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Ann. Kinésithér., 1989, t. 16, nO 6, pp.

293-298 NOTE DE TECHNIQUE


© Masson, Paris, 1989

Les techniques de renforcement musculaire


J. PEYRANNE
MCMK Enseignante à l'École de Cadres de Kinésithérapie Bois-Larris, F60260 Lamorlaye

- 2 à 5 répétitions par jour;


L'enseignant en kinésithérapie est souvent - durée de la contraction, 6 secondes maxi-
obligé de retourner à la source même des
mum;
informations qu'il doit dispenser en salle de
- fréquence des séances : 1 par jour et 5 par
cours. Dans sa fonction de transmetteur de
semame;
l'information, il doit avoir accès à une
- recherche de la FM : chaque semaine.
bibliographie complète sur le sujet, et surtout
une bibliographie qui comprenne les auteurs
originaux. TECHNIQUE DE LIBERSON ET ROSE (1958)
Pour cette première parution, nous nous
sommes attachés à une revue complète des
techniques utilisées pour obtenir le renforce- Ils concluent après vérification que c'est la
ment musculaire. première contraction qui contribue à un accrois-
. Les lecteurs intéresséspeuvent nous commu- sement de la force et qu'il existe peu de différence
entre faire effectuer une contraction ou une série
niquer des notes de techniques semblables,
dont la publication rendra service à tous les journalière.
confrères. Ils utilisent 30 % à 50 % de la force maximale
qu'ils évaluent à l'aide d'une jauge électronique
pour une mise en tension musculaire.

Les méthodes de renforcement statique TECHNIQUE DE HISLOP (1963)

TECHNIQUE DE HETTINGER ET MULLER Il propose une durée de contraction plus


(1953) longue et recommande 15 secondes de maintien
au lieu de 6 secondes.

Protocole
TECHNIQUE DE ROHMERT ET MULLER (1963)
a) Recherche de la FM.
FM : charge maximale que le sujet peut Ils utilisent la force limite comme référence.
soulever en statique. Le sujet qui s'entraîne acquiert des gains
Matériel utilisé pour rechercher la FM : le hebdomadaires puis ce gain reste en plateau, le
dynamomètre, la mécanothérapie. muscle alors atteint sa force limite. Ces auteurs
ont remarqué que la moitié des sujets entraînés
b) Modalités d'applications:
- résistance de 33 % à 50 % de la FM; jusqu'à la force limite par des contractions
maximales de 1 seconde peuvent s'améliorer
Tirés à part: Centre de Documentation BLDOC, B.P. 01, entre 10 % et 40 % par des contractions
F60260 Lamorlaye. maximales soutenues 6 secondes.
294 Ann. Kinésithér., 1989, t. 16, nO 6

TECHNIQUE DE RICH (1964) FMM + 1/3


f = ----
2
Si les résistances utilisées sont inférieures à
FMT
25 % ou 30 % de la contraction maximale, les
résultats sont nuls. f=--2
Il préconise alors d'ajouter chaque semaine Cette valeur servira de charge de travail à 11
5 % de hi tension maximale initiale et de
(première séance).
réévaluer cette tension au dynamomètre.
d) Déroulement d'une série d'exercices:
temps de travail = temps de repos =
TECHNIQUE DE TROISIER OU TSI (1971) 6 secondes.
e) Déroulement de la séance de JI.
C'est une méthode de renforcement statique Cette séquence est appelée épreuve de fatigue.
intermittent. Ceci correspond à une succession En utilisant le déroulement décrit ci-dessus,
de phases de travail statique continu suivi de enregistrer le nombre de contractions maximales
phases de repos de même durée. effectuées.
Si nous obtenons de 50 à 80 contractions, c'est
Protocole que la FMM est bonne et que la FMT est vraie.
~ Nous calculons alors la charge de travail de
a) Recherche de la Force Maximale Mesurée la 2e séance f 2 :
Il FMM.
FMT+6%
Il est capital d'échauffer les muscles qui vont f2=--- 2
travailler par quelques contractions statiques
contre une résistance située en dessous de la
Si nous obtenons plus de 80 contractions, c'est
. force critique avant de faire une FMM. que la FMM est trop petite.
Celle-ci s'effectue soit à l'aide du statergomè- Si nous obtenons moins de 50 contractions,
tre (dynamomètre), soit par la méthode essai- c'est que la FMM est trop grande, nous
erreur. Il s'agit de tenir une charge en statique recalculerons alors la nouvelle charge de travail
pendant le temps le plus court possible : un
minimum de 3 essais séparés par 1 minute de
l'aide de la table d'abaque (tableaux 1
et II)

repos permet de choisir la FMM la plus grande.
temps de travail
p = ----------- = 050
b) Calcul de la Force Maximale Théorique temps de travail + temps de repos '
(FMT) : T = 1/10 de minute
FMT = FMM + 1/3 Cette table nous donne T = 1/10 de minute
et le % de FMT correspondant.
c) Calcul de la charge de travail (f) Exemple: le patient a effectué 44 contractions
pour 6 secondes de travail et 6 secondes de repos.
f = 2/3 FMM Nous en déduisons que la FMT est fausse,

2430
184
44
180
480
49
150
42
240
420
73
52
47
108
40
6
1
48
360
300
3
54
29
26
28
12
60210
55
65
82
45
33
36
388 100
20
30
120
92
600
24
22,5
31,5 42
72
0 TABLEAU 1. - Pourcentage de FMT en fonction de temps limite exprimé en dixième de minute, soit 6 secondes.
1
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TABLEAU II. - abaque relevé sur le statergomètre % de FM en fonction du temps limite

T1
Il
49
75
56
51
45
43
42
82
68
66
58
53
76
78
70
65
62
59
54
50
48
85
79
74
71
67
81
57
60
61
52
47
90
92
84
80
69
72
89
64
49
86
94
96
83
77
5 94
20
15
28
34
40
46
14
13
12
19
18
17
16
26
24
22
32
30
38
36
44
10
6
9
3
8
63
55
73
87
2
4
7
86,95
98
88

030

et relevons le % de FMT sur l'abaque, soit 54 %. faire varier les positions de travail de l'articula-
Il suffit alors de recalculer la FMT vraie de tion. Dès que la douleur disparaît par une
l'épreuve en effectuant l'opération suivante : position nous continuons le TSI décrit précé-
demment ;
FMT vraie =f/ 54 %
2) la diminution de la charge se fait dans le cas
FMT vraie =f X"100 où nous ne déterminons pas de position doulou-
54 reuse.

Nous recalculons alors la nouvelle charge de Après quelques séances nous recherchons à
travail de la 2e séance F 2 nouveau la FMD :
FMT vraie + 6 % - si la FMD est identique, nous poursuivons le
F 2 = ------ traitement dans les mêmes conditions;
2
- si la FMD est augmentée, nous augmentons
Il s'agit donc bien d'une méthode par essais
la charge à concurrence de 80 % de ce nouveau
et erreurs, basée essentiellement sur l'apparition
seuil. Nous conservons le principe du plus grand
de la fatigue musculaire locale.
nombre de répétitions possible sans provoquer
de douleur.
f) Déroulement des séances sur une semaine
- 1 séance par jour ;
- 3 séances par semaine;
augmenter la charge de 6 % par séance.
Les méthodes de renforcement dynamique
g) Variantes de la méthode.
En 1982 M. Troisier propose

FMT = FMM + 25 % TECHNIQUE DE DELORME (1945)


2

h) Application du TSI dans les cas douloureux. Cette technique se base sur des pratiques
Troisier définit le seuil comme étant la charge empiriques utilisées par les haltérophiles. Le
minimale qui entraîne la douleur. sujet effectue 7 à 10 séries de 10 mouvements.
Le seuil est évalué en recherchant la FMM, La charge utilisée augmente, pour chaque série,
dans ce cas elle est appelée FMD. d'une charge constante de manière que la charge
manipulée au cours de la dernière série corres-
La musculation peut s'effectuer de 2 façons: ponde à la 10RM. Il n'y a pas de repos entre
chaque mouvement, ce dernier suivra la dernière
1) recul du seuil: la charge est identique, il faut série.
296 Ann. Kin ésith ér., 1989, t. 16, nO 6

TECHNIQUE DE DELORME ET W ATKINS(1948) le moment de la résistance est nul au départ).


Si on ne peut obtenir l'horizontale, il est alors
Protocole
possible d'utiliser un compas d'accouplement.
a) Recherche de la 10RM c) Méthode adaptée pour les muscles inférieurs
lORM : charge maximale que le sujet peut à 3 selon la cotation du testing.
soulever dans l'amplitude complète du mouve- Il faut dans ce cas utiliser la 10 RM.
ment 10 fois de suite. Cette recherche se fait en 10 RM : charge minimale nécessaire pour
charge directe, à l'aide de charges addition- aider le sujet à réaliser le mouvement 10 fois
nelles; poids qui doivent aEgillenter de 500 gr de suite.
par 500 gr pour le membre inférieur et de 250 gr La séance se compose de trois séries:
pour le membre supérieur. La charge doit être - première série: 10 mouvements avec 2 fois
concentrée, stable, équilibrée. Delorme et Wat- la 10 RM,
kins expliquent que la 10RM est équivalente à - deuxième série : 10 mouvements avec 1 fois
environ 80 % de la 1RM. et demie la 10 RM,
1RM : charge maximale que le sujet peut - troisième série : 10 mouvements avec la
soulever 1 fois dans l'amplitude complète du 10RM.
mouvement. Fréquence des séances : 1 par jour.
b) Modalités d'applications: Dès que le mouvement peut être r.éa,lisé sans
3 séries de 10 mouvements sont réalisées; les aide, il faut le faire travailler contre des
deux premières séries servent d'échauffement; résistances progressives.
la troisième série sert de renforcement.
TECHNIQUE DE ZINOVIEFF (1951)
Échauffement :
Elle s'appelle également «Oxford Techni-
- 10 mouvements avec 1/2 de la 10RM
que ».
(première série) ; Il tient compte de la fatigue progressiv~ causée
- 10 mouvements avec 3/4 de la lORM
par des séries successives de la méthode de
(deuxième série). Delorme. Il démarre avec la charge de la 10 RM
et la diminue progressivement, il préconise un
Renforcement : total de 100 mouvements.
- 10 mouvements avec la lORM (troisième
série).
TECHNIQUE DE MAC Go VERN ET
Durée de la contraction: 3 secondes réparties LUSCOMBE (1953)
en :
- contraction dynamique concentrique, lever Il préconise des tests et des séries de
1 seconde; 10 mouvements avec une force décroissante
- contraction statique, tenir : 1 seconde; - première série avec la 10 RM ;
- contraction excentrique, descendre : 1 se- - deuxième série avec 3/4 de 10 M ;
conde; - troisième série avec 1/2 de 10 RM.
Cette technique leur semble adaptée aux sujets
Durée de repos après chaque contraction : faibles.
3 secondes.
Durée de repos après chaque série de 10 mou- TECHNIQUE DE MCQUEEN (1954)
vements : 1 minute.
1 séance par jour Il réalise une enquête statistique auprès des
4 séances par semaine haltérophiles et des culturistes, il décrit le
La 5e séance est réservée à la recherche de « Power System » et le « Bu1k System » :
la nouvelle 10RM. Le segment de membre doit - le Power System des haltérophiles part de la
être à l'horizontale à l'arrivée du mouvement

l
charge initiale de 10 RM et l'augmente à chaque

(résistance maximale à l'arrivée du mouvement, série jusqu'à atteindre la 1 RM. Les utilisateurs
Ann. Kin ésithér., 1989, t. 16, n° 6 297

de cette technique pensent qu'elle favorise des 1 minute, le temps de travail doit être égal au
gains de force et moins d'hypertrophie; temps de repos.
- le Bulk System est destiné plus à l'acquisition
de l'hypertrophie musculaire. Il faut travailler
TECHN1QUE DE COLSON (1969)
3 ou 4 séries avec une résistance égale à la
10RM.
Protocole

TECHNIQUE DE DOTTE (1958)


a) Recherche du « poids test maximale» : il
correspond au poids maximal soulevé 10 fois de
C'est une méthode de renforcement mus- suite sans aucune gêne.
culaire dynamique, également appelée « Résis- b) Déroulement de la première séance :
tance Directe Progressive». Il faut effectuer 10 mouvements avec 25 %
Protocole de la 10RM.
La durée de travail est de 4 minutes réparties
a) Recherche de la 1 RM : en :
lRM: charge maximale que l'on peut soulever - 2 mn de travail,
une seule fois dans toute l'amplitude du mouve- - 2 mn d'arrêt,
ment. "'z· - 2 mn' de travail.
Celle-ci se recherche par des charges addition- Il préconise de faire des périodes de 5 exer-
nelles (500 gr pour le membre inférieur 250 gr CIceS.
pour le membre supérieur).
Le moment résistant doit être maxin~ale à c) Nombre de séances:
l'arrivée du mouvement. - 2 séances par jour
Matériel utilisé pour rechercher la 1 RM : d) Progression :
l'haltère de RDP, le compas d'accouplement. - le temps de travail augmente de 1 minute par
Effectuer quelques mouvements d'échauffe- jour jusqu'à obtenir 15 minutes de travail avant
ments avant la recherche de la 1 RM. la pause et 15 minutes de travail après la pause,
b) Modalités d'applications : c'est-à-dire :
La séance se compose de trois séries de - 15 mn de travail,
10 mouvements; les deux premières séries - 15 mn de repos (plus ou moins),
servent d'échauffement, la troisième série sert - 15 mn de travail.
de renforcement. La pause est variable, elle est fonction de la
Échauffement : fatigue;
- 10 mouvements avec 2/5 de la lRM (première - la charge de travail augmente jusqu'à ce
série) ; qu'elle soit égale à 50 % de la 10 RM.
- 10 mouvements avec 3/5 de la lRM (deu- La charge augmente de 1 livre à 0,5 livre par
xième série). JOur ;
Renforcement: - l'exercice final consiste à soulever 10 fois la
- 10 mouvements avec 4/5 de la lRM (troi- lOM
sième série). - le test s'effectue 1 fois par semaine.
Durée de la contraction:
- Lever : 1 seconde (contraction dynamique
TECHNIQUE DE ROCHER (1958)
concentrique) ;
- Tenir : 1/2 seconde (contraction statique); Protocole
- Retour : 1 seconde et demie (contraction
excentrique). a) Recherche de la RM
Durée de repos après chaque contraction : Il évalue la RM isométrique.
3 secondes Matériel utilisé pour évaluer la RM : le
Durée de repos après chaque série: environ dynamomètre.
298 Ann. Kinésithér., 1989, t. 16, nO 6

Installation du sujet afin d'évaluer la RM Dans ce cas la durée totale du mouvement


le membre est en suspension, le dynamomètre ne sera que de 6 sec.
est fixé au départ du mouvement (en flexion
maximum pour tester les extenseurs) ; le grand Références
axe du dynamomètre est placé perpendiculaire- 1. COLSON J. - Progressive exercise therapy in rehabilitation
ment à l'axe du membre dans sa position de and physical education. Bristol, John Wright & Sons, 2nd 00,
1969.
départ. 2. DELORME T. L., WATKINS A. L. - Technics of progressive
Rocher préconise d'effectuer 3 essais et de resistance exercise. Arch Phys Med, 1948, 29, 263-273.
faire la moyenne des 3, ce qui permet d'obtenir 3. DOlTE P. - Résistances directes progressives. ln « Kinési-
la RM la plus rationnelle. thérapie active : Exercices thérapeutiques - 2 - Mécano-
graphie-Poulietherapie-Renforcement musculaire ». Plas
b) Modalités d'application: F. et Hagron E., Paris, Masson, 89-113, 1979.
Il utilise une suspension axiale et un système 4. EFrHER G. - Principes et techniques de musculation. EMC
Kinésithérapie, 26055, AIO.
résistant poids-poulie. 5. GRA VEL D. Le renforcement musculaire. Une interprétation
Le nombre de mouvements est fonction du personnelle de la littérature. Physiother (Can), 1972, 24,
190-197.
but recherché, si on désire muscler, il préconise
6. GRA VEL D. - Le renforcement musculaire. Une interpréta-
de choisir un nombre d'exercices restreint avec
tion personnelle de la littérature. 2e .partie. Physiother (Can),
une charge très forte. Il décrit cependant un 1974, 26, 5-11.
protocole de base qui peut bien entendu être 7. HETTINGER T., MULLER E. A. - Muskelleistung und
modifié à volonté afin d'atteindre le but désiré. Muskeltraining. Arbeitsphysiol, 1953, 15, 111-126.
8. HISLOP H. J. - Response ofimmobilized muscle 10 isometric
- Échauffement : 20 mouvements avec 112 exercise. Phys Ther, 1964, 44, 339-347.
de la RM. 9. LEROY A., PIERRON G. - Kinésithérapie active.- ln
- Musculation : 10 mouvements avec 3/4 de « Kinésithérapie - l- Principes» Genot C. et coll., Paris,
Flammarion Médecine Sciences, 145-148, 1983.
la RM ou même 2/3 ou encore 4/5 de la RM. 10. LmERSON W. T., AsA M. M. - lsometric exercises. ln
L'auteur adapte la technique dans le rythme, « Therapeutic exercise» Licht S., New Haven, Licht,
la durée, la fréquence des exercices. Le rythme 826-835, 1958.
11. McQUEEN I. J. - Recent advances in the technique of
et la durée seront conditionnés par l'état du progressive resistance exercise. Br Med J, 1954; 2, 1193-
muscle et la résistance opposée. 1198.
Le rythme : il considère qu'un aller et retour 12. PLAS F. et coll. - Renforcement et entraînement musculaire.
EMC Kinésithérapie, 26055AlO.
comporte : 13. RICH G. Q., BALL J. R., WALLIS E. L. - Effects of isometric
- Tl = temps d'aller, contraction dynamique training on strength and transfer of effect to untrainOO
antagonists. J Sports Med Phys Fitness, 1964, 4, 217-220.
concentrique, 14. ROCHER C. - Rééducation psycho-motrice. Exercices en
- T2 = arrêt, contraction statique, suspension et poulie-thérapie. Paris, Masson, 1958.
- T3 = retour, contraction dynamique excen- 15. TROISIER O. - Évaluation de la force musculaire maximale
. par les épreuves de fatigue musculaire locale. Ann Med Phys,
trique, .1976, 19, 309-327.
T4 = repos 16. TROISIER O. - Méthode d'évaluation et renforcement de la
Tl = T2 = T3 force et de la puissance musculaire. Cah Kinésither, 1982,
T4 = Tl + T2 + T3 93, 7-44.
17. VIEL E. - Les différentes méthodes de renforcement
La durée absolue de cet exercice à 4 temps musculaire. Ann Kinésither, 1975, 2, 377-383.
18. VIEL E. et coll. - Musculation et entretien musculaire du
doit être d'au moins 10 secondes.
sportif Paris, Chiron, 1984.
Variante possible dans le rythme 19. ZINOVIEFF A. N. - Heavy-Resistance exercises; the
T2 = 0 donc T3 succède à Tl j
« Oxford Technique ». Br Phys Med, ·1951, 14, 129-132.

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