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Cours 4

PAUL VERLAINE

= la poésie de la lanqueur ( illustre une direction très importante pour le symbolisme)

Langueur= langoare = attitude d’attente, de repos, de passivité permanente,


d’évanescence( formes qui disparaissent grâce à la sensation)

Il y a une loi qui fonctionne : la loi d’atténuation:

- L’image de la femme perdue


- Le surréalisme propose une image particulière de la femme, elle se perd dans irréel et
dans le rêve => anticipation d’esthétique= surréalisme. Le surréalisme propose une image
particulière de la femme.

L’importance dans la création Varleine : le souvenir et le retour

<<Poèmes Saturniens>> Saturne= le mélancolique, le taciturne. Verlaine a crée un univers


nouveau différent d’univers romantique. Il ne s’agit plus des poésies de description, mais des
suggestions.

EX. <<Chanson d’automne>> monotone, suffocant. => texte célèbre de Verlaine.

La nature c’est pas la nature romantique, mais décoratif, une nature imprécis marque par la
sensation musicale; La monotonie du texte est voulu, s’oppose à la souffrance romantique.

Dans ce univers, le poète se trouve balancé, résulte une impassibilité penchant vers l’abime
(prapastie)., vers la destruction, vers la morte. La présence du poète est éphémère, diffuse,
précaire. L’unique certitude est celle du passage.

<<Les fêtes galantes>>, << La bonne chanson>> . il n’emploi des couleurs forts, mais de
nuances-> technique picturale-> l’impressionisme= peindre de la nuance, les choses ne sont pas
fixes.

Un recueil tout à fait spécial <<Romances sans paroles>>. Le titre est suggestif, on se propose
de se passer du langage des mots. Les paroles ne sont pas si importantes, mais la musicalité des
poèmes est plus importante.

Techniques :

 Du vague, du l’imprécis
 Sensation de lanqueur, de fatigué. Ce qu’il est étonnant est le fait qui se présente
seulement les effets, jamais les causes.
 Principe d’indétermination ( aussi trouve à Proust)
 Le poème clé c’est un poème sans titre ,, ce cœur qui s’écœure’’
 Le sentiment de :lanqueur , de souffrance, de vide intérieure.

Le poète ne vit pas, il vivote(traieste fara sa stie ca traieste, exact ca o planta). Une sorte
d’impassibilité apparente qui fonctionne comme trompe d’œil -> on peut distinguer une double
indifférence : à l’amour, à l’haine ( ambele il lasa rece)

Cette vision verlainienne de la souffrance se détacher de la romantique ou la souffrance à une


motivation, mais la souffrance n’à pas une cause/motivation La souffrance chez Verlaine est
toujours pure, absolue, abstrait, illogique, sans raisons, un deuil sans cause.

L’art poétique de Verlaine contient ,,Jadis et naguere’’(odionioara si deunazi). Se transforme en


MANIFESTE. Nu se va ma folosi arta poetica, ci manifest.

L’art poétique contient tous les principes de la poésie symboliste :

1) De la musique avant toute chose – principe de la musicalité


2) Le verbe doit être vaque-> technique impressionnante = chanson grise (ni noir, ni
blanche) suppose l’indétermination= indecisul se alatura decisului, ils se joint.
3) Un rejet total des artifices rhétoriques -> prend l’éloquence et tors lui le cou (ia elocinta si
rupe-i gatul)

Pourquoi ? L’éloquence, pour Verlaine, est associé à qqch de persuader , convaincre. Il ne veut


pas convaincre son publique, il s’agit de montrer son cœur mis à nu. -> principe de sincérité
sans bornes.

La pointe assassine est dégoutante (poanta asasina este degustatoare). Il ne veut pas montrer un
conclusion, est inutile.

4) Il va reprendre l’idée de la musique = ,, La musique encore est toujours et tout le reste


est littérature’’ La littérature est vue comme mauvais, la littérature n’est pas musique, à
un canon, a des régles , principe de normativité, du conformisme. L’avangarde a nommé
un revue <<Littérature>> comme rejet du conformisme. Verlaine a préparé le terrain de
la modernité.

STEPHANE MALLARME.

La poésie devient un art total, ultraraffinée, aboutissement de la recherche permanente d’un


discours qui mène à l’hermétisme (difficile à comprendre)=poésie très dense, très profonde.
L’ensemble de la création cache une grande tourmente intérieur (agitation, trouble, angoisse,
inquiétude)

Tourmente intérieur= vient toujours d’un excès de vitalité.( difficile à exprimer)


Thèmes et motifs mallarméens:

1) L’angoisse de l’écriture ( même type d’angoisse et solution comme Proust) La


solution : l’écriture même. = écriture qui permet l’extase, l’apparition d’une autre
ordre de l’univers- on ne peut se sauver par la création- les meilleurs idées – le projet
du Grand Livre
2) A savoir le complexe de la feuille blanche- du projet utopique de Grand Livre ( care
ar contine toata gandirea lui-nu a fost realizata)
3) Le caractère obscur de l’écriture. Le livre <<L’obscur>>, Charles Mauron identifie 2
types d’obscurité :
a) obscurité de l’étrange
b) obscurité du chaos
La différence : a = toujours une obscurité provisoire et personnelle
b= est générale et définitive.
Mallarmé est toujours entre 2 types d’observation.

Une poésie d’un possible/ d’une possibilité – Avant la morte, il écrira un texte <<Un coup de dès
jamais n’abolira le hasard>> (aruncare de zaruri). Le résultat est bien clair, mais chez Mallarmé,
parler signifie un coup de dès.

Le poète, par le choix qu’il fait, il ne diminue pas l’entropie, mai l’augmente. Ca sa provoace
publicul sa vada mai multe sunsuri, pe care cititorul n-ar putea sa le citeasca. Sensurile nu se
exclud, ci coexista.= caractherique generale- des senses multiples qui ne s’excluent pas, se
complètent, coexistent.

Par exemple, le poeme l’Azur- le topo romantique. Dans ce cadre, on voit le poète impuissant
qui modi (blesteama) son génie.

Le ciel est mort, la cervelle(cerebelus, materie cenusie) est vide – il blocheaza.

L’âme même est vide ,,Ou fuir? ‘’ le réponse : ,,dans la révolte‘’

,, je suis hante’’ = bantuit.

Exemple

A) ,, Brise marine’’. Versul cheie l-a obsedat pe Marin Preda


,, la chair est triste hélas et j'ai lu tous les livres’’. Il ressent jusqu'à son cœur la tristesse=
l’incapacité de connaitre plus.=toata cunoasterea este ,,cunoscuta’’, a citit toate cartile, se
simte neputinciios, vrea sa stie si mai mult.

La clarté déserter (vide)

Le papier est vide – o apara propria ei albeata. Cuvantul lui nu e la inaltimea acelui alb.
Un sorte de handicap, il est incapable de dépasser la barrière de la page blanche-la métaphore de
l’échec. Il n’arrive pas exprimer, il n’à pas aucun sortie. Le désir de fuir= une fuite de
l’exotisme (qui fait l’écho du bateau ivre) n’est pas du tout pittoresque, mais un exotisme de
l’angoisse

B) ,, Salut’’

Rien, cette écume, vierge vers


À ne désigner que la coupe;
Telle loin se noie une troupe
De sirènes mainte à l'envers.

Nous naviguons, ô mes divers


Amis, moi déjà sur la poupe
Vous l'avant fastueux qui coupe
Le flot de foudres et d'hivers ;

Une ivresse belle m'engage


Sans craindre même son tangage
De porter debout ce salut

Solitude, récif, étoile


À n'importe ce qui valut
Le blanc souci de notre toile.

- L’imaginaire de la mer- un poème de la navigation.

- Ecume des vagues = spuma valurilor.

- Ivresse de la navigation, de la mer.

- La toile d’une navire

1) poème de la navigation
2) paradigma unui banchet.
Ecume- champagne
Toile- fata de masa

Salut : 1=salut peste timp catre cititori

2=mantuire.
3) Poème de l’écriture.
Ecume-l’ encre
Ivresse= état spécial de l’acte créateur.
Toile= un équivalent à la page blanche.
 Pluralité des senses, pas un polysémie
 Beaucoup de registres possibles.

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