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Module contexte

de vie familial

Partie 3 : enfants victimes de sévices / enfants


battus
Partie3: enfants victimes de sévices / enfants
battus

L'enfant battus constitut un objet d'étude médico-légal , éducatif ,


psychosocial..
Description clinique d'un enfant battu

L'état général :
La majorité des enfants présentent : dénutrition, hypotrophie, retard de
croissance pouvant aller jusqu'au véritable nanisme par carence de soin .
Un rachitisme , une anémie témoignant l'existence d'une carence de soin
associé aux sévices .
• 1 ) les lésions dermatologiques : les traces, les brulures , les hématomes …
• 2) les fractures
• 3) les hématomes sous-duraux
• 4) les troubles de comportement :
S'observent à partir de 12 à 18 mois
Certains enfants se montre craintifs excessivement
Le moindre mouvement de l'adulte provoque de leur part un geste de protection.
On décrit chez certains enfants un état de "vigilance glacée" ( une attention anxieuse
portée à l'entourage .
À l'opposé, certains font preuve d'un manque de réserve étonnant : ils vont trop
facilement vers l'étranger , ne paraissent pas s'inquiéter du départ de leurs parents ,
ils établissent des relations immédiatement (familiarité) .
Chez les enfants les plus âgés on remarque deux type de comportements :
Soit une grande timidité avec repliement craintif, soit à l'opposé une
instabilité importante associés à des comportement violents
L'échec scolaire est très fréquent même si le niveau intellectuel est normal.
Les sévices moraux

Les sévices moraux représentent une autre manière d'exercer la violence à


l'encontre d'un enfant, c'est une forme de violence plus subtile et peut être
plus dommageable sur le plan psychologique
Caractéristiques psychologiques des parents
Le regard s'est d'abord porté de côté des parents pour comprendre les causes
profondes de leur comportement. Parmi les principaux facteurs on a :
-Le faible niveau socio-économique
-Les situations familiales irrégulières : séparations , remariage...
-Une grande partie d'entre eux ont connu une enfance difficile ( solitude ,
carence des soins ou carence affective, des placements multiples...).
-Il n'est pas rare qu'eux-mêmes aient été victimes de mauvaises traitement
intégrés dans leur schéma éducatif et leurs identifications parentales.
-Parent généralement immature et égocentrique.
-Les parents avec carence affective et défaillances narcissiques, considère les
demandes et les besoins de ces enfants comme une attaque.
-Les parents anxieux : ils sont profondément angoissés par les pleurs des
bébés , pleurs qui réactivent leurs anciennes frustrations et détresse et qu'ils
veulent faire cesser plutôt qu'ils cherchent à satisfaire le bébé , ils déchargent
leurs angoisses par le passage à l'acte impulsif et agressif.
-"La crise familiale " est considéré comme l'un des facteurs déclenchants des
sévices, elle est expliqué par l'aggravation des conditions affectives et sociales
déjà médiocre, à la suite de ( une mésentente de couple , d'une nouvelle
naissance, déménagement avec isolement social ,une perte de travail, une
hospitalisation d'un nombre de famille...)
-Les parents isolés de leurs propres parents .
-le taux d'alcoolisme élevé.
-la débilité chez l'un ou les deux parents.
-parents avec troubles mentaux
Les conséquences de violence contre l'enfant

Les séquelles psychologiques s'observent dans plusieurs niveaux :


-l'interaction agressive risque de pertuber la peronnalité de l'enfant
-des troubles de comportement ( soit sur le versant inhibition , soit sur celui de
l'instabilité-agitation)
-ce sont des enfants qui ont des difficultés à developper un sentiment
d'identité stabe et satisfaisant ( ils doutent toujours d'eux mémes, n'ont
aucune bonne estime d'eux mémes, ils ont tendances à dévaloriser
et mésistimer tout ce qu'ils font
-N'attendent rien de l'adulte , ils ne cherchent pas à communique avec lui.
-ils ne cherchent pas à exprimer leur vécu interne ( capacité de communication
médiocre , fréquence de retard de langage).
-ayant besoin de préserver une image pas trop mauvaise de leurs parents , un
bon nombre des enfants victimes pensent que ces sévices sont le juste
chatiment de leurs fautes.
-sentiment de culpabilité.
-la dépression (pour l'enfant il n y a rien à attendre de l'environnement qui
répond toujours par des passages à l'ace agressifs quelles que soient les
initiatives prise par l'enfant )
-une vive anxiété
-des difficultés à interiorisé les images maternelles et paternelles
-l'enfant lorsqu'il grandit peut à petit dans un milieu parail, il peut cosidérer la
relation de violence comme quasiment normale.
-il peut s'identifier à l'agresseur , en agressant le reste de l'entourage ( sur tout
les enfants) .
Remarque : le pronostic sera de plus en plus inquiétant si :
les deux parents sont impliqués ensemble ensemble. Les plus souvent l'un
d'eux est l'acteur, mais l'autre , soit il accepte tacitement, soit méme provoque
le passage à l'acte.il se conduit souvent en complice, en s'arrangeant pour
trouver des excuses ...
• http://wrcati.cawtar.org/preview.php?type=law&ID=94#1
Partie 4 : le divorce
Les effets de divorce sur la psychologie de
l'enfant :
-l'enfant se sent coupable de la discorde parnetale, cette culpabilité rend compte de
nombreuses conduites pathologiques. L'enfant réagit habituellement par un
mouvement de culpabilité se vivant fantasmatiquement comme la cause de discorde.
-dans les conditions actuelles, la mére obtient la garde et la responsabilité légale,
tandis que le pére es mis à distance, dévalorisé … il perd alors l'essentiel de son role .
-il y a des parents qui disparaissent totalement celui qui reste avec l'enfant ne donne
que des informations parcellaires, le plus souvent d'ailleurs sur les éléments les plus
négatifs du parent absent .
-La réaction initiale face à la mésentente et à la séparation est d'abord
l'anxiété, voire l'angoisse.
-divorce= rupture du cadre de vie habituel , l'éloignement de l'un des deux
parents, incertitude sur l'avenir , état de souffrence.
-plus le conflit est aigu entre les parents , moins ceux-ci sont disponibles pour
écouter leurs enfants
-plus l'enfant est jeune plus il est démuni dans ses capacités d'élaboration. Ceci rend
compte de la fréquence des plaintes hypocondriaques et psychosomatiques chez le
petit enfant ( maux de téte, de ventre, vomissement , douleurs diverses …)
-échec scolaire
-trouble de comportements ( instabilité, exteriorisation de souffrance , agressivité
extérieure: en particulier contre le nouveau conjoint )
-des comportements avec un aspect autopunitif
-un sentiment d'étre petit , faible et vulnérable.
-réinvestissement massif sur son propre Moi , et acquiert rapidement une
autonomie plus ou moins compléte ( hypermaturité très fréquemment
observée chez les enfants des parents divorcés, ils se prénnent eux méme en
charge, une adaptation extréme , ils demandent peu aux adultes , jouent peu
ou pas du tout … cette hypermaturité peuvent avoir des mauvaises
conséquences comme la tendance à la régression à l'adolescence.)

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