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I Prolégomènes méthodologiques
Histoire et idées linguistiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. La pratique de l’histoire des idées linguistiques . . . . . . .
. Disciplinarisation de l’histoire des idées . . . . . . . . . . .
. La temporalité et l’histoire des idées . . . . . . . . . . . . .
Histoire et épistémologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
. Sciences, histoire, épistémologie . . . . . . . . . . . . . . . .
. Les principes théoriques de l’objectivité . . . . . . . . . . .
. Les principes pratiques de l’objectivité . . . . . . . . . . . .
TABLE DES MATIÈRES
A Annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
B Annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
C Annexe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Prolégomènes
méthodologiques
Chapitre
1
Histoire & idées linguistiques :
les enjeux de la rétrospection
Sommaire
. La pratique de l’histoire des idées linguistiques . . . .
.. L’objet théorique de l’histoire des idées . . . . . . .
.. HIL / objets (théoriques) : un rapport paradoxal .
.. Le travail de l’historien . . . . . . . . . . . . . . . .
. Disciplinarisation de l’histoire des idées . . . . . . . .
.. Les usages de l’histoire dans les idées linguistiques
.. L’exemple du Cours de linguistique générale () .
.. La naissance de l’histoire des sciences du langage .
. La temporalité et l’histoire des idées . . . . . . . . . . .
.. Chronologie, histoire, temporalité . . . . . . . . . .
.. Histoire et historicité . . . . . . . . . . . . . . . . .
.. HIL : temporalité, explication, causalité . . . . . .
. La pratique de l’histoire des idées
CHAPITRE . HISTOIRE, IDÉES LINGUISTIQUES, RÉTROSPECTION
Première conséquence
Deuxième conséquence
L’objectif de la commensurabilité
Sommaire
. Sciences, histoire, épistémologie . . . . . . . . . . . . .
.. Les différents types d’épistémologie . . . . . . . .
.. Science et épistémologie : un rapport ambivalent .
.. Le cas des sciences du langage . . . . . . . . . . . .
. Les principes théoriques de l’objectivité . . . . . . . .
.. Une définition phénoménologique de l’objet . . . .
.. La neutralité épistémologique . . . . . . . . . . . .
.. Un historicisme modéré . . . . . . . . . . . . . . .
. Les principes pratiques de l’objectivité . . . . . . . . .
.. Positionnements méthodologiques . . . . . . . . .
.. Histoire et représentations de l’histoire . . . . . . .
. Sciences, histoire, épistémologie
CHAPITRE . HISTOIRE ET ÉPISTÉMOLOGIE
. Par exemple : les pré-conceptions (d’ordre psychologique subjectif et/ou collectif)
relatives à la structure du domaine d’objets réels (d’ordre ontologique).
Sommaire
. Anthropologie et savoirs . . . . . . . . . . . . . . . . . .
.. « Représenter, connaître, savoir[s] » . . . . . . . . .
.. Les trois composantes des savoirs (scientifiques) .
. L’émergence des savoirs linguistiques . . . . . . . . . .
.. La question des conditions d’apparition . . . . . .
.. Trois réponses possibles . . . . . . . . . . . . . . .
. De l’épilinguistique au métalinguistique . . . . . . . .
.. Le processus d’externalisation . . . . . . . . . . . .
.. L’activité épilinguistique . . . . . . . . . . . . . . .
.. La compétence métalinguistique . . . . . . . . . .
. L’hypothèse technologique . . . . . . . . . . . . . . . .
.. Objets techniques, outils et savoirs linguistiques .
.. Les révolutions « techno-linguistiques » . . . . . .
.. Le cas de l’écriture : un outil, un instrument . . . .
. Anthropologie et savoirs
CHAPITRE . DIMENSIONS ANTHROPOLOGIQUE ET TECHNOLOGIQUE
L’approche socio-historique
L’explication technologique
. « Pour que naisse véritablement un savoir linguistique encore faut-il que la mise
du langage en position d’objet, qui est un effet automatique de l’écriture, s’accompagne,
sinon toujours d’une discussion utilisant des termes métalinguistiques, au moins d’une
indication claire que l’on est en présence d’un traitement métalinguistique. » (A. Cavi-
gneaux – cité par Auroux, a : )
Deuxième partie
La “querelle” de l’arbitraire
du signe
Chapitre
4
La localisation
historique du débat
Sommaire
. La mise en débat de l’arbitraire . . . . . . . . . . . . . .
.. Nature et statut du débat . . . . . . . . . . . . . . .
.. La structure du débat . . . . . . . . . . . . . . . . .
.. Les prémices du débat . . . . . . . . . . . . . . . .
. L’horizon de rétrospection du débat (e s.) . . . . . . .
.. Contexte biblio-chronologique . . . . . . . . . . .
.. Contexte idéologico-philosophique . . . . . . . . .
.. Contexte institutionnel et scientifique . . . . . . .
. Les paradigmes théoriques (e s.) . . . . . . . . . . . .
.. Le naturalisme de la grammaire comparée . . . . .
.. Le positivisme des néogrammariens . . . . . . . .
.. Le paradigme socio-historique . . . . . . . . . . . .
. La mise en débat de l’arbitraire
CHAPITRE . LA LOCALISATION HISTORIQUE DU DÉBAT
La réaction anti-sensualiste
La contre-réaction culturaliste
Sommaire
. Principe de la sémiologie . . . . . . . . . . . . . . . . .
.. Les problèmes de la langue-nomenclature . . . . .
.. Le rejet du nomenclaturisme . . . . . . . . . . . . .
. Le modèle sémiotique binaire . . . . . . . . . . . . . . .
.. La duplicité des unités linguistiques . . . . . . . .
.. Le principe de l’arbitraire du signe . . . . . . . . .
. Du signe au système de la langue . . . . . . . . . . . . .
.. Unité des unités sémiologiques et système-langue
.. La valeur des signes dans le système de la langue .
Rappel (Circonstances éditoriales) Intrication singulière : ré-
daction des éditeurs (Bally, Sechehaye) et notes des auditeurs
(Riedlinger, Gautier,. . .) ⇐ Mise en évidence : travail philolo-
gique (Engler)
CHAPITRE . LE PRINCIPE SÉMIOLOGIQUE SAUSSURIEN
scientifique de la linguistique ?)
· Prise de position. Exclusion de la question de la référenciation
Concept
Image
acoustique
. « Bien que le signifiant et le signifié soient, chacun pris à part, purement différen-
tiels et négatifs, leur combinaison est un fait positif [. . .]. Dès que l’on compare entre
eux les signes – termes positifs – on ne peut plus parler de différence ; [. . .] deux signes
comportant chacun un signifié et un signifiant ne sont pas différents, ils sont seulement
distincts. Entre eux il n’y a qu’opposition. Tout le mécanisme du langage [. . .] repose sur
des oppositions de ce genre et sur les différences phoniques et conceptuelles qu’elles im-
pliquent. » (Saussure, : -)
. Point de vue de la production : différences/négativité (signifiants et/ou signifiés) >
oppositions (unité-totalité des signes) ; point de vue sémasiologique : oppositions (unité-
totalité des signes) > différences/négativité (signifiants et/ou signifiés).
. Idéologie sous-jacente : plus une langue est « grammaticale », plus elle est motivée ;
plus une langue est « lexicologique », plus elle est arbitraire (Saussure, : ).
Sommaire
. L’évaluation du principe saussurien . . . . . . . . . . .
.. Le sens saussurien de l’arbitraire du signe . . . . .
.. L’erreur de la conception saussurienne . . . . . . .
.. Le motif de l’erreur de Saussure . . . . . . . . . . .
. Le nature du signe selon Benveniste . . . . . . . . . . .
.. Signe et nécessité chez Benveniste . . . . . . . . . .
.. « La zone de l’“arbitraire” » chez Benveniste . . . .
. Les preuves de la nature du signe . . . . . . . . . . . .
.. Mutabilité et immutabilité du signe . . . . . . . . .
.. La notion de valeur et l’arbitraire . . . . . . . . . .
.. La notion de valeur et la nécessité . . . . . . . . . .
Présentation analytique de la structure du texte
Incipit (§). L’arbitraire en héritage du Cours de Saussure ()
• Objets. Question de l’essence du langage, des modalités du discours,. . .
• Statut. Point de départ / passage obligé de toute réflexion linguistique
• Usages. Évidence apparente et/ou invocation constante
Thème. « La nature du signe linguistique » : critique du modèle saussurien
Problématique (§). Le signe linguistique est-il arbitraire ?
Enjeux (§§,). Détermination du sens du principe saussurien (← Loca-
lisation du principe) : évaluation de la cohérence du principe et de sa
validité (selon « la nature de [ses] preuves »)
CHAPITRE . LE SIGNE LINGUISTIQUE CHEZ BENVENISTE
Sommaire
. Contre l’arbitraire du signe linguistique . . . . . . . .
.. Une stratégie d’argumentation polémique . . . . .
.. Motif théorique du rejet de l’arbitraire du signe . .
.. La motivation psychologiste contre l’arbitraire . .
. Pour l’arbitraire du signe linguistique . . . . . . . . . .
.. L’enjeu de la pensée saussurienne . . . . . . . . . .
.. Le système théorique saussurien . . . . . . . . . .
.. La thèse des opposants et l’anti-thèse des partisants
. Un problème philologique ? . . . . . . . . . . . . . . . .
.. Les mobiles de la “querelle” . . . . . . . . . . . . .
.. La question de l’erreur et de la confusion . . . . .
.. La question de l’auto-contradiction . . . . . . . . .
. Contre l’arbitraire du signe linguistique
CHAPITRE . POUR OU CONTRE L’ARBITRAIRE DU SIGNE
Le nerf de la “querelle”
Troisième partie
La notion de « généralité »
Chapitre
8
La généralité de la grammaire
générale aux –es siècles
Sommaire
. Les principes philosophiques . . . . . . . . . . . . . . .
.. Le modèle sémiotique général . . . . . . . . . . . .
.. L’hypothèse du langage-traduction . . . . . . . . .
.. Le statut théorique du langage . . . . . . . . . . . .
. Le programme théorique classique . . . . . . . . . . . .
.. Grammaires générales / particulières . . . . . . . .
.. Deux types de généralité . . . . . . . . . . . . . . .
.. Deux modes de généralisation . . . . . . . . . . . .
.. La grammaire générale, la raison, les langues . . .
. La théorie de la proposition . . . . . . . . . . . . . . . .
.. Opérations de l’esprit, langage, signe . . . . . . . .
.. La structure de la proposition . . . . . . . . . . . .
.. Grammaire et logique . . . . . . . . . . . . . . . . .
L’horizon de rétrospection
L’émergence des considérations générales sur le langage
CHAPITRE . LA GÉNÉRALITÉ (–es S.)
Définition . (Les mots) Mots ≡ signes des idées : « sons dis-
tincts et articulés dont les hommes ont fait des signes pour si-
gnifier leurs pensées. » (Arnauld et Lancelot, [] : )
Le traitement de la copule
· Phrases type. « L’homme est mortel » versus « Les hommes sont mé-
chants » : variation de l’extension du terme “homme” en fonction de
l’article (proposition universelle / proposition particulière) ; « Le Roi
. Remarque (Beauzée). Extensionnalisation de la loi de Port-Royal : « l’étendue d’un
terme n’est plus constituée par les inférieurs d’un terme général, c’est-à-dire aussi bien
des espèces que des individus, mais uniquement par des individus. Les classes déno-
tés par les termes sont chez Beauzée des classes d’individus. » (Colombat, Fournier et
Puech, : - – en réf. à Auroux, b).
Sommaire
. La généralité au tournant du e siècle . . . . . . . . .
.. Horizon de rétrospection et cadre historique . . .
.. L’hétérogénéité de la notion de généralité . . . . .
.. L’unification de la notion de généralité . . . . . . .
. Trois variantes du thème de la généralité . . . . . . . .
.. Le fondationnalisme saussurien . . . . . . . . . . .
.. L’extensivisme de Meillet . . . . . . . . . . . . . . .
.. Interdisciplinarité et transdisciplinarité . . . . . .
. Meillet, Saussure et la généralité . . . . . . . . . . . . .
.. Le programme de Meillet (-) . . . . . . .
.. Le Cours () comme paradigme . . . . . . . . .
. La généralité au tournant du e siècle
CHAPITRE . LA GÉNÉRALITÉ (–es S.)
Sociologisme et interdisciplinarité
L’objet de la généralité
La généralité, sa discipline
. Nota bene. Les deux extraits proviennent de relation d’entretiens avec Saussure,
respectivement, par A. Riedlinger (en date du janvier ) et L. Gautier (en date du
mai ).
Sommaire
. Les acceptions de la généralité (-es s.) . . . . . . .
. La généralité comme motif de discorde . . . . . . . . .
. L’unité problématique de la linguistique . . . . . . . .
. Les acceptions de la généralité (-es s.)
· La généralité des grammaires générales. Extraction et/ou abstraction
des structures noétiques (universelles et nécessaires) sous-jacentes à
l’organisation syntaxique de toutes les langues (particulières, contin-
gentes et arbitraires)
· La généralité de la linguistique générale. Thème de dispersion de re-
cherches théoriquement unifiées (i.e., conception et traitement du lan-
gage comme abstraction) : mise en jeu de la disciplinarisation de la lin-
guistique comme science humaine
CHAPITRE . CONCLUSION : LA LINGUISTIQUE ET LA GÉNÉRALITÉ
ANNEXE A. ANNEXE
reste tout le temps réglé par une loi -, Godel -.
physique’ . ; ‘le concept sœur n’est
lié par aucun rapport intérieur avec la . arbitraire (adj.) = immotivé.
suite de sons qui forme l’image acous- ‘Une partie seulement des signes seront
tique correspondante’ ) et le signe radicalement arbitraires, chez d’autres
par rapport à l’objet (extralinguistique, signes intervient un phénomène au
voir supra ) mais → objet, chose nom duquel on peut distinguer [des
peut valoir signifié, et → signe signi- degrés] d’arbitraire. [. . .] Le lien fon-
fiant, ainsi : ‘il n’y a pas de rap- damental entre signe et idée arrive à
port entre le signe et la chose à dési- être relativement motivé - >
gner’ et , ‘objet à désigner’ ; – → E /. – l’arbitraire relatif . –
système, valeur. – Engler CFS , , Godel
Rudolf Engler (). Lexique de la terminologie saussurienne.
Utrecht / Anvers : Spectrum : -
D [suite de ] SM III J III C [suite de ]
Le signe linguistique est arbitraire. Le signe linguistique est ar- Le signe linguistique est arbitraire. Le
[] Le lien qui relie une image acous- bitraire. Cette phrase même pour- lien qui relie une image acoustique don-
tique donnée avec <un> concept déterminé rait évoquer la question de termi- née avec un concept déterminé et qui lui
et lui confère valeur de signe est lien radi- nologie et que nous tranchons par : confère sa valeur de signe est radicalement
calement arbitraire. [suite ] Le lien qui unit au concept l’image acous- arbitraire. [suite ]
tique. [suite ]
D [suite de ] SM III III C [suite de ]
<Personne ne contredit cette vérité>. J [suite de ] Tout le monde est d’accord.
Il est important de constater <cette vérité> En effet, dans bien des occasions, ce La place hiérarchique de cette vérité-là
et de lui donner la place qui lui revient, sa n’est pas difficulté de saisir les choses. est tout au sommet.
place hiérarchique. L’important est seulement de les consta- Ce n’est que peu à peu que l’on finit
Cette vérité qui paraît cre- ter pour donner à chaque fait sa valeur par reconnaître combien de faits différents
ver les yeux est tout au sommet, hiérarchique. ne sont que des ramifications, des consé-
et toutes les conséquences n’appa- La place de cette vérité-là quences voilés de cette vérité-là.
raissent pas avec une aussi grande évi- est tout au sommet. Si elle ap-
dence, car elles existent jusque dans une paraît comme crevant les yeux, III C [suite de ]
foule de détails. [suite ] nous ne voyons pas du premier coup Le signe est arbitraire, c’est-à-dire que
toutes ses conséquences. C’est après bien le concept sœur par exemple n’est lié par
D [suite de ] SM III des détours que l’on distingue jusque dans aucun caractère, <rapport> intérieur avec
Ainsi le concept sœur n’est lien par une foule de choses des effets voilés de cet la suite de sons s + ö + r /[] qui forme
aucun rapport intérieur avec la suite de axiome. [suite ] l’image acoustique correspondante. < Ce
sons qui forme image acoustique corres- concept pourrait tout aussi bien être re-
pondante. Ce concept pourrait tout aussi J [suite de ] présenté par n’importe quelle autre suite
bien être représenté par n’importe quelle Il n’y a aucune raison qui unit la suite de sons : il suffit de songer aux différentes
autre suite de sons : il suffit de songer aux de sons /[] s + ö + r au concept de sœur. langues.> En passant d’un langue à l’autre,
différentes langues. C’est ce qui explique que le concept bœuf on voit que le concept bœuf est aussi repré-
peut se dire Ochs ou bœuf. senté par la suite de son bos.
Annexe C
Ferdinand de Saussure (). Cours de linguistique générale. Sous la dir. de Rudolf Engler. T. . Wiesbaden : O.
Harrassowitz :
D [suite de ] SM III S . [suite de ] III C [suite de ]
Il y avait quelque chose à ajouter au fait Les choix qui appelle telle tranche Il y a même quelque chose à ajouter au
lui-même ; nous y revenons maintenant. acoustique pour telle idée est arbitraire. fait lui-même, et j’y reviens maintenant.
Non seulement ces deux domaines
ment arbitraire, les valeurs seront parfaite-
ment relatives. [suite ]
Références de la Partie I
Auroux, Sylvain (). « L’histoire de la linguistique ». In : Langue fran-
çaise : Histoire de la linguistique française. Sous la dir. de Jean-Claude
Chevalier, pp. –.
– (). Barbarie et philosophie. Paris : PUF.
– (). « Lois, normes et règles ». In : Histoire, Épistémologie, Langage
., pp. –.
– (a). La logique des idées. Montréal ; Paris : Bellarmin ; Vrin.
– (a). La révolution technologique de la grammatisation. Liège : Mar-
daga.
– (b). « L’hypothèse de l’histoire et la sous-détermination grammati-
cale ». In : Langages , pp. –.
– (). « L’histoire des sciences et le paradoxe historiographique ». In :
Le Gré des langues , pp. –.
– (a). La raison, le langage, les normes. Paris : PUF.
– (b). Science. In : Encyclopédie philosophique universelle. Les notions
philosophiques. Sous la dir. de Sylvain Auroux et André Jacob. T. . Paris :
PUF, pp. –.
– (). La philosophie du langage. Paris : PUF.
– (c). « L’historicité des sciences » — Reprod. : La question de l’ori-
gine des langues. Paris : PUF, pp. –.
BIBLIOGRAPHIE
Références de la Partie II
Auroux, Sylvain (b). La sémiotique des encyclopédistes. Paris : Payot.
Chap. I. Sens et signification. . Le mot et l’arbitraire. . Origine des
langues et unité de la sémiotique, pp. –.
– (). « The First Uses of the French Word “linguistique” (-) ».
In : Papers in the History of Linguistics. Proceedings of the Third Inter-
national Conference on the History of the Language Sciences (ICHoLS