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TRAVAIL DE RECHERCHE:

Le véganisme et l’allaitement sont-ils compatibles ?

Flore Gaillard
BDNH2

Travail de recherche présenté à:

Madame Séverine Rimondi — Pratiques culinaires


Madame Meïra Bendennoune — Besoins nutritionnels

EDNH — Marseille
Le 30 mars 2020
Sommaire

Introduction…………………………………………………………………….….……… 1

I. Les besoins nutritionnels de la femme allaitante……………..…………..……… 2

A. Les macronutriments….………..…………..…………..………………………. 2

B. Les micronutriments………..…………..…………..…………..………………. 2

II. Les carences dues au véganisme et les risques encourus…..………..……….. 3

III. Éviter les carences…………..…………..…………..…………..………………….. 5

Conclusion…………………………………………………….………………………….. 7


Summary……………………………………………………….…………………………. 8

Annexes..………………………………………………….………………………………

1 : Profils nutritionnels en acides aminés du blé dur et du pois chiche


2 : La teneur en iode dans certains aliments d’origine végétales
3 : Aliments riches en fer et vitamine C

Bibliographie..…………………………………………………….………………………
Introduction

Selon la Vegan Society, le véganisme est « un mode de vie qui cherche à exclure, dans la mesure
du possible et du réalisable, toutes les formes d’exploitation et de cruauté envers les animaux pour
la nourriture, l’habillement ou tout autre but » 1. Il repose donc tout d’abord sur une alimentation
végétalienne : éviction de tout produit issu de l’élevage, de l’abattage, de la chasse et de la pêche
(viande, poisson, œuf, miel, lait et laitages…). Mais cela ne se résume pas uniquement à
l’alimentation : rejet des cosmétiques testés sur les animaux, du cuir, de la laine, ou tout autre
provenance animale.

Choisir d’être vegan peut découler de nombreuses sources : pour la santé (maladies liées à
l’alimentation carnée ou autre), pour l’environnement (l’exploitation animale a un impact
environnemental important), pour les animaux (souffrance et exploitation animale, abeilles en
danger, équilibre des océans menacé…) 2.
D’ailleurs, en 2017, 5% des français seraient végétariens ou vegans selon un sondage de l’institut
d’études marketing et de sondages d’opinion Harris Interactives 3.

À la naissance de l’enfant, le taux d’allaitement est, lui, de 71% en France en 2017 4. L’allaitement
est le fait de nourrir son enfant avec son propre lait, et est source de nombreuses vertus (aliment
complet pour l’enfant (et s’adapte en fonction de l’âge), « premier vaccin », augmente l’immunité
de l’enfant…). L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) le recommande d’ailleurs jusqu’à l’âge
de 2 ans.

Nous nous intéresserons ici à la partie nutritionnelle du véganisme. Pour cela, nous répondrons à
la question suivante : véganisme et allaitement peuvent-ils être compatibles ?

Afin d’y répondre, nous commencerons par étudier les besoins alimentaires de la femme allaitante
et les carences potentielles liées au véganisme, puis nous verrons les risques liés à ces carences
pour le nourrisson.

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1 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 15
2 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, pages 16-24
3 Lili Gondawa, Combien de végétariens et de vegans en France ?, Octobre 2017, VegActu
4 Blandine De Lauzon-Guillain, Combien de temps allaite-t-on en France?, Septembre 2017, Le Figaro Santé

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I. Les besoins nutritionnels de la femme allaitante

A. Les macronutriments

Une femme allaitante a des besoins nutritionnels particuliers par rapport à une « femme
adulte » (sans particularité). Dans un premier temps, elle doit assimiler 500kcal de plus sur une
journée. Ces 500kcal proviennent des protéines, des lipides et des glucides (ce sont les
macronutriments).
Les lipides et les glucides seront apportés en même quantité qu’une femme adulte :
respectivement 35 à 40% de l’apport énergétique total (AET) et 40 à 55% de l’AET (2/3 de
glucides complexes et 1/3 de glucides simples dont 100g de sucres simples maximum par jour).
Concernant les lipides, 1% de l’AET devra être apporté en oméga 3 et 4% en oméga 6.
Les protéines, elles, devront être apportés en plus grande quantité : 12 à 20% de l’AET (avec plus
de protéines animales que de végétales) contre 10 à 20% de l’AET pour une femme adulte 5.

B. Les micronutriments

En parallèle aux macronutriments, les micronutriments sont les vitamines et les minéraux. Une
femme allaitante devra s’alimenter de sorte à obtenir 16mg de fer dans la journée, contre 11mg
pour une femme adulte. L’iode est également importante (200µg au lieu de 150µg), ainsi que la
vitamine B12 (5µg au lieu de 4µg) et la vitamine C (155mg au lieu de 110mg) 5.

Le calcium et la vitamine D seront apportés en quantité équivalentes à d’habitude : 1000mg/jour


pour une femme adulte de moins de 25ans ou 950mg par jour pour une femme de plus de 25 ans
pour le calcium, et 15µg pour le vitamine D 5.

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5 Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail relatif à
l’actualisation des repères alimentaires du PNNS pour les femmes enceintes ou allaitantes, ANSES, 2019, 53
pages, pages 4 à 6

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II. Les carences dues au véganisme et les risques encourus

Afin de satisfaire les besoins précédemment abordés, le régime vegan présente des risques. Le
lait maternel sera toujours aux besoins de l’enfant en puisant dans les réserves de la mère. Mais
s’il n’y a pas assez de réserves, le lait sera plus adapté et l’enfant carencé.

Nous pensons forcément dans un premier temps aux protéines animales qui ne seront pas
apportées. Les protéines sont des enchaînements d’acides aminés : il en existe 22. Parmi ces 22
acides aminés, 8 sont dits « essentiels » car il ne sont pas synthétisés par le corps, nous devons
donc absolument les apporter par l’alimentation 6 . Seulement les protéines animales sont
complètes en acides aminés, ce qui peut donc créer des problèmes concernant le véganisme.
Les protéines sont nécessaires à la production du lait, une carence sévère entrainera donc un
déficit de production. De plus, une carence protéique se traduira par une baisse de poids du
nourrisson 7.

Au niveau des lipides, les oméga 3 sont importants pour le développement cognitif de l’enfant.
Ceux-ci se trouvent notamment dans les poissons gras (saumon…). Un déficit en oméga 3
entrainera donc des dégâts au niveau cognitif 8.

L’iode est un minéral qui se trouve particulièrement dans les produits de la mer, les œufs et les
produits laitiers alors qu’il est très peu présent dans les végétaux 9.
Ce minéral est indispensable pour produire les hormones thyroïdiennes du fœtus et de la mère.
Ces dernières permettent le développement du cerveau et du système nerveux de l’enfant. Une
carence en iode lors de l’allaitement augmente alors les risques de mortalité infantile et de
déficience intellectuelle (crétinisme) 10.

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6 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 35
7 B. Beck et les autres, Effet d’une carence protéique modérée sur la reproduction chez la rate et sur le
développement des jeunes jusqu’au sevrage, INSERM et Département de Nutrition et des maladies métaboliques
de l’université de Nancy I, 1982.
8 La Maison des Maternelles, Quelles sont les règles alimentaires à suivre pendant l’allaitement ?, 2016
9 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 42-43
10Ian Darnton-Hill, L’iode durant la grossesse et l’allaitement, Fondements biologiques, comportementaux et
contextuels, Juillet 2017.
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Le fer est un micronutriment qui se divise en deux sous-parties : le fer héménique (viande et
poisson), et le fer non héménique (végétaux, œufs, produits laitiers, mais également viande et
poisson). Seulement, le fer non héménique est bien moins absorbé que le fer héménique 11.
Une carence en fer entraîne une anémie plus ou moins importante, ainsi qu’une fatigue pour la
mère.

Le calcium se trouve en grande partie dans le lait et les produits laitiers. Mais il se retrouve
également dans les légumes verts (brocoli…). Cependant les légumes verts sont souvent riche en
oxalates, qui se lient au calcium et empêchent son absorption 12.
En cas de manque de calcium, la mère risque une déminéralisation osseuse.

La vitamine D est présente uniquement dans les produits animaux, et par l’exposition au soleil 13.
Une carence en calcium et en vitamine D de la mère peut entrainer une hypocalcémie (taux de
calcium dans le sang anormalement bas chez l’enfant) ainsi qu’un rachitisme (maladie de la
croissance et de l’ossification). Le nourrisson pourra également avoir une plus petite taille ainsi
que des malformations dentaires 14.

La vitamine B12 est également quasiment exclusivement disponible dans les produits animaux et
produits de la mer 15.
Une carence en cette vitamine entraine notamment chez l’enfant, une stagnation staturo-pondérale
et un retard du développement neurologique. Les conséquences peuvent régresser sous
traitement, mais des séquelles neurologiques définitives peuvent avoir lieu en fonction de la durée
de la carence et de stade 16. Le syndrome de Imerslund-Grasbeck ou anémie mégaloblastique
peut également prendre source d’une carence en B12 17.

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11 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 45
12 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 50
13 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 51
14Les suppléments de vitamine D : Recommandations pour les mères et leur nourrisson au Canada, Septembre
2007, Paediatr Child Health, 591-598.
15 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 52
16 Neurologic impairment in children associated with maternal dietary deficiency of cobalamin, Les Dossiers de
l'allaitement n° 58 (Janvier-Février-Mars 2004), Georgia 2001. Morbidity and Mortality Weekly Report ; 31/01/2003 ;
52 : 61-64.
17 L.Eitenschenck et les autres, Décompensation tardive d'une maladie d’Imerslund-Grasbëck, 2005
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III. Éviter les carences

Afin d’éviter tout risque vus précédemment, il faut donc éviter toute carence. Comme nous l’avons
vu, les protéines sont des chaines d’acides aminés, et seuls les protéines animales sont complètes
en acides aminés essentiels. Les protéines végétales ne sont pas complètes mais contiennent tout
de même ces acides aminés 18. Par exemple, le blé est riche en leucine et isoleucine, mais pauvre
en lysine et méthionine (ce sont des « facteurs limitants »), alors que le pois chiche est riche en
lysine et méthionine, et pauvre en tryptophane et isoleucine (annexe 1). Ensemble, ils réaliseront
donc une « complémentarité », c’est à dire que cette céréale et cette légumineuse consommées
ensemble, présenteront aucun facteur limitant et donc pas de risque. Cependant, elles resteront de
nature végétale et donc le rapport protéines animales/protéines végétales ne sera pas respecté.
Attention cependant au soja et ses dérivés. De par sa forte teneur en phyto-œstrogènes, il est
conseillé de le limiter lors de la grossesse, de l’allaitement et pour les enfants de moins de 3 ans.
De plus, le soja réduirait la quantité de lait 19.

Les oméga 3 se trouvent dans les poissons gras, mais on en retrouve également dans les graines
(lin…) ainsi que les huiles végétales comme l’huile de lin, de colza, cameline, chanvre, noix…

Afin de palier la carence en iode, il est possible de se munir de sel de table enrichi en ce dernier, la
plupart le sont. Les algues sont également riches en iode, ainsi que d’autres aliments cités en
annexe 2. Il est également possible de prendre des compléments alimentaires 20.

Comme nous l’avons vu, le fer non héménique est moins bien absorbé que le fer héménique, de
plus, il doit être aidé de la vitamine C pour être absorbé. La prise alimentaire de vitamine C et de
fer doit donc se faire en même temps afin que l’absorption soit efficace 21. Pour cela, nous pouvons
associer les aliments du tableau en annexe 3.
La biodisponibilité du fer peut également être augmentée grâce à la lacto-fermentation (macération
de produits frais dans du sel/saumure (inactivation de l’acide phytique (par l’acidification) qui
empêche la libération des nutriments), le trempage et la germination des graines et noix
(diminution de l’acide phytique), la cuisson de certains aliments (brocoli…).

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18 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 35
19 La Maison des Maternelles, Quelles sont les règles alimentaires à suivre pendant l’allaitement ?, 2016
20 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 42-43
21 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 45

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Par ailleurs, l’absorption du fer peut être inhibé par le thé vert et noir, le café, le vin rouge ou le
raisin. Éviter ces aliments lors des repas ou trop proche des repas (moins de 2h) permet de mieux
absorber le fer 22.

Autre que dans les produits laitiers et les légumes verts, le calcium se trouve également dans
d’autres sources qui, elles, sont pauvres en oxalates : eaux minérales, laits végétaux enrichis, tofu
préparé avec du sulfate de calcium, flocons d’avoine, les oranges ou même des épices telles que
le thym, le poivre, la cannelle, le curry ou le cumin. Les amandes et fruits à coque sont riches en
oxalates. Attention également au sel, qui favorise l’élimination du calcium par les urines 23.

Enfin, pour la vitamine D, il faudra se supplémenter s’il n’y a pas assez de soleil. D’ailleurs, le lait
maternel contient déjà peu de vitamine D en temps normal 24 , et il est recommandé à tous les
nourrissons d’être supplémentés en cette vitamine 25. Et pour la vitamine B12 également, même si
certaines algues comme la spiruline en contiennent.

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21 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 45
22 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 48
23 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 50
24 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 51
25AVIS de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail
(ANSES) relatif à l’actualisation des repères alimentaires du PNNS pour les enfants de 0 à 3 ans, 55 pages,
page 18

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Conclusion

En conclusion, une femme allaitante a de nombreux besoins nutritionnels à remplir, et une femme
vegan risque de nombreuses carences. Si une femme allaitante est vegan, son enfant encourt des
risques liés aux carences (risques osseux, risques de croissance, système nerveux, maladies…).
Cependant, les carences peuvent être évitées. Le véganisme peut donc être compatible avec
l’allaitement, s’il est bien fait et s’il y a supplémentation en vitamine D et B12.. Si une femme vegan
veut allaiter son enfant, elle devra donc être particulièrement vigilante concernant son alimentation
et ses supplémentations.

Selon moi, nous sommes libres de choisir notre alimentation tant que l’on ne met pas en danger
autrui. Par exemple, les parents végétaliens qui donnent du lait végétal à leurs nourrisson, ce qui
entraîne leur décès.

Suite à cela, nous pouvons nous demander: peut-on imposer une alimentation végétalienne à un
enfant ? Est-ce risqué pour sa santé ?

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Summary

In conclusion, a breastfeeding woman has many nutritional needs to meet, and a vegan woman
risks many deficiencies. If a breastfeeding woman is vegan, her child incurs risks linked to
deficiencies (bone risks, growth risks, nervous system, diseases, etc.). However, deficiencies can
be avoided. Veganism can therefore be compatible with breastfeeding, if it is well done and if there
is vitamin D and B12 supplementation. However, it cannot be by food alone. If a vegan woman
wants to breastfeed her child, she must therefore be particularly vigilant regarding her diet and
supplements.

In my opinion, we are free to choose our diet as long as we do not endanger others. For example,
vegan parents who give vegetable milk to their infants and cause their death.

Following this, we can ask ourselves: can we impose a vegan diet on a child? Is it risky for his
health?

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Annexe 1: Profils nutritionnels en acides aminés du blé dur et du pois chiche

Source: https://www.nutrinat.fr/association-cereales-legumineuses
Annexe 2: La teneur en iode dans certains aliments d’origine végétales

Source: Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 43
Annexe 3: Aliments riches en fer et en vitamine C

Source: Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 46-47
Bibliographie

1 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 15
2 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, pages 16-24
3 Lili Gondawa, Combien de végétariens et de vegans en France ?, Octobre 2017, VegActu
4Blandine De Lauzon-Guillain, Combien de temps allaite-t-on en France?, Septembre 2017, Le Figaro
Santé
5 Avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail
relatif à l’actualisation des repères alimentaires du PNNS pour les femmes enceintes ou
allaitantes, ANSES, 2019, 53 pages, pages 4 à 6

6 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 35
7B. Beck et les autres, Effet d’une carence protéique modérée sur la reproduction chez la rate et sur le
développement des jeunes jusqu’au sevrage, INSERM et Département de Nutrition et des maladies
métaboliques de l’université de Nancy I, 1982.
8 La Maison des Maternelles, Quelles sont les règles alimentaires à suivre pendant l’allaitement ?, 2016
9 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 42-43
10 Ian Darnton-Hill, L’iode durant la grossesse et l’allaitement, Fondements biologiques,
comportementaux et contextuels, Juillet 2017.
11 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 45
12 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 50
13 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 51
14Les suppléments de vitamine D : Recommandations pour les mères et leur nourrisson au Canada,
Septembre 2007, Paediatr Child Health, 591-598.
15 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 52
16Neurologic impairment in children associated with maternal dietary deficiency of cobalamin, Les
Dossiers de l'allaitement n° 58 (Janvier-Février-Mars 2004), Georgia 2001. Morbidity and Mortality
Weekly Report ; 31/01/2003 ; 52 : 61-64.
17 L.Eitenschenck et les autres, Décompensation tardive d'une maladie d’Imerslund-Grasbëck, 2005
18 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 35
19 La Maison des Maternelles, Quelles sont les règles alimentaires à suivre pendant l’allaitement ?, 2016
20 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 42-43
21 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 45
22 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 48
23 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 50
24 Alice Esmeralda, Devenir Vegan, Vegan, 2018, First Éditions, 264 pages, page 51
25 AVIS de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du
travail (ANSES) relatif à l’actualisation des repères alimentaires du PNNS pour les enfants de 0 à 3
ans, 55 pages, page 18

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