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Arturo Galindez GESC

Adán Segovia

TP2 : « Etude des émissions conduites d’un


convertisseur 24V DC / 12V DC »

Beatrice Bouriot EN50


GALINDEZ ARTURO -- SEGOVIA ADAN --- EN50
N°1
Premier Partie :

« Utilisation de l’analyseur de spectre »

OBJECTIF : Permettre de se former sur l’utilisation de l’analyseur de


spectre, connaître ses caractéristiques essentielles et s’initier aux
méthodes de mesures et d’essais.

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N°2
Introduction : En électronique, nous utilisons une grande variété de signaux
analogiques ou numérique dont le support est, le plus souvent, une tension.
Ce support peut aussi être une onde électromagnétique (radio, TV, radar), une onde
lumineuse ou infrarouge (fibres optiques) ou une onde sonore.
L’information transportée peut-être :
• un message audio (parole, musique)
• un message vidéo (image TV)
• un message binaire (liaison ordinateur-imprimante)
• un signal analogique traduisant l’état d’un capteur

Une façon naturelle de connaître un signal est d’observer son allure en fonction du
temps c’est la représentation temporelle, donnée par un oscillogramme.
On peut donc classer les signaux en 4 catégories :
• les signaux périodiques (issus d’un GBF par exemple)
• les signaux non périodiques déterministes (impulsion, salve)
• les signaux pseudo-aléatoires (signal audio-vidéo)
• les signaux aléatoires (bruit électrique)

Les oscillogrammes nous renseignent sur l’amplitude, la valeur crête, la valeur moyenne,
etc., mais pas sur les fréquences contenues dans le signal.
En outre, tous ces signaux à part le bruit peuvent être échantillonnés en vue d’un
traitement numérique ultérieur, et cette opération modifie de façon profonde l’aspect temporel
du signal ainsi que son contenu fréquentiel.
Le signal le plus simple du point de vue fréquence est le signal sinusoïdal. Un signal
parlé ou musical est plus complexe, puisque son allure varie constamment au cours du
temps. Il contient des fréquences graves, moyennes et aiguës. Son spectre s’étend de 20 Hz
à 20 kHz et varie en permanence entre ces deux fréquences extrêmes. Le signal vidéo est
encore plus complexe et son spectre s’étend du continu à quelques mégahertz.
Le spectre d’un signal est la représentation en fonction de la fréquence des amplitudes
des différentes composantes présentes dans le signal et il nous renseigne donc sur les
différentes composantes fréquentielles qu’il contient.
Pour pouvoir mesurer les spectres de fréquences de un signal on peut utiliser un
Analyseur de spectre.

Analyseurs de spectre

Les analyseurs de spectre sont de mesureurs électroniques à


visualisation graphique qui montrent des signaux électriques variables
dans le temps. L'axe vertical, nommé Y, représente le voltage, tandis que
l'axe horizontal, nommé X, représente le temps. Les images qui
apparaissent sur l'écran s'appellent des oscillogrammes. Il existe des
analyseurs de spectre analogiques et numériques. Les analyseurs de
spectre numériques utilisent au préalable un convertisseur
analogique/numérique (A/D) pour garder numériquement le signal d'entrée, reconstruisant
ensuite cette information sur l'écran. Les analyseurs de spectre numériques s'utilisent quand
on désire visualiser et étudier des cycles périodiques non répétitifs. Pour des signaux à
variation lente, les analyseurs de spectre numériques peuvent parfaitement réunir plus de
points que nécessaire pour reconstruire le signal sur l'écran.

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N°3
Structure de l’analyseur de spectre RF

Le cœur du système est le mélangeur qui multiplie le signal à analyseur par un signal
sinusoïdal issu d’un oscillateur local fo.
En sortie du mélangeur on obtient les fréquences somme et différence, qui seule nous
intéresse. Le signal à analyser se trouve donc déplacé de sa fréquence initiale f à une
nouvelle fréquence appelée fréquence intermédiaire fi = fo - f.
En sortie du mélangeur, le signal est amplifié et traverse le filtre fi passe-bande qui joue
le rôle d’une « fenêtre » d’observation.
La bande passante de ce filtre fi s’appelle bande passante de résolution (RBW :
resolution band width) et peut être choisie par l’utilisateur parmi plusieurs valeurs.
La valeur de la fi est choisie élevée, au-dessus de la bande à analyser, pour que la
fréquence image soit rejetée en-dehors de la bande utile.
L’amplificateur logarithmique a une tension de sortie proportionnelle au logarithme de la
tension d’entrée, ce qui permet d’avoir sur l’écran un affichage en dBm.
Le signal en sortie du filtre fi a une amplitude qu’il va falloir afficher. Le détecteur
d’enveloppe permet d’extraire cette information du signal fi.
Ci-après on trouve une liste des caractéristiques techniques les plus importantes des
analyseurs de spectre:

 Bande passante: elle nous spécifie le rang de fréquence dans lequel les analyseurs
de spectre peuvent mesurer avec précision. La bande passante se calcule à partir de
0Hz (continuelle) jusqu'à la fréquence où le signal de type sinusoïdal se visualise à
70.7% de la valeur appliquée en l'entrée.

 Temps de remontée: il s'agit d'un autre paramètre qui nous donnera, avec le
précédant, la fréquence maximum d'utilisation de l'analyseur de spectre. C'est un
paramètre important si l'on désire mesurer avec fiabilité des impulsions et des flancs
(à retenir que ce genre de signaux possède des transitions entre niveaux de tension
très rapides). Les analyseurs de spectre ne peuvent pas visualiser les impulsions avec
des temps de remontée plus rapide que le leur.

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N°4
 Sensibilité verticale: Ce paramètre indique la facilité des analyseurs de spectre pour
amplifier des signaux faibles. Il est en général donné en mV par division verticale,
normalement il est de l'ordre de 5mV/div (pouvant aller jusqu'à 2 mV/div).

 Vitesse: pour les analyseurs de spectre analogiques cette caractéristique nous


indique la vitesse maximum du balayage horizontal, ce qui nous permettra d'observer
des évènements plus rapidement. Il est en général de l'ordre de nano secondes par
division horizontale.

 Vitesse d'échantillonnage: dans les analyseurs de spectre numériques il est indiqué


le nombre d'échantillons par seconde que le système d'acquisition de données est
capable de prendre (en particulier le convertisseur A/D). Quand les analyseurs de
spectre sont de bonne qualité on peut obtenir des vitesses d'échantillonnage de
Mega-échantillons/sg. Une grande vitesse d'échantillonnage est importante lorsque
l'on veut visualiser des périodes de temps courtes. A l'autre bout de cette échelle, de
faibles vitesses d'échantillonnage sont aussi nécessaires pour pouvoir observer des
signaux à variation lente. Généralement la vitesse d'échantillonnage change en
agissant sur la commande TimeBase pour maintenir une constante du nombre de
points qui se garderont pour représenter la forme de l'onde.

 Résolution verticale: elle se mesure en bits et c'est un paramètre qui nous donne la
résolution du convertisseur A/D de l'analyseur de spectre numérique. Il nous indique la
précision avec laquelle les signaux d'entrée se transforment en valeurs numériques
gardées dans la mémoire. Des techniques de calcul peuvent augmenter la résolution
effective des analyseurs de spectre.

 Longueur du registre: il nous indique combien de points sont mémorisés dans un


registre pour la reconstruction de la forme de l'onde. Certains analyseurs de spectre
nous permettent de varier ce paramètre dans certaines limites. La longueur maximum
du registre dépend de la capacité de la mémoire dont disposent les analyseurs de
spectre. Une grande longueur de registre permet de réaliser des zooms sur des
détails sur la forme de l'onde de manière rapide (les données ont déjà été gardées),
cependant cet avantage est à force de dépenser plus de temps pour échantillonner le
signal complet.

 Exactitude du profit: il nous indique la précision avec laquelle le système vertical des
analyseurs de spectre amplifie ou atténue le signal. Il est normalement donné en
pourcentage maximum d'erreur.

 Exactitude de la base des temps: il nous indique la précision de la base des temps
du système horizontal des analyseurs de spectre pour visualiser le temps. Le
pourcentage maximum d'erreur normalement est aussi donné.

 Niveau de référence : Niveau équivalent à la ligne supérieure de la grille de l’écran. La


valeur relative de l’amplitude du signal peut être exprimée en dBm ou dBµV.

 Gamme d’amplitude : C’est le champ d’amplitude des composantes qui peuvent être
analysées.

 Gamme d’affichage : Plage d’amplitudes à l’écran.

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N°5
 Niveau d’entree maximum : C’est le niveau maximum admissible à l’entrée de
l’analyseur. Au-delà de ce niveau, les étages d’entrée de l’analyseur, qui sont très
sensibles, peuvent être détruits.

 Atténuateur d’entrée : Gamme d’atténuation du signal d’entrée

 Impédance d’entrée : Impédance d’entrée de l’analyseur de spectre

 Gamme de fréquences : C’est le champ des fréquences qui peuvent être analysées.

 Excursion en fréquence (span ou scanwidth) : Plage des fréquences à l’écran.

 Résolution en fréquence (affichage) : C’est l’écart minimum que l’analyseur permet


d’afficher en fréquence.

 Bande de résolution en fréquence ou bande passante (RBW) : C’est l’écart


minimum, en fréquence, entre deux composantes que l’analyseur permet d'observer
distinctement.

Réglages de l’analyseur de spectre

Dans notre cas, nous avons utilisé un analyseur de spectre Hameg HMS3000 dont ses
caractéristiques sont les suivants
 Gamme de fréquence 100kHz…3GHz

 Générateur suiveur HMS3010 -20…0dBm

 Gamme d’amplitude (niveau) -114…+20dBm


DANL -135dBm avec Preamp.

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N°6
 Durée de balayage 20ms…1000s

 Bande passante de résolution 100Hz…1 MHz par pas 1–3, 200kHz (-3 dB); en
plus 200Hz, 9kHz, 120kHz, 1MHz (-6 dB)

 Pureté spectrale <-100dBc/Hz (@ 100kHz)

 Bande passante vidéo 10Hz…1MHz par pas 1–3

 Démodulateur intégré AM et FM (Ecouteur et Haut-Parleur interne)

 Détecteurs : Auto-, min-, max-crête, sample, RMS, quasi-crête

 8 marqueurs avec delta marqueur, diverses fonctions de crête

 Ecran TFT VGA 16,5cm (6,5”) haute résolution, sortie DVI

 3 x USB pour stockage, imprimante, commande à distance, en option interface


IEEE-488 (GPIB) ou Ethernet/USB

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N°7
Pour finir cette petite introduction nous allons ajouter un tableau qui montre les différents
niveaux de fréquence et l’utilisation qu’ils ont.

Fréquences Symbole Utilisation


30 à 535 KHz Communication maritime OL. Radionavigation. Radio
Compas
535 à 1705 KHz RADIODIFFUSION AM
1705 KHz à 30 MHz RADIONAVIGATION LORAN. COMMUNICATION
INTERNATIONALE OC
26.965 à 27.405 COMMUNICATION CB
MHz
30 à 50 MHz COMMUNICATION FIXES ET MOBILES
50 à 54 MHz RADIOAMATEUR
41 à 66 MHz BANDE I CANAUX 2 à 6 TV VHF
72 à 76 MHz COMMUNICATION FIXES ET MOBILES
75 MHz RADIONAVIGATION AERONAUTIQUE (MARKER)
88 à 108 MHz BANDE II RADIODIFFUSION FM
108 à 112 MHz RADIONAVIGATION AERONAUTIQUE (VOR LOC)
112 à 118 MHz RADIONAVIGATION AERONAUTIQUE (VOR)
118 à 156 MHz COMMUNICATION VHF FIXES & MOBILES
174 à 225 MHz BANDE III CANAUX 7 à 13 TV VHF
328 à 335 MHz RADIONAVIGATION AERONAUTIQUE (GLIDE)
216 à 471 MHz RADIOAMATEUR
470 à 608 MHz BANDE IV CANAUX 14 à 36 TV UHF
608 à 614 MHz RADIOASTRONOMIE
614 à 806 MHz BANDE V CANAUX 38 à 69 TV UHF
880 à 960 MHz TELEPHONIE GSM900
960 à 1215 MHz BANDE L RADIONAVIGATION AERONAUTIQUE (IFF TACAN
DME)
1300 à 1350 MHz BANDE L RADAR DE CONTRÔLE ROUTIER
1435 à 1540 MHz BANDE L TELEMETRIE AERONAUTIQUE
1600 à 1660 MHz BANDE L RADIO ALTIMETRE
1710 à 1880 MHz BANDE L TELEPHONIE GSM1800
1850 à 1990 MHz BANDE S TELEPHONIE GSM1900
2700 à 2900 MHz BANDE S RADAR DE SURVEILLANCE AEROPORT
3700 à 4200 MHz BANDE C COMMUNICATION SATELLITE DESCENDANTE
8500 à 9500 MHz BANDE X COMMUNICATION SATELLITE MONTANTE
10595 MHz BANDE X DETECTEUR HYPERFREQUENCE
10700 à 12750 MHz BANDE KU TELEVISION SATELLITES DESCENDANTE
14400 à 15250 MHz BANDE KU TELEVISION SATELLITES MONTANTE
22000 à 22250 MHz BANDE KU INSTRUMENTATION SCIENTIFIQUE ET
MEDICALE
33400 à 36000 MHz RADAR

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N°8
Utilisation de l’analyseur de spectre dans le laboratoire :

Tout d’abord nous avons vérifié tout l’équipement, Nous avions à notre disposition :
 Un analyseur de spectre
 Une alimentation de 24V
 4 maquettes circuit imprimés
 Pinces de mesure
 Antenne Biconique

Ensuite nous avons associé l’antenne Biconique à l’analyseur de spectre et nous avons
commence pour faire la reconnaissance de les différents fonctions y les différents touches de
l’analyseur, expliqués ci-dessus, ainsi comme le procès d’enregistrement dans la mémoire
flash (clé USB flash).
Apres avoir tout vérifié, on a commence pour régler l’analyseur de spectre afin de
pouvoir réceptionner les émissions dans la bande FM. Nous avons donc mesuré la bande
FM et nous avons enregistré le fichier en format « .csv » pour pouvoir faire après l’analyse du
signal dans le logiciel MatLab. Les graphes de la bande FM que nous avons obtenu avec
MatLab se montre ci-dessous :
Spectre de 50MHz à 180 MHz
50

45

40

35

30

25

20

15

10

5
0.6 0.8 1 1.2 1.4 1.6 1.8
Fréquence 8
x 10

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N°9
Spectre de 80 MHz à 180 MHz
60

55

50

45

40

35

30

25

20

15

10
0.8 0.9 1 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 1.6 1.7 1.8
Frequence 8
x 10

Ensuite, en jouant avec le RBW de la bande passante nous avons constaté que le bruit
que l’on mesure est inversement proportionnel à la valeur de RBW choisi, c'est-à-dire que si
l’on mesure avec deux RBW différents, nous avons choisi 300 KHz et 3 KHz, le signal que
s’obtient avec la valeur la plus élevé de RBW est plus propre parce que on a diminuait le
bruit.
Finalement nous avons choisi la fréquence de la bande FM 106.8 (France bleu) et nous
avons réussi à démoduler le signal et à écouter le radio.

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N°10
Deuxième Partie :

« Etude des émissions conduites d’un


convertisseur »

OBJECTIF : Analyser et décrire les circuits convertisseurs 24V DC /


12V DC proposé, mesurer les tensions perturbatrices de chacun,
comparer et conclure sur le fonctionnement des différents
composants d’antiparasitage.

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N°11
Introduction : Les courants et tensions harmoniques sont créés par des charges non
linéaires raccordées au réseau de distribution. La distorsion harmonique est une forme de
pollution du réseau électrique susceptible de poser des problèmes si la somme des courants
harmoniques est supérieure à certaines valeurs limites.
Les charges non linéaires les plus courantes sont les démarreurs électroniques des
moteurs, les variateurs électroniques de vitesse, les ordinateurs et autres dispositifs
électroniques, les éclairages électroniques, les postes à souder et les alimentations sans
interruption (ASI).
Il y a différents normes qui définissent des limites d'émissions harmoniques. Les pays de
l'Espace Economique Européen (EEE) se sont mis d'accord pour définir des règles
minimales communes pour garantir la libre circulation des produits au sein de l'EEE. Le
marquage CE indique que le produit est conforme aux directives applicables. Les directives
fixent les principes qui doivent être mis en œuvre. Les normes spécifient les exigences à
respecter.
On peut citer par exemple :
 la norme EN 61800-3 est la norme de produit relative à la CEM pour les
entraînements électriques de puissance à vitesse variable (également désignés
PDS, Power Drive Systems). Le respect des exigences de cette norme est la
condition minimale pour la libre circulation des convertisseurs électroniques de
puissance au sein des pays de l'EEE.

 La norme EN 61800-3 précise que le constructeur doit donner dans la


documentation du PDS, ou sur demande, le niveau des harmoniques de courant,
aux conditions de charge assignées, en pourcentage du courant fondamental
assigné sur l'accès puissance. Les courants harmoniques doivent être calculés à
chaque rang et au moins jusqu'au rang 25 inclus. Le taux de distorsion
harmonique total en courant THD (jusqu'au rang 40 inclus) et sa composante
haute fréquence PHD (des rangs 14 à 40 inclus) doivent aussi être évalués.

 La norme CEI 1000-2-4 fixe les niveaux de compatibilité pour les réseaux
industriels et non publics. Elle couvre les réseaux bas tension de même que les
alimentations moyennes tension, à l'exclusion des réseaux des navires, des
avions, des plates-formes offshores et des installations ferroviaires.

Les harmoniques peuvent provoquer l'échauffement des transformateurs, câbles,


moteurs, générateurs et condensateurs raccordés à la même alimentation que les dispositifs
générateurs d'harmoniques. Les afficheurs des appareils électroniques et les éclairages se
mettent à papilloter, les disjoncteurs peuvent déclencher, les ordinateurs dysfonctionner et
les instruments de mesure donner des valeurs erronées.

Pour pouvoir avoir plus d’information sur les convertisseurs nous avons visité le site web
du monsieur Alain Charoy, et nous nous sommes servi du cahier technique disponible sur le
Link suivant :
http://www.aemc.fr/index.php?page=telechargement
Selon le monsieur Charoy les principaux problèmes des harmoniques sont :

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N°12
Les 5 perturbations générées par un convertisseur sont :

Pour pouvoir mesurer les courants perturbateurs nous pouvons mesurer soit en mode
commun, soit en mode différentiel de la façon suivant :

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N°13
Mesure de la tension perturbatrice :

Tout d’abord nous avons vérifié tout l’équipement, Nous avions à notre disposition :
 Un analyseur de spectre
 Une alimentation de 24V
 4 maquettes circuit imprimés
 Pinces de mesure EMCO 91550
 Une résistance de charge.

Les quatre circuits proposés sont :

Circuit N°1

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N°14
Circuit N°2

Circuit N°3

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N°15
Notre premiere tâche a faire fut de mesurer la tension perturbatrice dans la gamme de
frequence de 100 KHz à 100 MHz.En suivant les schémas de mesure proposé par monsieur
Charoy nous avons mesuré la courant pertubatrice des circuits à l’aide du pince de courant
et nous avons abtenu :

Circuit N°1

Mesure mode Commun Mesure mode differentiel

Circuit N°2

Mesure mode Commun Mesure mode differentiel

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N°16
Circuit N°3

Mesure mode Commun Mesure mode differentiel

Circuit N°4

Mesure mode Commun Mesure mode differentiel


Après nous avons mesuré avec une sonde Hameg le champ magnetique et nous ne avons
pas pu mesurer le champ electrique car la sonde de mesure pour le champ electrique ne
marchais pas.
Les mesures de champ magnetique sont les suivants :
Mesure circuite 1
10

-10

-20

-30

-40

-50

-60

-70

-80
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
7
x 10
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N°17
Mesure circuit 2
10

-10

-20

-30

-40

-50

-60

-70
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
7
x 10

Mesure circuit 3
10

-10

-20

-30

-40

-50

-60

-70

-80
0 0.5 1 1.5 2 2.5
7
x 10

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N°18
Mesure circuit 4
30

20

10

-10

-20

-30

-40

-50
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 4.5 5
7
x 10

En regardant ces quatre figures ci-dessus, nous pouvons conclure rapidement que
dû à le contenu d’harmoniques, Le circuit 1 est le circuit le plus polluant parce que
c’est lui qui a le majeure spectre d’harmonique et que le circuit N°4 est le meilleure
circuit au sens d’être le moins polluant.

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N°19

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