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A.U. 2016/2017
SI 1 A. El Qadi
SI 2 A. El Qadi SI 3 A. El Qadi
Exemple de SI :
- Gestion commerciale,
SYSTEME DE PILOTAGE
Les membres de direction - Gestion de la scolarité,
- Gestion d 'une bibliothèque...
Informations intérieures E
N Exemple de représentation graphique (description des données)
SYSTEME D’INFORMATION V E
• Collecte les données I X
• Mémorise les données manipulées R T
• Traite les données stockées O E
• Transmet les données vers l’extérieur et l’intérieur N R
du système N I
E E
Informations intérieures M U
E R
SYSTEME OPERANT N
L’ensemble du personnel exécutant T
SI 4 A. El Qadi SI 5 A. El Qadi
SI 6 A. El Qadi SI 7 A. El Qadi
c. L’étude détaillée • Formalisation du dictionnaire de données et validation du
Elle complète l’étude préalable, et plus précisément la solution
MCD vis-à-vis des traitements :
qui a été choisie parmi celles ayant fait l’objet de l’étude préalable.
- Liste des entités types ; Liste des relations types ; Liste des
Elle s’agit de :
propriétés.
• Etablissement du MCD, MOT
• Etablissement du MLD
• Description des traitements :
- Enchaînement des traitements
- Description des procédures fonctionnelles : Définition des
écrans ; Définition des états.
SI 8 A. El Qadi SI 9 A. El Qadi
SI 10 A. El Qadi SI 11 A. El Qadi
Expressions des besoins Installation et test système
2. PRESENTATION GENERALE DE MERISE
Spécification Test d'acceptation
2.1. Introduction
Analyse Intégration et test d'intégration − L’analyse et la conception d’un SI recouvrent l’ensemble des
modèles, des règles, des outils et des méthodes qui permettent
Conception Test unitaire de définir des solutions informatiques et de gérer l’évolution de
SI 12 A. El Qadi SI 13 A. El Qadi
− La modélisation consiste à créer une représentation virtuelle • Niveau conceptuel : Il traduit à travers un ensemble de règles
d'une réalité de telle façon à faire ressortir les points auxquels de gestion, les objectifs et les contraintes présents sur
on s'intéresse. Ce type de méthode est appelé ANALYSE. l’entreprise.
• Niveau organisationnel : visant l’organisation mise en place
− Il existe plusieurs méthodes d'analyse, la méthode la plus
dans l’entreprise (notions de lieux, de temps d’acteurs et de
utilisée étant la méthode MERISE.
postes de travail).
− La méthode MERISE (Méthode d’Etudes et de Réalisation • Niveau technique ou opérationnel : définit les moyens
Informatiques par Sous-Ensemble) est basée sur la séparation matériels et logiciels nécessaire pour le projet.
des données et des traitements.
− Merise met en évidence trois niveaux de réflexion :
SI 14 A. El Qadi SI 15 A. El Qadi
Modèles
Niveau Choix Préoccupation Données Traitements 2.2. Dictionnaire de Données
Conceptuel Gestion Quoi ? MCD MCT − Après une phase de pré-analyse, on dresse le dictionnaire de
Que veut-on
faire ? données correspondant aux informations relevées sur les
Organisation Organisation Qui fait MLD MOT documents de gestion ou lors de l’analyse des postes de travail
nel ou quoi ?
Logique Ou ? au moyen d’interviews.
Quand ? Ce dictionnaire peut se présenter sous la forme du document
Opérationnel Technique Avec quels MPD MOpT
ou moyens ? suivant :
Physique Comment ?
SI 16 A. El Qadi SI 17 A. El Qadi
SI 18 A. El Qadi SI 19 A. El Qadi
- Le client DURAND a passé la commande C1 contenant les
Objet1 Nom de la relation Objet2
produits P1 et P2,
IDObjet1 propriétés IDObjet2
propriétés_Objet1 propriétés_Objet2 - Le même client DURAND a passé la commande C2 contenant
les produits P2 et P3,
- L'objet (ou individu) est une entité pourvue d’une existence
- Le client DUPONT a passé la commande C3 contenant les
propre et conforme aux choix de gestion de l’entreprise.
produits P1 et P2,
- Le même client DUPONT a passé la commande C4 contenant
Exemple d’application :
les produits P2 et P3,
Considérons une application d’une gestion commerciale décrite
par les faits suivants :
SI 20 A. El Qadi SI 21 A. El Qadi
SI 22 A. El Qadi SI 23 A. El Qadi
3.2. Le concept de RELATION 3.3. Le concept de PROPRIETES
Définition : Définition :
Une relation entre objets (ou individus) est une association perçue
Une propriété (ou attribut) est une donnée élémentaire que l’on
dans le réel entre deux ou plusieurs entités.
perçoit sur un objet ou sur une relation entre objets.
Formalisme :
Formalisme :
Objet 1 Nom Relation Objet 2
Le nom de la propriété est inscrit à l’intérieur de l’objet.
Objet 3 Objet n
SI 24 A. El Qadi SI 25 A. El Qadi
PasserCde CommanderPdt. FacturerPdt. La cardinalité d’un objet par rapport à une relation s’exprimer
QtéCom QtéFact
par deux appelés cardinalité minimale et cardinalité maximale :
SI 26 A. El Qadi SI 27 A. El Qadi
- Cardinalité minimale (égale à 0 ou 1) : C’est le nombre de Exemple :
fois minimum qu’une occurrence d’un objet participe aux
Client Commande
Passer CDE
occurrences de la relation.
N°client N°Com
- Cardinalité maximale (égale à 1 ou n) : Elle indique le 0,n 1,1
nombre de fois maximum qu’une occurrence de l’objet Un client peut ne pas Une commande est tjs
participe aux occurrences de la relation. passer de commande passée par un client
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SI 30 A. El Qadi SI 31 A. El Qadi
b. Occurrence d’une relation Une occurrence de cette relation correspondra au fait qu’un
Définition : produit a été commandé au titre d’une certaine commande pour
Une occurrence d’une relation est une relation individualisée une quantité donnée.
constituée d’une et d’une seule occurrence des objets participant à Représentation :
la relation. Dans cet exemple, nous avons 4 occurrences de la relation
Exemple : « COMMANDE PRODUITS »
Considérons la relation « COMMANDER PRODUITS »
entre l’objet COMMANDE et l’objet PRODUIT.
SI 32 A. El Qadi SI 33 A. El Qadi
SI 36 A. El Qadi SI 37 A. El Qadi
Dès qu’une propriété est multivaluée, elle devient source d’une Règle 2 (2ème forme normale) : Une propriété doit dépendre
nouvelle entité : pleinement de l’identifiant, et non une partie de cet identifiant.
Employé Employé
Enfant Exemple :
0,n 1,1 N°Employé-N°ordre
N°Employé N°Employé Parent de Prénom Objet Enfant avant Objet Enfant après
Nom/Prénom Nom/Prénom
PrénomEnfant l’application de la règle l’application de la règle
Enfant Enfant
N°Employé-N°ordre N°Employé-N°ordre
Nom Prénom
Prénom Datenaiss
Datenaiss
SI 38 A. El Qadi SI 39 A. El Qadi
La propriété « Nom » ne dépend pas complètement de Règle 3 (3ème forme normale en BD relationnelle) : Une
l’identifiant, mais d’une partie de cet identifiant : en effet le Nom propriété doit dépendre directement de l’identifiant, et non pas par
dépend du N°Employé et non du N°ordre. l’intermédiaire d’une autre propriété.
Cette règle évite des redondances de valeurs dans la base de Exemple :
données. Employé
Employé Qualification
N°Employé 1,1 1,n
Nom/Prénom N°Employé Appartenir Qualification
Qualification Nom/Prénom Prime de
Prime de qualification
qualification
SI 40 A. El Qadi SI 41 A. El Qadi
Dans l’objet « Employé », la propriété « Prime de Règle 4 : Toutes les propriétés d’une entité ou d’une
qualification » ne dépend pas directement de l’identifiant association doivent être élémentaires, c à d non décomposables au
N°Employé, mais dépend d’abord de la propriété « Qualification ». sens pratique du terme.
Alors il faut créer un autre objet « Qualification » qui aura comme Exemple de l’objet Employé
propriétés : Qualification et Prime de qualification. Employé La propriété « Domiciliation
N°Employé bancaire » doit être décomposée en :
Nom/Prénom code bancaire
Domiciliation bancaire code guichet
N°compte
SI 42 A. El Qadi SI 43 A. El Qadi
Employé La propriété « Adresse » se 3 Règles concernant les relations :
N°Employé décompose par exemple en deux - Pour chaque occurrence d’une relation, chaque propriété doit
Nom/Prénom propriétés élémentaires :
Adresse Rue dépend de l’identifiant de la relation et doit prendre une et
ville
une seule valeur.
Exemple :
Soit un système de réservation de chambres d’hôtel modélisé
SI 44 A. El Qadi SI 45 A. El Qadi
Date début
SI 46 A. El Qadi SI 47 A. El Qadi
- Eviter les associations redondantes
- Suppression/fusion des associations
Supprimer les associations: association binaire dont toutes les
cardinalités sont 1,1.
A 1,1 1,1 B
IDA Assoc IDB
PROP_A PROP_B
A
IDA
PROP_A Le client ayant effectué un règlement peut toujours être retrouvé en
PROP_B
passant Par la facture correspondante, d'ou le nouveau MCD est:
SI 48 A. El Qadi SI 49 A. El Qadi
SI 50 A. El Qadi SI 51 A. El Qadi
–La cardinalité maximum=1
- Représentation graphique des CIF (contraintes d'intégrité
–et l'existence d'une dépendance. Ces relations seront couramment
fonctionnelles):
appelées relations binaires fonctionnelles.
Exemple :
REPRESENTANT COMMANDE
1,n (1,1)
N°Représentant Prendre N°Com
Nom Date
Exprime qu'à partir d'une occurrence d'une entité, lui correspond La connaissance d’une commande détermine celle du représentant
(au plus) une seule occurrence de l'autre entité. qui l’a prise : il n’y en a qu’un.
SI 52 A. El Qadi SI 53 A. El Qadi
* Une CIF, dans le cas de relation n-aire (avec n-1) porte donc Exemple :
toujours sur : Reprenons l’exemple d’un sous-ensemble suivant de l’activité
- une relation d’un centre médical : les médecins pratiquent des actes médicaux
- une entité cible (celle qui est entièrement déterminé par la sur les patients se présentant au centre.
connaissance des autres) ACTESPRATIQUES
Num-acte
- et un ensemble d’entités sources (ce sont les entités participant
1,1
à la relation qui permettent de déterminer l’entité cible). MEDECIN
1,n Pratiquer
Nom
1,n
PATIENT
Numpat
SI 54 A. El Qadi SI 55 A. El Qadi
Après l’analyse, nous apprenons qu’un acte ne peut être pratiqué Le nouveau MCD est :
que par 1 seul médecin et bien entendu un médecin peut pratiquer ACTES PRATIQUES
1,1 .Num-acte
plusieurs actes différents. C.I.F
Nous venons de mettre en évidence une CIF entre 1,n 1,1
MEDECIN Pratiquer
ACTESPRATIQUES et MEDECIN. Ceci nous permet de .Nom
SI 56 A. El Qadi SI 57 A. El Qadi
SI 60 A. El Qadi SI 61 A. El Qadi
• Recouvrement des occurrences dans les objets Étudiant et 4. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)
Employé: Une même personne peut être à la fois étudiante dans
Ce modèle a pour but de décrire les enregistrements logiques.
une université et employée dans une entreprise
Cette formalisation nécessite de connaître les moyens disponibles
pour la manipulation des données :
- Base de données relationnelles (modèle relationnel)
- Base de données navigationnelles (modèle CODASYL ou
1 1 réseau)
1,n 1,n - Fichier classique (modèle hiérarchique).
SI 62 A. El Qadi SI 63 A. El Qadi
4.1. Le Modèle Relationnel Un domaine sémantique étant un ensemble de valeurs que peut
4.1.1Les concepts prendre une donnée.
la relation ; l’attribut ; la clé.
Exemple :
1. Relation (appelée plus couramment TABLE) - la donnée MARQUE sera définie sur le domaine :
C’est un ensemble de n-uplets (ou tuples). D1= RENAULT, PEUGEOT
Les concepts du modèle relationnel s’appuient sur la notion - la donnée couleur sera définie sur le domaine :
mathématique de « relation », qui est un sous-ensemble du produit D2= bleue, blanche, rouge
cartésien d’une liste de domaines sémantiques.
SI 64 A. El Qadi SI 65 A. El Qadi
D1 D2 2. Attribut
.Renault .Blanche Il représente une colonne d’une relation caractérisée par un nom.
.Peugeot .Rouge
.Bleu
Exemple :
Une relation sera décrite en citant tous les tuples des sous- MARQUE et COULEUR sont les attributs de la relation
ensembles de D1*D2, soit par exemple la relation Voiture : VOITURE.
Voiture D1 D2 Cette relation s’écrit VOITURE ( MARQUE, COULEUR) ou
Renault Blanche R1 : (MARQUE, COULEUR) avec R1 est le nom de la relation,
Peugeot Blanche et les éléments entre parenthèses les noms des attributs.
Renault Rouge
SI 66 A. El Qadi SI 67 A. El Qadi
3. Clé d’une relation Pour plus de sécurité il faudrait : soit prendre les attributs Nom et
Une clé est constituée d’un ou plusieurs attributs dont les valeurs Prénom comme clé, soit adjoindre un attribut « artificiel »
définissent de manière unique les tuples de la relation. NEtudiant ; ceci donnerait alors la relation :
Exemple : ETUDIANT (NEtudiant, Nom, Prénom, Datenaiss)
Soit la relation ETUDIANT
ETUDIANT (Nom, Prénom, Datenaiss) D’autre part, le ou les attributs clé sont soulignés.
Si nous prenons l’attribut ‘Nom’ comme clé de la relation ; ceci
comporte des risques car il peut exister des homonymes.
SI 68 A. El Qadi SI 69 A. El Qadi
4.1.2 Règles de passage d’un MCD à un MLD relationnel 2. Règles pour les RELATIONS du MCD
i) cas de la relation type père-fils
1. Règles pour les OBJETS du MCD
(cardinalités objet « père » 0,N ou 1,N et cardinalités objet « fils »
• L’objet se transforme en une table.
0,N ou 1,1)
• L’identifiant de l’objet devient la clé primaire de la table.
• L’objet « père » devient la table « père »
• Les propriétés de l’objet deviennent des attributs de la table.
• L’objet « fils » devient la table « fils »
• L’identifiant de l’objet « père » devient attribut de la table
« fils »
• Cet attribut est aussi appelé clé étrangère.
SI 70 A. El Qadi SI 71 A. El Qadi
• Les propriétés de la relation deviennent les attributs de la ii) cas des relations:(cardinalités des objets 0,N ou 1,N)
table « fils ». • Un objet devient 1 table, l’identifiant de l’objet devient la
Exemple : clé de la table.
MCD TABLES MLD RELATIONNEL
CLIENT
• Une relation devient 1 table.
CLIENT (Numcli, Nom)
Numcli • L’identifiant de la relation devient la clé primaire de la table
Nom
1,n
Passer CDE
1,1
COMMANDE
Numcde COMMANDE (Numcde, Date, Numcli*)
Date
SI 72 A. El Qadi SI 73 A. El Qadi
PRODUIT
PRODUIT (Numprd, Libellé)
Numprd
Libellé
SI 74 A. El Qadi SI 75 A. El Qadi
4.1.3 L'identification relative (Agrégation)
A B
0,1 0,1
IDA
Assoc
IDB
• Elle intervient lorsque l'identifiant d'une entité ne suffit pas à
PROP_A PROP_B
l'identifier de manière unique.
• Exemple de cas où cela peut arriver :
On duplique la clé d'une des tables dans l'autre
- On identifie un immeuble par son numéro de rue, or il faut
A (IDA, Prop_A, IDB*) connaître le nom ou l'identifiant de la rue pour trouver
B (IDB, Prop_B, IDA*). l'immeuble.
SI 76 A. El Qadi SI 77 A. El Qadi
SI 78 A. El Qadi SI 79 A. El Qadi
a) Table sur-type et disparition des sous-types 5. MODELE PHYSIQUE DES DONNEES
Première possibilité : intégration des sous-types dans la relation
sur-type (les sous-types disparaissent). La description d’un M.P.D est étroitement liée aux choix
A (IDA, Prop_A, Prop_A1, Prop_A2) techniques informatiques concernant le système de gestion des
Passage d’un M.L.D au M.P.D : * cas 2 : Soit l’association ASSOC présentant les cardinalités
* cas 1 : Soit l’association ASSOC présentant les cardinalités suivantes, et porteuse de propriétés :
suivantes, et porteuse de propriétés : A B
0,n 0,n
A B Assoc
0,1 0,n IDA IDB
Assoc PROP_A PROP_ASSOC PROP_B
IDA IDB
PROP_A PROP_ASSOC PROP_B
SI 82 A. El Qadi SI 83 A. El Qadi
* cas 3 : Soit l’association ASSOC présentant les cardinalités
suivantes : 6. MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS
A
0,1 0,1
B (MCT)
Assoc
IDA IDB
PROP_A PROP_B 1. Introduction
Les traitements constituent la partie dynamique du SI. Ils
A B décrivent les actions à exécuter sur les données afin d’obtenir les
SI 84 A. El Qadi SI 85 A. El Qadi
« Une commande ne sera satisfaite que si la quantité en stock est le M.C.T. permet de représenter les actions menées par l’entreprise
supérieure à la quantité demandée ». pour la réalisation de ses finalités.
Cette règle de gestion se traduit par les traitements d’informations
suivants : Les premières notions qui doivent être considérer pour la
- lire la quantité commandée, construction d’un MCT sont : acteur, organisme (=l’entreprise),
- comparer la quantité commandée avec la quantité en stock, champs d’étude, flux d’information, événement.
- si la quantité commandée est inférieure à la quantité en stock * Le champs d’étude est un sous-ensemble cohérent de
alors la commande est acceptée, l’organisme. Il correspond à l’ensemble des acteurs ayant un rôle
- sinon la commande est rejetée. déterminer.
SI 86 A. El Qadi SI 87 A. El Qadi
2. Graphe des flux (MCC) 2.1 Acteur (ou intervenant)
Le modèle Conceptuel de Communication (MCC) est un C’est un agent capable d’échanger l’information avec les autres
graphique qui détermine les flux qui se transmettent au sein de acteurs. Il est l’auteur d’une ou plusieurs interventions.
l’entreprise dans le but de l’échange des informations. - Acteur interne : est l’acteur qui fait partie du champs d’étude.
- Acteur externe : est l’acteur qui ne fait pas partie du champs
d’étude.
Formalisme :
SI 90 A. El Qadi SI 91 A. El Qadi
3. Les concepts du MCT Exemple :
Les concepts de base : processus, opération et événement, Considérons l’activité de gestion commerciale d’une entreprise.
synchronisation et résultats. Les processus suivants peuvent être identifiés :
- gestion des commandes,
3.1 Processus - gestion des factures,
Le processus consiste un sous-ensemble de l’activité de - gestion de la comptabilité clients.
l’entreprise. La représentation schématique de ces trois processus est la
suivante :
SI 92 A. El Qadi SI 93 A. El Qadi
SI 96 A. El Qadi SI 97 A. El Qadi
Formalisme :
FORMALISME CONCEPTS -Application à l’exemple :
EVENEMENTS DECLENCHANTS EVENEMENT Arrivée d’un patient
Conditions
d’exécution SYNCHRONISATION
OUVERTURE DU DOSSIER
Conditions d’émission
des résultats Dossier ouvert pas d’ouverture de dossier
RESULTAT RESULTAT
SI 98 A. El Qadi SI 99 A. El Qadi
3.3 Evénement Formalisme
Evènement
Définition
L’événement est un fait réel dont l’arrivée à pour effet de
déclencher l’exécution d’une ou plusieurs opérations. Exemple :
Exemple : Candidature
Demande Etude de la retenue
- Arrivée d’une commande d’embauche demande
Candidature
rejetée
- Arrivée d’une demande d’embauche
- Rupture d’un stock
ACTIONS DE RESULTATS
EVENEMENT
L’ENTREPRISE
Evénement interne :
Types d’événements :
C’est un événement qui se produit à la fin d’une opération. A ce
Evénement externe :
niveau il est appelé RESULTAT de l’opération. Ce résultat pourra
C’est un événement qui se produit à l’extérieur des opérations
être lui-même un événement déclencheur d’une autre opération.
du processus et qui interviendra dans le déclenchement d’une
opération du processus.
Exemple : Evénement annonce panne
Synchronisation
de A et B
Etude de la demande
Opération Règles
d’émission des Si poste Si poste
Règle Règle résultats disponible non disponible
d’émission 1 d’émission 2
Candidature Demande
retenue rejetée
Résultat 1 Résultat 2
A Et B
Marchandise Facturation
B
disponible A
A Et B
Facture éditée
Préparation Expédition
Expédition remis
5. Règles de construction d’un M.C.T. R4 : Un événement externe ne peut pas être le résultat d’une
R1 : L’ensemble des règles d’émission d’une opération doit être opération.
complet et disjoint c’est à dire que tous les cas qui peuvent se R5 : Un événement interne doit être le résultat d’une opération.
présenter doivent être étudiés et il ne doit exister qu’une et une seul R6 : Si une synchronisation porte sur la valeur de propriétés, ces
règle d’émission pour chacune d’entre eux. propriétés doivent être portées par les événements participant à la
R2 : Une synchronisation doit toujours pouvoir être réalisée. synchronisation.
R3 : Un processus doit toujours être déclenché par un événement
externe.
A chaque opération du M.C.T. correspondra soit : Exemple : contrôle formel d’un dossier de candidature.
une phase unique dans le MCT Opération du M.C.T. Phase du M.O.T.
Candidature enregistrée Candidature enregistrée
Cas d’une opération pouvant être exécutée complètement par un
. Candidat
poste de travail dans une même unité de temps. . Réglementation
Description détaillée de
toutes les tâches.
Affichage
2.2 Structuration des transactions écran i
suivante.