Documente Academic
Documente Profesional
Documente Cultură
Solutions de l’exercice1
2 3 6 2× 3 3× 2 12 3× 3 2× 2 13
1) p(A) = × = p(B) = + = p(C) = + =
5 5 25 25 25 25 25 25 25
2) a – On choisit l’urne U 1 et on tire un jeton blanc ou on choisit l’urne U 2 et on tire un
jeton blanc.
Soient : D l’événement « tirer un jeton blanc » , U 1 : « tirer un jeton de l’urne
U 1 » et
U 2 : « tirer un jeton de l’urne U 2 » .
on a D= (U1 Ι D) Υ(U 2 Ι D) avec (U1 Ι D) et(U2 Ι D) incompatibles.
la probabilité de tirer un jeton blanc est donc
1 3 1 2
p(D) = p( U 1 ∩D) + p( U 2 ∩D) = p( U 1 ).p(D/ U 1 ) + p( U 2 ).p(D/ U 2 ) = × + ×
2 5 2 5
1
= .
2
3
p( U 1 ∩ D) 10 3
b) p( U 1 /D) = = =
p(D) 1 5
2
1
3) X(Ω) = { 1 , 2, … , n }. X suit une loi binomiale de paramètres n et p = .
2
k n−k n
1 1 1
a) k ∈ { 1 , 2, … , n } : p(X = k ) = C k
n =C
k
n
2 2 2
1 n 1 1 n
b) E(X) = n × = V(X) = n × × =
2 2 2 2 4
n n
1 1
c) p(X = 2) = C . Comme C n2 ≥ 1 alors p(X = 2) ≥ .
2
n
2 2
Solutions de l’exercice2
x −∞ 0
+∞
f ’(x) + 0 −
f
−∞ 1 0
f (x) 1
b) lim = lim + 1e − x = +∞ .
x→−∞ x x→−∞
x
C admet au voisinage de −∞ une branche parabolique de direction (O, j ).
2) a) vn = ∫
n
0
f ( x )dx = ∫ 0
n
(1 + x )e − x dx = [ − (1 + x )e ] + ∫ −x n
0
n
0
e − x dx = 2 − ( 2 + n) e − n .
b) vn =g(n) avec g(x)=2-(2+x)e-x
or lim g(x)=2 donc lim v n = 2.
x→ + ∞ n→+∞
n n n
∑∫
k
3) vn = ∫ 0
f ( x )dx =
k =1
k −1
f ( x )dx = ∑u
k =1
k .
4) a) k ∈ IN* : uk = ∫
k
k −1
f ( x )dx = ∫
k
k −1
(1 + x )e − x dx = [ − (1 + x )e ]
−x k
k −1
k
+ ∫ e − x dx
k −1
[
= − (1 + x )e ]
−x k
k −1 + −e [ −x k
]
k −1 = (e - 1) k e − k + (e - 2) e − k
n n n n
b) vn = ∑u
k =1
k = ( e −1 ) ∑ ke
k =1
−k
+ (e − 2) ∑e
k =1
−k
= ( e −1 ) ∑ ke
k =1
−k
+ (e −
1 − e −n
2)× e − 1 .
1 − e −1
e−2
( )
n
vn = ( e −1 )
k =1
∑ ke e −1
1 − e −n
−k
+
e−2 e−2
1
( 1
)
n
−k e
5) S n = ∑k e
k =1
=
e −1
vn −
e −1
1 − e − n . lim S n =
n→+∞
2 −
e −1
=
e −1 (e − 1)2
Solutions Du Problème
A–
∧ ∧
1 )a- L’angle de r est FE , ED ≡ FE , FA ≡ π/2 [2π].
Le centre de r est O : point d’intersection des médiatrices de [FE] et [ED].
b- O est le milieu de [EA], les symétries orthogonales conservent les milieux, donc
O1 est le
milieu de [EB]. EOF O1 est un carré.
f est la composée d’un déplacement et d’un antidéplacement, donc f est un
antidéplacement.
De plus f(O) = ro S (OO1 ) (O) = r(O) = O et f(E) = ro S (OO1 ) (E) = r(F) = E et O et E
sont deux points distincts, donc f est la symétrie orthogonale d'axe ( OE).
( ou encore, on écrit r = S ( OE ) oS ( OO1 ) , donc f = ro S (OO1 ) = S ( OE ) oS ( OO1 ) o S (OO1 ) =
S ( OE ) )
2) a- r’ est la composée d’une translation et d’une rotation d’angle − π/2, donc
r’ est une rotation d’angle −π/2.
b- r’(O) = t OO o r −1 (O) = t OO (O) = O1 .
1 1
∧
Comme FO = F O1 et FO , FO1 ≡ −π/2 [2π] , alors d’après la propriété
caractéristique,
r’(F) = F , donc F est le centre de r’.
3) a- [DF] et [O O1 ] n’ont pas la même médiatrice, donc g n’est pas une symétrie
orthogonale, elle est alors une symétrie glissante.
g(D) = F , donc le milieu O de [DF] appartient à l’axe de g.
g(O) = O1 , donc le milieu de O O1 appartient à l’axe de g.
L’axe de g est alors la droite (O O1 ).
O est un point de l’axe de g et g(O) = O1 donc OO1 est le vecteur de g,
Et par suite g = t OO o S (OO1 ) = S (OO1 ) o t OO .
1 1
b- g(M) = r' (M) ⇔ t OO o S (OO1 ) (M) = t OO o r −1 (M) ⇔ S (OO1 ) (M) = r −1 (M) ⇔
1 1
ro S (OO1 ) (M) = M
⇔ f(M) = M
c- g(M) = r' (M) ⇔ f(M) = M . Ainsi l'ensemble des points M tels que g(M) = r' (M)
est la droite (OE).
B–
∧ ∧ FE 1
1) a- L’angle de s est AB , FE ≡ FB , FE ≡ π/2 [2π]. Le rapport de s est =
AB 2
b- ro h 1 (A) = r(A) =F et ro h 1 (B) = r(F) = E .
A, A,
2 2
donc s et ro h 1
sont deux similitudes directes qui coïncident en deux points
A,
2
distincts ,
par suite s = r o h 1
A,
2
∧
2) a- s est de centre Ω et d’angle π/2, et s(A) = F donc ΩA , ΩF ≡ π/2 [2π], et par
suite
∧
Ω appartient au cercle de diamètre [AF] . de même s(B) = E donc ΩB , ΩE ≡
π/2 [2π],
et donc Ω appartient au cercle de diamètre[BE]
Comme s(A) = F alors F n’est pas le centre de s. Par suite Ω est le second
point d’intersection
( autre que F ) des deux cercles de diamètres [AF] et [BE].
b- s(E) = r o h 1 (E) = r(O) = O
A,
2
sos est une similitude directe de centre Ω, et d’angle π/2 + π/2 = π. Or sos(B) =
s(E) = O
∧
donc ΩB , ΩO ≡ π [2π] , et donc Ω, O et B sont alignés.
3) a- B1 = s( B 0 ) = s(B) = E et B 2 = s( B1 ) = s(E) = O.
∧
b- s est d’angle π/2 ; s( B n −1 ) = B n et s( B n ) = B n +1 , donc B n −1 B n , B n B n +1 ≡ π/2
[2π]
par suite B n −1 B n B n +1 est rectangle en B n
sos est de centre Ω et d’angle = π ; comme sos( B n −1 ) = s( B n ) = B n +1
∧
alors ΩB n −1 , ΩB n +1 ≡ π [2π] donc les points B n −1 , Ω et B n +1 sont alignés.
c- B n +1 est le point d’intersection de la perpendiculaire en B n à ( B n Bn−1 ) avec
(Ω Bn −*1 ).
B B
4) a- s est de rapport 1/2 ; s( B n −1 ) = B n et s( B n ) = B n +1 donc n n +1 = 1/2 ; par
B n −1 B n
suite d n
= 1/2
d n −1
C-
x 2 y2
1) Si dans un repère orthonormé, l’équation réduite de l’ellipse est + =1 ( a > b
a 2 b2
> 0 ) alors
c 2 = a 2 − b 2 , et donc a 2 = c 2 + b 2 et on a
IF = a, IJ = b et IG = c. ( G est l’un des foyers de l’ellipse)
donc JG 2 = JI 2 + IG 2 = b 2 + c 2 = a 2 par suite JG = a. ainsi :
Le cercle de centre J et de rayon IF coupe (AF) en G 1 et G 2
2)a- G 1 est un foyer,
Le cercle de diamètre [AF] est le cercle principal de l’ellipse.
Ω appartient à ce cercle et (Ω G 1' ) est perpendiculaire à (Ω G 1 )
ainsi le projeté orthogonal du foyer G1 sur (Ω G 1' ) est le point Ω du cercle principal.
donc (Ω G 1' ) est tangente à l’ellipse.