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La méditation transcendantale aurait

un effet positif sur les notes des


étudiants selon une étude américaine
ÉDUCATION - Selon de récents sondages, moins de 70% des étudiants américains
obtiendraient finalement leur diplôme, contre presque 80% dans les années 60. Les raisons?
Principalement, le manque d'intérêt et le manque de compétences à la sortie du lycée.
Partant du constat qu'il fallait une meilleure formation et plus de concentration, des
chercheurs de l'Université du Connecticut se sont penchés sur les bienfaits de la méditation
transcendantale (une technique visant à développer la conscience grâce à la répétition d'un
mantra) . Leurs résultats sont surprenants.
L'étude, publiée dans le numéro de juin de la revue Education, a consisté en une analyse des
résultats scolaires des 235 élèves de "senior year" (l'équivalent de la terminale en France)
d'un lycée américain. Ceux-ci ont été séparés en deux groupes: les élèves du premier groupe
ont dû pratiquer la méditation transcendantale tandis que dans l'autre groupe, aucun
exercice particulier n'a été requis.
Lire aussi:

» Comment réduire le stress des exams

» Les étudiants les moins connectés aux réseaux sociaux réussiraient le mieux

» La méditation de pleine conscience, c'est quoi?

Après les examens, les résultats des deux groupes ont été comparés:

 Les élèves du premier groupe, ayant pratiqué la méditation transcendantale, ont


obtenu un taux de réussite 15% plus élevé que ceux du deuxième groupe. Voici le
graphique de l'étude (le groupe ayant pratiqué la méditation transcendentale est en
bleu):
 À l'intérieur de chaque groupe, les chercheurs se sont intéressés plus spécifiquement
aux élèves ayant obtenu les moins bons résultats. Au final, les élèves les moins bien
notés du premier groupe ont obtenu un taux de réussite 25% plus élevé que les moins
bien notés du deuxième groupe. La preuve par l'image:

D'après Robert Colbert, professeur d'éducation à l'Université du Connecticut et co-auteur de


l'étude, ces résultats montrent que les programmes d'éducation ont besoin d'être enrichis de
vraies valeurs humaines. "La méditation transcendantale semble être la promesse d'une vie
plus authentique pour nos jeunes."

Conscients du fait que le niveau d'éducation impactait aussi sur la suite de la vie
professionnelle et personnelle de l'individu mais aussi sur l'ensemble de la société, les
chercheurs ont décidé de pousser plus loin leurs études. Ils ont d'ores et déjà constaté que
les individus pratiquant la méditation transcendantale avaient plus de facilité à réussir les
concours d'entrée à l'université et moins de chances d'abandonner leurs études en cours de
route. Enfin, ils étaient moins susceptibles de passer par la case prison.

Michèle Reboul : Les « pouvoirs » de la méditation


transcendantale
09 Apr 2011

(Revue Question De. No 23. Mars-Avril 1978)

Michèle Reboul a passé une semaine à Courchevel auprès des « méditants avancés » du mouvement La
Méditation Transcendantale qui se préparaient aux « Siddhis » c’est-à-dire aux pouvoirs tels que lévitation,
invisibilité, etc. Elle a continué quelque temps sa pratique de la M.T. (c’est ainsi qu’en abrégé on désigne
fréquemment ce mouvement) à Paris. Il est cependant nécessaire de préciser d’emblée que Michèle Reboul
n’a pas voulu continuer à pratiquer la M.T. et elle explique ici pourquoi : les bienfaits de cette méthode (qui
sont en réalité ceux d’une relaxation profonde) ne suffisent pas à justifier les références faussées employées
par les « instructeurs » : les Vedas et la Tradition hindoue ne font pas bon ménage avec le prosélytisme
insatiable et le désir de réussite.

La technique de la méditation transcendantale consiste dans la récitation d’un mantra (que les instructeurs définissent
comme une vibration purement sonore, sans signification), deux fois par jour (matin et soir) pendant vingt minutes,
mantra qui est donné par l’instructeur au moment de l’initiation, à des gens de tous âges (de quatre à quatre-vingt-dix-
huit ans) et de toutes origines. Ce mantra est seul connu de l’instructeur et de l’initié et le critère de son choix ne sera
dévoilé par le méditant que s’il devient lui-même instructeur. En fait, il semble, d’une part, qu’il y ait sept mantras
différents pour discerner les diverses catégories d’individus et, d’autre part, qu’on ne reçoive que très
progressivement l’ensemble du mantra. Les six premiers mois, on n’en saura en effet que les deux premières
syllabes et, suivant son degré dans la hiérarchie du mouvement, on possèdera ou non la totalité du mantra. Les
instructeurs pensent que l’effet du mantra n’est pas amoindri si celui-ci est tronqué et disent — dans un paradoxe qui
frôle la contradiction — que, d’une part, il y a autant dans la partie que dans le tout (« Dieu » se trouvant autant dans
une syllabe que dans une phrase !) et que, d’autre part, nous ne sommes pas assez mûrs ni assez forts pour
supporter, sans graves inconvénients, la puissance du mantra. Maharishi Mahesh Yogi, le fondateur de cette
méthode, adapte (et, pour cela, ne déforme-t-il pas ?) l’enseignement traditionnel de l’Inde afin de le rendre vivable en
Occident et de l’implanter le plus vite possible sur toute la Terre. En effet, le mantra-yoga est une technique connue
depuis longtemps en Inde et venant comme complément des autres techniques du yoga. Ce n’est qu’après des
années de contrôle du corps et de l’esprit que le yogi est à même de n’être pas terrassé par la force vibratoire du
mantra. De plus, le yogi doit être imprégné du sens du mantra, le répéter sans arrêt de façon à ce qu’il le vive, qu’il
soit son mantra. Seul un guru qui connaît depuis des années son disciple, qui a vécu longtemps avec lui, peut savoir
quel est son mantra, le son intime et unique, le « nom éternel [1] » que toute personne est. Jusqu’à l’indépendance de
l’Inde qui, en occidentalisant l’enseignement, en a fait une répétition mnémonique et l’a privé de toute sacralité ou
spiritualité, et a ainsi porté un rude coup à la tradition hindoue, existait l’institution du Gurukula [2] ou transmission de
la connaissance (le Véda) entre un guru et son disciple. C’est le maître qui prenait en charge, matériellement et
moralement, son disciple qui venait habiter chez lui, le programme et la durée de l’enseignement étant adaptés aux
différentes castes.

Un mantra-express !

Dans la M.T., le mantra et ses différentes acquisitions sont payés cher (le quart du salaire et réduction pour les
étudiants jusqu’à un certain âge), et n’importe qui, à condition d’avoir l’argent, peut recevoir son début de mantra, et
cela sans que l’instructeur connaisse le moins du monde celui qu’il « initiera ». Dès la première heure, l’instructeur
apprend au « méditant » à prononcer à voix haute son mantra, puis à le murmurer et, enfin, à l’intérioriser, reprenant
apparemment l’apprentissage traditionnel d’un mantra, mais le faussant en en précipitant la vitesse : ce long
apprentissage que décrit Julius Evola se fait, dans la M.T., en quelques minutes seulement durant la cérémonie de
pseudo-initiation !

« Le mantra doit être « éveillé » : le feu mental que l’on concentre sur lui doit en consumer la matérialité et l’actualiser
en une forme subtile, « faite de lumière », provoquant sur un plan supérieur le phénomène de sphota, c’est-à-dire
d’évocation — comme dans une ouverture ou un épanouissement (c’est là justement le sens littéral du mot
« sphota »). Auparavant, le mantra « dort », et le mantra qui dort n’est que bruit, et n’a aucun pouvoir. Le tantrisme
enseigne donc explicitement que, si on ne connaît ni les sens d’un mantra ni la façon de le réveiller, il est inopérant
alors même qu’on le répéterait des millions de fois… La technique la plus utilisée pour éveiller le mantra est sa
répétition, japa. La répétition est d’abord verbale et a alors pour objet le mantra sous sa forme « endormie »,
grossière ; au deuxième stade, on ne prononce plus le mantra mais l’ébauche de sa prononciation subsiste ; enfin, au
troisième stade, la répétition est purement mentale.» (Julius Evola : le Yoga tantrique (Paris, Fayard, 1971) p. 171-
172)

Une méthode contre le stress

Enfin, une autre différence entre la M.T. et les autres traditions qui se réfèrent à un mantra provient que du côté de la
M.T. on met l’accent sur la facilité de cette méthode et sur le fait qu’elle n’entraîne aucun changement de vie, bien
que, peu à peu, par le calme qui s’instaure dans l’esprit, le bienfait des vingt minutes de méditation rejaillit sur le reste
de la journée. La M.T. se veut d’ailleurs ni une religion ni une morale, mais une méthode pour « se libérer des stress
» (suivant l’expression qui revient constamment dans la bouche des méditants) et acquérir, par la paix intérieure
procurée, une plus grande extension de conscience, une meilleure acceptation de soi et des autres. En revanche,
que ce soit dans la tradition hindoue, chrétienne (surtout orthodoxe) ou musulmane, l’efficacité du mantra ne peut être
que le fruit d’un cœur pur, détaché du monde et des sens, aidé par une technique respiratoire bien précise
(particulièrement rétention du souffle et accord rythmique du souffle avec les mots). Maharishi dit se référer aux Véda
et à la Bhagavad-Gîta dont il a d’ailleurs traduit et commenté des passages (On the Bhagavad Gîta, a New
Translation and Commentary – éd. Penguin Books). Mais nous savons que toute la pratique du yoga consiste à
transformer la nature humaine, à la sortir de ce monde illusoire (maya), à la libérer des désirs, des instincts (il y a
toute une ascèse par rapport à l’alimentation, la sexualité, etc.). Quant au christianisme, nul ne peut se dire chrétien
s’il n’obéit à cette injonction du Christ : « Quiconque veut me suivre, qu’il se renonce soi-même et prenne ma croix »  ;
les Pères du désert qui pratiquaient l’hésychasme, l’invocation constamment répétée [3], insistent sur la nécessité de
la solitude, de « la mort au monde et à ses aises », comme dit Barsanuphe [4]. Chez les musulmans également, le
dhikr s’accompagne d’une totale abnégation ; telle est l’injonction du Sheikh Muhammad Amin al-Kurdial-Shafi’i al-
Naqshabandi, mort en 1332 de l’hégire (1914) :

« Dis : « Allah » et laisse l’univers et ce qu’il contient,

Si tu désires atteindre l’universalité !

Car tout ce qui est en dehors d’Allah, si tu réalises [bien la chose,

Est pur néant [5]. »

Les méditants, hommes ou femmes, n’ont pas la même allure

Un peu de méditation vaut mieux que pas de méditation du tout. Je reconnais, pour l’avoir pratiquée moi-même, que
la récitation du mantra, dans le cadre de la M.T. a des effets bénéfiques (surtout au début, si j’en crois les méditants
de longue date) car le mantra aide à se libérer des pensées qui nous agitent, et ce silence intérieur, ce détachement,
peuvent nous mener à la reconnaissance de la plénitude. Mais je crois, pour l’avoir également expérimenté, que
l’effet serait le même, voire supérieur, avec un autre mantra [6], ou par une pratique continue du yoga (les différentes
formes du yoga, tantra-yoga, jnana-yoga, hatha-yoga, bhakti-yoga… étant toutes libératrices de l’ego) ou d’une
prière, qu’elle soit associée à une invocation précise, comme nous l’avons vu pour le dhikr ou l’hésychasme, ou
qu’elle soit toute naturelle, de demande ou de recueillement « Je suis libre, libre ! celui qui prie, après qu’il a prié,
repart d’un bon pas dans la vie. Il marche comme s’il n’avait jamais cessé de marcher droit [7]. » Pour nous, le vrai
pouvoir, la vraie efficacité de toute méthode spirituelle sont dans la joie accrue qu’elle doit donner à celui qui la
pratique, les critères de la justesse de la voie étant ceux du rayonnement et de l’amour, quel que soit le sexe de la
personne concernée. Or, ce qui m’a étonnée dans les six jours passés près des méditants, qui soit suivaient les cours
d’enseignement du Véda, soit se préparaient à recevoir les siddhis afin de devenir instructeurs, ou dans les centres
où j’ai pu me rendre à Paris, c’est l’extrême différence à ce sujet entre les hommes et les femmes. Excepté quelques-
uns, je fus frappée par l’air de zombies [8] de la plupart des hommes. Extrêmement pâles (de ce teint anémié qu’on
voit chez des adeptes de différentes sectes), alors que la nourriture était bonne et copieuse (végétarienne mais très
fournie en gâteaux) et la quantité de sommeil relativement suffisante. Etait-ce dû au fait que cours et exercices de
méditation se faisaient en chambre et qu’ils n’avaient que très peu la possibilité de « prendre l’air » ? Etait-ce dû à
une concentration trop intense, à une vie communautaire où chacun se sentait très surveillé, ou était-ce dû, ce qui
serait plus grave, à une sorte d’hypnose, de soumission à une personnalité d’emprunt, en l’occurrence à la
personnalité du groupe ?

D’autre part, plus les hommes étaient élevés dans la hiérarchie, plus je les ai trouvés en général vaniteux, égoïstes et
nerveux (ils disaient curieusement qu’ils étaient nerveux parce qu’ils se libéraient de leurs tensions !). En revanche,
ce qui m’a incitée à vouloir en savoir davantage, c’est que les femmes étaient au contraire des hommes douceur,
ouverture, lumière. Leurs joues étaient roses (rien à voir avec du maquillage), et elles respiraient la maternité, le don
de soi, la compréhension de la vie. Alors qu’elles rayonnaient de féminité, les hommes semblaient mal dans leur
peau, dans leur virilité (souvent des homosexuels n’acceptant pas leur nature). J’ai eu l’impression aussi que les
femmes comprenaient mieux que les hommes ce que devraient être les siddhis, que leur acquisition n’était pas affaire
de supériorité, mais de développement de possibilités que nous avons tous.

Les siddhis : inversion de sens des siddhis selon Patanjali

Sur ce sujet des siddhis, ou pouvoirs extraordinaires, la M.T. prend constamment un risque de trahison de sens. En
effet, reprenant l’enseignement traditionnel védique, les adeptes de la M.T. disent qu’il ne faut pas chercher les
pouvoirs (lévitation, invisibilité…), mais qu’ils sont les signes qu’on a atteint un certain état intérieur, à tel point que le
critère pour devenir « gouverneur » (haut grade de la hiérarchie M.T.) consiste dans la possibilité de faire des « sauts
de grenouille », première approche de la lévitation. Mais, et c’est là qu’il y a inversion de sens, on apprend, pendant
deux à six mois, ces techniques coûteuses et secrètes (et dont, par conséquent, je n’ai pu avoir l’accès) pour pouvoir
peu à peu se rendre maître des siddhis. Or, on sait combien les mystiques, de quelque religion qu’ils soient, se
méfiaient de ces pouvoirs et suppliaient Dieu de n’en être pas le jouet ; rappelons-nous Joseph Cupertino ou Thérèse
d’Avila s’accrochant à la table d’autel pour ne pas s’élever du sol. Le Yoga-Sutra de Patanjali, qui étudie dans son
livre III les siddhis ou « pouvoirs miraculeux », insiste sur la différence entre le magicien et le yogi : le magicien se
sert de ses pouvoirs acquis par la concentration de la volonté ou la méditation, tandis que le yogi veut parvenir à l’état
de samâdhi et, par suite, se libérer de toute « maîtrise », de toute possession. Chez le libéré, le pouvoir de la
lévitation, par exemple, est spontané, alors que dans la M.T. cela s’apprend, moyennant une somme de 4 à 6000
dollars en Amérique, et à partir de 5 000 francs en France (prix 1977). Après une totale relaxation, le futur lévitant se
sent comme un pot de gélatine qu’on secoue, cette sensation s’amplifie jusqu’à devenir celle d’être un hélicoptère qui
va décoller, puis c’est le « saut de grenouille » : on n’est plus soumis à la pesanteur, on se stabilise ensuite dans l’air
pendant quelque temps, enfin on peut circuler comme on veut. Il y a encore très peu de méditants qui savent léviter,
et ce, depuis peu de temps (1971), mais Maharishi annonce que, dès que cette pratique sera plus courante, il fera
venir journalistes, photographes et scientifiques pour faire connaître et contrôler la lévitation, tout comme il a fait
examiner les résultats psychophysiologiques de la M.T. « Si on dit à la main de monter, la main monte ; si on dit au
corps de monter, le corps monte », mais pour cela, comme pour l’invisibilité ou les autres pouvoirs, il faut une
coordination totale du corps et de l’esprit.
LES POUVOIRS MIRACULEUX SELON PATANJALI

Il (le siddhi) jouit du Pouvoir merveilleux sous ses différents modes : étant un, il devient
plusieurs, étant plusieurs, il redevient un ; il devient visible ou invisible ; il traverse, sans
éprouver de résistance, un mur, un rempart, une colline, comme si c’était de l’air ; il pénètre
de haut en bas à travers la terre solide, comme à travers l’eau ; il marche sur l’eau sans s’y
enfoncer, gomme sur de la terre ferme ; il voyage, les jambes croisées et repliées sous lui,
dans le ciel, comme les oiseaux avec leurs ailes. La Lune même, et le Soleil, si forts, si
puissants qu’ils soient, il les touche, et les sent avec la main ; il atteint, en restant dans son
corps, même le Ciel de Brahma (…). Avec cette claire, céleste oreille surpassant l’oreille des
hommes, il entend à la fois les sons humains et les sons célestes, fussent-ils loin ou près
(…). Pénétrant avec son propre cœur les cœurs des autres êtres, des autres hommes, il les
connaît (…). Avec son cœur ainsi serein, il dirige et incline son intelligence vers la
connaissance de la mémoire de ses existences précédentes »

Sâmanna Phalla Sutta, paragraphe 87; Dîgha Nikâya, 1, 78, dans Mircea Eliade, le
Yoga(Paris, Payot, 1960, p. 184).

Après comparaison de la M.T., en ce qui concerne sa technique du mantra, avec les autres techniques provenant de
la Tradition et, en ce qui concerne ses pouvoirs (les siddhis), avec ceux dont parle Patanjali (mentionnons pour
mémoire que le vol peut s’obtenir indifféremment par le yoga, l’alchimie, le chamanisme ou la sorcellerie [9]), nous
remarquons qu’il y a imitation, parfois jusqu’à la caricature, mais non réalité ou réalisation. Même si les méditants
peuvent dire leur mantra en privé, ils font partie d’un mouvement hiérarchisé et soumis à l’argent pour l’extension de
ses différents centres. Nous avons vu, au contraire, que l’authentique mantra est une transmission gratuite, donc
totalement désintéressée, d’un guru à son disciple après une longue et personnelle connaissance de celui-ci qui ne
reçoit le mantra qu’après s’être préparé longtemps et lentement. Maharishi se réfère aux Véda et à Patanjali, mais il
prend le contre-pied de leur ascèse. Du côté des yogis, « c’est le difficile qui est le chemin », comme disait
Kierkegaard, c’est la quête de la libération intérieure, du détachement total vis-à-vis de toute démonstration, de tout
savoir, de tout pouvoir, alors que du côté de la M.T. l’accent est mis plus sur la relaxation que sur la libération, sur les
pouvoirs que sur la VIDE PLÉNITUDE de l’âme.

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