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No
tes du mont Royalÿþ
» dans le cadre d’un
exposé gratuit sur la littérature.
SOURCE DES IMAGES
Bibliothèque nationale de France
JOURNAL VASIAT’IUE 1 4
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’ CINQUIÈME 5mm:
TOME V11
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JOURNAL ASIATIQUE Î
EIZELAIJTTEEATPEE DESPEUPLES(MUENTAUX
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E «c. DEnEIEaY. L. oraux, Duncan, rusait.
«and! DE 13337. CRAMER!!! Dl nommas, DE HAIIEB-PURGSTALL
surs. muas. un; A. usa-na, J. mon. s. Inn
MIMDD, L. un. SÉDILLOT, DE SLAIE, n une: un": Humus
n ÉTRAICERS
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CINQUIÈME SÉRIE
TOME VHO
PARIS
LUPIIIE’ FA! ALTOHISATIUR DE GOUVEIINEIERT ’*
A UIMPRIMERIE IMPÉRIALE.
Notes du mont Royal
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Une ou plusieurs pages sont omises
ici volontairement.
, ne ’ révulsa-usas issu.
encore par sa fidélité,et son courage, qui brilla
comme un météore dans la citadelle de B’atanvSén,
. et attira tout à coup la foudre sur la race héroïque
des Tchohans. ’ ’ .
I (la En au numéro l
3
l
aux trois odes que nous entreprenons de faire con-
naître. On tremarquera , d’ailleurs, dans la troisième.
03,1-. ’àhfiâffi w
j 134 tifÉVRIER-MABS une. n 1
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il)? 69 5’ ,5 51 A! si»,
p” Au lieu deÏàL, lacopie de Mâchefer porteJL. séchuson 0:
’ Selon la copie de M. Jouannin, .
0DEs uvsr1QUEs D’squD nsrir.’ 1s: .
TRADUCTION. A.
La nuit dernière je me rendis dans le quartier du mer;
chaud de vin, le cœur et brûlant du feu de l’amour.
Je vis une belle et brillante assemblée; le président de ce
banquet était le vieux marchand de ;. .
Ses’serviteurs se tenaient debout sur plusieurs rangs; les
buveurs. étaient assis épaule contre épaule. 1
Le vieillard se trouvait ’a la place d’honneur. et les bu-
veurs, formaient un cercle autour de lui, les uns ivres, les
autres bors’d’euæmêmes. r
Leur sein était exempt de haine et leur cœur innocent;
ilsxavaien’t l’esprit rempli de paroles; mais leurs lèvres se
taisaient. . I
Par la grâce de l’Eternel, les yeux de tous noyaient et
leurs oreilles entendaient la vérité.
L’un d’eux disait à l’autre : a Que ce vin soit pour soid’une
facile digestion!» fCelui-c’i répondait au premier : «Qu’il te
soit doux
Leur oreille comme
était attentive aux sans lemiel! sa
de la guitare; leurs
yeux demeuraient fixés sur la coupe; le désir des deux mondes’
.. rnerJ’r (w A
Voyez le Pallium]; ou le Livre du conseils, de Férid eddîn Mur.
trad; par S. de Sacy. p. gé. au bien Dis Lieder des Hafis, hersage-
geben van Hermann Brockbaus, t. I, p. 95. Cf. cet an’tre passage
du même poète -. ’ ’
e45 H? l) GLPJ’PW in»?
oo a a , *
ïvalai une gOrgée, à: j’oubliai les douleurs de l’esprit et.
deLorsque
l’intelligence.
je revins à moi, je ne vis ’
plus qu’un seul être;
e tout le reste ne présentait que des lignes et des figures sans
consistance.
Tout à coup, du haut des minarets du momie iu’visible *.
- l’ange me dit à voix basse cette parole : a Dieu est unique; il
n’y a pas (faune Dieu que lui! a
DEUXIÈME ODE.
’ I TEXTE.
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MuîwMabq!
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0m33,» Un; 93,4 W) UÎMî 43).?
Un c4.) un); «3.15 au!» 9&9 a; L7,)»
ubïULb? üDJ-f’ 59-?" «Sbh-SIBHG.
l Le mol signifie . dans le langage des mystiques, c le
monde des choses invisibles, propre aux âmes et aux esprits.» l;
H35 (Ïnjb Kiuib Atta’rg’fdt, cité par S.
de Sacy, op. supr. laudat, p. 181;. (Cf. une historiette, tirée de la
troisième conférence ou mafia de Sa’dy. et publiée dans le même
ouvrgge. p. :31.) I ’
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Ouvre les yeux du cœur, almque tu vones l âme; tu verras
.09, qui n’est paillait pour être vu. ’ l
Si tu le diriges
r . «0...;
verslla region (le l’amour. tu verras tons
les pays semblables a un parterre (le fleurs.
- Tu apercevras a volonté les révolutions que le globe ré-
leste décrit sur la, tête (le tous les habilanls (le cette terre.-
Tout ce que tu verras, ton cœur le désirera: tout ce que
Inn cœur désirera, tu le verras. l r
Tu verras en ce lieu le âendiant dépourvu de toute rom
source avoirlln tôle troublée par la possession du monde.
(mais MYSTIQUES D’ABMED tHTtl’. 139
La aussi tu apercevras plusieurs individus , les pieds nus.
foulant aux pieds les étoiles de la Petite Ourse ’.
Là. enfin. tu verras des gens. la tètetnue. avoir pour
- tente la voûte «le l’empyrée. I V
Tu verras chacun d’eux refuser dans ce monde et dans
l’autre les digni ,5, les richesses, eljusqu’à liouîe.
Dans l’intérieur de chaque atome que tu fendras . tu trou-
veras renfermé un soleil. V l I i
i Donne pour l’amour tout ce quectuipossèdes, et je suis
un mecreant, si tu éprouves la plus légère perte’ dans ce.
marché. ’ V
l Une métaphore semblable se rencontre danslce passage de
lÏAlnedri Subtil]! (édition (le i829, p. iagl tu) L5:
. ,. . t t .
lovez encore Il.e Il orin a] 54111115 t. l, fol. me v’; la satire (le
Firdonssy contre Nlalimoùd, Line du Rois, t. l, p. Hun"; lilnlx
(Iliiràzy. (qui! Blond, Pension glanais, p. 26, v. 6: et m» vers (le
llîilit:
tu.
me r révulsa-Mans 1’856.
Si tu fonds ton âme dans le feu de l’amour ’, tu verras
I.
que l’amour est l’alchimiste. de l’aime”. ë I
J
Tu laisseras derrière toi les embarras que causent les rie
cliesses, et tu trouveras l’immensité du royaume spirituel.
Tu entendras ce qu’aucune oreille n’a entendu, tu verras
ce qu’aucun œil n’a vu. ’ a. ’ ’ i
Enfin, il te fera arriver à un lieu ou tu ne trouveras plus
qu’un seul être. au lieu du monde et des mortels.
Pratique de toutes tes forces l’amour pouricet être unique.
alin que tu voies manifestement
Qu’il est unique et qu’il n’y a pas d’autre Dieu que lui.
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h Tanneries.
Ô hommes clairvoyants, l’Ami (Dieu) se manifeste à vous
sans aucun voile à la porte ni aux murailles l.
a Tu cherches un flambeau,-tandis que le soleil brille de
tout son éclat; lejour est fort lumineux, et tu es plongé dans
une nuit obscure.
Si tu v’ois’un ’cbemin pour sortir de tes ténèbres, tout
l’universdeviendra pour toi des Orient: de lumière ’.
soir et matin. . »
S’il te dit cent fois de suite: a Tu ne me verras pas a , n’en ’
tiens pas moins les yeux ouverts sur son visage,
Jusqu’à ce que tu arrives à un lieu où n’atteignent ni le
I pied de l’imagination, ni l’échelle de la pensée.
Tu seras admis dans une réunion ou le fidèle Gabriel n’a
pas d’accès.’
’ Ouvre me) 5b fi
Lame. une-1er ML! pâti-15 me.
S’il nous arrive une dans la recherche de Dieu. cela est com-e-
’ nable. Lorsque l’on aime le sanctuaire (de la Mecque). la trav ’ du de-
H561 :gagerais
’f
I V ’ .Hsjqi-si...
par!) au" MJ...) ès «à cab
au... "and. deton œil une in. mon: a. un .9941; au: peut
faire que l’oiseau de l’amont se dirige vers nos filets.
(Édit. de Brockhaus,t.il,p.:i.) . .
On lit ce vers dans le ’I’nlifet Alahrllr de Djàmi :
ne
I
(du) M5453
, 28’ 1’» 2L5) °L4r3 9’
. g) NVQJ-îJ-ï) 0’
. * et: ,4: a.» «a» «en? A
Quand n’y a plus de moi. ni de toi ’(c’est-agdire. quand l’homme est
’ complètement anéanti en Dieu) . qu’importe la cuba , cula synagogue. on
le monastère des chrétiens? a .
I 11:6 renflammas l856. i
Si tu connais leurs secrets, tu sauras que voici le mystère
par excellence : *
n Il (Dieu) est unique , aucun autre Dieu que lui n’existe. n
I.
il.
C. tu»!
«Q M’a)» :3 n°291,» t5)” il r .
O
DES ANGES, DES arums. ETC. un
Il y a deux jours ou il n’est pas permis de prendre des
précautions contre le trépas, savoir z. le jour qui est marqué
par le destin comme celui de la mort, et le jour qui n’est
pas fixé par lui. En effet, il ne faut pas craindre la mort le
- jour ou; elle ne doit pas arriver, et l’on ne peut s’en délivrer
le jour ou elle doit arriver.
DES ANGES,
pas DÉMONS, DES 155mm ET DES GÉNIES.
,Kà
pansa. amusons: TI’ÎvÀONI A. .
MÉMOIRES ET TRADUCTIONS.
’ big”;
La légende de Padmanî, reine de Tchitor, (T après les textes
hindis et hindouis. Premier article. ( M. Théodore Pane.) 5
Deuxième article ........................ p ........... 89.
l
6.’.
Procès-verbal de la séance du la décembre 1855. .k ........ 82
Observations sur le nom de Sanchoniatbou. (M. Ernest lieus.)
«(r ri. U r’fi".
(1.31.) v
Procès-verbaldelaeéance du 13m1856 ......... 427
Procès-verbal de la séance du i3 pvril i856 .............. 429
i d’un fusil oriental. (M. firman.) -- J. Brand’n.
l l .- [feindra Caviar, etc. (M. J. Orner.) - Note
i mTBùkireetlalîabriationdelaporcelainechinoise,on-
; A vraÉehnduitducbinoiaparI.5tanialanulien. (E.B.)
t Procès-verbaldelaséaneedu nomai«1856...., .......... 5:3
Lettre sur l’Afghanistan, par I. le que A. nationaux.-
mmuæmqwmyumœbmm v. .i. v. , x. au
Kendi.(J.M.)-Gaidcdas’garcb,tnitédetbéologieetde î
philosophie, par M.Munl. (1. D.) i