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Objectifs
1. Introduction
2. Un peu d'histoire
3. C'est quoi la dépression
4. La dépression, ce n’est pas un mal-être existentiel ni un coup de
déprime
5. Quel est le bilan de la dépression d'après l'OMS ?
6. Sites de référence
7. Pourquoi est-il impératif de traiter une dépression
8. Association dépression diabète
9. Références
10. Terminologie
11. Résumé
2. Un peu d’histoire
Le terme “dépression” est très ancien puisqu’il est entré dans le langage
médical au 18ème siècle. Les écrits décrivant ce que nous appelons aujourd’hui
“dépression” ou “dépression nerveuse” remonte aussi loin que possible dans
l’histoire de l’humanité. Hippocrate mentionnait déjà ces états mentaux
pathologiques.
Le mot ‘mélancolie’ vient du grec “melas kholê” qui signifie “bile noire”.
Des l’antiquité, on pensait que l’excès de cette bile empoisonnait les patients, les
rendant malheureux et déprimés. Pour évacuer cette bile noire, pendant des
siècles les seuls traitements étaient les bains, les potions à base d'ellébore, les
laxatifs et autres vomitifs. Au début de l’ère chrétienne, la mélancolie est même
diabolisée, l’associant aussi à la paresse. Mais à la Renaissance, cette tristesse se
voit valorisée, vantée par les artistes qui semblaient y trouver leur source
d’inspirations. Au 20ème siècle, la mélancolie retrouve une définition médicale,
sous l’égide de Freud: elle désigne la forme la plus grave de la dépression. Et
loin d’être associée à un sentiment positif, la mélancolie décrit un trouble grave,
où peuvent se multiplier idées suicidaires et passages à l’acte.
Le fait de se sentir triste, avoir des idées noires ou avoir des difficultés à
dormir ne veut pas forcément dire que l’on souffre d’une dépression. Les
moments de doute, de “blues” ou de questionnement font partie de la vie. Au fil
du temps et des évènements, chacun de nous expérimente toute une gamme de
sentiments, du plus triste au plus optimiste. A l’intérieur de cette large palette
d’émotions, la tristesse, le découragement et le désespoir représentent des
expériences humaines normales. Ces variations et ces baisses de l’humeur ne
doivent pas être confondues avec ce qu’éprouve une personne dépressive.
L’erreur d’appréciation en est un autre. Dans tous les pays, quelque soit
leur niveau de revenu, les personnes déprimées ne sont pas souvent
diagnostiquées correctement alors que d’autres, non affectées par ce
trouble, se voient parfois prescrire des antidépresseurs par suite d’une
erreur de diagnostic.
6. Sites de référence
Le problème est que ces substances font oublier provisoirement les soucis
ou les angoisses. Dès que l’effet de ces substances diminue, les angoisses et
soucis reviennent et les personnes atteintes se sentent de moins en moins bien.
9. Références
11. Résumé
Les femmes sont plus atteintes que les hommes et le taux chez elles est de
50% plus élevé que chez les hommes.