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Université Mohammed V - Rabat PLAN

ECOLE SUPERIEURE DE TECHNOLOHIE


SALE 1. Généralités Sur Système d'Information
2. Présentation générale de MERISE
Cours
3. Modèle conceptuel de données (MCD)
Analyse du Système d’Information
4. Modèle logique et physique de données (MLD et MPD)

******* 6. Modèle conceptuel de traitements (MCT)

Pr. Abderrahim EL QADI 7. Modèle organisationnel des traitements (MOT)

Département Informatique 8. Modèle opérationnel des traitements (MopT)

A.U. 2016/2017
SI 1 A. El Qadi

1. GENERALITES SUR SYSTEME D'INFORMATION 1.3 SYSTEME D’INFORMATION (SI)

1.1 SYSTEME Le SI d’une organisation est l’ensemble des données et des


Un système est un ensemble d’éléments structurés répondant à processus qui sont nécessaires et suffisants à son fonctionnement
une activité donnée.
Un SII est la composante du SI reposant sur la technologie
Exemple : un programme , un ordinateur , … informatique et de communication.

1.2 INFORMATION Le SI est composé des moyens (humains et techniques) nécessaires


Une information repose sur des données
au stockage et au traitement de l’information d’une organisation.
Ex : Produit de numéro 1254, de couleur rouge qui coûte 150
Dirhams.

SI 2 A. El Qadi SI 3 A. El Qadi
Exemple de SI :
- Gestion commerciale,
SYSTEME DE PILOTAGE
Les membres de direction - Gestion de la scolarité,
- Gestion d 'une bibliothèque...
Informations intérieures E
N Exemple de représentation graphique (description des données)
SYSTEME D’INFORMATION V E
• Collecte les données I X
• Mémorise les données manipulées R T
• Traite les données stockées O E
• Transmet les données vers l’extérieur et l’intérieur N R
du système N I
E E
Informations intérieures M U
E R
SYSTEME OPERANT N
L’ensemble du personnel exécutant T

SI 4 A. El Qadi SI 5 A. El Qadi

1.4 Etapes de développements d’un SI b. L’étude préalable


• Référencer les moyens existants
a. Etablissement du schéma directeur :
Le schéma directeur fixe les grandes orientations : • Synthétiser les besoins du système futur en se basant sur
l’existant et les souhaits des différents intervenants.
• Choix d’organisation : définition du SI
• Choix stratégiques : Matériels ; logiciels.

SI 6 A. El Qadi SI 7 A. El Qadi
c. L’étude détaillée • Formalisation du dictionnaire de données et validation du
Elle complète l’étude préalable, et plus précisément la solution
MCD vis-à-vis des traitements :
qui a été choisie parmi celles ayant fait l’objet de l’étude préalable.
- Liste des entités types ; Liste des relations types ; Liste des
Elle s’agit de :
propriétés.
• Etablissement du MCD, MOT
• Etablissement du MLD
• Description des traitements :
- Enchaînement des traitements
- Description des procédures fonctionnelles : Définition des
écrans ; Définition des états.

SI 8 A. El Qadi SI 9 A. El Qadi

d. Analyse technique e. Réalisation


• La programmation
L’analyse technique doit indiquer comment les traitements et
• Les tests
données décrits par l’analyse détaillée seront réalisés.
• La mise en application.
− Etablissement du MPD, MOPT.

SI 10 A. El Qadi SI 11 A. El Qadi
Expressions des besoins Installation et test système
2. PRESENTATION GENERALE DE MERISE
Spécification Test d'acceptation
2.1. Introduction
Analyse Intégration et test d'intégration − L’analyse et la conception d’un SI recouvrent l’ensemble des
modèles, des règles, des outils et des méthodes qui permettent
Conception Test unitaire de définir des solutions informatiques et de gérer l’évolution de

Implémentation ces solutions.

SI 12 A. El Qadi SI 13 A. El Qadi

− La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle • Niveau conceptuel : Il traduit à travers un ensemble de règles
d'une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels de gestion, les objectifs et les contraintes présents sur
on s'intéresse. Ce type de méthode est appelé ANALYSE. l’entreprise.
• Niveau organisationnel : visant l’organisation mise en place
− Il existe plusieurs méthodes d'analyse, la méthode la plus
dans l’entreprise (notions de lieux, de temps d’acteurs et de
utilisée étant la méthode MERISE.
postes de travail).
− La méthode MERISE (Méthode d’Etudes et de Réalisation • Niveau technique ou opérationnel : définit les moyens
Informatiques par Sous-Ensemble) est basée sur la séparation matériels et logiciels nécessaire pour le projet.
des données et des traitements.
− Merise met en évidence trois niveaux de réflexion :
SI 14 A. El Qadi SI 15 A. El Qadi
Modèles
Niveau Choix Préoccupation Données Traitements 2.2. Dictionnaire de Données
Conceptuel Gestion Quoi ? MCD MCT − Après une phase de pré-analyse, on dresse le dictionnaire de
Que veut-on
faire ? données correspondant aux informations relevées sur les
Organisation Organisation Qui fait MLD MOT documents de gestion ou lors de l’analyse des postes de travail
nel ou quoi ?
Logique Ou ? au moyen d’interviews.
Quand ? Ce dictionnaire peut se présenter sous la forme du document
Opérationnel Technique Avec quels MPD MOpT
ou moyens ? suivant :
Physique Comment ?

SI 16 A. El Qadi SI 17 A. El Qadi

Dictionnaire de données : Date : .....................


3. MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES (MCD)
Domaine : Gestion stock……………………..
Données 3.1. Les concepts de base : Objet (ou individu)
Données Mnémonique Explications Type Longueur − Un Modèle est un ensemble de concepts, de règles et de
(=signifié) ou symbole
(=signifiant) conventions qui permettent de représenter des phénomènes.
Réf article RefArt Référence Article A 10
Type Type Type Article A 14 − MCD est un modèle schématique permettant une description
Num Fournisseur NumFr Numéro Fournisseur N 6 statique du système d’information à l’aide des concepts d’entité
Prix unité Prunité Prix unité N 10
…….. …… …… ….. ……. et d’association.

SI 18 A. El Qadi SI 19 A. El Qadi
- Le client DURAND a passé la commande C1 contenant les
Objet1 Nom de la relation Objet2
produits P1 et P2,
IDObjet1 propriétés IDObjet2
propriétés_Objet1 propriétés_Objet2 - Le même client DURAND a passé la commande C2 contenant
les produits P2 et P3,
- L'objet (ou individu) est une entité pourvue d’une existence
- Le client DUPONT a passé la commande C3 contenant les
propre et conforme aux choix de gestion de l’entreprise.
produits P1 et P2,
- Le même client DUPONT a passé la commande C4 contenant
Exemple d’application :
les produits P2 et P3,
Considérons une application d’une gestion commerciale décrite
par les faits suivants :
SI 20 A. El Qadi SI 21 A. El Qadi

La description de ce réel peut aussi se résumer par le tableau


suivant :
a donné lieu à la facture
C1 F1 Clients Commandes Produits Factures
DURAND C1 P1.P2 F1
C2 F2
C2 P2.P3 F2
C3 F3 DUPONT C3 P1.P2 F3
C4 P2.P3 F4
C4 F4
Chaque ensemble définit en extension un OBJET. La représentation des objets de l’exemple est la suivante :

CLIENT COMMANDE PRODUIT FACTURE

SI 22 A. El Qadi SI 23 A. El Qadi
3.2. Le concept de RELATION 3.3. Le concept de PROPRIETES
Définition : Définition :
Une relation entre objets (ou individus) est une association perçue
Une propriété (ou attribut) est une donnée élémentaire que l’on
dans le réel entre deux ou plusieurs entités.
perçoit sur un objet ou sur une relation entre objets.
Formalisme :

Formalisme :
Objet 1 Nom Relation Objet 2
Le nom de la propriété est inscrit à l’intérieur de l’objet.

Objet 3 Objet n

SI 24 A. El Qadi SI 25 A. El Qadi

La représentation des objets de l’exemple est la suivante : 3.4. Le concept de CARDINALITES


CDFACTURE Formalisme :
Nom de l’objet
Relation
CLIENT COMMANDE PRODUIT FACTURE

N°client N°Com RéfProduit N°Fact Nbre1 Nbre2


Nom Datecom Libellé Datefact
Prénom Prix Montant
Adresse Cardinalité Cardinalité
minimale 0 ou 1 maximale 1 ou n

PasserCde CommanderPdt. FacturerPdt. La cardinalité d’un objet par rapport à une relation s’exprimer
QtéCom QtéFact
par deux appelés cardinalité minimale et cardinalité maximale :

SI 26 A. El Qadi SI 27 A. El Qadi
- Cardinalité minimale (égale à 0 ou 1) : C’est le nombre de Exemple :
fois minimum qu’une occurrence d’un objet participe aux
Client Commande
Passer CDE
occurrences de la relation.
N°client N°Com
- Cardinalité maximale (égale à 1 ou n) : Elle indique le 0,n 1,1

nombre de fois maximum qu’une occurrence de l’objet Un client peut ne pas Une commande est tjs
participe aux occurrences de la relation. passer de commande passée par un client

Une même commande


Un client peut passer
est passée au plus par
au plus n commandes
un seul client

SI 28 A. El Qadi SI 29 A. El Qadi

a. Occurrence d’un objet (ou individu)


Définition : Représentation :
Une occurrence d’un objet (ou individu) est un élément DUPONT

individualisme appartenant à cet objet. DURAND


Exemple :
L’entité réelle « Client » avait 2 constituants, DURAND et
DUPONT, nous dirons que l’objet CLIENT a deux occurrences ou
deux réalisations DURAND et DUPONT.

SI 30 A. El Qadi SI 31 A. El Qadi
b. Occurrence d’une relation Une occurrence de cette relation correspondra au fait qu’un
Définition : produit a été commandé au titre d’une certaine commande pour
Une occurrence d’une relation est une relation individualisée une quantité donnée.
constituée d’une et d’une seule occurrence des objets participant à Représentation :
la relation. Dans cet exemple, nous avons 4 occurrences de la relation
Exemple : « COMMANDE PRODUITS »
Considérons la relation « COMMANDER PRODUITS »
entre l’objet COMMANDE et l’objet PRODUIT.

SI 32 A. El Qadi SI 33 A. El Qadi

3.5. Règles de normalisation d’un MCD


Commande Commander Produit Produit 1 Règle concernant les entités :
C1 2 P1
• Nom des entités au singulier
3 P2
C2 4 P2 • Chaque entité (objet) doit disposer d’un identifiant qui la
5 P3 caractérise de manière unique. L’identifiant est repéré dans la
liste des propriétés de la manière suivante :
- L’identifiant figure en 1er position dans la liste des
propriétés.
- L’identifiant est souligné.
SI 34 A. El Qadi SI 35 A. El Qadi
Exemple : le N°Client de l’objet Client est unique pour chaque 2 Règles concernant les propriétés :
client.  Règle 1 (1ère forme normale) : Chaque propriété doit
dépendre que de l’identifiant de l’entité et doit aussi prendre une et
• Quelques conseils:
une seule valeur.
- Eviter les identifiants composés de plusieurs attributs
Employé La propriété « PrénomEnfant » peut
- Préférer un identifiant court de type Entier
N°Employé prendre plusieurs valeurs selon le
- Eviter par exemple les chaînes de caractères comme le Nom/Prénom
PrénomEnfant nombre d’enfants
numéro de sécurité sociale ou la plaque d’immatriculation

SI 36 A. El Qadi SI 37 A. El Qadi

Dès qu’une propriété est multivaluée, elle devient source d’une  Règle 2 (2ème forme normale) : Une propriété doit dépendre
nouvelle entité : pleinement de l’identifiant, et non une partie de cet identifiant.

Employé Employé
Enfant Exemple :
0,n 1,1 N°Employé-N°ordre
N°Employé N°Employé Parent de Prénom Objet Enfant avant Objet Enfant après
Nom/Prénom Nom/Prénom
PrénomEnfant l’application de la règle l’application de la règle
Enfant Enfant
N°Employé-N°ordre N°Employé-N°ordre
Nom Prénom
Prénom Datenaiss
Datenaiss

SI 38 A. El Qadi SI 39 A. El Qadi
La propriété « Nom » ne dépend pas complètement de  Règle 3 (3ème forme normale en BD relationnelle) : Une
l’identifiant, mais d’une partie de cet identifiant : en effet le Nom propriété doit dépendre directement de l’identifiant, et non pas par
dépend du N°Employé et non du N°ordre. l’intermédiaire d’une autre propriété.
Cette règle évite des redondances de valeurs dans la base de Exemple :
données. Employé
Employé Qualification
N°Employé 1,1 1,n
Nom/Prénom N°Employé Appartenir Qualification
Qualification Nom/Prénom Prime de
Prime de qualification
qualification

SI 40 A. El Qadi SI 41 A. El Qadi

 Dans l’objet « Employé », la propriété « Prime de  Règle 4 : Toutes les propriétés d’une entité ou d’une
qualification » ne dépend pas directement de l’identifiant association doivent être élémentaires, c à d non décomposables au
N°Employé, mais dépend d’abord de la propriété « Qualification ». sens pratique du terme.
Alors il faut créer un autre objet « Qualification » qui aura comme Exemple de l’objet Employé
propriétés : Qualification et Prime de qualification. Employé La propriété « Domiciliation
N°Employé bancaire » doit être décomposée en :
Nom/Prénom code bancaire
Domiciliation bancaire code guichet
N°compte

SI 42 A. El Qadi SI 43 A. El Qadi
Employé La propriété « Adresse » se 3 Règles concernant les relations :
N°Employé décompose par exemple en deux - Pour chaque occurrence d’une relation, chaque propriété doit
Nom/Prénom propriétés élémentaires :
Adresse Rue dépend de l’identifiant de la relation et doit prendre une et
ville
une seule valeur.
Exemple :
Soit un système de réservation de chambres d’hôtel modélisé

Client Réserver Chambre


.N°Client 1,n 0,n .N°Chambre
.DateDébut
.Nom/Prénom .Nombre de jours .Prix

SI 44 A. El Qadi SI 45 A. El Qadi

Supposons que certains clients réguliers aient l’habitude de


réserver pour plusieurs dates différentes. Alors dès qu’une
Client Chambre
propriété est multivaluée, elle devient source d’une nouvelle Réserver
1,n 0,n
N°Client N°Chambre
entité : l’attribut DateDébut possède alors plusieurs valeurs pour Nom/Prénom Nombre de jours Prix

une occurrence de la relation.


0,n
D’ou le modèle MCD doit alors être revu :
Date

Date début

SI 46 A. El Qadi SI 47 A. El Qadi
- Eviter les associations redondantes
- Suppression/fusion des associations
Supprimer les associations: association binaire dont toutes les
cardinalités sont 1,1.
A 1,1 1,1 B
IDA Assoc IDB
PROP_A PROP_B

A
IDA
PROP_A Le client ayant effectué un règlement peut toujours être retrouvé en
PROP_B
passant Par la facture correspondante, d'ou le nouveau MCD est:
SI 48 A. El Qadi SI 49 A. El Qadi

3.6. Les contraintes d’intégrité fonctionnelle : (CIF)


Une contrainte d’Intégrité fonctionnelle (CIF) se définit par le
fait que l’une des entités participant à l’association est
complètement déterminée par la connaissance d’une ou plusieurs
autres entités participant dans cette même association.

* Dans le cas de relations binaires, la CIF est identifiée par la


présence d’une cardinalité (1,1) qui n’est autre qu’un lien
identifiant.

SI 50 A. El Qadi SI 51 A. El Qadi
–La cardinalité maximum=1
- Représentation graphique des CIF (contraintes d'intégrité
–et l'existence d'une dépendance. Ces relations seront couramment
fonctionnelles):
appelées relations binaires fonctionnelles.
Exemple :

REPRESENTANT COMMANDE
1,n (1,1)
N°Représentant Prendre N°Com
Nom Date

Exprime qu'à partir d'une occurrence d'une entité, lui correspond La connaissance d’une commande détermine celle du représentant

(au plus) une seule occurrence de l'autre entité. qui l’a prise : il n’y en a qu’un.
SI 52 A. El Qadi SI 53 A. El Qadi

* Une CIF, dans le cas de relation n-aire (avec n-1) porte donc Exemple :
toujours sur : Reprenons l’exemple d’un sous-ensemble suivant de l’activité
- une relation d’un centre médical : les médecins pratiquent des actes médicaux
- une entité cible (celle qui est entièrement déterminé par la sur les patients se présentant au centre.
connaissance des autres) ACTESPRATIQUES
Num-acte
- et un ensemble d’entités sources (ce sont les entités participant
1,1
à la relation qui permettent de déterminer l’entité cible). MEDECIN
1,n Pratiquer
Nom
1,n
PATIENT
Numpat
SI 54 A. El Qadi SI 55 A. El Qadi
Après l’analyse, nous apprenons qu’un acte ne peut être pratiqué Le nouveau MCD est :
que par 1 seul médecin et bien entendu un médecin peut pratiquer ACTES PRATIQUES
1,1 .Num-acte
plusieurs actes différents. C.I.F
Nous venons de mettre en évidence une CIF entre 1,n 1,1
MEDECIN Pratiquer
ACTESPRATIQUES et MEDECIN. Ceci nous permet de .Nom

simplifier le MCD : l’objet MEDECIN ne participe plus à la 1,n


PATIENT
relation PRATIQUER. .Numpat
Alors nous obtenons 2 relations de dimension 2 au lieu d’une
relation de dimension 3.

SI 56 A. El Qadi SI 57 A. El Qadi

3.7. Les concepts étendus (MERISE 2) Exemple:


3.7.1. Le concept d’héritage Document
Ce concept est utilisé lorsque plusieurs entités, proches mais Objet générique Codedoc
titre
distinctes, partagent un ensemble de caractéristiques,
Solution: il doit mettre en œuvre un processus de création d’entités
génériques (ou entités sur-types) et d’entités spécialisées (ou
Livre Journal
entités sous-types) appelé «héritage ». Objets
Auteurs spécialisés datepub
Le sous-type hérite de toutes les propriétés de son sur-type y
compris de son identifiant.
Le sous typage est une orientation vers le monde "objet".
SI 58 A. El Qadi SI 59 A. El Qadi
3.7.2. Les contraintes Exemples de Contraintes:
Une contrainte est une relation sémantique entre des éléments du • la contrainte porte sur une association
modèle qui spécifie les conditions et les propositions qui doivent
être respectées; 1,n

- Contraintes structurelles : les propriétés dans les objets, les


différents types de relations entre les objets (généralisation,
association, agrégation, composition, dépendance), la cardinalité et 0,

la navigabilité des propriétés structurelles, etc.


- Contraintes de type : typage des propriétés, etc.

SI 60 A. El Qadi SI 61 A. El Qadi

• Recouvrement des occurrences dans les objets Étudiant et 4. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
Employé: Une même personne peut être à la fois étudiante dans
Ce modèle a pour but de décrire les enregistrements logiques.
une université et employée dans une entreprise
Cette formalisation nécessite de connaître les moyens disponibles
pour la manipulation des données :
- Base de données relationnelles (modèle relationnel)
- Base de données navigationnelles (modèle CODASYL ou

1 1 réseau)
1,n 1,n - Fichier classique (modèle hiérarchique).

SI 62 A. El Qadi SI 63 A. El Qadi
4.1. Le Modèle Relationnel Un domaine sémantique étant un ensemble de valeurs que peut
4.1.1Les concepts prendre une donnée.
la relation ; l’attribut ; la clé.
Exemple :
1. Relation (appelée plus couramment TABLE) - la donnée MARQUE sera définie sur le domaine :
C’est un ensemble de n-uplets (ou tuples). D1= RENAULT, PEUGEOT
Les concepts du modèle relationnel s’appuient sur la notion - la donnée couleur sera définie sur le domaine :
mathématique de « relation », qui est un sous-ensemble du produit D2= bleue, blanche, rouge
cartésien d’une liste de domaines sémantiques.

SI 64 A. El Qadi SI 65 A. El Qadi

D1 D2 2. Attribut

.Renault .Blanche Il représente une colonne d’une relation caractérisée par un nom.
.Peugeot .Rouge
.Bleu
Exemple :
Une relation sera décrite en citant tous les tuples des sous- MARQUE et COULEUR sont les attributs de la relation
ensembles de D1*D2, soit par exemple la relation Voiture : VOITURE.
Voiture D1 D2 Cette relation s’écrit VOITURE ( MARQUE, COULEUR) ou
Renault Blanche R1 : (MARQUE, COULEUR) avec R1 est le nom de la relation,
Peugeot Blanche et les éléments entre parenthèses les noms des attributs.
Renault Rouge
SI 66 A. El Qadi SI 67 A. El Qadi
3. Clé d’une relation Pour plus de sécurité il faudrait : soit prendre les attributs Nom et
Une clé est constituée d’un ou plusieurs attributs dont les valeurs Prénom comme clé, soit adjoindre un attribut « artificiel »
définissent de manière unique les tuples de la relation. NEtudiant ; ceci donnerait alors la relation :
Exemple : ETUDIANT (NEtudiant, Nom, Prénom, Datenaiss)
Soit la relation ETUDIANT
ETUDIANT (Nom, Prénom, Datenaiss) D’autre part, le ou les attributs clé sont soulignés.
Si nous prenons l’attribut ‘Nom’ comme clé de la relation ; ceci
comporte des risques car il peut exister des homonymes.

SI 68 A. El Qadi SI 69 A. El Qadi

4.1.2 Règles de passage d’un MCD à un MLD relationnel 2. Règles pour les RELATIONS du MCD
i) cas de la relation type père-fils
1. Règles pour les OBJETS du MCD
(cardinalités objet « père » 0,N ou 1,N et cardinalités objet « fils »
• L’objet se transforme en une table.
0,N ou 1,1)
• L’identifiant de l’objet devient la clé primaire de la table.
• L’objet « père » devient la table « père »
• Les propriétés de l’objet deviennent des attributs de la table.
• L’objet « fils » devient la table « fils »
• L’identifiant de l’objet « père » devient attribut de la table
« fils »
• Cet attribut est aussi appelé clé étrangère.

SI 70 A. El Qadi SI 71 A. El Qadi
• Les propriétés de la relation deviennent les attributs de la ii) cas des relations:(cardinalités des objets 0,N ou 1,N)
table « fils ». • Un objet devient 1 table, l’identifiant de l’objet devient la
Exemple : clé de la table.
MCD TABLES MLD RELATIONNEL

CLIENT
• Une relation devient 1 table.
CLIENT (Numcli, Nom)
Numcli • L’identifiant de la relation devient la clé primaire de la table
Nom
1,n
Passer CDE

1,1
COMMANDE
Numcde COMMANDE (Numcde, Date, Numcli*)
Date
SI 72 A. El Qadi SI 73 A. El Qadi

Exemple : ii) cas des autres relations:


MCD TABLES MLD RELATIONNEL A B
0,1 1,1
Assoc
FOURNISSEUR IDA IDB
FOURNISSEUR (Nomfr, Rue, ville) PROP_A PROP_B
Nomfr
Rue
Ville
1,n
A (IDA, Prop_A)
Fournir
Fournir (Nomfr*, Numprd*, Prix)
Prix B (IDB, Prop_B, IDA*).
1,n

PRODUIT
PRODUIT (Numprd, Libellé)
Numprd
Libellé

SI 74 A. El Qadi SI 75 A. El Qadi
4.1.3 L'identification relative (Agrégation)
A B
0,1 0,1
IDA
Assoc
IDB
• Elle intervient lorsque l'identifiant d'une entité ne suffit pas à
PROP_A PROP_B
l'identifier de manière unique.
• Exemple de cas où cela peut arriver :
On duplique la clé d'une des tables dans l'autre
- On identifie un immeuble par son numéro de rue, or il faut
A (IDA, Prop_A, IDB*) connaître le nom ou l'identifiant de la rue pour trouver
B (IDB, Prop_B, IDA*). l'immeuble.

SI 76 A. El Qadi SI 77 A. El Qadi

4.1.4 Les concepts étendues


Immeuble parenthèses autour des cardinalités
Num_immeuble A

Lesnb_etages signifient que les entités du côté de IDA


PROP_A
(1,1) ces cardinalités seront identifiées par
se situer
la concaténation de leurs identifiants:
0,n Rue (num_rue, nom_rue) A1 A2
Rue Immeuble (num_immeuble, num_rue# PROP_A1 PROP_A2
Num_rue
nom_rue ,nb_etages)

SI 78 A. El Qadi SI 79 A. El Qadi
a) Table sur-type et disparition des sous-types 5. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
Première possibilité : intégration des sous-types dans la relation
sur-type (les sous-types disparaissent). La description d’un M.P.D est étroitement liée aux choix

A (IDA, Prop_A, Prop_A1, Prop_A2) techniques informatiques concernant le système de gestion des

b) Table sous-types et disparition du sur-type données.

Seconde possibilité : intégration des propriétés figurant dans le


sur-type dans tous les sous types (le sur-type disparaît). Cette
solution entraîne une redondance importante des données
du sur-type si il n’y a pas exclusion entre les sous-types.
A1(IDA, Prop_A1, Prop_A) et A2(IDA, Prop_A2, Prop_A).
SI 80 A. El Qadi SI 81 A. El Qadi

Passage d’un M.L.D au M.P.D : * cas 2 : Soit l’association ASSOC présentant les cardinalités
* cas 1 : Soit l’association ASSOC présentant les cardinalités suivantes, et porteuse de propriétés :
suivantes, et porteuse de propriétés : A B
0,n 0,n
A B Assoc
0,1 0,n IDA IDB
Assoc PROP_A PROP_ASSOC PROP_B
IDA IDB
PROP_A PROP_ASSOC PROP_B

Le schéma relationnel peut être représenté par le MPD suivant :


Le schéma relationnel peut être représenté par le MPD suivant :
A ASSOC
A B
B IDA IDA
IDA IDB
IDB PROP_A IDB
IDB PROP_B
PROP_B PROP_ASSOC
PROP_A
PROP_ASSOC

SI 82 A. El Qadi SI 83 A. El Qadi
* cas 3 : Soit l’association ASSOC présentant les cardinalités
suivantes : 6. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS
A
0,1 0,1
B (MCT)
Assoc
IDA IDB
PROP_A PROP_B 1. Introduction
Les traitements constituent la partie dynamique du SI. Ils

A B décrivent les actions à exécuter sur les données afin d’obtenir les

IDA IDB résultats attendus par l’entreprise.


IDB IDA
PROP_A PROP_B Exemple :
Soit la règle de gestion suivante :

SI 84 A. El Qadi SI 85 A. El Qadi

« Une commande ne sera satisfaite que si la quantité en stock est le M.C.T. permet de représenter les actions menées par l’entreprise
supérieure à la quantité demandée ». pour la réalisation de ses finalités.
Cette règle de gestion se traduit par les traitements d’informations
suivants : Les premières notions qui doivent être considérer pour la
- lire la quantité commandée, construction d’un MCT sont : acteur, organisme (=l’entreprise),
- comparer la quantité commandée avec la quantité en stock, champs d’étude, flux d’information, événement.
- si la quantité commandée est inférieure à la quantité en stock * Le champs d’étude est un sous-ensemble cohérent de
alors la commande est acceptée, l’organisme. Il correspond à l’ensemble des acteurs ayant un rôle
- sinon la commande est rejetée. déterminer.

SI 86 A. El Qadi SI 87 A. El Qadi
2. Graphe des flux (MCC) 2.1 Acteur (ou intervenant)
Le modèle Conceptuel de Communication (MCC) est un C’est un agent capable d’échanger l’information avec les autres
graphique qui détermine les flux qui se transmettent au sein de acteurs. Il est l’auteur d’une ou plusieurs interventions.
l’entreprise dans le but de l’échange des informations. - Acteur interne : est l’acteur qui fait partie du champs d’étude.
- Acteur externe : est l’acteur qui ne fait pas partie du champs
d’étude.
Formalisme :

Acteur interne Acteur externe

Exemple : magasin et fournisseur


SI 88 A. El Qadi SI 89 A. El Qadi

2.2 Flux d’information Exemple :


1
Le flux d’information est un échange d’information entre deux
Fournisseur 2 Magasin
acteurs dans le cadre du SI concerné.
3
Formalisme
1 1 : Envoi de commandes
Acteur Acteur 2
2 2 : livraison de marchandises
1 : l’information transmise de l’acteur 1 vers l’acteur 2 3 : retour des marchandises non conforme.
2 : l’information transmise de l’acteur 2 vers l’acteur 1

SI 90 A. El Qadi SI 91 A. El Qadi
3. Les concepts du MCT Exemple :
Les concepts de base : processus, opération et événement, Considérons l’activité de gestion commerciale d’une entreprise.
synchronisation et résultats. Les processus suivants peuvent être identifiés :
- gestion des commandes,
3.1 Processus - gestion des factures,
Le processus consiste un sous-ensemble de l’activité de - gestion de la comptabilité clients.
l’entreprise. La représentation schématique de ces trois processus est la
suivante :

SI 92 A. El Qadi SI 93 A. El Qadi

Un processus comporte un nombre important de traitements


Prise en compte commande acceptée compte client
qu’il convient de regrouper en ensembles plus élémentaires appelés
d’une commande à jour (j-1)
opérations.
GESTION DES GESTION DES COMPTABILITE
COMMANDES FACTURES CLIENTS
3.2 L’opération
Définition
Commande traitée Facture établie Compte Client à jour (J)
Une opération est constituée d’un ensemble d’action qui sont
-Accepté
exécutables sans interruption. Elle est déclenchée pour répondre à
-Rejetée
la sollicitation d’un événement et produire un résultat.
-Différée
SI 94 A. El Qadi SI 95 A. El Qadi
Formalisme - événement déclencheur : arrivée d’un patient

Opération - opération : ouverture du dossier qui comprend les traitements


- rédaction d’une fiche d’identification,
Exemple : - rédaction d’une fiche d’actes à pratiquer.
L’ouverture d’un dossier patient dés l’arrivée de celui-ci dans un - résultat : dossier ouvert
centre de soins. Cette opération peut se caractériser par les
éléments suivants :

SI 96 A. El Qadi SI 97 A. El Qadi

Formalisme :
FORMALISME CONCEPTS -Application à l’exemple :
EVENEMENTS DECLENCHANTS EVENEMENT Arrivée d’un patient

Conditions
d’exécution SYNCHRONISATION
OUVERTURE DU DOSSIER

DESIGNATION Actes à pratiquer pas d’actes à


OPERATION pratiquer
DE L’OPERATION

Conditions d’émission
des résultats Dossier ouvert pas d’ouverture de dossier

RESULTAT RESULTAT
SI 98 A. El Qadi SI 99 A. El Qadi
3.3 Evénement Formalisme
Evènement
Définition
L’événement est un fait réel dont l’arrivée à pour effet de
déclencher l’exécution d’une ou plusieurs opérations. Exemple :
Exemple : Candidature
Demande Etude de la retenue
- Arrivée d’une commande d’embauche demande
Candidature
rejetée
- Arrivée d’une demande d’embauche
- Rupture d’un stock
ACTIONS DE RESULTATS
EVENEMENT
L’ENTREPRISE

SI 100 A. El Qadi SI 101 A. El Qadi

 Evénement interne :
Types d’événements :
C’est un événement qui se produit à la fin d’une opération. A ce
 Evénement externe :
niveau il est appelé RESULTAT de l’opération. Ce résultat pourra
C’est un événement qui se produit à l’extérieur des opérations
être lui-même un événement déclencheur d’une autre opération.
du processus et qui interviendra dans le déclenchement d’une
opération du processus.
Exemple : Evénement annonce panne

SI 102 A. El Qadi SI 103 A. El Qadi


3.4 Synchronisation d’événements Exemple 1 : Représentons la condition d’exécution (A ET (B OU
L’exécution d’une opération est toujours conditionnée par un ou C)) d’une opération :
plusieurs événements.
A B C
Nous dirons que la synchronisation d’une opération correspond à la
condition d’exécution de l’opération. Cette condition se représente A ET ( B OU C )

sous forme de conditions booléennes d’événements.


Exemple 2 : L’opération règlement se fait que si
- une facture a été produite et transmise au client
- un payement du client a été effectué.

SI 104 A. El Qadi SI 105 A. El Qadi

3.6 Les règles d’émission de résultats


3.5 Résultat
La règle d’émission est une condition qui traduit la règle à
Le résultat est le produit de l’exécution d’une opération. Le
laquelle est soumise l’émission des résultats d’une opération.
résultat peut être un événement pour une autre opération.
Formalisme
Résultat

SI 106 A. El Qadi SI 107 A. El Qadi


Représentation graphique Exemple
Arrivée d’une demande
Evénement A Evénement B d’embauche

Synchronisation
de A et B
Etude de la demande
Opération Règles
d’émission des Si poste Si poste
Règle Règle résultats disponible non disponible
d’émission 1 d’émission 2
Candidature Demande
retenue rejetée
Résultat 1 Résultat 2

SI 108 A. El Qadi SI 109 A. El Qadi

- Après contrôle de l’identification du client, les commandes


4. Exemple récapitulatif d’un M.C.T.
donnent lieu à l’édition d’un bon de livraison.
Traitement des commandes des clients :
- Si la marchandise est disponible, l’expédition est préparée.
Le fonctionnement de traitements des commandes clients d’une
- Le compte rendu d’expédition est remis à l’opérateur sur
entreprise est décrit à travers les opérations suivantes :
terminal.
- Les informations des clients sont enregistrées dans un fichier
- Avec l’accord du service commercial, il procède à la facture.
client.
- L’identification du client ne se fait qu’après l’arrivée de sa
commande.

SI 110 A. El Qadi SI 111 A. El Qadi


Arrivée commande client
Fichier client
disponible A B

A Et B

Contrôle identité client Etablissement de


bon de livraison Expédition remis

Accord service Terminal disponible


Bon livraison édité commercial
Et

Marchandise Facturation
B
disponible A
A Et B
Facture éditée
Préparation Expédition

Expédition remis

SI 112 A. El Qadi SI 113 A. El Qadi

5. Règles de construction d’un M.C.T. R4 : Un événement externe ne peut pas être le résultat d’une
R1 : L’ensemble des règles d’émission d’une opération doit être opération.
complet et disjoint c’est à dire que tous les cas qui peuvent se R5 : Un événement interne doit être le résultat d’une opération.
présenter doivent être étudiés et il ne doit exister qu’une et une seul R6 : Si une synchronisation porte sur la valeur de propriétés, ces
règle d’émission pour chacune d’entre eux. propriétés doivent être portées par les événements participant à la
R2 : Une synchronisation doit toujours pouvoir être réalisée. synchronisation.
R3 : Un processus doit toujours être déclenché par un événement
externe.

SI 114 A. El Qadi SI 115 A. El Qadi


7. MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENTS A chaque opération du niveau conceptuel correspondra une ou
(MOT) plusieurs PHASES dans le M.O.T.
Une succession de phases appartenant à un même processus
1.Généralités s’appellera PROCEDURE.
Le Modèle Organisationnel des traitements (MOT) permet de
représenter l’ensemble des traitements en prenant en compte
l’organisation de l’entreprise.

SI 116 A. El Qadi SI 117 A. El Qadi

Représentation schématique de l’élaboration du M.O.T. 2. Concepts, définitions et formalisme


Processus 1 processus n 2.1 Procédure
Choix
opérations d’organisation
Qui et Ou
A chaque processus du M.C.T. correspondra une ou plusieurs
procédures produisant des résultats dans le M.O.T.
Une procédure constituée d’un ensemble de traitements, est
ELABORATION DU
M.O.T.
déclenchée par un ou plusieurs événements externes. Elle
correspond à l’exécution par l’entreprise d’un ensemble de règles
Procédure i Procédure j
MOT de gestion produisant un ou plusieurs résultats.
Phases
Exemple : - Procédure de recrutement,

SI 118 A. El Qadi SI 119 A. El Qadi


2.2 Phase Formalisme :
Sous-ensemble de la procédure, la phase est une suite non EVENEMENT
EVENEMENT
interrompue de traitements, de même périodicité, exécutés par un . objet 1
. objet 2 OBJETS
poste de travail. . objet n (intervenant dans
la phase
Exemple : pour la procédure RECRUTEMENT nous pouvons N° de la phase
dans la N° Nom de la phase Phase
avoir les phases : procédure
- PHASE 1 : enregistrement de la demande d’embauche, Type de X Condition Condition
Règles d’émission
d’émission d’émission
traitement
- PHASE 2 : contrôle du dossier de candidature
MA : Manuel Résultats
- PHASE 3 : édition de l’acte de recrutement TR : Temps réel R1 R2
TD : Temps différé
SI 120 A. El Qadi SI 121 A. El Qadi

A chaque opération du M.C.T. correspondra soit : Exemple : contrôle formel d’un dossier de candidature.
 une phase unique dans le MCT Opération du M.C.T. Phase du M.O.T.
Candidature enregistrée Candidature enregistrée
Cas d’une opération pouvant être exécutée complètement par un
. Candidat
poste de travail dans une même unité de temps. . Réglementation

Contrôle candidature 2 Contrôle candidature


Candidature Candidature MA
Rejetée retenue Candidature Candidature
Rejetée retenue

Lettre refus convocation Lettre refus convocation

SI 122 A. El Qadi SI 123 A. El Qadi


 plusieurs phases dans le M.O.T. - un contrôle administratif est effectué par le service
cas d’une opération devant être décomposée en plusieurs sous- administratif.
ensembles du fait :
- de périodicités différentes de certains traitements,
- d’un découpage résultant d’une contrainte d’organisation.
En reprenant le même exemple que précédemment mais en
considérant que :
- un contrôle du dossier au plan professionnel est effectué par le
responsable du poste à pouvoir (service technique),

SI 124 A. El Qadi SI 125 A. El Qadi

La nouvelle représentation du M.O.T. est : 2.3 Tâche


Candidature
enregistrée
Service
Une tâche représente un ensemble de traitements élémentaires
. Réglementation
technique
exécutés à l’intérieur d’une phase. Une phase peut comprendre une
2 Contrôle du profil
professionnel
MA Candidature Candidature plusieurs tâches selon le cas.
Retenue rejetée

Exemple : Soit la phase du M.O.T suivante :


Arrivée d’un patient
Candidature Lettre refus Ayant un rendez-vous
retenue
. Candidat
. Réglementation
Service
3 Contrôle dossier administratif X Enregistrement
Administratif arrivée d’un patient
MA Candidature Candidature TR
Rejetée retenue

dossier patient liste actes à


ouvert pratiquer
Lettre refus convocation

SI 126 A. El Qadi SI 127 A. El Qadi


Cette phase contient les tâches suivantes : Le niveau de détail de description d’une phase dépend de l’étape
• tâche 1 : contrôle d’existence du dossier patient, de l’étape de conception ; en général, la démarche suivante est
• tâche 2 : création d’un dossier (si nouveau patient) appliquée :
• tâche 3 : mise à jour des actes à pratiquer.

SI 128 A. El Qadi SI 129 A. El Qadi

ETUDE PREALABLE ETUDE DETAILLEE

PROCEDURES Liste exhaustive des procédures Description générale de CHAPITRE VII


chaque procédure. LE MODELE OPERATIONNEL DES TRAITEMENTS
PHASES Enchaînement des phases Enchaînement exhaustif
1. Généralités
représentatives par procédure. des phases par procédure.
Description générale des phases. Description détaillée des Le but du modèle opérationnel des traitements (M.P.T.) est de
phases décrire l’architecture des logiciels qui devront être réaliser à partir
TACHES Liste des principales tâches Liste exhaustive de toutes du modèle organisationnel des traitements.
les tâches.

Description détaillée de
toutes les tâches.

SI 130 A. El Qadi SI 131 A. El Qadi


Le M.O.T. a permis de décrire : Le M.P.T. devra permettre de décrire l’architecture des unités de
- Les phases « temps réel » avec la description : traitement correspondant aux phases décrites dans M.O.T. Ces
• des écrans et de leur enchaînement, unités de traitement seront selon le cas :
• des traitements associés à chaque écran, • Des transactions (pour les phases « temps réel »)
• des états papiers éventuels, • Des programmes « batch » (pour les phases « temps différé »)
- Les phases « temps différé » avec la description :
• des états, L’étude du M.P.T. sera traité pour ces deux cas :
• des traitements regroupés en tâche.

SI 132 A. El Qadi SI 133 A. El Qadi

Affichage
2.2 Structuration des transactions écran i

La démarche d’élaboration des transactions :


Saisie des
*Règle 1 : données

A chaque écran correspondra une transaction


Traitement
écran i
*Règle 2 :
Chaque transaction sera structurée et représentée de la manière Enchaînement transaction suivante

suivante.

SI 134 A. El Qadi SI 135 A. El Qadi


*Règle 4 :
*Règle 3 :
Standardiser la description des traitements en distinguant 4 types
- Etablir des recommandations ergonomiques pour l’affichage
de traitements :
écran et la saisie des données.
- les contrôles (avec ou sans saisie de données ).
- Définir les normes d’affichages et de saisie (Ex. :
- les mises à jour des données stockées.
Normalisation des touches de fonction) .
- les calculs.
- les éditions.

SI 136 A. El Qadi SI 137 A. El Qadi

*Autres règles ou recommandations : - Penser à bien gérer la confidentialité d’accès aux


- Prévoir la réalisation de modules de service accessibles par informations : gestion des droits par utilisateur, par information,
toutes les transactions. par type de traitement, etc.
Exemple : - Penser à la mise en œuvre de procédure de sécurité :
+ module de contrôle de date, journalisation des mouvements de mise à jour en vue d’une reprise
+ module de contrôle spécifique, ultérieure (suite à un incident).
+ module de transformation de code. - Gérer l’enchaînement des transactions.

SI 138 A. El Qadi SI 139 A. El Qadi


2.3 Structuration des programmes « batch »
- Constitution des enchaînements de programmes :
Le découpage des programmes « batch » se fait selon :
- La périodicité des traitements : distinguer les programmes
La description du niveau opérationnel des traitements a
journaliers des programmes mensuels
beaucoup évolué avec l’utilisation de langage base de données
- Selon le type de programme :
normalisé comme SQL et par l’approche de la programmation
 programme de contrôle
orientée objet.
 programme de calcule
 programme de mise à jour
 programme d’édition.

SI 140 A. El Qadi SI 141 A. El Qadi

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