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Le terme a beau être composé d’un mot positif, « confort », il a pourtant une
connotation négative, car il sous-entend :
un immobilisme,
une routine,
une facilité,
un laisser-aller, etc.
de l’échec,
du changement,
de la perte des acquis,
d’une déroute personnelle.
les anxieux,
les démotivés,
les peureux,
les paresseux,
les « satisfaits comme ça »,
les débordés,
les « inconscients », etc.
performant,
expert du sujet,
valorisé,
sans stress ni fatigue.
© Behance.net
Certains l’ont d’ailleurs détournée de façon humoristique, avec les besoins de
notre époque hyper connectée :
© coaching écologique
La pyramide de Maslow démontre qu’une zone de confort n’est pas forcément
négative.
C’est aussi un repère, une étape nécessaire à notre croissance, à
l’accomplissement d’un objectif. Votre zone de confort vous sert de tremplin
vers l’épanouissement.
Encore faut-il en sortir.
L’ikigai
Certains trouvent leur ikigai dans leur vie familiale, d’autres dans le
développement d’un art, ou dans les deux.
Source etre-optimiste.fr
Ses bénéfices :
Cette vidéo dessinée est un très bon résumé (à regarder jusqu’au bout) 😀 :
#histoiresvraies
« Mon meilleur ami s’est désisté un mois avant notre grand départ pour
un roadtrip à travers la Russie. Plutôt que d’annuler, j’y ai été seul et j’ai fait
ce que je voulais quand je voulais, j’ai même rencontré une foule de gens qui
ne m’auraient jamais parlé si on avait été deux ».
« Je paniquais à l’idée d’être à 20 mètres sous l’eau, mais la plongée m’a
toujours attirée. J’ai fait un stage avec l’UCPA : une plongée par jour, j’avais
intérêt d’aimer ça ! Je viens de rentrer avec mon diplôme de niveau I et j’ai
déjà réservé mon prochain séjour pour le niveau II ».
© atmosphere-citation
3) Restez positif !
4) Innovez, osez !
Faites de façon régulière, une fois par mois, par an, quelque chose que
vous n’avez jamais fait avant (un restaurant, un voyage).
Faites le tri de vos « boulets » émotionnels, vous vous sentirez plus
léger et plus libre.
Certes, selon le sociologue Jean Viard, vous ne passez plus que 12 % de votre
vie, en moyenne, à travailler (contre 40 % au début du siècle), suite à :
Mais cela reste une part importante de votre vie où vous devez vous épanouir.
Un manque de passion finit toujours par se traduire par de l’inefficacité, une
démotivation voire des erreurs, et c’est toute l’entreprise qui en pâtit.