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Adán Segovia
Une façon naturelle de connaître un signal est d’observer son allure en fonction du
temps c’est la représentation temporelle, donnée par un oscillogramme.
On peut donc classer les signaux en 4 catégories :
• les signaux périodiques (issus d’un GBF par exemple)
• les signaux non périodiques déterministes (impulsion, salve)
• les signaux pseudo-aléatoires (signal audio-vidéo)
• les signaux aléatoires (bruit électrique)
Les oscillogrammes nous renseignent sur l’amplitude, la valeur crête, la valeur moyenne,
etc., mais pas sur les fréquences contenues dans le signal.
En outre, tous ces signaux à part le bruit peuvent être échantillonnés en vue d’un
traitement numérique ultérieur, et cette opération modifie de façon profonde l’aspect temporel
du signal ainsi que son contenu fréquentiel.
Le signal le plus simple du point de vue fréquence est le signal sinusoïdal. Un signal
parlé ou musical est plus complexe, puisque son allure varie constamment au cours du
temps. Il contient des fréquences graves, moyennes et aiguës. Son spectre s’étend de 20 Hz
à 20 kHz et varie en permanence entre ces deux fréquences extrêmes. Le signal vidéo est
encore plus complexe et son spectre s’étend du continu à quelques mégahertz.
Le spectre d’un signal est la représentation en fonction de la fréquence des amplitudes
des différentes composantes présentes dans le signal et il nous renseigne donc sur les
différentes composantes fréquentielles qu’il contient.
Pour pouvoir mesurer les spectres de fréquences de un signal on peut utiliser un
Analyseur de spectre.
Analyseurs de spectre
Le cœur du système est le mélangeur qui multiplie le signal à analyseur par un signal
sinusoïdal issu d’un oscillateur local fo.
En sortie du mélangeur on obtient les fréquences somme et différence, qui seule nous
intéresse. Le signal à analyser se trouve donc déplacé de sa fréquence initiale f à une
nouvelle fréquence appelée fréquence intermédiaire fi = fo - f.
En sortie du mélangeur, le signal est amplifié et traverse le filtre fi passe-bande qui joue
le rôle d’une « fenêtre » d’observation.
La bande passante de ce filtre fi s’appelle bande passante de résolution (RBW :
resolution band width) et peut être choisie par l’utilisateur parmi plusieurs valeurs.
La valeur de la fi est choisie élevée, au-dessus de la bande à analyser, pour que la
fréquence image soit rejetée en-dehors de la bande utile.
L’amplificateur logarithmique a une tension de sortie proportionnelle au logarithme de la
tension d’entrée, ce qui permet d’avoir sur l’écran un affichage en dBm.
Le signal en sortie du filtre fi a une amplitude qu’il va falloir afficher. Le détecteur
d’enveloppe permet d’extraire cette information du signal fi.
Ci-après on trouve une liste des caractéristiques techniques les plus importantes des
analyseurs de spectre:
Bande passante: elle nous spécifie le rang de fréquence dans lequel les analyseurs
de spectre peuvent mesurer avec précision. La bande passante se calcule à partir de
0Hz (continuelle) jusqu'à la fréquence où le signal de type sinusoïdal se visualise à
70.7% de la valeur appliquée en l'entrée.
Temps de remontée: il s'agit d'un autre paramètre qui nous donnera, avec le
précédant, la fréquence maximum d'utilisation de l'analyseur de spectre. C'est un
paramètre important si l'on désire mesurer avec fiabilité des impulsions et des flancs
(à retenir que ce genre de signaux possède des transitions entre niveaux de tension
très rapides). Les analyseurs de spectre ne peuvent pas visualiser les impulsions avec
des temps de remontée plus rapide que le leur.
Résolution verticale: elle se mesure en bits et c'est un paramètre qui nous donne la
résolution du convertisseur A/D de l'analyseur de spectre numérique. Il nous indique la
précision avec laquelle les signaux d'entrée se transforment en valeurs numériques
gardées dans la mémoire. Des techniques de calcul peuvent augmenter la résolution
effective des analyseurs de spectre.
Exactitude du profit: il nous indique la précision avec laquelle le système vertical des
analyseurs de spectre amplifie ou atténue le signal. Il est normalement donné en
pourcentage maximum d'erreur.
Exactitude de la base des temps: il nous indique la précision de la base des temps
du système horizontal des analyseurs de spectre pour visualiser le temps. Le
pourcentage maximum d'erreur normalement est aussi donné.
Gamme d’amplitude : C’est le champ d’amplitude des composantes qui peuvent être
analysées.
Gamme de fréquences : C’est le champ des fréquences qui peuvent être analysées.
Dans notre cas, nous avons utilisé un analyseur de spectre Hameg HMS3000 dont ses
caractéristiques sont les suivants
Gamme de fréquence 100kHz…3GHz
Bande passante de résolution 100Hz…1 MHz par pas 1–3, 200kHz (-3 dB); en
plus 200Hz, 9kHz, 120kHz, 1MHz (-6 dB)
Tout d’abord nous avons vérifié tout l’équipement, Nous avions à notre disposition :
Un analyseur de spectre
Une alimentation de 24V
4 maquettes circuit imprimés
Pinces de mesure
Antenne Biconique
Ensuite nous avons associé l’antenne Biconique à l’analyseur de spectre et nous avons
commence pour faire la reconnaissance de les différents fonctions y les différents touches de
l’analyseur, expliqués ci-dessus, ainsi comme le procès d’enregistrement dans la mémoire
flash (clé USB flash).
Apres avoir tout vérifié, on a commence pour régler l’analyseur de spectre afin de
pouvoir réceptionner les émissions dans la bande FM. Nous avons donc mesuré la bande
FM et nous avons enregistré le fichier en format « .csv » pour pouvoir faire après l’analyse du
signal dans le logiciel MatLab. Les graphes de la bande FM que nous avons obtenu avec
MatLab se montre ci-dessous :
Spectre de 50MHz à 180 MHz
50
45
40
35
30
25
20
15
10
5
0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8
Fréquence 8
x 10
55
50
45
40
35
30
25
20
15
10
0.8 0.9 1 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 1.6 1.7 1.8
Frequence 8
x 10
Ensuite, en jouant avec le RBW de la bande passante nous avons constaté que le bruit
que l’on mesure est inversement proportionnel à la valeur de RBW choisi, c'est-à-dire que si
l’on mesure avec deux RBW différents, nous avons choisi 300 KHz et 3 KHz, le signal que
s’obtient avec la valeur la plus élevé de RBW est plus propre parce que on a diminuait le
bruit.
Finalement nous avons choisi la fréquence de la bande FM 106.8 (France bleu) et nous
avons réussi à démoduler le signal et à écouter le radio.
La norme CEI 1000-2-4 fixe les niveaux de compatibilité pour les réseaux
industriels et non publics. Elle couvre les réseaux bas tension de même que les
alimentations moyennes tension, à l'exclusion des réseaux des navires, des
avions, des plates-formes offshores et des installations ferroviaires.
Pour pouvoir avoir plus d’information sur les convertisseurs nous avons visité le site web
du monsieur Alain Charoy, et nous nous sommes servi du cahier technique disponible sur le
Link suivant :
http://www.aemc.fr/index.php?page=telechargement
Selon le monsieur Charoy les principaux problèmes des harmoniques sont :
Pour pouvoir mesurer les courants perturbateurs nous pouvons mesurer soit en mode
commun, soit en mode différentiel de la façon suivant :
Tout d’abord nous avons vérifié tout l’équipement, Nous avions à notre disposition :
Un analyseur de spectre
Une alimentation de 24V
4 maquettes circuit imprimés
Pinces de mesure EMCO 91550
Une résistance de charge.
Circuit N°1
Circuit N°3
Circuit N°1
Circuit N°2
Circuit N°4
-10
-20
-30
-40
-50
-60
-70
-80
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
7
x 10
GALINDEZ ARTURO -- SEGOVIA ADAN --- EN50
N°17
Mesure circuit 2
10
-10
-20
-30
-40
-50
-60
-70
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
7
x 10
Mesure circuit 3
10
-10
-20
-30
-40
-50
-60
-70
-80
0 0.5 1 1.5 2 2.5
7
x 10
20
10
-10
-20
-30
-40
-50
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
7
x 10
En regardant ces quatre figures ci-dessus, nous pouvons conclure rapidement que
dû à le contenu d’harmoniques, Le circuit 1 est le circuit le plus polluant parce que
c’est lui qui a le majeure spectre d’harmonique et que le circuit N°4 est le meilleure
circuit au sens d’être le moins polluant.