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Matei Raluca

18.05.2020

1. Conformément à la CEDH, y-a-t-il un droit de choisir quand et comment mourir ?

Apres une analyse rapide de l’arret Pretty, on peut croire ca la CEDH refuse de deduire de la
Convention un droit a la mort. Mais, on doit prendre en consideration une developpement tres
important relatif au droit au respect de la vie privee. A cette facon, la Cour affirme que l’article 8
de la Convention englobe un droit a l’autodetermination qu’elle qualifie comme “ autonomie
personnelle” Ainsi, ce que la Cour refuse de reconnaitre par rapport a l’article 2 et 3 de la
Convention, elle parvient finalement par l’admettre au nom de l’autonomie personelle en
affirmant qu’il existe une certain obligation de l’Etat de favoriser le suicide de celui qui souhaide
mettre fin a ses jours. Dans l’arret Haas c Suisse, la Cour affirme que le droit a la vie peut
conduire a une procedure propre d’assurer que la decision de mettre a fin a sa vie corresponde a
la libre volonte de la personne interesse.

2. L’obligation pour un jeune avocat stagiaire d’effectuer des heures supplémentaires peut-
être considérée du travail forcé ?

Analysant la jurisprudence de la CEDH, J’estime que la reponse est negative. Ainsi, on rapelle
l’arret Van der Mussele c Belgique que nous presente une situation similaire. Dans l’espece, un
avocat stagiaire devait representer gratuitement les prevenus en tant qu’avocat d’office. La cour a
clonclu qu’on ne peut pas considere comme “ travail force” l’aide juridique gratuite que le
requerant etait invite d’offrir. Dans cette situation la, nous sommes sous l’incidence d’une
ogligation civique normale au sens de l’article 3 et 4 de la Convention.

De meme facon, dans notre situation, il convient d’affirmer que ces heures suppementaires
represente pour un avocat stagiaire une obligation strictement professionnelle absolument
necessaire pour sa formation.

Toutefois, on doit analyser le nombre des heures supplementaires, les conditions de travail et,
enfin et surtout, leur proportionnalite par rapport a sa qualite d’avocat stagiaire.

3. Différences entre ingérences et dérogations visant les droits de l’homme.

4. Est-ce que les limites de l’article 10 ont été dépassées par l’utilisation de l’expression «
casses toi pauvre con » adressée par le requérant, ancien militant politique au chef de l’Etat
vu que la même expression a été adressée par le chef de l’état lui-même en février 2008 au
Salon de l’agriculture, à un agriculteur ayant refusé de lui serrer la main ?

Selon moi, dans la situation presentee est dans les limites de l’article 10 de la Convention.
L’expression utilisee par le requerant est, selon moi, stictement une satire politique. Le requerant
n’a pas affecte, sous aucune circonstance, la reputation du chef de l’Etat, ainsi on ne peut pas
invoque “la protection de la reputation” pour sanctionner le requerant. En outre, l’article 10 ne
prevoit aucune restriction dans le domaine politique; ainsi une sanction du requerant represente
une atteinde a son droit a la liberte d’expression.

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