Resumé :

L’auteur Hasna Mharzi a traité une problématique concernant la mise en place de la

responsabilité sociale (RSE) au sein des entreprises marocaines précisément de la région
Casa-Settat,et la relation entre celle-ci et les parties prenantes puisque les axes de ces
derniers s’articulent vers le social ,l’économie et l’environnement , ainsi , la RSE présente
un outil indispensable de développement durable ,il convient donc de noter que les parties
prenantes indiquées dans l’article sont de deux types contractuelles ou principales qui sont
les clients , fournisseurs , actionnaires , salariés etc. et diffuses ou secondaires , il s’agit des
associations des consommateurs et des ONG etc. ,alors, quant au méthodologie qui a été
suivie pour répondre à cette problématique, les chercheurs ont fait recours au deux
méthodes qui sont complémentaires c’est d’abord la méthode qualitative , en effet , cette
approche a été menée auprès de 8 entreprises qui ont été sélectionnées suivant l’objectif
déterminé sans en faisant recourir au échantillonnage , cette étude à été élaborée via un
entretient semi-dirigé qui se base sur des interventions qui n’étaient pas prévues
auparavant, alors , les questions sont été ouverts s’entourent vers la problématique de RSE ,
la relation entre l’entreprise et les parties prenantes , ainsi , leurs attentes et l’influence
qu’elles pratiquent sur les entreprises , et l’autre méthode c’est la méthode quantitative
réalisée à l’aide d’un questionnaire en se basant sur les résultats de l’entretient, le mode
utilisé c’est le face à face auprès d’un échantillon non probabiliste de 110 entreprises, les
résultats sont analysés à l’aide de logiciel IBM SPSS Statistics 20, on trouve, alors , la grande
place s’accaparée par les grandes entreprises et le reste c’est le PME ,ainsi on remarque que
le secteur d’industrie est classé comme le premier secteur qui respecte dans sa démarche de
travail les principes de RSE, et les branches d’activité sont la distribution, BTP,services
financier, transport et logistique , l’industrie alimentaire et l’agroalimentaire, parmi les
exemples de pratique de RSE cités dans l’article on trouve le respect des droit de
travailleurs , le respect de l’environnement par l’élimination des déchets, le recyclage etc ,
en gros toujours la logique des entreprises marocaines s’articule vers le profit seulement et
elles n’appliquent la RSE que si elles veulent améliorer la rentabilité , et l’approche des
partie prenante reste traditionnelle , car , on déduit que les attentes des parties prenantes
contractuelles sont connus au détriment de celles qui sont diffuses , qui n’ont pas
d’influence sur les décisions de l’entreprises et les attentes de la plupart d’eux sont pas
connus .