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« Dynamiser » nous fait penser à bouger, changer, activer,


encourager et stimuler l’élève et le professeur, faciliter l’apprentissage
et éviter au maximum l’ennui.
Je vous propose une série d’activités que j’ai connues à
l’occasion de mon stage à Vichy, l’été dernier, des jeux qu’on peut faire
avec les petits écoliers, les élèves de collège et de lycée aussi.
1. « Prénoms en chaîne ». Un apprenant dit son prénom et le
suivant le répète en y ajoutant le sien et ainsi de suite.
Attention, il ne faut pas noter les prénoms mais bien regarder
la personne dont on entend le prénom. L’objectif ici est de
mémoriser ensemble le prénom et le visage et la répétition
aide à la mémorisation. Pas de stress ! Tout le monde a le
droit de souffler ! Cette activité est très utile à l’enseignant
qui aura plus de chances de connaître rapidement ses élèves
et pourra s’adresser à eux nommément, ce qui ajoute à la
convivialité du groupe et au sentiment de reconnaissance de
chacun
2. « À qui est-ce ?» Noter 4 questions au tableau et chacun
écrit les réponses sur un papier (tous les papiers identiques).
Ramasser et distribuer les papiers ; tous les apprenants se
lèvent et vont à la recherche de la personne qui l’a écrit pour
discuter avec elle et lui rendre sa fiche. Chacun retourne à
sa place quand il a récupéré sa fiche.
Exemples de questions : - Quel est ton plus gros
défaut ?
- Où aimerais-tu être en ce moment ?
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- Tu es plutôt sucré ou salé ?


- Quelle serait ta devise ?
Remarque : Avec les débutants, leur proposer de dessiner ce qu’ils
aiment ou pas puis ramasser leurs fiches et les montrer à la
classe en cherchant l’auteur.

3. « Balle au prénom ». Lancer la balle et toute la classe dit le


prénom de la personne qui la reçoit (révision/imprégnation du
prénom connu) OU la personne qui reçoit la balle dit son
propre prénom (découverte du prénom).
4. « Lire sur les lèvres ». On ne produit pas de son à proprement
parler mais les mouvements qui produiraient ces sons. On
peut faire cette activité par 2 ou bien 1 face à 4 ; une
personne prononce un mot sans son et l’autre/les autres
doivent lire sur les lèvres et dire tout haut ce qu’il/ils a/ont
compris. Cette activité pourra venir après un travail sur un
texte pour permettre d’en revoir le vocabulaire.
5. « Balle au son ». Proposer un son et lancer la balle à une
personne qui doit dire un mot contenant ce son. Si la
personne n’en trouve pas, elle passe son tour en relançant la
balle. Il s’agit de ne pas répéter un mot déjà prononcé et il
faut aussi être attentif à ce que disent les autres. Pour
augmenter l’implication de ceux qui n’ont pas la balle, on
peut les charger de se manifester quand le mot prononcé
n’est pas conforme à la consigne. On peut aussi demander à
deux des élèves de venir noter au fur et à mesure les mots
prononcés ; on corrigera à la fin l’orthographe si nécessaire.
6. « Cambrioleur ». Poser une image (ou plusieurs images
d’objets isolés) sur la table et demander aux apprenants (en
temps limité) de venir l’observer et de revenir à leur place
noter ce qu’ils ont vu. On peut aussi afficher (ou projeter) une
image au tableau pendant une ou deux minutes. On peut leur
dire qu’ils sont des cambrioleurs qui doivent repérer ce qu’il
y a d’intéressant à voler dans tout ce qui leur est présenté.
Pendant qu’ils font la liste, on peut modifier (enlever/ajouter)
des photos et les inviter à venir pour le cambriolage et
constater ce qui est différent.
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7. Qu’est-ce que ça cache ? Masquer une partie d’une image et


demander aux apprenants de faire des hypothèses sur ce
qu’il y a derrière le cache ou couper une image en 2 et
donner une partie à A et l’autre à B. Chacun devra imaginer,
décrire ou dessiner le reste de l’image et ils compareront
ensuite leur production.
8. Qui est-ce ? Afficher au tableau des images mettant en
scène plusieurs personnes et demander à chaque groupe de
2 d’en choisir une et d’imaginer le type de relations existant
entre les personnages. Ils viennent ensuite donner leur
interprétation à la classe qui doit deviner de quelle image il
s’agit. Leur proposer les questions guides suivantes :
- sont-ils amis ? copains ? parents ? membres d’un même
groupe (association, entreprise, club sportif, parti
politique…) confrères, voisins ? collègues de travail ? mari
et femme ? partenaires ? associés ?
- se connaissent-ils de longue date ? ont-ils fait
connaissance récemment ? où, quand, comment se sont-ils
rencontrés ?
- comment s’adressent-ils les uns aux autres ? se tutoient-
ils ? comment se disent-ils bonjour ?
- quels sentiments éprouvent-ils les uns pour les autres ?
amour, affection, antipathie, sympathie, estime,
indifférence, respect… ?
9. Où est ma moitié ? Découper des photos en 2 (verticalement)
et de les distribuer à la classe. Le premier élève se lève et
décrit sa moitié (sans la montrer) ; la personne qui possède
l’autre moitié doit la montrer.
10. Cadavre exquis. Proposer au tableau une structure à imiter
et donner une feuille blanche à un élève qui y note la première
partie de la structure, puis plie la feuille de manière à cacher ce
qu’il y a écrit et passe la feuille à son voisin et ainsi de suite. La
première personne qui reçoit la feuille déplie et doit lire la
phrase obtenue en faisant les changements nécessaires
(accords, ajouts, changements de place…). Exemples de
structures à proposer : 1.article+nom, adjectif, verbe, article,
nom, adverbe, 2. article, adjectif, nom, verbe, adverbe,
préposition de lieu, pronom tonique, etc.
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11. Et si et si…Un personne dit une phrase sur le modèle « si +


imparfait/conditionnel présent » et son voisin reprend la partie
au conditionnel comme base de sa propre phrase et ainsi de
suite.
Exemple : A. « Si j’étais un oiseau, je chanterai » B. « si je
chantais, je deviendrai célèbre ». C. « Si je devenais célèbre, je
gagnerais beaucoup d’argent. » etc.
12. Pourquoi ? Parce que. Comme pour les cadavres exquis, il
s’agit d’associer de façon aléatoire des morceaux de phrases
mais ici, on demande à chacun de noter sur son cahier une
phrase (ou deux) selon un schéma noté au tableau. Au moment
de la lecture des phrases, un élève lit le début de la phrase et
un autre la suite.
Exemples :
- Pourquoi tu…………. ?/Parce que je …………….
- ……………..pronom relatif ……………
- ……………..gérondif …………………….
- Si (+imparfait)……………….. (conditionnel présent)……………

ANA BANGU, professeur


L’ECOLE « IOAN NENITESCU » TULCEA

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