pompe.
8- la capacité minimum des bouteilles d’air de lancement a bord doit être :
- pour 12 lancement du moteur réversible.
- pour 6 lancement du moteur non réversible.
9- les exigences de SOLAS pour l’existence d’un gravineur :
- diamètre de la chemise >= 200 mm. Et – la capacité de carter d’huile est >= 900L.
Survie en mer :
1- un matériau rétro fléchissant est un matériau qui réfléchit la direction opposée d’un faisceau
lumineux dirigé sur lui.
2- la manœuvre « boutakow » est efficace surtout si la passerelle a été prévenue a temps.
3- la manœuvre pour récupérer un homme tomber accidentellement a la mer est souvent
rendue délicate a cause de la contrainte que l’homme est probablement sans brassière de
sauvetage.
4- l’évacuation sans immersion préalable, permet de gagner du temps et augmenter le nombre
des personnes évacuées.
5- dans le cas d’une évacuation par toboggan, l’embarquement se fait a sec dans les radeaux a
partir de la plate forme flottante.
6- pour redresser un radeau de sauvetage il faut :
- se mettre face au vent.
- monter sur les bouteilles CO2, en continuant a tenir sur les sangles.
(Les bouteilles sous le vent)
- suivre les guirlandes pour sortir.
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7- le radeau de sauvetage doit pouvoir être redresse sur houle et en eau calme par une seule
personne.
8- les procédures à suivre pour sauter à la mer a partir d’une hauteur « H » :
- prenez une grande inspiration d’air.
- couvrez-vous le nez et la bouche d’une main, en vous tenant fermement le poignet
Et le coude avec l’autre main.
- tomber verticalement dans l’eau, les pieds en premeir, les pieds et les jambes doivent
Être joints, la nuque légèrement courbée vers l’avant est la tête rentrée dans vos
Epaules.
9- les mesures à prendre a bord d’un radeau de sauvetage :
- mettez l’ancre flottante pour empêcher le radeau à la dérive.
- poster un homme de veille.
- faire l’inventaire de l’armement.
- distribuer les médicaments contre mal de mer et les sachets vomitoires.
- sécher le plancher et le gonfler.
- manœuvrer en direction des autres radeaux, les attaches ensemble (position de
Chenille) et repartir les survivants et l’armement entre différents radeaux.
- vérifier l’étanchéité du radeau.
- ajuster les ouvertures de la tente.
- assurer une ventilation dans le radeau.
- prendre des mesures pour en vue soutenir le moral.
- prendre des mesures sanitaires pour que le radeau reste salubre.
10- les mesures à prendre a bord d’une embarcation de sauvetage :
- chercher et repêcher les autres survivants.
- rassembler les embarcations et repartir les survivants et l’armement entre les
Différentes embarcations.
- distribuer les médicaments contre mal de mer et des sacs hygiéniques.
- poster un homme de veille.
- donner des soins d’urgences.
- ramasser toutes les épaves flottantes pouvant être utiles.
- se protéger contre la chaleur, le froid, et l’humidité.
- prendre des mesures en vue de soutenir le moral et des mesures sanitaires.
- effectuer des réparations s’il y a lieu ;
- effectuer les préparations en vue de l’arrivée des équipes de sauvetage par
L’hélicoptère.
11- l’inconvénient principal de artifices de signalisation est leur durée de fonctionnement.
12- le feu a main est d’une couleur rouge, utilisé pour attirer l’attention d’un aéronef.
13- l’intensité du feu a main rouge est de 1 500 candela.
14- les feux a main doivent émettre une couleur rouge vif.
15- la durée des feux a main est de 60 secondes.
16- feux a main le nombre a bord est 6 : visible 6 miles la nuit, et 4 mile le jour.
17- la fusée parachute est utilisée pour attirer l’attention d’un centre de sauvetage ou un
navire.
18- le signal parachute monte jusqu'à 300 mètre, visible a 17 milles marin.
19- les fusées parachutes doivent émettre un feu rouge de couleur rouge vif.
20- la durée des fusées parachutes est de plus de 40 secondes.
21- l’intensité du signal parachute est de 30 000 candela.
22- la vitesse de descente d’une fusée parachute est de 5 mètre/ seconde.
23- le signal fumigène est utilisé pour attirer l’attention d’un aéronef.
24- la durée des signaux fumigènes flottants est de 3 minutes.
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25- feux de Bengale (brûle au rat de mer) : visible 8 miles la nuit, et 4 milles le jour
26- une sert volante est un équipement pour signalisation ;
27- le but de la balise EPIRB pour localiser les sinistres.
Signifier: « EMERGENCY POSITION INDICATED RADIO BEACOM »
28- l’avantage de la radio de localisation des sinistres RLS 406 MHZ par rapport aux autre est
de mémoriser le message de détresse.
29- les moyens de sauvetage individuel existants a bord:
- brassière de sauvetage.
- bouée de sauvetage.
- combinaison d’immersion.
30- la brassière de sauvetage doit être endossable en 1 minute.
31- la brassière de sauvetage doit être confortable et permettant un faible parcours a la nage.
32- la brassière de sauvetage gonflable doit avoir deux compartiments distincts.
33- la brassière de sauvetage doit faire retourner le corps d’une personne évanouie ou épuisée
bouche en haut en 5 secondes.
34- la bouée de sauvetage doit avoir une flottabilité suffisante pour se tenir le poids d’un
homme normal pendant 24 heures.
35- le nombre minimal de bouées de sauvetage qui doivent être munies d’appareils lumineux
a allumage automatique est égale a la moitie du nombre total des bouées.
36- le nombre minimal des bouées de sauvetage requis a bord, est fonction de la longueur du
navire.
37- les bouées de sauvetage doivent être reparties sur les ponts découverts uniquement.
38- une combinaison d’immersion doit être :
- étanche et isolante pour garder la température du corps.
- d’une couleur vive (rouge).
- muni d’un appareil lumineuse.
39- conformément à la convention SOLAS, la combinaison d’immersion est endossable en 2
minutes.
40- la combinaison d’immersion doit permettre un saut d’une hauteur maximale de 4.5 mètre.
41- la combinaison d’immersion est exigée pour chaque personne devant armer le canot de
secours (SOLAS).
42- la mention « avec vêtements chauds » portée sur certaines combinaisons d’immersion
veut dire que la protection thermique n’est pas assurée par un isolant naturel.
43- l’évacuation sans immersion (a sec) préalable du naufragé permet l’augmentation des
capacités de résistance du naufragé.
44- dans le cas d’une personne dans l’eau sans tenue de protection, il y a une relation étroite
entre le temps de survie et la température de l’eau de mer.
45- la mesure de la température est liée à l’agitation thermique.
46- les moyens de sauvetage collectif existants a bord :
- radeau de sauvetage.
- les embarcations de sauvetage.
- canot de secours rapide.
47- le radeau de sauvetage doit résister aux intempéries pendant une durée minimale de 1
mois a flot.
48- les différents types d’embarcations réglementaires sont :
- partiellement fermée simple.
- partiellement fermée a redressement automatique.
- complètement fermée.
49- autonomie de l’embarcation de sauvetage est de 24 heures en pleine charge.
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50- lors de la mise à l’eau de l’embarcation en chute libre, les occupants doivent être sangles
sur leur siège face a l’avant.
51- l’embarcation de sauvetage peut être utilisée comme canot de secours a condition de ne
pas dépasser la longueur de 8.5 mètre.
52- les bancs de nage des embarcations de sauvetage sont places :
Aussi haut que possible.
53- les embarcations ouvertes sont prévues par les amendements 83 SOLAS.
54- les différentes types d’embarcations réglementaires prévus par les amendements SOLAS
se 1983 sont les embarcations : ouvert, partiellement fermée, complètement fermée.
55- le canot de secours est prévu pour toutes les catégories des navires.
56- le nombre réglementaire de canot de secours à bord navires de charge est 1.
57- le nombre réglementaire de canot de secours à bord navires de passagers est 2.
58- un canot de secours est une embarcation conçue pour :
- sauver des personnes en détresse.
- rassembler les embarcations et les radeaux de sauvetage.
59- un navire de charge d’une longueur >= 100m doit avoir :
Un radeau de sauvetage dans chaque bord et un autre radeau de sauvetage de secours de 6
Personnes a L’avant.
60- la commande intérieure de la mise a l’eau et du largage de crocs de l’embarcation permet :
- d’éviter le mauvais temps.
- accélérer la mise a l’eau.
61- les différents types de mise à l’eau des radeaux de sauvetage sont :
- jetable.
- sous bossoirs.
- a toboggan.
62- le dispositif de largage hydrostatique est utilisé pour :
- radeau de sauvetage.
- embarcation fermée de sauvetage.
- balise EPIRB.
63- la libération totale du radeau de sauvetage est assurée par :
- le système de largage hydrostatique.
- la bosse cassante.
- maillon de la rupture (pression de la mer).
64- libération automatique du radeau de sauvetage quand il est immergé a une profondeur de
4 mètre.
65- tous les dispositifs de largage hydrostatique (radeaux…) doivent faire l’objet d’une
inspection obligatoire tous les 12 mois.
66- tous les embarcations de sauvetage et tous les dispositifs de mise à l’eau doivent faire
l’objet d’une inspection visuelle par le bord chaque semaine.
67- la capacité maximale autorisée d’une embarcation de sauvetage est de 150 personnes.
68- le largage sous tension du croc des embarcations aura lieu même si la vitesse est de 5
nœuds maximum.
69- le largage sous tension de l’embarcation de sauvetage veut dire : largage a une certaine
distance de la surface de la mer et ce en tenant compte de la hauteur des vagues
d’accompagnement.
70- les embarcations doivent être mise à l’eau même si la vitesse de navire est de 5 nœuds,
gîte 20° et assiette 10°.
71- la capacité des moyens (les engins) de évacuation en mer d’une façon générale :
- navire de charge : une capacité d 50% chaque bord.
- navire a passagers : une capacité de 100% chaque bord.
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72- sur un navire de charge, tous les engins de sauvetage requis pour permettre à tout
l’équipage a bord d’abandonner le navire dans le délai de 10 minutes.
73- sur un navire a passagers, tous les engins de sauvetage requis pour permettre a toutes les
personnes a bord d’abandonner le navire dans délai de 30 minutes.
74- l’ancre flottante d’un radeau pneumatique est utilisée pour ralenti la dérive.
75- l’ancre flottante ne remplit plus son rôle si elle se trouve près de la surface de l’eau dans
une crête de houle.
76- le remorquage des radeaux se fait à une vitesse réglementaire égale à 3 nœuds.
Médecine de bord :
1- la fréquence cardiaque moyenne est de :
60 battements/minute.
2- devant un corps étranger obstruant les voies aériennes il faut :
Une pression abdominale.
3- l’arrêt cardio-respiratoire a pour cause :
Infarctus du myocarde.
4- l’arrêt cardio-respiratoire se manifeste par :
Arrêt respiratoire et pouls absent.
5- le traitement de l’arrêt cardio-respiratoire consiste a :
Entamer une réanimation cardio-pulmonaire.
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14- dans le tableau de détection, une section (une zone) de détecteurs ne doit pas desservir a la
fois bâbord et tribord.
15- l’installation d’un téléphone a bord n’est pas recommande a l’avent du navire, mais se
doit être dans : - la passerelle
- salle de contrôle machine.
- local servomoteur.
16- les deux principales sources d’énergie électrique de secours a bord sont :
- les batteries. - générateur de secours.
17- local de la génératrice de secours se trouve au pont.
18- le temps alloues pour le démarrage automatique du GE de secours après une défaillance
électrique est de : 40 secondes.
Stabilité :
1- le pourcentage d’espaces vides a prévoir dans les tanks a combustibles durant l’opération
de soutage sont de 1% a 3%.
2- pour éliminer tout erreur de gîte, les tirants d’eau AV, milieu, et AR sont la moyennes des
lectures faites a tribord et a bâbord.
3- le franc bord est une hauteur verticale calculée à partir d’un trait pris pour l’origine.
4- des marques ou lignes de charge sont opposées sur la coque du navire pour indiquer les
zones de navigation et les périodes de l’année.
5- a tout moment de son voyage le navire doit présenter un enfoncement au plus égal a celui
correspondant a la marque de franc-bord utilisable dans cette zone.
6- pour un navire soit stable, il suffit que le centre de gravite général de ce navire soit situe au
dessous du métacentre correspondant a cette position.
7- la stabilité du navire est caractérisée par le module de stabilité initial (msi) = P.GM
8- le déplacement vertical d’une certaine hauteur d’un poids a bord d’un navire, il modifie la
position de centre de gravite général (point G).
9- un poids faible charge au niveau du centre de gravite de la flottaison F, augmente la
stabilité initiale dans le cas ou il est situe au dessous du métacentre différentiel.
10- la perte de stabilité par carène liquide ne dépend que par :
- la surface libre de la cargaison (le moment d’inertie = Ixx).
- la nature de la cargaison (le poids spécifique).
11- il n’y a aucune perte de stabilité par surface libre, si un compartiment est :
- entièrement rempli par un chargement solide.
- entièrement rempli par un chargement liquide.
- est moitie rempli par un chargement solide.
12- s’il n’est pas possible d’assurer le remplissage complet d’un compartiment destine a
recevoir un chargement liquide, les formes de ce compartiment doivent être telles que :
- le moment d’inertie de surface soit aussi faible que possible.
- qu’il doit être divise en compartiment de cloisons longitudinales.
13- en principe on ne doit rempli ou vider qu’un seul ballast a la fois, et idéal serait d’avoir :
- tous les ballasts pleins.
- tous les ballasts vides.
- les ballastes pleins ou vides et un seul en vidange.
14- le moyen le plus simple de combattre la gîte produite par les ballasts, qu’on ne peut
assécher complètement est :
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- d’essayer de redresser le navire par transfert de combustible du bord de gîte vers l’autre
Bord.
- de remplir complètement un ou plusieurs d’entre eux.
15- les couples inclinants transversaux qui peuvent agir sur un navire sont en général en
fonction de la valeur du poids déplacé ainsi que la distance.
16- la gîte est une inclinaison latérale du navire, elle est provoque par :
- stabilité initiale négative
- ou, une inégale répartition des poids a tribord et a bâbord.
17- il est nécessaire, quand en charge un navire de surveiller l’assiette a fin que les lignes de
charge restent constamment découvertes (non noyées complètement).
18- on appelle point indifférence au tirant d’eau arrière, l’endroit du navire ou on peut
embarquer (ou débarquer) un poids sans faire varier sons tirant d’eau arrière.
19- en charge un navire sur l’arrière de centre de gravite de la flottaison F, on augmente le
tirant d’eau arrière d’une quantité supérieure a l’enfoncement de F.
Autorité:
- Le chef mécanicien est le chef hiérarchique et responsable de la discipline de l'équipage
machine.
- il est le principal responsable technique à bord navire.
- il est le notateur de l'équipage machines (officiers et subalternes).
Responsabilités:
- Il est le principal responsable de la sécurité au niveau des installations.
- il est le principal responsable de la gestion technique du navire notamment de la réparation,
maintenance, entretien de l'ensemble des équipements techniques.
- il est le principal responsable de la conduite de l'ensemble des installations techniques.
- il est responsable de la tenue a jour des documents officiels relevant de son service
notamment:
Journal machine
Les certificats de classification (machine, chaudière, automatisation)
Le registre de hydrocarbures
Les historiques
Les rapports mensuels
Les registres de maintenance de la machine.
- il est le seul habilité a déclencher le dispositif d'envoi de CO2 au niveau du compartiment
machine sur l'instruction du capitaine.
- il s'assure que tous les officiers mécaniciens ainsi que le personnel machine nouvellement
embarqués ont été familiarisés aux procédures les concernant.
- il est responsable dans le département machine de l'exploitation efficace et de la
maintenance des installation et équipement liés a la sécurité et a la prévention de la pollution.
- il est responsable de la consignation de toute opération d'entretien routinier et de la
maintenance planifiée conformément aux exigences réglementaires.
- il s'assure que les systèmes et les installations de secours sont maintenus en bon état.
- responsable des essais des systèmes et les installations de secours a des intervalles réguliers.
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