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1) Principes de fonctionnement :

Le compresseur (repère C), constitue d’un ensemble de roue


munis d’ailettes Comprime l'air extérieur (rep.E), simplement filtré,
jusqu'à 10 à 15 bars, voire 30 bars pour certains modèles. Du gaz
(rep.G), ou un combustible liquide atomisé, est injecté dans la
chambre de combustion (rep.Ch) où il se mélange à l'air compressé
et s'enflamme.

Les gaz chauds se détendent en traversant la turbine (rep.T), ou


l'énergie thermique des gaz chauds est transformée en énergie
mécanique, la dite Turbine est constituée d'une ou plusieurs roues
également munies d'ailettes et s'échappent par la cheminée (rep. E
c)à travers un diffuseur.

Le mouvement de rotation de la turbine est communiqué à l'arbre


A qui actionne d'une part le compresseur, d'autre part une charge qui
n'est autre qu'un appareil (machine) récepteur (ice) (pompe,
alternateur...) accouplé à son extrémité droite. Pour la mise en route,
on utilise un moteur de lancement (r e p. M) qui joue le rôle de
démarreur. Le réglage de la puissance et de la vitesse de rotation est
possible en agissant sur le débit de l'air en entrée et sur l'injection du
carburant.

 Rendement :

Le rendement faible de la turbine à gaz (25 à 35%) est dû au fait


que l'énergie fournie par le combustible est détournée par le
compresseur ou perdue sous forme de chaleur dans les gaz
d'échappement. Il est possible d'améliorer légèrement le rendement
en augmentant la température dans la chambre de combustion (plus
de 1200c°) mais on se heurte au problème de tenue des matériaux
utilisés pour la réalisation de la partie turbine.

C'est en récupérant la chaleur des gaz d'échappement (chauffage,


production de vapeur...) que le rendement global de la machine peut
dépasser 50%. On utilise alors la chaleur des gaz d'échappement
(plus de 500 degrés) pour produire de la vapeur dans une chaudière.

 Système de nettoyage et de lavage :

Suivant les conditions particulières de sites, la machine doit être


suée d’équipement permettant :

- Le nettoyage du compresseur au produit solide.


- Le lavage à l’eau du compresseur et des turbines.
L’injection de produit anticorrosif.
 Description de la turbine GE :
Une turbine a gaz (figure 1) appelle aussi turbine a combustion
est une machine tournant thermodynamique appartenant a la famille
des moteur a combustion interne.
La turbine a gaz MS3002 est une machine a entrainement
mécanique a double arbre et cycle simple, utilisant des turbines a gaz
proprement dite se compose d’un compresseur axial 15 étages,6
chambre de combustions agencée a 90° par rapport a l’axial a
horizontal de la turbine, une turbine haute pression a étage unique
(1er étage) qui entraine le compresseur et ses équipements
auxiliaires , ainsi qu’une turbine basse pression a étages unique (2 eme
étage) qui entraine la charge.
2) Constitution d’une turbine a gaz
La turbine à gaz se compose essentiellement des parties
principales suivantes :
1- Carter d’entrées d’aire
2- Compresseur axial
3- Chambre de combustion
4- Turbine
5- Echappement
Figure II-1.turbine à gaz M.S 3002
Carter d’entrée d’air :
 Culote d’admission d’air :
La culote d’admission (figure 2) en tôle d’acier mécano soudée
constitué le collecteur d’entrée de l’air atmosphérique, utilisé comme
carburant dans la turbine à gaz, placée à l’avant du générateur de gaz
raccordés à l’agraine d’aspiration de la turbine d’un accouplement
,celui-ci raccordant la prise de mouvement avant du compresseur du
générateur de gaz avec un organe auxiliaire qui peut être le moteur
de démarrage ou un alternateur de servitude.
 L’entrée d’air :
L’entrée d’aire a d’objet De:
-pouvoir filtrer l’aire de l’atmosphère pour retirer le sable.
-Evites d’aspirer des objets solides qui pour raient endommager le
compresseur est la turbine.

- L’entrée d’aire est de type de (cloche) pour achever une


accélération quasi isentropique de l’air c’est à dire pour le maximum
de rendement.

Figure II-2.culotte d’admission

 Compresseur axial :
Le compresseur a flux axial (figure 3) comprend le rotor est le
corps qui comporte les étage de compression, les aubes variable et
deux déflecteur de sortie.
Dans le compresseur l’air est confine dans l’espace entre le rotor
est les aubages des stators, ou il est comprime en plusieurs étapes,
par une série d’aubes alternateur tournantes (rotor) est fixé (stator).
Les aubes du rotor donnent la force nécessaire pour comprimé
l’air a chaque étage de la compression sont les aubes du stator, sons
le faire pénétré dans l’étage successif du rotor, sons l’angle qui
convient.
L’air comprimé sort par le corps de refoulement du compresseur
et entre dans l’enveloppe de combustion et les chambre de
combustion, l’air du compresseur sert également à refroidir la
turbine et pour l’étanchéité d’huile de graissage des paliers.

Figure II-3.compresseur axial


 Chambre de combustion :
L’ensemble du système de la combustion (figure 4) de la
turbine à gaz à pour fonction d fournirai de l’énergie thermique au
cycle de la turbine à gaz. On obtient ceci en brulant du combustible
dans le courant d’air, et en diluant les produits des produits de la
combustion un excès d’air pour obtenir la température de gaz désiré
à l’admission ou de premier étage de la directrice de la turbine.
La température de la chambre de combustion est de 950/1200 k°.

Figure II-4.chambres de combustion


Remarque
Le système de combustion comprend les composants suivants :
* L’enveloppe de combustion
* Ensemble tube de flamme
* Injecteur à gaz
* Alternateur
* tube d’interconnexion
* pièce de transition

 Turbine :

Un étage de turbine axial est composé, d’une grille d’aubes


fixées appelé distributeur (directrice) et d’une grille d’aube mobile
appelée roue.

 Directrice :

Les directrice ont par conséquent pour rôle convertir l’énergie de


chaleur et de pression en énergie cinétique, puis de dirige cette
énergie vers les autres turbine.

Sur la machine on distingue deux types de directrices :

- Tuyère première étage <<directrice fixe>>.


- Tuyère deuxième étage<<directrice variable>>.
 Turbine haute pression :
La turbine haute pression, qui entraine le compresseur (le gaz,
est à deux étages à écoulement axial).
L’ensemble des deux disques de la turbine est monté en porte à
faux sur l’extremis arrière de l’arbre du compresseur et porte les
aubes en alliage réfractaire, ces derniers sont mises en place sur les
disques dans ancrages en forme de (sapins).
Les stators de la turbine ,en deux élément séparés par un plan de
joint verticale, comportent une enveloppe extérieure en acier coulé
qui constitué l’ensemble résistant dans lequel viennent se conté
annaux inférieur en alliage réfractaire, ceux-ci se délattent librement
rare pas rapport aux pièces résistantes et sont isolés de ces dernières ,
d’une part de fait de l’existence d’un espace dans lequel circule un
faible débit d’air prélevé à la sortie du compresseur, d’autre part
grâce a l’interposition d’un isolant contre la paroi extérieure.
Le rotor turbine haute pression est équilibré indépendamment du
rotor compresseur ceci permet l’interchangeabilité, en maintenance
des pièces sans contrainte de rééquilibrage au montage.
 *Turbine basse pression :
Elle comporte deux étage à écoulement axial du type à
réaction ,l’ensemble de la turbine monté en perte à feux à l’anaut de
l’arbre chargé de transmetteur la puissance utile à la machine
réceptrice accouplée à la turbine.des aubes mobiles, en alliage
réfractaire ,sont mises en place sur disques par l’intermédiaire
d’engrenage en forme de (sapins) les deux disques sont assemblés de
manière à constitués un ensemble qui est fixés sur l’extrémité de
l’arbre ,à l’aide de quatre tirants, le couple moteur étant transmis )
l’arbre par l’intermédiaire de quatre axes traversant le Corp. de
disques.
Le rotor turbine basse pression est équilibré indépendamment de
l’arbre, ceci permet l’interchangeabilité, en maintenance de ces
pièces sans contrainte de rééquilibrage ou montage

Culotte d’échappement :

La culotte d’échappement constitue le collecteur des gaz brules,


cet organe est placé à la sortie du d’éfourceau de la turbine libre et sa
bride de sortie peut être orienté en toute position.
3) Partie auxiliaire :

3-1) Matériel de lancement :

 Turbine de détente à gaz :

La turbine à gaz, dans cette installation, est amenée à la vitesse


de lancement par une petite turbine de lancement fonctionnant au
gaz. Elle fonctionne uniquement pour faire démarrer la turbine
principale, et à une vitesse approximative de 60%
(compresseur/vitesse de la turbine à haute pression).
Cette turbine de lancement devra s’arrêter qu’on l’embrayage
devra se dégager.
 Palier :
Le rotor de la turbine haute pression est supporté par deux paliers
elliptiques n1°et n2°, le rotor de la turbine basse pression est
supporté par deux paliers :
L’un n3° qui est de type lisse elliptique et les paliers n4°à patins.
3-2)Boite a engrenage :
Sa fonction est d’entrainée chaque auxiliaire a sa vitesse
correcte. L’entrainement est constituée de trois arbre parallèles lié
par des engrenages à d’autre hélicoïdale, le tous disposé dans une
enveloppe.

La turbine de lancement tourne avec la même vitesse de rotation


de la turbine haute pression .la pompe hydraulique et de lubrification
principale montée sur le même arbre, ce dernier tourne a une vitesse
de 1300tr/min.
3-3) Système de lubrification :

Le système de lubrification comprenant principalement :


- Un réservoir
- Refroidisseur
- Trois pompes
- Filtre

Le lubrifiant est amené aux paliers de la turbine et aux auxiliaires

3-4) Système hydraulique :

Les fonctions panaires du système hydraulique sont de fournir du


fluide hydraulique sous pression pour positionner la soupape de
commande carburant et de la directrice variable.

*Système d’air :

L’air est utilisé pour refroidir les diverses section de la turbine


(face avant et arrière des deux soues turbine, etc.) mettre sous
pression l’étanchéité des palier et aliment le système de combustion.

*Système de protection<<sécurité>> :

Un système de protection est installé pour protèges la machine


dons le cas ou les dispositifs de commande de ne maintient pas des
conditions disfonctionnement satisfaisantes.

3-5) Caractéristique de fonctionnement :

Définition d’opération principale du cycle de la turbine à gaz


avant d’étudier la conception de la turbine à gaz, il est intéressent de
courait les principes de la compression et de la détente avec les
éléments correspondants.

 Compression : c’est l’opération qui augmente le volume d’un


gaz en augmentant la pression et la température.
 Détente : c’est l’opération qui augmente le volume d’un gaz
en même temps qu’elle diminue sa pression et température.
 Tuyère : c’est un dispositif ou transforme un jet de gaz de
pression élevée à faible vitesse en un jet de forte vitesse a
faible pression.
 Diffuseur : un diffuseur est un dispositif qui transforme un jet
de gaz à grande vitesse sont relativement basse pression en un
écoulement de vitesse inférieur et de pression supérieure.

Figure II-5 Système auxiliaire


4) La maintenance

Généralités sur la maintenance:

Les installations et les équipements se détériorent sous lactation


multiples causes, surcharge en coures de fonctionnement, mauvaise
exploitation, action des agents corrosives agent chimique, atmosphérique,
etc………………………

Ces détérioration peuvent être à l’origine des arrêtes de


fonctionnement (panne), de la diminution de production, de la mauvais
qualité des produits fabriques, l’augmentation du fonctionnement
continuel tout en gardant des produits.

Définition :

Plusieurs définitions ont été donnes à la maintenance, et d’après la


norme AFNOR, « la maintenance c’est l’ensemble des actions permettant
de maintenir ou de rétablir bien dans un état spécifie, en mesure d’assurer
un service détermine ».

IL va de soit que les actions de maintenances vont êtres situes dans un


cout global optimum : tel que fixe dans les objectifs.

Objective de la maintenance :

La fonction maintenance inscrit ses objectifs dans les objectifs


généraux, l’entreprise et qui sont :

* La rentabilité * La sécurité

* La croissance * Le social

La rentabilité apparait comme un objectif prioritaire, ce n’est qu’avec


la rentabilité à long terme que nous pouvant atteindre les autre objectifs,
la sécurité est personnes et des biens constitue une composant prioritaire
des objectifs de la maintenance.

La législation à édicté des certains nombre de réglementations qui


sont souvent en retard par rapport aux évolutions technologiques, il
incombe alors à la fonction.

Maintenance en liaison le responsable la société, d’établir les


consignes internes en attendant la réglementation définitive.

Moyens d’action :

Les moyens permettant d’atteindre les objectifs sont nombreux et


portent sur :

* Moyen humains et matériels personnel, fourniture, équipement, la


sous traitante tous les documentations.

* Méthode de travail : type de la maintenance à adopter dons telle


ou telle situation

* Les outils de gestion.

* Le système d’information qui va permettre la mesure des


indicateurs technique et financiers.

Différents type de maintenance :

A partir de l’organigramme on distingue :

* Maintenance corrective

* Maintenance préventive
La Maintenance corrective (curative) :

D’après la norme AFNOR définit de la maintenance corrective


comme une « maintenance effectuer après une défaillance » ou l’on
distingue :

* Le dépannage : action sur bien en panne vue de kremettre en


état de fonctionnement.

* La réparation : résultat de la maintenance corrective après


panne ou défaillance partielle.

La maintenance corrective peut présenter plusieurs niveaux


suivant qu’il s’agit d’un dépannage à caractères provisoire ou d’une
réparation durable des éléments défaillants effectuer suivant des
critères de qualité bien définie.

La réparation d’une défaillance importante peut être l’occasion


d’effectuer une révision générale de l’équipement, pour permettre
au niveau de performance d’un équipement neuf ; voir l’amélioration
par le remplacement de certaines pièces d’origine par des éléments
adaptables, ex : cas de rembobinage d’un moteur électrique avarie
avec une isolation de classe plus élevée.

La maintenance préventive :

« Maintenance effectuée selon des critères prédétermine dans


l’intention de réduire la probabilité la défaillance d’un bien » norme
AFNOR X60-010.

Alors la maintenance préventive peut se définir comme


l’ensemble de contrôle, visites et interventions de maintenance
effectuée préventivement, elle s’oppose en cela la maintenance
curative déclencher par des perturbations ou les événements et donc
subit par la maintenance, la maintenance préventive prend deux
formes qui sont :

* M P Systématiques.

* M P Conditionnelle

Limite de la maintenance préventive :

La mise en place de la maintenance préventive peut provoque un


accroissement du cout direct important par rapport à la réduction du
cout indirect, c’est pour quoi il faut commence par les méthodes les
plus légères c’est –à-dire les contrôles, les visites systématiques et
progresser après une politique des « petites pas » en contrôlant
périodiquement les résultats obtenus pour arriver à une optimisation
entre les différents cours.

* Contrôle :

Il correspond à une vérification de conformité par rapport à des


données préétablis suivi d’un jugement, le control peut comporter
une activité d’information inclure une décision (acceptation rejet,
ajournement) débouche comme la visite des opérations de
maintenance corrective.

* Inspections :

Ce sont des activité de surveillance consistons relevé


périodiquement des anomalies et exécuter et un réglage simple ne
nécessitant pas d’outillage spécifique
* Visites :

Opération de surveillance qui donne le cadre la maintenance


préventive systématique, s’opérer selon une périodicité déterminée,
cette intervention correspond une liste d’opération définies au
préalable qui pouvant entrainer un démontage d’organes et une
immobilisation du matériel.

M.P Systématique norme AFNOR .X60-010 :

«  Maintenance préventive effectue selon un échéancier étable


en fonction du temps ou de nombre d’unité d’usage ».

Pratique de la M-P Systématique :

L’entretient intervalle hxes sur la base au minimum de vie de


composant, donner par l’exonération ou constructeur sur intervalle
est détermine statiquement comme étant la période partir de l’état
neuf ou rénové à la fin de la quelle le taux de panne cumule d’un
type de machine n’excède pas 2.5% c’est pour quoi ce type de
maintenance préventive basé sur la durée de fonctionnement.

Avantage et inconvénients :
Avantages :

- Le cout de chaque opération et prédéterminé et la gestion


financière du service en est facilite.

- Les opérations et les arrête sont programmés en accord avec


la production.
Inconvénients :

Le cout de chaque opération est élevé, car la périodicité est


calée sur la durée de vie minimum d’un composant.

L’intervention est anticipée pour rester en phase avec l’autre


arrêt, électrique, nettoyage, production.

Le démontage même partiel d’un appareil incite au


changement de pièce par précaution.

La multiplicité des opérations d’accroit le risque


d’introduction de nouvelle panne de jeunesse.

M.P Conditionnelle (AFNOR) :

« Maintenance préventive subordonnée à un type d’événement


prédétermine (autodiagnostics information donnés par un capteur
mesure d’une usure, etc. …….. »

Révélateur également « maintenance en fonction des conditions »


est la méthode la plus élaborée et évolue de la maintenance
préventive elle consiste :

- Mettre le matériel sous contrôle de moyen non destructif.

- Déclencher les actions préventive ou correctifs nécessaires, en


fonction d’autres informations relatives aux programmes de
fabrication et à la qualité de produits, tout cela doit être réalise ou
moindre cout.
Entretien et maintenance :

La turbine à gaz comme d’autre grosse machine tournante


demande un programme d’examen planifier périodique, avec
réparation et remplacement des pièces pour obtenir le maximum de
disponibilité et de fiabilité.

Les exigences d’inspection et de réparation de la turbine se


prêtant à réalisation d’un programme régulier d’examen,
commencent par des travaux dont l’importance augment
progressivement d’une inspection i laineur jusque à ce qu’on arrive
à une inspection majeure.

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